Journal articles on the topic 'Rhétorique arabe'

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Laoukili, Sanae, and Chams-Eddoha Marrakchi. "Le terme rhétorique entre concept et traduction." SHS Web of Conferences 175 (2023): 01040. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202317501040.

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Abstract:
cet article vise à étudier les problèmes les plus importants auxquels est confronté le traducteur arabe en étudiant des termes rhétoriques étrangers lors de leur transfert de leur langue maternelle vers la langue d’accueil. La recherche en science de la terminologie demande une grande conscience des mécanismes de la traduction. De ce fait ,la traduction des termes critique et rhétoriques l’un des plus grands obstacles qui entravent le parcours des traducteurs. A cet égard ,vu la grande évolutions des termes de la rhétoriques et de la critique, il est urgent de préciser et contrôler les dits-termes .Notre travail se veut être une étude des différents obstacles qui entravent la tâche du traducteur arabe dans l’opération du transfert d’une langue a une autre . Nous essayerons de répondre aux questions suivantes : Comment se déroule le processus transfert littéraire du terme rhétorique ? quels sont lest outils dont doit user le traducteur arabe lors du transfert littéraire du terme rhétorique ?
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Woerther, Frédérique, and Gaia Celli. "Les fragments d’Avicenne dans la traduction arabo-latine de la Rhétorique d’Aristote par Hermann l’Allemand." Oriens 50, no. 3-4 (December 5, 2022): 321–75. http://dx.doi.org/10.1163/18778372-12340018.

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Abstract:
Résumé L’utilisation d’Avicenne par Hermann l’Allemand dans sa traduction latine de la version arabe de la Rhétorique d’Aristote, brièvement mentionnée par William Boggess, a été longuement étudiée et évaluée par Gaia Celli dans deux publications de 2012 et 2017, dans la perspective d’une réédition de la Rhétorique du Šifāʾ qui prendra en compte une variété et un nombre plus conséquents de manuscrits arabes. La présente contribution s’inscrit dans la logique et la lignée de deux études précédentes, dédiées à l’utilisation par Hermann d’al-Fārābī et d’Averroès, dans sa traduction arabo-latine de la Rhétorique. Il s’agit en effet, tout d’abord, de présenter pour la première fois l’édition arabo-latine des fragments et témoignages d’Avicenne dans la traduction d’Hermann, à partir des deux témoins conservés de ce texte, et en lui adjoignant un second apparat critique pointant les écarts entre cette version latine et le texte d’Avicenne tel qu’il a été édité par Sālim. Il s’agit ensuite d’évaluer le recours d’Hermann dans ce même texte à Avicenne, en le comparant à la façon dont Hermann a recouru au Grand commentaire d’al-Fārābī à la Rhétorique d’une part, et au Commentaire moyen d’Averroès à la Rhétorique d’autre part, afin de caractériser plus précisément la pratique d’Hermann – une pratique qui déborde en effet bien largement ce que l’on entend aujourd’hui par le simple terme de « traduction ». Il s’agit enfin, à partir de l’édition des fragments d’Avicenne dans la traduction latine d’Hermann d’une part, et des avancements qui ont été récemment réalisés dans la connaissance de la transmission manuscrite d’Avicenne, de proposer une esquisse de reconstruction stemmatique de la tradition de la Rhétorique du Šifāʾ et, dans un dernier temps, de tenter d’isoler la place que tient la source arabe d’Hermann dans cette tradition.
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Ismaili, Ahmed. "Rhétorique arabe : Aristote, le Coran et la balagha." Babel, no. 7 (January 1, 2003): 81–93. http://dx.doi.org/10.4000/babel.1408.

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Bedjaoui, Wafa, Bahia Zemni, Hayfa Almalki, and Marwa Elsaadany. "Dictionnaires contextuels." Texto Livre: Linguagem e Tecnologia 14, no. 1 (September 29, 2020): e25577. http://dx.doi.org/10.35699/1983-3652.2021.25577.

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Abstract:
Le but de cet article est de mettre en évidence les fonctionnalités des corpus en ligne à l’instar des concordanciers, notamment le dictionnaire contextuel Reverso Context. À travers cette étude exploratoire, nous cherchons à connaître les limites de ce dictionnaire contextuel en ligne de l'arabe vers le français en analysant la traduction dans le contexte des adages arabes traduits en français. Il s’agit aussi de mettre en exergue la notion de collaboration virtuelle proposée dans le cadre du dictionnaire collaboratif de Reverso Context. L’étude a également permis de décrire les prestations et les fonctionnalités proposées en ligne de ce dictionnaire ainsi que ses limites. A travers l’expérimentation de la traduction des adages et des proverbes de l’arabe vers le français, nous avons pu déduire que le dictionnaire contextuel Reverso Context présente des limites de traduction en ce qui concerne les combinaisons arabe-français. Ces limites sont d’ordre lexical, sémantique, phrastique et rhétorique. Sans oublier que ses bases de données lexicales et terminologiques sont faiblement alimentées en langue arabe.
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الهلال, خليل عبد السادة, and زينب عبد الله الموسوي. "Le style de métaphore d'un adjectif dans le livre "Balaghat al-Nisa'" d'Ibn Tayfour." Kufa Journal of Arts 1, no. 27 (August 16, 2016): 161–84. http://dx.doi.org/10.36317/kaj/2016/v1.i27.6393.

