Academic literature on the topic 'Relations homme-animal – Moyen âge'

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Dissertations / Theses on the topic "Relations homme-animal – Moyen âge":

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Berson, Bruno. "L'homme et l'animal en Islande au Moyen Age, 9e-14e siècles." Lille 3, 2004. http://www.theses.fr/2004LIL3A001.

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Abstract:
Cette recherche porte sur les relations entre l'homme et l'animal en Islande au Moyen Age entre la fin du 9e siècle et la fin du 13e siècle. A partir des sources archéologiques, archéozoologiques et de la représentation des animaux par l'homme dans les sources écrites, il m'a été possible de définir ces relations. Elles sont principalement économiques et concernent l'élevage, la chasse et la pêche. Il est apparu que celles-ci sont au centre de la société et de son fonctionnement, en particulier l'élevage et les animaux domestiques. De la fin du 9e siècle jusqu'à la fin du 13e, divers facteurs climatiques, environnementaux et humains vont faire évoluer ces relations entre l'homme et l'animal et les activités qui y sont liées. Des changements importants vont apparaître dans la société islandaise mais aussi dans l'économie qui se tourne de plus en plus vers la pêche
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Bobis, Laurence. "Le rapport entre l'homme et l'animal dans l'Occident médiéval : un animal exemplaire, le chat." Paris 8, 1997. http://www.theses.fr/1997PA081251.

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Abstract:
L'histoire du chat domestique occidental est tres mal connue. Introduit sur la longue duree en differents points d'europe, a partir de l'egypte, ou il a ete domestique, le chat est implante dans l'ensemble de l'empire romain d'occident a la fin de l'antiquite. De son origine exotique, il garde longtemps une certaine exteriorite par rapport a la culture occidentale, meme s'il est integre a la faune et a l'environnement immediat de l'homme dont il est familier. Il est avant tout cependant considere comme un chasseur de souris et les clercs sont mefiants a l'egard des relations entre l'homme et le chat. A partir des xiie- xiiie siecle, culture clericale et culture laique moralisent et anthropomorphisent l'animal et particulierement le chat dont ils donnent une image depreciative, tandis que se developpent a la meme periode des accusations contre les heretiques ou le demon prend la forme d'un chat. La croyance en l'ailouranthropie semble avoir ete parculierement repandue, les sorcieres etant reputees fasciner les enfants et les tuer. Le chat occupe par ailleurs une place importante dans l'imaginaire ou il est associe a la femme, a la mort, et, surtout a la sexualite. Les representations du chat, tres nombreuses a partir du xive siecle, integrent ces associations dans un systeme symbolique
The history of domestic cat is badly known. It was brought during a long period into different parts of europa and especially british isles, from egypt where he was first domesticated. At the end of antiquity, the cat is implanted everywhere in western roman empire. On account of his exotic origin, it was not, for a long time, integrated to western culture and symbolic, even if it is part of fauna and man's immediate environment it was considered first and foremost as a mouser and clergymen were diffident of relationships between man and cat. From xiith-xiiith c. On, clerical and secular culture moralize and anthropomorphize animals and especially cats giving it a belittling image. In the same time, accusations are launched against heretics, and the devil appears as a cat. Belief in "ailouranthropia" seems peculiarly widely held, witches being said to fascinate and murder children. Cat has a very important place in imagination ; it is associated to women, death, and above all sexuality. Iconography of the cat, very numerous alter xivth c. , integrate these associations in a really symbolic system
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Pauthier, Philippe. "Chasse, pêche, élevage et alimentation : archéozoologie des marges occidentales du Saint-Empire romain germanique, et orientales du Royaume de France." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUL015.

