Dissertations / Theses on the topic 'Rois et souverains – Bulgarie – Moyen âge'

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Atanasova, Vera. "Art et pouvoir en Bulgarie médiévale : deuxième empire bulgare (1185-1396)." Thesis, Université de Lorraine, 2021. https://docnum.univ-lorraine.fr/ulprive/DDOC_T_2021_0326_ATANASOVA.pdf.

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Abstract:
La recherche présente traite un problème de l’histoire bulgare médiévale qui n’a jamais fait l’objet d’une étude détaillée. Il s’agit de l’utilisation de l’art par le tsar bulgare pour sa politique, notamment les représentations, tant visuelles que textuelles, du souverain. L’objectif de la recherche est de retracer l’évolution de l’image-modèle du souverain bulgare, présenté dans les différents supports artistiques. Plus encore, le but est d’en identifier des éléments proprement bulgares qui pourraient indiquer si une identité ethnique existait à cette époque. Ainsi, le travail est construit en quatre grandes parties.Chapitre I. Le Contexte historique et l’idéologie politique du Deuxième Empire bulgare (1185-1396) est divisé en deux sous-parties. La première retrace les grands traits de l’histoire du Deuxième Empire bulgare. Un accent est posé sur les progrès politiques et socio-culturels qui s’opèrent dans la société et qui jouent un rôle important dans la politique de l’Etat : la restauration de l’Etat, la reconnaissance officielle de son statut et de celui de son chef, l’indépendance de l’Eglise bulgare, la politique des mariages matrimoniaux, etc. Le but est de retracer l’évolution de l’idée politique afin de comprendre le contexte de la production artistique issue de la commande du souverain. Quatre grandes périodes sont à noter dans l’histoire bulgare qui délimitent les changements s’opérant dans la société : la période du rétablissement de l’Etat (1185 - 1241), la période d’affaiblissement (1241 - 1300), la période d’apogée (1300 - 1371) et la période du déclin (1371 - 1396). La production artistique en dépendait largement puisque les changements politiques déterminaient son évolution
The present research deals with a problem of medieval Bulgarian history that has never been studied in detail. It is about the use of art by the Bulgarian Tsar for his politics, including representations, both visual and textual, of the sovereign. The objective of the research is to trace the evolution of the model image of the Bulgarian sovereign, presented in the various artistic media. Even more, the aim is to identify distinctly Bulgarian elements which could indicate whether an ethnic identity existed at that time. Thus, the work is constructed in four main parts. Chapter I. The Historical Background and Political Ideology of the Second Bulgarian Empire (1185-1396) is divided into two sub-sections. The first traces the main features of the history of the Second Bulgarian Empire. Emphasis is placed on the political and socio-cultural progress taking place in society and which play an important role in State policy: the restoration of the State, the official recognition of its status and that of its leader, the independence of the Bulgarian Church, the policy of matrimonial marriages, etc. The aim is to trace the evolution of the political idea in order to understand the context of the artistic production resulting from the order of the sovereign. Four major periods are to be noted in Bulgarian history which delimit the changes taking place in society: the period of the reestablishment of the state (1185 - 1241), the period of weakening (1241 - 1300), the period of heyday (1300 - 1371) and the period of decline (1371 - 1396). Artistic production depended largely on it since political changes determined its development
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Popescu, Dan-Alexandru. "La symbolique du pouvoir monarchique au Moyen âge (Les principautés roumaines et la france: étude comparative) : de l'Orient à l'Occident : le souverain chrétien." Rennes 2, 2006. http://www.bu.univ-rennes2.fr/system/files/theses/thesepopescu.pdf.

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Abstract:
La royauté française s'entoure de symboles chrétiens, pendant que son représentant se crée une image quasi-sacerdotale. À l'intérieur de l'espace roumain, le sacre et couronnement rappelle la cérémonie occidentale, tout en se développant d'une manière moins ritualisée. Le domn est investi par Dieu du don de gouvernement, par la bénédiction du haut métropolite, en s'emparant ainsi de nombreuses attributions religieuses et sacrées: faire toujours la preuve de sa sagesse, de sa justesse et de sa tolérance et défendre les intérêts de l'Église. Une véritable provocation: cette valeur profondément et explicitement chrétienne de la symbolique médiévale européenne
The medieval European civilization is a deeply Christian one. Jesus is the only example to follow, an exquisite Rex gloriae, whose kingdom remains separate from the physical universe and from the earthly life. The monarch, in expectation of the eternal redemption, can aspire to imitate his “superior”. King's power is limited by the power of God (rex a Deo coronatus): the anointment and the coronation of the monarch are two stages in the same mythical rite, of an initiating character, by which a person is invested with the divine gift. But sacred does not mean holy, and the sovereign has to be worthy of God's trust every day (being a mimethes Christou, like in the Byzantine imperial tradition). The church, an active participant in the ceremony by which a new king is born (consacratio) cannot afford to be ignored and the alliance between the two institutions is welded by their common mission: the government, in the name of God, of the human community (respublica Christiana). Orthodoxy, the prevalence of customs and the maintenance of traditions, the lack or the inefficiency of striving for social renewal, the patriarchal organization of life after a Byzantine archetypal model, all these define the originality of the Romanian feudality within the framework of a larger cultural-european area. With reference to political creation, the domnia, this becomes complete with the institution of church: the ruling authority cannot depart from the religious element, which is constitutive of the state. The feudal monarchy is based on the support it offers to monachical life, in exchange of which it receives political support. The spirituality is in search of patrons, and the ruling power wants mystical support: the voivode-church relationship is thus, welded rapidly and on the long-term
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Carrier, Hubert. ""Au surnom cognoit on l'homme" : le surnom des rois et des princes comme outil de mémoire et de légitimation (XIe-XVe siècle)." Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010585.

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Abstract:
L'histoire aujourd'hui ne peut plus se confIner à simplement rappeler une succession d'événements et de personnages marquants. Elle ne cesse, au contraire, d'évoluer grâce à des travaux qui cherchent à replacer les sociétés du passé dans des perspectives davantage englobantes. Loin d'écarter les études biographiques, ce mouvement leur donne un attrait et une pertinence renouvelés. À cet égard, le phénomène de la surnomination ouvre un champ encore peu exploré. Pourtant, on pouvait dire au Moyen-Âge: " Au surnom cognoit on l'homme ". Voici, succinctement proposés, les deux volets de l'enquête sur les surnoms royaux et princiers au Moyen-Âge français: d'une part, quel est l'homme ainsi désigné et, d'autre part, qui en est responsable, pourquoi et comment. Le questionnement procède en quatre partie. La première est consacrée à distinguer ce qu'est le surnom à l'époque médiévale, à ses caractéristiques originales. Les autres traitent de son utilisation: dans les actes de la pratique, soit les documents à valeur officielle; puis sur les monuments funéraires, aussi outils de mémoire; enfIn, dans l'historiographie, en relevant la contribution spécialement importante des chroniqueurs des rois et des princes à la surnomination complétée, à la fIn du Moyen-Âge, par l'amorce d'un discours réflexif portant directement sur le concept.
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Jeay, Claude. "Des signatures et des rois : du signe de validation à l'emblème personnel (France, XIIIe - XVe siècle)." Paris, EPHE, 2003. http://www.theses.fr/2003EPHE4032.