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Abstract:
La métonymie est l'une des méthodes d'énoncé qui ne conduit pas directement le destinataire au but, mais stimule plutôt sa pensée et développe en lui la faculté de contemplation et de contemplation. Par conséquent, il occupe un rang distingué dans l'entité de l'énoncé arabe, et une valeur rhétorique liée à l'art de dire, et son concept est que vous dites quelque chose et en voulez un autre.
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Belhaj, Abdessamad. "Ibn Qayyim al-Ǧawziyyah et sa Contribution à la Rhétorique Arabe." Oriente Moderno 90, no. 1 (August 12, 2010): 151–60. http://dx.doi.org/10.1163/22138617-09001008.

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Kouloughli, Djamel E. "L'influence mu‘tazilite sur la naissance et le développement de la rhétorique arabe." Arabic Sciences and Philosophy 12, no. 2 (August 21, 2002): 217–39. http://dx.doi.org/10.1017/s0957423902002114.

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Abstract:
The thesis presented in the present article is not the widely-accepted one according to which Mu‘tazilite thought indirectly influenced the birth and development of Arab rhetoric (balāġa ) as an intellectual trend at the time that witnessed the constitution of this discipline of Arab language sciences, but the more specific thesis that it was primarily in Mu‘tazilite thought that the foundations of balāġa as a technical discipline were truly elaborated. To argue this thesis, we shall proceed in two stages. In the first, we shall try to identify the indirect Mu‘tazilite sources of balāġa; that is, the theses and overall positions of this movement, an echo of which may be found in constitutive elements of the discipline. In the second, we will try to identify some of the direct Mu‘tazilite sources of balāġa on the basis of Mu‘tazilite studies directly devoted to the status of the Koranic text, and the concepts elaborated to account for it.
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Roman, André. "Le rôle des chiasmes dans la naissance et la formation de la langue arabe." Meta 55, no. 1 (April 30, 2010): 198–207. http://dx.doi.org/10.7202/039613ar.

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Résumé Le système syllabique Σ, de l’arabe, qui comprend les seules syllabes {Consonne-Voyelle} et {Consonne-Voyelle-Consonne}, a déterminé l’impossibilité, dans le fonctionnement de la langue, de l’opposition d’une consonne à une voyelle. Ce chiasme est à l’origine de l’organisation ancienne des langues sémitiques, régissant, jusqu’à récemment, la langue arabe. Ainsi, la langue arabe a construit son système de nomination sur des arrangements de consonnes, les racines de ses unités de nomination, et elle a fait de ses voyelles désinentielles les signifiants de ses fonctionnels primitifs, ses cas. On relève, parmi d’autres, le chiasme organisant le verbe en deux paradigmes, achevé et non achevé. D’autres encore ont dans la langue l’apparence d’un ornement. Ces quelques cas exceptés, c’est, dans le discours, hors langue – la systématique des langues est une systématique fermée – que la rhétorique trouve la liberté qui lui est nécessaire.
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Woerther, Frédérique. "La traduction arabo-latine par Hermann l'Allemand d'un passage perdu de la version arabe de la Rhétorique d'Aristote." Archives d'histoire doctrinale et littéraire du Moyen Âge 80, no. 1 (2013): 223. http://dx.doi.org/10.3917/ahdlm.080.0223.

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Belboukhari, Abdelfattah. "De l’oeil et de l’esprit : une semiotique du visible et de l’invisible dans Dalāʾil al-iʿǧāz d’al-Ǧurǧānī." Arabica 62, no. 2-3 (May 12, 2015): 260–307. http://dx.doi.org/10.1163/15700585-12341349.

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Abstract:
Le Dalāʾil al-iʿǧāz (Signes et preuves de l’inimitabilité du Coran) de ʿAbd al-Qāhir al-Ǧurǧānī (m. 471/1074) est reconnu comme l’un des traités majeurs de la rhétorique arabe. Et en tant que discours du savoir dont l’ambition affichée est celle d’une refondation de cette discipline, le sujet connaissant y tient une place centrale, en partie relativement à son rôle d’instance énonçante. C’est au niveau de cet opérateur d’énonciation que nous situerons notre analyse de la configuration discursive d’un contenu cognitif dans Dalāʾil. Ainsi, deux actes épistémiques vont retenir notre attention : la quête des signes, dont l’acte de voir (ʿayān) est l’instrument principal, et la quête des secrets. Dans cette double quête, le « je » du discours, comme expression formelle du sujet du savoir, est tenu pour une instance énonçante ancrée. C’est le « je-ici » identifiant le « champ positionnel du sujet » (Benveniste) dont il faut définir le parcours de compétence à travers lequel le sujet du savoir dans Dalāʾil se déploie comme une affirmation de soi.
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Harel, Simon. "L’ambiologie, forme contemporaine de la rumeur." Protée 32, no. 3 (September 1, 2005): 9–24. http://dx.doi.org/10.7202/011255ar.

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Abstract:
Résumé Les thèses actuelles sur la délocalisation euphorique des communautés de sens et la virtualisation électronique des réseaux de communication appartiennent à un paradigme techniciste qui s’épuise peu à peu. L’euphorie de ces dernières années (de la croissance effrénée de l’indice boursier NASDAQ à la valorisation de « l’autoroute électronique ») cache un désarroi profond qu’il convient d’analyser. La surveillance et la répression ont laissé place à la gouvernance préventive, au gouvernement « en ligne ». L’ancienne théorie des jeux, tout comme la sémiotique sont devenues des applications industrielles dont la technicité opératoire permet de résoudre conflits et problèmes. Encore là, rien qui ne soit très surprenant. Reste une question centrale : comment penser la composition de la rumeur publique à la suite du 11 septembre, l’utilisation systématique du discours médiatique tenant lieu de relais rhétorique et sémiotique de la première importance ? Pour quiconque s’émeut aujourd’hui des rumeurs publiques qui accompagnent la dissémination « contagieuse » de cette menace qu’incarne l’étranger (celui qui est coupable de « délit de faciès » : arabe ou musulman), il y a matière à méditation.
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Foda, Hachem. "La langue spéciale des poètes : l’oblitération du nom dans la poésie arabe médiévale." Arabica 69, no. 4-5 (November 3, 2022): 523–65. http://dx.doi.org/10.1163/15700585-12341622.

