Academic literature on the topic 'Rénovation urbaine – Liban – 1970-'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Rénovation urbaine – Liban – 1970-.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Rénovation urbaine – Liban – 1970-"

1

Séguin, Anne-Marie. "La construction sociale d’un compromis (1945–1970) : prélude à la rénovation urbaine dans le quartier Saint-Jean-Baptiste de Québec." Urban History Review 24, no. 2 (March 1996): 12–24. http://dx.doi.org/10.7202/1016595ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Ailane, Sofiane. "Hip-hop." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.014.

Full text
Abstract:
Le hip-hop englobe quatre expressions artistiques qui sont constitutives de la culture hip-hop : le dj’ing, le rap, le breakdance et le graffiti. Le rap est une forme de « parler-chanter » exécuté sur des rythmes de bases produits par le Disc Jockey (DJ). Le breakdance est l’expression corporelle du hip-hop, c’est une danse à dimension athlétique, dont l’esthétique se base sur la rupture du flux dans des mouvements amples et fluides. Le graffiti correspond à l’art graphique du hip-hop, ces peintures se donnent à voir généralement sur le mobilier urbain au travers de fresques colorées, mais bien souvent le graffiti reprend sous une forme quasi hiéroglyphique le pseudonyme de l’auteur. Il se distingue du tag par l’usage des techniques de spray, la superposition des couleurs ainsi que par des effets d’ombrage (Bazin 1998). Étymologiquement, « hip-hop », serait la composante de deux termes en anglais hip, qui est issu de l'argot de la rue, le jive talk, qui signifie « être dans le vent, être branché » et to hop qui se traduit littéralement par le verbe danser. Il existe aussi la possibilité que le terme hip-hop soit repris des onomatopées dans la langue anglaise et qui sont présentes dans le langage rap, ainsi on retrouve « hip » qui consiste à encourager et « hop » qui est l'onomatopée qui désigne l'action de sauter. Ces termes étaient utilisés et scandés par les DJ’s habitués à prendre le microphone afin d’encourager les danseurs et haranguer la foule lors des block parties (Toop 1984). D’un point de vue historique et compte tenu de l’hétérogénéité des éléments constitutifs de la culture hip-hop, il est complexe d’indiquer avec précision le moment fondateur de cette expression culturelle même si les années 1970 font consensus dans la communauté des chercheurs. Cependant, d’un point de vue géographique, le ghetto du Bronx apparaît comme le lieu de naissance de la culture hip-hop, d’ailleurs la Smithsonian Institution et le National Museum of American History ont reconnu le « 1520 Sedgwick Avenue » dans le Bronx comme « lieu d’invention » de la culture hip-hop. En effet, les différents éléments de la culture hip-hop se donnaient à voir de façon simultanée dans les block parties du Bronx. Ces fêtes improvisées prenaient place dans les écoles, les centres communautaires, les maisons abandonnées ou bien encore dans les jardins publics. Elles constituaient le moment de loisir privilégié d’une jeunesse délaissée voulant s’épanouir dans un New York en pleine mutation et qui n’offrait alors que peu d’opportunité, de joie et de plaisir (Chang 2005). Pour la jeunesse afro-américaine et caribéenne, habitant le ghetto et victimes collatérales des coupes budgétaires et de la rénovation urbaine, le hip-hop et notamment ces block parties constituaient un moyen d’exprimer une autre façon de vivre le ghetto par la création d’un exutoire salvateur qui leur permist d’appréhender de façon plus ludique les problèmes quotidiens auxquels ils étaient confrontés. Véritable remix urbain des cultures vernaculaires afro-américaines et caribéennes, le hip-hop se nourrit autant de son hybridité que des objets que pouvait lui fournir l’environnement urbain en matières de décors et de lieux d'inspiration, mais également en matières de technologie (spray, sonorisation, hifi) (Gilroy 2003 ; Rose 1994). De plus, l’influence au niveau musical, plastique et rhétorique ne se limite pas à l’Amérique du Nord et la Caraïbe, les civilisations asiatiques, par exemple font également figure de ressources dans lesquels puisent les hip-hoppers. Aujourd’hui en tant qu’objet culturel transnational, on constate la capacité du hip-hop à s’adapter au contexte culturel et social dans chaque partie du globe où il s’exprime (Mitchell 2001). Ces transformations et ces aspects hybrides reflètent l’ « état d’esprit » du hip-hop qui se veut être un espace