Journal articles on the topic 'Régions d’attraction'

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Frenette, Yves. "L’Ontario français du Centre et du Sud-Ouest, 1940-1970." Cahiers Charlevoix 7 (April 10, 2017): 143–81. http://dx.doi.org/10.7202/1039325ar.

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Abstract:
C’est des régions du Centre et du Sud-Ouest, réunies en raison de leur identité commune et fragmentée, et d’une conscience régionale en voie d’éclosion, que traite l’étude d’Yves Frenette. Par la relecture de documents divers (entrevues, témoignages, recensements et études), il brosse un portrait concret de la vie française de ce coin de l’Ontario pour la période 1940-1970. En retraçant les courants migratoires qui ont amené des populations françaises dans ces régions, il sonde leurs motivations, indique les zones d’attraction (Détroit-Windsor, Sarnia, baie Georgienne, Toronto, Hamilton, Welland) et les îlots de peuplement, et parle de leur adaptation au milieu à la faveur du réseau institutionnel chargé de les encadrer. Mais les migrants durent réagir aux préjugés qu’entraînait leur minorisation et qui eurent des effets sur la place de ces nouveaux Franco-Ontariens. Aussi, les problèmes d’anglicisation les confrontèrent-ils très tôt et les divisèrent : sympathie ou trahison des clercs, apathie de plusieurs, incompréhension et rivalités entre groupes francophones (Québécois et Acadiens, Canadiens français et Français) contribuèrent à de nombreux transferts linguistiques. Malgré une assimilation galopante, qui inquiète l’élite, l’école et la progression du réseau institutionnel auraient commencé à freiner l’assimilation.
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Davies, Laurence, and Romina Pace. "Rural versus Urban General Internal Medicine – What Factors are Influencing Resident’s Choice of Practice?" Canadian Journal of General Internal Medicine 18, no. 2 (June 8, 2023): 31–42. http://dx.doi.org/10.22374/cjgim.v18i2.690.

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Abstract:
Objective: To understand the factors influencing General Internal Medicine (GIM) fellows to choose a rural versus urban clinical practice. Methods: A descriptive study employing individual interviews of GIM fellows was conducted. Questions probed fellows’ choice of practice, perceived characteristics of practice location, definition of rural medicine, awareness of incentives for rural practice, and suggestions on attracting GIM specialists to rural areas. Results: 12 GIM fellows were interviewed. Regarding the choice of practice location, nearly all participants mentioned that their decision was influenced by where they were raised or where their family was currently located. The diversity of rural practice was described as an attracting feature. Lifestyle factors were also important in their choice of practice. Conclusion: Factors associated with rural practice amongst GIM fellows include (1) relationship to region, (2) characteristics of practice, and (3) lifestyle preferences. Recruitment strategies leveraging these factors would assist in drawing physicians to rural areas. RésuméObjectif: Comprendre les facteurs qui incitent les boursiers en médecine interne générale (MIG) à choisir une pratique clinique en milieu rural ou urbain. Méthodologie: Une étude descriptive a été réalisée à l’aide d’entrevues individuelles menées auprès de boursiers en MIG. Les questions ont porté sur le choix de pratique, les caractéristiques perçues du lieu de pratique, la définition de la médecine rurale, la connaissance des mesures incitatives à la pratique en milieu rural et les suggestions pour attirer les spécialistes en MIG dans les régions rurales. Résultats: Douze boursiers en MIG ont été interrogés. En ce qui concerne le choix du lieu de pratique, presque tous les participants ont mentionné que leur décision a été influencée par l’endroit où ils ont grandi, ou par celui où se trouve actuellement leur famille. La diversité de la pratique en milieu rural a été décrite comme étant un facteur d’attraction. Les facteurs liés au mode de vie sont également importants dans le choix de leur pratique. Conclusion: Les facteurs associés à la pratique en milieu rural parmi les boursiers en MIG sont : 1) les liens avec la région; 2) les caractéristiques de la pratique; 3) les préférences en matière de mode de vie. Des straté-gies de recrutement qui tirent parti de ces facteurs contribueraient à attirer les médecins dans les régions rurales.
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Gravel, Sylvie, Marie-France Dupuis, and Sacha Robidoux-Bolduc. "Au-delà de la politique, les stratégies d’attraction et de rétention des travailleurs immigrants dans les régions : les efforts coordonnés d’accueil des communautés." Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail 13, no. 1 (2020): 1. http://dx.doi.org/10.7202/1078723ar.

