Academic literature on the topic 'Saint-Jean de J©♭rusalem'

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Journal articles on the topic "Saint-Jean de J©♭rusalem"

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Stankovic, Vlada. "Tropeoforos kod Mihaila Psela - jedan primer politicke upotrebe retorike." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 133–51. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441133s.

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Abstract:
(francuski) En raison de sa grande ?rudition, de son talent litt?raire, mais aussi de son caract?re, Michel Psellos est assur?ment un des auteurs byzantins les plus probl?matiques lorsqu'il s'agit de l'interpr?tation et de la compr?hension de ses oeuvres. Le recours ? l'allusion, surtout dans ses ?crits politiques, r?v?le chez un auteur imbu de son savoir le besoin de jouer avec la signification ?officielle?, claire et compr?hensible de tous de ses textes, et une seconde plus profonde en recourant ? des images ?sot?riques, absconses ou difficilement compr?hensibles. Il en est ainsi s'agissant de l'emploi de l'?pith?te tropaiophoros (tropaioph?roz) que Michel Psellos utilise de fa?on sp?cifique, en jouant avec sa signification principale et concr?te. 1. L'emploi du qualificatif tropaiophoros (tropaioph?roz) chez Psellos 1.1. L'?loge ? Constantin Monomaque (Psellus, Orationes, Oratio 2) L'?loge ? Constantin Monomaque r?dig? par Psellos au d?but m?me du r?gne de cet empereur (avril-mai 1043) est caract?ristique lorsqu'il s'agit de l'utilisation du terme tropaiophoros par Psellos. C?l?brant la victoire de l'empereur sur l'usurpateur Georges Maniak?s, Michel Psellos a r?ussi par l'habile emploi de cette ?pith?te ronflante ? qui ? cette ?poque ?tait avant tout utilis?e pour d?signer la fondation de Constantin Monomaque, Saint-Georges Tropaiophoros ? Manganes ? d'exprimer, par le biais de l'ironie, son opinion critique vis-?-vis du nouvel empereur. Proc?dant ? un rappel de l'histoire de Byzance depuis la mort de Jean Tzimisk?s (976) jusqu'? la r?daction de son ?loge, Michel Psellos utilise ? trois reprises l'?pith?te tropaiophoros : 1) associ?e ? Michel IV le Paphlagonien : ...le tropaio- phoros c?leste (immacul?) retourne ? son seigneur, c.-?-d. ? Dieu (ka? tropaioph?roz ana?maktoz pr?z t?n o?ke?on desp?t?n ch?rei ?e??????? x^pei) ; 2) ? Constantin Monomaque : ...et avant le sceptre tu ?tais empereur tropaiophoros (ka? pr? t?n sk?ptr?n basile?z ?stha tropaioph?roz ??o??a????o?) ; 3) et ? l'usurpateur d?fait qui s'?tait dress? contre cet empereur, Georges Maniak?s (symb?llei t? t?z d?se?z strat?g?, nik?, tropaioph?roz ?p?neisi, sobar?teroz t? e?tych?mati g?netai?). Son habile r?partition du terme tropaiophoros dans trois passages ?galement ?loign?s les uns des autres, respectivement dans le premier, deuxi?me et troisi?me tiers de la partie historique de son oratio, met tout particuli?rement en exergue l'importance de ce qualificatif. En tant qu'id?e, la notion de tropaiophoros est sous-jacente ? tout le cours narratif de cet ?loge, constituant d'une certaine fa?on le fondement sur lequel l'orateur a construit et ?labor? son r?cit. Le choix des personnages auxquels Psellos associe l'?pith?te tropaiophoros et les diverses nuances qu'elle rev?t avec chacun d'eux, renforcent l'impression d'un emploi intentionnel d'un terme inhabituel, visant par l? ? transmettre un message politique. Tout d'abord, l'?pith?te tropaiophoros est utilis?e exclusivement pour des personnages contemporains dont le nouvel empereur Constantin Monomaque qu'un lien particulier rattache aux deux autres ? ces deux derniers ayant ?t?, en quelque sorte, l'un comme l'autre ses adversaires, et tous deux l'ayant, du moins provisoirement, d?fait. Autrement dit, seuls les rivaux de Monomaque sont, tout comme lui, qualifi?s de tropaiophoros, alors que ni Basile II, ni Romain Argyre, auquel Psellos dresse des louanges particuli?res dans le cadre de cet ?loge, n'ont re?u cette ?pith?te. Le fait que Michel Psellos ait renonc? par la suite ? utiliser l'?pith?te tropaiophoros dans ses ?loges post?rieurs de Constantin Monomaque et n'ait renou? pleinement avec son emploi qu'apr?s le r?gne de cet empereur, lorsque le temps ?coul? avait ?t? toute actualit? politique ? ce terme, atteste peut-?tre une dose redoubl?e de prudence (voire de crainte?) de la part de cet ?rudit qui redoutait que ne soient d?crypt?es ses allusions et critiques politiques d?guis?es sous formes d'?loges. 