expérimental non exclusif où les problèmes contemporains et les forces ancestrales fonctionnent ensemble, simultanément, devenant dès lors une figure du métissage (Laplantine et Nous 2001) Néanmoins, malgré l’extraordinaire pluralité des acteurs et des expressions que mobilise la culture hip-hop, il est intéressant d’observer que les hip-hoppers représentent bien souvent des secteurs marginalisés dans leur propre société et qu’ils sont au centre de revendications sociales et égalitaires (Osumare 2007). Bien souvent, le hip-hop constitue la bande sonore d’activistes et il accompagne et/ou porte des pédagogies alternatives en direction des jeunesses de rue (Ailane 2011). Il n’existe pas a priori un cadre d’analyse spécifique de la culture hip-hop en sciences humaines et sociales. Il est un objet d’étude complexe et plurivoque, sans cesse en train de se reformuler, il intègre de nouvelles modalités autant au niveau musical, corporel que dansé. Les causes de cette dynamique seraient à comprendre par sa distribution géographique qui le diversifie d’autant plus. Mais encore, en y regardant de plus près, le hip-hop occupe une place relative dans la vie de ses adeptes, certains le considèrent comme un simple loisir (écouter de la musique par exemple) voire l’identifient à un sport (pour certains pratiquants de breakdance), ou bien l’embrassent tel un mode de vie (les activistes du mouvement hip-hop). Selon les acteurs, le lieu d’expression et le contexte, le hip-hop se donne donc à voir de manière non-monolithique ; il présente inévitablement des variations qui rendent difficile son étude de façon trop généraliste. Il est, compte-tenu de cette hétérogénéité dans la pratique, difficile de se saisir du hip-hop, a fortiori, lorsqu’il s’agit de le mobiliser dans une recherche en sciences sociales. L’approche ethnographique et l’immersion dans l’univers micro-cosmique des hip-hoppers est ainsi souvent privilégiée (Condry 2006 ; Forman 2002 ; Pardue 2008 ; Perullo 2011). Toutefois, l’anthropologie et la sociologie urbaine sont souvent mobilisées pour aborder le hip-hop car en tant que culture urbaine, il permet d’accéder à une lecture de l’univers urbain par le récit que font les hip-hoppers de leur quotidien et l’usage qu’ils font des espaces publics. Le hip-hop peut être considéré comme une ressource fertile pour les chercheurs s’intéressant aux « marges urbaines ». Cette approche n’est pas dénuée de biais car bien souvent, le logiciel utilisé pour analyser les pratiques hip-hop est associé aux problématiques liées aux « pathologies urbaines », violence, trafic, délinquance, exclusion/inclusion, stigmatisation, marginalisation, mettant dès lors de côté, ou du moins minimisant, l’innovation culturelle et sociale dont font preuve les groupes juvéniles. Par ailleurs, les théoriciens des « cultures juvéniles » ont trouvé dans le hip-hop un terrain fertile pour mettre en mouvement leurs pensées. Dans la lignée des cultural studies, les chercheurs ont privilégié les approches qui analysent les rapports entre le hip-hop, considéré sous sa dimension de « subculture résistante » et la culture dite dominante. Cette perspective se concentre notamment autour de problématiques liées à l’authenticité. Bennet (1999) les oppose selon deux points de vue. Le premier consiste à penser l’authenticité dans le hip-hop à travers la préservation de ses origines en tant que culture de rue afro-américaine. Le second point de vue se développe sur une autre conception du hip-hop, considéré comme la construction d’un « lien » qui permettrait le « dialogue » entre les populations afro-diasporiques liées par l’expérience de l’esclavage. Ces deux tendances bien qu’opposées, ont toutefois le large défaut de considérer le hip-hop comme une expression essentiellement afro-centrée et elles évacuent un pan important de hip-hoppers qui ne sont pas noirs et/ou qui ne se revendiquent pas d’une communauté afro-diasporique. L’enjeu des recherches actuelles sur le hip-hop serait donc d’interroger également la dynamique culturelle provoquée par la relocalisation de ces musiques noires dans un contexte global, marqué par le capitalisme occidental et la circulation rapide d’images culturelles dans des lieux dans lesquels elles ont trouvé un nouvel écho
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Rénovation urbaine – Liban – 1970-"

1

Verdeil, Eric. "Une ville et ses urbanistes : Beyrouth en reconstruction." Phd thesis, Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010690.