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Dawdy, Shannon Lee. "La Nouvelle-Orléans au xviiie siècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 62, no. 3 (June 2007): 663–85. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900029620.

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Abstract:
RésuméCet article étudie les flux économiques et sociaux à la Nouvelle-Orléans au xviiie siècle. Il a pour objectif de démontrer que les thèses de Braudel sur l’influence des courants maritimes et la force d’attraction du capitalisme peuvent être étendues à la « Méditerranée du Nouveau monde» qu’était la région comprise entre le Mississippi et les Caraïbes. Les Amérindiens voyageaient et commerçaient dans la région depuis fort longtemps, ce qui a influencé le choix du site de La Nouvelle-Orléans, tandis que la navigation était rendue possible par les marins et constructeurs de bateaux d’origine africaine. Cependant, l’économie maritime de La Nouvelle-Orléans ne peut être uniquement expliquée par le jeu du capitalisme classique. La contrebande et le capital social ont joué un rôle extrêmement important dans la formation de la ville. La Nouvelle-Orléans n’était qu’un des nombreux mondes clandestins qui s’épanouissaient à l’époque en marge des voies commerciales officielles.
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Charreire, Hélène, Evelyne Combier, Francis Michaut, Cyril Ferdynus, Béatrice Blondel, Nicolas Drewniak, Marc Le Vaillant, Hugo Pilkington, Jeanne-Marie Amat-Roze, and Jennifer Zeitlin. "Une géographie de l’offre de soins en restructuration : les territoires des maternités en Bourgogne." Cahiers de géographie du Québec 55, no. 156 (April 17, 2012): 491–509. http://dx.doi.org/10.7202/1008891ar.

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Abstract:
Résumé En France, l’organisation des services de santé périnatale subit actuellement de profondes mutations en raison de la restructuration de l’offre de soins et notamment en raison de la fermeture des petites ou moyennes maternités. Au-delà des polémiques suscitées lors de la suppression d’un établissement, ces restructurations ont-elles des répercussions sur l’accessibilité aux maternités pour les parturientes ? À la suite des fermetures successives de maternités, notre étude a pour objectif de présenter les recompositions des pratiques spatiales des femmes et de lire les nouvelles aires d’attraction. Le territoire d’étude est la région Bourgogne, territoire hétérogène, aux forces centrifuges associant des zones urbaines, périurbaines et rurales enclavées. Cette étude met en évidence les inégalités spatiales d’accès aux soins et apporte des éléments d’analyse face aux questions d’équité que se posent les décideurs et les professionnels de santé publique.
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Chétima, Melchisedek. "Par ici l’authenticité !" Téoros 30, no. 1 (September 4, 2012): 44–54. http://dx.doi.org/10.7202/1012107ar.

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Abstract:
Cette étude est née d’une série de questionnements auxquels l’auteur était confronté en observant les touristes dans les monts Mandara du Cameroun. Étant originaire de cette région, l’auteur s’est toujours demandé ce que les touristes recherchaient exactement et ce qui les passionnait dans le traditionnel, le mythique et l’ancestral. Ces interrogations l’ont conduit à étudier le rapport entre authenticité et excellence d’une destination. De cette étude, il ressort que le pouvoir d’attraction des monts Mandara réside dans la richesse de son patrimoine culturel et naturel, considérée par les visiteurs comme « authentique ». Cependant, cette image « authentique » ne concerne pas seulement les objets culturels dans leur existence réelle. Elle résulte également des mises en scène de la vie quotidienne, orchestrées par les populations d’accueil dans l’intention de se conformer aux attentes des touristes. Les mises en scène sont par la suite relayées par les voyagistes qui produisent des photos particulièrement sélectives dans le but de circonscrire la nature et la culture locales et de les offrir, sous une forme visuelle, au regard des touristes.
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Bourgeois, David. "Les sources de la coopération transfrontalière : l’exemple de l’agglomération de Bâle à travers les fonds de Saint-Louis Agglomération." Les élites rhénanes, xviii-xxe siècle, no. 5 (December 1, 2023): 185–96. http://dx.doi.org/10.57086/rrs.385.

