Academic literature on the topic 'Rites et cérémonies – France – 16e siècle'

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Journal articles on the topic "Rites et cérémonies – France – 16e siècle":

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Cressy, David. "Death and the social order: the funerary preferences of Elizabethan gentlemen." Continuity and Change 5, no. 1 (May 1990): 99–119. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000003891.

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Abstract:
Cet exposé utilise les testaments de gentilshommes d'Essex pour étudier les cérémonies funéraires en vogue en Angleterre pendant la seconde moitié du 16e siècle. Plusieurs rites traditionnels ont survécu la Réforme et aussi dans certains cas, les trente jours ou le mois du ‘souvenir’. Les pratiques réformatrices étaient lentes à se propager. Alors que certains membres de la noblesse proclamaient leur aversions de toute ‘pompe’, d'autres spécifiaient la panoplie complète des cérémonies: vêtements de deuil, cortèges funèbres, distributions charitables, fêtes communautaires et le verre à vider solennellement en souvenir du défunt. Les testateurs se souciaient souvent autant de l'endroit où reposerait leur dépouille, soit á proximité de leurs ancêtres ou parents et alliés, soit dans un lieu consacré ou socialement important, que du sort de leur âme. On peut mieux comprendre ces coutumes á partir des observations anthropologiques modernes. Les funérailles des gentilshommes élisabéthains non seulement disposaient d'un cadavre, mais elles servaient encore á souligner certaines valeurs, telles que la décence, la réputation, la continuité de la famille, l'hospitalité ainsi que d'autres piliers de l'ordre moral et social.
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Mahdavi Zadeh, Mojgan. "La mise en scène des pièces de théâtre européennes par Ali Raffi en Iran et Circulation des savoirs entre la France et l’Iran." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 5 (February 13, 2020): 6–20. http://dx.doi.org/10.29173/af29394.

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Abstract:
Résumé Des traces de diverses cérémonies plutôt rituelles datant de l'Antiquité prouvent la fertilité de l'histoire du théâtre persan. Il y a eu même à cette époque des échanges culturels entre l'Orient et l'Occident. Au cours des siècles, les rites traditionnels ont cédé la place à des genres de théâtre populaire tels les farces, les comédies, les marionnettes, les imitations mimétiques, …etc. Puis, des conteurs se sont mis à réaliser les récits à épisodes basés sur des histoires épiques, de divers romans picaresques, des lamentations pour les Imams martyrisés, sur des places publiques ou dans des maisons de thé. Ce n'est qu'au XIXe siècle que le théâtre moderne d'inspiration occidentale a été créé par les témoignages des étudiants envoyés en Europe pour se spécialiser en diverses technologies occidentales. En 1886, une première salle de théâtre a été construite à l'École Polytechnique de Téhéran (Dâr Ol- Fonûn), où la traduction du Misanthrope de Molière, y a été mise en scène en 1889. Sous le règne des Pahlavis, fut créé un théâtre nationaliste, se référant au passé préislamique de l'Iran. Puis, vu que les iraniens diplômés en études théâtrales et cinématographiques des universités, des grandes écoles et des conservatoires européennes se sont mis à traduire les pièces de théâtre étrangères, les pièces ont pris un air socio-politique. Sous la Révolution islamique, le théâtre a vécu plusieurs périodes de détente et de tension. Et enfin, depuis 1997, une autorisation de la mise en scène des pièces de théâtre a été émise de nouveau. Ali Raffi, iranien contemporain, dont la dernière réalisation théâtrale à Téhéran date du mois de Janvier 2019, a su exposer l'essentiel de sa conception esthétique par le mépris total des conventions scéniques mises en pratique en Iran. L'esthétique de ses pièces a suscité des discussions sans nombre. Il a toujours privilégié la couleur, le mouvement et l'intuition. Il a eu une influence considérable sur la mentalité du peuple iranien par la mise en scène des pièces de théâtre françaises ou européennes traduites vers le français. Notre problématique consiste à mettre en évidence les échanges interculturels qui se sont effectués entre l'Iran et la France grâce à la mise en scène des pièces de théâtre européennes en Iran et de voir l'innovation créative et le rôle d'Ali Raffi dans l'enrichissement de ces transferts culturels et artistiques. Notre but est de mettre en relief la circulation des savoirs, issue de la mise en scène des pièces de théâtre françaises par les réalisateurs iraniens, en particulier par Ali Raffi en Iran, de démontrer l'omniprésence des grands auteurs dramatiques, tragiques et comiques français dans ce pays, et de dévoiler que les élites intellectuelles iraniennes vivent en symbiose permanente avec ces éminents auteurs français. Mots clés: Circulation des savoirs France-Iran, Échanges culturels, Mise en scène, Ali Raffi, Pièces de théâtre européennes, Francophonie, Conception esthétique