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Bande, Alexandre. "Le coeur du roi : (Mi. XIIIe - Mi. XVIe)." Paris 10, 2002. https://buadistant.univ-angers.fr/login?url=http://www.numeriquepremium.com/content/books/9782847344677.

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Abstract:
En France, entre le milieu du XIIIe siècle et le milieu du XVIe le coeur du roi devient l'objet de nombreuses attentions. Non seulement il se trouve au centre d'un discours théorique (biblique, théologique, médical, politique) mais il inspire également des considérations très concrètes. Ainsi, à partir du milieu du XIIIe siècle, les souverains français adoptent progressivement un nouveau rite funéraire : l'inhumation séparée du coeur. Pour de multiples raisons (conjoncturelles, spirituelles, familiales, "politiques"), cette pratique s'imposera malgré l'opposition de l'église. D'un rite funéraire occasionnel les souverains français de la fin du Moyen Age, ont fait à un rythme très irrégulier, un véritable rituel. L'inhumation séparée du coeur s'appuyant sur des pratiques particulières, renforce le rituel des funérailles royales et constitue un rituel spécifique qui contribue à mettre en valeur la place du roi au sein de la société.
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Quitman, Nathalie. "La Trinité, omniprésente et familière : polémique religieuse, connaissance de Dieu et dévotion en Espagne du XIIe au XVe siècle." Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0025.

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Abstract:
La Trinité est généralement considérée comme un thème théologique savant. Ce travail tente de montrer comment dans l'Espagne médiévale, la Trinité fut omniprésente dans la religion, la culture et l'idéologie politique. Le besoin de l'expliquer et de la défendre face aux infidèles l'a rendue familière aux chrétiens espagnols. La Trinité fut en effet utilisée comme "l'étendard" de la foi chrétienne aux moments forts de la reconquête et des vagues de prosélytisme à l'égard des juifs. Une analyse du rôle du clergé dans la défense de ce thème polémique est alors envisagée. Mais c'est surtout la place du souverain dans la défense et l'explication de la Trinité qui est retenue pour expliquer la valorisation particulière de ce thème chez les laïcs. Les aspects intellectuels de la polémique religieuse sont aussi étudiés. A partir du XIIe siècle, la tradition patristique des wisigoths a été écartée au profit des traditions cosmologiques de philosophes grecs, arabes et juifs et de l'utilisation des attributs divins. Les versets de l'Ancien Testament, du Talmud et du Coran, fondements de la polémique dans le reste de l'occident furent en Espagne intégrés à l'argumentation philosophique. Parallèlement à la polémique, émerge à partir de la fin du XIVe siècle une dévotion à la Trinité orientée vers la recherche du salut. Les thèmes de la rédemption, les analogies et les premières visions de la Trinité sont successivement abordés. Une attention particulière est réservée au lien entre la Marie et la Trinité dans les formes de spiritualité
In the middle ages, the Trinity of god is usually regarded as a théological subject. In Spain, in the context of coexistence of christians with jews and muslims, the Trinity was omnipresent and familiar to the laity. First, we show how the Trinity was inseparable with the themes of reconquista, conversion, proselytism. Then we analyse the part of the clergy in the promotion of Trinity as a polemic problem since wisigothic period. The last chapter insists on the role of the kings of Castille in the defense of the dogma and the ideological use of Trinity as an attribute of their image and power. The second part insists on the philosophical polemics. The spanish christians have mainly used philosophy of nature to convince the jews. The themes of cosmos, nature, divine attributes, natural generation in the trinitarian demonstrations give to Spain an intellectual originality in the west. The verses of the Old Testament, the exegese of Talmud, the verses of Coran, foundation of the polemis elsewhere, are used in Spain only in the mirror of philosophy. The last part tries to explain why and how in the XVth century Trinity became also a subject of individual devotion. The redemption of souls, visionnary litterature, devotion to the Virgen were inseparable with Trinity
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Ayenachew, Deresse. "Le Kätäma : la cour et le camp royal en Éthiopie (XIVe-XVIe) : espace et pouvoir." Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010589.

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Péneau, Corinne. "Le roi élu : Les pouvoirs politiques et leurs représentations en Suède du milieu du XIIIe siècle à la fin du XVe siècle." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040152.

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Abstract:
Le roi suédois est, à la fin du Moyen Âge, un roi élu. L'enjeu de cette thèse est d'étudier les représentations du pouvoir politique dans un royaume électif à travers les lois et les principales sources narratives. La première partie présente l'évolution du principe électif dans les lois suédoises. À partir du XIVe siècle, trois étapes sont nécessaires pour faire un nouveau roi, l'élection, qui se présente comme un rite performatif, l'eriksgata, qui est un tour du royaume, et le couronnement. Les trois parties suivantes montrent comment les textes didactiques et les œuvres historiographiques suédoises, en particulier l'Erikskrönika dont la traduction est donnée en annexes, ont décrit le roi suédois. La cinquième partie s'attache aux conséquences de l'élection sur le pouvoir royal. Entre le milieu du XIIIe siècle et la fin du XVe siècle, ce pouvoir a souvent été défaillant et deux représentations ont dominé le discours politique, celle du roi-enfant, qui exalte le pouvoir de l'aristocratie, dans le cadre d'un régence réelle ou symbolique, et celle du roi absent : l'idéal politique dominant en Suède a été, à cette époque, celui d'une monarchie sans roi
The Swedish king was an elected king. The aim of this thesis is to study the representations of the ruling powers in such an elective kingdom by analysing some texts of law as well as the main narrative sources of the country. In the first part of my work, I seek to show how the rule by which the king was elected developed in the Swedish law acts. From the XIVe century, three stages were necessary to create a new king, the election, conducted as a performative ceremonial act, the eriksgata, which was a tour of the kingdom, and the coronation. In the other three parts of my thesis, I intend to show how the king was portrayed in didactic texts and historiographical works, in particular the Erikskronika, a full translation of which is appended
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Morin-Prevot, Magali. "L'image du souverain en milieu anglais de Hastings au début de la guerre de Cent Ans." Paris 10, 2002. http://www.theses.fr/2002PA100189.

