Journal articles on the topic 'Réel de l'activité'

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Mathis, Alexandre, and Lucrezia Reichlin. "Les effets du taux d'intérêt réel sur l'activité en France." Revue de l'OFCE 41, no. 3 (September 1, 1992): 195–216. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1992.41n1.0195.

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Abstract:
Résumé Cet article présente les résultats d'une étude empirique des effets de choc exogènes de taux d'intérêt réel sur l'économie française. Pour ce faire, nous avons utilisé deux modèles autorégressifs vectoriels et étudié leur dynamique suite à des perturbations exogènes. Le premier modèle ne comporte que des variables réelles et le deuxième est en termes nominaux avec une relation de cointégration faisant apparaître le taux d'intérêt réel. Nos résultats suggèrent qu'un choc de taux d'intérêt réel est inflationniste et que l'inflation a un impact dépressif sur l'activité économique. Ces résultats sont davantage conformes aux conclusions théoriques des modèles fondés sur l'hypothèse de marchés de clientèle qu'à ceux basés sur une structure concurrentielle ou oligopolistique des marchés.
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de, Jaime, François Bourguignon, and Akiko Suwa-Eisenmann. "Dévaluation et compétitivité en Côte-d'Ivoire." Revue économique 46, no. 3 (May 1, 1995): 739–49. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1995.46n3.0739.

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Abstract:
Résumé Cet article examine les effets de court terme de la dévaluation nominale de 100 % du franc CFA sur la compétitivité et l'activité. Nous évaluons à l'aide d'un modèle d'équilibre général, le degré de dévaluation réelle attendu sous différentes hypothèses concernant les élasticités d'offre et de demande et la résistance sala­riale. L'effet sur l'activité est positif. Ce résultat est robuste par rapport aux hypo­thèses d'élasticités de demande. Une variable clé est l'ajustement du salaire réel. Cependant, les enjeux de moyen terme demeurent.
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Pereau, Jean-Christophe. "Négociation salariale en terme réel et en terme nominal: Une analyse des propriétés dynamiques d'un modèle avec contrats échelonnés." Recherches économiques de Louvain 64, no. 3 (1998): 293–317. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800012835.

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Abstract:
RésuméNous analysons les propriétés dynamiques d'un modèle à contrats de salaires échelonnés selon différentes spécifications des règles salariales, en terme nominal et en terme réel. Nous montrons que ces dernières permettent d'enrichir la dynamique de court terme des équations de salaires. Elles impliquent une inertie du taux d'inflation et donc une persistance des chocs monétaires. Nous procédons ensuite à l'étude d'une réduction du taux de croissance de l'offre de monnaie. En présence de règles en terme réel, les résultats des simulations mettent en évidence à la fois des dynamiques cycliques de l'activité économique du fait de l'existence de valeurs propres complexes et un coût réel en terme de chômage et de production plus important relativement à une règle salariale en terme nominal.
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Mathis, Alexandre, and Lucrezia Reichlin. "Les effets du taux d'intérêt réel sur l'activité en France." Revue de l'OFCE 41, no. 1 (1992): 195–216. http://dx.doi.org/10.3406/ofce.1992.1281.

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Lantheaume, Françoise. "L'activité enseignante entre prescription et réel : ruses, petits bonheurs, souffrance." Education et sociétés 19, no. 1 (2007): 67. http://dx.doi.org/10.3917/es.019.0067.

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PICHETTE, Jean. "Essai — Entre le base-ball virtuel et l’État croupier : l’abîme du réel." Sociologie et sociétés 27, no. 1 (September 30, 2002): 165–70. http://dx.doi.org/10.7202/001559ar.

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Abstract:
Résumé L'assimilation au hasard de la dimension contingente de la réalité sociale-historique procède d'une dénégation de la spécificité ontologique de la pratique qui se lit aussi bien dans l'activité sportive de haut niveau que dans la transformation contemporaine de l'espace politique. La recherche de l'amélioration des performances des athlètes passe ainsi par leur assujettissement grandissant aux experts ayant pour fonction de contrôler une subjectivité réduite au statut de pure indétermination. De même, l'État, par son renoncement à la prise en charge reflexive de la dimension normative de la socialite, se transforme en méga-système chargé de mettre en forme le hasard.
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Creel, Jérôme, and Henri Sterdyniak. "Les déficits publics en Europe : causes, conséquences ou remèdes à la crise ?" Revue de l'OFCE 54, no. 3 (September 1, 1995): 57–100. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.54n1.0057.