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Abstract:
La position de l’agglomération bâloise est en elle-même une particularité née de la géographie et de l’histoire. Héritière d’une histoire pluriséculaire qui l’a placée au centre des échanges européens, Bâle a mis en œuvre les mesures lui permettant d’amoindrir les contraintes liées aux frontières qui l’enserrent. Mieux, elle a su en faire un atout. Profitant d’une économie en constante mutation depuis la fin de l’époque médiévale, la ville rhénane a dès cette époque constitué un pôle d’attraction régional fort. Le dynamisme du continent après la Seconde Guerre Mondiale et la construction européenne ne l’ont pas isolée, bien au contraire. Le dialogue porté par les édiles fédérales et locales a permis de nouer des coopérations avec ses voisines immédiates, la France et l’Allemagne. Son rayonnement n’a fait qu’augmenter à mesure que se développaient et se diversifiaient les secteurs industriels alors que le secteur bancaire se structurait au point de faire de cette ville l’une des places fortes de la finance continentale[1]. Pour poursuivre son développement, la coopération transfrontalière revêtait pour Bâle une importance stratégique. Deux axes majeurs constituent encore aujourd’hui les leviers de son développement : les transports aussi bien pour traverser la ville que pour assurer la pendularité essentielle à son économie et l’urbanisme, coordonné, pour lui permettre une croissance démographique, culturelle et économique, garante de son attractivité dans le concert des métropoles du continent. Le bassin de vie de Bâle, conséquent démographiquement, regroupe près d’un million d’habitants. [1] Voir entre autres Heinz Polivka, Basel und seine Wirtschaft. Eine Zeitreise durch 2000 Jahre, Lenzburg, Verlag Merker im Effingerhof, 2016.
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Rhenals, Remberto, and Alejandro Torres. "Volatilidad de los flujos de capital hacia paises en desarrollo: evidencia para América Latina, 1970-2002." Lecturas de Economía, no. 67 (October 20, 2010): 9–42. http://dx.doi.org/10.17533/udea.le.n67a7310.

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Abstract:
Resumen: La dinámica de los flujos de capital hacia los países en desarrollo en las últimas décadas, ha puesto nuevamente en el centro del debate la discusión sobre sus beneficios y costos. El objetivo del presente artículo es analizar el comportamiento de los flujos de capital entre 1970 y 2002, su grado de volatilidad y sus efectos sobre el desempeño macroeconómico de América Latina. La volatilidad se mide mediante el coeficiente de variación, que se calcula de dos formas. Los resultados muestran que la volatilidad de los flujos de capital y del crecimiento de la región no parece haber aumentado, pese a la gran importancia adquirida por los flujos privados de capital desde principios de los noventa. Palabras claves: Flujos de capital, América Latina, países en desarrollo, volatilidad, factores de atracción y factores de expulsión. Clasificación JEL: F21, F32, O16. Abstract: Capital inflows dynamics towards developing countries during the last decades again has posited in the center of the debate the discussion on its benefits and costs. The objective of this work is to analyze the behavior of capital flows over 1970 and 2002, their volatility and effects on the Latin American macroeconomic performance. Volatility is measured by means of the variation coefficient, which is calculated in two forms. The results show that the volatility of capital inflows and the regional growth seem not to have increased, in spite of the very importance private flows acquired since the beginning of nineties. Keywords: Capital Flows, Latin America, Developing Countries, Volatility, Pull Factors and Push Factors. JEL Classification: F21, F32, O16. Résumé: La dynamique des flux de capitaux vers les pays en voie développement dans les dernières décennies a permit le retour du débat autour de ses bénéfices et de ses coûts. L’objectif de cet article est d’analyser le comportement des flux de capitaux entre 1970 et 2002, en tenant compte de son degré de volatilité et de ses effets sur la performance macroéconomique en l’Amérique Latine. La volatilité est mesurée par le coefficient de variation, lequel est calculé d’après deux méthodes. Les résultats montrent que la volatilité des flux de capitaux et de la croissance de la région ne paraît pas avoir augmenté, en dépit de la importance des flux privés de capital depuis le début des années quatre-vingt-dix. Mots clef: Flux de capitaux, l’Amérique Latine, pays en voie développement, volatilité, facteurs d’attraction, facteurs d’expulsion. Classification JEL: F21, F32, O16.
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Laugrand, Frédéric, and Jarich Oosten. "Cercles de guérison, pratiques d’inspiration chamanique et néo-chamanisme chez les Inuits du Nunavik et du Nunavut." 38, no. 2-3 (May 27, 2010): 55–67. http://dx.doi.org/10.7202/039794ar.