1.2. La Chronographie et autres oeuvres de Psellos Le choix m?me des personnages s'?tant vu attribuer l'?pith?te de tropaiophoros dans la Chronographie est d?j? significatif par lui-m?me (Bardas Phocas, Constantin Monomaque, Isaac Comn?ne, Romain Diog?ne et Andronic Doukas, fils du c?sar Jean Doukas), mais Psellos a ?galement exprim? ses positions vis ? vis de ceux-ci ? travers les nuances introduite dans l'emploi de cette ?pith?te avec chacun d'entre eux. Passant de l'ironie non dissimul?e (dans le cas de Romain Diog?ne) ? la moquerie d?guis?e (Andronic Doukas), Psellos joue avec la signification premi?re de l'?pith?te tropaiophoros et ce d'une fa?on qui n'est pas pleinement apparue ? des ?rudits tels que Nic?phore Bryennios et Anne Comn?ne lesquels, proc?dant ? la copie des donn?es fourmes par Psellos, ont repris tel quel ce terme. La possibilit? de l'emploi ambivalent de l'adjectif tropaiophoros nous sont r?v?l?s par Psellos lui-m?me dans sa description de l'empereur H?raclius dans le Logos sur les miracles de l'archange Michel, lorsqu'il dit de cet empereur qu'il ?tait un authentique tropaiophoros (tropaioph?roz ?z ?l?th?z), formule que l'on ne retrouve pour aucun de ses contemporains. 2. Caract?risation de l'emploi du terme tropaiophoros chez Psellos La caract?risation de l'emploi de l'?pith?te tropaiophoros par Psellos, tout en gardant la r?serve qui s'impose, montre que le consul des philosophes a intentionnellement utilis? cette ?pith?te, l'a introduite ? des endroits parfaitement bien choisis et attribu?e ? des personnages bien pr?cis tout en lui conf?rant le plus souvent une connotation ironique. Deux exemples relev?s dans l'?loge de Constantin Monomaque montrent parfaitement que tropaiophoros pouvait ?tre utilis? avec une double signification, ? officielle? (positive) mais aussi ? dissimul?e ? (cachant une critique). L'empereur lui-m?me, alors qu'il n'y va d'aucun m?rite particulier de sa part, et avant m?me de recevoir la couronne imp?riale, est tropaiophoros, qualificatif ? travers lequel Psellos fait, de toute ?vidence, allusion ? l'?rection contemporaine de la fondation du m?me nom de Monomaque, d'une fa?on que l'empereur lui-m?me pouvait comprendre, approuver et r?compenser. Toutefois, l'exemple de Michel IV tir? de ce m?me oratio, montre un autre aspect de l'utilisation de cette ?pith?te ? cet empereur est, en effet, tropaioph?roz ?na?maktoz, ce qui l'?l?ve au-dessus de Monomaque auquel l'?loge est destin?. C'est l? une position conforme ? l'opinion g?n?rale positive de Psellos sur Michel le Paphlagonien que l'on retrouve ?galement exprim?e dans la Chronographie. Dans tous les autres cas ? ? l'exception de celui de l'empereur H?raclius ? une connotation ironique dissimul?e ou un ton moqueur annonce les intentions de l'auteur, en particulier du fait du contraste que Psellos cr?? en attribuant l'?pith?te tropaiophoros ? des empereurs y compris lorqu'il n'y a pas eu de v?ritables victoires. L'?pith?te li?e ? saint Georges, et le plus souvent associ?e dans la rh?torique byzantine ? un empereur ? victorieux a ?t? utilis? par Psellos pour jouer avec sa signification premi?re, mais aussi afin de traduire un message associ? ? son utilisation. 3. Saint Georges Tropaiophoros ? Manganes L'emploi appuy? de l'?pith?te tropaiophoros par Psellos dans son ?loge r?dig? au d?but du r?gne de Constantin Monomaque (avril ? mai 1043) confirme indubitablement que la construction de la fondation de Monomaque ?tait alors commenc?e, 151 mais aussi qu'elle portait d?j? l'?pith?te de tropaiophoros. En outre, le sceau de Skl?raina sur lequel est ?galement mentionn? le sekret?n du saint grand martyr Georges Tropaiophoros, puis l'existence du monast?re du Tropaiophoros avant le mois de mai 1046 (sur la base de la charte de Constantin Monomaque), ainsi que le caract?re et les appellations des ?loges de Mauropous, montrent que l'?glise de Saint-Georges Tropaiophoros a ?t? inaugur?e plus t?t qu'on ne le pensait jusqu'? pr?sent. L'absence de toute description de la nouvelle ?glise, de ses d?corations ou de son luxe dans les r?cits de Jean Mauropous, ce qui ?tait habituel pour les hom?lies qui c?l?braient la sanctification des ?glises depuis l'?poque de patriarche Photius, incite ? conclure qu'il ne s'agissait pas dans ce cas d'un acte aussi solennel. Les imges usuelles et neutres employ?es par Mauropous pour louer les fondations de l'empereur, tel que saint Sion et nouvelle J?rusalem ou la mention stipulant que l'?glise surpassait les autres ?glises par sa taille et ses d?corations, ne doivent en aucun cas ?tre rattach?es avec la c?r?monie de sanctification de l'?glise qui, ? ce qu'il semble, a eu lieu avant mai 1046, et certainement avant le 21 avril 1047 lorsque Jean Mauropous y a prononc? l'?loge de son fondateur, l'empereur Constantin Monomaque.
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Starodubcev, Tatjana. "Predstava starozavetnog Veseleila u oltaru Ravanice." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 39 (2001): 249–63. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0239249s.

