Academic literature on the topic 'Risque agro-Climatique'

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Journal articles on the topic "Risque agro-Climatique":

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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia, and Eric Vall. "Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ? Conclusion générale." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 93. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10121.

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Abstract:
Les articles présentés ici ont mis en lumière une diversité de méthodes et d’outils d’analyse qui permettent d’évaluer les propositions de la recherche visant à améliorer la durabilité des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest. Ces méthodes se réfèrent à l’identification des facteurs d’adoption des produits de la recherche, mais aussi à l’analyse des impacts constatés ou espérés des changements proposés. Elles s’appuient sur la constitution de bases de données robustes issues d’enquêtes de terrain. Les modèles économétriques (tels que les modèles probit et tobit) permettent d’identifier les facteurs socio-économiques d’adoption de propositions en comparant deux types de producteurs : adoptant et non-adoptant. Ils permettent aussi d’identifier les facteurs qui influencent l’intensité de la mise en oeuvre de l’innovation chez ceux qui l’ont adoptée (Ngondjeb et coll.). Les analyses multivariées de données d’enquêtes socio-économiques permettent, elles, d’analyser les corrélations entre des variables traduisant l’utilisation effective de la technologie et des variables sociotechniques sur lesquelles sont fondées les typologies des systèmes d’élevage. Ces typologies dépassent la dichotomie adoptant versus non-adoptant. Elles permettent de mettre en évidence différentes modalités d’usage de la technologie suivant les types de producteurs (Bouyer et coll.). Des enquêtes sur les stratégies d’adaptation des ménages à des changements de leur environnement socio-économique permettent de situer les propositions de la recherche au sein de la gamme des leviers d’action mobilisés. Ces enquêtes montrent ainsi la nécessité de retracer sur des pas de temps longs la trajectoire des ménages et du cycle de vie des exploitations pour analyser les stratégies et les dynamiques d’adoption (Pedelahore et coll.). Les modèles d’optimisation des fonctions de production tels que celui utilisé par Dabire et coll. permettent de comparer à un scénario témoin différentes modalités d’une proposition technique et leurs effets respectifs sur les choix d’assolement ainsi que sur le revenu optimal de l’exploitation. La proposition analysée ici est l’accès pour le producteur à une nouvelle source d’information : la prévision saisonnière de la pluviosité. Ce type de modèle offre la possibilité de prendre en compte un risque, par exemple celui d’avoir une bonne ou une mauvaise saison climatique ou de se tromper dans les prévisions. Le modèle de simulation présenté par Sempore et coll. permet au producteur d’analyser avec le chercheur l’impact de la proposition (atelier d’embouche) sur les performances techniques (bilan fourrager et minéral) et économiques (bilan céréalier et revenu) de son exploitation. Il peut ainsi comparer les résultats attendus de ce changement et les modalités de sa mise en oeuvre à la situation initiale de son exploitation. Avec la méthode active de recherche participative (MARP), l’analyse prospective est conduite avec des focus groups (groupes socioprofessionnels d’acteurs) associant chercheurs et producteurs. Cette approche permet de prendre en compte dans l’analyse les préférences et contraintes des producteurs mais elle suppose aussi que ces producteurs aient la capacité d’estimer les effets possibles des propositions de la recherche sur leurs exploitations. Le calcul du budget partiel, utilisé par exemple par Blanchard et coll., permet d’évaluer en termes monétaires les impacts des différents changements techniques observés ou estimés à l’échelle de l’exploitation, suite à l’adoption de la proposition. L’analyse du cycle de vie mise en oeuvre par Vayssières et coll. permet d’évaluer les performances environnementales d’un changement de pratiques. Les auteurs prévoient ainsi l’impact des changements techniques dans les exploitations d’élevage sur leurs consommations énergétiques. Enfin, en analysant les relations de pouvoirs entre acteurs au sein de la filière laitière, Fokou et coll. montrent que les innovations techniques et organisationnelles peuvent être source d’exclusion pour certaines catégories d’acteurs. Ces enquêtes sur les relations de pouvoir entre acteurs apportent un regard complémentaire sur la durabilité sociale des propositions de la recherche.
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COULON, JB, P. LECOMTE, M. BOVAL, and J. M. PEREZ. "Introduction générale." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 3, 2011): 5–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3232.

