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Journal articles on the topic 'Résilience alimentaire'

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Brial, Adèle, Sylvie Ferrari, Sandrine Gombert-Courvoisier, and Jean-François Hoarau. "La résilience alimentaire en milieu insulaireEntre autonomie alimentaire et libre échange." Économie rurale, no. 382 (December 31, 2022): 133–45. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.10828.

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Farhangi, Cyrus. "Il se mobilise pour la résilience alimentaire des territoires." DARD/DARD N° 5, no. 1 (October 26, 2021): 130–37. http://dx.doi.org/10.3917/dard.005.0130.

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Bitsoumanou Nkounkou, Junior, and Ludovic Temple. "Résilience du secteur alimentaire face à la crise Covid-19 et perspectives pour les politiques agricoles en République du Congo." Cahiers Agricultures 30 (2021): 39. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021025.

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Abstract:
La crise économique et sanitaire due à la Covid-19 interpelle les trajectoires de reconfiguration des systèmes alimentaires en République du Congo. Elle questionne la capacité des mesures de régulation prises par les pouvoirs publics et des stratégies d’adaptation des acteurs à induire des inflexions dans la gouvernance structurelle du système alimentaire du pays. L’article analyse les stratégies d’adaptation à la crise en mobilisant des données secondaires et des expériences d’accompagnement de politiques publiques agricoles et alimentaires conduites par les auteurs. Au Congo, le secteur alimentaire reste tributaire des importations et repose sur une agriculture vivrière extensive. Pour gérer la pandémie, un confinement général « flexible » de la population a été appliqué. Les achats de panique, la réduction de la durée d’activité des marchés et la hausse temporaire des prix des produits alimentaires ont révélé les fragilités du secteur, liées à sa dépendance aux marchés internationaux. La crise a cependant confirmé la capacité d’innovation collective du secteur informel. Elle réhabilite la reconnaissance d’une agriculture de proximité, source d’emplois pour des populations vulnérables. Elle interpelle la conception de politiques agricoles et alimentaires futures au regard d’enjeux d’intégration des risques sanitaires, alimentaires et sociaux, dans le contexte du bassin forestier du Congo, qui est exposé à des risques de résurgence de zoonoses existantes et d’arrivée de maladies émergentes.
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Fallot, Abigaïl, François Bousquet, and Sandrine Dury. "Les paradoxes de la résilience en matière de sécurité alimentaire." Revue internationale des études du développement N°239, no. 3 (2019): 57. http://dx.doi.org/10.3917/ried.239.0057.

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Desjardins, France, and Pierre-André Tremblay. "S’ alimenter malgré le froid, la distance et le reste : l’émergence de stratégies favorables à la résilience alimentaire en Jamésie (nord du Québec)." Revue organisations & territoires 30, no. 3 (February 11, 2022): 89–100. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v30n3.1383.

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Abstract:
Cet article s’intéresse à la résilience démontrée par les acteurs du système alimentaire de la Jamésie, dans le nord du Québec, en se basant sur les stratégies déployées par les personnes qui se trouvent à l’extrémité de la chaîne de consommation, soit les « mangeurs ». Dans cette région et ce système alimentaire, nous retrouvons des acteurs économiques liés au système alimentaire (producteurs, transformateurs, distributeurs et transporteurs), mais aussi des organisations communautaires et des instances politico-administratives. L’analyse repose sur le fait que les mangeurs possèdent des caractéristiques individuelles et sociales qui organisent, permettent et contraignent leurs stratégies. Ces résultats d’une recherche réalisée en 2020 ont été intégrés à une réflexion systémique relative à l’interdépendance des acteurs afin de proposer des recommandations visant à développer la participation et la coordination des diverses parties prenantes.
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Dury, Sandrine, Arlène Alpha, Nadine Zakhia-Rozis, and Thierry Giordano. "Les systèmes alimentaires aux défis de la crise de la Covid-19 en Afrique : enseignements et incertitudes." Cahiers Agricultures 30 (2021): 12. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020052.

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Abstract:
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne. Mises en perspective avec les rapports des organisations internationales, ces informations permettent de dresser un constat nuancé. Si le commerce mondial des produits de base et la production agricole dans les pays du Sud ont été relativement peu affectés par les mesures de restriction prises pour limiter la propagation du virus, certaines filières de produits périssables ont rencontré des difficultés pour écouler leurs produits. Mais surtout, la crise a mis en exergue la déconnexion entre le monde de la production agricole, du commerce alimentaire et la situation des consommateurs précaires, qui dans les villes et dans le secteur informel ont pris de plein fouet l’arrêt des activités économiques. Cette crise sanitaire invite à repenser les mesures de gestion de la crise, tant à court terme qu’à plus long terme, avec une approche intégrée des systèmes alimentaires pour renforcer leur résilience et soutenir les stratégies d’adaptation des acteurs.
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Lichy, Jessica, and Derek Watson. "Managing uncertainty in food supply chains – The case of British food manufacturing." Question(s) de management 45, no. 4 (July 26, 2023): 181–95. http://dx.doi.org/10.3917/qdm.225.0181.

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Abstract:
À l’ère de la permacrise, les entreprises et notre société continuent d’être marquées par un niveau élevé d’incertitude, de fragilité et d’imprévisibilité. Dans ce contexte, le présent papier propose une analyse de la manière dont les responsables du secteur de l’industrie alimentaire britannique font face à une succession de défis provoqués par la récession, le Brexit et la Covid-19. Outre les suppressions d’emplois et les pertes de revenus, les responsables du secteur agroalimentaire sont confrontés à la menace constante de la contamination des aliments et aux conséquences négatives de l’augmentation, d’année en année, du nombre de personnes touchées ou décédées à la suite d’une contamination alimentaire. De telles erreurs portent atteinte à l’identité de la marque, entraînant des pertes de revenus supplémentaires et une éventuelle cessation d’activité. À l’aide d’une étude de cas ethnographique, nous identifions la manière dont les gestionnaires peuvent renforcer la résilience en intégrant une stratégie en trois parties (contrôle, coopération et communication), qui peut contribuer au développement d’une culture progressive de la sécurité alimentaire. En outre, nous soutenons que cette approche aidera les managers à se préparer à la récession imminente.
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Robert, M., R. Shankland, V. A. Andreeva, M. Deschasaux-Tanguy, E. Kesse-Guyot, C. Leys, S. Hercberg, M. Touvier, and S. Péneau. "La résilience est associée aux troubles du comportement alimentaire dans la cohorte NutriNet-Santé." Nutrition Clinique et Métabolisme 36, no. 1 (February 2022): S27—S28. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2021.12.051.

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Vonthron, Simon, Sandrine Dury, Abigail Fallot, Arlène Alpha, and François Bousquet. "L’intégration des concepts de résilience dans le domaine de la sécurité alimentaire : regards croisés." Cahiers Agricultures 25, no. 6 (November 2016): 64001. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2016039.

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Brassard, Nancy. "COVID-19 et les retombées positives : l’autre côté de la médaille!" Ad machina, no. 4 (February 26, 2021): 25–38. http://dx.doi.org/10.1522/radm.no4.1241.

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Abstract:
La présente étude, de nature exploratoire, expose les divers aspects positifs issus du confinement lié à la pandémie de la COVID-19 au Québec. Une trentaine d’entretiens informels ont été effectués pour étudier ces perceptions. En somme, les individus ont observé des changements positifs quant à leur rapport à la consommation, leur comportement alimentaire, leur rapport au temps, leur mobilité, leur équilibre personnel, leurs liens communautaires, leur capacité de résilience et leur littératie numérique. Néanmoins, le temps passe et ces aspects positifs, s’ils ne sont pas activés ou préservés, pourraient s’estomper. Si tel est le cas, il ne sera plus possible de s’appuyer sur ceux-ci pour transformer la société vers une gestion bienveillante et le développement des capacités d’apprentissage des organisations. Malgré une intervention rapide et financière des gouvernements, il ne semble pas y avoir de mécanismes mis en place de manière concomitante pour susciter des transformations (p. ex. : l’adaptation des services de restauration, les formations pour les chômeurs, etc.). Ainsi, nous souhaitons mettre en lumière le côté positif du confinement pour encourager les acteurs de la société à se mobiliser en vue de devenir plus résilients et innovateurs dans leurs pratiques pour contribuer au développement de la « nouvelle normalité » ou faire face à de nouvelles vagues ou crises.
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Ba, Djibrirou Daouda, and Tégaye Diop. "Résilience à la variabilité climatique et perspectives des activités agropastorales dans la région de Matam, nord du Sénégal." Africa Development 47, no. 3 (October 5, 2022): 43–62. http://dx.doi.org/10.57054/ad.v47i3.2673.

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Abstract:
Le Sénégal, pays sahélien, est confronté aux conséquences néfastes de la variabilité climatique du fait de son économie essentiellement agricole très tributaire des conditions climatiques. Ce phénomène se répercute immanquablement sur la production agricole et l’économie, compromettant ainsi la sécurité alimentaire. Dans la région de Matam, le changement climatique est une menace sensible et plusieurs faits l’illustrent : la baisse de la pluviométrie, des pluies plus intenses et de plus courte durée, une augmentation de la température, etc. Les impacts négatifs sont également multiples : désertification, perte des terres arables et de pâturage, réduction de la disponibilité de l’eau pour les activités productrices. L’objectif de cet article est d’analyser l’impact de la variabilité climatique dans la région et les différentes stratégies de résilience développées par la population pour y faire face. La méthodologie adoptée consiste d’abord à analyser la variabilité interannuelle ainsi que le caractère aride de la zone. Puis la méthode aléatoire simple a été utilisée pour effectuer l’enquête diagnostique relative à la résilience des activités agropastorales. Les résultats ont montré l’irrégularité interannuelle des précipitations et confirment le caractère aride de la région impactant sur les rendements agricoles et sur le couvert végétal. Les résultats ont également montré que l’agriculture reste en grande partie extensive et marquée par la poussée de la riziculture irriguée, avec un début de modernisation
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Richards, Gabrielle, Jim Frehs, Erin Myers, and Marilyn Van Bibber. "Commentaire - Le Programme sur le changement climatique et l’adaptation du secteur de la santé : mesures d’adaptation mises en avant par les chefs de file autochtones en matière de climat." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 39, no. 4 (April 2019): 140–43. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.39.4.03f.