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Abstract:
(francuski) Dans l'?glise de Ravanica les faces frontales des deux pilastres flanquant l'abside centrale et marquant la limite de la proth?se, respectivement du diaconicon, accueillent deux personnages v?t?rotestamentaires, chacun s?par? de la sc?ne de la Communion des ap?tres par la figure d'un archipr?tre. Sur le pilastre nord se tient Melchis?dek, et sur celui situ? au sud, un homme aux cheveux courts et ? la barbe arrondie, v?tu d'un chiton et d'un hymation, qui tient en mains un objet de forme ronde orn? d'une repr?sentation en buste de la Vierge ? l'Enfant, et ? c?t? duquel subsistent les traces d'une inscription (fig. 1)Selon l'Ancien Testament et l'Ep?tre aux H?breux, le juste Melchis?dek ?tait le sacrificateur du Dieu Tr?s-Haut et sup?rieur aux sacrificateurs l?vitiques. C'est lui qui offre en sacrifice le pain et le vin, et plus tard le Christ lui-m?me est devenu "sacrificateur pour toujours, selon l'ordre de Melchis?dek". Sur le pilastre sud, les restes d'inscription o? l'on reconna?t le d?but d'un nom montre que le personnage ici repr?sent? pourrait ?tre le juste Betsaleel qui est mentionn? ? plusieurs reprises dans l'Exode en tant que fils d'Uri de la tribu de Juda etque Dieu a choisi en lui accordant la sagesse, l'intelligence et le savoir pour toutes sortes d'ouvrages afin qu'il p?t construire l'Arche du t?moignage.Ce personnage biblique n'est pas c?l?br? par le Calendrier de l'Eglise constan-tinopolitaine et, pour autant qu'on le sache, n'est repr?sent? que dans quatre manuscrits: la Sacra parallela (Paris gr. 923), du IX?me si?cle; le psaultier n? 61 du monast?re athonite du Pantocrator, du IX?me si?cle; l'ochtateuque de la Biblioth?que du Vatican gr. 747, du Xl?me si?cle; et l'ochtateuque d'Istanbul Seraglio cod. 8, du Xll?me si?cle, o? il appara?t figur? de diff?rentes fa?ons. Dans le manuscrit la Sacra parallela il a les traits d'un vieillard, dans le psaultier d'un homme d'?ge moyen ? la barbe arrondie et aux cheveux longs, alors que dans les ochtateuques il porte les cheveux courts, lisses et drus, avec la raie sur le c?t?. De toute ?vidence, les peintres avaient toute libert? lors de la repr?sentation de ce juste, et il importe donc, en premier lieu, de rechercher les raisons de la pr?sence ici de ce saint si rarement figur?. En tant que constructeur du Tabernacle, sa place dans le sanctuaire d'une ?glise est tout ? fait justifi?e, puisque on rencontre aussi des repr?sentations du Tabernacle dans le narthex, et plus souvent encore dans l'espace du sanctuaire. Dans ce second espace la pr?sence du Tabernacle est notamment justifi?e par les diff?rents niveaux de sa symbolique puisque les plus anciennes interpr?tations et commentaires le per?oivent comme une pr?figuration du Tabernacle c?leste, comme le sanctuaire dans lequel le Christ se sacrifie et proc?de au sacrifice, puis il est ?galement devenu le symbole de la Vierge, alors que plus tard sont apparues des interpr?tations qui l'ont rattach? au contexte liturgique. Betsaleel n'a pas fait l'objet d'une attention particuli?re de la part de la science et l'on ne peut qu'indiquer la direction dans laquelle est all?e la pens?e th?ologique ? son sujet. A en juger par une observation sommaire des textes, et nonobstant, son ?vocation par les textes philosophiques pr?coces, il n'est que tr?s rarement mentionn? (Philon d'Alexandrie, premi?re moiti? du 1er si?cle, Orig?ne, vers 185-254, Cyrille de J?rusalem, vers 315-386, Basile le Grand, vers 330-379, Th?odoret de Cyr, vers 393 vers 458, Cosmas Indicopleust?s, milieu du Vl?me si?cle). Tous ces ?crits le montrent comme un mod?le d'artisan auquel Dieu, conform?ment au texte biblique de l'Exode, a donn? la sagesse, l'intelligence, le savoir pour toutes sortes d'ouvrages et qu'il a d?sign? pour ?tre le constructeur du Tabernacle, en soulignant toujours le fait que Dieu est celui dont viennent toutes ces vertus. Dans toutes ces interpr?tations il reste