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Abstract:
Mon travail explore les relations entre l'homme et l'animal, de la période médiévale à la période moderne, par l'analyse des restes osseux dans l'Est de la France, en contexte castral et urbain. Ce travail repose sur l'analyse de plus de 90.000 restes osseux d'animaux retrouvés sur les sites archéologiques. Ces vestiges proviennent de mammifères, d'oiseaux et de poissons.Le but de mes recherches est avant tout de dresser un tableau de l'alimentation carnée des franges aisées de la population - noblesse castrale ou riches bourgeois. Les grandes thématiques concernent l'histoire de la boucherie, les techniques de traitement des viandes, des poissons, les choix et interdits culinaires, l'approvisionnement des villes et la caractérisation sociale par les pratiques alimentaires. Interviennent aussi les possessions d'animaux en tant que bien luxueux tels les chiens constituant une meute de chasse, ou l'importation d'animaux exotiques.Ces analyses permettent également de mieux comprendre la spécialisation de chaque site, et de comparer ces sites entre eux pour une réflexion à l'échelle régionale. Les résultats archéozoologiques sont confrontés au contexte archéologique dans lequel ils ont été découverts. L'analyse des spectres fauniques obtenus permet d'observer les distinctions sociales au travers de l'alimentation, ainsi que leur évolution. Se poser des questions sur ces écarts au cours du temps, c'est aussi vérifier la pérennité de ces classes sociales privilégiées
My work explores the relationships between man and animal, from the medieval period to the modern period, through the analysis of skeletal remains in Eastern France, in a castral and urban context. This work is based on the analysis of more than 90,000 animal bone remains found on archaeological sites. These remains come from mammals, birds and fish.The aim of my research is above all to draw up a picture of the meat diet of the wealthy sections of the population - the castral nobility or the rich bourgeoisie. The main themes concern the history of butchery, the techniques for processing meat and fish, culinary choices and prohibitions, supplying cities and social characterization through food practices. Possessions of animals as luxury goods, such as dogs constituting a hunting pack, or the importation of exotic animals, also come into play.These analyzes also make it possible to better understand the specialization of each site, and to compare these sites with each other for reflection on a regional scale. The zooarchaeological results are compared with the archaeological context in which they were discovered. The analysis of the faunal spectra obtained makes it possible to observe social distinctions through diet, as well as their evolution. Asking questions about these gaps over time also means checking the sustainability of these privileged social classes
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Putelat, Olivier. "Les relations homme-animal dans le monde des vivants et des morts : études archéozoologique des établissements et des regroupements funéraires ruraux de l'Arc jurassien et de la Plaine d'Alsace : de la fin de l'Antiquité tardive au premier Moyen Age." Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010600/document.

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Abstract:
Cette recherche archéozoologique s'intéresse aux relations homme-animal, de I' Antiquité tardive (milieu du 3e s.), jusqu'à la fin du premier Moyen Age (11e s.). Elle englobe le Massif jurassien et la Plaine d'Alsace. Ces deux régions géographiques limitrophes sont des axes de passage, des zones fluviales (Doubs, Saône, Rhône, Rhin), qui ont appartenu à des royaumes différents et qui ont été habitées par des populations soumises à des influences culturelles différentes. Trois entrées sont utilisées pour analyser les sources ostéologiques : les contextes domestiques ruraux, les contextes funéraires ruraux, la mortalité du cheptel bovin. Un premier chapitre présente la problématique, le cadre physique, chronologique, méthodologique, de cette recherche transfrontalière (est de la France, Suisse occidentale, Allemagne méridionale). Le chapitre 2 prend en compte 64 sites d'habitat (env. 146000 restes osseux pour 87 taxons), en distinguant les milieux géographiques, environnementaux, sociaux. Des éléments de synthèse sont présentés (alimentation, élevage, chasse). Le chapitre 3 examine une trentaine d'ensembles funéraires qui ont livré des ossements animaux. Nous distinguons des objets symboliques, des squelettes animaux, des dépôts alimentaires. Les découvertes sont mises en perspective avec d'autres connues en Gaule et dans la sphère germanique.Le chapitre 4 se fonde sur l'étude de squelettes de bovins altomédiévaux, mis au jour sur trois sites différents d'une même petite région. L'hypothèse de dépôts de cadavres en relation avec des épisodes de mortalité infectieuse est évoquée et mise en perspective avec des cas similaires connus en France pour la même période. L'ensemble a été confronté aux sources écrites traitant de la mortalité animale au Moyen Âge. Le chapitre 5 livre la synthèse générale des résultats, par contextes et par catégories animales. Un volume d'annexes répertorie de nombreuses données complémentaires
This archaeozoological study focuses on human-animal relations, from late antiquity (mid 3rd c.), until the end of the early Middle Ages (11th c.).It concentrates on the Jura Mountains and the plain of Alsace. These two neighboring geographic regions were communication corridors and riverine zones (Doubs, Saône, Rhône, Rhine), which belonged to different kingdoms and were inhabited by culturally distinct populations. Three inputs are used to analyze the osteological data: rural domestic contexts, rural funerary contexts, and mortality of cattle.-The first chapter presents the issue at hand, the physical, chronological and methodological data of the interregional research program (eastern France, western Switzerland, southern Germany). Chapter 2 considers 64 settlement sites and distinguishes them geographically, environmentally and socially. Approximately 146.000 bone remains for 87 taxa are assessed. Elements of synthesis are presented, regarding in particular evidence for food, livestock and hunting.- Chapter 3 considers 30 cemeteries containing animal bones. Symbolic objects, animal skeletons and grave goods are discussed and the findings are compared with other known sites within Gaul and the Germanic sphere. Chapter 4 is based on the study of cattle skeletons discovered at three different but closely situated sites. Whether these bovine graves evidence infectious disease mortality events is discussed. These burials are compared with similar cases from early medieval France and also discussed in relation to the written evidence for animal mortality events in the Middle Ages. Chapter 5 presents a general synthesis of the results of the thesis, in regards to contexts and animal categories. Appendices and lists of additional data follow
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Birouste, Clément. "Le Magdalénien après la Nature : une étude des relations entre humains et animaux durant le Magdalénien moyen." Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2018. http://www.theses.fr/2018TOU20009.