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Abstract:
À partir de différents matériaux ethnographiques, cet article s’intéresse à l’actualisation des traditions chez les Inuits de l’Arctique de l’Est canadien. La réflexion est menée à partir d’une comparaison de plusieurs pratiques rituelles qui se sont récemment implantées dans ces régions : les cercles de guérison, ainsi que des pratiques d’inspiration chamanique et néo-chamanique. L’article explique comment, sur le plan symbolique, l’exogénéité de ces pratiques a été réduite dans le cas des cercles traditionnels de guérison, alors qu’elle pose problème dans le cas du néo-chamanisme. Les auteurs font l’hypothèse que, dans le contexte de la sédentarisation et de l’urbanisation contemporaine, les cercles de guérison actualisent des dispositifs chamaniques tandis que le néo-chamanisme semble incompatible avec les traditions locales. Le modèle de la quête individuelle volontaire qui fonde le néo-chamanisme offre peu d’attraction pour les Inuits. En somme, le chamanisme ne demeure sans doute pas assez moribond pour faire l’objet d’une réactivation et est trop vivace pour qu’on accepte sa folklorisation.
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De Callataÿ, Etienne. "Numéro 52 - juin 2007." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15723.

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Abstract:
Après avoir été celui de la guerre, l’argent est devenu le nerf des négociations institutionnelles. En Belgique, il a été l’aiguillon des amendements successifs aux règles de partage des compétences et de financement apportés depuis l’adoption de la Loi spéciale de financement des entités fédérées en janvier 1989. La prochaine réforme institutionnelle, qui portera sur les thèmes de l’heure, tels l’organisation du marché du travail, l’arrondissement Bruxelles-Halle-Vilvorde et les normes de bruit, devra aussi revoir le financement de la Région de Bruxelles-Capitale, perçu aujourd’hui comme structurellement insuffisant. L’anticipation des difficultés budgétaires de la Région bruxelloise pourra être à la fois une raison pour accepter une nouvelle discussion institutionnelle et une source de compensations potentielles pour faciliter celle-ci. Derrière l’aridité du sujet et la modicité relative des sommes en jeu, les finances publiques bruxelloises sont donc de première importance dans le contexte politique actuel et donc pour l’avenir du fédéralisme belge. Le financement actuel de la Région de Bruxelles-Capitale peut être vu commeinsuffisant en regard des besoins de la ville et de ses communes, notamment en matière d’intégration sociale, de formation, de rénovation urbaine et de transports en commun. Il peut aussi être vu comme insuffisant en regard des potentialités qu’un financement plus large permettrait d’exploiter pour tirer pleinement parti de la force d’attraction des villes dans un monde où la globalisation et le progrès technologique accentuent le rôle économique des villes. Octroyer plus de moyens à la Région bruxelloise servirait donc les causes sociale et environnementale et les intérêts financiers bien compris des autres Régions. Par ailleurs, les mécanismes de financement de la Région de Bruxelles-Capitale sont aussi parfois considérés comme injustes. En effet, la ventilation entre Régions de la part qui leur est attribuée des recettes de l’IPP se base sur le lieu de résidence et non sur le lieu de génération de la base taxable. Bruxelles souffre également de divers manques à gagner importants (immunisation en matière de taxe immobilière des bâtiments des institutions internationales, fédérales et communautaires et non-assujettissement des fonctionnaires internationaux actifs à Bruxelles). De plus, Bruxelles doit faire face à des surcoûts associés au statut de grande ville, de capitale et d'Etat-Région, très imparfaitement compensés par les mécanismes correctifs actuels. Dès lors, il semble légitime que le financement de Bruxelles et ses communes soit revu ou, à tout le moins, que les mécanismes correctifs soient significativement intensifiés. Toutefois, une révision en profondeur du mode de financement de la Région de Bruxelles-Capitale exigerait d’opérer un rééquilibrage dans les moyens de financement transférés aux Régions en faveur de Bruxelles. Outre la perte de moyens budgétaires pour les deux autres Régions, l’opposition à un meilleur financement de Bruxelles sera aussi politique puisque ce dernier accroîtrait structurellement l’autonomie de la troisième Région. Avec des finances étriquées, il est difficile pour Bruxelles de donner une image de Région bien gérée et de résister à un donnant-donnant, où des concessions politiques doivent être octroyées en échange de ballons d’oxygène budgétaires. En lieu et place d’un refinancement structurel au prix institutionnel potentiellement élevé, il faut envisager une alternative combinant une amélioration des mécanismes particuliers actuels de financement (accord Beliris, mainmorte, intervention de solidarité nationale, échevins flamands, politique des grandes villes) et une meilleure gestion de la Région, caractérisée notamment par des communes, une administration régionale et des institutions parapubliques à l’efficacité contestée. En matière de recettes, il faut également revoir les impôts régionaux et communaux pour en améliorer tant l’efficacité que l’équité (réduction des additionnels IPP, actualisation des revenus cadastraux, ajustement du précompte immobilier, portabilité des droits d'enregistrement, stimulants environnementaux, …). La Région de Bruxelles-Capitale est, dans une mesure significative, maîtresse de sa propre destinée. Même si elle reçoit des moyens structurellement inférieurs à ceux auxquels elle pourrait prétendre, la Région dispose de suffisamment de marge de manœuvre pour ne pas être condamnée à payer un refinancement structurel au prix d’une réforme institutionnelle qui entamerait l’autonomie de la troisième Région, ce qui desservirait non seulement ses habitants mais aussi rongerait la pierre angulaire du fédéralisme belge qu’est la Région de Bruxelles-Capitale.
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De Callataÿ, Etienne. "Numéro 52 - juin 2007." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2007.06.01.