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Abstract:
Résumé Cet article s’intéresse au phénomène linguistico-rhétorique massivement présent dans la poésie arabe médiévale, qui consiste à oblitérer un substantif pour le remplacer par une épithète. Après avoir analysé tel discours théorique de la tradition médiévale, portant sur ce procédé appelé ṣifa li-mawṣūf maḥḏūf, l’article examine les liens que celui-ci entretient avec ce que cette même tradition nomme abyāt al-maʿānī, ces vers abscons qui ne se laissent pas comprendre immédiatement et exigent d’être interprétés. Puis, en vue d’appréhender la spécificité de ce phénomène de l’oblitération du substantif et de rendre compte du privilège que lui confère sa remarquable récurrence dans le discours poétique, l’article tente de le situer dans le cadre plus général de l’ilġāz. À cette fin, il interroge quelques ḫabars que rapporte Abū l-Faraǧ al-Iṣfahānī dans le Kitāb al-Aġānī (Le livre des chansons), qui témoignent du fait que l’oblitération du substantif constitue un facteur décisif parmi ceux qui permettent de se servir d’un vers de poésie en guise d’énigme ou de devinette, lors d’une sorte de jeu ou d’épreuve consistant à le soumettre au savoir et à la sagacité d’une ou plusieurs personnes, dans le but d’éprouver leur compétence en poésie. L’hypothèse qui guide ce travail est la suivante : la remarquable fréquence de l’oblitération du mawṣūf témoignerait de ceci au moins que dans la tradition arabe médiévale la poésie est conçue comme un discours où le locuteur évite de nommer, évite de mentionner le nom de ce dont il parle, pour en confier la mention à son destinataire (auditeur ou lecteur). Telle est la dimension essentiellement sibylline de la parole poétique. Sans se présenter toujours ni même souvent comme une énigme, cette parole est néanmoins structurée comme une énigme.
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Abi-Rached, Naoum. "La poesie dialectale libanaise." Hawliyat 9 (December 24, 2018): 39–56. http://dx.doi.org/10.31377/haw.v9i0.304.

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Abstract:
Pendant longtemps, dans les pays arabes et dans les esprits de certains, la prose fut considérée comme un genre mineur ; seul l'art poétique méritait bien ses lettres de noblesse. Il s'agit d'une idée dont les racines remonteraient à la période antéislamique qui aurait réservé à la poésie et aux poètes une place de prédilection. Par la suite, avec l'avènement de l'islam et sous les quatre premiers califes, la poésie se fit plus discrète pour revenir plus forte que jamais avec les Omeyyades et puis avec les Abbassides. La période dite de décadence que nous situons schématiquement entre le XIIIe et le XIXe siècle, n' a pas dérogé à cette règle. Les Mille et Une Nuits, que certains considèrent comme le chef-d'œuvre par excellence de la littérature de l'imaginaire populaire arabe, ne sont toujours pas classées par les spécialistes arabes dans le genre « sérieux » ; cette œuvre est rangée sous la rubrique du conte populaire. Les reproches formulés par l'intelli- gentsia al-&üssa à l'encontre des Mille et Une Nuits et de toutes les œuvres qui appartiennent au même genre soutiennent que ni les thèmes traités ne sont nobles, ni la langue utilisée n'est correcte ni soutenue. La conclusion en fut qu'il s'agit bien là d'un genre mineur destiné à amuser le peuple et à alimenter l'ima- ginaire du vulgum pecus ou la 'âmma. Durant les siècles qui ont précédé la renaissance Nama, la prose, lorsqu 'elle n'avait pas pour objet la philosophie falsafa, la grammaire, les sciences de la religion, l'exégèse coranique ou les sciences d'une manière plus large, et qu'elle ne satisfaisait pas aux principes de l'éloquence et de la rhétorique Fasâ&a et balâàa, n'appartenait pas au corpus du adab au sens noble du terme.
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Abdulla, Adnan K. "Rhetorical Repetition in Literary Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 47, no. 4 (December 31, 2001): 289–303. http://dx.doi.org/10.1075/babel.47.4.02abd.