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Abstract:
L’agriculture, et plus particulièrement les productions animales, sont depuis quelques années au cœur des préoccupations mondiales, si l’on en juge par les nombreux rapports que les institutions internationales, ainsi que l’INRA et le CIRAD, leur ont récemment consacré (Millenium Ecosystem Assessment 2005, IPCC 2006, Steinfeld et al 2006, World Bank 2008, FAO 2009, Steinfeld et al 2010, Dorin et al 2011). Deux points forts ressortent de ces exercices de prospective : 1/ Le poids économique et social de l'élevage dans l'agriculture mondiale est considérable :- La planète compte, toutes catégories confondues, 19 milliards d’animaux d'élevage dont 70% sont détenus par des éleveurs hors pays industrialisés ; - On comptait en 2000 : 1 porcin pour 7 habitants, 1 bovin pour 4 habitants, 1 petit ruminant pour 3 habitants, et plus de 2 volailles par habitant ; - Environ 250 millions d'animaux de trait apportent la force de travail pour près de la moitié des cultures vivrières dans les agricultures familiales des pays en développement ;- L’élevage mobilise environ 4 milliards d’ha de surfaces en herbe (soit près de 30% des terres émergées non gelées), fournit le tiers des protéines pour l’alimentation humaine et représente 40% de la valeur de la production agricole brute mondiale ;- On prévoit d’ici à 2050 le doublement des productions animales, essentiellement par une forte expansion des activités d’élevage dans les pays du Sud ;- Quant à l’approvisionnement futur en produits aquatiques, il repose sur l’essor de l’aquaculture (50% déjà du marché mondial), qui est le secteur de l’élevage lato sensu ayant la plus forte croissance surtout dans la zone AsiePacifique ;- L’élevage contribue aux moyens de vie d’un milliard de pauvres dans les pays du Sud et emploie au total 1,3 milliard de personnes dans le monde. 2/ Les productions animales doivent faire face, plus que les productions végétales, à de nombreuses interrogationset remises en cause qui interpellent la recherche et le développement. On peut les résumer de la façon suivante :comment répondre à l’augmentation considérable de la demande en produits animaux, notamment dans les pays du Sud, dans un contexte de compétition forte sur les ressources pour l’alimentation humaine et de la nécessite d’une prise en compte des impacts environnementaux de l’élevage, qu’ils soient positifs (services environnementaux rendus par les systèmes de productions animales) ou négatifs (contribution au changement climatique liées aux émissions de GES, dégradation de la biodiversité, consommation importante d’eau et d'énergie, détérioration de la qualité des eaux par les effluents d’élevage). Ces interrogations ne se déclinent pas de la même façon dans les pays du Nord et du Sud, parce que la place de l’élevage dans la société et les enjeux de son développement y sont différents. Les productions animales au Sud se trouvent ainsi dans une situation paradoxale : elles doivent faire face à une évolution importante de la demande à moyen terme, dans un contexte nouveau, marqué notamment par les tensions sur les disponibilités et les coûts des intrants et par la prise en compte impérative tant des contributions que des effets liés au changement climatique. C’est dans ce contexte particulier, et en prolongement de la réflexion menée par l’INRA et le CIRAD dans le cadre du chantier PARC rappelé dans la préface, que la Rédaction de la revue INRA Productions animales a décidé de consacrer un numéro complet au thème de l’Elevage en régions chaudes (Coulon et al 2011). Les contributions rassemblées dans ce numéro spécial ont pour ambition de faire une synthèse approfondie de l’état