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Abstract:
Résumé Les pays européens ont connu ces dernières années la conjonction de taux d'intérêt élevés relativement au taux de croissance et de déficits publics importants, ce qui a entraîné une dérive du poids de la dette publique. Le présent document vise à décrire et à expliquer cette évolution. La première partie construit et discute plusieurs indicateurs de l'orientation de la politique budgétaire ; elle montre que, durant la période récente, la politique budgétaire n'a guère été expansionniste ; la croissance de la dette s'explique par le fort niveau des taux d'intérêt réels et les besoins de stabilisation de l'économie. La discussion de la notion de soutenabilité de la politique budgétaire met en lumière les ambiguïtés de cette notion et les risques de son utilisation. La distinction pertinente est celle entre les déficits de régulation, nécessaires à des fins de régulation, et les déficits autonomes, nuisibles à l'accumulation du capital. L 'article présente ensuite les deux thèses opposées : selon la vision néo-classique, ce sont les déficits publics eux-mêmes qui sont responsables du niveau des taux d'intérêt, de sorte que leur réduction devrait faire baisser les taux d'intérêt, sans coût pour le niveau d'activité, et devrait permettre à moyen terme d'impulser l'accumulation du capital, donc la croissance ; selon la vision key- nésienne, les déficits publics sont nécessaires pour soutenir l'activité, en situation de taux d'intérêt réels élevés imposés par la désinflation et la dérégulation financière. Dans cette optique, plusieurs modèles peuvent expliquer la coexistence d'un fort déficit public et d'un taux d'intérêt réel élevé : l'indépendance de la Banque centrale, la non-coordination des politiques économiques en change flexible, les contraintes qui pèsent sur les pays dominés en change fixe, les modifications du fonctionnement de la sphère financière. Enfin, un modèle à comportements patrimoniaux discute des conséquences sur les ménages et les entreprises de la hausse des taux d'intérêt et analyse la politique économique nécessaire : la hausse de la dette publique apparaît nécessaire pour soutenir à la fois la demande et l'accumulation du capital. La thèse selon laquelle la hausse des déficits et des dettes publics serait la cause essentielle du niveau élevé des taux d'intérêt réels n'a pas de sens dans la situation de demande insuffisante qu'a connue l'Europe depuis 1981. Cette hausse est apparue nécessaire pour soutenir l'activité et l'accumulation du capital, dans une situation où les Etats avaient perdu la maîtrise des taux d'intérêt. Retrouver cette maîtrise est l'enjeu crucial pour diminuer les taux d'intérêt réels, relancer la croissance, et donc réduire les dettes publiques. Les critères de finances publiques figurant dans le Traité de Maastricht ne sont pas à la hauteur du problème.
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Ophir, Adi. "Des Ordres dans L'Archive." Annales. Histoire, Sciences Sociales 45, no. 3 (June 1990): 735–54. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1990.278865.

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Abstract:
1. Les historiens évoluent rapidement entre trois registres différents de la réalité: l'Histoire, l'Archive et le discours. L'Histoire — pour reprendre l'expression de Sartre — est la totalisation détotalisée des choses passées ; l'Archive, corollairement, est la totalisation détotalisée des vestiges encore présents de l'Histoire ; et le discours est un champ d'action contemporain qui met en rapport la seconde avec la première et relève en vérité des deux. En tant que pratique, le discours est toujours déjà du passé, c'est-à-dire qu'il appartient à l'Histoire, mais c'est une activité dont les effets sont continuellement inscrits dans l'Archive. Dans le discours, ces trois registres du réel sont entremêlés par des actes d'interprétation et à l'intérieur d'un système de signification. Sémiotiquement parlant, l'Histoire, comme totalité de tout ce qui s'est vraiment passé constitue le domaine du signifié; l'Archive, en tant que totalité de tous les résidus que l'histoire a laissés derrière elle, est celui du signifiant. Il faut y ajouter les histoires, productions délibérées de l'activité discursive et médium dans lequel ce discours s'incarne.
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Chabaud-Rychter, Danielle. "L’innovation industrielle dans l’électroménager : conception pour l’usage et conception pour la production." Articles 9, no. 1 (April 12, 2005): 15–36. http://dx.doi.org/10.7202/057866ar.

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Abstract:
Cet article s'inscrit dans un travail mené, à partir d'une enquête dans une entreprise française de petit électroménager, sur les relations entre l'innovation industrielle et le monde domestique. Au cours de l'enquête, nous avons suivi en temps réel le processus de conception et de mise en fabrication de robots de cuisine multifonctions. Deux aspects du travail d'innovation sont analysés ici. Dans une première partie, nous montrons comment les innovateurs conçoivent les robots pour l'usage, comment, au cours de ce travail, ils prennent en considération les usagers et usagères des appareils et comment ils en construisent des représentations hétérogènes. À la conception des appareils est liée celle des actions des femmes lorsqu'elles les utilisent, et donc se pose la question des modes de prescription de l'usage que les innovateurs inscrivent dans les objets. Une deuxième partie traite de la conception des produits pour l'appareil de production ainsi que de la modification des postes de travail, des outillages et des modes opératoires des ouvrières pour la fabrication d'une nouvelle gamme de robots. D'autres formes de prescription de l'activité des femmes sont aussi mises en œuvre par les innovateurs; nous tentons d'analyser ce qu'en font les opératrices.
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Pandard, P., and P. Vasseur. "Biocapteurs pour le contrôle de la toxicité des eaux : application des bioélectrodes algales." Revue des sciences de l'eau 5, no. 3 (April 12, 2005): 445–61. http://dx.doi.org/10.7202/705141ar.

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Abstract:
L'amélioration de la qualité de l'environnement passe par la réalisation de contrôles de toxicité in situ et en continu des sources de pollution ou des milieux contaminés, à l'aide de systèmes automatisés à réponse rapide. Les systèmes donnant une réponse en temps réel permettent d'intervenir immédiatement à la source, d'interrompre le rejet d'un flux toxique et de prévenir ainsi les accidents de pollution. Ce type de stratégie ne peut être développé qu'au moyen de biocapteurs : les méthodes d'essais conventionnelles n'autorisent que des contrôles de toxicité épisodiques, en laboratoire, effectués dans des conditions statiques quelque peu éloignées des conditions dynamiques. Nous nous sommes intéressés à la mesure de l'activité photosynthétique d'algues unicellulaires immobilisées. La photosynthèse induite par des stimuli lumineux est en effet un processus dont la réponse est immédiate et aisément mesurable à l'aide de transducteurs électrochimiques. Il apparaît donc intéressant d'utiliser ces réactions photosynthétiques pour la détection des polluants. Deux dispositifs mesurant l'activité photosynthétique d'algues unicellulaires ont été testés. Le premier dispositif mesure le transfert d'électrons le long de la chaîne photosynthétique lors d'une illumination des micro-organismes. Le second système permet de quantifier la production d'oxygène résultant de cette excitation lumineuse. La mesure du transfert d'électrons photosynthétiques nécessite l'addition d'une substance oxydo-réductible (médiateur) dans le milieu pour capter ces électrons. De la série de médiateurs testés, seuls les dérivés à caractère lipophile (2,6-diméthylbenzoquinone et p-benzoquinone) ont permis de mesurer un transfert d'électrons. Toutefois la durée de vie de ce biocapteur s'est révélée limitée à moins de 24 heures, ce qui exclut toute utilisation en continu. Le second dispositif développé présente en revanche une longévité d'une semaine, ce qui le rend intéressant en vue d'une utilisation in situ. Les performances de ce capteur à oxygène ont été testées sur des produits de type herbicides, cyanures, métaux et comparées aux valeurs obtenues à l'aide de tests algues classiques ou de méthodes de détection rapide de la toxicité.
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McNutt, Kathleen. "Research Note: Do Virtual Policy Networks Matter? Tracing Network Structure Online." Canadian Journal of Political Science 39, no. 2 (June 2006): 391–405. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423906060161.

