Academic literature on the topic 'Représentation sémantique profonde'

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Journal articles on the topic "Représentation sémantique profonde"

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Plotnikov, Nikolaï. "La ‘personne’ et le ‘sujet’. La sémantique de la personnalité/personaltät dans l’histoire intellectuelle russe." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 29 (February 26, 2011): 231–49. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2011.935.

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Abstract:
L’analyse comparative du sens et du statut de la représentation de la personne humaine [ličnost’] entre l’histoire de la culture russe et celle d’Europe occidentale montre de façon frappante que les interprétations du rôle de l’idée de personne entrent en confrontation et même en conflit. D’une part, depuis l’époque de Hegel et du marquis de Custine, un des lieux communs du regard européen sur la Russie est l’affirmation qu’y font défaut «la personne, le moi et le noyau dur [de l’homme]» (Hehn, 1966, p. 150)1. D’autre part, l’affirmation presque symétrique que, si l’on se réfère à Berdjaev, «en Russie, la personne fut toujours plus manifeste que dans la culture nivelée et impersonnelle de l’Occident moderne, que dans les démocraties bourgeoises» constitue une réponse tout aussi caractéristique." On peut voir ce genre de contrastes radicaux non seulement à l’intersection du regard interne et externe sur la Russie, mais aussi dans les discussions philosophico-culturelles en Russie même. Depuis la polémique entre K. Kavelin et Ju. Samarin sur le rôle du «principe allemand de personne» dans l’histoire russe jusqu’aux débats sur la question de savoir si la période soviétique est une «émancipation de la personne» ou bien son asservissement définitif, ce sont précisément les notions de personne [ličnost’], de moi [ja], d’individualité [individual’nost’] qui jouent le rôle d’idéologèmes centraux, dont les positions et les conceptions prédominantes dans cette polémique portent la marque profonde. Il s'agit essentiellement, du vieux du rapport entre la Russie et l’Occident."
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Nagacevschi Josan, Erica. "L’expression des émotions dans “Frappe-toi le Coeur” d’Amélie Nothomb." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica 18, no. 1 (October 30, 2023): 99–110. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.18.09.

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Abstract:
Les émotions, en tant que phénomène de la psyché humaine, sont extrêmement sophistiquées. Par conséquent, leurs représentations linguistiques sont aussi particulières. L’étude des moyens lexico- sémantiques qui expriment les émotions est essentielle étant donné qu’ils reflètent la spécificité linguistico-culturelle de la conceptualisation émotionnelle à une époque où les émotions sont entrées avec force dans les textes littéraires. Amélie Nothomb explore les grandes questions existentielles et sa narration fait preuve d’une compréhension profonde des procès psychiques et des états émotionnels. Dans Frappe-toi le coeur (2017) Nothomb compose un texte très riche en utilisant les dialogues, moteur principal de l’intrigue qui remplace les actions des personnages. Ceci nous a conduit à analyser les moyens lexicaux et sémantiques dans le discours direct des personnages inscrits dans des cadres divers allant de l’intrigue propre au polar, à la théâtralisation et à l’autofiction, ce qui met en évidence l’hybridité de son écriture, l’une des caractéristiques fondamentales des ouvrages postmodernes.
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BERTRAND, Denis. "La générativité est-elle soluble dans le sensible ? Réflexions topologiques et énonciatives « au cœur » du parcours génératif." 130, no. 130 (January 23, 2024). http://dx.doi.org/10.25965/as.8295.