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Après avoir été celui de la guerre, l’argent est devenu le nerf des négociations institutionnelles. En Belgique, il a été l’aiguillon des amendements successifs aux règles de partage des compétences et de financement apportés depuis l’adoption de la Loi spéciale de financement des entités fédérées en janvier 1989. La prochaine réforme institutionnelle, qui portera sur les thèmes de l’heure, tels l’organisation du marché du travail, l’arrondissement Bruxelles-Halle-Vilvorde et les normes de bruit, devra aussi revoir le financement de la Région de Bruxelles-Capitale, perçu aujourd’hui comme structurellement insuffisant. L’anticipation des difficultés budgétaires de la Région bruxelloise pourra être à la fois une raison pour accepter une nouvelle discussion institutionnelle et une source de compensations potentielles pour faciliter celle-ci. Derrière l’aridité du sujet et la modicité relative des sommes en jeu, les finances publiques bruxelloises sont donc de première importance dans le contexte politique actuel et donc pour l’avenir du fédéralisme belge. Le financement actuel de la Région de Bruxelles-Capitale peut être vu commeinsuffisant en regard des besoins de la ville et de ses communes, notamment en matière d’intégration sociale, de formation, de rénovation urbaine et de transports en commun. Il peut aussi être vu comme insuffisant en regard des potentialités qu’un financement plus large permettrait d’exploiter pour tirer pleinement parti de la force d’attraction des villes dans un monde où la globalisation et le progrès technologique accentuent le rôle économique des villes. Octroyer plus de moyens à la Région bruxelloise servirait donc les causes sociale et environnementale et les intérêts financiers bien compris des autres Régions. Par ailleurs, les mécanismes de financement de la Région de Bruxelles-Capitale sont aussi parfois considérés comme injustes. En effet, la ventilation entre Régions de la part qui leur est attribuée des recettes de l’IPP se base sur le lieu de résidence et non sur le lieu de génération de la base taxable. Bruxelles souffre également de divers manques à gagner importants (immunisation en matière de taxe immobilière des bâtiments des institutions internationales, fédérales et communautaires et non-assujettissement des fonctionnaires internationaux actifs à Bruxelles). De plus, Bruxelles doit faire face à des surcoûts associés au statut de grande ville, de capitale et d'Etat-Région, très imparfaitement compensés par les mécanismes correctifs actuels. Dès lors, il semble légitime que le financement de Bruxelles et ses communes soit revu ou, à tout le moins, que les mécanismes correctifs soient significativement intensifiés. Toutefois, une révision en profondeur du mode de financement de la Région de Bruxelles-Capitale exigerait d’opérer un rééquilibrage dans les moyens de financement transférés aux Régions en faveur de Bruxelles. Outre la perte de moyens budgétaires pour les deux autres Régions, l’opposition à un meilleur financement de Bruxelles sera aussi politique puisque ce dernier accroîtrait structurellement l’autonomie de la troisième Région. Avec des finances étriquées, il est difficile pour Bruxelles de donner une image de Région bien gérée et de résister à un donnant-donnant, où des concessions politiques doivent être octroyées en échange de ballons d’oxygène budgétaires. En lieu et place d’un refinancement structurel au prix institutionnel potentiellement élevé, il faut envisager une alternative combinant une amélioration des mécanismes particuliers actuels de financement (accord Beliris, mainmorte, intervention de solidarité nationale, échevins flamands, politique des grandes villes) et une meilleure gestion de la Région, caractérisée notamment par des communes, une administration régionale et des institutions parapubliques à l’efficacité contestée. En matière de recettes, il faut également revoir les impôts régionaux et communaux pour en améliorer tant l’efficacité que l’équité (réduction des additionnels IPP, actualisation des revenus cadastraux, ajustement du précompte immobilier, portabilité des droits d'enregistrement, stimulants environnementaux, …). La Région de Bruxelles-Capitale est, dans une mesure significative, maîtresse de sa propre destinée. Même si elle reçoit des moyens structurellement inférieurs à ceux auxquels elle pourrait prétendre, la Région dispose de suffisamment de marge de manœuvre pour ne pas être condamnée à payer un refinancement structurel au prix d’une réforme institutionnelle qui entamerait l’autonomie de la troisième Région, ce qui desservirait non seulement ses habitants mais aussi rongerait la pierre angulaire du fédéralisme belge qu’est la Région de Bruxelles-Capitale.
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Vandenbussche, Hylke. "Numéro 41 - juin 2006." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15853.