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Abstract.The Internet, operating as a technologically embedded laboratory of human activity, provides social scientists with a new set of analytical tools by which to test and replicate models of social and political behaviour, with data extrapolated from the regularities of online activity, organization and information exchange. This research note demonstrates that virtual policy networks, arrangements of public interaction between mutually supporting actors that form around policy activities, exist on the Web. In addition, the note considers whether or not Canadian virtual policy networks are mimicking their respective national policy communities through the application of a methodological approach referred to as link structure analysis. Four sectorally based networks, including Aboriginal policy, agriculture, banking and women-centred policy, are analyzed to assess the extent of virtual policy networks' replication of real world policy dynamics.Résumé.L'Internet, agissant comme laboratoire technologique de l'activité humaine, fournit aux chercheurs un nouvel ensemble d'outils analytiques par lesquels ils peuvent tester et recréer des modèles de comportements sociaux et politiques, à l'aide de données extrapolées à partir d'activités, d'organisations et d'échanges d'information en ligne. Cet essai montre qu'il existe sur Internet des réseaux virtuels d'action politique, à savoir des arrangements d'interaction publique entre différents acteurs sociaux se regroupant autour de certaines idées politiques. En outre, il essaie de déterminer si les réseaux virtuels canadiens imitent leurs communautés politiques nationales respectives, en utilisant une approche méthodologique désignée sous le nom d'analyse de la structure des liens. Quatre réseaux appartenant à des secteurs distincts, soit la politique autochtone, l'agriculture, les opérations bancaires et la condition féminine, sont analysés pour évaluer l'ampleur de la reproduction des dynamiques politiques et sociales du monde réel par les réseaux d'action politique virtuels.
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Fayolle, Jacky, Gérard Cornilleau, and Françoise Milewski. "La concurrence, frein et moteur de l'investissement." Revue de l'OFCE 63, no. 4 (November 1, 1997): 5–82. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1997.63n1.0005.