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Abstract:
Ce travail vise à apporter de nouveaux éléments dans la compréhension de la relation entre humains et animaux dans l'une des cultures emblématiques du Paléolithique supérieur européen, le Magdalénien moyen du sud-ouest de la France, à travers le prisme d'une approche conjointe des figurations animalières (et humaines) et des éléments squelettiques animaux (et humains). Le cadre du naturalisme rigide qui présuppose l'opposition des concepts de nature et de culture, ainsi que l'universalité d'un anthropocentrisme, s'avère être une limitation gênante pour une telle entreprise. Nous observons en effet que ces caractéristiques réduisent le champ d'investigation de l'archéozoologie comme de l'étude de l'art figuratif animalier, empêchant en partie d'accéder à la manière dont les collectivités du passé elles-mêmes appréhendaient leur environnement. Nous nous intéressons donc aux postures théoriques qui autorisent une relativisation de l'ontologie naturaliste en reconnaissant une diversité d'ontologies. Notre projet est de tenter d'identifier le régime ontologique particulier du Magdalénien moyen à travers les vestiges archéologiques qui lui sont attribués – dans le but de préciser la teneur des relations entre humains et animaux pendant le Magdalénien moyen. Le modèle des quatre modes d'identification de Philippe Descola nous semble être le plus adéquat pour entreprendre un tel projet, en raison de la précision de ses définitions et de sa maniabilité. L'art pariétal du Magdalénien moyen se focalise particulièrement sur les distinctions spécifiques, mais aussi sur l'individuation des animaux et les agissements de chacun, donnant à voir une intentionnalité des animaux. Certaines modalités participent à la mise en relation de ces intentionnalités : le dispositif pariétal, l'utilisation des reliefs naturels et la manière de figurer l'humanité, notamment. Une étude portée sur les vestiges osseux animaux des sites du Magdalénien moyen montre que le schéma global des opérations de boucherie et sa ritualisation supposée s'orientent particulièrement vers l'individualité des animaux et leur subjectivité. Le schéma global de la boucherie concernant les animaux semble trouver un écho avec des pratiques concernant le traitement de certains corps humains. Dans les deux cas, une emphase s'observe dans la minutie et l'intensité des procédés et une sur-représentation des crânes dans les sites d'habitat, pointant un équivalence relative entre les statuts d'humains et de non-humains, ainsi qu'une volonté de désubjectiver les individus par une transformation des formes. Les intentions véhiculées par ces diverses pratiques – dans l'art pariétal, le traitement des corps animaux et humains – nous semblent particulièrement représentatives d'un mode d'identification animiste au sens de Descola, et s'avèrent peu compatibles avec d'autres modes d'identification, y compris le totémisme auquel on associe pourtant régulièrement le Paléolithique supérieur européen. Un schéma global à la coloration animiste apparaît, dans lequel se note l'importance de l'individuation des humains comme des animaux, et l'importance de leurs mises en relation. Diverses formes d'interaction entre individus humains et non-humains pourraient trouver leur place au sein de ce qui semble constituer un cycle intégrant des pratiques visant à l'apparition comme à la disparition de subjectivités animales
The aim of this work is to bring new elements to our comprehension of human-animal relationships in one of the emblematic cultures of the European Upper Palaeolithic, the Middle Magdalenian of south-western France, through a two-pronged approach treating animal (and human) depictions and animal (and human) skeletal remains. Rigid naturalism, which presupposes an opposition between nature and culture, as well as the assumed universality of anthropocentrism, are limiting to this endeavor. These intellectual frames of reference confine the realms of investigation of both archaeozoology and the study of figurative art, impeding in part our ability to access the ways in which communities of the past apprehended their own environment. We concentrate therefore on theoretical postures that authorize the relativization of naturalistic ontology while all the same recognizing a diversity of ontologies.Our project is therefore an attempt to identify the specific ontological system of the Middle Magdalenian via its attributed archaeological remains – with the objective of determining the nature of human-animal relationship during the Middle Magdalenian. Philippe Descola’s model of four modes of identification seems to us to be the best adapted approach for such an enterprise, as it provides precise definitions that are easily employed.Middle Magdalenian parietal art focuses particularly on very specific distinctions, but also on the individuation of animals and their respective behaviours, seeming to bring out the depicted animals’ intentionality. Certain methods participate in the linking of these intentionalities: notably the parietal plan, the use of natural reliefs, and the way humanity is represented. A study focusing on skeletal animal remains from Middle Magdalenian sites shows that the general pattern of butchery operations and its supposed ritualization is particularly oriented towards animal individuality and subjectivity. This generalized butchery pattern of animals shows parallels with the treatment of certain human remains. In the two cases, a particular emphasis is seen in the minutia and intensity of procedures and an over-representation of skulls in habitat sites, indicating a relative equivalence between the status of humans and non-humans, as well as a desire to reduce the subjectivity of individuals via the transformation of forms. The intentions conveyed by these diverse practices – in parietal art, and in the treatment of animal and human remains – seem particularly representative of Descola’s animist mode of identification, and appear to be incompatible with other modes of identification, including totemism, which we often associate with the European Upper Palaeolithic. A globalized theme of animist bent appears, in which the individuation of humans as animals seems important, as is their linkage. Diverse forms of interaction between human and non-human individuals may have found their place in what appears to constitute a cycle integrating practices underlining the apparition and disparition of animal subjectivity
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Dittmar, Pierre-Olivier. "Naissance de la bestialité : une anthropologie du rapport homme-animal dans les années 1300." Paris, EHESS, 2010. http://www.theses.fr/2010EHES0117.