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Abstract:
De la conquête de Hastings au début de la guerre de Cent Ans, le souverain anglais s'affirme de manière décisive au sein d'un Occident chrétien qui connaît dans le même temps un profond rééquilibrage des pouvoirs. Si les textes permettent de suivre cette affirmation progressive à l'égard de l'Eglise, des grands vassaux et des princes étrangers, l'investigation des images et, dans une certaine mesure, des édifices également n'apparaît pas moins nécessaire. Elle est, en effet, utilisée par les souverains comme une manifestation immédiate et tangible de leur pouvoir, et pour en laisser également une trace persistante. L'analyse des divers supports artistiques qu'offre alors le milieu anglais permet d'envisager aussi les éléments mis en place par les opposants pour contrer cette magnification et le perpétuel réajustement de l'image royale grâce aux données traditionnelles, historiques ou légendaires ; la comparaison avec les procédés du même ordre mis en oeuvre par d'autres puissants princes de l'époque autorise, en outre, une meilleure définition du phénomène anglais. Cette étude vise donc à dégager les éléments privilégiés par les acteurs eux-mêmes dans la mise en place d'une idéologie monarchique et à suivre l'évolution de la notion même de royauté
Starting from the conquest of Hastings up to the start of the Hundred Years' War, the english king asserted his authority in a decisive manner within the christianized West, which at the same time was experiencing a significant upheaval and rebalancing between the various powers. Historical texts enable us to confirm this progression in front of the church, the major vassal powers, including foreign dignities. Netherless, it is important not to underestimate the use of images and edifices which contributed to this process. They were used as an immediate and tangible demonstration of regal power as well as leaving a permanent trace of their presence. The study of documentation from diverse artistic sources dating from english society during this period, notably coming from traditional, historie and legendary data, shows us elements set up by oponents in order to counteract this magnification of the king and thus creating a perpetual readjustement of the royal image ; by comparing similiar behaviour relating to other powerful princes living during the same time period, we are able to gain a clearer definition of the english phenomena. This study aims to distinguish between the methods used by the players in order to embelish their image, thus creating a monarchie ideôlogy, and rather to follow the progressive development of kingship
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Berhili, Magide. "Largesse princière et groupe aristocratique : idéologies et pratiques en France, Bourgogne et Angleterre à la fin du Moyen âge." Bordeaux 3, 2008. http://www.theses.fr/2008BOR30026.

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Abstract:
En France, en Bourgogne et en Angleterre, à la fin du Moyen Age, les princes se montrent généreux de manière structurelle, presque par vocation. Le groupe aristocratique est un bénéficiaire privilégié de leurs largesses. Le geste de libéralité, puissamment ancré dans un système de valeurs, donne lieu à l’organisation d’un discours de type idéologique. Entretenant des conceptions variées, miroirs des princes, romans de chevalerie, chroniques, poèmes multiplient les conseils et recommandations de largesse adressés aux princes. L’avarice fait figure de repoussoir absolu, la prodigalité est stigmatisée. Sur le chemin de Largesse, à plus d’un titre, les nobles ne doivent pas être oubliés. En regard, les comptabilités et lettres de dons montrent que le groupe noble perçoit effectivement des largesses considérables : la noblesse, ensemble hétérogène et divisé, apparaît dans toute sa diversité. Les dons pour service rendu, par assistance, par amitié, lors des fêtes, sont une pratique courante. Dans la circulation des biens donnés, l’argent jouit d’une incontestable primauté, sans être exclusif. Parallèlement, les dons princiers sont aussi l’instrument d’une domination. Ils sont un système qui montre une construction politique fondée sur la recherche de l’intérêt, l’attrait des biens matériels, la question de l’autorité, du prestige. Les objectifs poursuivis par le prince et la noblesse, deux partenaires dans l’échange-don, peuvent diverger voire être antagoniques. La cohésion du modèle de largesse, la réalisation des libéralités, sont encore mises à mal par des contextes financiers difficiles, par des institutions comme la cour ou l’administration princière. Dans le champ politique, les princes sont alors appelés à se justifier, à rationaliser leur libéralité. Cependant, ces inconvénients n’ont pas fait disparaître le lien de largesse ni dans les faits, ni dans les représentations. Il jouit d’une exceptionnelle longévité
In France, in Burgundy and in England at the end of the Middle Ages, the princes prove to be generous in a structural way, almost by vocation. The aristocratic group is a privilegied beneficiary of their largesses. Liberality, puissamment anchored in a system of values, gives rise to the organization of a speech of ideological type. Maintining various comprehensions, mirrors of the princes, chivalric literature, chronicles, poems multiply advice and adressed recommendations of largesse to the princes. Avarice looks absolute burin, extravagance is stigmatized. On course for Largesse, often, the noble men must not be forgotten. Accounts and letters of gifts show that the noble group really received numerous gifts. Aristocracy, heterogeneous and divided group, appears in all its diversity. Gifts for service returned, by assistance, by friendship, during holidays, are a currency. In the circulation of given property, money enjoys an incontestable primacy, without being exclusive. At the same time, princely gifts are also the instrument of a domination. They are a system which shows a political building founded on the research of interest, attraction of material property, authority, prestige. Objectives followed by the prince by the prince and the nobility, two transactors in the gift-relationship, can diverge , or even be antipathetic. The cohesion of the model of largesse, the realization of he liberalities are still put in evil by difficult financial contexts, by institutions as the court or the princely administration. In the political field, the princes are then called to clear themselves, to rationalize their liberality. However, these disadvantages did not remove the link of largesse, either in facts, or in presentations. It enjoys a special longevity
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Trouvé, William. "Les listes de rois du haut Moyen Âge occidental. : Origines, diffusions, usages (Ve-ca. XIe s.)." Thesis, Angers, 2019. http://www.theses.fr/2019ANGE0050.

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Abstract:
Les listes de rois, rédigées dans le haut Moyen Âge occidental, sont des documents chronologiques qui dressent les noms des souverains ayant régné sur un même peuple. Les chercheurs ont principalement étudié ces sources pour déterminer les durées des règnes des souverains mentionnés. Nous nous proposons d’étudier ces textes selon une double perspective philologique et historique. Notre réflexion est élaborée à partir de trois axes de recherche : la rédaction des listes, leurs diffusions et leurs usages. Ils permettent de déterminer les spécificités de cette forme d’écriture. Dans un premier temps, nous étudions trois cas de listes qui accompagnent des codes de lois du haut Moyen Âge : la liste des rois des Lombards et l’Édit de Rothari, la liste des rois des Wisigoths et le Liber Iudiciorum, la liste des rois des Francs et la Loi salique. Nous restituons les logiques qui président à la rédaction et à la diffusion de ces documents et, ainsi, montrons que la copie de ces textes, qui exposent un discours sur le passé royal d’un peuple, répond majoritairement à des enjeux politiques et idéologiques. Dans un second temps, nous proposons une synthèse à propos des listes de rois. Nous tentons de déterminer en quoi ces textes relèvent d’une part d’héritage de la culture écrite romaine. L’identification des auteurs des listes permette de souligner les rôles octroyés à ce document au moment de sa création et les méthodes employées lors de la mise en liste. Il apparaît que l’élaboration et la circulation de ces textes répondent autant à des usages pratiques qu’à des enjeux mémoriels et politiques
The king-lists, written in the Early Western Middle Ages, are chronological documents that mention the name of the rulers that ruled over the same people. The researchers mainly studied these sources to determine the duration of those rulers’ reigns. We propose to study these texts from both a philological and historical perspective. Our thinking is based on three areas of research : the drafting of lists, their distribution and their use. It makes possible to determine the features of this form of writing. First of all, we study three cases of lists that go with civil codes laws from the Early Middle Ages: the list of Lombard kings and the Edict of Rothari, the list of Visigoth kings and the Liber Iudiciorum, the list of Frankish kings and the Lex salica. We explain why and how theses documents are written and disseminated and, from that, we show that the copying of these texts, which express an intention about the royal past of a people, meets both political and ideological issues. In a second step, we propose a synthesis about the king-lists. We try to determine why these texts are part of the Roman written cultural heritage. The identification of their authors makes it possible to highlight the roles assigned to this document at the time of its creation and the methods used during the listing. It appears that the elaboration and circulation of theses are for practical uses as well as memory and political issues
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Laborderie, Olivier de. ""Ligne de reis" : culture historique, représentation du pouvoir royal et construction de la mémoire nationale en Angleterre à travers les généalogies royales en rouleau du milieu du XIIIe siècle au début du XVe siècle." Paris, EHESS, 2002. http://www.theses.fr/2002EHES0074.