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Abstract:
Chaque période de la sémiotique, à travers l’un et l’autre de ses courants majeurs, a connu son modèle spatial emblématique, véritable signature épistémique de la mise en forme théorique : carré, hexagone, cercle, strates feuilletées, ellipse, aile de papillon, courbes entre abscisse et ordonnée, spirales, bulles, sphères, etc. On s’intéresse ici à l’une des représentations les plus largement répandues : celle des niveaux entre surface et profondeur. Si la linguistique générative et la sémiotique greimassienne à sa suite, mais dans une autre perspective, ont popularisé le schéma des structures profondes opposables aux structures de surface, elles n’ont fait que prolonger un dispositif spatial qui était transversal à bien d’autres disciplines : sens immanent et sens transcendant ; sens explicite et sens caché ; contenu manifeste et contenu latent ; saillance et prégnance. En recherchant les raisons d’un motif formel aussi récurrent, notre exploration de cette modélisation spatiale interroge l’hypothèse localiste, qui postule la spatialisation comme une isotopie sémantique première et modélisante, se présentant comme un signifiant disponible pour la formation des contenus non spatiaux. Le « catachrésisme » spatial régirait la formation du langage. On revient alors sur le parcours génératif de la signification pour tenter de comprendre les raisons de son succès pédagogique et de son relatif insuccès scientifique. Les procédures de conversion qui assurent le passage d’un niveau à l’autre transforment le statisme des niveaux en dynamisme des échanges. Les strates opèrent comme des filtres à mailles progressives : les très grosses mailles des structures profondes s’affinant peu à peu pour ne plus laisser passer, en surface que les sèmes à mailles fines. Une nouvelle figure spatiale refait alors son apparition, la densité sémique, et la syntagmatique du parcours l’emporte sur la paradigmatique des niveaux. C’est donc pour finir ce mot « parcours » qui nous arrête, avec la mouvance indéterminée et sans bord qui lui est inhérente. Cela implique une instance mobile qui prend en charge ce parcours, un randonneur énonciatif du faire scientifique. On place alors l’énonciation comme centre opérateur du parcours, muni de ses composantes liées : sensible, par l’ancrage somatique de toute énonciation possible (cf. la phusis), et cognitive, par une projection des formants dont la générativité peut donner l’image. Soumis au primat de la perspective, ce sont les différents régimes sémiotiques de sélection des formes d’expression et des formes de contenu qui modélisent, in fine, le, ou plutôt les, parcours.
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Hébert, Martin. "Paix." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.088.