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Abstract:
Abstract Repetition or reiteration is a phenomenon common in language, music, religion, and literature, and has been studied extensively by linguists and rhetoricians. Unfortunately, it has not been investigated in Translation Studies because repetition is essentially an aspect of comparative rhetoric, a burgeoning discipline that is still in an embryonic stage. Among other things, it deals with how a particular rhetorical device functions in a certain language, and whether that function is preserved, metamorphosed, or compromised in translation. A rhetorical device does not necessarily require verbatim translation, because one must take into consideration such factors as genre, discourse, and text. Rhetorical repetition is used for emphasis, exaggeration, or the creation of parallel structures. Sometimes, repetition is much more subtle, where it enhances the contents or the message of the literary work. Several translation examples are discussed within this context to show where and how translation fails because it has not taken into consideration the constraints behind reiteration. The paper attempts to show how different translators have rendered repetition in poetry and prose in literary texts from English and Arabic. Translators handle reiteration in one of three ways: translate repetition as repetition; opt for variation; or completely ignore it. Although there are as yet no established rules concerning the translation of repetition, it seems that in non-literary contexts, and unless reiteration is markedly motivated, it is safe to translate it as variation. In literary works, however, translation or repetition should be approached with greater caution because it is always foregrounded, and hence its translation as repetition is recommended. Variation or omission of repetition in translating literature could result in gross misjudgment and distortion of the author’s intention. Résumé La répétition ou réitération est un phénomène commun à la langue, la musique, la religion et la littérature; elle a été étudiée de façon approfondie par les linguistes et rhétoriciens. Malheureusement, elle n’a pas fait l’objet de recherches dans la Traductologie, car la répétition est essentiellement un aspect de la rhétorique comparative, discipline croissante encore au stade embryonnaire. Entre autres éléments, elle traite de la façon dont un outil rhétorique spécifique fonctionne dans un certain langage et si cette fonction est préservée, métamorphosée ou compromise dans la traduction. Un outil rhétorique ne suppose pas nécessairement de traduction mot-à-mot parce qu’il faut prendre en considération des facteurs comme le genre, le discours et le texte. La répétition rhétorique est utilisée pour créer de l’emphase, de l’exagération ou pour établir des structures parallèles. Parfois, la répétition est bien plus subtile lorsqu’elle met en évidence le contenu du message de l’oeuvre littéraire. Plusieurs exemples de traduction sont discutés pour démontrer où et comment la traduction présente des défauts parce qu’elle n’as pas pris en considération les contraintes derrière la réitération. L’article tente de montrer comment différents traducteurs ont rendu la répétition en poésie et en prose dans les textes littéraires, de la langue anglaise vers la langue arabe. Les traducteurs manient la réitération de l’une de ces trois façons: traduire la répétition telle qu’elle est; opter pour la variation; ou bien l’ignorer complètement. Bien qu’il n’existe pas encore de règles établies à propos de la traduction de la répétition, il semble que dans les textes non littéraires, et à moins que la réitération ne soit fortement motivée, il est prudent de la traduire comme une variation. Cependant dans les ouvrages littéraires, la traduction de la répétition devrait être abordée avec une plus grande prudence parce qu’elle est toujours au premier plan, et donc une traduction comme répétition est recommandée. La variation ou l’omission de la répétition lors de la traduction d’ouvrages littéraires pourrait avoir comme conséquence une appréciation gravement erronée et une distorsion de l’intention de l’auteur.
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Salih, Mahmud Husein, and Naser Al-Hassan Athamneh. "Silence in Arabic-English Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 41, no. 4 (January 1, 1995): 216–33. http://dx.doi.org/10.1075/babel.41.4.04sal.

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Abstract:
La traduction -le processus de communication qui s'opère entre des langues différentes - doit délivrer un message donné tant du point de vue linguistique que paralinguistique. Le traducteur doit maîtriser le code linguistique mais aussi la signification des moyens paralinguistiques mis en oeuvre, comme le silence, qui, très souvent, accompagne les signes linguistiques. Le silence exprime une série de fonctions dont l'insuffisance des expressions verbales, la politesse, l'hésitation, la réflexion, la triste obligation d'accepter l'autorité, et le refus de coopérer. Le présent article aborde donc la traduction arabe-anglais du silence dans le roman de Salih, Season of Migration to the North. L'auteur y démontre le rendu erroné, par le traducteur, Johnson-Davies, du silence et de tout ce qu'il reflète: l'incapacité à trouver des termes appropriés, la confusion d'esprit, l'amertume et le mystère. De plus, la traduction de Johnson-Davies semble porter atteinte à une fonction rhétorique que de Waard et Nida (1986:83) intitulent la "progression logique". Celle-ci traite de conséquences et de relations, telles que les rapports de cause à effet et de condition à effet. Par conséquent, la traduction sépare plutôt qu'elle ne relie les événements du roman et déforme leur signification. Enfin, l'auteur de l'article présente plusieurs aspects théoriques ayant une incidence sur la science de la traduction; tout traducteur devrait être conscient que l'usage de points de suspension ou que l'absence de mots pour marquer le silence n'impliquent pas nécessairement l'absence de discours ou de pensées. Les significations exprimées par le biais de la paralinguistique ne peuvent donc pas être considérées comme périphériques ni être négligées dans la traduction. D'autre part, en traduction, la maîtrise du système de la langue d'origine ne suffit pas, elle doit être accompagnée d'une connaissance parallèle des fonctions des mécanismes paralinguistiques, comme le silence.
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Dichy, Joseph. "Maroun Aouad, Averroès (Ibn Rušd), Commentaire moyen à la Rhétorique d’Aristote. Edition critique du texte arabe et traduction française. Vol. I: Introduction générale. Vol. II: Edition et traduction. Vol. III: Commentaire du Commentaire." Argumentation 22, no. 2 (March 11, 2008): 297–303. http://dx.doi.org/10.1007/s10503-008-9080-4.

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Emery, Peter G. "An ATN-based model of human translation and its application to an Arabic literary text." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 42, no. 3 (January 1, 1996): 141–57. http://dx.doi.org/10.1075/babel.42.3.03eme.