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Abstract:
Les généalogies en rouleau des rois d'Angleterre réalisées entre 1271 et 1442, principalement sous les règnes d'Edouard Ier (1272-1307) et Edouard II (1307-1327), constituent une source d'une grande richesse, et jusque là peu exploitée, pour l'analyse de la culture historique et des mentalités politiques dans l'Angleterre médiévale. Après avoir replacé ces généalogies dans leur contexte politique et idéologique en tentant de saisir ce qui avait pu favoriser leur éclosion, puis décrit leurs caractéristiques codicologiques, en consacrant une attention particulière à leur support original, le rouleau, cette étude analyse la genèse de ces premiers abrégés d'histoire anglaise en langue vulgaire, dont l'élaboration doit beaucoup à l'historien Matthieu Paris, moine à la grande abbaye bénédictine de Saint-Albans de 1217 à 1259. Ensuite, elle s'attache à l'analyse du succès de ces aide-mémoire historiques anonymes en essayant d'en établir la mesure et le rythme, d'en comprendre les raisons et de cerner autant que possible le public auprès duquel elles rencontrèrent ce succès, qu'on peut définir comme les élites politiques anglaises, à la fois laïques et ecclésiastiques. Parce qu'elles furent une des histoires d'Angleterre les plus diffusées au tournant des XIIIe et XIVe siècles, ces généalogies, de surcroît souvent illustrées, constituent un matériau privilégié pour l'analyse de la représentation du pouvoir royal, qui se révèle particulièrement ambiguë, entre propagande et miroir des princes ; cette analyse permet de dégager la conception originale de la légitimité qui sous-tend ces généalogies, une légitimité qui ne repose pas essentiellement sur le sang royal. Pour finir, cette étude cherche à voir le rôle que jouèrent ces généalogies dans la construction d'une conscience historique nationale au cours de cette période cruciale pour la mise en place de l'Etat moderne en Angleterre.
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Kambourova, Tania. "Le don dans l'image byzantine du souverain." Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0017.

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Abstract:
Le travail s'inscrit dans une approche interdisciplinaire, englobant à la fois une longue durée et une aire géopolitique large. Les sources primaires en sont principalement les images. Partant du concept du don selon Mauss, on note cependant une inversion fondamentale intervenue avec le christianisme. Il s'agit de montrer certains mécanismes fondamentaux de la société médiévale et du modèle chrétien construit et reconstruit dans la tradition byzantine à travers l'analyse des deux acteurs principaux de la société médiévale : Dieu et le souverain. Les deux parties de la thèse sont organisées autour de ces acteurs : la première concerne le don divin de la couronne, alors que la seconde traite du don du livre et du modèle réduit de l'église par le souverain. Ces "échanges" sont remis dans leur contexte eschatologique et sotériologique. Deux niveaux de lecture sont proposés : l'un concerne le phénomène et la manifestation du don, l'autre isole le geste du don dans l'image
This is an interdisciplinary work that covers a long chronological period and a large geopolitical area. It main source is based on images. The concept of the dissertation follows Mauss's gift but points out a fundamental inversion, which came with christianity. The goal is to explain some of the fundamental mechanisms in the medieval society and in the Christian's model constructed and reconstructed in the Byzantine tradition by analysing the two principal actors in medieval society : God and the Sovereign. The two parts of the dissertation are organised around these two actors : the first concerns the crown as a gift of God, and the second is about the gift of the book and the small model of the church by the sovereign. These "exchanges" are placed in their eschatological and soteriological context. Two levels of reading are proposed : one joints the phenomenon and the manifestation of the gift, the other one isolates the gesture of gift in the picture
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Alibert, Dominique. "Les Carolingiens et leurs images : iconographie et idéologie." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040331.

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Rodriguez, Juliana Eva. "Una "arquitectónica del poder". Christine de Pizan y la construcción del reino en la Francia bajomedieval." Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0090.