Dissertations / Theses on the topic "Rites et cérémonies – France – 16e siècle":

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Lardellier, Pascal. "Les entrées royales, d'un évènement à son discours : médiation rituelle et rhétorique de l'idéalité : sur deux paradigmes lyonnais, 1595-1600." Lyon 2, 1993. http://www.theses.fr/1993LYO20023.

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Abstract:
Cette thèse analyse les médiations rituelles et discursives, par lesquelles le pouvoir s'est donne comme idéal et éternel à la fin du 16e siècle. Nous basons notre étude sur un rite politique majeur, l'entrée royale. La première partie de la thèse s'intéresse au rite en tant que secteur de communication social. Nous retraçons une généaologie de ces faits rituels. Nous nous intéressons ensuite au récit édité à propos de l'entrée, a ses conditions de rédaction, d'édition, à sa rhétorique. Cette thèse concerne donc l'histoire des médias de l'information, de la communication politique, des médias ainsi, que les stratégies discursives et rituelles du pouvoir monarchique
This thesis analyzes the kirds of mediations ( rhetorical and ritual by which the monarchic french institutions presented themselves as ideal and eternad. The study is based on a major political ritual " royal entrees ". The first part of this thesis studies rite as an agent of social communication. We also follow the history of these ritual facts. Then, we study the texts edited about this ritual, their conditions of wriking, their rhetoric go, this thesis concerns the history of medias, of information and communication, as the textual and ritual strategies of monarchic power
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Balmont, Michel. "Sémiotique du mot de passe : un exemple, les rituels maçonniques français entre 1725 et 1830." Rennes 2, 1992. http://www.theses.fr/1992REN20009.

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Abstract:
Donner un mot de passe ne consiste pas en un simple échange de paroles, mais donne lieu à un rituel complexe, composé de gestes aussi bien que de mots. Ce dernier doit être considéré comme un texte, justifiable d'une analyse sémiotique. La fonction de ce rituel apparaît triple. Il s'agit bien sur de vérifier la qualification de celui que veut entrer, mais également de l'intégrer, des la porte, a la communauté. Enfin le rituel énonce les règles de la communication dans le groupe
To use a password is not only an exchange of words. In fact it is a complex ritual, mixing words and gestures. It must be considered as a text which can be understood through a semiotic analysis. This ritual has a triple function. Of course it is meant to check the qualification of the one who wants to enter, but also to integrate him, as he is standing in the doorway, into the community. At last, the ritual states the rules of communication in the group
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Dalisson, Rémi. "De la Saint Louis au cent-cinquantenaire de la révolution : fêtes et cérémonies publiques en seine-et-marne (1815-1939)." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010702.