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Abstract Description of the translation process has been and continues to be an abiding problem in translation theory. In the quest for greater scientific rigour an ATN (Augmented Transition Network) surface-structure text-parser is adapted as the basis for a model of human translation. Combining systematicity and flexibility, the model makes explicit the reasons which lie behind translators' choices as well as the insights from contrastive and theoretical studies which inform these choices. The translation process is depicted as a hierarchy of cycles of increasing generality ( from micro- to macro-levels) serving the ultimate goal of rhetorical equivalence of source and target texts. The model is demonstrated utilizing an Arabic literary text and its published translation which together are evaluated in relation to an idealized target text. Résumé En matière de théorie de la traduction, la description du processus de traduction a toujours été et est aujourd'hui encore un défi continuel. Pour obtenir une plus grande rigueur scientifique, on a intégré un système d'analyse grammaticale dans un réseau ATN (Augmented Transition Network) et on l'a adapté pour servir de base à un modèle de traduction humaine. Ce programme d'analyse grammaticale contient une fonction de comparaison des structures qui est analogue aux choix que fait le traducteur pour trouver dans la langue cible des équivalents des éléments de la langue source. De plus, le modèle ATN reflète aussi, à certains égards, le processus humain, comme le traitement actif, l'organisation des unités linguistiques et les opérations sérielles et bidirectionnelles. Enfin, le modèle fait aussi apparaître les motifs qui justifient les choix du traducteur et il éclaire ces choix sous l'angle des études comparatives et théoriques. Le processus de traduction est décrit comme une hiérarchie de cycles dont la généralité évolue du niveau micro au niveau macro. Le produit de chaque cycle représente la somme des décisions prises par le traducteur pour trouver les structures équivalentes et il constitue l'apport dans le cycle suivant, le but ultime du processus de traduction étant d'arriver à l'équivalence rhétorique du texte source et du texte cible. La démonstration du modèle s'effectue à l'aide d'un texte arabe littéraire et une traduction déjà publiée de ce texte, ces deux documents étant alors évalués par rapport à un texte cible idéal.
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Kraidy, Marwan M. "Les médias en Arabie saoudite." Anthropologie et Sociétés 36, no. 1-2 (August 10, 2012): 181–200. http://dx.doi.org/10.7202/1011723ar.

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Nulle part dans le monde arabe les inquiétudes au sujet du changement social et culturel n’ont été aussi passionnément discutées qu’en Arabie saoudite, où la doctrine salafiste du wahhabisme est au coeur du système, en tant que conception sacro sainte de l’authenticité enracinée dans la pureté culturelle et religieuse et la séparation entre hommes et femmes. L’avènement de la « téléréalité » au milieu des années 2000 a réactivé ces débats dans le royaume. Star Academy, notamment, populaire émission de téléréalité en langue arabe, diffusée par satellite depuis le Liban par la Lebanese Broadcasting Corporation (LBC) depuis décembre 2003, a connu des taux d’audience record et a suscité une intense controverse en Arabie saoudite, vidant les rues des villes et animant les sermons dans les mosquées, les éditoriaux et les débats télévisés. J’ai décrit ailleurs comment cette émission était devenue le champ de bataille entre les radicaux, les conservateurs et les libéraux saoudiens. Cet article décrit les discours, qui se recoupent, des islamistes saoudiens au sujet de la télévision, en mentionnant les diverses rhétoriques de censure et de critique engagée. Il se base pour ce faire sur plusieurs textes primaires, et notamment un sermon qui a connu une grande diffusion, Satan Academy, du cheikh Mohammed Salih Al Mounajid. La manière dont les controverses publiques au sujet de la téléréalité ont cristallisé de nouveaux développements de très anciens débats est donc examinée.
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Bahout, Joseph. "Sous les décombres de Gaza." Esprit Décembre, no. 12 (December 5, 2023): 67–76. http://dx.doi.org/10.3917/espri.2312.0067.

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Abstract:
L’opération « Déluge d’al-Aqsa » lancée par le Hamas remet la question palestinienne au centre de la scène moyen-orientale, forçant les pays arabes, les États-Unis et l’Europe à se remobiliser. Mais il faut éviter la rhétorique du choc des civilisations pour créer un État palestinien.
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Ouederni, Ahmed. "La Rhétorique Typique chez les Arabes : Essai d'Al Jāhiz." Journal of Arabic Studies, no. 28 (May 2013): 1–17. http://dx.doi.org/10.12816/0001578.

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As-Safi, Abdul-Baki, and In‘am Sahib Ash-Sharifi. "Naturalness in Literary Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 43, no. 1 (January 1, 1997): 60–75. http://dx.doi.org/10.1075/babel.43.1.05ass.