Full text
Abstract:
La thèse croise deux problématiques: celle des reconstructions après les guerres et l'histoire de l'urbanisme dans les pays arabes. Elle considère l'urbanisme de Beyrouth à la lumière des bouleversements que le Liban a connu durant la guerre (1975-1990). Elle souligne aussi la continuité observable dans les politiques urbaines depuis l'avant-guerre, en étudiant le rôle des professionnels de l'urbain. La première partie décrit les chantiers et les débats de l' après-guerre, notamment ceux du centre- ville. La seconde partie analyse les politiques d'aménagement de la présidence Chehab (1958-64) et les normes introduites par ses conseillers, qui sont restées les références d'une génération d'urbanistes jusqu'à la reconstruction. La troisième partie étudie la transformation de l'urbanisme dans la guerre (bouleversements sociaux et mutation de la commande politique et des conditions d'exercice professionnel), à travers les cas du centre-ville, de la banlieue sud et des remblais du littoral nord.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Verdeil, Eric. "Une ville et ses urbanistes : Beyrouth en reconstruction." Phd thesis, Université Panthéon-Sorbonne - Paris I, 2002. http://tel.archives-ouvertes.fr/halshs-00003919.

Full text
Abstract:
Cette recherche se situe à la croisée de deux problématiques : l'étude des reconstructions après les guerres et l'histoire de l'urbanisme dans les pays arabes. Elle s'attache à saisir les transformations urbanistiques contemporaines à la lumière des bouleversements physiques, sociaux et politiques que le Liban a connu durant les années de guerre (1975-1990), tout en soulignant les éléments de continuité observables dans les politiques urbaines depuis l'avant-guerre. Dans cette perspective, le rôle des « urbanistes » ou des professionnels de l'urbain est central. La recherche défend l'hypothèse que loin de n'être que des rouages entre la commande et l'intervention urbaine, cette catégorie d'acteurs participe activement à l'élaboration des politiques suivies.
La première partie décrit les chantiers de l'après-guerre au Liban : celui du centre-ville est exceptionnel par la place prise par le Premier ministre R. Hariri dans son élaboration et sa mise en œuvre, comme par le débat qu'il suscite et qui met en évidence d'autres conceptions de la reconstruction. Les autres chantiers de la période illustrent que les priorités du gouvernement ne suivent pas exactement les plans proposés par les urbanistes de la reconstruction.
Le deuxième partie analyse la convergence autour des politiques d'aménagement spatial qui caractérisait le mandat du président Fouad Chehab. Ses conseillers étrangers introduisirent des normes d'action exigeantes qui forment le socle des références d'une génération d'urbanistes, exerçant sous forme libérale ou dans l'administration libanaise. Leur influence se fait sentir jusqu'à l'époque de la reconstruction.
La troisième partie envisage la transformation de ces normes et des pratiques d'action urbanistiques à travers la guerre, où l'on observe une mutation de la commande politique, des bouleversements sociaux et une transformation des conditions d'exercice professionnel. Le centre-ville, la banlieue sud-ouest et les remblais du littoral nord constituent trois études de cas où se combinent différemment cultures professionnelles des urbanistes et nouvelles modalités des politiques urbaines à l'occasion du renouvellement du personnel politique, qu'illustrent les carrières croisées du. président A. Gemayel et du promoteur R. Hariri.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Baalbaky, Najwa. "Le nouveau Beyrouth, contribution à l'étude de la centralité urbaine." Paris 10, 2003. http://www.theses.fr/2003PA100150.