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Abstract:
Entre 1815 et 1939, une sociabilité festive émergea, moteur de la démocratie locale et espace de dialogue entre le peuple et les pouvoirs politiques. La restauration et la monarchie de juillet impulsèrent ce nouveau code festif. Le régime des bourbons révéla l'impossibilité de revenir en arrière, tandis que celui des Orléans introduisit la laïcité civique dans les fêtes publiques novatrices. Mais ces deux régimes ne purent aller au bout de leur logique face aux résistances monarchiques et aux contestations sociales. La période napoléonienne (1848 à 1870) vit l'essor d'une fête renouvelée par des pratiques locales et associatives. La IIe république réintroduisit un ferment populaire dans la fête, tandis que le IIe empire toléra paradoxalement une liberté festive annonciatrice de modèles nouveaux. Pendant ces quatre régimes, la sociabilité festive, révélée par les incidents, s'approfondit et se complexifia. La troisième république couronna cette évolution en parvenant à modifier les textes fondateurs pour imposer un projet cohérent et civique. Elle proposa une nouvelle gamme de célébrations, de plus en plus locales et associatives qui diffusèrent la fête dans les campagnes, gage de républicanisation. Les programmes complets annoncèrent alors la mercantilisassions de l'évènement et les pratiques actuelles. Enfin, le peuple se réappropria l'instant festif pour y exposer ses revendications qui portaient en germe l'affaiblissement du civisme festif. Cette évolution fut le fruit d'une lente maturation (125ans), d'héritages anciens (religieux et patronaux) et de permanences nombreuses entre les cinq régimes politiques, faisant de la fête publique un excellent lieu et vecteur de sociabilité
Between 1815 and 1939, a festive sociability emerged, which was the mover of local democracy and an opportunity of dialogue between the people and the political institutions. The restoration and the july monarchy gave an impulse to this new festive code. The bourbon regime revealed that it was impossible to regress, whereas the orleans regime introduced secularism into the innovative public feasts. But those two regimes failed to follow their ideas through to their logical conclusion because they were confronted with monarchistic resistances and social protests. The napoleonic period (from 1848 to 1870) saw the expansion of a feast renewed by local and associative practices. The second republic reintroduced a popular ferment in the notion of feast, whereas the second empire paradoxically tolerated a festive liberty which announced new models. During those four regimes, festive sociability, revealed by various incidents, became deeper and more complex. The third republic achieved this evolution by succeeding in changing the fundamental texts to laws down a coherent civic plan. It suggested a new range of more local and associative celebrations which spread the notion of feast among country people - a proof of republican feelings. Then the exhaustive programmes forecast the mercenary aspect of that event and the present practices. Eventually the people took over that festive moment to airs its demands wich contained the seeds of a weakening of a festive public-spiritedness. That evolution was the fruit of a slow maturation (125 years), of old inheritances (coming from the clergy and the patron saints), and of numerous permanent trends between the five political regimes, turning the public feast into an excellent place of means of sociability
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Fallateuf, Cécile Marie. "Le mariage des rois de France (1600-1770)." Clermont-Ferrand 2, 2008. http://www.theses.fr/2008CLF20007.

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Abstract:
Motivé par des ambitions politiques nationales et internationales, le mariage des rois de France suit un rituel de plus en plus codifié au cours du XVIIe siècle. Afin de comprendre les rouages de ce cérémonial et les incidences politiques qui en découlent, il faut analyser les différentes étapes qui le composent. Le mariage royal revêt une double définition de contrat civil et de sacrement. Le contrat formalise les accords diplomatiques ou territoriaux entre les deux royaumes et règle la nouvelle existence juridique de la mariée en tant que reine de France. Quant à la cérémonie religieuse, elle est organisée en trois temps : l'union par procuration dans le royaume de la princesse, le voyage de la mariée jusqu'en France, et enfin le renouvellemnt du sacrement en présence des deux époux. Ce temps hors norme est l'occasion de se réjouir et de festoyer. Les réjouissances sont très importantes dans le cérémonial matrimonial car elles participent à la communion du peuple et du pouvoir monarchique, tout en renforçant les liens sociaux et hiérarchiques. La nécessité d'asseoir la figure du roi comme chef souverain et divin, appelle l'élaboration de cérémonials d'Etat venant conforter et définir le pouvoir. Dès Henri IV, le pouvoir voit dans le mariage un moyen de véhiculer des messages politiques et ainsi, par le biais d'une propagande ciblée, de construire ou redire l'image idéale du monarque et de son épouse dans le système monarchique. L'enjeu de cette thèse est de savoir si le mariage du roi de France peut être considéré comme un cérémonial d'Etat, au même titre que ceux étudiés par Kantorowicz et ses disciples
Motivared by national or international political ambition, the marriage of the kings of France follows a ritual more and more codified in the course of the XVIIth century. To understand the ceremony and his political impact, it is necessary to analyse different stages which compose it. Royal marriage dresses a double definition of civil contract and sacrament. The contract formalizes diplomatic or territorial agreements between both kingdoms and regulates the new juridical existence of the bride as queen of France. As for the religious ceremony, it is organized at three time : the union by proxy in the kingdom of the princess, the trip of the bride until France, and finally the renewal of sacrament in the presence of both couple. This nonstandard time is opportunity to be delighted and to feast. Celebrations are very important in the conjugal ceremony because they participate in the communion of the people and monarchic power, while reinforcing social and hierarchic links. The necessity to sit the face of the king as divine and sovereign leader, calls elaboration to edit State ceremonies coming to reinforce and to define power. From Henri IV, power sees a means in marriage to transport political announcements and so, by means of a directed propaganda, to construct or repeat the ideal picture of the monarch and his wife in the monarchal system. The stake of this thesis is to known if the marriage of the king of France can be considered to be a State ceremony, in the same capacity as those studied by Kantorowicz and his followers
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Tenne, Pierre. "L’harmonie du Prince. Musique, sacré, pouvoirs dans les cours de Paris et Florence (vers 1560-vers 1610)." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUL155.