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Abstract:
Résumé L'activité économique européenne s'est sensiblement redressée depuis un an. Le meilleur environnement monétaire, dont elle bénéficie, en raison de la hausse du dollar et de la détente des politiques monétaires, a d'ores et déjà un effet réel marqué. Les parts de marché à l'exportation des pays européens auparavant affectés par la force de leur monnaie, l'Allemagne en tout premier lieu, remontent enfin, si bien qu'au premier semestre 1997 la reprise de leur activité bénéficie pleinement d'un commerce mondial dynamique, qui a retrouvé un rythme de l'ordre de 8 % l'an. La solidité du redressement européen n'est cependant pas complètement acquise. Les projets d'investissement des entreprises européennes sont positivement orientés et révisés en hausse au cours de 1997, mais de grands pays, comme l'Allemagne, la France et l'Italie, sont à la traîne dans ce mouvement. La progression de la consommation privée est irrégulière et vulnérable aux résurgences de comportements de précaution. Afin de lever ces hésitations, il revient aux banques centrales d'user de leur pouvoir d'influence pour stabiliser les taux de change au voisinage de cours désormais jugés collectivement satisfaisants. La croissance américaine est toujours entraînée par l'ensemble des composantes de la demande. Une correction transitoire du fort stockage devrait intervenir dans la seconde partie de l'année, sans qu'il annonce un retournement de la demande finale. Les entreprises américaines participent à l'auto-entretien de la croissance par des investissements qui améliorent leur efficacité productive et permettent de concilier la hausse des profits et les créations d'emplois. L'accélération de la croissance en 1997 est facilitée par le caractère assez accommodant de l'émission de liquidités. La Réserve fédérale devrait cependant réaffirmer une attitude préventive, se traduisant par un resserrement monétaire limité d'ici la fin 1997. Le ralentissement de la croissance en 1998 (2,6 % après 3,8 % en 1997) recouvre une certaine harmonie entre l'adaptation des agents privés au réglage monétaire et la crédibilité de ce dernier. Ces perspectives sont compatibles avec une stabilisation du dollar à un cours permissif pour la consolidation de la croissance européenne (1,9 DM en 1998). Une fois passés les achats d'anticipation suscités par la hausse de la TVA en avril, l'activité japonaise a lourdement rechuté au printemps. Elle s'avère très vulnérable au sevrage budgétaire que lui impose la cure d'austérité décrétée par le gouvernement. La détente monétaire n'est pas suffisamment incitative pour dissuader les agents privés de leur préférence pour l'épargne et compenser l'impact dépressif de la politique budgétaire. Le comportement de précaution des ménages fait d'autant plus sentir ses effets en 1997 qu'ils subissent une hausse de prélèvements fiscaux et sociaux équivalente à 2,5 % de leur consommation sur l'ensemble de l'année fiscale. Le principal soutien de l'activité reste la dépréciation du yen. Les exportateurs ont cessé de perdre des parts de marché depuis l'an dernier. L'impact de la crise monétaire asiatique resterait localisé et ne serait pas suffisant pour remettre en cause la contribution positive du commerce extérieur à la croissance japonaise pour 1998. La croissance britannique s'est accélérée depuis la fin 1996 pour évoluer à un rythme de l'ordre de 4 % l'an. La demande interne en est le principal soutien. La consommation des ménages bénéficie des gains de pouvoir d'achat et de l'optimisme des salariés. Après une phase d'attentisme en 1996, l'orientation positive de l'investissement se confirme. Mais les effets restrictifs de la forte appréciation de la livre vont à l'encontre de cette accélération. La perte de compétitivité, jointe à un policy-mix soucieux de contenir toute résurgence inflationniste, remettra la croissance dans la moyenne européenne. La progression du PIB, après 3,5 % en 1997, reviendra à 3 % en 1998. L'activité est bien orientée en Allemagne au premier semestre 1997, sous l'influence expansive des débouchés extérieurs et grâce à une compétitivité améliorée. En contrepartie, la consommation des ménages continue à pâtir du recul de l'emploi tandis que l'investissement des entreprises est encore freiné par la modération de la demande interne. La situation de l'emploi devrait cependant s'améliorer au second semestre 1997 et la consommation en bénéficierait progressivement. La politique monétaire ne devrait pas freiner ce redressement de la demande intérieure, si les facteurs ponctuels qui expliquent une accélération transitoire de l'inflation ne sont pas indûment extrapolés. Grâce au relais pris par la demande intérieure et sous l'hypothèse d'une politique budgétaire modérant son caractère restrictif, la croissance allemande pourrait atteindre 2,5 %, puis 3,3 % en 1998. En France, l'activité redémarre lentement, principalement grâce à la contribution du commerce extérieur. La demande intérieure reste bridée par la poursuite du déstockage, l'atonie de la consommation et le repli de l'investissement. Le point bas de l'activité est cependant derrière nous. La croissance du PIB marchand serait de 2,1 en 1997 et de 3,3% en 1998. Les échanges extérieurs constituent cette année encore l'élément le plus dynamique de croissance du PIB. Les exportations profitent à la fois d'une demande extérieure dynamique et de l'évolution favorable des taux de change. L'excédent de la balance commerciale continuerait donc de s' am- plifier et la capacité de financement de la Nation serait excédentaire de plus de 2 points de PIB cette année et de près de 3 points l'an prochain. Le ralentissement de l'activité a freiné l'investissement d'extension des capacités de production et les entreprises ont différé le renouvellement de leurs équipements. Les entreprises ne connaissent pas de blocage d'ordre financier, mais affectent leurs ressources à un autre usage que les dépenses en capital. La permanence de taux d'intérêt réels longs élevés constitue un frein à la reprise de l'endettement. Elle entame également la profitabilité du capital physique mis en œuvre et, par là, s'oppose à l'engagement de dépenses nouvelles. Mais, en 1998 l'investissement des entreprises pourrait redémarrer. La baisse des prix de production dans l'industrie manufacturière s'interromprait, ce qui permettrait une nette décrue des taux réels et le redressement des dépenses d'investissement, à un niveau modeste toutefois au regard du repli passé. Après une année 1996 médiocre, le pouvoir d'achat du revenu des ménages accélérerait en 1997 puis en 1998. Le poids des prélèvements obligatoires dans le revenu se stabiliserait à 23 % en 1997 et s'élèverait de 0,4 point en 1998. Les revenus d'activité s'accéléreraient, portés surtout par la reprise de l'emploi en 1998 pour la masse salariale et le regain d'activité des entrepreneurs individuels. En revanche, la croissance des prestations sociales resterait faible. La consommation se redresserait, grâce au revenu et au regain de confiance des ménages. Le taux d'endettement des ménages resterait relativement modéré. Aussi ne seraient-ils pas amenés à épargner davantage pour réduire leur endettement. Le ralentissement des prix cesserait à l'horizon de la prévision. La remontée des cours des matières premières et celle du dollar met un terme à la baisse des prix de production dans l'industrie. Mais les coûts salariaux restant faibles, la hausse des prix à la consommation des produits manufacturés serait encore très modérée. L'amélioration déjà constatée de l'emploi salarié devrait se confirmer à la faveur de la consolidation de la reprise, notamment dans l'industrie. En ce qui concerne le chômage, les perspectives semblent meilleures. La croissance du chômage devrait ralentir d'ici à la fin de l'année, pour s'interrompre au premier semestre de Vannée prochaine. Sur l'ensemble de 1998, une baisse du nombre de chômeurs est possible. Mais, au regard du volume des créations d'emplois, elle serait modeste, la population active augmentant toujours vivement durant les phases de réanimation du marché du travail. Avec le changement de gouvernement, la politique budgétaire a connu deux infléchissements. Le premier, relatif à l'équilibre global du budget, a consisté à ralentir le rythme de réduction du déficit, celui-ci n'atteignant que 3,1% du PIB en 1997. Le projet de budget pour 1998 s'appuie, quant à lui, pour l'essentiel, sur l'augmentation spontanée des recettes et sur la croissance, pour assurer la stabilisation du déficit autour de 3 % du PIB. Les dépenses sont stabilisées en volume. Le second concerne les baisses d'impôts programmées par le gouvernement Juppé qui sont annulées.
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Gupta, Suman. "Interlingual Encounter/Translation, Radical Translation and Cultural Politics." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, no. 3 (November 15, 1999): 217–26. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.3.04gup.