Full text
Abstract:
13 ans après la guerre civile, le Liban et sa capitale ne sont plus les mêmes. Le centre-ville apparaît comme la pièce maîtresse de cette métamorphose tant au moment de sa disparition qu'au moment de sa reconstruction. Il a engendré à chaque fois un nouvel aspect de l'espace urbain beyrouthin et une nouvelle centralité urbaine. Cette recherche se situe à la croisée de deux problématiques : l'étude d'une reconstruction d'un centre-ville et celle du système de la centralité urbaine. Elle s'attache à saisir les transformations urbanistiques à la lumière des bouleversements physiques, sociaux et politiques que le Liban a connues durant les années 1975-90. La première partie analyse près d'un siècle d'évolution et de métamorphose de la centralité urbaine beyrouthine. La deuxième partie décortique la reconstruction du centre-ville de Beyrouth en la liant à la nouvelle organisation urbaine et en mettant l'accent sur la nature de la centralité urbaine actuelle. La troisième partie traite la centralité à différentes échelles allant du local au global.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

EL, RIFAI ELSAYED. "La reponse urbaine dans une ville moyenne en mutation acceleree baalbeck (liban, 1970-1990)." Paris 12, 1991. http://www.theses.fr/1991PA120039.

Full text
Abstract:
Le developpement urbain de la ville moyenne de baalbeck s'accelere, en grande partie, par les constructions dites "spontanees". Le nouveau phenomene de la decentralisation imposee par la guerre civile fait, en effet, de baalbeck l'objet de polarisation des flux migratoires. Devant la quasi-inexistance de l'etat, l'habitat spontane repond, alors, aux besoins urgents de la population en matiere de logement. Par ailleurs, les caracteristiques urbaines et sociales des quartiers spontanes se dotent de toutes les chances de l'integration urbaine, a la condition expresse que s'opere une intervention publique efficace, en vie de l'amenagement des services et des equipements urbains
The middle sized-city of baalbeck-lebanon is expanding very fast, with a phenomenon of so-called "spantaneous" construction. The civil war, with its colateral forced decentralisation turns the city into a polarization centre receiving the interior migrations. The spontaneous housing is the real response to the population's urgent needs in matter of housing, while no urban policy has yet filtered through. The urban and social characteristics of the spontaneous neighbourhoods are most likely to succeed. Yet, this calls for an efficient public intervention in order to fill the yawning gap in urban services and equipements
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Brushett, Kevin Thomas. "Blots on the face of the city, the politics of slum housing and urban renewal in Toronto, 1940-1970." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2001. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp05/NQ63408.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Yazigi, Serge. "Régénération urbaine des quartiers péricentraux de Beyrouth : le cas de Zokak el-Blat (1850-2013)." Thesis, Bordeaux 3, 2015. http://www.theses.fr/2015BOR30054.

