Academic literature on the topic 'Religions japonaises'

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Journal articles on the topic "Religions japonaises":

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Berthon, Jean-Pierre. "L'expansion des nouvelles religions japonaises en Occident." Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient 82, no. 1 (1995): 371–73. http://dx.doi.org/10.3406/befeo.1995.3321.

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2

Berthon, Jean-Pierre. "Les « nouvelles religions » japonaises et la mise en scène du religieux." Le Temps des médias 17, no. 2 (2011): 120. http://dx.doi.org/10.3917/tdm.017.0120.

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3

Josephson, Jason Ānanda. "L’invention des religions japonaises : les limites de l’orientalisme et de l’universalisme." ASDIWAL. Revue genevoise d'anthropologie et d'histoire des religions 10, no. 1 (2015): 77–95. http://dx.doi.org/10.3406/asdi.2015.1040.

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4

Traversi, Bruno, and Bernard Andrieu. "Le corps comme réceptacle des dieux au Japon chez Ueshiba Morihei et Deguchi Onisaburō." Revue de Théologie et de Philosophie 154, no. 2 (July 15, 2022): 137–55. http://dx.doi.org/10.47421/rthph154_2_137-155.

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Abstract:
Ueshiba Morihei (1883-1969), créateur de l’aikidō, fonde son « budō » (voie martiale) avec Deguchi Onisaburō (1871-1948), dirigeant de l’Ōmoto-kyō, l’une des « nouvelles religions » japonaises. Ils conçoivent le budō comme « la voie de création et d’ordonnancement de l’univers » en opposition aux « budō corporels » influencés par le modèle occidental du sport. Selon eux, l’Occident, « matérialiste », a profondément modifié les pratiques japonaises de telle sorte que le vécu du corps comme shintai, comme réceptacle des kami (esprits ou divinités) lors des transes de possession est en voie de se perdre, et avec lui tout un monde. Le corps de possession rend communiquant les mondes : avec sa perte, il n’y a plus de transgressions possibles des frontières ontologiques ; l’homme ne peut plus s’unir à sa racine et retrouver sa totalité ; les animaux, les plantes et les pierres ne parlent plus et le dieu originel unique devient inaccessible, caché dans « l’imperceptible de l’imperceptible ».
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Shin, Junhyoung Michael. "The Passion and Flagellation in Sixteenth-Century Japan." Renaissance and Reformation 36, no. 2 (October 26, 2013): 5–43. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v36i2.20166.

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Abstract:
Cet article met en relation la pratique ascétique et pénitentielle de l’auto-flagellation par les tous premiers catholiques du Japon du XVIe siècle, avec leur compréhension de la passion du Christ telle qu’enseignée par les missionnaires Jésuites, et avec la tradition japonaise de l’ascétisme bouddhiste. On y montre que les pratiques dévalorisant les valeurs corporelles qui se trouvaient déjà dans les traditions religieuses japonaises, ont facilité la compréhension et la sympathie pour les pratiques comparables de la nouvelle religion européenne, malgré que les Jésuites leur aient présenté une théologie monothéiste inédite au Japon. Ces similitudes ont contribués à l’assimilation de la passion du Christ par les convertis japonais et à leur adoption de l’auto-flagellation rituelle, qui contraste vivement avec la mission contemporaine des Jésuites en Chine.
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De Paiva, M. Geraldo José. "Psychologie culturelle de la religion: l'évolution de la perception du catholicisme dans trois romans de l'écrivain catholique japonais Shusaku Endo." Studies in Religion/Sciences Religieuses 36, no. 2 (June 2007): 241–59. http://dx.doi.org/10.1177/000842980703600203.