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Abstract This paper tries to discern a space which is conceptually anterior to the practice and reception of interlingual translation, though it arguably has a determinative function with regard to both. It is argued that though theorists and practitioners have long been aware of this space it has seldom been adequately discussed. This space is tentatively designated as one of interlingual encounter and any effort to apprehend it entails an examination of the nuances of perceiving one language through another at any hypothetical point of contact rather than in the actual translational product or reading. Several theoretical generalisations about interlingual encounter which may have a bearing on interlingual translational activity are offered. Degrees of familiarity and competence are considered; the idealised nuances of Quine's notion of "radical translation" are examined; and the implicit cultural politics that is inevitably available in interlingual encounters is discussed. The paper concludes with the observation that interlingual encounters could provide the basis of a pragmatic re-examination of products of translation and of the theory of translation. Résumé Cet article tente de trouver un espace qui est conceptuellement antérieur à la pratique et à la réception de la traduction interlangues, bien que l'on puisse soutenir qu'il a une fonction déterminative à l'égard des deux. On avance que bien que des théoriciens et des praticiens ont depuis longtemps été conscients de cet espace, il a été rarement discuté de manière appropriée. Cet espace est provisoirement désigné comme rencontre interlangues, et tout effort pour l'appréhender comporte un examen des nuances dans la perception d'une langue par l'intermédiaire d'une autre à un point hypothétique de contact plutôt que dans le produit réel de la traduction ou de la lecture. Plusieurs généralisations théoriques à propos de la rencontre interlangues pouvant influencer l'activité de la traduction interlangues sont présentées. Les degrés de familiarité et de compétence sont pris en considération. Les nuances idéalisées de la notion de Quine de "traduction radicale" sont examinées et la politique culturelle implicite, inévitable dans ces rencontres interlangues est discutée. L'article conclut en faisant remarquer que les rencontres interlangues pourraient fournir la base d'un réexamen pragmatique des produits de la traduction et de la théorie de la traduction.
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Chagny, Odile, Jacky Fayolle, Olivier Passet, Christine Rifflart, Françoise Milewski, Bruno Coquet, and Hervé Péléraux. "Un horizon conjoncturel dégagé." Revue de l'OFCE 51, no. 4 (November 1, 1994): 5–88. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.51n1.0005.

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Abstract:
Résumé Les économies occidentales connaissent pour la plupart des rythmes de croissance soutenus, mais les écarts de conjoncture sont très accusés. L'optimisme réel s'accompagne d'une grande confusion financière : les changes sont perturbés par les déséquilibres commerciaux ; les taux d'intérêt à long terme ont partout monté fortement, d'abord par crainte de l'inflation aux Etats-Unis, puis par révision des perspectives de croissance en Europe. Le niveau actuel des taux longs reflète la difficulté des appareils de production existants à financer des projets d'investissement mondialement plus nombreux. Cependant les taux réels s'avèrent moins élevés que lors de la reprise précédente, et les capacités financières actuelles des firmes européennes les rendent peu sensibles au coût du capital à l'horizon de la fin 1995. Les interrogations portent donc sur la maîtrise des endettements publics, et sur la capacité des sociétés européennes à supporter les ponctions exercées sur les revenus du travail du fait des taux d'intérêt élevés. Aux Etats-Unis, l'activité est à présent renforcée par la demande étrangère, ce qui implique un nouveau durcissement de la politique monétaire en vue d'interrompre la dérive inflationniste. Un ralentissement est attendu au cours de 1995, initié par la consommation. Le Japon est en reprise, tiré à présent par la consommation. Il tend à renforcer la croissance mondiale. Au Royaume-Uni, investissement et exportations ont accéléré la production et réduit le chômage ; la consommation a surtout bénéficié d'une moindre propension à épargner. Les risques inflationnistes vont continuer à durcir la politique économique, et la croissance se modérera l'an prochain. L'Allemagne se redresse à l'Ouest, grâce aux exportations et au restockage. Le logement et la consommation résistent en dépit des prélèvements fiscaux. Les capacités de production manufacturières retrouveront un niveau normal d'utilisation dès la fin 1994, ce qui stimule l'investissement et fait craindre l'inflation. Cependant le chômage reste élevé et les prix au détail devraient rester calmes. A l'Est, la croissance s'annonce vigoureuse. Les capitaux ont délaissé l'Europe pour privilégier le Japon puis les pays émergents. Les investisseurs japonais reviennent sporadiquement et seraient plus présents en 1995, cependant que les besoins de financement américains se modéreront. Le commerce mondial est entré dans une phase de forte croissance qui se poursuivra l'an prochain. Les pays d'Europe continentale regagneront des parts de marché au détriment du Japon. En France, la reprise de l'activité a été significative au premier semestre 1994. L'optimisme se confirme dans les enquêtes de conjoncture. La reprise est d'autant plus nette qu'elle découle de l'interruption de comportements privés très dépressifs. La croissance du PIB serait de 2,2 % en 1994, le ralentissement puis l'arrêt du déstockage y contribuant pour près d'un point. La reprise de la demande intérieure finale, qui s'opère depuis le deuxième trimestre, s'amplifierait. La consommation des ménages continuerait de progresser. Mais la hausse de l'investissement des entreprises serait encore faible en moyenne annuelle, car surtout marquée au second semestre. La croissance des importations dépasserait celle des exportations, à cause d'un début d'année nettement divergent. En 1995 la croissance atteindrait 3,5 % ; cette consolidation de la reprise est usuelle, mais avec une ampleur plus faible que lors du cycle précédent: les objectifs de désendettement n'ont pas disparu, d'autant que les taux d'intérêt à court terme ont cessé de baisser et que les taux d'intérêt à long terme s'élèvent. Ces mouvements ne sont pas de nature à interrompre la reprise en cours, mais vont en limiter l'accélération. L'investissement des entreprises croîtrait aussi fortement qu'il avait reculé en 1993 ; ce ne sera qu'un rattrapage partiel après trois années de recul. Du fait de l'amélioration rapide de leur situation patrimoniale, les entreprises peuvent à présent satisfaire des besoins d'investissement longtemps différés ; la remontée récente des taux d'utilisation des capacités de production constitue une forte incitation à investir. La consommation des ménages s'amplifierait, portée par davantage de revenus et par une baisse du taux d'épargne. Un restockage interviendrait progressivement, supportant la croissance. Importations et exportations iraient de pair, signe d'une évolution plus synchrone des demandes intérieure et extérieure. En 1994 et 1995, les soldes extérieurs se tasseraient un peu à cause des mouvements de prix, mais l'excédent resterait confortable. Le chômage serait un peu réduit et l'inflation ne s'accélérerait guère. Le déficit public pourra être contenu sans coupe importante dans les dépenses grâce aux recettes de privatisation, mais les déficits sociaux ne pourront l'être sans prélèvements supplémentaires.
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Sterdyniak, Henri, and Jérôme Creel. "Les déficits publics en Europe. Causes, conséquences ou remèdes à la crise ?" Revue économique 46, no. 3 (May 1, 1995): 645–56. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1995.46n3.0645.