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Abstract:
Dans le cadre d’une étude sur la contribution des idées politiques du Moyen Âge, toute la question est de savoir comment la pensée de Christine de Pizan se détache des écrivain(e)s de son temps en édifiant une architecture du royaume assez novatrice pour l'époque. Pour ce faire, nous procédons à l’étude du régime monarchique dans les écrits politiques de Christine de Pizan au XVe siècle. Au cœur de sa pensée politique, le roi sage, figure émergente de la tradition cléricale du XIIIe siècle, semble devenir un roi architecte et son royaume une belle architecture, à l’instar d’une société politique parfaite. La sagesse, s’avère être cette puissance transformatrice de la société, qui agissant à diverses échelles du royaume transforme les structures du passé, profondément marquées par la tradition chrétienne. Cette forme d’intelligence, théorique et pratique, est d'une telle importance pour Christine, qu’on semble assister à toute une reconfiguration des rapports sociaux et des cadres de gouvernement. Si nous pensons la société à la manière d’une architecture vivante contenue en sa totalité dans l’Église du Moyen Âge, nous pouvons nous attendre à la fin de cette époque à la naissance des nouvelles configurations du social, tels que la ville, la principauté et le royaume. Or, c’est en s'appropriant la sacralité ecclésiastique que ces nouveaux pouvoirs se configurent. Grâce à ce processus, nous pouvons parler d’une souveraineté architectonique et, ainsi, d’une science gouvernementale, dont les origines remonteraient à l’époque médiévale et non pas à la modernité. Au bas Moyen Âge, la science politique naît avec Aristote et avec le développement des monarchies. Ce n’est pas aux modernes mais aux écrivains médiévaux que l’on doit l’introduction, l’interprétation, et la relance de la riche notion aristotélicienne de «science architectonique», voire de «l’architectonique», dont la trajectoire médiévale reste pourtant inexplorée. Le génie de Christine consiste à mettre en évidence le caractère concret de la science principale, la politique, en croisant les registres théorique et pratique, à travers les faits et les mœurs de Charles V particulièrement dans son livre Les fais et bonnes meurs du sage roy Charles V. L’auteure considère son roi comme un véritable «suppost», une sorte de matrice expérimentale à partir de laquelle réfléchir et forger la meilleure science de gouvernement. Cette conception scientifique ouvre la voie à une analyse entièrement expérimentale de la figure royale, qui nous permet de parler d’une rationalité gouvernementale liée à une conception instrumentale des sciences, déployée sur un plan contingent. C’est le cadre aristotélicien qui permet à l’écrivaine d’ouvrir, avec la politique, le plan des positivités terrestres et de penser la cité des hommes, sans recours au pouvoir ecclésiastique. En développant au maximum les prémisses de l’architectonique, avec la science principale ‒ la politique ‒ et les sciences subordonnées, l’écrivaine permet de faire un saut fondamental : l’évolution du traditionnel roi lettré des miroirs de prince au roi sage de nature aristotélicienne. Ainsi, il est possible d’envisager dans le roi sage de Christine un nouveau type d’architecte, dont le pouvoir ne dépend pas de son rôle à la tête de l'Église, ni du rituel du sacre aux mains de cette dernière. En d'autres termes, le roi sage de Christine est, en tant que connaisseur des causes premières, à la fois philosophe et théologien. Détenteur de la philosophie théorique et pratique, la sagesse du roi apparaît comme la substance de la royauté française en donnant forme au royaume de France. On peut ainsi établir que le roi architecte ‒ en tant que concepteur du royaume ‒ finit par neutraliser le pouvoir directif de l'Église, dans la remise en cause de sa capacité à être la seule institution apte à incarner la substance de la société chrétienne
In a time in which plenty academic works in the field of Literary and Gender Studies recognize certain involvement of Christine de Pizan in the political literature of the late Middle Ages, the study of her political thought in its whole complexity remains underdeveloped. For that reason, this study portraits the core of the multidimensional contribution of Christine de Pizan to the medieval politics, which is the critical understanding of an innovative and complex schema of power structuring. Her ideas went far away from the writers of her time by devising the royalty itself as a solid architectural system. To embrace her ideas is necessary to understand the reflections about the monarchy in her political writings of the early fifteenth century. At the heart of his political thought, the wise king, an emerging figure of the clerical tradition of the thirteenth century, seems to become a king architect and his kingdom a beautiful architecture, as a perfect political society. Wisdom itself seems to be a force of transformation in society by acting on the political and social structure of the past, deeply marked by the christian tradition. This form of intelligence, both theoretical and practical, produces a whole reconfiguration of social relations and government frameworks. If we think of society as a living architecture, totally contained in the church of the Middle Ages, we can expect at the end of this time the birth of the new social configurations, such as the city, the principality and the kingdom. Now, it is by appropriating the ecclesiastical sacrality that these new powers are configured. Due to this process, we can speak of an architectural sovereignty, as well as a governmental science, whose origins go back to the medieval era and not to modernity. It is not to the modern but to the medieval writers that we owes the introduction, the interpretation, and the revival of the rich Aristotelian notion of «architectonic science», even «architectonic», whose medieval trajectory remains unexplored. Christine’s genius consists in highlighting the concrete aspect of the principal science, by crossing theoretical and practical registers, through the facts and mores of Charles V especially in her book Les fais et bonnes meurs du sage roy Charles V. The author considers the figure of the “King” as a real «suppost», a kind of experimental matrix from which to create the best science of government. This scientific conception opens the way to an entirely experimental analysis of the royal figure, which introduced the idea of governmental rationality linked to an instrumental conception of science. The Aristotelian approach allows the writer to open the game of earthly positives and to think about the city of men, in other words, politics, without recourse to ecclesiastical power. By following the path marked by Aristotelians, Christine de Pizan went further than them in the application of aristotelian wisdom to her model of wise king. By developing as much as possible the premises of architectonics, with the main science ‒politics‒ and subordinate sciences, the writer enable to take a fundamental leap forward: a change from the traditional literate king of mirrors for princes to the wise king of aristotelian nature. As we can see the wise king of Christine de Pizan appears as a new type of architect, whose power does not depend on his role as the head of the Church, nor on the ritual of the consecration conducted by the ecclesiastics. In other words, the wise king of Christine de Pizan aware of the first causes, is at the same time philosopher and theologian. Owner of theoretical and practical philosophy, the wisdom of the king appears as the substance of the French royalty and gives form to the kingdom of France. The king as the architect of the kingdom breaks the power of the Church, by questioning his role of being the only institution capable of embodying the substance of Christian society
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Brun, Jenny. "Représentations du prince dans la fable animale (milieu du XIIIe siècle-fin du XVe siècle) : de l'éloge à la satire." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25811/25811_1.pdf.

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Žůrek, Václav. "L’usage comparé des motifs historiques dans la législation monarchique entre les royaumes de France et de Bohême à la fin du Moyen Âge." Paris, EHESS, 2014. http://www.theses.fr/2014EHES0141.

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Abstract:
C'est l'exploitation des récits l'instrumentalisation du passé au service, d'une part, des premier : rois Valois sur le trône français et, d'autre part, de la dynastie de Luxembourg en Bohême, ainsi que leur comparaison qui constitue le sujet de cette thèse. La comparaison entre les deux milieux et les deux discours historiques peut être menée plusieurs niveaux. Au niveau des motifs en tant que tels, il y en avait très peu commun. En effet seul Charlemagne occupait une place importante dans les deux milieux. C'est plutôt la typologie de ces motifs qui aide à la comparaison. Les deux cours se servaient de personnes (ancêtres fondateurs, rois ou princes anciens et saints), de lieux ou d'événements. La stratégie de légitimer la dynastie des Valois sur le trône de France reposait surtout sur Ia mobilisation des motifs historiques dans un contexte favorable aux rois, et en même temps, elle insistait sur l'identification forte de la dynastie avec les habitants du royaume et donc elle contribua largement à la création de l'identité française à la fin du Moyen Âge. En revanche, le cas de Charles IV de Luxembourg présente quelques différences. Le double caractère de soi règne et de la stratégie de la légitimité des Luxembourg à la fois en Bohême et dans l'Empire l'obligeait à utiliser une stratégie plus complexe. L'usage lié à la Bohême et aux ancêtre přemyslides, fut constamment complété par une dimension universaliste, qui insistait non seulement sur le fait que Charles IV était Empereur légitime, mais surtout que son origine et le passé illustre auquel il pouvait être lié par ses ancêtres, le prédestinaient à la dignité impériale
Concepts of the past are most important parts in the formation of individual and collective identity. Medieval authors deliberately used the historical narratives as a means of enhancing the cohesion of respective social groups, usually the ruling strata of society. The doctoral thesis focuses on re-interpretations and exploitations of the past in France and Bohemia during the 14th century, on the role of historical narratives in the self-representation of the ruling dynasties Luxembourg and Valois, and on the perception of their own role in the history. Main question of the thesis is the social and literary context of the shaping of an imagination of the past: detailed comparison between the Latin and vernacular historiographical production at the royal courts in France and Bohemia bring also crucial observations as to the ways and means of cultural transfer between the respective centres of power
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Parizot, Olivia. "Les écuyers tranchants et la découpe des aliments dans les péninsules ibérique et italienne à la fin du Moyen Age et à la Renaissance." Thesis, Tours, 2016. http://www.theses.fr/2016TOUR2012/document.