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Abstract The present article investigates the concept of naturalness in literary translation. The aim of the investigation is to delineate an integrated approach to 'natural' translation, the essence of which lies in creating a compromise between accurate rendition and literary reproduction. Such a compromise entails attaining an artistic verbal smoothness which transcends the level of ordinary language. To this end, natural translation calls for a utilization of the target language's resources that will make the translation read like an authentic target language (TL) work, while preserving the content intact. The article thus identifies naturalness as the achievement of authentic TL style, and unnaturalness as the hybrid language of literal rendition, i.e. translationese that may be unacceptable or unintelligible. It detects the actualization of an authentic style of Arabic rendition on several levels: lexical, sentential, cohesive and idiomatic. On the lexical level, naturalness is delimited in terms of proper choice of appropriate vocabulary. On the sentential level, well-formedness is posited as the feature of naturalness which outlines a rhetorically natural sentence, besides other concomitant features. On the cohesive level, the features of a natural target text are based on the use of cohesive devices to a greater or lesser degree than the source text in general and on the propriety of their use in particular instances. At the idiomatic level, we mention idioms and proverbs but concentrate, with examples, on collocations. Résumé Cet article examine la notion de naturel dans la traduction des textes littéraires dans le but de cerner une approche intégrée de la traduction 'naturelle' qui consiste essentiellement à obtenir un compromis entre un rendu fidèle et une reproduction littéraire. Ce compromis exige une fluidité verbale artistique qui dépasse le niveau de la langue ordinaire. La traduction naturelle doit donc utiliser toutes les ressources de la langue d'arrivée pour que la traduction se lise comme ouvrage littéraire rédigé dans cette langue d'arrivée, tout en respectant fidèlement le contenu. Dans leur article, les auteurs définissent donc le naturel comme l'obtention d'un style authentique dans la langue d'arrivée, et le manque de naturel comme un langage hybride avec un rendu littéral, c'est-à-dire des traductions susceptibles d'être inacceptables ou incompréhensibles. L'article analyse comment mettre en oeuvre, à différents niveaux, un style authentique en arabe: lexicologie, phraséologie, cohérence et usage d'expressions idiomatiques. En ce qui concerne le niveau lexicologique, le naturel se définit comme étant le choix correct d'un vocabulaire approprié. Au niveau phraséologi-que, des phrases formées correctement sont la caractéristique du naturel qui fait apparaître, à côté d'autres propriétés, la rhétorique naturelle de la phrase. Au niveau de la cohérence, les caractéristiques d'un texte rédigé avec naturel dans la langue cible sont basées sur des mécanismes utilisés plus ou moins intensivement que dans le texte d'origine en général et sur leur utilisation appropriée dans certains cas particuliers. Au niveau des expressions idiomatiques, les auteurs mentionnent de telles expressions ainsi que des proverbes, mais se concentrent, en donnant des exemples, sur des collocations.
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Griffel, Frank. "Averroès (Ibn Rušd). Commentaire moyen à la Rhétorique d’Aristote: Édition critique du texte arabe et traduction française. Volume 1: Introduction générale. Volume 2: Édition et traduction. Volume 3: Commentaire du commentaire. Edited by Maroun Aouad. (Textes et Traditions, 5.) x + 501 + 704 + 450 pp., tables, bibl., index. Paris: Librairie Philosophique J. Vrin, 2002." Isis 98, no. 2 (June 2007): 373–75. http://dx.doi.org/10.1086/521446.

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Woerther, Frédérique. "Les traces du Grand commentaire d’al-Fārābī à la Rhétorique d’Aristote dans la traduction arabo-latine de la Rhétorique par Hermann l’Allemand." Bulletin de Philosophie Médiévale 54 (January 2012): 137–54. http://dx.doi.org/10.1484/j.bpm.1.103404.

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Thouroude, Guillaume. "Perspectives littéraires sur l’oeuvre d’Ibn Battuta : le merveilleux, l’auctorialité et la double rhétorique du voyageur." Analyses 50, no. 2 (November 25, 2021): 177–90. http://dx.doi.org/10.7202/1084004ar.

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Abstract:
Cet article montre que l’écrivain voyageur Ibn Battuta (1304-1377), très étudié dans les sciences sociales depuis les années 1980, demeure peu lu par la critique occidentale spécialisée en littérature de voyage. Après l’exposé des raisons d’une telle absence, l’analyse se tourne vers des interprétations littéraires et idéologiques qui pourraient être utiles à la critique en littérature viatique afin qu’elle se décide à inclure les voyageurs arabes dans son corpus : la catégorie du « merveilleux factuel », la multiplicité auctoriale et la double rhétorique du conservatisme et du libéralisme apparaissent comme des invariants de la Rihla tout en comptant parmi les éléments génériques intemporels du récit de voyage littéraire.
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بويران, وردة. "التوازن الصوتي بين التكرار والتوازي في شعر ليلى الأخيلية : دراسة في أساليب البديع العربية = Phonetic Balance between Repetition and Parallelism in the Poetry of Laylä Al-AḫIaliya : A Case Study of Arabic Rhetoric Styles = La Balance Phonétique entre la Répétition et le Parallélisme dans la Poésie de Laylä Al-Aḫialiya : Étude de Cas des Styles de la Rhétorique Arabe." التواصل 23, no. 52 (December 2017): 36–50. http://dx.doi.org/10.12816/0055691.

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Clément, François. "La rhétorique de l’affrontement dans la correspondance officielle arabo-andalouse aux XIIe et XIIIe siècles." Cahiers d'études hispaniques médiévales 28, no. 1 (2005): 215–41. http://dx.doi.org/10.3406/cehm.2005.1702.

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Germanos, Marie-Aimée. "Fonctions de l’alternance entre arabe standard et vernaculaire libanais et connotations des deux codes dans un discours politique d’opposition." Arabica 65, no. 4 (August 31, 2018): 501–36. http://dx.doi.org/10.1163/15700585-12341501.