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Résumé La thèse selon laquelle la hausse des déficits et des dettes publics serait la cause essentielle du niveau élevé des taux d'intérêt réels n'a pas de sens dans la situation de demande insuffisante qu'a connue l'Europe depuis 1981. Cette hausse est apparue nécessaire pour soutenir l'activité et l'accumulation du capital, dans une situation où, du fait de la libéralisation financière, de la non-coordination des politiques monétaires, de l'indépendance des Banques centrales et des contraintes du SME, les États avaient perdu la maîtrise des taux d'intérêt. Retrou­ver cette maîtrise est l'enjeu crucial pour diminuer les taux d'intérêt réels, relancer la croissance, et donc réduire les dettes publiques.
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Eber, Nicolas. "Efficience du système bancaire, structure du marché de crédit et activité économique." Revue économique 51, no. 6 (November 1, 2000): 1333–53. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n6.1333.

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Résumé Les systèmes financiers allemand et japonais, « orientés banque », sont caractérisés par la domination d'un petit nombre de grandes banques. Malgré la forte concentration du marché bancaire, il est souvent défendu que ces systèmes financiers sont efficaces et bénéfiques à l'activité économique. L'objet de cet article est d'expliquer pourquoi un secteur bancaire fortement concentré n'est pas incompatible avec des niveaux élevés d'investissement et d'activité. Pour cela, nous partons d'une version simplifiée du modèle de concurrence bancaire spatiale proposé par Sussman [1993]. Nous montrons qu'un système bancaire plus efficient accroît simultanément la concentration du marché de crédit et le niveau de l'activité économique. De plus, un système bancaire efficient rend l'économie moins sensible aux chocs réels et monétaires. Notre modèle met donc en évidence le rôle de la structure du marché bancaire dans la propagation des chocs macroéconomiques.
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Salaün de Kertanguy, Hélène, and Anne Andronikof. "Reaction to Tragic Loss of Sociocultural Environment in the Adivasi Tribes: A Rorschach Study 1A preliminary version of this study was presented orally at the XVI International Congress of Rorschach and Projective Methods (Amsterdam, July 1999)." Rorschachiana 26, no. 1 (January 2004): 11–25. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.26.1.11.

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Ce travail a son origine dans la question posée du devenir des peuples traditionnels dans le contexte du changement culturel accéléré par les processus de modernité des sociétés occidentalisées et industrielles. L'étude présentée prolonge une longue recherche psychosociologique et ethnoclinique menée auprès de peuples arctiques: Inuit du Groenland, Esquimaux de Sibérie orientale et Tchouktches (expéditions scientifiques de Jean Malaurie de 1950 à nos jours). Elle a été réalisée auprès de tribus Adivasi du sud de l'Inde et doit se poursuivre chez des peuples nomades et semi-nomades d'Asie centrale. Le questionnement est double: Premièrement, le test de Rorschach est-il transférable Í d'autres cultures que celles, industrialisées et occidentalisées, où il a été inventé? Deuxièmement, le test de Rorschach en Système Intégré peut-il être questionné comme outil d'aide à la prédiction des processus comportementaux, cognitifs et affectifs de sujets confrontés à des situations de mouvances culturelles, sociales et économiques inattendues ou forcées? Le contenu de cet article est une réponse à ce questionnement. Les auteurs présentent les résultats obtenus au test de Rorschach de peuples traditionnels, tribus Adivasi du sud de l'Inde, soumis Í de profondes transformations de leur milieu environnant. Le contrôle exagéré des affects et l'attitude de distanciation, freinant l'expression ouverte et extériorisée de leur vécu personnel et relationnel, aboutissent Í une importante coartation affective et cognitive. Ce résultat a été interprété comme un signe de traumatisme psychique coûteux, comme une impossibilité à lutter face à une angoisse probablement envahissante qui témoigne de l'importance de l'impact de l'environnement: plus il y a de décalage et de déracinement avec le lieu d'origine, plus il y aurait des risques de défaillance identitaire. Mais cet état d'inhibition et de coartation des tribus permettrait aussi l'élaboration d'interrelations simplificatrices et constituerait une position d'a-conflictualité avec les Indiens non-tribus, groupe culturellement et économiquement dominant. En effet, les réponses qui s'expriment uniquement par la forme font cependant référence au réel, Í l'objectivité, ce qui serait un compromis adaptatif. Des études ont montré que l'activité fantasmatique est mobilisée par la perte et le traumatisme. Ce mode privilégié d'interaction avec l'autre, sans implication projective ni attraction sensorielle, est celui qui est utilisé par ces tribus. La situation traumatique ne semble pas pouvoir favoriser les capacités d'expression pulsionnelle ni les représentations fantasmatiques. L'auteur s'interroge également sur les aspects pathologiques des indices au Rorschach repérés dans les groupes précédemment étudiés, Inuit du Groenland, Esquimaux de Sibérie orientale et Tchouktches et particulièrement chez les tribus Adivasi de cette étude. Les données obtenues ont été envisagées comme une attitude défensive opérante et comme une nécessité de survie psychique identitaire et culturelle particulièrement nécessaires pour faire face à des circonstances déstabilisantes du nouveau milieu environnant. Ce qui pourrait alors découler de ces réflexions, c'est une conception du pathologique qui ne serait pas forcément symétrique ni applicable d'une culture à l'autre. Le pathologique pourrait avoir une autre signification que celle d'un indicateur de déviance ou de troubles divers. En conclusion, cette étude montre que l'utilisation du test de Rorschach en Système Intégré en interculturel est pertinente. L'interprétation doit cependant tenir compte des caractéristiques intrinsèques du fonctionnement psychique du sujet dans ses aptitudes Í transposer ses multiples registres perceptifs, cognitifs, imaginaires et symboliques selon les concepts théoriques de l'universalité du psychisme, dans un contexte à définir à chaque fois, et variant d'un type de culture Í l'autre selon les principes du culturalisme.
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Laffargue, Jean-Pierre. "Effets et financement d'une réduction des charges sur les bas salaires." Revue économique 51, no. 3 (May 1, 2000): 489–98. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n3.0489.