Full text
Abstract:
Les quartiers de la première couronne urbaine qui entourent le centre historique de Beyrouth connaissent actuellement une régénération spontanée – par opposition à celle planifiée du centre-ville attenant – qui se caractérise par de fortes inégalités socio-économiques, des politiques sectaires territorialisées, une fragmentation de l'espace urbain, etc. La ville, qui porte encore en elle les stigmates d’une guerre civile pourtant terminée depuis près d’un quart de siècle, connait un net recul de ses services urbains et de sa qualité de vie. Pourtant, malgré l’état de crise sécuritaire latent et bien au-delà de la crise économique mondiale, d’innombrables chantiers continuent de s’y développer. De par leur vulnérabilité aux dynamiques en cours et mentionnées ci-dessus, les zones péricentrales qui se sont développées à partir de la moitié du XIXème siècle sont particulièrement intéressantes à observer. Le quartier de Zokak el-Blat en constitue l’exemple le plus représentatif des dynamiques en cours. A travers une approche multidisciplinaire inscrite dans l’histoire contemporaine, la thèse tentera d’apporter un éclairage nouveau quant au concept de régénération urbaine. Particulièrement dans le cas où malgré le dynamisme apparent des investisseurs immobiliers, le modèle de régénération en cours comporte des stigmates au niveau social, morphologique et urbain, ainsi que des conséquences lourdes quant à la capacité de développement économique durable de la région considérée. Cette thèse s’appuie d’une part sur une approche historique et contextuelle visant à étudier les périodes de structuration urbaine moderne de la ville de Beyrouth et ce, en fonction de critères relevant de la constitution du rôle culturel du quartier, de son patrimoine bâti, du pacte social qui régit les relations de ses habitants ainsi que de la structuration de sa morphologie urbaine. Le rapport de force prévalant entre les secteurs privé et public, ainsi que le rôle et l’autorité de l’État face aux différentes forces politico-sectaires présentes sur le terrain viendront compléter cette lecture. Divers aspects se rapportant à la valorisation du patrimoine, ainsi que les processus de gentrification et de fragmentation, seront abordés pour leurs capacités à révéler les mécanismes en cours dans le quartier. Aux éléments précités, s’ajoute l’analyse du cadre institutionnel et réglementaire encadrant les opérations de régénération au Liban. Une attention particulière sera portée sur les nombreux blocages et entraves existants. L’émergence du principe de la « déconstruction urbaine » sera de même abordée comme pouvant servir à décrire les phénomènes complexes que connaissent certains quartiers beyrouthins
The neighborhoods of the first urban ring that surround the historic center are currently experiencing a spontaneous regeneration – as opposed to the adjacent planned downtown – itself characterized by strong socio-economic inequalities, sectarian-based policies, fragmentation of the urban space, etc. The city, which still carries the stigma of a civil war that has been over for nearly a quarter century, is experiencing a sharp decline of its urban services and quality of life. Nonetheless, and despite the latent security crisis and the global economic crisis, countless building sites continue to develop. The pericentral areas that have developed since the mid-nineteenth century, by their vulnerability to the abovementioned current dynamics, are interesting to observe. The neighborhood of Zokak el-Blat being one of the most representative of the undergoing developments’ dynamics. Based on multidisciplinary approach in contemporary history, the thesis will try to shed a new light on the concept of urban renewal. Particularly when its dynamics can behold stigmata’s on social, morphological and urban levels, as well as heavy consequences on the capacity of sustainable development of the considered area. This thesis is partly based on a historical and contextual approach aimed at studying the various periods of the modern urban structuring of the city of Beirut. This approach will be based on several criteria such as the cultural role of the neighborhood, its architectural heritage, the social pact governing the relationships between its inhabitants as well as the structuring of its urban morphology. This approach will then be completed by a study of the prevailing balance of power between the private and public sectors as well as the role and authority of the state in the various existing politico-sectarian forces. Various aspects regarding the enhancement of the neighborhood’s heritage, as well as the processes of gentrification and fragmentation will be discussed for their ability to reveal the mechanisms taking place within the neighborhood. The analysis of the institutional and regulatory framework governing the regeneration processes in Lebanon will complete the previous multidisciplinary approach. Special attention will be paid to the many existing barriers and blockages. The emergence of the principle of "urban deconstruction" will also be discussed to describe complex phenomena experienced by some neighborhoods of Beirut
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

El-Abiad, Juliette. "La mémoire urbaine du centre-ville de Beyrouth : entre reconstruction, effacement des traces et métamorphoses." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL109.