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Abstract:
Résumé Cet article s’intéresse aux fonctions de l’alternance entre arabe standard et vernaculaire ainsi qu’aux connotations des deux codes dans un discours prononcé par Hassan Nasrallah. Au regard des travaux antérieurs adoptant une approche fonctionnelle – comme c’est le cas ici – de l’alternance dans le discours politique arabophone, l’intérêt du texte analysé est double. Le premier aspect intéressant de la prise de parole concerne le positionnement, dans l’opposition, de l’orateur. Le deuxième a trait à la longueur de cette allocution, qui permet l’observation de schémas récurrents d’alternance. Il ressort de l’analyse dont les résultats sont présentés dans cet article que, dans le discours étudié, l’alternance est un procédé contrastif de mise en relief souvent utilisé en renforcement d’autres procédés rhétoriques ou stylistiques dont les fonctions sont proches. On aboutit en outre à la conclusion que les connotations de chacun des deux codes – le standard et le vernaculaire – se caractérisent par leur diversité, et que la réactivation, pour ce qui les concerne, d’une valeur spécifique, est propre à chaque énoncé.
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Abdelgawad, Ahmed. "Aspects rhétoriques du langage relatif à la crise sanitaire de (Covid-19) dans les médias arabes et français." Bulletin of The Faculty of Languages & Translation 24, no. 2 (January 20, 2023): 97–122. http://dx.doi.org/10.21608/bflt.2023.291358.

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Aouad, Maroun. "Les fondements de la Rhétorique d'Aristote reconsidérés par Fārābi, ou le concept de point de vue immédiat et commun." Arabic Sciences and Philosophy 2, no. 1 (March 1992): 133–80. http://dx.doi.org/10.1017/s0957423900001582.

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Abstract:
The use of the immediate and common point of view (bādi' al-ra'y al-muštarak) is presented, in Arab philosophy, as characteristic of the rhetorical method. We will endeavour, in this article, to determine the importance, the significance and the origins of this concept in the works of Fārābī. The first part examines the concept's position in the structure of Kitāb where Fārābī, while following Rhet. I 2 (a veritable introduction to the discipline of oratory) tries to improve the structure of Aristotle's chapter around this concept, which is not in Aristotle. The concept is then defined in the second part. What is at issue is not the immediate point of view of an individual who might think of certain propositions as being universally accepted, when in fact they are not, but rather the point of view which is accepted without question by the majority. It relies on a kind of testimony (šahāda) rather than on the personal judgement of the auditor. It differs nevertheless from propositions which are really universally accepted because these can only be invalidated by an elite and not by any ordinary examination. In the third part, we will review those doctrines of Kitāb which depend on the concept of the immediate and common point of view, focusing in particular on the definition of enthymema. In the last part, we will investigate some philological and philosophical difficulties, such as the difference between rhetorical and dialectical premises, which constitute the background to the development of the concept.
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Belhabib, Assia. "Trois K marocains de la modernité comme nécessité." Études littéraires 43, no. 1 (February 14, 2013): 73–81. http://dx.doi.org/10.7202/1014060ar.

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Abstract:
À y regarder de près, les ouvrages des écrivains marocains Mohammed Khaïr-Eddine (1941-1995), Abdelkébir Khatibi (1938-2009) et Abdelfattah Kilito (né en 1945) se déterminent sous le signe de la modernité nécessaire tant sur le plan de l’écriture que du point de vue de la singularité de chacun des auteurs dans les thématiques abordées et dans le mélange des genres littéraires. Oeuvres complexes, denses, pluridisciplinaires dans lesquelles les écrivains pratiquent une expérience limite du langage. Cette habilité, des années durant, à puiser dans la bibliothèque du monde et à découper des plans de cultures, est tendue par le souci de dire autrement la littérature. Khaïr-Eddine a consacré toute sa vie à la dissidence linguistique, chassant sur la page d’écriture la langue du colonisateur et créant son propre dialecte pour dénoncer toute forme d’aliénation et de servitude. Khatibi exalte dans ses récits la force du voyageur professionnel comme promesse de dialogue et d’aimance. Kilito revisite les poètes arabes anciens à la lumière des littératures européennes et renouvelle la lecture des Mille et une nuits, oeuvre intemporelle, universelle et inachevée. C’est à ces questions, plus philosophiques que simplement rhétoriques, que nous convient ces auteurs qui tentent d’inscrire la modernité au-delà d’une géographie, d’une époque ou d’une culture à partir d’une langue d’écriture : le français.
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Sartori, Manuel. "Lapsus et apposition de rectification de l’arabe." Historiographia Linguistica, November 1, 2022. http://dx.doi.org/10.1075/hl.00101.sar.

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Abstract:
Résumé Si, pour nos traditions grammaticales européennes, la reconnaissance des appositions comme objet grammatical et non plus seulement comme éléments ressortissants à la rhétorique ne se fait que tardivement et non sans allers-retours, en gros vers le xvi e siècle, celles-ci sont intégrées à la grammaire de l’arabe dès le début de son histoire au ii e/viii e siècle. La prime tradition grammaticale arabe reconnaît même, de manière implicite mais suffisamment claire, l’opposition à faire entre apposition liée et apposition détachée, ce que nos traditions grammaticales attendrons encore longtemps. Un autre trait de la singularité de la tradition grammaticale arabe sur cette question de la reconnaissance grammaticale des appositions, fait l’objet de cet article : elle est semble-t-il la première mais encore la seule à intégrer à son matériau grammatical l’erreur commise par le locuteur, qu’il s’agisse d’une faute d’inattention ou d’un oubli momentané, c’est-à-dire ce qui est nommé depuis le xx e siècle et ses préoccupations propres lapsus (linguae, memoriae). Et si elle en traite grammaticalement, c’est parce qu’elle reconnaît les corrections de ces erreurs comme des types d’apposition, des permutations, ce que ne fait encore que très imparfaitement la linguistique générale contemporaine et pas du tout les grammaires des langues européennes. Cet article met en avant la contribution que la grammaire de l’arabe peut apporter à la grammaire générale en lien avec grammatisation des appositions.
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"Review: Le Livre de la Rhétorique du philosophe et médecin Ibn Tumlûs (Alhagiag bin Thalmus). Introduction générale, édition critique du texte arabe, traduction française et tables, by Maroun Aouad." Rhetorica 25, no. 4 (2007): 446–48. http://dx.doi.org/10.1525/rh.2007.25.4.446.