dans l'ombre de Dieu en tant que Cr?ateur supr?me. De m?me, Betsaleel est rarement mentionn? dans les autres sources ?crites et, lorsque cela est le cas, il y est d'ordinaire pr?sent? comme un constructeur, comme un mod?le pour les b?tisseurs d'?glises qui sont compar?s ? lui (Eus?be de C?sar?e, vers 260-339; l'hymne syriaque "Sogitha" consacr? ? la sanctification de l'?glise Sainte-Sophie ? Edesse apr?s sa reconstruction en 553/554; la Vie de saint Sim?on le Stylite le Jeune (?592) du diacre St?phane; la pri?re prononc?e par le patriarche lors de la cons?cration de l'?glise et de la sainte table, d'apr?s le plus ancien euchologion enti?rement conserv? de l'?glise Sainte-Sophie de Constantinople, Barb. gr. 336, milieu du VHI?me si?cle; la comm?moraison de la tr?s pieuse imp?ratrice Ir?ne, femmede Jean Comn?ne (1118-1143), dans le Synaxaire de l'Eglise constantinopolitaine; l'inscription m?trique de fondation de l'?glise saint-Nicolas pr?s du village de Place dans la p?ninsule de Mani au sud du P?lopon?se, de 1337/38). A Ravanica Betsaleel ne porte pas le mod?le du tabernacle, mais un objet de forme ronde orn? d'un buste de la Vierge ? l'Enfant (semblable ? l'image de la sainte table dans le sanctuaire de la Chapelle de Mo?se au Sina?). Betsaleel ?tant lou? comme le constructeur du Tabernacle et les cantiques eccl?siastiques c?l?brant la M?re de Dieu comme ?tant elle-m?me le Tabernacle; son image, tenant le Christ dans ses bras, sur l'objet que porte Betsaleel s'en trouve tout ? fait justifi?e, comme sur de nombreuses repr?sentations de la Tente d'assignation o? elle appara?t en m?daillon sur le voile recouvrant l'autel et sur les objets pos?s sur celui-ci. On doit se demander pourquoi le choix du d?corateur s'est ici port? pr?cis?ment sur Melchis?dek et Betsaleel. Le premier, en tant que sacrificateur v?t?rotesta-mentaire sur le mod?le duquel le Christ est lui-m?me devenu sacrificateur, avait d?j? ?t? figur? dans les sanctuaires des premi?res ?glises chr?tiennes, alors que l'image de Betsaleel, pour autant que nous sachions, constitue un exemple unique. Melchis?dek se tient ? proximit? de la partie septentrionale, et c?leste, de la composition de la Communion des ap?tres, o? la communion par le pain est donn?e par un ange-pr?tre, alors que Betsaleel, au sud, c?toie la partie terrestre, montrant un pr?tre, debout dans le sanctuaire, qui tend un calice. Le constructeur du Tabernacle se trouve ainsi ? c?t? d'un l'?v?nement qui se d?roule dans l'?glise, alors que le pr?tre v?t?rotestamentaire se tient ? c?t? de l'?glise c?leste et spirituelle. L'existence d'un fort lien avec la liturgie est ?galement confirm?e par les deux ?v?ques qui se tiennent aux c?t?s de ces justes et les d?signent de la main droite (fig. 2). Leurs inscriptions ont ?t? d?truites, mais leurs tenues, diff?rentes des tenues habituelles d'?v?ques, autorisent ? reconna?tre en eux les premiers ?v?ques de J?rusalem auxquels la haute dignit? d'archi-pr?tre a ?t? transmise, d'apr?s la tradition, par le Christ en personne. En observant les donn?es provenant de la Bible, les ?crits des P?res de l'Eglise et certaines mentions relatives aux constructeurs d'?glises, il est donc possible de supposer que ce juste repr?sent? ? Ravanica est Betsaleel, le constructeur v?t?rotestamentaire du Tabernacle. L'?troit lien le rattachant ? la liturgie justifie pleinement sa pr?sence dans l'espace du sanctuaire. L'hypoth?se ici avanc?e est ?galement confirm?e par l'existence de rapports avec la figure du juste Melchis?dek et celles des premiers ?v?ques de l'Eglise de Sion, ainsi qu'avec la repr?sentation, unique par son iconographique, de la Communion dans l'abside. .
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Moraes e Silva, Marcelo, Daniele Cristina Carquejeiro de Medeiros, and Evelise Amgarten Quitzau. "A democratização da Educação Física na França." Revista Brasileira de História da Educação 23, no. 1 (February 3, 2023): e256. http://dx.doi.org/10.4025/rbhe.v23.2023.e256.