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Abstract:
Le rapport à l'animal dans le contexte chrétien est paradoxal. Alors qu'il se trouve pour la première fois totalement exclu du sacré légitime (abandon du sacrifice antique, des interdits alimentaires juifs), l'animal est extrêmement présent dans la littérature et l'art médiéval. Autour des années 1300, son exploitation symbolique, au même titre que son usage alimentaire ou matériel s'inscrit dans un rapport de domination de l'homme sur le monde naturel dont Adam nommant les animaux fournit le modèle. Dans les mêmes années, la conception de l'animal est profondément bouleversée. Depuis Augustin, le monde animal était structuré par l'opposition entre pecus et bestia, entre des animaux herbivores soumis à l'homme et des animaux carnivores sauvages, les premiers étant comestibles, les seconds frappés d'un interdit alimentaire informel. Avec l'émergence d'une littérature en langue vernaculaire et la redécouverte d'Aristote, cette division s'estompe pour laisser place à une conception nouvelle de l'animal, compris désormais dans un sens excluant l'homme, et regroupant l'ensemble des autres créatures animées. On parlera à ce titre d'une naissance de l'animal au sens moderne et naturaliste du terme. Cette invention de l'animal modifie en profondeur les conceptions de la personne, en donnant naissance au concept de bestialité, qui recouvre petit à petit l'ensemble des comportements humains échappant à la raison. Dans ce processus, l’image joue un rôle prépondérant, devançant la formalisation théorique, et impose par le biais de représentations d’hybrides mi-homme mi-bête une compréhension nouvelle de l'animalité de l'homme et de la continuité des existants au sein du monde créé
The medieval Christian approach to the animal was paradoxical. For the first time, the animal was largely excluded from official ritual: animal sacrifice was a thing of the pagan past, and Jewish dietary restrictions limited the consumption of certain creatures. But the animal figured prominently in medieval art and literature, and by the advent of the XIV th century, the animal's symbolic exploitation, along with its use as a source of food and material, followed the model of man's domination over the natural world, established by the Biblical precedence of Adam naming the animals. During the 1300s the conception of the animal underwent a profound change. Since Augustine, the animal world was structured by an opposition between 'pecus' and 'bestia', between grazing herbivores in the service of mankind and wild carnivores. While the former were considered edible, the consumption of the latter was informally forbidden. But with the emergence of literature in the vernacular and the rediscovery of Aristotle, this division gave way to a new conception of the animal that grouped together ail animate creatures -with the notable exception of man. Thus was born the modern sense of the term 'animal'. The invention of the animal profoundly changed how the individual was conceived, giving birth to the concept of 'bestialité', which gradually came to include any human behaviour deemed irrational. Images (i. E. The representations of hybrids, half-men, half-beasts) played a crucial role in the conceptual development of man's beastliness : they did not merely illustrate, but anticipate the work of theoreticians in shaping the concept of man's animality
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Birouste, Clément. "Le Magdalénien après la Nature : une étude des relations entre humains et animaux durant le Magdalénien moyen." Thesis, Toulouse 2, 2018. http://www.theses.fr/2018TOU20009/document.