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Abstract:
À la croisée de l’histoire sociale, culturelle et des techniques, ma thèse porte sur la fonction de l’écuyer tranchant, un office majeur de l’hôtel royal à qui incombait la tâche délicate de découper et servir les mets à la table du seigneur. Exercé au départ par les grands du royaume, l’office se professionnalise à la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance, comme l’atteste la multiplication des traités de découpe en Espagne et en Italie durant cette période. Le présent travail permet de mesurer, d'une part, les interférences textuelles entre les traités de découpe ibériques et italiens et de s'interroger, d'autre part, sur la correspondance entre les normes et la pratique. A la fin de comprendre la place occupée par l'écuyer tranchant au sein de l'hötel royal, et le rôle qu'il a pu jouer dans l'entourage du roi, un travail prosopographique a été mené durant les règnes des rois aragonais Ferdinand Ier et Alphonse le Magnanime
My thesis is at the crossroads of social, cultural and technical history. It deals with the duties of the Carver who was entrusted with a major assignment at the Royal Court: he was given the delicate task of carving the food and serving up the dishes for his Lord. This office, first performed by the royal officers, became a profession at the end of the middle ages and at the beginning of the renaissance period, as may be attested by the multiplication of treaties on carving in Spain and Italy issued at that time. The antiquity of the "arte Cisaria" (1423) led me to wonder about its influence on the Catalan and Italian treaties on carving which were the established later on. I also wondered afterwards to what extent these treaties complied with the established norms. Finally, in order to understand the place occupied by the Carver within the Royal Court, I focused my prosopographic research on the reigns of the Aragonese kings Ferdinand I, and his son Alphonse V
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Vernois, Alice. "La figure du Roi David dans les arts de la fin du Moyen Age et de la Renaissance en Europe : un miroir du Prince ?" Thesis, Aix-Marseille, 2013. http://www.theses.fr/2013AIXM3072.

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Abstract:
Cette thèse porte sur l'étude approfondie des représentations de l’un des plus grands rois de l’Ancien Testament : le Roi David. Ce travail doctoral s’efforcera d’étudier cette figure biblique dans les arts de la fin du Moyen Age et de la Renaissance en Europe. Les Saintes Écritures relatent la vie mouvementée de cet illustre homme et roi qui devint, au fil des siècles, un modèle de référence pour les souverains chrétiens. En effet, celui-ci correspondait parfaitement aux aspirations des princes qui souhaitaient prendre exemple sur ce royal personnage et s’approprier son prestige. Dans cette problématique, la figure de David s’est révélée être d’une incroyable richesse : successivement petit pâtre, oint du Seigneur, valeureux guerrier, musicien d’excellence et psalmiste, souverain d’Israël, amoureux transi, pécheur puis pénitent. Toutes les facettes de ce personnage si complexe ont inspiré, chacune à leur manière, la pensée spirituelle, politique et artistique
This thesis focuses on the in-depth study of representations of one of the greatest kings of the Old Testament: the King David. This doctoral work will try to explore the biblical figure in the arts of the late Middle Ages and the Renaissance in Europe.The Holy Bible recounts the eventful life of this famous king who became, through centuries, a model for the christian princes. In fact, it fit perfectly with the aspirations of the princes who wanted to follow the example of this royal personage and appropriate his prestige. In this issue, the figure of David appears to be incredibly wide, successively little shepherd, anointed, brave warrior, musician and psalmist, king of Israel, women lover, sinner and penitent. Every facets of this complex character inspired, each in its own way, spiritual, political and artistic thought
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Martin, Vincent. "LA PAIX DU ROI : paix publique, idéologie, législation et pratique judiciaire de la royauté capétienne de Philippe Auguste à Charles le Bel (1180-1328)." Thesis, Lyon 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LYO30056.

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Abstract:
Si le renouveau de la paix royale au XIIème siècle est un phénomène bien connu, son essor aux XIIIème et XIVème siècles l’est beaucoup moins. La période qui sépare les règnes de Philippe Auguste à celui de Charles IV – 1180-1328 – est pourtant décisive. Durant celle-Ci, à la faveur d’un contexte très favorable à sa cause, la royauté parvient à s’ériger en éminente pacificatrice de son royaume, achevant de substituer la paix du roi à l’ancienne paix de Dieu. Le défi est pourtant immense. Plus que tout, trois méfaits ne cessent de menacer la paix, contre lesquels la couronne s’efforce de lutter : les violences sur les chemins, les associations illicites, et les guerres qui surviennent entre les sujets. Dans le combat résolu qu’ils engagent, les rois sont portés par la pensée des ecclésiastiques. Ces derniers, s’appuyant sur l’antique tradition carolingienne, ne cessent de rappeler aux rois que leur devoir est d’œuvrer pour la tranquillité du royaume. La renaissance aristotélicienne renforce considérablement cette rhétorique : à la lumière d’Aristote, les théologiens soulignent que la paix est la fin même de l’office princier. Galvanisés par ces discours édifiants, les Capétiens s’efforcent de réfréner les tumultes provoqués par les agresseurs de chemins, les fauteurs de guerre, et les sujets qui se liguent. À cette fin, ils n’hésitent pas à agir en législateurs : ils édictent de nombreuses lois, tantôt locales et tantôt générales, qui condamnent avec fermeté ces dangereux malfaiteurs. L’application de ces préceptes se heurte à de fortes résistances, et la politique royale connaît de réelles vicissitudes. Néanmoins, l’action menée par la royauté renforce sa vocation souveraine et porte des fruits concrets. Les actes de la pratique montrent que les serviteurs de la couronne entreprennent de nombreuses actions visant à sanctionner les fauteurs de troubles violant la légalité royale. Le volontarisme de la couronne est tout particulièrement évident à l’encontre de ceux qui livrent des guerres, régulièrement condamnés pour leurs entreprises devant la justice royale. En définitive, en déployant ainsi tous leurs efforts, les Capétiens parviennent à instaurer un ordre pacifique sur lequel peuvent ensuite s’appuyer leurs successeurs Valois
If the renewal of king's peace in the XIIth century is a well-Known phenomenon, its blossoming in the XIIIth and XIVth centuries is less-Known. The period which separates the reigns of Philippe Auguste and Charles le Bel – 1180-1328 – is none-The-Less decisive. During this period, thanks to a very favourable context, kingship succeeded in setting itself up as an eminent peacemaker of its kingdom, finally replacing God's ancient peace by king's peace. The challenge is however immense. More than anything, three ravages which the crown strives to fight, keep on threatening the peace : violence on public roads, illicit associations, and wars arising between subjects. In their resolute fight, kings are prompted by the thought of the ecclesiastics who, referring to the antique carolingian tradition, insist on reminding the kings that their duty is to work for their kingdom tranquillity. The Aristotelian rebirth reinforces this rhetoric : in the light of Aristote, theologians emphasize that peace is the ultimate aim of a king's duty. Stimulated by those enlightened discourses, Capetians try to refrain the disorders generated by highwaymen, warmongers and subjects who join together. To achieve their goal they choose to act as legislators : they enact numerous laws, some local some general, which firmly condemn those dangerous criminals. Enforcing these precepts meets with strong resistances and king's policy goes through real vicissitudes. However, king's policy reinforces its sovereignty and achieves concrete results. Sources attest that the crown servants undertake numerous actions aiming at punishing troublemakers who violate the king's law. The crown determination is particularly obvious against those who take part in wars and are regularly sentenced for their wrongdoing by the king's justice. Hence by expending all their efforts and energy, Capetians succeed in establishing some peaceful order on which their successors the Valois will lean
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Cazzato, Silvia Valentina. "Idéologie royale iranienne au début de l'Islam." Paris, EPHE, 2013. http://www.theses.fr/2013EPHE4029.