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Abstract:
Dans le but d’encourager la création d’emplois et d’attirer les investissements étrangers en Wallonie, le Plan Marshal comprend plusieurs mesures fiscales importantes pour les entreprises. Ces mesures visent à "alléger la taxation communale, provinciale et fluviale". Ces mesures fiscales ne nous paraissent pas être les plus appropriées pour atteindre les objectifs visés en matière de créations d’emplois et d’attraction des investissements étrangers. L’impact économique potentiel des leviers fiscaux dont dispose la région wallonne est en effet limité. Bien que les taxes locales supportées par les entreprises ont fortement augmenté les années passées, celles-ci ne représentent néanmoins qu’une petite partie du montant total de taxes que les entreprises paient. La plus grande partie vient de l’impôt sur les profits des sociétés ("corporate tax rate"), qui est une taxe fédérale. Bien que cette taxe ne soit pas directement modifiable par les régions, nous estimons néanmoins qu’elle est le seul levier fiscal susceptible de relancer l’activité et de doper l’emploi de façon significative en Wallonie. L’impact économique positif d’une diminution importante du taux de l’impôt des sociétés devrait ainsi surpasser celui des mesures fiscales prévues dans le Plan Marshal. Malgré la réforme de la taxation des sociétés opérée en Belgique fin 2002, qui a vu le taux d’impôt des sociétés diminuer de 40,17 % à 33,99 %, le taux d’imposition des sociétés pratiqué en Belgique demeure un des plus élevés au niveau européen (UE-25). Une étude récente de l’OCDE montre ainsi que la Belgique se situe à la 6ème place des pays européens qui ont le taux de taxation des sociétés le plus élevé. Pour tenter de corriger ce handicap concurrentiel, le gouvernement Verhofstadt II a mis en place en 2005 une mesure de déduction des intérêts notionnels, qui donne aux entreprises la possibilité de réduire le montant de la base fiscale imposable à l’impôt des sociétés. Le gouvernement fédéral espère que cette mesure augmentera l’attrait de la Belgique pour les investisseurs étrangers, en dépit du taux d’impôt élevé sur les profits. A ce moment, il est encore trop tôt pour pouvoir évaluer le succès de cette mesure. L’étude que j’ai préparée pour le colloque ADEL examine l’impact d’une nouvelle baisse de l’impôt des sociétés sur les flux d’investissements directs étrangers et sur l’emploi en Belgique. L’exercice a été effectué en diminuant le taux d’impôt des sociétés à 25 %, qui est le taux moyen dans l’UE-25. La méthodologie utilisée pour mesurer cet impact est inspirée d’une étude américaine qui a été réalisée il y a quelques années. Pour effectuer cet exercice, j’utilise une base de données de plusieurs milliers de grandes firmes belges et de leurs "filiales" dans d’autres pays de l’UE-25. Grâce à cette base de données, il m’est permis d’analyser quel est l'effet sur les investissements des entreprises belges des taxes dans les pays hôtes. Les estimations les plus prudentes montrent qu’en abaissant le taux d’imposition des sociétés à 25 %, environ 125.000 emplois nouveaux devraient être créés en Belgique, dont 20.000 en Wallonie et 28.750 à Bruxelles.
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Vandenbussche, Hylke. "Numéro 41 - juin 2006." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2006.06.01.