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Abstract:
Resenha de: Attali, M.; Saint-Martin, J. (2021) “L’education physique de 1945 à nous jours: les étapes d’une démocratisation”. Paris: Armand Colin. A obra em questão, publicada pelos professores Michaël Attali (Universidade de Rennes 2) e Jean Saint-Martin (Universidade de Strasbourg), foi primeiro publicada no ano de 2004, com reedições em 2009 e 2015. A edição ora analisada é de 2021, atualizada em relação às últimas alterações ocorridas no âmbito da escola francesa. O livro foi editado pela editora Armand Colin, como parte da coleção “Dynamique” organizada por Jean-Pierre Famose, André Rauch e Alfred Wahl.
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Cattoi, Thomas. "La théologie des energies divines: Des origins à saint Jean Damascène [The Theology of the Divine Energies: From the Origins to Saint John Damascene]- By Jean-Claude Larchet." Reviews in Religion & Theology 18, no. 4 (August 23, 2011): 623–26. http://dx.doi.org/10.1111/j.1467-9418.2011.00932.x.

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Agratina, Elena E. "JEAN-CLAUDE RICHARD DE SAINT-NON (1727-1791), AN AMATEUR IN FINE ARTS AND A FRIEND OF ARTISTS." Articult, no. 3 (2020): 81–87. http://dx.doi.org/10.28995/2227-6165-2020-3-81-87.