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Abstract:
Ce travail de recherche vise à étudier comment l’idéologie royale de l’époque sassanide a été élaborée et adaptée à l’époque musulmane. On analyse les differents aspects de la royauté sassanide, l’irradiation de son influence culturelle dans les périphéries de l’Empire et même au-delà, pour arriver au moment de la conquête arabe et la difficile transition et conversion à l’Islam des peuples iraniens et de ses élites. Avec l’étude de la «renaissance persane» sous les ‘Abbāsides, nous pouvons voir que certaines traditions pré-islamiques n’avaient pas disparu mais, au contraire, furent même encouragées par les dynasties iraniennes qui se rendirent indépendantes à partir de la seconde moitié du IXe siècle. Les régions caspiennes, anciennes provinces de l’Empire sassanide au caractère tout à fait spécial dans le panorama de l’islamisation, occupent une place importante dans notre essai. À travers des données recueillies, on analyse finalement la synthèse perso-islamique opérée par les deux grandes dynasties antagonistes du XIe siècle, les Būyides et les Ghaznévides, qui on emprunté beaucoup d’éléments au cérémoniel sassanide
This research is aimed to investigate how the royal ideology of Sasanian era was developed and adapted in the Muslim era. It analyses the different aspects of Sasanian kingship, the expansion of its cultural influence in the outskirts of the Empire and beyond, the Arab conquest, the transition and conversion of Iranian people and its élites. Studying the «Persian renaissance» during the early ‘Abbāsid caliphate, we can see that some pre-Islamic traditions did not disappear, but, on the contrary, were encouraged by the Iranian dynasties which became independent from the second half of the 9th century. Caspian regions, former provinces of the Sasanian empire with a quite special role in the panorama of Islamization, occupy an important place in our essay. Through the collected data, we finally analyse the Perso-Islamic synthesis operated by the two major antagonist dynasties of the 11th century, the Būyids and Ghaznavids, which borrowed a lot of elements from Sasanian ceremonial
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Muhesen, Nibal. "Le roi et son image en Syrie au bronze moyen : étude iconographique d’après la glyptique et d’autres documents figurés et écrits." Thesis, Lyon 2, 2009. http://www.theses.fr/2009LYO20081.

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Abstract:
Cette thèse a pour objectif d’étudier la « figure du roi » au travers de documents iconographiques du Bronze Moyen provenant de Syrie et plus particulièrement de la zone du Moyen-Euphrate entre 2000 et 1600 avant J.-C. Notre approche méthodologique qui porte prioritairement sur la partie sigillaire a consisté à établir un corpus des plus exhaustifs possibles des sceaux publiés et inédits. Après l’établissement de celui-ci, nous opérons des comparaisons pour dégager les caractéristiques de la représentation royale. Dans un premier temps, le cadre spatio-temporel retenu pour cette étude est défini. Par la suite, nous effectuons une mise au point sur l’histoire de la question de la représentation royale dans la glyptique syrienne du Bronze Moyen. Le développement qui suit constitue la cible de cette thèse. Les objets qui servent de base à cette étude viennent de vingt cinq sites archéologiques différents. Les sites de Moyen-Euphrate syrien, divisés en deux ensembles : partie nord et partie sud couvrant la zone-clefs de cette thèse, ont été soigneusement étudiés. En suite et afin de mieux définir la « figure du roi » dans l’iconographie, des moyens d’identification ont été décrits. La suite comporte une analyse de toutes les représentations de la figure royale, que nous tentons de définir par type. Le paragraphe présentant chaque modèle est suivi d’un tableau montrant l’aire de diffusion au sein de l’aire géographique concernée. Suit un inventaire des multiples aspects de cette iconographie royale, au sein duquel on distingue des : 1. Modèles dominants: le roi à la masse d’arme, le roi vainqueur, le roi-orant et le roi de type « syrien » que nous tentons de définir.2. Modèles dérivés: le roi-porteur d’offrande, représentation royale avec une divinité féminine, le roi-pharaon de type «égyptien », les cas de la duplication de la figure royale.Par ailleurs, une étude des « personnages incertaines » que nous expliquons est également menée. La présence de multiples divinités aux côtés des rois nous a conduits à en effectuer l’inventaire et à en préciser dans la mesure du possible l’iconographie, le cas échéant à préciser la nature des cultes qui leur étaient rendus. Cependant, des questions importantes, comme la compréhension de certaines réalités telles que la question complexe de la« divinisation ou non du personnage royal », ou les « Dieux politiques » ont été posées. De plus, des problèmes tels que le rite de « kispûm » ou la question de « Dieu de roi » ont été abordés. Parmi nos conclusions les plus importants on souligne : l’aspect régional de l’image du roi en Syrie, le rapport particulier entre l’archéologie et la glyptique ainsi que le fond sacré de l’idéologie royale de l’époque amorrite. Au niveau de l’organisation de cette thèse, notre premier volume est accompagné d’un second volume représentant le catalogne des matériels étudiés (env. quatre cent objets). L’ensemble est complété par deux index et de références bibliographiques
This doctorate (Ph.D.) research studies the representation of Syrian kingship during the Amorite period (ca. 2000-1600 B.C), essentially through glyptic evidence, supplemented by sculpture, wall paintings, and written sources from the same period.The methodology is anchored in defining a precise iconographic corpus. This step allows revising past conclusions and establishing new identifications for the king’s role in artistic as well as written expressions. A major accomplishment is the identification of objects that derive from clear, stratified archaeological and cultural contexts.After defining the spatial and chronological frame, this study offers a brief review of the twenty-five sites from which the material is assembled. They are located in the Middle-Euphrates valley and divide between those in the northern and southern segments. Characteristics for a “royal figure” are identified and then defended. Iconography permits to distinguish diverse models of the “royal for each of the Syrian regions.The models divide into:1. Main models: the warrior-king, the king-priest, the king of “Syrian” type2. Secondary models: royal officials or the “duplication” of the royal figureIn addition, “miscellaneous figures” are also classified.On the epigraphic level, in this study there is liberal use of information from the archive of Mari as well as of Terqa, discriminating between materials derived from epistolary, religious, political, and administrative documents, as the ruler acts as a priest, dispenser of justice, warrior, or family man. A special chapter is devoted the interrelationship among kings, personal, and state gods. There is also consideration of funerary rituals (kispum) as well as the issue of the deified king.The study takes into consideration the following issues: the royal image of Syrian kings as shown in regional perspective, the connection between glyptic arts and their archeology, and the religious basis of royal ideology during the Amorite period.The dissertation includes a second part in which is catalogued over four hundred iconographic objects or images. Bibliographic references and indexes complete the study
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Stüber, NihaTill. "Der inkriminierte Bischof : Verratsvorwürfe und politische Prozesse gegen Bischöfe im westgotischen und fränkischen Gallien (466-687)." Thesis, Strasbourg, 2018. http://www.theses.fr/2018STRAG031.