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Abstract:
À partir d’une démarche transdisciplinaire, notamment entre histoire et musicologie, cette thèse interroge les usages politiques de la musique sacrée dans les cours de Florence et Paris entre 1560 et 1610. En suivant l’angle du spectacle musical, il s’agit de démontrer tout d’abord qu’apparaissent dans la période de nouvelles formes de spectacles musicaux dans les cours considérées, comme en attestent les écrits humanistes comme les réformes ecclésiastiques menées par les synodes et conciles provinciaux. Ces spectacles musicaux permettent de répondre aux crises religieuses et politiques que rencontrent les princes, notamment les rois de France, en constituant une représentation du pouvoir souverain moins dépendante des contraintes sacramentelles inhérentes à la liturgie. Dans un deuxième temps, il s’agit de retracer comment les princes se sont dans la période dotés des moyens de produire de tels spectacles musicaux servant à exalter leurs propres pouvoirs. À travers les organisations institutionnelles des chapelles et de la musique de cour, émerge ainsi une sécularisation de la musique sacrée servant les cérémoniaux princiers. Cette sécularisation repose notamment sur un processus de professionnalisation des musiciens, aux dépens de l’emprise des clercs sur la musique des cérémonies héritée du Moyen Âge. Enfin, ces spectacles musicaux instaurent un public soumis à un ordre inédit, en rupture par rapport à l’assemblée des fidèles des offices liturgiques chrétiens. Il s’agit d’étudier comment le public du spectacle musical est instauré, en insistant sur la fonction de discipline ambivalente du spectacle musical et de l’esthétique qui la soutient
Following an interdisciplinary approach, particularly between History and Musicology, this work deals with the political use of sacred music in the Florentine and Parisian courts from 1560 to 1610. Using the angle of the musical spectacle, we aim to emphasize the apparition of new spectacular forms at these courts in the period, as the humanist writings and the ecclesiastical reforms (particularly provincial synods) testify. These musical spectacles give to the Princes an efficient answer to the political and religious crisis they face, in particular the French kings: it allows them to represent their power without being tied to sacramental constraints inherent in Christian liturgy. Then, we intend to describe how these Princes have taken control over the means of production of such musical spectacles. By the reorganization of chapels and of court music, they set up a secularization of sacred music at the service of princely ceremonies. Such a secularization dwells particularly on the process of professionalization of musicians, at the expense of the clerical magister over sacred music inherited from Middle Ages. Finally, these musical spectacles establish an audience submitted to a new order, breaking away from the one of the assembly of faithfuls still existing in liturgical services. We show how such an audience has been established during the period, with an emphasis on the disciplinary functions of such a musical spectacle and of the aesthetics that goes with it
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Fureix, Emmanuel. "Mort et politique à Paris sous les monarchies censitaires : mises en scène, cultes, affrontements, 1814-1835." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010683.