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Abstract:
The article is dedicated to Jean-Claude Richard de Saint-Non (1727–1791), a refined connoisseur, a great friend of artists and an extremely charming personality. Destined to religious worship Abbot de Saint-Non had not a spiritual calling for this and was indifferent to any government service. Instead of it he devoted his own life to such activities as travelling, exploration of ancient and modern art, patronage of young painters and creation of multi-volumed treatise on the sights of Naples and Sicily. Abbot de Saint-Non himself was talented in fine art and produced some engravings after drawings by outstanding masters of his epoch, especially J.-H. Fragonard. The article examines his life, activities, and personality for the first time in Russian. It highlights de Saint-Non’s contribution to the development of the 18th-century painting and to investigation of ancient art.
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Andreani, Louis, Nicolas Loget, Claude Rangin, and Xavier Le Pichon. "Reply to the comments of Jean Philip on the paper entitled." Bulletin de la Société Géologique de France 184, no. 3 (March 1, 2013): 279–85. http://dx.doi.org/10.2113/gssgfbull.184.3.279.

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Abstract:
AbstractWe reply to the comments of J. Philip regarding the structure of La Nerthe range (southern Provence, France) and the timing of the deformation. We first agree with J. Philip on the structural independence of La Nerthe and L’Etoile ranges. We then discuss the allochthonous and autochthonous models. The allochthonous model mainly relies on a reactivation of a N-verging thrust during the Oligocene. There are no evidences for a Middle Rupelian thrusting event and the interpretation of the Oligocene series in southern Provence area was entirely revised. J. Philip’s argumentation is solely based on the existence of steep dipping Rupelian limestones. However we demonstrate that they could be tilted along normal faults as it is the case in the Marseille basin. Recent works clearly show that the Oligocene Marseille and Saint-Pierre basins have a similar tectonic history resulting from two main extensional events. The last point debated by J. Philip is the age of the strike-slip faults. As it is pointed in our contribution the strike-slip fault planes cut folded strata and were reactivated during an extensional event. This strike-slip faulting event occurred between the latest stages of the main Bartonian compressional event and the beginning of the Early Rupelian extensional tectonics. As pointed by J. Philip the E-trending faults of Saint-Pierre basin acted as normal faults during the Oligocene. We however suggest that these faults were inherited from the Late Eocene strike-slip tectonics and reactivated during the Oligocene.
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Carr, Thomas M. "Angélique de Saint-Jean Arnauld d'Andilly: Writings of Resistance transed. by John J. Conley." Early Modern Women 12, no. 2 (2018): 282–86. http://dx.doi.org/10.1353/emw.2018.0040.

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BRAEKELEER, M. DE, and S. GAUTHIER. "Autosomal recessive disorders in Saguenay-Lac-Saint-Jean (Quebec, Canada): a study of inbreeding." Annals of Human Genetics 60, no. 1 (January 1996): 51–56. http://dx.doi.org/10.1111/j.1469-1809.1996.tb01171.x.