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Abstract:
Cette étude s’occupe des conflits de loyauté entre des évêques et rois en Gaule post-romaine. L’objectif principal de ce travail sont vingt études de cas (= « Teil II »), ayant pour but d’analyser des situations conflictuelles pendant les années entre 466 et 614 (ainsi couvrant les périodes wisigotique et mérovingienne). Les résultats de ces études de cas sont résumés et évalués dans la troisième partie de la thèse présente (« Teil III »). Contrairement à la recherche antérieure sur l’épiscopat tardo-antique et haut-médiéval, l’approche adoptée ici mit en exergue des situations dans lesquelles le pouvoir épiscopal a été challengé et – à l’occasion – rompu. D’un côté, l’examen les constellations spécifiques politiques et sociales qui engendraient les conflits étudiés s’est révélé particulièrement instructive (« Teil III », chapitre 1). De l’autre côté, l’analyse comparative de la manière dont les contemporains ont géré des situations de ce genre (il s’agissait toutefois des phénomènes assez fréquents) promet des perspectives nouvelles quant à la relation entre des rois et leur épiscopat (« Teil III », chapitre 1)
The present study focuses on loyalty conflicts between bishops and kings in post-roman Gaul. The main focus is on twenty case studies (= “Teil II”), aiming to analyze specific conflict situations during the years between 466 and 614 (hence covering the Visigothic and early Merovingian periods). The results of these case studies are summarized and evaluated in the third part (= “Teil III”) of this study. In contrast to previous research on the late antique and early medieval episcopate dealing with different aspects of episcopal authority, the adopted approach consciously looks at situations where episcopal power was challenged and sometimes broken. On the one hand, the question of what kind of political and social constellations did bring about the studied conflicts proved to be instructive (“Teil III”, chapter 1). On the other hand, looking at the way how contemporaries dealt with these situations (that were, after all, quite common phenomena) promises instructive insights into the relation between kings and their episcopate (III, 2)
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Dectot, Xavier. "Une politique de la mort : tombeaux royaux de la péninsule ibérique : XIe - XIIIe siècle." Paris, EPHE, 2001. http://www.theses.fr/2001EPHE4012.

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Abstract:
La mort des souverains de la péninsule ibérique fait l'objet d'une mise en scène reposant sur divers modèles : le rituel mis en place par Ferdinand 1er de Castille et Léon au XI e siècle, les récit de la mort du Cid et des personnages bibliques. A partir du XII e siècle se mettent en place des techniques d'embaumement. Les souverains sont enterrés avec un mobilier funéraire important, voire avec le squelette d'un animal familier. L'enterrement se fait près des reliques, quitte à procéder à une translation de celle-ci. Les souverains s'assurent aussi de recevoir des prières, parfois en détournant les routes du pèlerinage. Il faut aussi noter une transformation du statut des rois défunts : à la fin du XIIIe siècle, ils se voient prêter des vertus proches de celles des corps saints. D'abord enterrés dans les bâtiments adjacents aux églises, les souverains imposent leurs tombeaux au sein de l'édifice, entre cœur et sanctuaire, voire dans le rond-point. Le choix du lieu de sépulture repose sur deux types de considérations : l'affirmation dynastique qui se traduit par une sépulture auprès de prédécesseurs auxquels le souverain tient à se rattacher, et la dévotion personnelle qui seule permet d'expliquer le choix d'une sépulture à l'écart de tout prédécesseur où successeur. A l'intérieur même de l'édifice, l'emplacement relatif des tombes opère, par les relations qu'il crée, une réécriture de l'histoire, dimension que les réorganisations de tombeaux rendent encore plus sensibles. Un phénomène marquant est la fidélité des souverains de la péninsule au sarcophage, qui est employée jusque dans les premières années du XIV siècle. Il ne s'agit pas là cependant d'un choix exclusif, puisque certains commanditaires optèrent pour des gisants ou pour des dalles. A mesure qu'elles se développe, l'iconographie des tombeaux témoigne de leur dimension politique par ses multiples références au souvenir de l'imperium wisigothique ou, parfois, à l'empire carolingien ou germanique
The death of the kings of the Iberian Peninsula was organized as a show, with various references: the ritual initiated by Fernando the 1 st of Castilla and Leon in the XI th century, the tales of the death of the Cid and the biblical models. From the XII th century on, embalming procedures are found. Kings were buried with important funerary material, including in some cases a pets' skeleton. Burial was made near of relics, moving those across the land if necessary. Kings also made sure of receiving prayers by modifying pilgrimages roads. One must also note a change in the status of the dead kings who, at the end of the XIII th century, have virtues approaching those of a dead saint. Buried at first in buildings adjoining the church, their kings eventually obtain to be buried inside the church, between the choir and the altar or even in the sanctuary itself. The election of the burial place has two directing principles: the expression of the dynasty, through a burial near important predecessors and personal devotion, which is the only explanation for some sepultures far from other kings. Inside the building, the relative location of the tombs instigates, through the relations it creates, a rewriting of history, a dimension which the reorganization of toms make even more clear. An important phenomenon is the fidelity of Iberian kings to the sarcophagus, which remains in use up to the early XIV th century. Nevertheless, some kings choose other forms, like recumbent figures or tomb slabs. As the iconography becomes more complex, it underlines the political dimension of the tombs, multiplying references to the wisigothic imperium or to the Carolingian or Germanic empire
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