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Abstract:
Une préoccupation pour la réalisation empirique de la paix traverse le discours disciplinaire anthropologique. Ses racines sont profondes et multiples, mais convergent en un ensemble de questions situées à l’intersection entre la recherche de terrain, la philosophie politique et l’engagement pratique. A-t-il déjà existé des sociétés humaines vivant en paix? Quelles sont les conditions permettant, ou ayant permis, l’existence de cette paix? Est-il possible d’entrevoir un chemin vers la paix pour les sociétés contemporaines? On comprendra rapidement que ces questions sont indissociables de la définition même donnée au concept de paix. Intuitivement, nous pouvons comprendre la paix comme un « souhaitable » individuel et collectif. Bien entendu, une telle formulation est insatisfaisante pour l’analyse ou pour guider l’action. Mais avant de la préciser davantage il faut prendre la mesure de la puissance de la notion de paix en tant que référent vide, en tant que réceptacle dans lequel ont été versées les aspirations les plus diverses. La quête de la « paix » a été invoquée pour justifier tant les actions nobles que les actions exécrables de l’histoire. Ce constat pourrait facilement mener à penser que le terme est peu utile dans le cadre d’une discussion sérieuse portant sur les finalités humaines. Cependant, c’est justement le caractère polysémique du mot « paix », doublé du fort investissement normatif dont il fait l’objet, qui lui donnent sa prégnance politique. Comme n’importe quelle autre notion, celle de paix est l’enjeu de luttes de sens. Mais définir la « paix », c’est définir le domaine du souhaitable, du possible, du raisonnable; c’est intervenir directement sur l’horizon des aspirations humaines. Il n’est donc guère surprenant que les tentatives visant à fixer le sens de ce mot soient abondantes, souvent contradictoires entre elles et généralement convaincues de leur légitimité. L’ethnographie participe de diverses manières au travail de définition de la paix. Par exemple, l’ethnographie a joué – et semble parfois tentée de continuer de jouer – un rôle important dans la reproduction du paradigme édénique. Dans cette conception, la paix est comprise à la fois comme une absence de violence interpersonnelle et une régulation harmonieuse des conflits dans la société. Les représentations idylliques de telles sociétés dites « en paix » (Howell et Willis 1989) témoignent d’une tentation dans certains écrits ethnographiques d’idéaliser des sociétés traditionnelles, précoloniales, ou en résistance. Elles participent d’un travail de critique très ancien qui s’opère par contraste, procédé par lequel l’ « Autre » ethnographique est posé comme l’antithèse d’un monde (moderne, capitaliste, colonial, écocide, patriarcal, etc.) dénoncé comme aliéné et violent. L’anthropologie a souvent été prise à partie pour avoir employé une telle stratégie discursive opposant les « sociétés en paix » aux sociétés mortifères. Il faut noter, cependant, que ces remontrances participent elles aussi à la lutte de sens dont l’enjeu est la définition de la notion de paix. Les apologues du colonialisme, par exemple, utilisaient leur propre stratégie de critique par contraste : les lumineux principes (euro-centriques, libéraux, entrepreneuriaux) supposément aux fondements de la prospérité universelle viendraient supplanter les « ténèbres » locales dans ce que Victor Hugo (1885) a décrit comme la « grande marche tranquille vers l’harmonie, la fraternité et la paix » que serait pour lui l’entreprise coloniale en Afrique. Nous glissons ici dans une autre définition de la « paix » ayant joué un rôle important dans l’histoire de l’anthropologie, soit la pacification. Ici, la paix n’est pas un état observable dans les sociétés ethnographiées, mais plutôt un résultat à produire par une intervention politique, incluant militaire. La naïveté de la « grande marche tranquille » d’une Histoire par laquelle l’humanité cheminerait inéluctablement vers une convergence dans des valeurs euro-centriques communes se dissipe ici. Elle fait place à des positions qui établissent leur autorité énonciative en se présentant comme « réalistes », c’est-à-dire qu’elles rejettent l’image édénique de la paix et se rangent à l’idée que la violence est le fondement du politique. Dans cette perspective, la définition de la paix serait la prérogative de ceux qui peuvent l’imposer. La « paix » se confond alors avec l’ordre, avec la répression des conflits sociaux et, surtout, avec un acte de prestidigitation sémantique par lequel les violences faisant avancer les ambitions hégémoniques cessent d’être vues comme violences. Elles deviennent des opérations, des interventions, des mesures, voire des politiques entreprises au nom de la « paix sociale ». On le sait, l’anthropologie a fait plus que sa part pour faciliter les pacifications coloniales. Par son rôle dans des politiques nationales telles l’indigénisme assimilationniste, elle a également contribué à des « projets de société » visant l’unification de populations hétérogènes sous l’égide du nationalisme, du capitalisme et de la docilité aux institutions dominantes. Après la seconde guerre mondiale, il n’a pas non plus manqué d’anthropologues prêtes et prêts à s’associer aux entreprises de pacification/stabilisation par le développement et par l’intégration de populations marginales à l’économie de marché. Dans la plupart des cas, l’anthropologie a été instrumentalisée pour réduire le recours à la violence physique directe dans les entreprises de pacification, proposant des approches moins onéreuses et plus « culturellement adaptées » pour atteindre les mêmes objectifs d’imposition d’un ordre exogène à des sociétés subalternes. Un point tournant dans la critique de la pacification a été le dévoilement de l’existence du projet Camelot dans la seconde moitié des années 1960 (Horowitz 1967). Cette vaste opération mise sur pied par le gouvernement américain visait à engager des spécialistes des sciences sociales pour trouver des moyens d’influencer les comportements électoraux en Amérique latine. Cette initiative visait à faire passer à l’ère de la technocratie les stratégies « civiles » de pacification coloniales développées en Afrique dans les années 20-30 et en Indochine dans les années 50. Outre la dénonciation par les anthropologues nord-américains et européens de cette collusion entre les sciences sociales et impérialisme qui s’est encore illustrée dans le sud-est asiatique pendant la guerre du Vietnam (Current Anthropology 1968), la réponse critique face au dévoilement du projet Camelot fut, notamment, de déclencher une réflexion profonde en anthropologie sur la frontière entre la paix et la guerre. Même si le recours à la manipulation psychologique, économique, politique, et diplomatique n’impliquait pas nécessairement, en lui-même, de violence physique directe il devenait impératif de théoriser les effets de violence produits par cette stratégie (Les Temps Modernes 1970-1971). Si l’idée que certaines « paix » imposées peuvent être éminemment violentes fut recodifiée et diffusée par des chercheurs du Nord à la fin des années 1960, elle était déjà bien en circulation au Sud. Frantz Fanon (1952) mobilisait le concept d’aliénation pour désigner les effets des violences symboliques, épistémologiques et culturelles des systèmes coloniaux. Gustavo Guttiérez (1971), impliqué dans le développement de la théologie de la libération en Amérique latine, parlait pour sa part de « violence institutionnalisée » dans les systèmes sociaux inéquitables. Sous leur forme la plus pernicieuse ces violences ne dépendaient plus d’une application constante de force physique directe, mais s’appuyaient sur une « naturalisation » de la domination. Dans ce contexte, il devenait clair que la notion de paix demandait une profonde révision et exigeait des outils permettant de faire la distinction entre la pacification aliénante et une paix fondée sur la justice sociale. Travaillant à cette fin, Johan Galtung (1969) proposa de faire la différence entre la paix « négative » et la paix dite « positive ». La première renvoie à l’absence de violence physique directe. Elle est une condition considérée comme nécessaire mais de toute évidence non suffisante à une paix significative. Déjà, des enjeux définitionnels importants peuvent être soulevés ici. Une société en paix doit-elle éliminer les sports violents? Les rituels violents? Les représentations artistiques de la violence? Qu’en est-il de la violence physique directe envers les non-humains? (Hébert 2006) La paix positive est une notion plus large, pouvant être rapprochée de celle de justice sociale. Les anthropologues ont tenté de la définir de manière inductive en proposant des études empiriques de deux types. Dans un premier temps, il s’est agi de définir diverses formes de violences autres que physique et directe (telles les violences structurelles, symboliques, épistémiques, ontologiques, etc.) et poser la paix positive comme le résultat de leur élimination. Par contre, les limites de cette « sombre anthropologie » (Ortner 2016) ont appelé des recherches complémentaires, plutôt centrées sur la capacité humaine à imaginer et instituer de nouvelles formes sociales dépassant les violences perçues dans les formes passées. L’idée d’une paix stable, définitive et hors de l’histoire – en d’autres mots édénique – disparaît ici. Elle est remplacée par des processus instituants, constamment examinés à l’aune de définitions de la violence qui, elles-mêmes, sont en transformation constante. La définition de la paix demeure l’enjeu de luttes de sens. Ces dernières se résolvent nécessairement dans des rapports politiques concrets, situés historiquement et sujets à changement. Les travaux anthropologiques ne font pas exception et sont pleinement engagés dans la production politique de ces définitions. Mais l’anthropologie de la paix participe également de la réflexivité que nous pouvons avoir tant face aux définitions cristallisées dans nos institutions que face à celles qui se proposent des les remplacer.
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Dissertations / Theses on the topic "Représentation sémantique profonde"

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Hijazi, Rita. "Simplification syntaxique de textes à base de représentations sémantiques exprimées avec le formalisme Dependency Minimal Recursion Semantics (DMRS)." Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2022. http://theses.univ-amu.fr.lama.univ-amu.fr/221214_HIJAZI_602vzfxdu139bxtesm225byk629aeqyvw_TH.pdf.

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Abstract:
La simplification de textes consiste à transformer un texte en une version plus simple à lire et/ou à comprendre et plus accessible à un public cible, tout en conservant son information, son contenu et son sens originaux. Cette thèse se concentre sur la simplification syntaxique de textes en anglais, une tâche pour laquelle les systèmes automatiques existants présentent certaines limites. Pour les dépasser, nous proposons tout d’abord une nouvelle méthode de simplification syntaxique exploitant des dépendances sémantiques exprimées en DMRS (Dependency Minimal Recursion Semantics), une représentation sémantique profonde sous forme de graphes combinant sémantique et syntaxe. La simplification syntaxique consiste alors à représenter la phrase complexe en un graphe DMRS, transformer selon des stratégies spécifiques ce graphe en d’autres graphes DMRS qui généreront des phrases plus simples. Cette méthode permet la simplification syntaxique de constructions complexes, en particulier des opérations de division basées sur des appositives, sur des coordinations et sur des subordinations ; ainsi que la transformation de formes passives en formes actives. Les résultats obtenus par ce système de simplification syntaxique sur ce corpus de référence sur les opérations de division de phrases surpassent ceux des systèmes existants du même type dans la production de phrases simples, grammaticales et conservant le sens, démontrant ainsi tout l’intérêt de notre approche de la simplification syntaxique à base de représentations sémantiques en DMRS
Text simplification is the task of making a text easier to read and understand and more accessible to a target audience. This goal can be reached by reducing the linguistic complexity of the text while preserving the original meaning as much as possible. This thesis focuses on the syntactic simplification of texts in English, a task for which these automatic systems have certain limitations. To overcome them, we first propose a new method of syntactic simplification exploiting semantic dependencies expressed in DMRS (Dependency Minimal Recursion Semantics), a deep semantic representation in the form of graphs combining semantics and syntax. Syntactic simplification enables to represent the complex sentence in a DMRS graph, transforming this graph according to specific strategies into other DMRS graphs, which will generate simpler sentences. This method allows the syntactic simplification of complex constructions, in particular division operations such as subordinate clauses, appositive clauses, coordination and also the transformation of passive forms into active forms. The results obtained by this system of syntactic simplification surpass those of the existing systems of the same type in the production of simple, grammatical sentences and preserving the meaning, thus demonstrating all the interest of our approach to syntactic simplification based on semantic representations in DMRS
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Grandemange, Philippe. "Représentation des connaissances et profondeur variable : une implantation." Paris 13, 1992. http://www.theses.fr/1992PA132008.

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Abstract:
Nous présentons le système VaDe de représentation et de manipulation des connaissances, qui est basé sur une conception nouvelle de la sémantique des représentations: la profondeur variable, alternative à une vision purement logique. Les concepts de sens commun ne sont pas des entités du système de représentation: un concept est représenté par un point d'entrée dans une famille d'entités (nuds) du système +la capacité a développer un paquet de nuds +un système de propagation du point d'entrée vers les autres nuds. Cette famille ne se présente pas comme donnée a priori: nous considérons la création de nuds comme un processus de raffinement qui s'arrête dès qu'une interprétation acceptable est trouvée. Pour traiter plus efficacement l'interprétation des concepts de sens commun par des entités formelles. VaDe est un système hybride (règles + module d'instanciation + réseau sémantique) doté d'un système de maintenance à la atms et utilisant le raisonnement non monotone en particulier pour traiter de façon originale les formules existentielles. Les différentes caractéristiques du système vade sont progressivement présentées: le niveau représentation, l'interprétation en logique des défauts et le fonctionnement détaillé d'une première implémentation. Nous présentons enfin une application en sémantique du langage naturel: une ontologie pour le temps est définie, capable de représenter les relations variées qu'entretiennent, dans un récit, les différents événements qui le ponctuent (liens relatifs de datation et de durée, structuration interne).
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Francis, Danny. "Représentations sémantiques d'images et de vidéos." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUS605.