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Abstract:
Le Programme sur le changement climatique et l’adaptation du secteur de la santé (PCCASS) est un programme qui relève de la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits de Services aux Autochtones Canada (qui relevait auparavant de Santé Canada). Le PCCASS aide les collectivités des Premières Nations et des Inuits à réduire l’impact des changements climatiques sur la santé et à s’adapter à ces derniers. Les conséquences des changements climatiques sur la santé des Autochtones se font sentir dans plusieurs secteurs, notamment la sécurité alimentaire, les remèdes traditionnels, la santé mentale et les pratiques reposant sur l’utilisation des terres. Le programme vise à répondre aux besoins des collectivités des Premières Nations et des Inuits engendrés par les changements climatiques et les problèmes de santé qui en découlent, afin de favoriser la résilience et l’adaptation face aux changements climatiques actuels et à venir, et ce, en mettant au premier plan les jeunes et le renforcement des compétences. Cet article, qui se fonde sur les onze années d’expérience du PCCASS avec les collectivités autochtones, fournit un aperçu de son modèle et des travaux qu’il a soutenus et qu’il continue de soutenir. On y présente trois exemples de projets communautaires pour réduire les conséquences des changements climatiques sur la santé et s’y adapter, projets qui témoignent de la résilience des collectivités autochtones face aux changements climatiques.
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Elloumi, Mohamed. "L’agriculture tunisienne face à la Covid-19 : impacts de la crise sanitaire et perspectives pour une agriculture résiliente." Cahiers Agricultures 29 (2020): 35. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020032.

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Abstract:
L’économie tunisienne a subi de plein fouet les effets de la crise sanitaire Covid-19 et des mesures indispensables pour la juguler prises par les pouvoirs publics comme la fermeture des frontières et le confinement de la population. L’agriculture a dû faire face aux mêmes difficultés ; toutefois, la courte durée du confinement total et la décision des autorités d’exclure les activités agricoles de certaines restrictions ont réduit les effets de la crise sanitaire sur la disponibilité des produits alimentaires. Cependant, la baisse du pouvoir d’achat des franges les plus vulnérables de la population a réduit leur accès à certains produits de base. En définitive, ce sont les principales filières agricoles tunisiennes d’exportation (dattes, huile d’olive…) qui ont été les plus impactées du fait de la baisse de la demande internationale. Enfin, si la réponse des agriculteurs et des différents acteurs qui encadrent le secteur a permis une certaine résilience, il n’en demeure pas moins que cette conjoncture a servi de révélateur d’une crise plus profonde du système alimentaire et agricole qui doit faire face à des défis majeurs comme la dépendance aux marchés extérieurs pour plusieurs produits de base (céréales, soja, viande rouge, huile de graine…) et dont le dépassement nécessite une refonte à la fois du modèle technique et du pacte social entre agriculteurs et consommateurs.
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Dagbeto, Romaric, Souleïmane A. Adekambi, and Jacob A. Yabi. "Financement Solidaire des Mutuelles Communautaires de Nutrition (MCN) et l’Amélioration de la Résilience Alimentaire et Nutritionnelle des Enfants: Une Revue Systématique de Littérature." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 6 (February 28, 2023): 92. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n6p92.

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Abstract:
La présente étude s’est penchée sur les acquis scientifiques concernant la contribution des mutuelles communautaires de nutritions (MCN) à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants en Afrique et surtout au Bénin. L’objectif de l’étude était de faire un point systématique des revues scientifiques en lien direct ou indirecte avec la thématique d’étude. Pour ce faire, les principales bases de données numériques AGORA, Google Scholar, Pubmed et Scopus ont été consultées. AGORA a permis de constituer la base de données des revues scientifique pour un traitement statistique. Les combinaisons booléennes utilisées sont (Mutuelle communautaire) AND (Nutrition) ((Sécurité alimentaire) OR (sécurité nutritionnelle)) AND ((Afrique) OR (Mutuelle santé) AND/OR (Enfant). Au total, 1213 articles ont été répertoriés sur le serveur de recherche. L’insertion des critères d’exclusion a permis de recenser 321 articles, qui étaient en lien indirect ou ayant des thématiques similaires avec notre sujet de recherche. Somme toute, après lecture des résumés et ou texte, 34 articles sont en relation de similitude avec la thématique de recherche. Il s’agit de 33 articles de revue et 1 chapitre de livre. L'analyse des données a révélé que la majorité des articles ont été publiés entre 2000 et 2021. Par ailleurs, du point de vue des domaines d'études abordés, le traitement des informations recueillies a montré que les domaines ayant enregistré plus de publication sont : la santé publique, la médicine, l’économie, la sociologie, l’éducation, la science politique et la littérature. Cependant, on note de façons générale un grand vide en ce qui concerne les informations faisant état ou faisant le lien entre les mutuelles et la sécurité alimentaire et nutritionnelle (SAN) chez les enfants. A l’issu de cette revue il ressort que les mutuelles, de par la solidarité entre les membres et la participation démocratique qu’elles favorisent, contribueraient à améliorer significativement le bien-être des populations. Il est également à noter que ces mutuelles ressentent beaucoup d’insuffisances sur le plan socio-économique en occurrence un faible taux d’adhésion et de pénétration qu’il urge à corriger pour les rendre encore plus performant. This study looked at the scientific findings concerning the contribution of community mutuals to the food and nutritional security of children in Africa and especially in Benin. It has set itself the objective of systematically reviewing scientific journals directly or indirectly related to the study theme. To do this, the main digital databases consulted are AGORA, GoogleScholar, Pubmed and Scopus. Agora made it possible to constitute the database of scientific journals for statistical processing. The Boolean combinations used are (Community mutual) AND ((Food security) OR (nutritional security)) AND ((Africa) OR (Health mutual) AND / OR (Child). A total of 1213 articles were listed on the server. After inclusion of the exclusion criteria, 321 articles were directly or indirectly related to our research topic. All in all, after reading the abstracts and / or text, 34 articles are directly related to the research topic of 33 journal articles and 01 book chapter. Analysis of the data revealed that the majority of articles were published between 2000 and 2021. In addition, from the point of view of the fields of study covered, the treatment of the information collected showed that the fields which registered more publication are: public health, medicine, economics, sociology, education, political science and literature. However, it is important to notify that of the 1213 articles identified, only 37 articles dealt with the contribution of mutual health organizations to food and nutritional security for children in Africa once the interest of this study. At the end of this review, it appears that the mutuals, basing themselves more on criteria such as solidarity and democratic participation, play a significant role in the well-being of the populations. It should also be noted that these mutuals have a lot of shortcomings that need to be corrected to make them even more efficient.
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Bazile, Didier, Federico Andreotti, Cristina Biaggi, Alipio Canahua Murillo, Marco Chevarria-Lazo, Ernesto Chura, Gerardo Garland, Juan Antonio González, Ángel Mujica-Sánchez, and Mario E. Tapia-Nuñez. "Le Quinoa au temps de la Covid-19 : vers de nouvelles coordinations entre les producteurs des différents pays andins." Cahiers Agricultures 30 (2021): 28. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021016.

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Abstract:
Le quinoa est cultivé depuis des millénaires dans les Andes depuis sa domestication sur les bords du lac Titicaca, entre le Pérou et la Bolivie. Culture rustique des hauts plateaux andins, il a conquis le marché international depuis une trentaine d’années. Aujourd’hui, le Pérou est le premier producteur mondial et la majorité de sa production est exportée. Produit localement par des petits paysans et consommé à l’échelle globale, le quinoa reflète bien le contexte de la mondialisation de l’agriculture et de l’alimentation. La crise de la Covid-19 a aussi touché le Pérou et interroge les acteurs sur la robustesse et la résilience des filières d’exportations. Cet article d’opinion repose sur des débats organisés en mai–juin 2020 au Pérou. Après avoir rappelé le contexte général de la culture du quinoa et du lien entre la Covid-19, l’agriculture et la biodiversité, nous soulignons les liens entre crise sanitaire, crise agricole et crise alimentaire. Cette pandémie mondiale offre l’opportunité de questionner les modèles agricoles actuels afin d’en tirer des leçons pour le futur. La projection de nouvelles solidarités autour d’une marque collective est porteuse d’un projet territorial transnational à l’échelle des Andes. Accompagner les acteurs pour en faire un modèle de développement inclusif requiert des outils participatifs adaptés.
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Djiwa, Oyetounde, Hodabalo Pereki, and Kudzo Atsu Guelly. "Perceptions ethnoculturelles des services écosystémiques rendus par les agroforêts à base de cacaoyer au Togo." BASE, no. 3 (2021): 208–22. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.19153.

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Abstract:
Description du sujet. Les agroforêts à cacaoyer sont d’une grande importance économique, écologique et sociale. Le choix des essences forestières à associer aux cacaoyers dépend de leurs usages suivant les groupes ethnoculturels et de leur contribution dans la diversification des sources de revenus des populations locales. Objectifs. L’objectif de cette étude est d’analyser les perceptions locales des agriculteurs sur les services écosystémiques des agroforêts à base de cacaoyer. Méthode. Des enquêtes ethnobotaniques ont été menées auprès des cacaoculteurs dans l’aire géographique de production de cacao au Togo. Elles ont été couplées à des observations directes dans des parcelles de cacaoyers. L’étude a touché 702 cacaoculteurs répartis dans 50 cantons couvrant neuf préfectures. Les analyses statistiques ont consisté en des calculs de fréquences, de pourcentages et de moyennes, en plus de tests statistiques et d’une ordination non métrique des espèces selon les groupes ethnoculturels. Résultats. Les groupes ethnoculturels autochtones et allochtones ont cité 174 espèces associées aux cacaoyers. Ces espèces fournissent 18 services aux cacaoculteurs intérrogés. Les trois principaux critères de choix considérés pour maintenir une espèce ligneuse dans une agroforêt à cacaoyer sont l’ombrage offert aux cacaoyers (98,14 %), la contribution à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages (92,43 %), la diversification des sources de revenu du ménage (78,71 %). La diversité des espèces associées varie suivant les groupes ethnoculturels et suivant les caractéristiques socioéconomiques. Conclusions. Cette étude offre, aux instituts de vulgarisation et de recherche dans la cacaoculture, une évaluation de la diversité d’essences forestières dont il convient de maîtriser les techniques de culture pour aider les cacaoculteurs à rendre leurs productions plus durable au Togo. L’adoption de bonnes pratiques et des technologies durables pour accroitre la résilience des systèmes de production des cacaoculteurs nécessite des considérations particulières basées sur les perceptions des communautés locales.
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BONOU, Dominique, Soufouyane ZAKARI, Dénis SABO, Ismaïla TOKO IMOROU, Ibourïma YABI, and Wilfrid WISSIN E. "Biodiversité Et Usage Ecologique Des PFNL Par Les Populations Rurales Riveraines De La Foret Classée De La Lama Dans Les Communes De Toffo Et Zogbodomey (Au Bénin) Dans Le Contexte Des Changements Climatiques." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 34, no. 1 (October 2, 2022): 450. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v34.1.4652.