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Dans le but d’encourager la création d’emplois et d’attirer les investissements étrangers en Wallonie, le Plan Marshal comprend plusieurs mesures fiscales importantes pour les entreprises. Ces mesures visent à "alléger la taxation communale, provinciale et fluviale". Ces mesures fiscales ne nous paraissent pas être les plus appropriées pour atteindre les objectifs visés en matière de créations d’emplois et d’attraction des investissements étrangers. L’impact économique potentiel des leviers fiscaux dont dispose la région wallonne est en effet limité. Bien que les taxes locales supportées par les entreprises ont fortement augmenté les années passées, celles-ci ne représentent néanmoins qu’une petite partie du montant total de taxes que les entreprises paient. La plus grande partie vient de l’impôt sur les profits des sociétés ("corporate tax rate"), qui est une taxe fédérale. Bien que cette taxe ne soit pas directement modifiable par les régions, nous estimons néanmoins qu’elle est le seul levier fiscal susceptible de relancer l’activité et de doper l’emploi de façon significative en Wallonie. L’impact économique positif d’une diminution importante du taux de l’impôt des sociétés devrait ainsi surpasser celui des mesures fiscales prévues dans le Plan Marshal. Malgré la réforme de la taxation des sociétés opérée en Belgique fin 2002, qui a vu le taux d’impôt des sociétés diminuer de 40,17 % à 33,99 %, le taux d’imposition des sociétés pratiqué en Belgique demeure un des plus élevés au niveau européen (UE-25). Une étude récente de l’OCDE montre ainsi que la Belgique se situe à la 6ème place des pays européens qui ont le taux de taxation des sociétés le plus élevé. Pour tenter de corriger ce handicap concurrentiel, le gouvernement Verhofstadt II a mis en place en 2005 une mesure de déduction des intérêts notionnels, qui donne aux entreprises la possibilité de réduire le montant de la base fiscale imposable à l’impôt des sociétés. Le gouvernement fédéral espère que cette mesure augmentera l’attrait de la Belgique pour les investisseurs étrangers, en dépit du taux d’impôt élevé sur les profits. A ce moment, il est encore trop tôt pour pouvoir évaluer le succès de cette mesure. L’étude que j’ai préparée pour le colloque ADEL examine l’impact d’une nouvelle baisse de l’impôt des sociétés sur les flux d’investissements directs étrangers et sur l’emploi en Belgique. L’exercice a été effectué en diminuant le taux d’impôt des sociétés à 25 %, qui est le taux moyen dans l’UE-25. La méthodologie utilisée pour mesurer cet impact est inspirée d’une étude américaine qui a été réalisée il y a quelques années. Pour effectuer cet exercice, j’utilise une base de données de plusieurs milliers de grandes firmes belges et de leurs "filiales" dans d’autres pays de l’UE-25. Grâce à cette base de données, il m’est permis d’analyser quel est l'effet sur les investissements des entreprises belges des taxes dans les pays hôtes. Les estimations les plus prudentes montrent qu’en abaissant le taux d’imposition des sociétés à 25 %, environ 125.000 emplois nouveaux devraient être créés en Belgique, dont 20.000 en Wallonie et 28.750 à Bruxelles.
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Gasimova, Esmira. "L’Iran et l’Azerbaïdjan, une histoire partagée, des modèles de développement opposés." Strathèse, no. 2 (July 22, 2022). http://dx.doi.org/10.57086/strathese.185.