connaissances et des expériences acquises en termes d’élevage en régions chaudes. Les productions animales sont analysées à différents niveaux d’organisation, tenant compte de leur spécificité et des interrelations entre les diverses échelles, permettant une visualisation à la fois circonstanciée et large de la situation de l’élevage dans le monde. Les auteurs fournissent ainsi un panel de résultats, d’illustrations, de solutions et d’alternatives innovantes, ainsi que de nouvelles pistes et priorités de recherche. Celles-ci peuvent réellement contribuer à mieux appréhender la multifonctionnalité de l’élevage, la durabilité de son développement et ses évolutions à venir. Après une présentation des éléments d’évolution des productions animales au niveau mondial (Gerber et al), le deuxième article synthétise les nombreuses connaissances acquises concernant les ressources alimentaires tropicales (diversité, disponibilité et valeur nutritive), utilisables en hors-sol ou au pâturage (Archimède et al). Pour les animaux, ruminants et monogastriques, les caractères majeurs d’adaptation aux effets directs du climat, à la sous-nutrition ou aux maladies parasitaires sont développés, et des options d’optimisation de la productivité et de la résilience sont proposées (Mandonnet et al). Dans le domaine de la santé, les maladies infectieuses animales constituent des contraintes économiques fortes ainsi que des risques pour la santé humaine ; des stratégies pour faire face à cette situation sont formulées, concernant à la fois la conduite des systèmes d’élevage et l’organisation de réseaux de surveillance à l’échelle régionale (Lancelot et al). L’article suivant insiste sur la nécessaire prise en compte de la qualité des produits par les producteurs et les transformateurs et l’importance des règles de caractérisation et de gestion de cette qualité, dans un contexte spécifique aux pays du Sud en termes de conditions climatiques, économiques et sociologiques (Faye et al). Les interactions entre l’environnement et les systèmes d’élevage diversifiés sont décrites et illustrées tant en termes d’impacts que de services agro-écologiques, et diverses pistes sont suggérées pour une gestion plus durable de ces systèmes en régions chaudes (Blanfort et al). En sus de la composante environnementale, et au vu de la diversité des systèmes d’élevage et de leur multifonctionnalité, une démarche essentielle de conception-évaluation de systèmes durables est explicitée, illustrée d’exemples géographiques contrastés (Dedieu et al). A une échelle plus large, les auteurs examinent les interactions entre les territoires ou espaces de production et les filières et proposent un modèle d’analyse appliqué à quatre territoires représentatifs du Sud (Poccard et al). Enfin l’élevage, marqueur socioculturel de nombreuses sociétés du Sud, est analysé comme contributeur culturel et capital social, pour son rôle économique majeur à l’échelle des familles, mais également en faveur de la sécurité alimentaire et le développement local (Alary et al). Souhaitons que ces articles de synthèse et les pistes de recherche évoquées dans ce numéro thématique incitent les chercheurs de l’INRA et du CIRAD à renforcer leur collaboration et à proposer de nouvelles approches de la conception et de l’évaluation des systèmes d’élevage en régions chaudes.
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Nassourou, Lawali Mamane, Benoît Sarr, Agali Alhassane, Seydou Traoré, and Balla Abdourahamane. "Perception et observation : les principaux risques agro-climatique de l’agriculture pluviale dans l’ouest du Niger." VertigO, Volume 18 numéro 1 (May 25, 2018). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.20003.