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SIEGFRIED, SUSAN L. "FAITH IN MATERIALS: CHRIST GIVING THE KEYS TO SAINT PETER BY JEAN-AUGUSTE-DOMINIQUE INGRES." Art History 28, no. 5 (November 2005): 657–88. http://dx.doi.org/10.1111/j.1467-8365.2005.484.x.

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Levine, Tim P. "Lipid traffic: Osh4p makes an unexpected exchange." Journal of Cell Biology 195, no. 6 (December 12, 2011): 927–29. http://dx.doi.org/10.1083/jcb.201111074.

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Abstract:
A new study in this issue (De Saint-Jean et al. 2011. J. Cell Biol. http://dx.doi.org/jcb.201104062) reveals that the sterol transfer protein Osh4p can also transport the signaling phospholipid phosphatidylinositol 4-phosphate (PI(4)P), which binds to the same site in Osh4p as sterol. This finding helps explain some previously published studies and also indicates that lipid/sterol exchange could contribute to establishing a sterol gradient in cells.
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Dissertations / Theses on the topic "Saint-Jean de J©♭rusalem"

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Fortin, Georges. "Le notaire J.-Henri Fortin et les premiers habitants des basses terres du Lac Saint-Jean." Thèse, Chicoutimi : Université du Québec à Chicoutimi, 1993. http://theses.uqac.ca.

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Marceau, Albert John. "The role of Fr. Jean-Baptiste Proulx in the Danilson affair and the Manitoba school question /." 2009. http://149.152.10.1/record=b3075227~S16.

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Abstract:
Thesis (M.A.) -- Central Connecticut State University, 2009.
Thesis advisor: Norton Mezvinsky. "... in partial fulfillment of the requirements for the degree of Master of Arts in History." Includes bibliographical references (leaves 186-192). Also available via the World Wide Web.
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Books on the topic "Saint-Jean de J©♭rusalem"

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Saint-Dié, Musée de, ed. Asse, Bazaine, J. Bony, Collot, Gutherz, Elvire Jean, Lautrec, Le Moal, Manessier, C. de Rougemont: Maquettes des vitraux de la catédrale et œuvres récentes. [Saint-Dié, France]: Musée de Saint-Dié, 1988.

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Pyrénées-Atlantiques, Archives départementales des. Répertoire numérique détaillé des sous-séries: 38 J (fonds Vivier), 47 J (fonds Vivié), 54 J (fonds de la corporation des part-prenants de la fontaine salée de Salies-de-Béarn), 80 J (fonds Haramburu, Marchands de laine à Saint-Jean-Pied-de-Port, Bordeaux et Hernani (Espagne)), 81 J (fonds de Coulomme-Labarthe). Pau: Les Archives départementales, 1995.

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3

Hugo, Victor. Miserables: I. Fantine, Tr. Bywilliam Walton. 2v. Ii. Cosette, Tr. by J. C. beckwith. 2v. Iii. Marius, Tr. by Jules Gray. 2v. Iv. the Idyl of the Rue Plumet and the Epic of the Rue Saint-Denis, Tr. by Edouard Jolivet. 2v. V. Jean Valjean, Tr. By. Creative Media Partners, LLC, 2023.

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Hôtel Drouot. Dessins et tableaux anciens : T. van Apshoven, J.B. Charpentier, H.P. Danloux, F.X. Fabre, J.B. Greuze, L. Lombard, J.m. nattier, J.F. Parrocel, de Saint-Jean, D. Seghers, A. Truelle, A. Vasseur, J.G. van Vliet, R. Nooms dit Zeeman et des écoles anglaise, anversoise, flamande, française, hollandaise, italienne, romaine et suisse; objets d'art et de bel ameublement: L. Aubry, P. Bailly, M. Bauve, J. Bircklé, S. Brizard, Canabas, L.C. Carpentier, M. Cresson, N.D. Delaisement, L. Delanois, D. Julienne, J.B. Lebas, P. Macret, P. Mabet, F. Schey; tapisseries, tapis. Paris, 2000.

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