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Abstract:
Résumé – Le présent article s’intéresse particulièrement à l’analyse de la biodiversité et les formes d’utilisation des PFNL par les populations rurales riveraines de la forêt classée de la Lama dans les Communes de Toffo et Zogbodomey dans un contexte des changements climatiques.Les données ont été collectées à partir des enquêtes ethnobotaniques et socioéconomiques. Au total 806 personnes ont été enquêtées dans les villages riverains de la forêt classée. Le calcul de la valeur d’usage ethnobotanique et des analyses statistiques ont permis de traiter les données et informations collectées. Un total de 162 espèces réparties en 142 genres et 67 familles ont été identifiées et sont utilisées par environ 80 % des populations rurales au quotidien surtout en période de soudure et ou de sécheresse. Les Rubiaceae 31 %, les Leguminosae 28 %, les Moraceae 17 %, les Caryophyllaceae 13 % et les Bignoniaceae 11 % sont les familles les plus dominantes. Les organes prélevés sont les feuilles avec une proportion de 37 %, les fruits suivent avec 26 %, a planté entière et la racine occupent respectivement 10 % et 25 % ; 1 % pour la tige et l’écorce.Les PFNL sont utilisés comme plantes médicinales (60 %) ; Nourritures (24 %) et artisanale (plantes ornementales, de l’énergie, des matériaux de construction, des équipements de pêche, des biens et des ustensiles 18 %) et font objet d’échanges commerciaux, de besoins de subsistance et aussi de source de revenus et d’emploi. Il ressort les PFNL contribuent ainsi à, la réduction de la pauvreté et la sécurité alimentaire contribuant ainsi à la résilience des communautés dans un contexte des changements climatiques.Mots clés : PFNL, Forêt classée, Lama (Toffo et Zogbodomey), résilience, changements climatiquesAbstract - This article is particularly interested in the analysis of biodiversity and forms of use of NWFPs by rural populations bordering the Lama classified forest in the Districts of Toffo and Zogbodomey in a context of climate change.Data were collected from ethnobotanical and socioeconomic surveys. A total of 806 people were surveyed in the villages bordering the classified forest. Calculation of ethnobotanical use value and statistical analyzes are used to process the data and information collected.A total of 162 species divided into 142 genera and 67 families have been identified and are used by about 80% of rural populations on a daily basis, especially during the lean season and/or drought. Rubiaceae 31%, Leguminosae 28%, Moraceae 17%, Caryophyllaceae 13% and Bignoniaceae 11% are the most dominant families. The removed organs are the leaves with a proportion of 37%, the fruits follow with 26%, whole planted and the root respectively occupy 10% and 25%; 1% for stem and bark.NTFPs are used as medicinal plants (60%); Food (24%) and crafts (ornamental plants, energy, building materials, fishing equipment, goods and utensils 18%) and are subject to trade, subsistence needs and also source income and employment. It appears that NWFPs thus contribute to poverty reduction and food security, thus contributing to the resilience of communities in a context of climate change.Keywords: PFNL, Classified Forest, Lama (Toffo and Zogbodomey), resilience, climate change
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MAIGA, Ousmane Younoussa, and Babakar SOUMARE. "Les mécanismes de résiliences des ménages dans le contexte de la crise sanitaire de la COVID-19 au Mali." International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 6 (December 27, 2021): 1098–109. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i6.206.

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Abstract:
Le présent article fait un focus sur les effets de la pandémie de la COVID-19 à travers les mesures barrières édictées pour stopper sa propagation. Il met en évidence les conséquences de la COVID-19 sur la récession économique, la transition des ménages dans la pauvreté et les stratégies de résilience utilisées contre la COVID-19. En effet, la contraction des industries productives a entrainé une baisse de 7,1 point le niveau de production. Depuis l’apparition du premier cas positif au Mali, la pandémie de la COVID-19 a durement affecté la population à travers ses conséquences notamment sur l’emploi et l’accès aux services de soins de santé et d’éducation. Les conséquences de la COVID-19 ont été plus marquées pour ses effets indirects que directs. Au niveau de l’emploi, la pandémie a entrainé une augmentation brutale des pertes d’emploi, en particulier dans les secteurs tertiaire et secondaire. Au plan de l’éducation la fermeture des écoles a contraint de garder plus de quatre millions d’enfants à la maison. Au niveau de la santé, la mobilisation des acteurs de la santé pour contrer la pandémie a conduit à des conséquences négatives sur des programmes essentiels comme la vaccination et les programmes de lutte contre certaines maladies. Environs 30 à 40% des ménages étaient dans les difficultés d’accès aux services de soins jusqu’en octobre 2020. A la même période 56% des ménages ruraux ont connues une réduction de leur revenu. Les principales stratégies d'adaptation utilisées par les ménages pour faire face aux effets de la COVID-19 outre les mesures gouvernementales ont été la vente d'actifs, l'engagement dans des activités génératrices de revenus supplémentaires, le recours à l'épargne, l'aide des amis et de la famille, la réduction de la consommation alimentaire et l'emprunt auprès des amis et de la famille. L’approche méthodologique a reposé sur une analyse descriptive des données en coupe transversale. Les données utilisées sont issues d’enquêtes réalisées par les structures relevant du système statistique nationale du Mali et des rapports d’études sur la COVID-19 au Mali.
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Duvat, Virginie K. E., Alexandre K. Magnan, and Rémy Canavesio. "La reconstruction de chaînes d'impacts au service de l'évaluation de la résilience des territoires et de la réduction des risques météo-marins : le cas des atolls des Tuamotu, Polynésie française." La Houille Blanche, no. 2 (April 2018): 13–21. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2018016.

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Abstract:
Cet article démontre l'intérêt d'une approche de la résilience des territoires par la reconstruction de « chaînes d'impacts » d'événements passés. Proposé au Ministère de l'Ecologie comme composante du référentiel national d'adaptation au changement climatique [ONERC, 2012], ce concept a fait l'objet d'applications à des cyclones tropicaux ayant touché les atolls des Tuamotu (Polynésie française) dans le cadre du projet RDT Réomers (2013-2016). Les résultats révèlent : (1) L'ampleur et la variabilité des impacts des cyclones, riches d'enseignements pour renforcer la résilience. (2) Le rôle crucial des retours d'expérience passés dans la réduction de la vulnérabilité, à travers le renforcement de la prévention et la sécurisation des ressources vitales. (3) Les barrières à la réduction des risques et à l'adaptation (éclatement territorial, conflits d'acteurs et manque de moyens financiers mobilisables, notamment). (4) Les mécanismes complexes, tant physiques (exhaussement des îles) que socio-économiques (amélioration de la productivité agricole et des conditions de vie), par lesquels les cyclones passés ont contribué à construire la résilience, et qui impliquent de penser des politiques d'adaptation spécifiques et intégrées. (5) L'émergence de nouvelles formes de vulnérabilité, dues à une augmentation de la dépendance des atolls vis-à-vis de Tahiti (importations alimentaires et dépendance associée aux emplois rémunérés, problèmes de santé publique). La méthode utilisée est (i) applicable à tout territoire et à toute perturbation ; (ii) permet d'identifier des leviers pour réduire les risques actuels ; (iii) répond aux enjeux de l'adaptation au changement climatique.
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Diaby, Mahamadou, Yenizié Kone, Kalifa Traore, Alpha Seydou Maiga, and Anewin Moïse Togo. "Analyse des déterminants de l’adoption de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) dans la zone soudano-sahélienne : cas des cercles de Diéma et Kolokani au Mali." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 2 (May 12, 2020): 473–85. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i2.14.

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Abstract:
Au Mali, les systèmes de production agricole sont fortement tributaires des précipitations, ce qui explique l’impact direct de la variabilité du climat sur la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance des ménages agricoles. La Régénération Naturelle Assistée (RNA) est l’une des stratégies d’adaptation qui permet d’accroître la résilience des exploitations agricoles face aux aléas climatiques. Cette étude vise à analyser les déterminants de l’adoption de la RNA dans les cercles de Diéma et de Kolokani, au Mali. Un échantillonnage aléatoire a été utilisé pour enquêter 594 exploitations agricoles dont 363 adoptants la RNA et 231 non-adoptants. Les résultats de l’estimation du modèle Logit montrent que la formation en RNA, la cueillette, l’utilisation des fertilisants, la perception sur la fertilité des champs et les revenus entrainent une augmentation de la probabilité d’adoption de la RNA. Par contre l’âge, l’accès au crédit, la possession du bétail et la perception sur le choc climatique ont une influence négative sur l’adoption de la RNA. Les résultats de l’estimation du modèle Logit montrent que la formation en RNA, la cueillette, l’utilisation des fertilisants, la perception sur la fertilité des champs et les revenus entrainent une augmentation de la probabilité d’adoption de la RNA. Les analyses plus minutieuses seront réalisées avant, en cours et après chaque étape d’adoption de la RNA afin de déterminer les tendances spatio-temporelles de la RNA. L’extension de la recherche sur la RNA dans d’autres zones agro-écologiques contribuera sans doute à la détermination des impacts de la RNA sur le bien-être des communautés rurales. Mots clés: enquête, adoptants, non adoptants, exploitations agricoles ; modèle Logit. Englist Title: Analysis of the determinants of Farmer Managed Natural Regeneration (FMNR) adoption in Sudano-Sahelian zone: case of Diema and Kolokani district, in Mali In Mali, agricultural production systems are highly dependent on rainfall, which explains the direct impact of climate variability on food security and livelihoods of agricultural households. Farmer Managed Natural Regeneration (FMNR) is one of the adequate strategies that may increase the resilience of agricultural households facing to climate constraints. This study aims to analyze the determinants of FMNR adoption in the areas of Diema and Kolokani, in Mali. Random sampling was used to investigate 594 agricultural households, which including 363 adopters of FMNR and 231 non-adopters. Results estimation from the Logit model show that FMNR training, harvesting, fertilizer utilization, perceptions of field fertility and income increase the probability of FMNR adoption. On the other hand, age, access to credit, possession of livestock and perception on the climate shock have a negative influence on FMNR adoption. The results of the logit model estimation show that training on FMNR, harvesting, fertilizer use, field fertility perception and income increase the probability of FMNR adoption. More detailed analyses will be conducted before, during and after each phase of FMNR adoption to determine the spatial-temporal trends of FMNR. The extension of FMNR research to other agro-ecological areas will undoubtedly contribute to the determination of FMNR impacts on rural communities’ well-being. Keywords: survey, adopters, non-adopters, farms, logit model.
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Adamou, Salissou, Adamou Issifi Abdoul-Salam, and Dramé Yayé Aissetou. "Caractérisation de la population de Balanites aegyptiaca (L.) Del et la perception de son potentiel socioéconomique dans la partie Sud-Ouest du Niger." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 5 (September 14, 2020): 1698–715. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.17.