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Dissertations / Theses on the topic "Risque agro-Climatique":

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Laurent, Léa. "Evolution des risques agro-climatiques en lien avec les modifications de l'aléa climatique en contexte de réchauffement." Electronic Thesis or Diss., Bourgogne Franche-Comté, 2024. http://www.theses.fr/2024UBFCK007.

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Abstract:
Le changement climatique modifie l’aléa climatique et impose de reconsidérer les risques agro-climatiques. En France, depuis les années 1960, le changement climatique se traduit par une hausse abrupte des températures autour des années 1987/1988. Ces modifications rapides de l’aléa climatique sont susceptibles de modifier les risques agro-climatiques et d’entraîner des pertes historiques dans les récoltes. La compréhension des effets régionalisés du changement climatique sur les risques agro-climatiques constitue donc un enjeu majeur pour le monde agricole. La sécheresse est l’un des risques agro-climatiques qui impacte fortement la production agricole et les performances des assurances climatiques sur récoltes. Ce travail de thèse, fruit d’une collaboration entre un assureur et un laboratoire de recherche, se propose d’étudier comment et dans quelle proportion les modifications de l’aléa climatique affectent le risque sécheresse, et à terme les performances de l’assurance climatique sur récoltes. Le blé, le maïs et la vigne sont des cultures importantes pour l’entreprise, et sont donc étudiées plus particulièrement dans ce travail.Les données Safran-Isba-Modcou produites par Météo-France permettent, à l’échelle régionale, de quantifier l’évolution structurelle de l’aléa climatique lié au cycle de l’eau sur la période 1959-2021. La prise en compte de la vulnérabilité des cultures via l’utilisation d’un modèle de bilan hydrique simplifié donne l’opportunité d’évaluer les changements dans la contrainte hydrique sur les bassins de production des cultures d’intérêt. La définition d’un seuil de stress hydrique pour les cultures étudiées conduit au développement d’un indice de sécheresse. Les distributions statistiques de ce dernier sont probabilisées avec un modèle de Tweedie, donnant lieu à une caractérisation régionalisée des modifications structurales du risque agro-climatique sécheresse suite aux réchauffement rapides observés en France.Après le réchauffement rapide de 1987/1988, la demande évaporative est en forte hausse, particulièrement au printemps et en été. Cela induit un assèchement progressif des réservoirs en eau du sol, faisant augmenter la contrainte hydrique sur le couvert végétal. La prise en compte de la vulnérabilité des cultures d’intérêt montre que par exemple pour le blé tendre d’hiver, le bilan hydrique évolue en conséquence. Les périodes de dépassement du seuil de stress hydrique s’allongent ou s’intensifient avec le réchauffement, de manière variée selon les bassins de production considérés. Ces évolutions peuvent être expliquées par une forte augmentation de l’évapotranspiration. En fin de saison végétative, la modification des séquences sèches joue également un rôle. La structure du risque agro-climatique lié à la sécheresse en est affectée. Cela se traduit par une augmentation de l’intensité et/ou de l’occurrence des épisodes de sécheresse. Ces modifications dépendent du bassin de production étudié et s’accompagnent d’une hausse des sécheresses extrêmes.Ces modifications du risque sécheresse suite à l’évolution rapide de l’aléa climatique affectent des stades sensibles des cultures, ce qui peut amener à des pertes de rendement importantes. Les performances de l’assurance multirisque climatique sont donc étroitement liées à l’évolution de ce type de risque. L’indice développé dans ces travaux montre, dans certaines conditions, une bonne corrélation avec l’indice de sinistralité utilisé par les assurances. Cela ouvre des perspectives pour étudier la volatilité des performances de l’assurance climatique sur récolte. Il convient néanmoins d’affiner et de consolider ces résultats, qui, pour certaines cultures telles que le blé, ne montrent pas d’améliorations probantes. La projection de ces indices sécheresse pourrait aider les assureurs à élaborer et tester des stratégies de prévention et d’adaptation territorialisées pertinentes pour l’ensemble des parties prenantes
Climate change modifies climatic hazards and requires a reconsideration of agro-climatic risks. In France, since the 1960s, climate change has resulted in an abrupt rise in surface air temperature around 1987/1988. These rapid changes in climatic hazards are likely to modify agro-climatic risks and lead to historic crop losses. Understanding the regional effects of climate change on agro-climatic risks is therefore a major challenge for the agricultural sector. Drought is one of the agro-climatic risks that have a major impact on crop production and climatic crop insurance. This work, which results from a collaboration between an insurance company and a research laboratory, investigates how and to what extent changes in climatic hazards affect drought risk, and ultimately the performance of climatic crop insurance. Since wheat, maize and vineyards are the main crops in the company's portfolio, agro-climatic risk modifications will be studied specifically for these crops of interest.The Safran-Isba-Modcou dataset, produced by Météo-France, allows to quantify structural changes in climatic hazard linked to water cycle on a regional scale over the period 1959-2021. Taking crop vulnerability into account by using a simplified water balance model provides an opportunity to assess changes in water constraint for each production basin of the crops of interest. The definition of a water stress threshold for the crops studied enables to develop a drought index. The statistical distributions of the latter are probabilized using a Tweedie model, resulting in a regionalized characterization of drought risk structural modifications after the rapid warming observed in France.After the rapid warming of 1987/1988, evaporative demand increases sharply, particularly in spring and summer. This leads to a progressive drying-up of soil water reservoirs, increasing water stress on vegetation cover. Taking into account the vulnerability of the crops of interest shows that for winter bread wheat, for example, the water balance changes consequently. Periods when the water stress threshold is exceeded are lengthened or intensified with warming, depending on the production basin considered. These trends can be explained by a sharp increase in evapotranspiration. At the end of the growing season, changes in dry spells also play a role. This affects the structure of the drought-related agro-climatic risk, translating into an increase in the intensity and/or the occurrence of drought episodes. These changes depend on the production basin studied, and are associated with an increase in extreme droughts.The changes in drought risk, resulting from the rapid evolution of climatic hazards, affect sensitive crop stages, and can lead to significant yield losses. The performance of climatic crop insurance is therefore closely linked to changes in this type of risk. Given certain conditions, the drought index developed in this work shows a good correlation with the loss ratio used by insurance companies. This opens up new avenues for studying the volatility of climatic crop insurance performance. However, we need to refine and consolidate these results, which do not show any convincing improvement for certain crops such as wheat. The projection of these drought indices could help insurers to develop and experiment territorialized prevention and adaptation strategies that are relevant to all stakeholders