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Abstract:
Ce travail vise à apporter de nouveaux éléments dans la compréhension de la relation entre humains et animaux dans l'une des cultures emblématiques du Paléolithique supérieur européen, le Magdalénien moyen du sud-ouest de la France, à travers le prisme d'une approche conjointe des figurations animalières (et humaines) et des éléments squelettiques animaux (et humains). Le cadre du naturalisme rigide qui présuppose l'opposition des concepts de nature et de culture, ainsi que l'universalité d'un anthropocentrisme, s'avère être une limitation gênante pour une telle entreprise. Nous observons en effet que ces caractéristiques réduisent le champ d'investigation de l'archéozoologie comme de l'étude de l'art figuratif animalier, empêchant en partie d'accéder à la manière dont les collectivités du passé elles-mêmes appréhendaient leur environnement. Nous nous intéressons donc aux postures théoriques qui autorisent une relativisation de l'ontologie naturaliste en reconnaissant une diversité d'ontologies. Notre projet est de tenter d'identifier le régime ontologique particulier du Magdalénien moyen à travers les vestiges archéologiques qui lui sont attribués – dans le but de préciser la teneur des relations entre humains et animaux pendant le Magdalénien moyen. Le modèle des quatre modes d'identification de Philippe Descola nous semble être le plus adéquat pour entreprendre un tel projet, en raison de la précision de ses définitions et de sa maniabilité. L'art pariétal du Magdalénien moyen se focalise particulièrement sur les distinctions spécifiques, mais aussi sur l'individuation des animaux et les agissements de chacun, donnant à voir une intentionnalité des animaux. Certaines modalités participent à la mise en relation de ces intentionnalités : le dispositif pariétal, l'utilisation des reliefs naturels et la manière de figurer l'humanité, notamment. Une étude portée sur les vestiges osseux animaux des sites du Magdalénien moyen montre que le schéma global des opérations de boucherie et sa ritualisation supposée s'orientent particulièrement vers l'individualité des animaux et leur subjectivité. Le schéma global de la boucherie concernant les animaux semble trouver un écho avec des pratiques concernant le traitement de certains corps humains. Dans les deux cas, une emphase s'observe dans la minutie et l'intensité des procédés et une sur-représentation des crânes dans les sites d'habitat, pointant un équivalence relative entre les statuts d'humains et de non-humains, ainsi qu'une volonté de désubjectiver les individus par une transformation des formes. Les intentions véhiculées par ces diverses pratiques – dans l'art pariétal, le traitement des corps animaux et humains – nous semblent particulièrement représentatives d'un mode d'identification animiste au sens de Descola, et s'avèrent peu compatibles avec d'autres modes d'identification, y compris le totémisme auquel on associe pourtant régulièrement le Paléolithique supérieur européen. Un schéma global à la coloration animiste apparaît, dans lequel se note l'importance de l'individuation des humains comme des animaux, et l'importance de leurs mises en relation. Diverses formes d'interaction entre individus humains et non-humains pourraient trouver leur place au sein de ce qui semble constituer un cycle intégrant des pratiques visant à l'apparition comme à la disparition de subjectivités animales