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Abstract:
L'apprentissage du régime représentatif a eu son envers funéraire. Sous les monarchies censitaires, chaque " parti " célèbre ses morts dans l'espace public de la capitale. Rituels officiels et opposants, étudiés à la manière d'un dialogue, permettent de relire l'histoire des cultures politiques de la période, en faisant toute leur part à l'émotion, au sensible et à la mémoire. Gestes, discours, décors et symboles présents dans ces hommages définissent des langages politiques et des mémoires concurrentes. Des nécropoles rivales se constituent. Une grammaire des émotions, entre affliction de la perte et joie de l'apothéose, gouverne chacun des cultes funèbres. Entre la première Restauration (1814) et l'attentat de Fieschi (1835), les cultes officiels permettent de saisir comment les monarchies censitaires se sont redéfinies par le rite. Enterrements d'opposition et hommages clandestins aux victimes politiques ont institué un nouveau tribunal de l'opinion, métaphore d'un vote collectif. Le culte rendu aux morts plus ou moins illustres fut un enjeu majeur de la représentation politique.
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Maral, Alexandre. "La chapelle royale de Versailles sous Louis XIV : architecture, institutions, liturgie." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040041.

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Abstract:
Cinq chapelles se sont succédé au château de Versailles entre 1661 et 1715. Celle de 1672, dont le décor était dû en grande partie à Le Brun, fut la plus remarquable des trois premières, mais son existence fut fort courte. La chapelle de 1682, conçue comme provisoire, dura en fait jusqu'en 1710. Son aménagement intérieur peut aisément être reconstitue. La dernière chapelle, consacrée en 1710, est le fruit de vingt années d'élaboration, et elle unit à l'audace de son parti architectural une étonnante richesse iconographique, d'un symbolisme profond. La desserte de la chapelle royale de Versailles était assurée par deux corps d'ecclésiastiques distincts : les officiers de la maison du roi et, à partir de l'installation définitive de la cour à Versailles en 1682, les prêtres de la mission ou lazaristes. Chacune de ces institutions répondait à des fonctions précises, qui sont connues par les sources officielles émanant de la maison du roi et par le coutumier de la chapelle. C'est à travers ce dernier document, ainsi que par les chroniques du temps, que l'on peut reconstituer le déroulement au quotidien de la vie de la chapelle. Les cérémonies liturgiques, où la musique tenait une place privilégiée, y étaient fort nombreuses et variées. Les pères de la mission les accomplissaient avec une régularité immuable, tandis que les officiers ecclésiastiques de la maison du roi suivaient la cour dans ses déplacements. Outre les messes et offices ordinaires, semblables à ceux qui se pratiquaient dans les paroisses du royaume, des cérémonies liées au roi et à sa famille se déroulaient dans la chapelle du château, notamment baptêmes et mariages princiers, fêtes de l'ordre du Saint-Esprit, serments d'évêques et réceptions des cardinaux. Par ailleurs, la fonction quasi sacerdotale du très chrétien était manifestée par un ensemble de rites assimilant le roi à un évêque, tels ceux de l'aspersion d'eau bénite, du baisement de l'évangile et du corporal, de l'encensement, des révérences du célébrant. Tous ces éléments permettent d'établir une vision cohérente de la religion du roi dans son cadre versaillais
Five chapels succeeded each other between 1661 and 1715. The chapel built in 1672, whose decoration was mainly due to Le Brun, was the most remarkable of the first three, whose existence was nevertheless very short. The chapel built in 1682, designed to be temporary, lasted in fact until 1710. Its internal decoration can be easily reconstituted. The last chapel, consecrated in 1710, was planned and built over a period of twenty years, and to the boldness of its architectural style it adds an amazing richness in its deeply symbolical iconography. The services of the chapel royal of Versailles were ensured by two groups of ecclesiastics: the king's household officers and, after the installation of the court at Versailles in 1682, the priests of the mission, also known as lazarists. Each of these institutions carried out precise functions, which have been rediscovered thanks to the sources coming from the officers of the king's household and the regulations of the chapel. It is through this latter document as well as the contemporary chronicles that the everyday life of the chapel can be reconstituted. The liturgical ceremonies, during which music was given a very important place, were numerous and varied. The fathers of the mission performed them with an immutable regularity, while the ecclesiastical officers of the king's household followed the movements of the court. Besides the ordinary masses and offices, which were identical to those performed in parish churches throughout the kingdom, some ceremonies in the presence of the king and his family took place in the chapel at Versailles. These particularly included princely baptisms and weddings, feasts of the order of the saint-esprit, bishops’ oaths and cardinals' receptions. In other respects, the almost sacerdotal function of the most Christian king was expressed by some rites which attributed an episcopal role to the king, like those of the aspersion of holy water, the kissing of the gospels and of the corporal, the incensing, the celebrant's bows. All these elements enable us to establish a coherent understanding of the king's religion in the context of the daily life of the French court at Versailles
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Triolaire, Cyril. "Fêtes officielles, théâtres et spectacles de curiosités dans le 11ème arrondissement théâtral impérial pendant le Consulat et l'Empire." Clermont-Ferrand 2, 2008. http://www.theses.fr/2008CLF20009.