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La disparition de l’Union soviétique et la réaccession à l’indépendance de l’Azerbaïdjan modifient la donne géopolitique dans la région. Téhéran, qui n’a pris conscience que tardivement des mutations en cours, tente de rattraper son retard et s’efforce de devenir l’un des pôles d’attraction régionaux. Estimant que le Caucase n’est pas pour elle une terre véritablement étrangère, elle mène une diplomatie très active en Azerbaïdjan. Le changement de pouvoir à Bakou suscite des préoccupations nouvelles quant à l’avenir des relations bilatérales. La question des turcophones en Iran contribue à attiser les passions dans un contexte turbulent. Téhéran prévoit que la jeune entité exercera tôt ou tard une influence sur la partie peuplée d’Azéris comprise dans le territoire iranien. L’Azerbaïdjan est un État laïque, qui se tourne vers l’Occident et développe prioritairement ses rapports avec les États-Unis. Il entretient de bonnes relations avec Israël et se veut très proche de la Turquie. Ces divergences idéologiques sont parfois à l’origine de tensions dans les rapports entre Téhéran et Bakou. Les deux pays ont choisi des lignes de conduite opposées, reflétant parfois imparfaitement les intérêts nationaux de chacun d’entre eux. L’Iran considère la voie de développement choisie par la jeune république caucasienne comme contraire aux intérêts des peuples des deux nations chiites. Les ambitions de Téhéran ne se bornent cependant pas à l’espace du religieux, mais peuvent prendre un tour très concret, s’étendant aux domaines économiques et énergétiques. Les hydrocarbures présents dans la mer intérieure dont les deux pays sont riverains suscitent des convoitises. Téhéran aspire également à la constitution d’un axe Moscou-Erevan-Téhéran destiné à contrecarrer la direction Bakou-Ankara-Washington.
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Moreira, Tomás Antonio. "POLÍTICA HABITACIONAL E LOCAÇÃO SOCIAL EM CURITIBA." Caderno CRH 27, no. 71 (December 5, 2014). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v27i71.19693.

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Abstract:
A partir de dados censitários, o artigo analisa a política habitacional de interesse social na Região Metropolitana de Curitiba, entre 2000 e 1010. Os dados sobre os fluxos migratórios revelam que, embora essa região atraia maior número de migrantes no estado, já não é para a capital que se dirige a maioria. As cidades de São José dos Pinhais e Colombo, dotadas de menor infraestrutura, constituem o maior polo de atração. Com foco em habitação para famílias de baixa renda, o aluguel social em especial, são apresentadas as condições das unidades habitacionais, a infraestrutura disponível e os aspectos demográficos e socioeconômicos dos chefes de família. A leitura dos dados é contextualizada por uma recuperação histórica das políticas habitacionais promovidas pelo Estado desde a década de 1970. PALAVRAS-CHAVE: Política habitacional. Locação social. Fluxos migratórios. Região Metropolitana.Curitiba.HOUSING POLICY AND SOCIAL RENT IN CURITIBA Tomás Antonio Moreira Based on census data, this article analyzes the social housing policy in the metropolitan area of Curitiba from 2000 to 2010. Data on migratory movements show that, although this region attracts the largest number of migrants in the state, the capital city is no longer the destination of the majority. With less infrastructure, São José dos Pinhais and Colombo are the cities attracting most migrants currently. The study focuses on housing for low-income families, particularly social rend, and presents the situation of housing units, the available infrastructure, and the demographic and socio-economic aspects household heads. Data interpretation is contextualized using a historical review of housing policies promoted by the state since the 1970’s. KEYWORDS: Housing policy. Social rent. Migratory movements. Metropolitan area of Curitiba. POLITIQUE DU LOGEMENT ET LOGEMENTS SOCIAUX À CURITIBA Tomás Antonio Moreira À partir des données du recensement l’article fait l’analyse de la politique des logements sociax dans la Région Métropolitaine de Curitiba entre 2000 et 2010. Les données concernant les flux migratoires révèlent que bien que cette région attire un plus grand nombre de migrants au niveau de l’état, la majorité ne va cependant pas vers la capitale. Les villes de São José dos Pinhais et Colombo, dotées de moins d’infra-structures, constituent un pôle d’attraction plus important. En mettant l’accent sur l’habitat destiné aux familles ayant peu de revenus, sur le loyer social en particulier, on y présente les conditions qu’offrent les habitations, l’infra-structure existante et les aspects démographiques et socio-économiques des personnes de référence des ménages. La lecture des données est remise en contexte grâce à une récupération historique des politiques du logement promues par l’Etat depuis les années 1970. MOTS-CLÉS: Politique du logement. Logements sociaux. Flux migratoires. Région Métropolitaine.Curitiba. Publicação Online do Caderno CRH no Scielo: http://www.scielo.br/ccrh Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br

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