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Abstract:
Dans la région de Tillabery au Sud-Ouest du Niger confrontée à des sècheresses récurrentes, les espèces agroforestières comme Balanites aegyptiaca (L.) jouent un rôle important dans la vie des communautés locales. Le présent article analyse les caractéristiques de Balanites aegyptiaca et son importance socioéconomique dans la région. L’étude se base sur des inventaires et des mesures dendrométriques menées dans les villages de Mari, Tamou Kaina, Kobio et Sansani Haoussa, et un total de 120 utilisateurs de Balanites aegyptiaca interviewés sur l’usage de l’espèce. Les résultats montrent que Balanites aegyptiaca occupe le premier rang des essences ligneuses avec un taux d’occupation de l’espace de 93%. Les diamètres varient de 24,25±0,7 à Tamou Kaina à30,60±1,9 à Sansane Haoussa. Les hauteurs varient de 5,30±0,1 à Mari et 6,16 ±1,6 à Tamou Kaina. Un indice de diversité de Shannon inférieur à 2,5 dans tous les sites indique une faible diversité. Les enquêtes montrent que toutes les parties de Balanites aegyptiaca sont utilisées dans l’alimentation humaine et animale, dans les autres activités domestiques, thérapeutiques et commerciales. Les fruits ont un d’usage plus important (80%) que les feuilles (60%), les racines (33%), le bois (53%), les écorces (46%), les fleurs (33%) et les branches (33%). Les actions anthropiques et les pâturages des animaux sont les principaux facteurs qui menacent la population de Balanites dans la zone. Malgré cela, Balanites aegyptiaca reste une espèce très utilisée par les communautés locales, et pourrait contribuer à renforcer leur résilience face à l’insécurité alimentaire et à d’autres chocs. Mots clés : Caractérisation, Balanites aegyptiaca, Perception, Dendrométrie, Carbone Niger. English title: Characterization of the population of Balanites aegyptiaca (L.) Del and the perception of its socioeconomic potential in the southwestern part of NigerIn the region of Tillabery, in the South-western part of Niger confronted with recurrent drought, agroforestry species like Balanites aegyptiaca play an important role in the lives of local communities. The study is based on inventories and dendrometric measurements of trees conducted in the villages of Mari, Tamou Kaina, Kobio and Sansani Haoussa, and on interviews of 120 users of Balanites aegyptiaca on their usage of the species. Results show that Balanites aegyptiaca ranks first in the sites of Mari, Tamou Kaina, Kobio and Sansane Haoussa with an occupation rate of 93%. The average diameters ranged from 24.25 cm (± 0.7) at Tamou Kaina to 30.60 cm (± 1.9) at Sansani Hausa. Average heights ranged from 5.30 m (± 0.1) at Mari to 6.16 m (± 1.6) at Tamou Kaina. The Shannon Diversity Index of less than 2.5 found in all four sites, indicate a low diversity. Surveys carried out revealed that all parts of Balanites aegyptiaca are used in human and animal food, and in other domestic, medical and commercial activities. Fruits have a greater usage value (80%) than leaves (60%), roots (33%), wood (53%), bark (46%), flowers (33%) and branches (33%). Anthropic actions and pastures of animals are the main factors threatening the settlement of the species in the area. B. aegyptiaca remains a popular species among local populations and could contribute in reinforcing their resilience to food insecurity and other shocks.Keywords: Characteristic, Balanites aegyptiaca, Dendrometry, Perception, Socioeconomic factors, Niger.
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Noireaux, Virginie. "Rôle des supply chains locales dans la résilience des territoires : l’exemple des produits alimentaires en Auvergne." Logistique & Management 25, no. 3 (July 3, 2017): 225–37. http://dx.doi.org/10.1080/12507970.2017.1336949.

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NAPOLÉONE, Martine, Sébastien BRETON, Julien FRAYSSIGNES, Mélanie RICHARD, and Céline SPELLE. "Les AOP et IGP fromagères Françaises face à la crise de la Covid-19 dans un contexte d’évolution des systèmes alimentaires." INRAE Productions Animales 34, no. 4 (March 3, 2022): 247–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.4.5378.

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Abstract:
En optant pour une approche pragmatique et empirique, cet article s’intéresse à la capacité de résilience des opérateurs (producteurs et transformateurs) et des collectifs AOP et IGP face à un choc tel que celui provoqué par la covid-19. À partir d’informations issues d’enquêtes réalisées par les organisations professionnelles auprès de leurs adhérents au moment de la crise au printemps 2020, complétées par des entretiens compréhensifs réalisés en avril 2021, nous étudions l’impact de la crise sur les AOP et la façon dont les acteurs ont réagi en mobilisant des leviers à l’échelle individuelle et collective. Les principaux leviers ont été la diversification des produits et des circuits, la substitution (stockage ou dégagement), la coopération (en interne ou avec les distributeurs) et la connectivité avec leurs réseaux. La crise a mis en lumière pour les AOP-IGP le fait que le terroir et la proximité ont été plébiscités sur tous les circuits (courts et longs). Ce constat renforce pour les organismes de défense et de gestion d’une part, l’importance de se différentier et de rendre lisible des engagements et des valeurs, et d’autre part, leur rôle de coordination en tant qu’acteur collectif pour valoriser la diversité des opérateurs permettant d’être présent sur les divers types de circuits et plus généralement pour s’adapter aux transitions des systèmes alimentaires.
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Reckinger, Rachel. "Values-based territorial food networks." Regions and Cohesion 12, no. 3 (December 1, 2022): 78–109. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2022.120305.

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Abstract:
Abstract: This comparative literature review of local food systems, short food supply chains, and civic food networks, subsumed under alternative food networks (AFN), suggests converging them into the novel umbrella-term values-based territorial food networks (VTFN). Based on the analysis of specificities and shortcomings in the four concepts, VTFN aims to enhance conceptual clarity, while the current coexistence conceals structural and systemic commonalities—relevant for understanding pathways to ethical and sustainable food system transformations. Taking stock of issues in the four concepts, VTFN strives to be overarching and pragmatic. It qualifies AFN’s “alternativeness” through social, economic, environmental and governance “sustainability values” and through the co-construction of “territoriality” in varying constellations. Thus, it fosters integrated scientific dialogue about conceptual determinations of emerging networks of food system transitions worldwide.Resumen: Esta revisión bibliográfica comparativa de los sistemas alimentarios locales, las cadenas cortas de suministro de alimentos y las redes alimentarias cívicas, comprendidas en las redes alimentarias alternativas (RAA), sugiere englobarlas en el novedoso término redes alimentarias territoriales basadas en valores (RATV). Basándose en un análisis de especificidades y deficiencias, el RATV aporta claridad conceptual, en contraste con la coexistencia de los conceptos analizados que oculta puntos estructurales y sistémicos en común relevantes para entender las vías para transformar los sistemas alimentarios éticos y sostenibles. Reflexionando sobre los cuatro conceptos, la RATV busca ser global y pragmática. Califica lo “alternativo” de las RAA a través de “valores de sostenibilidad” sociales, económicos, medioambientales y de gobernanza, y de la co-construcción de la “territorialidad” en constelaciones diversas. Por ello, fomenta el diálogo científico integrado sobre las determinaciones conceptuales de las redes emergentes de transiciones de los sistemas alimentarios en todo el mundo.Résumé : Cet article se consacre à une revue de littérature comparative des concepts de Systèmes Alimentaires Locaux (Local Food Systems – LFS), Circuits Courts et de Proximité (Short Food Supply Chains – SFSC), Réseaux Alimentaires Civiques (Civic Food Networks – CFN), rassemblés sous le concept ombrelle de Réseaux Alimentaires Alternatifs (Alternative Food Networks – AFN). Il propose ensuite de les converger en un nouveau concept ombrelle, nommé Réseaux Alimentaires Éthiques et Territoriaux (Values-Based Territorial Food Networks – VTFN). Basé sur l’analyse des spécificités et des faiblesses des quatre concepts courants dans la littérature scientifique, la notion de VTFN apporte une clarté conceptuelle, car la coexistence actuelle de plusieurs concepts masque des points communs structuraux et systémiques – pourtant essentiels pour comprendre les processus de transformations éthiques et durables des systèmes alimentaires. Tout en puisant dans les apports des quatre concepts courants, la notion de VTFN aspire à être englobante et pragmatique. Elle qualifie les aspects “alternatifs” des Réseaux Alimentaires Alternatifs (Alternative Food Networks – AFN) par un cadre de quatre ensembles-clés de “valeurs de durabilité” – que sont l’intégrité environnementale, le bien-être social, la gouvernance éthique et la résilience économique –, ainsi que par une co-construction de “territorialité” en constellations variables. Ainsi, le concept de VTFN favorise un dialogue scientifique intégré sur les déterminations conceptuelles de réseaux émergents de transitions des systèmes alimentaires mondiaux.
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Ménard, Nadia, Manuela Conversano, and Samuel Turgeon. "La protection des habitats de la population de bélugas (Delphinapterus leucas) du Saint-Laurent : bilan et considérations sur les besoins de conservation." Le Naturaliste canadien 142, no. 2 (June 5, 2018): 80–105. http://dx.doi.org/10.7202/1047151ar.