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Résumé Cet article examine comment une baisse des cotisations sociales employeurs sur le travail non qualifié peut être financée par des hausses d'autres taxes ou para-taxes, et quelles sont les conséquences pour l'économie. Quel que soit son mode de financement, l'allégement des cotisations sociales employeurs sur les bas salaires a des effets favorables sur l'emploi. La mesure qui vient au premier rang est l'imposition des bénéfices des entreprises. Un mode de financement est très bon pour l'emploi et l'activité, mais mauvais pour les salaires réels nets de taxes : la hausse des cotisations sociales employeurs sur les qualifiés. Une augmentation de l'imposition de la FBCF productive est meilleure pour les salaires des qualifiés, moins bonne pour l'activité et a un effet voisin sur l'emploi. La cotisation à la valeur ajoutée et la taxation de la consommation donnent des résultats légèrement inférieurs. Cependant, le choix du mode de financement a des effets relativement secondaires à côté de l'important gain d'emplois que génère la baisse des charges patronales sur le travail non qualifié.
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Fagnart, Jean-François, and Marc Germain. "Macroéconomie du court terme et politique climatique: quelques leçons d'un modèle d'offre et demande globales." Recherches économiques de Louvain 80, no. 1 (2014): 31–60. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800002025.

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RésuméNous introduisons le concept d'empreinte carbone dans un modèle d'offre globale et demande globale avec formation imparfaitement concurrentielle des prix et salaires et en examinons les propriétés de l'équilibre en présence d'une politique climatique. Nous étudions deux instruments possibles de cette politique, une taxe carbone ou un quota de permis de pollution. Nous montrons qu'à court terme, la politique climatique (ou son durcissement) constitue à la fois un choc d'offre globale négatif et, ceteris paribus, un choc de demande globale positif. Elle provoque donc des effets inflationnistes mais a un impact ambigu sur l'activité économique, l'emploi et le chômage. Ce n'est que dans une économie avec des ridigités nominales suffisantes que la politique climatique stimulera -sous certaines conditions- l'activité à court terme. Dans tous les cas de figure, elle pèsera négativement sur les salaires réels.Nous étudions encore les interactions entre la politique climatique et les politiques macroéconomiques traditionnelles de demande (stimulus budgétaire ou monétaire) et d'offre (baisse des cotisations sociales). Les effets multiplicateurs de ces politiques sont influencés par l'existence d'une politique climatique et diffèrent selon l'intrument choisi (taxe ou permis).Nous montrons les conditions sous lesquelles une réforme combinant durcissement de la politique climatique et baisse des cotisations sociales sur le travail peut atteindre le double objectif de réduire l'empreinte carbone de l'économie et le chômage, sans pénaliser les salaires réels des travailleurs. Une telle politique a toutefois des effets incertains sur le solde des finances publiques.
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Rifflart, Christine. "Royaume-Uni : d'une récession à l'autre." Revue de l'OFCE 39, no. 1 (January 1, 1992): 151–93. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1992.39n1.0151.

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Résumé Au troisième trimestre 1990, l'économie britannique entrait en récession. Un an plus tard, le PIB se redressait légèrement en raison de la seule production énergétique. Sur l'ensemble de la période, il a reculé de 3,3 %. La majeure partie de l'ajustement nécessaire pour ramener le Royaume-Uni vers une situation économique gérable semble avoir été réalisé, les déséquilibres accumulés entre 1988 et 1990 ayant perdu leur caractère insupportable. L'inflation a été ramenée de 10 % en rythme annuel à la veille du mini-choc pétrolier à 4,5 % au cours des derniers mois de 1991, et le déficit courant s'est réduit sensiblement. Après onze années de gestion Thatchérienne, empreintes de libéralisme économique et d'un monétarisme plutôt pragmatique, les rigidités structurelles de l'appareil productif n'ont pas été enrayées. Le retournement conjoncturel reste plus violent et les tensions inflationnistes plus fortes qu'ailleurs. Pourtant, la rupture avec les anciennes pratiques de gestion conjoncturelle de l'activité, le retour aux lois du marché, et l'établissement de la Stratégie financière à moyen terme auraient dû permettre selon les autorités de casser les anticipations inflationnistes et de restructurer l'appareil productif, d'autant que le relâchement des contraintes externe et budgétaire était assuré jusqu'en 1985 par l'atout pétrolier. Après la récession de 1980-1981 les entreprises, surtout manufacturières, enregistrent des gains de productivité élevés et réalisent des profits substantiels, alors que le marché de l'emploi reste déprimé et la demande modérée. Ce n'est véritablement qu'après le contre-choc pétrolier que l'activité britannique s'accélère. La demande devient de plus en plus vive, stimulée dans un premier temps par les revenus réels en croissance rapide des ménages. Dans un second temps, elle est fondée sur l'endettement croissant des agents privés permis par la déréglementation excessive des marchés financiers et favorisé par l'optimisme régnant. Devant la vigueur de la demande et les facilités de financement, les entreprises investissent massivement, surtout dans le secteur tertiaire. Mais dès 1988, la situation financière se dégrade sous l'effet de l'épuisement des gains de productivité et de l'accélération des hausses de salaires, alors que le poids des charges financières s'alourdit. L'inflation salariale, alimentée par les anticipations inflationnistes élevées, se fait plus aiguë alors que les excès de l'endettement passé apparaissent avec la hausse des taux d'intérêt. L'ajustement obligé des entreprises mettra en avant les déséquilibres financiers des ménages quelques trimestres plus tard, avec la baisse de l'emploi et donc des revenus. Au boom de la consommation et de l'investissement succèdent les difficultés financières des agents privés. La récession semble avoir réduit les déséquilibres conjoncturels mais les tentatives de réduction des anticipations inflationnistes menées tout au long de la décennie quatre-vingt ont échoué. Le dernier espoir de leur ralentissement repose sur l'entrée de la livre dans le SME. Dans ces conditions, la croissance de l'activité en 1992 ne pourra qu'être lente, car hypothéquée par les séquelles de l'ajustement récent, confrontée à un environnement international morose jusqu'au deuxième semestre 1992, et contrainte désormais par les obligations monétaires de l'intégration européenne.
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Hirsch, Edouard, and Philippe Derambure. "Des pionniers de l'EEG au traitement du signal: Application à l'exploration des épilepsies de l'enfant." Epileptic Disorders 3, SP2 (December 2001). http://dx.doi.org/10.1684/j.1950-6945.2001.tb00417.x.