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Abstract:
Cette enquête propose d'étudier les fêtes officielles, les théâtres et les spectacles de curiosités dans le onzième arrondissement théatral impérial durant le Consulat et l'Empire. Grand amateur de tragédies, assumant les héritages de la Révolution et renouant ouvertement avec les cérémoniaux monarchiques, le premier consul bientôt empereur use d'un art immodéré de la propagande. Fêtes officielles et spectacles sont abondamment sollicités pour mettre en scène le pouvoir, gouverner et surveiller les esprits. Au coeur de l'Empire, cette étude s'intéresse au développement du culte impérial dans les espaces de vie de la majorité des français et aux voies festive et théâtrale qu'il emprunte entre l'an VIII et 1815. Elle tente de saisir les effets de la loi de février 1806 sur l'affermissement de la dévotion napoléonienne et ceux des décrets de juin 1806 et avril 1807 sur la vie théâtrale dans les départements. Cette enquête interroge sur les rapports politiques entre la province et Paris, soulignant les résistances marquées dans l'application du calendrier des fêtes ou le respect de la censure théâtrale. Elle dessine donc une géographie de la diffusion de la culture officielle, mise en relation avec les contraintes économiques et budgétaires, avec les traditions et les opinions locales. Elle reconstruit une sociologie des acteurs principaux des divertissements, étudie les espaces aménagés, rend compte des répertoires et des discours, s'intéresse aux formes de diffusion de la vulgate officielle et essaie d'apprécier leur réception. Ce travail tente ainsi de renouveler l'histoire culturelle du politique et des pratiques culturelles sous le Consulat et l'Empire
This study aims analyzing the official festivals, the theatres and the "spectacle de curiosités" in the eleventh theatrical and imperial district uring the Consulate and the First Empire. He was a tragedy lover who took on the legacy of the Revolution and yet who openly revived the monarchic ceremonials, the First Consul resorted immoderately to propaganda. Official festivities and shows were abundantly used so as to stage power, to control and watch people's minds. Inthe heart of the Empire, this study focuses on the way the imperial worship was developed thanks to the festivals, the theatres and the companies between the year VIII and 1815. About strengthening the devotion for Napoleon and those of the decrees voted in June 1806 and April 1807 about the theatrical life in the departments. This work studies the political relations between Paris and the provinces, highlighting people's obvious reluctance to respect the calendar of the festivals or the theatrical censorship. It shows how the official culture was spread connected to the economical and financial constraints and the local traditions and opinions. Is presents e new sociology of the main actors in the festivities. It studies the planned places, the repertoires and the speeches. And it shows how the official messages were transmitted and how they were received by the people : their approval or their objection as well as the dramatic criticisms. This study thus tries to present a new cultural history of the politics and of its cultural practices at the time of the Consulate and of the First Empire
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Sinicropi, Gilles. ""D'oraison et d'action"." Clermont-Ferrand 2, 2010. http://www.theses.fr/2010CLF20001.