Full text
Abstract:
Cette thèse a pour objet d’étude la mémoire urbaine du centre-ville de Beyrouth. L’objectif de cette recherche est de reconstituer in situ, le fil historique et mémoriel urbanistique du centre-ville de Beyrouth depuis sa reconstruction d’après-guerre : de sa mutation à sa métamorphose. Ce travail se base sur soixante-et-un entretiens semi-directifs menés auprès de la population libanaise, de professionnels (architectes, avocats, hommes politiques) et d’enseignants-chercheurs (géographes, sociologues, littéraires). Cette recherche s’inscrit dans une démarche qualitative. Elle s’appuie également sur des études socio-anthropologiques, historiques et géographiques menées sur la reconstruction du centre-ville de Beyrouth et son histoire urbaine retraçant ainsi trois périodes temporelles : l’avant, le pendant et l’après-guerre, fondatrices des évolutions du centre-ville de Beyrouth. Elle explore grâce à l’outil de comparaison les processus de reconstruction d’autres villes détruites lors de conflits armés. En croisant les différents questionnements et choix urbains liés à la reconstruction et à la conservation de la mémoire des villes détruites, cette recherche cerne ainsi les spécificités de la reconstruction libanaise. Ce travail repose également sur un recueil de données ethnographiques mettant en lumière la mémoire urbaine du centre-ville à travers les récits mémoriaux des habitants, privilégiant ainsi un urbanisme sensible focalisé sur une mémoire sensorielle et sur des sensations passées, éprouvées et disparues avec la métamorphose des lieux du centre-ville beyrouthin
This thesis aims to study the urban memory of downtown Beirut. The objective of this research is to reconstitute in situ, the historical and memory line of downtown Beirut since its post-war reconstruction: from its transformation to its metamorphosis. This work is based on sixty-one semi-structured interviews with the Lebanese population, professionals (architects, lawyers, politicians) and research professors (geographers, sociologists, literarys). This research is part of a qualitative approach. It also relies on socio-anthropological, historical and geographical studies carried out on the reconstruction of downtown Beirut and its urban history retracing three time periods: before, during and after the war, founders of evolutions of downtown Beirut. Through the comparison tool, it explores the reconstruction processes of other cities destroyed during armed conflicts. By crossing the different questions and urban choices related to the reconstruction and preservation of the memory of the destroyed cities, this research identifies the specificities of the Lebanese reconstruction. This work is also based on a collection of ethnographic data highlighting the urban memory of the city center through the memorial narratives of the inhabitants, favoring a sensitive urban planning focused on a sensory memory and on past sensations, proven and disappeared with the metamorphosis places downtown Beirut
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Balhawan, Hélène. "Beyrouth et les enjeux de sa reconstruction : le cas des quartiers du centre-ville et de Hamra." Thesis, Lille 1, 2013. http://www.theses.fr/2013LIL12010.

Full text
Abstract:
Ces dernières décennies, les centres villes dans le monde sont soumis à des transformations urbaines, comme les rénovations ou les reconstructions. Beyrouth est une des capitales qui ont connu la reconstruction de leurs centres, après une guerre civile. L'intérêt de la recherche des transformations urbaines est de rendre compte que le territoire est un espace de création, de gestion voir de résolutions de conflits, mais aussi de comprendre comment la paix peut se rétablir dans une ville autrefois divisée. Les espaces centraux du Centre-Ville de Beyrouth et Hamra ont été questionnés afin de définir les processus à l'œuvre dans la ville, comme la gentrification et l’«élitisation», et de révéler les problèmes sous-jacents. La reconstruction des espaces centraux est un moyen d'établir un nouvel ordre après une guerre civile, mais aussi le moment où différentes stratégies de réorganisation démographique, symbolique, sociale et spatiale du territoire sont élaborées. Ainsi, les quartiers d’étude sont désormais au cœur des nouvelles tensions - des stratégies de placements et de déplacements de populations, puis d'appropriations et de résistances des « espaces publics » et résidentiels par les acteurs locaux. Les conflits ne sont plus religieux, mais davantage politiques et sociaux, surtout depuis la mort de R.Hariri (2005), qui a redéfini la scène politique du pays. Ce travail s’intéresse donc à la dualité entre la stratégie urbaine et la réappropriation territoriale dans le nouveau centre ville et à Hamra. L'étude des transformations urbaines est alors une excellente révélation du territoire, des conflits symboliques, sociaux et politiques qui se déroulent à Beyrouth
In recent decades, city centres around the world have been undergoing urban transformations such as renovations or reconstructions. Beirut is one of the capital cities which have seen the rebuilding of their centres, after a civil war. The interest of researching urban transformations is not only to realize that a territory is a space of creation, management, and even conflict resolution, but also to understand how peace can be restored in a formerly divided city. The Downtown of Beirut and the district of Hamra were questioned to determine the processes at work in the evolution of the city, like gentrification and “elitization”, and to reveal the underlying issues. The reconstruction of central areas is a way to establish a new order after a civil war, and the moment when various strategies of demographic, symbolic, social and spatial reorganization of the territory are devised. Thus, the districts are now at the centre of new conflicting tensions - strategies of placements and displacements of population, and many strategies of appropriation and resistance of public and residential areas by local actors. Conflicts are no longer religious but have become political and social, in particular since R. Hariri’s death (2005), which redefined the country’s political scene. This PhD thus focuses on the duality between urban strategy and territorial re-appropriation in the new Downtown and Hamra districts of Beirut. The study of urban transformations is an excellent revelation of territorial, symbolic, social and political conflicts, which are currently taking place in Beirut
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Hamayon-Alfaro, Hélène. "Les arts communautaires à Belfast de 1979 à 2006 : de la marge au consensus ?" Thesis, Paris 3, 2009. http://www.theses.fr/2009PA030143.