Reports on the topic "Risque agro-Climatique":

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Gbedomon, Rodrigue Castro, Sidol Houngbo, and Fréjus Thoto. Profil de l’agriculture numérique et de l’adaptation aux changements climatiques Cas du Bénin. Centre Africain pour le Développement Equitable, June 2024. http://dx.doi.org/10.61647/aa84576.

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Abstract:
Le Bénin connaît une croissance démographique rapide et une demande alimentaire significative, qui requiert une transformation structurale de l'agriculture par le recours à des technologies agricoles. Les solutions numériques sont en évolution pour améliorer la productivité agricole et renforcer l'adaptation aux changements climatiques dans le secteur agricole. Les nouvelles orientations agricoles en Bénin ont renforcé le rôle du secteur privé dans le domaine. Le Bénin est confronté à des risques climatiques perturbant son agriculture, notamment des précipitations tardives, violentes, sécheresses, la chaleur excessive, les vents violents et l'élévation du niveau de la mer. Le numérique peut aider à surmonter ces défis en renforçant l'information agro-climatique et hydrologique, en favorisant l'adoption d'innovations et de pratiques climato-intelligente. Il peut également améliorer le suivi des exploitations, faciliter l'accès au financement et à l'information sur les marchés, augmentant ainsi la résilience des agriculteurs face aux chocs climatiques. Au Bénin, il existe 50 solutions numériques agricoles, notamment des conseils, formation et information pour les producteurs, commercialisation des produits agricoles, facilitation de la mise en relation entre les acteurs de la chaîne de valeur agricole, et services de suivi des activités culturales et de cartographie des exploitations. Out of these, 24 ont le potentiel d'aborder les problèmes liés à l'adaptation aux changements climatiques. Les défis pour la transformation numérique de l'agriculture et de l'adaptation aux changements climatiques sont nombreux, telles que un accès limité à Internet dans les régions rurales, une infrastructure technologique insuffisante, un taux élevé d'analphabétisme numérique, une inadéquation des solutions numériques aux conditions et besoins locaux, une viabilité économique dépendante de subventions, un manque de solutions abordant les changements climatiques, une fiabilité incertaine des services numériques climatiques, et une collaboration insuffisante entre les acteurs du numérique dans le secteur agricole.

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