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Abstract:
Sont examinés ici trois romans de Shusaku Endo (1923-1996), Un admirable idiot, Silence et Le fleuve sacré, pour illustrer la trajectoire de la perception du catholicisme d'un auteur né et nourri à la fois dans la culture japonaise traditionnelle et dans le catholicisme occidental de sa mère. La perception du catholicisme et de l'être japonais, d'abord envisagés comme incompatibles, aboutit, par des degrés successifs d'élaboration, au rapprochement du catholicisme avec la manière d'être japonaise fondée sur l'amae, envisageant le Dieu chrétien, humanisé en Jésus, comme un Dieu maternel qui aime les pécheurs d'un amour inconditionnel et préférentiel. Ce changement perceptuel ne manque pas de soulever des questions psychologiques au sujet de la paternité/ maternité divine telle qu'elle est comprise selon des conceptions religieuses et culturelles diverses.
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Proust, Jacques. "L’échec de la première mission chrétienne au Japon (XVIe-XVIIe siècles)." Études théologiques et religieuses 66, no. 2 (1991): 183–206. http://dx.doi.org/10.3406/ether.1991.3143.

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Abstract:
L’histoire de la première évangélisation du Japon est celle d’un double malentendu, explique Jacques PROUST. Les jésuites croyaient prêcher l’évangile : ils prêchaient Aristote et le concile de Trente, ou du moins les conclusions qu’ils en avaient tirées. Les Japonais de leur côté entendirent, à tort ou à raison, que l’Europe catholique voulait les asservir. La persécution déclenchée par les premiers Tokugawa anéantit la jeune Église japonaise et le peu qu’il en resta fut coupé du monde pendant plus de deux siècles. La persécution seule n’aurait sans doute pas suffi à éradiquer le christianisme du Japon, si la foi propagée par les jésuites avait eu des racines plus solides. En 1636 un jésuite portugais apostat met à nu, dans La Supercherie dévoilée, les fondements réels de la prédication et de la catéchèse romaines.
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Roy, Louis. "Revisiter le « Nihilisme »." Thème 20, no. 1-2 (October 16, 2013): 147–67. http://dx.doi.org/10.7202/1018857ar.

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Abstract:
Au cours de cet essai, nous présentons la pensée de Nishitani, à la fois praticien du zen et philosophe. Nous expliquons les thèmes sur lesquels il se concentra dans son dialogue avec Eckhart, Nietzsche et Heidegger : le grand doute (taigi), la grande mort (taishi), la religion (shūkyō) , la concentration (samādhi, sammai ), l’ego (jiga), le vrai soi (jiko), l’ipséité (jitai, identité profonde), la talité (tathatā, nyojitsu), le rien (mu), la nihilité (kyomu, littéralement : le « rien creux »), la vacuité (kū équivalent japonais du fameux śūnyatā littéralement « ouverture céleste »). Ce penseur alla très loin dans la compréhension d’aspects importants de la philosophie occidentale, qu’il mit en rapport critique avec des convictions qui lui venaient de sa tradition bouddhiste. Cet article s’efforce donc de bien interpréter son approche vigoureuse et originale. Finalement, nous indiquons brièvement des pistes de renouveau pour une réflexion théologique de plus en plus mondialisée, soucieuse non seulement d’explorer les perspectives japonaises, mais encore de réagir avec créativité.
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Tremblay, Jacynthe. "Bibliographie." Dossier 64, no. 2 (December 11, 2008): 405–54. http://dx.doi.org/10.7202/019508ar.

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Abstract:
On sait qu’il est de tradition au Japon de ne pas tracer une ligne de démarcation nette entre philosophie et religion. Cependant, étant donné que cette bibliographie porte sur la philosophie japonaise du xxe siècle, il n’a pas été tenu compte dans les sources premières des titres qui concernent la religion uniquement, sauf lorsque sous des titres à consonance religieuse était celé un important contenu philosophique. À quelques exceptions près ont également été laissés de côté les titres touchant la pensée japonaise antérieure à l’époque Meiji.
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Beillevaire, Patrick. "Du panthéisme japonais." Revue de l'histoire des religions 205, no. 4 (1988): 399–413. http://dx.doi.org/10.3406/rhr.1988.1883.

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Dissertations / Theses on the topic "Religions japonaises":

1

Sahban, Ilham. "Sanctuaires shintō et spatialité : l’omniprésence de l’espace des kami." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2023. http://www.theses.fr/2023PA080003.