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Abstract:
Les principales initiatives réalisées de 1978 à 2018 pour définir et protéger l’habitat du béluga (Delphinapterus leucas) de l’estuaire du Saint-Laurent sont présentées. Malgré ces efforts, l’état de la population s’est détérioré depuis 20 ans : celle-ci est en déclin, la proportion de jeunes a diminué par un facteur d’environ 3, et la mortalité des veaux et des femelles est en hausse. Nous présentons ici des informations récentes sur la répartition spatiale des bélugas, de leurs proies et du trafic maritime dans la portion de l’habitat essentiel dans et autour du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Des considérations et des occasions pour mettre en place des approches spatiales pour favoriser une meilleure cohabitation entre les activités humaines et le béluga sont présentées. En complément aux actions déjà entreprises, 2 stratégies sont exposées favorisant son rétablissement : 1) la gestion des pêches pour tenir compte des besoins alimentaires du béluga et prévenir la remise en suspension de contaminants persistants par les engins de pêche; 2) la réduction du dérangement par la perturbation des activités vitales ou par le bruit dans l’habitat des femelles et des jeunes. L’accès aux proies clés et à des lieux de quiétude en été améliorerait la résilience de la population face aux dégradations de son habitat, dont celles résultant des changements climatiques.
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CHARROIN, T., P. VEYSSET, S. DEVIENNE, J. L. FROMONT, R. PALAZON, and M. FERRAND. "Productivité du travail et économie en élevages d’herbivores : définition des concepts, analyse et enjeux." INRAE Productions Animales 25, no. 2 (June 1, 2012): 193–210. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.2.3208.

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Abstract:
De tous les secteurs de l’économie, c’est l’agriculture qui a connu l’accroissement le plus rapide de la productivité du travail au cours des cinquante dernières années. La production en volume de la branche a été multipliée par 2,2 entre 1955 et 2010, grâce à l’utilisation croissante des intrants et à la mobilisation d’un capital toujours plus important (matériel et bâtiments). Sur cette même période, la population active agricole est passée de 31 à 3,4 de l’emploi total. Les subventions jouent aujourd’hui un rôle déterminant dans le maintien du revenu agricole par actif. L’analyse de la productivité du travail pour les filières bovine, ovine et caprine montre que l’accroissement de la productivité physique et des principaux indicateurs économiques ne vont pas forcément de pair. Il existe des écarts de productivité physique du travail importants entre systèmes et entre filières. Si, en bonne conjoncture de prix, les systèmes à haute productivité physique du travail dégagent les meilleurs revenus, une évolution défavorable des prix induit pour ces systèmes une fragilisation économique révélant ainsi leur faible capacité de résilience. La recherche de cohérence du système de production et de l’optimisation des moyens de production apparaît toujours comme un élément déterminant des performances économiques. L’orientation des exploitations sera largement induite par la répartition des gains de productivité entre les différents acteurs de la branche (producteurs, industries agricoles et alimentaires, commerce et consommateurs) ainsi que par les choix des pouvoirs publics.
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PEYRAUD, J. L., and F. PHOCAS. "Dossier " Phénotypage des animaux d'élevage "." INRAE Productions Animales 27, no. 3 (August 25, 2014): 179–1890. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3065.

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Abstract:
Avant-propos La demande mondiale en produits d’origine animale est en forte expansion1 et l’élevage est l’une des activités agricoles les plus fortement créatrices d’emploi et de valeur ajoutée, tant au niveau de la production et des services qu’elle utilise, que des filières de produits animaux. Mais dans le même temps, l’élevage doit faire face à des enjeux sociétaux qui nécessitent des évolutions importantes dans les modes de production : besoin de compétitivité encore accru, méthodes d’élevage contestées vis-à-vis des atteintes à l’environnement, du respect du bien-être animal et de l’usage des médicaments. Il s’agit de réfléchir ces défis au niveau européen et mondial. Produire plus, mieux et à moindre coût doit contribuer à assurer la sécurité alimentaire mondiale et à répondre aux attentes européennes en termes de systèmes de production et de marchés très diversifiés. L’Europe a ici une responsabilité toute particulière car si elle ne peut pas nourrir le monde, il est de sa responsabilité, en tant que région où la demande sociale est aujourd’hui la plus élevée, de montrer comment concilier production et environnement. Outre les innovations et les adaptations des systèmes d’élevage (cf. Numéro spécial de la revue « Quelles innovations pour quels systèmes d’élevage ? », Ingrand S., Baumont R. (Eds). INRA Prod. Anim., 27, 2), les réponses passent aussi par la recherche d’animaux qui soient d’une part, plus efficients pour transformer leur ration et plus faciles à élever dans une large gamme de conditions climatiques et de systèmes d’élevage et, d’autre part, adaptables face à des aléas climatiques, sanitaires ou économiques tout en préservant la santé, le bien-être et la qualité des produits. Par le passé, la recherche de la maximisation des performances de production (ex : vitesse de croissance, quantité de lait par lactation…) a conduit à des animaux de plus en plus spécialisés. Dans la plupart des filières, cette maximisation s’est accompagnée d’une dégradation des autres aptitudes d’élevage, aujourd’hui source d’inefficience en élevage. La recherche d’une plus grande robustesse (définie comme la capacité pour un animal d’exprimer son potentiel de production dans une large gamme d’environnements sans pour autant compromettre sa santé et son bien-être) devient une priorité. Dans le même temps,l’accès à des techniques d’exploration fonctionnelle toujours plus performantes, les innovations en cours d’appropriation ou à venir dans le domaine de la génomique ouvrent des perspectives d’investigation nouvelles plus précises. Dans ce contexte d’évolution des demandes et des possibilités d’investigation, les projets de recherche en sciences animales doivent être plus systémiques, prédictifs et permettre d’établir des relations fonctionnelles de plus en plus fines entre le phénotype des animaux, leur génotype et le milieu dans lequel il s'exprime. Face au développement spectaculaire des connaissances sur le génome, il y a un manque criant de connaissances sur l’expression des phénotypes, connaissances qui devraient permettre de répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales : i) une sélection éclairée vers des objectifs majeurs pour améliorer l’efficience de la production et la robustesse des génotypes, et ii) un élevage de précision qui valorise la variabilité individuelle des animaux pour gagner en efficience et en résilience à l’échelle du troupeau, ou pour améliorer la conduite des animaux d’un génotype donné. En effet, d’un coté les progrès réalisés par la sélection génomique permettent aujourd’hui de repenser les critères de sélection et de les diversifier tout en raccourcissant les délais entre la définition des objectifs et l’amélioration effective des cheptels, mais cette sélection entraine de nouveaux besoins de phénotypage car elle nécessite la caractérisation d’unepopulation de référence. D’un autre coté, la connaissance plus fine de l’animal associée aux technologies en émergence de l’élevage de précision permettra de mieux piloter la conduite d’élevage pour améliorer l’efficience de l’alimentation ou de la reproduction par une approche individuelle à l’animal, ainsi que par la production d’alertes à destination de l’éleveur pour un diagnostic précoce des troubles permettant d’anticiper les ajustements requis. Le phénotypage est ainsi l’un des principaux défis que doit relever les recherches en production animale et a été reconnu comme tel par l’INRA. Deux types de phénotypage peuvent être envisagés : le phénotypage des caractères d’intérêt socio-économique et le phénotypage de caractères plus élémentaires. Les phénotypes d’intérêt socio-économique constituent la finalité recherchée. Ils résultent de mécanismes faisant appel à des régulations complexes, ils sont d’autant plus onéreux à mesurer qu’il s’agit de critères zootechniques qui doivent être observés sur des pas de temps longs. La recherche de phénotypes plus élémentaires et plus proches du mécanisme causal rend plus facile l’identification des gènes responsables. Ce phénotypage fin implique de réaliser des mesures particulièrement approfondies et à des échelles élémentaires (au niveau moléculaire, cellulaire, tissulaire…) des caractéristiques biologiques de l’animal qui expliquent un phénotype complexe observé à l’échelle de l’animal. Le phénotypage à haut débit signifie qu’une méthode de mesure des phénotypes fiable, automatisable et rapide est établie de sorte que le processus de mesure permette de générer un grand nombre de données dans un laps de temps court. Le haut débit peut s’appliquer au phénotypage fin tout comme à celui des caractères d’intérêt zootechnique. Les contributions significatives qui pourront être attendues d’un phénotypage animal fin et à haut débit concernent la biologie prédictive, à savoir la prédiction des performances à partir de caractères simples observables précocement, nécessaire notamment à la gestion des produits, à la conduite de l’élevage et à la sélection animale. Ce dossier propose le fruit d’une réflexion globale des chercheurs de l’INRA sur les perspectives qu’offre le phénotypage des animaux pour répondre aux enjeux des productions animales. Cette réflexion a eu pour objectif de définir les grands enjeux de connaissance autour du phénotypage animal et de faire émerger les questions de recherches prioritaires, transversales ou spécifiques aux différentes filières animales ainsi que les verrous techniques qui sont soulevés. Cette réflexion a été conduite par un groupe de douze chercheurs2 des départements de « Génétique Animale », « Physiologie Animale et Systèmes d’Elevage » et « Santé Animale » travaillant dans des disciplines et sur des espèces variées, missionné par la Direction Scientifique Agriculture de l’INRA. La réflexion de ce groupe s’est appuyée sur celle d’un collectif plus large de chercheurs INRA travaillant sur les animaux d’élevage par le biais d’un séminaire organisé en mai 2013 ainsi que par la rédaction partagée des articles de ce dossier. L’amélioration de la robustesse des animaux d’élevage étant un objectif central, le premier article de ce dossier développe une approche systémique de la robustesse des animaux d’élevage pour répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales pour la sélection et pour la conduite de l’élevage. Les recherches sur le phénotypage doivent être accompagnées d’une ontologie générique c’est-à-dire d’une représentation et d’un langage communs pour partager les données et les connaissances, ainsi que l’explicite le second article de ce numéro. L’objet des trois synthèses suivantes est de mettre en perspective les fronts de science (phénotypage du microbiote intestinal), les enjeux de connaissance et les verrous techniques encore à lever pour permettre des productions animales de qualité (phénotypage de la qualité des produits) et en quantité (phénotypage de l’efficacité alimentaire), à moindres coûts économique et environnemental. 1 Selon la FAO et l’OCDE, la progression de la consommation de protéines d’origine animale sur la planète devrait se poursuivre au rythme de + 2 à + 3%/an au cours de cette décennie. Sur la période 2000-2050, la consommation totale des viandes devrait progresser de l’ordre de + 70% pour une population en augmentation de + 20%. Selon les mêmes sources et pour la même période la consommation de lait et produits laitiers dans les pays émergents devrait passer de 45 à 78 kg par habitant.
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COULON, JB, P. LECOMTE, M. BOVAL, and J. M. PEREZ. "Introduction générale." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 3, 2011): 5–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3232.

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Abstract:
L’agriculture, et plus particulièrement les productions animales, sont depuis quelques années au cœur des préoccupations mondiales, si l’on en juge par les nombreux rapports que les institutions internationales, ainsi que l’INRA et le CIRAD, leur ont récemment consacré (Millenium Ecosystem Assessment 2005, IPCC 2006, Steinfeld et al 2006, World Bank 2008, FAO 2009, Steinfeld et al 2010, Dorin et al 2011). Deux points forts ressortent de ces exercices de prospective : 1/ Le poids économique et social de l'élevage dans l'agriculture mondiale est considérable :- La planète compte, toutes catégories confondues, 19 milliards d’animaux d'élevage dont 70% sont détenus par des éleveurs hors pays industrialisés ; - On comptait en 2000 : 1 porcin pour 7 habitants, 1 bovin pour 4 habitants, 1 petit ruminant pour 3 habitants, et plus de 2 volailles par habitant ; - Environ 250 millions d'animaux de trait apportent la force de travail pour près de la moitié des cultures vivrières dans les agricultures familiales des pays en développement ;- L’élevage mobilise environ 4 milliards d’ha de surfaces en herbe (soit près de 30% des terres émergées non gelées), fournit le tiers des protéines pour l’alimentation humaine et représente 40% de la valeur de la production agricole brute mondiale ;- On prévoit d’ici à 2050 le doublement des productions animales, essentiellement par une forte expansion des activités d’élevage dans les pays du Sud ;- Quant à l’approvisionnement futur en produits aquatiques, il repose sur l’essor de l’aquaculture (50% déjà du marché mondial), qui est le secteur de l’élevage lato sensu ayant la plus forte croissance surtout dans la zone AsiePacifique ;- L’élevage contribue aux moyens de vie d’un milliard de pauvres dans les pays du Sud et emploie au total 1,3 milliard de personnes dans le monde. 2/ Les productions animales doivent faire face, plus que les productions végétales, à de nombreuses interrogationset remises en cause qui interpellent la recherche et le développement. On peut les résumer de la façon suivante :comment répondre à l’augmentation considérable de la demande en produits animaux, notamment dans les pays du Sud, dans un contexte de compétition forte sur les ressources pour l’alimentation humaine et de la nécessite d’une prise en compte des impacts environnementaux de l’élevage, qu’ils soient positifs (services environnementaux rendus par les systèmes de productions animales) ou négatifs (contribution au changement climatique liées aux émissions de GES, dégradation de la biodiversité, consommation importante d’eau et d'énergie, détérioration de la qualité des eaux par les effluents d’élevage). Ces interrogations ne se déclinent pas de la même façon dans les pays du Nord et du Sud, parce que la place de l’élevage dans la société et les enjeux de son développement y sont différents. Les productions animales au Sud se trouvent ainsi dans une situation paradoxale : elles doivent faire face à une évolution importante de la demande à moyen terme, dans un contexte nouveau, marqué notamment par les tensions sur les disponibilités et les coûts des intrants et par la prise en compte impérative tant des contributions que des effets liés au changement climatique. C’est dans ce contexte particulier, et en prolongement de la réflexion menée par l’INRA et le CIRAD dans le cadre du chantier PARC rappelé dans la préface, que la Rédaction de la revue INRA Productions animales a décidé de consacrer un numéro complet au thème de l’Elevage en régions chaudes (Coulon et al 2011). Les contributions rassemblées dans ce numéro spécial ont pour ambition de faire une synthèse approfondie de l’état connaissances et des expériences acquises en termes d’élevage en régions chaudes. Les productions animales sont analysées à différents niveaux d’organisation, tenant compte de leur spécificité et des interrelations entre les diverses échelles, permettant une visualisation à la fois circonstanciée et large de la situation de l’élevage dans le monde. Les auteurs fournissent ainsi un panel de résultats, d’illustrations, de solutions et d’alternatives innovantes, ainsi que de nouvelles pistes et priorités de recherche. Celles-ci peuvent réellement contribuer à mieux appréhender la multifonctionnalité de l’élevage, la durabilité de son développement et ses évolutions à venir. Après une présentation des éléments d’évolution des productions animales au niveau mondial (Gerber et al), le deuxième article synthétise les nombreuses connaissances acquises concernant les ressources alimentaires tropicales (diversité, disponibilité et valeur nutritive), utilisables en hors-sol ou au pâturage (Archimède et al). Pour les animaux, ruminants et monogastriques, les caractères majeurs d’adaptation aux effets directs du climat, à la sous-nutrition ou aux maladies parasitaires sont développés, et des options d’optimisation de la productivité et de la résilience sont proposées (Mandonnet et al). Dans le domaine de la santé, les maladies infectieuses animales constituent des contraintes économiques fortes ainsi que des risques pour la santé humaine ; des stratégies pour faire face à cette situation sont formulées, concernant à la fois la conduite des systèmes d’élevage et l’organisation de réseaux de surveillance à l’échelle régionale (Lancelot et al). L’article suivant insiste sur la nécessaire prise en compte de la qualité des produits par les producteurs et les transformateurs et l’importance des règles de caractérisation et de gestion de cette qualité, dans un contexte spécifique aux pays du Sud en termes de conditions climatiques, économiques et sociologiques (Faye et al). Les interactions entre l’environnement et les systèmes d’élevage diversifiés sont décrites et illustrées tant en termes d’impacts que de services agro-écologiques, et diverses pistes sont suggérées pour une gestion plus durable de ces systèmes en régions chaudes (Blanfort et al). En sus de la composante environnementale, et au vu de la diversité des systèmes d’élevage et de leur multifonctionnalité, une démarche essentielle de conception-évaluation de systèmes durables est explicitée, illustrée d’exemples géographiques contrastés (Dedieu et al). A une échelle plus large, les auteurs examinent les interactions entre les territoires ou espaces de production et les filières et proposent un modèle d’analyse appliqué à quatre territoires représentatifs du Sud (Poccard et al). Enfin l’élevage, marqueur socioculturel de nombreuses sociétés du Sud, est analysé comme contributeur culturel et capital social, pour son rôle économique majeur à l’échelle des familles, mais également en faveur de la sécurité alimentaire et le développement local (Alary et al). Souhaitons que ces articles de synthèse et les pistes de recherche évoquées dans ce numéro thématique incitent les chercheurs de l’INRA et du CIRAD à renforcer leur collaboration et à proposer de nouvelles approches de la conception et de l’évaluation des systèmes d’élevage en régions chaudes.
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Regnauld, Hervé, Scott L. Nichol, James R. Goff, and Michel Fontugne. "Maoris, Middens and Dune front accretion rate on the North-East Coast of New Zealand: resilience of sedimentary system after a tsunami / Maoris, dépôts alimentaires et taux d'accrétion du front dunaire sur la côte nord-est de la Nouvelle-Zélande : résilience d'un système sédimentaire après un tsunami." Géomorphologie : relief, processus, environnement 10, no. 1 (2004): 45–53. http://dx.doi.org/10.3406/morfo.2004.1198.

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Mambou, Jean-Romuald, and Hilaire Elenga. "Erosions, Inondations et Mauvais Drainage des Eaux Pluviales à Brazzaville : Quelles Solutions dans le Cadre d’un Réaménagement Durable de la Ville à l’Horizon 2030 ?" European Scientific Journal, ESJ 19, no. 20 (July 31, 2023): 205. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n20p205.