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Abstract:
Les religieux de l'ordre des Carmes dits déchaussés ou déchaux, pour les distinguer des observants, stricts observants, réformés, conventuels, mitigés, anciens, chaussés, ou grands, sont sinon méconnus du moins très mal connus. La particularité de leur institut, originaire d'Espagne, issu de la réforme d'un ordre médiéval, réside principalement dans un modèle idéal, d'oraison et d'action, affiché dès les premières patentes obtenues en 1567 et repris ensuite en préface des Constitutions. Cette spécificité de l'ordre, cette double vocation qui allie vie mystique et vie apostolique, s'enracine dans l'expérience des primitifs ermites qui, à l'époque des croisades, se sont retirés sur le Mont Carmel. Aussi, les manifestations mais aussi la coexistence et surtout l'évolution de cette identité, de ce double idéal, de cette "vie mixte", depuis l'introduction de l'ordre en France en 1611, jusqu'à sa dispersion en 1792, à une époque et en des lieux bien différents de ceux de sa naissance, méritent-elles d'être analysées. Manifestations et coexistence au sein de l'enclos conventuel tout d'abord, au travers du modèle que proposent les religieux et leurs noms de religion, les "auteurs" et leur production littéraire, les bibliothèques et leurs ouvrages, les bâtiments et leurs "images". Manifestations et coexistence dans le siècle ensuite, à partir du ministère auquel se livrent les disciples de Thérèse de Jésus et de Jean de la Croix, en terme d'encadrement des laïcs, de missions, ou de cérémonies extraordinaires. Manifestations de continuité, d'évolutions, ou de ruptures enfin, à la veille de la Révolution, d'un idéal confronté à la réalité du siècle et à l'épreuve du temps
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Ozenne, Elodie. "Les sépultures dans les établissements religieux à Paris du XIIIe au XVe siècle d’après l’Epitaphier du vieux Paris." Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100082.

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Abstract:
Cette étude a pour but d’appréhender l’évolution de la sépulture ainsi que l’analyse des différents lieux d’inhumation et des populations enterrées à Paris entre le XIIIe et le XVe siècle à partir des inscriptions funéraires recensées dans le recueil de l’Epitaphier du vieux Paris. Les établissements religieux de la capitale se distinguent dans leur politique funéraire ainsi que dans leur façon de gérer l’accueil des sépultures laïques. Inexistantes jusqu’au XIIIe siècle, les inhumations ad ecclesiam se généralisent et s’installent de façon durable au cœur du lieu du culte. En conséquence de cette évolution significative des pratiques funéraires, de nouveaux groupes sociaux influents accèdent enfin à une sépulture de prestige. Les officiers royaux et gouvernementaux qui reposent désormais aux côtés des membres de la famille royale et des dignitaires ecclésiastiques sont à l’origine de l’expansion des chapelles funéraires familiales. Malgré son influence croissante dans la vie économique et politique de la capitale, la bourgeoisie rencontre encore des difficultés à s’imposer dans le domaine funéraire et reste souvent dans l’ombre des grands officiers royaux. Le lieu d’inhumation revêt une importance considérable pour l’ensemble des parisiens fortunés qui n’hésitent pas à faire preuve de générosité envers les communautés religieuses pour établir leurs sépultures à peu de distance de l’autel afin de bénéficier des messes et des prières destinées à assurer leur salut. En effet, comme le prouve l’analyse formelle des tombeaux et épitaphes parisiennes, le salut de l’âme du défunt est au cœur des représentations funéraires. Le tombeau doit solliciter les suffrages des vivants mais également transmettre le souvenir de l’existence terrestre et de l’importance sociale du défunt
This study aims at showing the evolution of sepulchres and at analysing different burial places and populations burried in Paris between the 13th and 15th century through the funerary inscriptions listed in the collection : the Épitaphier du vieux Paris. Religious establishments of the capital city can be identified through their funerary policies and through the treatment of their secular sepulchres. Non-existent until the 13th century, ad ecclesiam burials become more widespread and remain at the centre of places of worships. As a result of the significant evolution of funerary practices, new social groups of influence have access to presitigious sepulchres.Royal and governmental officers who now rest by the royal family and ecclesiasts sides originated the expansion of funerary chapels for families in churches of the capital city. Despite its increasing influence on the economic and political life of the capital city, the « bourgeoisie » still faces hardships in forcing itself on the funerary area and remains in the shadow of the so-called royal officers. The burial location is of a major importance for most wealthy Parisians who show their generosity towards religious communities so then their graves can be placed as close as possible from the altar and get masses and prayers that can guarantee their salvation. Indeed, as proven through the accurate analysis of tombs and epitaphs of Paris, salvation for the dead is at the core of funerary representations. Graves must appeal the living to pray but also share the memory of life on earth and reveal the social place of the deceased

Books on the topic "Rites et cérémonies – France – 16e siècle":

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Elisabeth, Lorans, ed. Saint-Mexme de Chinon, Ve-XXe siècle. Paris: CTHS-Ed. du Comité des Travaux historiques & scientifiques, 2007.

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