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Abstract:
Le culte shintō, pourtant fondamental dans la culture japonaise, est paradoxalement mal connu hors des frontières de l’archipel. Le terme jinja, traduit par « sanctuaire shintō », a un sens très large et n’est pas aisé à définir. Ce terme englobe une multiplicité de formes d’espaces dédiés au culte des kami, depuis les montagnes et forêts considérés comme des sites sacrés jusqu’aux formes architecturées les plus élaborées. Autant en milieu urbanisé que rural, les rituels shintō se règlent sur le calendrier agraire, particulièrement les périodes des semailles et des moissons ; à ces dates cruciales, les processions saisonnières participent à renouveler la vitalité du kami, pour assurer abondance et prospérité à la communauté.Ensuite, les divers usages à l’intérieur des limites du sanctuaire, usages cérémoniels mais aussi festifs voire marchands, mettent en évidence l’interpénétration entre espace sacré et profane dans l’enceinte des jinja. Enfin, la configuration architecturale des sanctuaires shintō n’est pas le propos principal de notre développement. En revanche la tradition de la reproduction architecturale à échelle réduite est une particularité qui peut expliquer l’influence de grands sanctuaires dans leur région voire à l’échelle nationale.Ce travail de recherche se place dans le domaine de l’anthropologie spatiale ; dans une approche transdisciplinaire, nous nous basons sur des ouvrages théoriques en langues occidentales et en langue japonaise, ainsi que sur nos observations personnelles directes, ethnographiques de rituels dans des sanctuaires d’échelles graduées, de sanctuaires de quartier aux grands sanctuaires d’Ise jingū et Izumo taisha
The Shinto cult, though fundamental in Japanese culture, is paradoxically poorly known outside the boarders of the archipelago. The term jinja, commonly translated by “Shinto shrine”, has a very broad meaning and is not easy to define. This term encompasses a multiplicity of forms of spaces dedicated to the kami cult, from mountains and forests considered sacred sites to the most elaborate constructed forms. Both in urbanized or rural environment, Shinto rituals are regulated by the agrarian calendar, particularly the periods of sowing and harvesting; on these crucial dates, the seasonal processions contribute to renewing the vitality of the kami, thereby assure abundance and prosperity to the community.Next, the multiple uses within the limits of the Shrine, ceremonial uses but also festive or even commercial uses, highlight the interpenetration between sacred and profane space within the enclosure of the jinja. Finally, the architectural configuration of Shinto shrines is not the main subject of our development, but the tradition of the architectural replication on a reduced scale is a particularity which can explain the influence of main Shrines over their province or even on a national scale.This research belongs to the field of spatial anthropology; in a transdisciplinary approach, we base our work on theoretical works in Western languages and Japanese language, and also on our ethnographic observations of rituals in Shrines of various scales, from neighborhood Shrines to the main national Shrines of Ise jingū and Izumo taisha
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Benod, Alexandre. "Les Feux du Goma : du traitement de la souffrance sociale par la nouvelle religion japonaise Agonshû." Thesis, Lyon 3, 2013. http://www.theses.fr/2013LYO30066.