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Sapiega, Jacques. "Cabaret Crusades de Wael Shawky." animer, no. 22 (April 2, 2014). http://dx.doi.org/10.7202/1024117ar.

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Abstract:
Que veut dire « animer les personnages de l’histoire » lorsque ceux-ci sont interprétés par des marionnettes ? Dans le film de Wael Shawky Cabaret Crusades : The Path to Cairo (2013), libre adaptation cinématographique de l’essai d’Amin Maalouf (Les croisades vues par les Arabes), le processus de manipulation affiche sa portée symbolique et idéologique : sorties du même moule, les marionnettes sont « agies » et « naissent à l’histoire » en rejetant les rhétoriques du Bien et du Mal.
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Latruffe, Norbert, and Jean-Pierre Rifler. "Le vin, la nutrition méditerranéenne et la santé, un tryptique historique et toujours d’actualité." Territoires du vin, no. 10 (October 16, 2019). http://dx.doi.org/10.58335/territoiresduvin.1748.

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Abstract:
L’histoire de la vigne et du vin remonte aux royaumes d’Anatolie, aux Phéniciens et aux civilisations gréco-romaines. Le thème du vin et sa perception dans nos sociétés occidentales restent une permanence et une constante actualité. Le vin est synonyme de plaisir et d’échange à condition de ne pas en faire un médicament et de rester dans une consommation maîtrisée. C’est un lien social. Dans notre mode de vie traditionnel lié à notre civilisation méditerranéenne multimillénaire, le vin est un élément de bien-être et de santé s’il en est fait un bon usage. Depuis que l’homme a « découvert » le vin, celui-ci est largement présent dans notre alimentation et dans notre culture. Cette relation entre le vin et la nutrition est magnifiquement mise en évidence avec les travaux de Serge Renaud ayant conduit au concept du « French Paradox ». Auparavant, et empiriquement, l’homme s’est rendu compte des bienfaits du vin sur sa santé avant Hippocrate, médecin-philosophe de la Grèce antique. Avant cette période, il y a eut les égyptiens, les indiens et les chinois ; puis ensuite, les romains, les arabes avant l’Islam, les moines, les scientifiques comme Pasteur, ou notre contemporain Serge Renaud, père du French Paradox. Avec, comme toujours la rhétorique du « vin, antinomique de santé ». La cuisine méditerranéenne est reconnue pour ses bienfaits sur la santé car elle associe le vin riche en polyphénols à une alimentation à base d’olives (produisant de l’huile riche en acides gras poly-insaturés – oméga 3) ; de fruits et de légumes, riches en anti-oxydants ; des céréales, riches en fibres, des fruits à coque (noix) ; des épices et des aromates et, selon les coutumes, du vin ou des infusions, riches en polyphénols. Cette cuisine méditerranéenne intéresse tout le monde car elle est un facteur de bonne sant. Elle est reconnue depuis 2010 comme patrimoine immatériel de l’UNESCO. A remarquer que cette cuisine n’est pas restreinte au pourtour de la méditerannée mais aux régions du globe à la même latitude entre les 39 et 40è parallèles (hémisphère nord comme hémisphère sud) ; par exemple, la Californie, certaines régions de la Chine, les îles japonaises d’Okinawa, le Chili ou encore l’extrémité sud de l’Afrique du Sud. Le régime méditerranéen est à rapprocher du régime des japonais d’Okinawa (alimentation à base de poisson, de légumes de la mer (algues), d’aromates, de thé (riche en EGCG), voire du saké !). Les études scientifiques ont montré que ce régime diminue les risques coronariens, le cancer du sein ou le cancer colorectal. De façon notoire, il s’agit d’endroits du globe où l’on va trouver une proportion de centenaires au-dessus de la moyenne. Parmi quelques centenaires célèbres en France tels Jeanne Calmant et Robert Marchand, chacun d’eux prenaient (ou prennent) régulièrement un peu de vin. La France n’est-elle pas la première nation consommatrice de vin alors qu’elle se place au 20è rang dans la consommation d’alcool ! Les polyphénols de la vigne, en particulier le resvératrol, possèdent des propriétés biologiques très intéressantes. Chez l’homme le resvératrol produit des bienfaits comme anti-oxydant au niveau vasculaire, comme antivieillissement cérébral, comme anticancéreux ou encore comme anti-inflammatoire de bas niveau ; sachant qu’un anti-oxydant est une substance qui piége les molécules d’oxygène toxiques (les radicaux libres) et les empêcher d’altérer les composants de la cellule. Aussi, la mesure du pouvoir anti-oxydant du sang est un paramètre intéressant puisqu’elle va donner une indication sur le niveau de défense de l’organisme. Un peu plus de vingt-cinq ans après, doit-t-on encore parler de « French Paradox » sachant qu’il était limité à la mortalité par accident vasculaire ? Depuis, des progrès des connaissances sur le vin, en liaison avec la nutrition et le cancer, les maladies neurodégénératives, comme Alzheimer ont été accomplis. Telle l’étude de Orgogozo et coll. 1997 qui a montré la forte diminution des cas de démences et d’apparition des signes d’Alzheimer chez des séniors consommant régulièrement du vin.

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