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Abstract:
La République du Congo, située dans une zone équatoriale à forte pluviométrie, est, de ce fait, exposée à une grande diversité de risques naturels d’origine essentiellement météorologique ou géologique, en particulier les érosions hydriques, les inondations et le mauvais drainage des eaux pluviales. Ces risques sont devenus un véritable enjeu de politique nationale pour les gouvernants et un drame pour les citoyens qui y sont confrontés chaque année, surtout en période de saison de pluies. Les solutions proposées jusqu’à présent ne sont que des mesures curatives peu efficaces et non durables. Elles portent essentiellement sur le planting des végétaux de l’espèce graminée « Chrysopogon zizanioides », dite « système vétiver ». Un projet, appliquant ce système intitulé «aménagement des bassins versants et stratégies de lutte contre l'érosion hydrique à Brazzaville» a, parmi tant d’autres, été mis en œuvre de 2011 à 2013 par le Gouvernement congolais avec le concours de la FAO. Il visait l’aménagement intégré durable des terres urbaines et périurbaines de Brazzaville au profit d'une amélioration de la sécurité alimentaire et des conditions de vie des populations concernées. Le diagnostic effectué et les hypothèses du projet étaient conformes à cette ambition, mais le choix de ses composantes et sa mise en œuvre ne pouvaient pas donner tous les résultats escomptés. Cela peut s’expliquer par le fait que tous les paramètres de la problématique n’ont pas été intégrés et surtout le projet était à vision courte, donc les solutions proposées ne pouvaient être que d’urgence. Or, ces risques ne peuvent trouver leurs solutions que dans une gouvernance urbaine assise sur une prise de décision centrée sur deux principes : l'acception performative (« la ville doit aller vers une meilleure gouvernance ») et l'acception critique (« les modalités de la gouvernance sont un impensé qui devrait être discuté pour éviter une dépossession des citoyens ») ; tout cela, en ce qui concerne Brazzaville, dans une vision stratégique globale et prospective d’un territoire urbain plus large. C’est l’objet de notre article qui propose la régénération et le réaménagement de Brazzaville à l’horizon 2030 à travers la mise en place d’un grand projet politique sur la ville. La démarche méthodologique s’articule en trois temps. Tout d’abord, un diagnostic est réalisé afin de caractériser les problèmes de la ville (érosions, inondations, mauvais drainage des eaux pluviales, mauvaise exploitation des rivières urbaines) en s’appuyant sur une recherche documentaire sélective et l’exploitation de l’enquête de terrain réalisée en 2017 par l’Observatoire Urbain de Brazzaville sur la situation des érosions à Brazzaville. Ensuite, en fonction des résultats de ce diagnostic, nous avons proposé des opérations d’aménagement participatives consistant à : (i) intégrer le fleuve Congo dans la ville par la construction d’un canal urbain navigable permettant, entre autres, de faire disparaître les grandes érosions de type I et II identifiées, (ii) aménager la ville en vue de la maîtrise de l’étalement urbain incontrôlé, la restructuration des quartiers précaires et la mise en défens des constructions dans les zones non-aedificandi, (iii) proposer un type d’habitat moderne à faible coût pour remplacer les habitations insalubres et (iv) faire de Brazzaville une ville prospère, durable, attractive et résiliente aux risques liés au climat. Nous avons terminé notre article en suggérant des outils à ce grand projet urbain politique d’être opérationnel, pratique et consensuel. The Republic of Congo, located in an equatorial zone with high rainfall, is therefore exposed to a wide variety of natural risks of essentially meteorological or geological origin, in particular water erosion, flooding, and poor drainage of rainwater. These risks have become a real national policy issue for governments and a tragedy for citizens who are confronted with them every year, especially during the rainy season. The solutions proposed so far are only ineffective and unsustainable curative measures. They relate essentially to the planting of plants of the grass species “Chrysopogon zizanoides”, known as the “vetiver system”. A project, applying this system entitled “Development of watersheds and strategies for the fight against water erosion in Brazzaville”, has, among many others, been implemented from 2011 to 2013 by the Congolese government with the assistance of the Food and Agriculture Oganization of the United Nations, FAO. It aimed at the sustainable integrated development of urban and peri-urban land in Brazzaville for the benefit of improving food security and the living conditions of the populations concerned. The diagnosis carried out and the assumptions of the project were in line with this ambition, but the choice of its components and its implementation could not give all the expected results. This can be explained by the fact that all the parameters of the problem have not been integrated and above all, the project was short-sighted, so the solutions proposed could only be urgent. However, these risks can only find their solutions in urban governance based on decision-marking centered on two principles: performative acceptance (“the city must move towards better governance”) and critical acceptance (“the modalities of governance are one unthought which should be discussed to avoid a dispossession of the citizens”). All this, as far as Brazzaville is concerned, is in a global and prospective strategic vision of a wider urban territory. This is the subject of our article which proposes the regeneration and redevelopment of Brazzaville by 2030 through the implementation of a major political project for the city. The methodological approach is articulated in stages. First, a diagnosis is made in order to characterize the problems of the city (erosions, floods, poor drainage of rainwater, poor exploitation of urban rivers) based on selective documentary research and the exploitation of the field survey carried out in 2017 by the urban observatory of Brazzaville on the situation of erosions in Brazzaville. Then, based on the results of this diagnosis, we proposed participatory development operations consisting of (i) integrating the Congo River into the city through the construction of a navigable urban canal allowing among other things, to eliminate particularly the tall identified type I and II erosions; (ii) develop the city with a view to controlling uncontrolled urban sprawl, restructuring precarious neighborhoods and prohibiting building in non-built-up areas; (iii) proposing a type of modern housing at moderate cost to replace unsanitary dwellings, and (iv) make Brazzaville a prosperous, sustainable, attractive and resilient city to climate-related risks. We ended our article by suggesting tools that should allow this great political urban project to be operational, practical, and consensual.
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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AFDR, AFDR, APIL APIL, USCCPA/BM USCCPA/BM, and La Fondation Jules PAUL-ÉMILE LÉGER (FJPEL). "Des communautés rurales s’organisent pour contrer les effets des changements climatiques au Burkina Faso." NAAJ, 2019, 145–69. http://dx.doi.org/10.46711/naaj.2019.1.1.9.

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Abstract:
Le présent texte a pour objectif de donner la parole aux acteurs locaux ainsi qu’aux productrices et producteurs agricoles à petite échelle du Burkina Faso – qui pratiquent l’agriculture familiale durable (AFD) – dans le but de mieux faire comprendre quelles répercussions ont les changements climatiques sur leur vie quotidienne et quelles perspectives d’adaptation semblent les plus porteuses en fonction des réalités vécues. On y traitera des défis croissants pour l’agriculture à petite échelle qui ont une incidence sur la productivité agricole et sur la pression sur les ressources naturelles. On s’attardera aussi sur le fait que les changements climatiques n’affectent pas les femmes et les hommes de façon égale, en creusant encore plus le fossé des inégalités entre les genres. Enfin, on y présentera diverses stratégies d’adaptation aux changements climatiques. L’approche utilisée au sein du projet IMSA (Innovation et Mobilisation pour la Sécurité Alimentaire) s’inscrit dans un processus d’innovation qui prend sa source à l’intérieur de la communauté et repose sur l’amélioration et la diffusion des savoirs traditionnels et des techniques issues de l’expérience de plusieurs générations d’exploitants. Afin d’assurer la sécurité alimentaire des populations vulnérables, les techniques visant à adapter les systèmes de production et à accroître leur résilience s’accompagnent non seulement d’actions destinées à mieux contrôler la conservation et la commercialisation des récoltes, mais aussi d’un appui au renforcement des mécanismes financiers et non financiers de solidarité et de résilience par rapport aux chocs climatiques.
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CANTALAPIEDRA-HIJAR, Gonzalo, Philippe FAVERDIN, Nicolas C. FRIGGENS, and Pauline MARTIN. "Efficience Alimentaire : comment mieux la comprendre et en faire un élément de durabilité de l’élevage." INRAE Productions Animales, March 23, 2021, 235–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.4.4594.

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Abstract:
L’efficience alimentaire est un caractère de première importance pour l’élevage, tant du point de vue économique que comme élément de sa durabilité. Si l’efficience alimentaire peut s’étudier à différentes échelles, le choix est fait de situer cette synthèse au niveau de l’animal et des variations individuelles. Dans un premier temps, les différentes définitions de l’efficience et des critères utilisés pour l’estimer sont abordées, en comparant les possibilités offertes par les critères de type ratio et ceux de type résidu. L’ingéré résiduel (ou « Residual Feed Intake » : RFI), critère le plus plébiscité aujourd’hui dans les études sur les ruminants, est présenté. Dans un deuxième temps, les mécanismes biologiques impliqués dans l’efficience alimentaire sont passés en revue, ainsi que les moyens de les étudier. On retrouve tout d’abord ce qui a trait à l’efficience digestive, avec notamment l’impact du temps de séjour ou de la population microbienne. Puis, les déterminants de l’efficience métabolique tels que la production de chaleur, le taux de renouvellement protéique, la respiration mitochondriale, ou encore l’influence de la composition corporelle sont également détaillés. Dans un troisième temps, nous évoquons les défis à relever afin de mettre en place une potentielle sélection sur le caractère, la difficulté majeure résidant dans le phénotypage d’un nombre suffisant d’individus. Enfin, les liens entre efficience et résilience sont explorés, afin de prendre en compte la performance de l’animal sur un pas de temps plus long et d’inclure l’importance de la durabilité.
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Moussa, Bouda Maja Chardi, Torou bio Mohamadou, Oumarou diadie Halima, and Balla Abdourahamane. "Risques climatiques et sécurité alimentaire et nutritionnelle au Niger : cartographie des impacts et des besoins de résilience." VertigO, Volume 22 numéro 1 (April 20, 2022). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.35040.

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Harouna, Nouhou Dan Ango, Sadda Abou-Soufianou, and Yamba Boubacar. "Insécurité Alimentaire des Ménages Agricoles et Stratégies de Résilience au Sahel : Cas de la Vallée de Goulbi Maradi, Niger." European Scientific Journal ESJ 15, no. 18 (June 30, 2019). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2019.v15n18p96.

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Dagbeto, Romaric, Souleïmane A. Adekambi, and Jacob A. Yabi. "Mutuelles Communautaire de Nutrition (NMC) et Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle des Enfants, Amélioration de la Résilience Nutritionnelle des Ménages dans un Contexte de Développement Durable en Afrique: Une Revue Systématique de Littérature." European Scientific Journal ESJ 11 (November 17, 2022). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.11.2022.p434.

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Abstract:
La présente étude s’est penchée sur les acquis scientifiques concernant la contribution des mutuelles communautaires nutritions (MNC) à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants en Afrique et surtout au Bénin. Elle s’est donnée pour objectif de faire un point systématique des revues scientifiques en lien direct ou indirecte avec la thématique d’étude. Pour ce faire, Les principales bases de données numériques consultées sont AGORA, GoogleScholar, Pubmed et Scopus. Agora a permis de constituer la base de données des revues scientifique pour un traitement statistique. Les combinaisons boléennes utilisées sont (Mutuelle communautaire) AND (Nutrition) ((Sécurité alimentaire) OR (sécurité nutritionnelle)) AND ((Afrique) OR (Mutuelle santé) AND/OR (Enfant). Au total, 1213 articles ont été repertoriés sur le serveur de recherche. Après insertion des critères d’exclusion 321 articles étaient en lien direct ou indirect avec notre thématique de recherche. Somme toute, après lecture des résumés et ou texte, 34 articles sont en lien direct avec la thématique de recherche. Il s’agit de 36 articles de revue et 1 chapitre de livre. L'analyse des données a révélé que la majorité des articles ont été publiés entre 2000 et 2021. Par ailleurs, du point de vue des domaines d'études abordés, le traitement des informations recueillies a montré que les domaines qui ont enregistrés plus de publication sont : la Santé public, la médicine, l’économie, la sociologie, l’éducation, la science politique et la littérature. Cependant, il est important de notifier que sur les 1212 articles identifiés, 37 articles traitaient de la contribution des mutuelles de santé à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants en Afrique.
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Dhehibi, Boubaker, Samar Zaidi, Mohamed Zied Dhraief, and Mohamed Arbi Abdeladhim. "Résilience des ménages face à l'insécurité alimentaire et au changement climatique dans les régions du centre et du nordest de la Tunisie: Une analyse empirique." New Medit 22, no. 1 (March 22, 2023). http://dx.doi.org/10.30682/nm2301b.