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RÉSUMÉ L'électroencéphalographie est un examen irremplaçable pour l'exploration d'une épilepsie. Il reste la seule façon d'explorer en temps réel l'activité corticale. La classification des épilepsies est basée sur les corrélations électrocliniques et les anomalies électroencéphalographiques sont des éléments importants à prendre en compte pour établir le diagnostic d'un syndrome épileptique. Cet article se propose de revenir sur l'histoire de l'électroencéphalographie et de montrer comment le passage à l'EEG numérisé a permis de développer des outils très simples de traitement du signal qui sont maintenant intégrés à l'EEG de routine. Certaines méthodes sont présentées afin d'illustrer les applications potentielles aux épilepsies de l'enfant.
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"Croissance : le secret perdu ?" Revue de l'OFCE 46, no. 4 (September 1, 1993): 99–173. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.46n1.0099.

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Abstract:
Résumé Depuis 1990, la croissance des pays industrialisés est redevenue insuffisante pour contenir la montée du chômage. La reprise annoncée pour 1992 ne s'est guère produite, sauf aux Etats-Unis. Faut-il la prévoir pour 1993 et 1994 ? La remontée du dollar, induite par la diminution du différentiel des taux d'intérêt américain et allemand, devrait freiner l'activité américaine, mais favoriserait la croissance en Europe ; le Japon mène une politique budgétaire et monétaire stimulante ; les taux d'intérêt baissent en Europe tandis que le Royaume-Uni et l'Italie devraient bénéficier du coup de fouet que leur forte dépréciation donnerait à leur commerce extérieur. L'inflation reste contenue tandis que les prix du pétrole et des matières premières sont stables ou diminuent. En sens inverse, une forte reprise de l'investissement est difficile à envisager en raison d'importantes marges de capacités disponibles. La baisse des taux d'intérêts nominaux laisse des taux réels élevés. La consommation des ménages est peu vigoureuse. De nombreux pays mettent en œuvre des politiques budgétaires restrictives. A moyen terme (1994-2000), la croissance moyenne des pays de l'OCDE serait de 2,4 % ; les Etats-Unis, entravés par leurs problèmes budgétaires et une faible productivité, connaîtraient une croissance de 2,2 % ; le Japon ne sortirait que lentement de ses difficultés actuelles (3,3 % de croissance en moyenne). En Europe, l'Allemagne de l'Ouest retrouverait une croissance proche de sa croissance potentielle (2,4 %) ; la croissance de l'Allemagne réunifiée serait alors de 3 % ; le Royaume- Uni bénéficierait d'une certaine reprise après une récession profonde (2,2 % de croissance) ; la croissance française serait de 2,2 %, tandis que l'Italie, freinée par une politique budgétaire rigoureuse, aurait une croissancède 1,9 ?/dpa croissance díTřeste dé la CE sëraifde 2,1 %. Après une baisse de 0,3 % en 1991 et une hausse de 0,3 % en 1992, le PIB mondial augmenterait de 1,6 % en 1993 puis de 3,3 % de 1994 à 2000, ceci reflétant l'essor des NPI et de l'Asie peuplée (Inde et Chine). La croissance des pays de l'Est serait soutenue, mais leur production serait en 2000 inférieure de près de 15 % à son niveau de 1989. La croissance de l'OCDE reste relativement médiocre. La politique économique hésite entre le souci de soutenir la croissance et celui de rétablir les grands équilibres. Après avoir toléré le creusement des défi- cits budgétaires de 1991 à 1993, de nombreux pays mettent en œuvre des politiques de freinage des dépenses publiques et de hausses d'impôts qui brident la croissance. Les taux d'intérêt nominaux sont bas car la croissance et l'inflation sont modérées, mais les taux d'intérêt réels restent élevés comparés au taux de croissance. La consommation des ménages est bridée par la modération salariale et le chômage. Les entreprises se heurtent à la faible croissance de la demande. Les pays européens qui pâtissent d'un fort chômage hésitent pour la plupart à s'engager dans des politiques de dévaluation et de blocage des salaires qui pourraient rétablir leur compétitivité, mais porteraient un rude coup à la construction européenne. Les mesures qui pourraient relancer l'économie mondiale (forte baisse des taux d'intérêt, apports massifs de capitaux au Sud et à l'Est, impulsion budgétaire concertée) ne font pas l'unanimité, ni parmi les gouvernements, ni parmi les économistes. Le secret de la croissance semble perdu.

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