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Abstract:
Agonshû est une "nouvelle nouvelle religion" fondée en 1978 par Kiriyama Seiyû. Les enseignements soulignent le fait que toute la misère du monde est causée par les pollutions karmiques de nos ancêtres et que le goma (rite du feu) est la solution de Agonshû pour traiter cette souffrance sociale. Depuis la fin du 20e siècle, Agonshû a étendu ses activités à l'étranger pour promouvoir la paix mondiale en réalisant de nombreuses cérémonies du goma en dehors de l'archipel. Les évènements de la Seconde Guerre mondiale servent à déterminer le choix du lieu pour la cérémonie, comme le rite du goma organisé en 2009 à Guadalcanal ou encore la croisière qui a traversé l'Océan Pacifique en 2012, régions où de nombreux soldats japonais sont décédés. Au-delà du travail mémoriel, cette stratégie est également une manière d'obtenir du prestige et de l'autorité en dehors, mais surtout dans le Japon. Le nationalisme est au cœur de ces rituels. Pendant les entretiens, des membres ont insisté sur le fait que "seul le Japon et Agonshû peuvent accomplir la paix mondiale." Ces déclarations mettent en relief le double discours de Agonshû : d'un côté la promotion de l'universalisme parmi les êtres humains et de l'autre l'affirmation de la supériorité des religions japonaises. Pour Agonshû, le pacifisme est un nationalisme.Agonshû-Goma-Nouvelles religions japonaises-Bouddhisme-Ésotérisme-Sécularisme-Modernité-Souffrance sociale-Travail de mémoire
Agonshû is a Japanese 'New New Religion' founded in 1978 by Kiriyama Seiyû. The teachings point out that all of life’s problems and misfortunes are the result of spiritual and karmic hindrances and the goma (fire rite) is the religious response from Agonshû to cure social suffering. Since the end of the 20th century, Agonshû has extended its activities abroad to pray for World Peace, and performed numerous goma ceremonies outside Japan. The choice of the place of the ceremony is mostly lead by its importance during World War 2, like the Goma held at Guadalcanal in 2009 or in the Pacifics Ocean in 2012 where many Japanese soldiers had lost their lives. Beyond completing a Memory Work, this strategy is also a way to gain authority and prestige outside, but also inside Japan. Nationalism is on the core of these rituals. As followers told me during interviews about World Peace : "only Japan can accomplish this, only Agonshû". These kinds of affirmations stress the edge where Agonshû sits. On the one hand there is the promotion of universalism among human being and on the other hand the absolute superiority of the Japanese religions. In Agonshû’s discourse, pacifism forges nationalism
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Kokubo-Deguen, Setsuko. "Analyse du traitement rituel de la mort au Japon au sein des familles et des collectivités locales." Paris 7, 2004. http://www.theses.fr/2004PA070082.

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Abstract:
Au Japon, les conceptions de la mort sont formées par les cultes des ancêtres et des dieux protecteurs. D'après la théorie de Louis Dumont la société japonaise est construite dans un espace " globale " et " cosmique ". La thèse s'appuie sur cette théorie pour mieux comprendre les relations entre la société japonaise et les rituels qu'elle applique à la mort. Ces rituels sont supposés aider l'âme des morts à progressivement devenir des dieux protecteurs de la famille. La distinction faite au Japon entre mort dite " normale " et mort dite " anormale " est analysé en particulier à travers l'application des rituels de la mort dans les croyances des ancêtres et des déités bienfaisantes et malfaisantes. L'analyse de la société " globale " et " cosmique " japonaise est proposée à travers le système de; échanges où les ancêtres récompensent les vivants pour l'application correcte des rituels de la mort, les circulations du sujet à l'objet dans lesquelles les morts deviennent ancêtres, et le système de la relation " englobante et englobée " qui réunit dans une collectivité unique la famille, les divinités locales, régionales et nationales
In Japan, the cult of the dead and protective gods détermine the conception of the death. With respect of the theory of Louis Dumont, the Japanese society is built within a "global" and "cosmic" space. This thesis is based on this theory to understand the relations between Japanese society and rites that is applied to death. Death's rites are supposed to help soul's death to become progressively protective gods of the family. Should death 's rites be applied in a suitable way, dead people will become ancestor and in return will bring happiness and prosperity to his community which gather the family, his ancestors, and local regional and national deity
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Iwakuni, Mari. "Politiques et religion au Japon : anachronisme ou modernité? : les partis politiques "religieux" dans la "démocratie" japonaise : une approche historique." Paris, EHESS, 2008. http://www.theses.fr/2008EHES0066.

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Abstract:
Cette thèse entend interroger, à travers une histoire des relations entre le politique et le religieux, l'état réel de la « modernité » japonaise. La tendance dominante sur la longue durée est celle du contrôle des religions par l'État. Sauf au Moyen-âge, cette emprise n'a fait que se renforcer tout au long de l'histoire, pour aboutir au XXe siècle à l'imposition d'une idéologie nationaliste, le «Shinto d'État ». La domination de l'État sur les cultes et l'idéologie qui a conféré au Japon un caractère sacré (vision qui prévalait jusqu'à une date aussi récente que 1945) représentent un schéma inverse de celui qu'a connu l'Occident. De ce fait, le processus d'avènement de la modernité a pris une direction inverse lui aussi: alors qu'en Occident, la voie d'entrée « légitime » dans la modernité a passé par l'émancipation de la sphère temporelle vis-à-vis de l'emprise religieuse, au Japon, elle a passé par l'émancipation de la sphère religieuse vis-à-vis du joug du pouvoir temporel
This thesis proposes an alternate framework for the "legitimate" condition. . , for modernity. The current state of Japanese modernity is assessed by examining the historical relationship between the political and the religious spheres, and the significance of "laïcité" (French model of secularism) as it applies to Japan. With the exception of the Middle Ages, the state continually reinforced its control over religions, culminating in the state-imposed nationalistic ideology, "State Shinto," in the 20th century. This propensity for political ascendancy over religions and the ideology of the "sacred" nature of Japan, prevalent as recently as 1945, represent evidence of an antithetical framework from the one experienced in the West: while the autonomy of the temporal sphere from the religious had previously been deemed the "valid" prescription for entering into modernity, the advent of modernity in Japan has instead come via the emancipation of the religious sphere from temporal authority
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Lamotte, Charlotte. "De l'expérience individuelle du religieux dans la société japonaise contemporaine : itinéraires de dévotion sur le circuit du nouveau pèlerinage de Shikoku à Sasaguri (Fukuoka)." Thesis, Toulouse 2, 2015. http://www.theses.fr/2015TOU20060/document.

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Abstract:
Cette thèse cherche à montrer le rôle structurant pour l’individu tenu par les pratiques religieuses dans la société japonaise contemporaine et la façon dont elles sont porteuses de sens aujourd’hui, dans une ville de pèlerinage appelée Sasaguri et située près de la mégapole de Fukuoka à Kyūshū. La première partie présente ce cadre en montrant à quel point Sasaguri forme un espace où se donnent à voir des pratiques religieuses de toutes sortes, notamment pour les visiteurs venus de l’extérieur, mais aussi comment, il est représentatif d’une religiosité que l’on retrouve partout au Japon, ancré dans la vie des communautés locales, et que j’appelle ici « premier niveau de l’expérience religieuse ». La deuxième partie se focalise sur différents types de spécialistes religieux. La troisième et dernière partie traite des modalités individuelles du rapport au religieux par l’angle des interactions entre l’intérieur et l’extérieur, du fidèle et de l’espace, du système ou du réseau dans lequel il évolue et dont il est centre
This doctoral dissertation aims to determine the structural role that religious practice can have for the individual and how they are meaningful nowadays, in the context of a pilgrimage town called Sasaguri, situated near the big city of Fukuoka in Kyūshū. The first part presents this frame by showing how Sasaguri forms a sacred, dynamic and multi-layered space where various religious practices are displayed by people coming from outside of the town. The second part of this thesis explores the various possibilities between different types of religious specialists. The third and last part of this thesis discusses the individual modalities of the religious practices, via the interactions between the internal and external dimensions: those of the practitioner, the space they are in, or the network which they belong to and which is revolving around them
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Robert, Jean-Noël. "Les doctrines de l'ecole japonaise tendai au debut du 9e siecle : le hokke-shu gi shu de gishin." Paris 7, 1987. http://www.theses.fr/1987PA070114.

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Abstract:
L'ecole bouddhique tendai, nee en chine au 6e siecle de notre ere, fut officiellement reconnue comme ecole independante au japon au debut du 9e siecle grace aux efforts du religieux japonais saicho. Dans les trois pays d'extreme-orient chine, coree et japon, le tendai joua un role important dans l'evolution de la pensee bouddhique hors de l'inde. Son systeme original, qui voulait mettre sur le meme plan la pratique de la meditation et la recherche d'une expression doctrinale adequate de l'experience religieuse, a provoque l'essor de generations de docteurs, chacun soucieux d'approfondir et d'expliciter l'enseignement du maitre fondateur, zhiyi. De nos jours, c'est au japon seulement que le tendai subsiste encore en tant qu'ecole independante, forte de centaines de temples et monasteres et de milliers de religieux. La presente etude s'attache a montrer l'etat de la dogmatique tendai telle qu'elle est attestee au japon dans l'oeuvre du religieux gishin (781-833), personnage qui, bien que connu pour etre le premier superieur general (zasu) de l'ecole, n'en demeure pas moins enveloppe d'un certain mystere. La plus grande partie de notre travail est donc consacree a la traduction et au commentaire de l'ouvrage redige par gishin et remis a la cour imperiale vers 830, le tendai hokk-shu gi shu ou "compendium des doctrines de l'ecole du lotus tendai", que nous comparons tant avec ses sources chinoises qu'avec deux autres textes, l'un d'origine coreenne (le ch'ontae sakyo-ui), l'autre chinois (le bajiao dayi), respectivement du 10e et 8e siecles, dont la fortune fut grande au japon, au point que le premier devint le manuel le plus repandu d'introduction au tendai. Ce travail permet de mettre en evidence l'ampleur de l'ouvrage de gishin, son orthodoxie, et son travail de decoupage et remaniement des sources montrant une maitrise remarquable chez quelqu' un qui etait en fin de compte le premier a systematiser au japon le vaste edifice des doctrines du tendai. Ceci nous amenait a nous demander pourquoi cette oeuvre n'avait pas joui en son pays du succes qu'elle meritait. Nous avons pense que c'etait a l'histoire de repondre a cette question et nous avons etabli dans notre etude historique que gishin n'avait certes pas ete un personnage de second rang mais une personnalite importante qui fut au centre d'une querelle de factions au sein de l'ecole, querelle dont ses part
The tendai school of buddhism, born in china in the 6th cent. Ad, was officially recognized as an independent school in japan at the beginning of the 9th cent. , due to the efforts of the japanese monk saicho. Tendai played an important part in the evolution of non-indian buddhist thought of the 3 major far-eastern countries, china, korea, japan. In our days, the school still exists independently only in japan, where it boasts hundreds of temples and monasteries and thousands of monks. Our study aims at showing the state of tendai dogmatics as it is attested in japan in the work of monk gishin (781-833), well known for being the first patriarch (zasu) of japanese tendai, but still somehow shrouded in mystery. The major part of our work is devoted to the translation and comentary to the treatise compiled by gishin and presented to the imperial court around 830, the tendai hokke-shu gi shu or "compendium of the doctrines of the lotus school tendai", which we compare with its chinese sources as well as with two other texts, a korean one from the 10th century (the ch'ontae sakyo-ui) and a chinese one of the 8th cent. (the bajiao dayi) ; both were well known in japan, the former even getting to be there the most wide-spread introductory manual to the school. We thus were able to evidence the breadth of gishin's work, his orthodoxy, together with his method of outting and rehandling his sources, which illustrates a remarkable expertise for a man who was but the first in japan to systematize the maze of tendai doctrines. That brought us to ask ourselves why this work did not enjoy in its own country the success it deserved. It was a question for history to answer and we established in our historical inquiry that gishin was definitely not a second-rate character but an important personality who got involved in internal strives inside the school, where his supporters were defeated. His work fell victim to its author's fate and thus remained neglected for a long time, to the point that our thesis is the first overall study bearing on it
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Le, Blanc-Gauthier Jérémy. "Shintō et altérité." Thèse, 2018. http://hdl.handle.net/1866/22020.

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Chateauneuf, Michaël. "Les Matsuri : l’identité japonaise en festival." Thesis, 2019. http://hdl.handle.net/1866/23610.

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Abstract:
Le shinto connait des changements depuis les trente dernières années au Japon. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et l’application de la nouvelle Constitution, le shinto est limité à l’espace privé et religieux. L’attentat d’Aum Shinrikyō changera la perception que la société japonaise a de la religion, ce qui forcera la prêtrise shinto à s’adapter. Plus présents dans l’espace public, les dirigeants shinto veulent présenter leurs croyances en tant qu’éléments traditionnels et culturels japonais. La conception de la religion au Japon est différente de celle de l’Occident. Le mot religion, shūkyō (宗教), a une histoire qui affecte la façon dont les Japonais conçoivent les religions ainsi que le shinto. Dans ce contexte, il est important d’observer la connexion entre le shinto et l’identité. L’objectif principale de cette recherche est d’analyser les liens entre le shinto et l’identité à deux niveaux, local et national, et ce, spécialement chez les jeunes. Cet essai mettra l’accent sur un type d’activité shinto : les matsuri. D’un point de vue anthropologique, l’intérêt de ces événements est dans leur popularité, leur dynamique intergénérationnelle et leur place qu’ils peuvent avoir dans l’espace public. La collecte de données s’est déroulée dans le cadre d’une ethnographie de trois mois dans la région de Sapporo et plusieurs festivals ont été observés durant cette période. Les observations portaient sur l’espace social, les comportements, les relations de genre et intergénérationnelles, les vêtements, les activités et les rituels. Ces éléments nous aident à comprendre la place des matsuri dans la culture japonaise contemporaine, et ultimement, nous informent sur la conception du shinto. Ces festivals traditionnels nous donnent aussi de l’information à propos de l’identité japonaise. Autant des éléments de l’identité locale que nationale peuvent être observés et analysés à travers ces événements. Ce mémoire fait ressortir les éléments pertinents et les met en relation avec le contexte religieux contemporain.
The role of Shinto has changed through the last thirty years in Japan. Since the end of World War II and the adoption of the new Constitution, Shinto has been limited to private and religious space. The Aum crisis changed the perception of religion in Japanese society, and Shinto priesthood had to adapt. More present in public space, Shinto leaders want to present Shinto beliefs as central to Japanese traditions and culture. The conception of religion in Japan is different than the one in Western countries. The word religion, shūkyō (宗教), has an interesting history affecting the way Japanese perceive all religions and Shinto in particular. In this context, it is important to analyse the connection between Shinto practices and identity. The main objective of this research is to analyze the links between Shinto and identity at two levels, local and national, with a focus on youth. To do so, this paper will focus on one type of Shinto activities: matsuri. From an anthropological point of view, the interest about these developments comes from their popularity, their intergenerational dynamics, and the place they occupy in the public domain. The data were gathered during ethnographic research that spanned for three months in the Sapporo area. Multiple festivals were observed during this period. The focus of the observation was on social space, behavior, gender and intergenerational relations, clothing, activities, and rituals. Those elements help us understand the place of matsuri in contemporary Japanese culture, and ultimately, give information about the conception of Shinto. Shrine festivals also provide information about Japanese identity. Both local and national identity elements can be observed and analysed though these events. This paper points out those elements and puts them in relation to the actual religious context.

Books on the topic "Religions japonaises":

1

Bernard, Frank. L' intérêt pour les religions japonaises dans la France du XIXe siècle et les collections d'Emile Guimet. Paris: Presses universitaires de France, 1986.

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2

Reader, Ian. Japanese religions: Past and present. Honolulu: University of Hawaii Press, 1993.

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3

Lavelle, Pierre. La pensée japonaise. Paris: Presses universitaires de France, 1997.

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4

Reader, Ian. Japanese religions: Past and present. Sandgate, Folkestone, Kent [England]: Japan Library, 1993.

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5

Nakamaki, Hirochika. Japanese religions at home and abroad: Anthropoligical perspectives. New York: RoutledgeCurzon, 2003.

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6

Bernard-Mirtil, Laurence. Sûkyô Mahikari: Une nouvelle religion venue du Japon : étude sociologique et historique d'une nouvelle religion japonaise. Trignac: Bell vision, 1998.

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7

1920-1984, Kohler Werner, and Hesse Jochanan, eds. Mitten im Tod--vom Leben umfangen: Gedenkschrift für Werner Kohler. Frankfurt am Main: P. Lang, 1988.

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8

Louveau, Frédérique. Un prophétisme japonais en Afrique de l'ouest: Anthropologie religieuse de Sukyo Mahikari, Bénin, Côte d'Ivoire, Sénégal, France. Paris: Karthala, 2012.

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9

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