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Abstract:
The objective of this paper is to examine the resilience of households to food insecurity and to identify the determinants of this resilience in two study areas: Kairouan and Zaghouan. The study relied on a cross-sectional database collected from 671 smallholder farmers. Multivariate techniques including factor analysis and linear regression models were used to measure resilience and identify its determinants. The results indicate that the levels of vulnerability and resilience are different depending on the specificity of the region. In Zaghouan, 63% of agricultural households are vulnerable and 28% of households are very resilient. On the other hand, 51% of households surveyed are vulnerable in Kairouan and 42% of households are very resilient. The results reveal that the most important determinants of household resilience to food insecurity are income and access to food, ownership of assets, and access to basic services. The "climate change" negatively affect household resilience and should be further investigated in the long term. Interventions must target strategies that address the different levels of resilience reflected by the resilience estimators.
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Dufour, Geneviève, and Valériane Thool. "Commerce." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international, June 9, 2023, 1–26. http://dx.doi.org/10.1017/cyl.2023.3.

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Abstract:
Des bouleversements importants ont profondément secoué le monde du commerce international en 2022. Alors que la pandémie de COVID-19 affectait encore les chaînes d’approvisionnement et les déplacements, qu’on faisait face à une pénurie de main-d’œuvre importante et qu’une récession nous menaçait, d’autres événements majeurs sont venus déstabiliser encore plus notre économie. D’abord, le 28 janvier 2022, un convoi de camionneurs a pris d’assaut la capitale nationale et y a paralysé le centre-ville durant près de trois semaines. Ensuite, un autre groupe de camionneurs a bloqué certaines routes, dont le pont Ambassador entre Windsor et Détroit, considéré comme un point de passage névralgique pour la fourniture de pièces automobiles, ayant occasionné des pertes évaluées à plus d’un million de dollars par jour. 1 Enfin, le 24 février 2022, la Fédération de Russie agressait l’Ukraine, marquant le début d’une longue guerre dont les impacts économiques dépassent largement les frontières de la région.2 En effet, le monde a connu une déstabilisation supplémentaire des chaînes d’approvisionnement3 ainsi qu’une hausse importante du prix des matières premières et de l’énergie, ce qui a entraîné une baisse du volume des échanges4 ainsi qu’une crise alimentaire majeure.5 Enfin, face à l’attitude de la Fédération de Russie, de nombreux pays ont adopté des régimes de sanction économique, fragilisant encore plus l’équilibre pour les entreprises. À ce titre, à lui seul, le Canada a adopté plus de 1700 mesures de sanction économique à l’égard d’individus ou d’entités pour réagir à l’agression russe.6 De toute évidence, la résilience des marchés a été fortement sollicitée.
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Guillot, Romane, Anne Mione, and Magali Aubert. "Résilience des plateformes alimentaires : analyse du rôle clé des stratégies d’intermédiation." Logistique & Management, February 21, 2023, 1–14. http://dx.doi.org/10.1080/12507970.2023.2169780.

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BAUMONT, René, Virginie DECRUYENAERE, Gaëlle MAXIN, Benoît ROUILLÉ, Valérie HEUZÉ, and Gilles TRAN. "Valoriser une diversité de biomasses pour répondre aux enjeux techniques, environnementaux et sociétaux des élevages de ruminants." INRAE Productions Animales 36, no. 1 (May 5, 2023). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.1.7478.

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Abstract:
À travers l’importance des surfaces valorisées (plus de la moitié de la surface agricole française) et l’importation d’une partie des matières premières riches en protéines, l’alimentation des ruminants est au cœur des enjeux techniques, économiques, environnementaux et sociétaux des élevages. Le changement climatique affecte déjà les calendriers fourragers et les ressources alimentaires disponibles. Face à ces enjeux, de nombreux leviers existent soit pour adapter les ressources existantes soit pour développer de nouvelles ressources. Ils reposent notamment sur l’adaptation des prairies (introduction d’espèces résilientes au changement climatique) et de leur gestion, l’utilisation des mélanges céréales-protéagineux, des dérobées estivales, des plantes à photosynthèse en C4 et le développement de l’agroforesterie. La diversification des systèmes de cultures rendue nécessaire par la réduction des engrais et pesticides de synthèse devrait fournir de nouvelles ressources à l’élevage (légumineuses fourragères et à graines, intercultures). De nouveaux procédés technologiques, comme le bio-raffinage offrent des perspectives comme une meilleure valorisation des coproduits des industries agroalimentaires. L’utilisation des insectes comme source protéique n’est pas encore autorisée en élevage de ruminants dans l’UE. Celle des algues pose la question des volumes nécessaires pour alimenter des ruminants, mais elles offrent des perspectives en tant qu’additifs alimentaires pour réduire les émissions de méthane entérique. Caractériser ces nouvelles ressources alimentaires pose de nombreuses questions de recherche et de développement. Cela nécessite de collecter un nombre suffisant de nouvelles données par les méthodes de référence d’évaluation des aliments in vivo pour conforter les bases de données, construire les tables de valeur alimentaire et développer les outils de prévision.
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Gallien, Manon, Carole Chazoule, and Philippe Fleury. "Ce que la résilience des systèmes alimentaires révèle des dynamiques de protection de l’eau en agriculture." Temporalités, no. 28 (December 31, 2018). http://dx.doi.org/10.4000/temporalites.5155.

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DUFOUR, GENEVIÈVE, VALÉRIANE THOOL, and BEZAHINIBÉ MICHELINE SOMDA. "Commerce." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international, November 10, 2022, 1–31. http://dx.doi.org/10.1017/cyl.2022.17.

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Abstract:
L’année 2021 a décidément été marquée au fer rouge par la pandémie de COVID-19. Replis nationalistes notamment chez notre voisin du sud, pénurie de main-d’œuvre et confinements à répétition, entre autres en Chine, ont provoqué des ruptures dans les chaînes d’approvisionnement comme jamais. Néanmoins, le Rapport sur le commerce mondial 2021 considère que le commerce s’est montré plus résilient que lors de la crise financière mondiale de 2008: “Il a aidé les pays à faire face à la crise en facilitant l’accès aux fournitures médicales, aux produits alimentaires et aux biens de consommation, et en contribuant à leur redressement économique.”1 Au niveau canadien, les enjeux d’approvisionnement, entre autres de puces et de semi-conducteurs, ont affecté la production manufacturière. La hausse des prix des matières premières a provoqué une augmentation des prix à la consommation. Si le citoyen a subi ce phénomène, les entreprises ont vu la valeur de leurs exportations augmenter, plafonnant à un niveau jamais vu de 637 milliards de dollars américains.2 C’est donc dire que le Canada a non seulement rattrapé le déficit de l’année 2020, mais a surpassé les résultats de l’année 2019, de 7 pour cent.3 Au niveau des importations, les résultats atteignent aussi des chiffres records avec une hausse de 12,2 pour cent comparativement à 2020 et de 2,7 pour cent par rapport à 2019.4
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Baurin, Arno, Vincent Bodart, Guillaume Dallemagne, Nathan Lachapelle, Alexandre Ounnas, Mathilde Pourtois, Mathieu Sauvenier, and Leïla Van Keirsbilck. "Numéro 172 - juillet 2022." Regards économiques, July 13, 2022. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2022.07.13.01.

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Abstract:
Depuis notre dernière analyse trimestrielle de conjoncture, des nuages ont assombri les perspectives conjoncturelles de l’économie mondiale, en ce compris celles concernant la zone euro et la Belgique. La principale raison de cette situation est l’éclatement de la guerre en Ukraine à la fin février. Le conflit déclenché par la Russie, et les sanctions prises rapidement en guise de représailles par de nombreux pays occidentaux à l’encontre de la Russie, ont en effet amené plusieurs bouleversements dans le paysage conjoncturel international : flambée des prix des matières premières (pétrole et gaz, minerais, denrées alimentaires et engrais agricoles), nouvelles perturbations dans les chaînes mondiales d’approvisionnement, et durcissement des conditions monétaires et financières. En raison de ces chocs négatifs, un ralentissement de la croissance économique belge et internationale paraît inévitable. L’ampleur de ce ralentissement soulève une importante inquiétude, le risque d’une nouvelle récession étant de plus en plus souvent évoquée par les médias. Selon notre analyse, qui relève que la confiance des chefs d’entreprises belges n’a faibli que de manière limitée depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine, l’économie belge ne devrait ralentir que modérément à court terme (Encadré 2). Nous estimons en effet que, grâce à la bonne santé du marché du travail, à l’épargne importante accumulée par les ménages durant la pandémie et au rôle de l’indexation automatique dans la préservation du pouvoir d’achat des ménages, l’économie belge devrait résister à court terme aux chocs négatifs évoqués ci-dessus. La fin des restrictions sanitaires devrait également soutenir l’activité économique à court terme. La résilience apportée par ces différents éléments devrait toutefois progressivement s’estomper, si bien que nous anticipons une quasi-stagnation de l’économie belge fin 2022 et durant la première moitié de 2023. A cet horizon, l’impact du durcissement des conditions monétaires et financières devrait par ailleurs se faire davantage ressentir. Durant la seconde moitié de 2023, sous l’hypothèse d’un apaisement dans le conflit ukrainien et d’une diminution des tensions sur les marchés des matières premières, la croissance de l’économie belge se renforcerait et redeviendrait proche de son niveau potentiel. Selon ces perspectives, la croissance de l’économie belge s’établirait en 2022 à 2,7% en base annuelle moyenne. En 2023, elle tomberait à 0,8%. 93.000 emplois seraient créés sur les deux années de la période de projection (Encadré 1). S’agissant de l’inflation, la croissance sur un an de l’indice général des prix à la consommation redescendrait progressivement sur la période de projection, pour se situer à 3,8% fin 2023 (contre 9,7% en juin 2022). Résumé des prévisions L’économie belge devrait croître de 2,7% en 2022 et 0,8% en 2023. L’emploi augmenterait d’environ 58.000 unités en 2022 et 35.000 unités en 2023. Le nombre de demandeurs d’emploi diminuerait de 16.000 unités en 2022 et de 2.500 unités en 2023. L’inflation générale des prix à la consommation s’élèverait à 8,4% en 2022 et 5,2% en 2023. Le déficit budgétaire des administrations publiques atteindrait 5,0% en 2022 et 4,9% en 2023.
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