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Abstract:
Des travaux de recherche récents en apprentissage profond ont permis d’améliorer significativement les performances des modèles multimédias : avec la création de grands jeux de données d’images ou de vidéos annotées, les réseaux de neurones profonds ont surpassé les modèles précédemment utilisés dans la plupart des cas. Dans cette thèse, nous avons développé de nouveaux modèles neuronaux profonds permettant de générer des représentations sémantiques d’images et de vidéos. Nous nous sommes intéressés à deux tâches principales : l’appariement d’images ou de vidéos et de textes, et la génération automatique de légendes. La tâche d’appariement peut être réalisée par le biais d’un espace multimodal commun permettant de comparer images ou vidéos et textes. Nous avons pour cela défini deux types de modèles d’appariement en nous inspirant des travaux récents sur les réseaux de capsules. La génération automatique de légendes textuelles est une tâche ardue, puisqu’elle demande à analyser un objet visuel, et à le transcrire en une description en langage naturel. Pour cela, nous proposons deux méthodes d’apprentissage par curriculum. Par ailleurs, nous avons défini une méthode permettant à un modèle de génération de légendes de vidéos de combiner des informations spatiales et temporelles. Des expériences ont permis de prouver l’intérêt de nos propositions par rapport aux travaux existants
Recent research in Deep Learning has sent the quality of results in multimedia tasks rocketing: thanks to new big datasets of annotated images and videos, Deep Neural Networks (DNN) have outperformed other models in most cases. In this thesis, we aim at developing DNN models for automatically deriving semantic representations of images and videos. In particular we focus on two main tasks : vision-text matching and image/video automatic captioning. Addressing the matching task can be done by comparing visual objects and texts in a visual space, a textual space or a multimodal space. Based on recent works on capsule networks, we define two novel models to address the vision-text matching problem: Recurrent Capsule Networks and Gated Recurrent Capsules. In image and video captioning, we have to tackle a challenging task where a visual object has to be analyzed, and translated into a textual description in natural language. For that purpose, we propose two novel curriculum learning methods. Moreover regarding video captioning, analyzing videos requires not only to parse still images, but also to draw correspondences through time. We propose a novel Learned Spatio-Temporal Adaptive Pooling method for video captioning that combines spatial and temporal analysis. Extensive experiments on standard datasets assess the interest of our models and methods with respect to existing works
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Harrando, Ismail. "Representation, information extraction, and summarization for automatic multimedia understanding." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. http://www.theses.fr/2022SORUS097.

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Abstract:
Que ce soit à la télévision ou sur internet, la production de contenu vidéo connaît un essor sans précédent. La vidéo est devenu non seulement le support dominant pour le divertissement, mais elle est également considérée comme l'avenir de l'éducation, l'information et le loisir. Néanmoins, le paradigme traditionnel de la gestion du multimédia s'avère incapable de suivre le rythme imposé par l'ampleur du volume de contenu créé chaque jour sur les différents canaux de distribution. Ainsi, les tâches de routine telles que l'archivage, l'édition, l'organisation et la recherche de contenu par les créateurs multimédias deviennent d'un coût prohibitif. Du côté de l'utilisateur, la quantité de contenu multimédia distribuée quotidiennement peut être écrasante ; le besoin d'un contenu plus court et plus personnalisé n'a jamais été aussi prononcé. Pour faire progresser l'état de l'art sur ces deux fronts, un certain niveau de compréhension du multimédia doit être atteint par nos ordinateurs. Dans cette thèse, nous proposons d'aborder les multiples défis auxquels sont confrontés le traitement et l'analyse automatique de contenu multimédia, en orientant notre exploration autour de trois axes : 1. la représentation: avec toute sa richesse et sa variété, la modélisation et la représentation du contenu multimédia peut être un défi en soi. 2. la description: La composante textuelle du multimédia peut être exploitée pour générer des descripteurs de haut niveau (annotation) pour le contenu en question. 3. le résumé: où nous étudions la possibilité d'extraire les moments d'intérêt de ce contenu, à la fois pour un résumé centré sur la narration et pour maximiser la mémorabilité
Whether on TV or on the internet, video content production is seeing an unprecedented rise. Not only is video the dominant medium for entertainment purposes, but it is also reckoned to be the future of education, information and leisure. Nevertheless, the traditional paradigm for multimedia management proves to be incapable of keeping pace with the scale brought about by the sheer volume of content created every day across the disparate distribution channels. Thus, routine tasks like archiving, editing, content organization and retrieval by multimedia creators become prohibitively costly. On the user side, too, the amount of multimedia content pumped daily can be simply overwhelming; the need for shorter and more personalized content has never been more pronounced. To advance the state of the art on both fronts, a certain level of multimedia understanding has to be achieved by our computers. In this research thesis, we aim to go about the multiple challenges facing automatic media content processing and analysis, mainly gearing our exploration to three axes: 1. Representing multimedia: With all its richness and variety, modeling and representing multimedia content can be a challenge in itself. 2. Describing multimedia: The textual component of multimedia can be capitalized on to generate high-level descriptors, or annotations, for the content at hand. 3. Summarizing multimedia: we investigate the possibility of extracting highlights from media content, both for narrative-focused summarization and for maximising memorability
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