The aim of this work is to bring new elements to our comprehension of human-animal relationships in one of the emblematic cultures of the European Upper Palaeolithic, the Middle Magdalenian of south-western France, through a two-pronged approach treating animal (and human) depictions and animal (and human) skeletal remains. Rigid naturalism, which presupposes an opposition between nature and culture, as well as the assumed universality of anthropocentrism, are limiting to this endeavor. These intellectual frames of reference confine the realms of investigation of both archaeozoology and the study of figurative art, impeding in part our ability to access the ways in which communities of the past apprehended their own environment. We concentrate therefore on theoretical postures that authorize the relativization of naturalistic ontology while all the same recognizing a diversity of ontologies.Our project is therefore an attempt to identify the specific ontological system of the Middle Magdalenian via its attributed archaeological remains – with the objective of determining the nature of human-animal relationship during the Middle Magdalenian. Philippe Descola’s model of four modes of identification seems to us to be the best adapted approach for such an enterprise, as it provides precise definitions that are easily employed.Middle Magdalenian parietal art focuses particularly on very specific distinctions, but also on the individuation of animals and their respective behaviours, seeming to bring out the depicted animals’ intentionality. Certain methods participate in the linking of these intentionalities: notably the parietal plan, the use of natural reliefs, and the way humanity is represented. A study focusing on skeletal animal remains from Middle Magdalenian sites shows that the general pattern of butchery operations and its supposed ritualization is particularly oriented towards animal individuality and subjectivity. This generalized butchery pattern of animals shows parallels with the treatment of certain human remains. In the two cases, a particular emphasis is seen in the minutia and intensity of procedures and an over-representation of skulls in habitat sites, indicating a relative equivalence between the status of humans and non-humans, as well as a desire to reduce the subjectivity of individuals via the transformation of forms. The intentions conveyed by these diverse practices – in parietal art, and in the treatment of animal and human remains – seem particularly representative of Descola’s animist mode of identification, and appear to be incompatible with other modes of identification, including totemism, which we often associate with the European Upper Palaeolithic. A globalized theme of animist bent appears, in which the individuation of humans as animals seems important, as is their linkage. Diverse forms of interaction between human and non-human individuals may have found their place in what appears to constitute a cycle integrating practices underlining the apparition and disparition of animal subjectivity

Book chapters on the topic "Relations homme-animal – Moyen âge":

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Dubois Morestin, Mélanie. "Conclusion. L’atelier de Jean Teisseire, un espace de relations, l’entreprise d’un homme d’affaires." In Être entrepreneur au Moyen Âge, 357–60. Presses universitaires du Septentrion, 2022. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.133065.

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Campmas, Émilie, Patrick Michel, Fethi Amani, Sandrine Costamagno, Mohamed Abdeljalil El Hajraoui, and Roland Nespoulet. "Relations Homme-Animal au Pléistocène supérieur à Témara (grottes d’El Harhoura 2 et d’El Mnasra, Rabat, Maroc)." In L’Homme et l’Animal au Maghreb, de la Préhistoire au Moyen Âge, 159–73. Presses universitaires de Provence, 2021. http://dx.doi.org/10.4000/books.pup.62642.

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