Full text
Abstract:
Ce travail de recherche explore les raisons et les enjeux de l’essor des arts communautaires à Belfast de 1979 à 2006. Il a pour objectif de mettre en relief une interdépendance entre les stratégies déployées pour résoudre le conflit nord-irlandais et le développement des arts communautaires. Nous avons, dans un premier temps, analysé le contexte dans lequel les arts communautaires ont émergé à Belfast. Nous avons, ensuite, étudié en parallèle le développement des stratégies mises en œuvre tant sur le plan national qu’européen et l’essor des arts communautaires. Principalement présents dans les quartiers catholiques, les arts communautaires ont d’abord été l’expression d’une résistance aussi bien artistique que politique. Au cours des années 90, le regard que les milieux décisionnels portent sur les arts communautaires évolue, notamment sous l’impulsion de l’Europe dont les Programmes pour la Paix et la Réconciliation encouragent la participation des habitants à des projets variés. Identifiés comme moteur de changement, les arts communautaires apparaissent en mesure de répondre aux attentes gouvernementales et européennes en termes de construction de la paix, de cohésion sociale, de relations communautaires et de développement économique. Dans un contexte de sortie de conflit, la municipalité de Belfast, désireuse de transformer l’image de la ville et de s’ouvrir sur l’extérieur, place les arts et la culture au cœur d’une stratégie de reconversion urbaine
This dissertation looks into the factors that have caused the Belfast community arts sector to grow over a period of time that was marked by major political changes. Indeed, in the 80s community arts, which developed primarily in Catholic working-class areas against a backdrop of communal violence and community activism, were marginalised, undervalued and underfunded. In the 90s, this situation gradually changed as the British government and Europe came to realise the contribution community arts could make to peace building, social cohesion, community relations and economic development by enhancing community confidence. The impact this shift in approach has had, has been particularly impressive in the field of arts and culture where cultural trends promoting greater participation and wider access to the arts have gained momentum. In practice, the gradual move from arts policy to cultural policy has meant that community arts have been placed! at the heart of Belfast’s regeneration process and increasingly used as a tool to further public policies
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Ballif, Florine. "Les peacelines de Belfast : du maintien de l'ordre à l'aménagement urbain (1969-2002)." Phd thesis, Université Paris XII Val de Marne, 2006. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00080475.

Full text
Abstract:
L'objectif de cette thèse est d'analyser le processus de cloisonnement urbain issu des Troubles à Belfast pendant les 30 dernières années. Face aux désordres incontrôlables de l'été 1969, l'armée érige une peaceline sur les limites des quartiers confessionnels. Elle se pérennise et des murs supplémentaires sont construits. Ils sont situés dans l'inner city de Belfast, lieu de résidence des communautés ouvrières catholiques et protestantes. Avec l'installation dans la durée de ce conflit de ‘faible intensité' et la recrudescence des conflits micro-locaux à partir des années 1990, la police érige d'autres murs. L'analyse de la presse locale et des interviews avec les forces de l'ordre et des représentants du ministère de l'intérieur sont les données qui ont permis de comprendre les conditions de pérennisation de ces structures et de leur intégration aux procédures de maintien de l'ordre. Les peacelines cloisonnent partiellement les enclaves résidentielles catholiques et protestantes. Elles sont prises en compte dans les opérations de rénovation urbaine depuis le début des années 1980. La banalisation des dispositifs de sécurité renforce la division. Cependant avec le processus de paix depuis 1994, les ‘interfaces', limites disputées entre les communautés, bénéficient des politiques urbaines des quartiers en difficultés et sont le lieu de nouveaux aménagements qui visent à restaurer la confiance. Des entretiens avec des responsables des politiques urbaines ont permis d'analyser les dynamiques contradictoires de ces territoires.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography