Journal articles on the topic 'Qualité nutritionnelle du fruit'

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Kinsou, Eliane, Abdou Madjid Amoussa, Armel Clément Goudjo Mensah, Julien Koffi Kpinkoun, Françoise Assogba Komlan, Hyacinte Ahissou, Latifou Lagnika, and Christophe Bernard Gandonou. "Effet de la salinité sur la floraison, la fructification et la qualité nutritionnelle des fruits du cultivar local Akikon de tomate (Lycopersicon esculentum Mill.) du Bénin." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 2 (June 23, 2021): 737–49. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i2.27.

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Abstract:
La tomate est l’un des légumes les plus consommés au monde et au Bénin. Il est largement établi que la salinité agit négativement sur la germination et la croissance et modifie considérablement la concentration des composés bioactives des légumes. Au Bénin, la tomate est cultivée partiellement sur les terres cultivables des régions côtières où la salinité du sol et de l’eau d’irrigation est une réalité. Cette étude visait à évaluer l’effet de la salinité sur la floraison, la fructification et la composition nutritionnelle des fruits de tomate du cultivar local Akikon. Les plantes de trois semaines ont été arrosées jusqu’à la maturité des fruits avec diverses concentrations de NaCl de 0, 30, 60 et 120 mM. La date d’apparition des premières fleurs, la date de maturation des fruits ainsi que les teneurs en protéines des fruits n’ont pas été significativement affectées par la salinité alors que le nombre de fruits par plante, le poids des fruits, les teneurs en sucres solubles totaux et en sucres réducteurs subissent une réduction significative sous l’effet du NaCl. Par contre, les teneurs en lycopène, en vitamines B6, B12 et C ont connu une augmentation significative avec l’augmentation de la concentration de NaCl. La salinité a donc réduit la production de tomate et amélioré la qualité nutritionnelle des fruits en augmentant notamment ses teneurs en vitamines et en lycopène.Mots clés: Salinité, teneur en nutriments, sucres, lycopène, vitamines. English title:Effect of salt stress on flowering, fructification and fruit nutritional quality of Benin local tomato (Lycopersicon esculentum Mill.) cultivar AkikonTomato (Lycopersicon esculentum) is one of the most important consumable vegetable in the world and in Benin. It is widely established that salinity acts negatively on germination and growth and considerably modifies the concentration of bioactive compounds in vegetables. In Benin, tomato is partially cultivated on arable lands in coastal regions where soil and irrigation water salinity is a reality. This study investigated the impact of salinity on flowering, fructification, and fruit nutrient contents of a local cultivar of tomato Akikon. Three weeks old plants were irrigated with four NaCl concentrations: 0; 30; 60 and 120 mM NaCl till fruit ripening. The date of first flower appearance, the date of fruit ripening and fruit protein content were not affected by salinity; whereas fruit number, fruit fresh mass, fruit soluble sugars and reducing sugars contents were significantly decreased by increasing salinity. Moreover, lycopen and vitamins B6, B12 and C contents increased significantly when salinity concentration increased. Thus, salinity reduced tomato productivity but improved fruit nutritional quality by mainly increasing vitamins and lycopen contents.Keywords: Salinity, nutrients content, lycopen, sugars, vitamins.
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Navarro, J. "Qualité nutritionnelle et sécurité alimentaire." Archives de Pédiatrie 7 (May 2000): 201s—202s. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(00)80038-x.

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BLEUKX, W. "Production et qualité nutritionnelle des phosphates alimentaires." INRAE Productions Animales 18, no. 3 (July 15, 2005): 169–73. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.3.3521.

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Abstract:
La consommation des phosphates alimentaires dans l’Union Européenne a diminué depuis la fin de 2001 suite à la baisse de la production d’aliments composés ; à la prise en compte de marges de sécurité plus faibles en formulation et des normes d’apport alimentaire réduites en phosphore, et d’une utilisation croissante de la phytase. Face à cette situation, la réponse de l’industrie des phosphates alimentaires devrait être centrée sur la qualité nutritionnelle des produits. Les phosphates alimentaires de haute qualité sont caractérisés par des propriétés physico-chimiques stables et précises, par une bonne solubilité du phosphore et par une teneur aussi basse que possible en substances indésirables. Ces phosphates sont en outre caractérisés par une digestibilité élevée du phosphore réduisant au minimum le phosphore excrété dans l’environnement sans mettre en danger la santé, la production et le bien-être des animaux. En outre, seules les sociétés disposant d’une certification de garantie de qualité et de systèmes de traçabilité mis en application peuvent assurer une production de phosphates alimentaires de haute qualité, assurant la sécurité de l’alimentation animale. De cette façon, les phosphates alimentaires contribuent à apporter la qualité «de l’étable à la table» dans l’Union Européenne.
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LEFIER, D., R. GRAPPIN, G. GROSCLAUDE, and G. CURTAT. "Qualité gustative et nutritionnelle des gruyères hyposodés." Le Lait 67, no. 4 (1987): 451–63. http://dx.doi.org/10.1051/lait:1987427.

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5

Gaudichon, C., C. Bos, F. Mariotti, R. Ntounda, S. Daré, C. Luengo, R. Benamouzig, and D. Tomé. "Qualité nutritionnelle des protéines de colza chezl’homme." Cahiers de Nutrition et de Diététique 39, no. 1 (February 2004): 79. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(04)94423-9.

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Yagoubi-Benatallah, Lynda, Djamel-Eddine Mekhancha, Corinne Colette Dahel-Mekhancha, Brahim Badaoui, and Lahcène Nezzal. "Qualité nutritionnelle de la restauration scolaire en Algérie." Cahiers de Nutrition et de Diététique 51, no. 6 (December 2016): 315–21. http://dx.doi.org/10.1016/j.cnd.2016.09.004.

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Julia, C., M. Touvier, C. Méjean, P. Ducrot, S. Péneau, S. Hercberg, and E. Kesse-Guyot. "P220: Score de qualité nutritionnelle des aliments (score FSA) et qualité nutritionnelle globale de l’alimentation : validation dans l’étude NutriNet-Santé." Nutrition Clinique et Métabolisme 28 (December 2014): S183—S184. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(14)70862-3.

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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Turon, Fabrice, Pierre Villeneuve, and Michel Pina. "Amélioration de la qualité nutritionnelle des huiles de poissons." Oléagineux, Corps gras, Lipides 11, no. 2 (March 2004): 146–49. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2004.0146.

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Médale, Françoise. "Pratiques d’élevage et qualité nutritionnelle des lipides des poissons." Oléagineux, Corps gras, Lipides 17, no. 1 (January 2010): 47–51. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2010.0288.

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Médale, Françoise. "Pratiques d’élevage et qualité nutritionnelle des lipides des poissons." Cahiers de Nutrition et de Diététique 45, no. 5 (November 2010): 267–73. http://dx.doi.org/10.1016/j.cnd.2010.06.005.

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KOUBA, M. "Qualité des produits biologiques d’origine animale." INRAE Productions Animales 15, no. 3 (June 15, 2002): 161–69. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.3.3698.

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Abstract:
L’appellation biologique pour un produit garantit un mode de production selon la réglementation spécifique à l’agriculture biologique. Il existe en effet un Règlement Européen pour les Productions Animales Biologiques, appelé REPAB, dont l’application dans le droit français (en date du 24 août 2000) a fait l’objet de contraintes supplémentaires : c’est le CC REPAB F. Il existe une forte demande en produits biologiques dans les pays industrialisés. Il est par conséquent important de considérer à la fois les qualités nutritionnelle, organoleptique et hygiénique de ces produits. Cependant, une réelle comparaison avec des produits conventionnels est difficile car, par exemple, les techniques d’élevage biologique peuvent être différentes entre elles, et notamment utiliser des races différentes. Il existe peu de données publiées exploitables, et il n’y a pas de résultat montrant une réelle différence entre les produits animaux biologiques et les produits animaux conventionnels, en termes de qualités organoleptique et nutritionnelle. Les produits biologiques ont de plus faibles teneurs en résidus de substances vétérinaires médicamenteuses et de pesticides. L’appellation biologique donne également aux consommateurs l’assurance que les aliments n’ont pas été soumis à l’ionisation et l’utilisation des OGM est bannie dans le cadre de la réglementation de l’agriculture biologique. Mais l’agriculture biologique conduirait à un risque accru de contamination des produits d’origine animale par les microorganismes présents chez les animaux et dans leurs déjections. En résumé, selon les critères, les produits biologiques ont de moins bons ou de meilleurs résultats que les produits conventionnels.
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ANDRIEU, J., Y. BARRIÈRE, and C. DEMARQUILLY. "Digestibilité et valeur énergétique des ensilages de maïs : le point sur les méthodes de prévision au laboratoire." INRAE Productions Animales 12, no. 5 (December 1, 1999): 391–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.5.3900.

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Abstract:
Ce texte a pour objectif de faire le point sur les méthodes actuellement disponibles en France pour évaluer au laboratoire la qualité nutritionnelle du maïs fourrage, tant sur le plan du rationnement que sur celui de la sélection. Pour évaluer, dans le cadre du rationnement, la valeur énergétique de la plante entière, les équations proposées à Nantes en 1996 par l’INRA-Theix et faisant intervenir la digestibilité enzymatique de la plante entière et sa teneur en matières azotées, sont les plus performantes actuellement, mais n’expliquent que 50 % de la variation totale de la digestibilité "in vivo" de la plante entière. La relation très étroite entre la digestibilité"in vivo" de la plante entière et sa teneur en parois indigestibles met en lumière l’importance de la qualité des parois dont l’évaluation au laboratoire, à partir de plusieurs critères (DINAG et DEPAR), est décrite. Moins précis que la digestibilité enzymatique de la plante entière pour prévoir sa digestibilité, ces nouveaux critères sont par contre intéressants notamment en sélection pour caractériser la qualité nutritionnelle des parois. Par ailleurs leur intérêt pour évaluer l’ingestibilité de l’ensilage de maïs est en cours d’étude à l’INRA.
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BOURDREZ, Valentine, and Sghaier CHRIKI. "Qualités nutritionnelle, organoleptique et disposition à payer pour les alternatives à la viande : cas des analogues végétaux, de la « viande in vitro » et des insectes." INRAE Productions Animales 35, no. 3 (December 15, 2022): 217–36. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.3.7265.

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Abstract:
Développer les alternatives à la viande est présenté comme une solution pour renforcer la durabilité de l’alimentation tout en apportant des sources de nutriments indispensables (protéines, micronutriments…), notamment pour des régimes végétariens, végans voire flexitariens. Cela peut aussi permettre une diversification du marché de l’agroalimentaire par une plus grande offre de produits aux consommateurs. Mais d’un point de vue nutritionnel, la digestibilité de certains nutriments reste mal connue, et les process pour reproduire les mêmes qualités organoleptiques que la viande sont en cours de développement. Par ailleurs, d’un point de vue économique, le consentement à payer par le consommateur dépend de plusieurs facteurs. Cet article fait le point sur les travaux menés au niveau mondial, entre 1997 et 2021, portant sur trois alternatives, les analogues végétaux, la « viande in vitro » et les insectes. Les indicateurs suivants sont décrits : i) la qualité nutritionnelle (teneur en protéines et leur digestibilité, quantité de graisses et proportion d’acides insaturés, quantité et biodisponibilité du fer et de la vitamine B12), ii) les qualités organoleptiques, et iii) la disposition à payer. Pour les analogues végétaux, une amélioration de de la qualité nutritionnelle (notamment en fer héminique et vitamine B12) et sensorielle est nécessaire pour séduire une partie de la population fortement attachée à la viande, ainsi que les consommateurs atteints de néophobie alimentaire et/ou technologique. Pour la « viande in vitro », en plus de l’amélioration de sa qualité nutritionnelle, son prix est encore inaccessible au grand public. Enfin, l’incorporation des insectes en tant qu’ingrédients semble plus intéressante pour les consommateurs occidentaux, moins habitués à la consommation des insectes entiers.
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Julia, Chantal, Mathilde Touvier, Pilar Galan, and Serge Hercberg. "Le Nutri-Score, un étiquetage nutritionnel s’appuyant sur des bases scientifiques solides." Questions de santé publique, no. 42 (June 2021): 1. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2021042.

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Abstract:
La France a adopté officiellement en 2017 un logo d’information nutritionnelle apposé sur la face avant des emballages : le Nutri-Score. Depuis, il a été adopté dans plusieurs pays européens, et fait partie des options avancées pour un logo harmonisé dans l’ensemble des pays de l’Union Européenne. Appliqué de façon volontaire par les entreprises de l’agro-alimentaire, il apporte une information simplifiée aux consommateurs sur la qualité nutritionnelle des produits, à partir des éléments de la déclaration nutritionnelle et de la liste des ingrédients. Ce nouveau numéro de Questions de Santé Publique revient sur la construction, le développement et l’implémentation du Nutri-Score en France, ainsi que sur la manière dont il participe à améliorer les choix alimentaires des consommateurs en situation d’achat, et comment, à l’avenir, il pourrait participer à la prévention des maladies chroniques liées à la nutrition.
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Bernard, Guy-Grand. "Comment peut-on améliorer la qualité nutritionnelle des graisses animales ?" Oléagineux, Corps gras, Lipides 17, no. 1 (January 2010): 16. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2010.0295.

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Vieux, F., L. G. Soler, D. Touazi, M. Supkova, S. Martin, and N. Darmon. "O60 Impact carbone et qualité nutritionnelle de l’alimentation en France." Cahiers de Nutrition et de Diététique 46 (December 2011): S49—S50. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(11)70081-5.

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Zee, J. A., R. Breton, L. Lacroix, and L. Savoie. "La Qualité Nutritionnelle Du Pollen À L'état Naturel Et Transformé." Canadian Institute of Food Science and Technology Journal 22, no. 4 (October 1989): 408. http://dx.doi.org/10.1016/s0315-5463(89)70483-1.

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Vieux, F., L. G. Soler, D. Touazi, M. Supkova, S. Martin, and N. Darmon. "O60 Impact carbone et qualité nutritionnelle de l’alimentation en France." Nutrition Clinique et Métabolisme 25 (December 2011): S49—S50. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(11)70064-4.

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François, Jérôme, and Marie-Laure Mourre. "L’industrie agro-alimentaire et la question nutritionnelle." Décisions Marketing N° 61, no. 1 (January 1, 2011): 77–79. http://dx.doi.org/10.3917/dm.061.0077.

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Abstract:
Souvent dénoncées comme responsables de l’augmentation de l’obésité et des maladies cardio-vasculaires, voire des crises alimentaires, les entreprises agro-alimentaires doivent faire face à un impératif de qualité nutritionnelle dicté aussi bien par les pouvoirs institutionnels que par l’opinion publique. Les grands acteurs industriels ont fait des choix stratégiques allant d’un positionnement santé très affirmé (« Apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre » pour Danone) jusqu’à l’affirmation d’un hédonisme revendiqué (« Make today delicious » pour Kraft Foods). Jérôme François nous explique comment Nestlé offre une voie intermédiaire en reconnaissant les bienfaits de la diversité de l’alimentation, la compatibilité du plaisir et de la nutrition et en attachant une importance particulière à l’éducation nutritionnelle des consommateurs .
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LEBRET, B., S. PRACHE, C. BERRI, F. LEFÈVRE, D. BAUCHART, B. PICARD, G. CORRAZE, F. MÉDALE, J. FAURE, and H. ALAMI-DURANTE. "Qualités des viandes : influences des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d'élevage." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3022.

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Abstract:
Cette synthèse présente l’influence des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d’élevage sur les qualités des viandes et des chairs des principales espèces animales d’élevage (porc, bovins, ovins, poulets, poissons). Les dimensions intrinsèques (composition des carcasses, qualités sensorielle, nutritionnelle et technologique) et extrinsèques (interactions entre productions animales et environnement, bien-être des animaux, origine des produits, authenticité des pratiques de production…) de la qualité des produits sont considérées. Dans toutes les espèces, le type génétique et la conduite alimentaire sont les principaux déterminants de la composition des carcasses. La nature de l’alimentation des animaux constitue le principal levier pour moduler la qualité nutritionnelle, toutefois le niveau d’enrichissement des viandes et chairs en acides gras, minéraux ou vitamines favorables à la santé humaine varie selon les espèces. Pour une espèce donnée, les caractéristiques des animaux, leurs conditions d’élevage et d’abattage interagissent pour déterminer les propriétés (teneurs en lipides, glycogène, myoglobine…) et le métabolisme péri et post-mortem des muscles, et consécutivement la qualité sensorielle des viandes ou chairs et de leurs produits. A l’inverse, la qualité technologique, composante importante dans les filières porc, poulet et poisson résulte essentiellement du type génétique et des conditions d’abattage des animaux et de transformation des viandes. Dans les différentes filières animales, les qualités extrinsèques des produits font partie intégrante de certaines démarches collectives ou privées et sont garanties aux consommateurs au travers des signes officiels de qualité. Elles visent à améliorer les interactions favorables entre les productions animales et l’environnement et/ou le bien-être des animaux, garantir l’origine des produits et/ou valoriser l’authenticité des méthodes de production et de transformation. Différents exemples sont développés pour illustrer la prise en compte par les acteurs des filières de cette demande croissante des consommateurs et plus largement des citoyens envers leur alimentation.
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MOUROT, J., and B. LEBRET. "Modulation de la qualité de la viande de porc par l’alimentation." INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009): 33–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3330.

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Abstract:
Parmi les facteurs d’élevage influençant la qualité de la viande chez le porc, l’alimentation joue un rôle central. Le niveau et le profil de distribution de la ration (restriction puis réalimentation) influencent la vitesse et la composition du gain de poids (protéines/lipides) aux niveaux corporel et tissulaire, et, donc, la composition de la carcasse et des tissus. La qualité sensorielle de la viande peut être ainsi modifiée, notamment via la teneur en lipides intramusculaires. L’équilibre entre les principaux nutriments, notamment les protéines et l’énergie de la ration, conditionnent également la vitesse et la nature des dépôts tissulaires, pouvant ainsi affecter la qualité sensorielle des viandes. La nutrition constitue un puissant levier pour modifier le profil lipidique des viandes porcines, la teneur en acides gras (polyinsaturés n-3 notamment), et par suite leur valeur nutritionnelle.
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Garcí-Linares, MC, E. Gonzales-Fandos, MC Garcí-Fernández, and MT Garcí-Arias. "Qualité microbiologique et nutritionnelle du poisson conservé sous vide et réfrigéré." Sciences des Aliments 26, no. 2 (April 28, 2006): 142–50. http://dx.doi.org/10.3166/sda.26.142-150.

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24

Maillot, Matthieu, Nicole Darmon, Adam Drewnowski, Nathalie Arnault, and Serge Hercberg. "Le coût et la qualité nutritionnelle des groupes d’aliments: quelle hiérarchie?" Cahiers de Nutrition et de Diététique 41, no. 2 (April 2006): 87–96. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(06)70612-5.

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Guillevic, M., G. Chesneau, E. Bordais, and N. Kerhoas. "P001 Tous les systèmes d’élevages garantissent-ils une qualité nutritionnelle régulière ?" Cahiers de Nutrition et de Diététique 48 (December 2013): S57. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(13)70360-2.

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Guillevic, M., G. Chesneau, E. Bordais, and N. Kerhoas. "P001 Tous les systèmes d’élevages garantissent-ils une qualité nutritionnelle régulière ?" Nutrition Clinique et Métabolisme 27 (December 2013): S57. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(13)70334-0.

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Kouakou, N’Goran David Vincent, Kouadio Frédéric Koffi, Cho Euphrasie Monique Angbo-Kouakou, Gningnini Alain Koné, Gouha Firmin Kouassi, Kouakou Ernest Amoikon, and Maryline Kouba. "Enrichissement en acides gras polyinsaturés oméga-3 du jaune d’œuf de cailles (Coturnix coturnix japonica) par les graines d’euphorbe (Euphorbia heterophylla)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 3 (March 15, 2018): 99. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31523.

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Abstract:
L’alimentation des cailles (Coturnix coturnix japonica) dans les fermes ivoiriennes est basée principalement sur les aliments commerciaux de poules pondeuses. Cependant, cette pratique pourrait nuire à la qualité nutritionnelle des œufs. L’objectif de cette étude était de déterminer l’impact de cet aliment (régime témoin) ou de sa supplémentation avec 5 % de graines d’euphorbe (Euphorbia heterophylla) (régime R5) sur le profil en acides gras des jaunes d’œufs de 30 cailles de 172 ± 2 g durant 15 jours. Les résultats ont montré que le régime R5 ne modifiait pas les teneurs en acides gras saturés, en acides gras mono-insaturés et en acides gras polyinsaturés oméga-6 (AGPI n-6) (p > 0,05). Cependant, il a induit une amélioration de la teneur en acides gras polyinsaturés oméga-3 (AGPI n-3) (p < 0,05) qui était cinq fois plus élevée que celle du régime témoin. Les proportions des acides gras C18:3 n-3, C20:5 n-3 et C22:6 n-3 des jaunes d’œufs issus de R5 ont été multipliées respectivement par 17, 11 et 3. Par ailleurs, le rapport AGPI n-6 / AGPI n-3 était inférieur à 4. Ainsi, l’incorporation de 5 % de graines d’euphorbe dans l’aliment commercial de poules pondeuses a permis d’améliorer la qualité nutritionnelle des œufs de cailles.
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Letoile, F., V. Nichèle, N. Darmon, and F. Caillavet. "O36 Évolution de la qualité nutritionnelle de l’alimentation en France (1996-2007)." Cahiers de Nutrition et de Diététique 48 (December 2013): S41—S42. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(13)70334-1.

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Letoile, F., V. Nichèle, N. Darmon, and F. Caillavet. "O36 Évolution de la qualité nutritionnelle de l’alimentation en France (1996-2007)." Nutrition Clinique et Métabolisme 27 (December 2013): S41—S42. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(13)70308-x.

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Courbet, Didier, and Marie-Pierre Fourquet-Courbet. "Usages des écrans, surpoids et obésité." Obésité 14, no. 3 (September 2019): 131–38. http://dx.doi.org/10.3166/obe-2019-0074.

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Abstract:
Les liens entre les usages et le temps d’écrans (télévision, mobile, jeux vidéo, etc.), surpoids et obésité sont bien établis dans la littérature scientifique. L’article présente les quatre principaux mécanismes impliqués : 1) l’usage des écrans incite à des prises caloriques immédiates, 2) les effets, parfois non conscients, de la publicité pour les produits de mauvaise qualité nutritionnelle, 3) la sédentarité, 4) l’usage des écrans le soir est lié à une durée de sommeil insuffisante, facteur de risque d’obésité.
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LEBRET, B., L. LEFAUCHEUR, and J. MOUROT. "La qualité de la viande de porc. Influence des facteurs d’élevage non génétiques sur les caractéristiques du tissu musculaire." INRAE Productions Animales 12, no. 1 (February 23, 1999): 11–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.1.3851.

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Abstract:
Les interactions entre le type génétique, les conditions d’élevage et les conditions d’abattage des animaux déterminent la qualité de la fraction maigre des viandes de porc. L’influence du type génétique, en particulier la présence des gènes majeurs Hal et RN-, ainsi que les conditions d’abattage ont des conséquences importantes et maintenant bien établies sur la qualité. Une fois ces facteurs maîtrisés, l’amélioration de la qualité des viandes nécessite la prise en compte de l’influence des facteurs d’élevage non génétiques sur les propriétés des tissus maigres, ce qui constitue l’objectif de la présente revue. Cet article présente les caractéristiques du tissu musculaire, en particulier les fibres musculaires, les lipides intramusculaires et le tissu conjonctif, puis les relations entre ces caractéristiques et les composantes organoleptique, technologique, nutritionnelle et hygiénique de la qualité. Nous décrivons ensuite les effets de différents facteurs d’élevage : âge et poids à l’abattage, type sexuel, niveau et nature de la ration alimentaire, promoteurs de croissance, température ambiante, activité physique et système d’élevage, sur les propriétés des muscles et leur incidence sur la qualité des viandes. Si certaines relations sont bien établies, comme l’effet favorable, jusqu’à 3 % environ, du taux de lipides intramusculaires sur la qualité sensorielle, l’influence des propriétés des fibres (type contractile et métabolique, diamètre) sur la qualité des viandes est moins claire. La détermination des caractéristiques musculaires favorables aux différentes composantes de la qualité, ainsi qu’une meilleure connaissance des mécanismes de différenciation et de développement des tissus conduisant à ces caractéristiques sont nécessaires, afin de pouvoir répondre aux besoins variés des transformateurs et consommateurs
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Hongbete, Franck, Janvier M. Kindossi, Joseph D. Hounhouigan, and Mathurin C. Nago. "Production et qualité nutritionnelle des épis de maïs frais bouillis consommés au Bénin." International Journal of Biological and Chemical Sciences 11, no. 5 (January 11, 2018): 2378. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v11i5.34.

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Lecerf, J.-M. "Influence du procédé de fabrication sur la qualité nutritionnelle du pain de campagne." Sciences des Aliments 28, no. 6 (December 28, 2008): 431–49. http://dx.doi.org/10.3166/sda.28.431-449.

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PRACHE, S., and D. BAUCHART. "La viande et la carcasse des agneaux : les principales qualités recherchées." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 10, 2020): 105–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3015.

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Abstract:
Bien que la consommation de viande ovine s’érode régulièrement en France depuis 25 ans, la viande d’agneau porte une forte valeur symbolique, culturelle et cultuelle. La filière française est caractérisée par une grande diversité de systèmes de production et de races auxquelles correspondent différents modes d’élevage et d’engraissement des agneaux, avec des conséquences importantes sur la qualité sensorielle et nutritionnelle des carcasses et des viandes. L’objectif de cet article est de faire le point sur les principales qualités demandées à la viande ovine et de présenter les questions de recherches majeures.
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Marques-Vidal, Pedro, Gérard Waeber, and Peter Vollenweider. "CoLaus: l’alimentation, la grande oubliée dans la prévention des maladies cardiovasculaires." Praxis 109, no. 1 (January 2020): 31–34. http://dx.doi.org/10.1024/1661-8157/a003361.

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Abstract:
Résumé. Une alimentation adéquate est un facteur fondamental de la prévention et de la prise en charge des maladies cardiovasculaires. Cependant, les résultats de l’étude CoLaus montrent que la prise en charge nutritionnelle des facteurs de risque ou des maladies cardiovasculaires est peu implémentée. Moins d’un cinquième des participants avec une dyslipémie suit un régime hypolipémiant, et seulement la moitié des participants avec un diabète suit un régime antidiabétique. Par ailleurs, la survenue d’un infarctus du myocarde ne se traduit pas par une amélioration de la qualité de l’alimentation.
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Icard-Vernière, Christèle, Stéphanie Zoungrana, Nardis Nkoudou Ze, and Claire Mouquet-Rivier. "Le safou, un fruit atypique dans l’alimentation traditionnelle au Cameroun." Cahiers Agricultures 32 (2023): 21. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2023013.

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Abstract:
Dans un contexte de réflexion internationale sur les systèmes alimentaires, de valorisation des connaissances autochtones et de reconnaissance de l’étude des « faits alimentaires » comme discipline, cette étude met l’accent sur la diversité de l’alimentation traditionnelle au Cameroun et notamment sur la place du safou (Dacryodes edulis). Via de nombreux verbatims extraits de discussions dirigées, le safou apparaît comme un fruit aux vertus nutritionnelles et sensorielles appréciées, un fruit social, un fruit moyen de subsistance, un fruit emblématique d’une alimentation traditionnelle riche d’atouts pour faire face à la transition nutritionnelle.
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Benamara, S., A. Djouab, A. Boukhiar, N. Iguergaziz, and Dj Benamara. "Fruit du dattier (Phoenix dactylifera L.) : fruit ordinaire ou alimentsanté ? — Synthèse bibliographique." Phytothérapie 16, S1 (December 2018): S184—S190. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0145.

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Abstract:
Le fruit du dattier (Phoenix dactylifera L.) [FD] est pour les populations sahariennes, ce que le fruit de l’olivier est aux populations méditerranéennes, à savoir un fruit providentiel doté d’une charge culturelle, nutritionnelle et santé sans équivalent. Ce faisant, il détermine un écosystème oasien propre au Sahara. Ces dernières années, plusieurs travaux sont consacrés aux propriétés physicochimiques et médicinales du FD. Quelques auteurs évoquent aussi de multiples transformations technologiques et biologiques susceptibles d’ajouter de la valeur à ces propriétés intrinsèques, en termes de praticité et de fonctionnalités. Dans la présente communication, nous passons en revue ces potentialités, en mettant en relief, quand cela est possible, l’aspect variétal, ayant en vue la diversité phytogénétique. En parlant de fonctionnalités, nous sous-entendons les implications technologiques et physiologiques.
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LEBRET, B., and J. MOUROT. "Caractéristiques et qualité des tissus adipeux chez le porc. Facteurs de variation non génétiques." INRAE Productions Animales 11, no. 2 (July 2, 2020): 131–43. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.2.3925.

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Abstract:
En production porcine, la réduction de l’adiposité des carcasses au profit de la teneur en maigre obtenue par l’amélioration génétique et l’évolution des conditions d’élevage, a entraîné l’apparition de défauts de qualité des tissus adipeux. La qualité de ces tissus ne peut guère être améliorée par les technologies de transformation, elle dépend des caractéristiques des tissus à l’abattage, celles-ci étant déterminées par les conditions d’élevage des animaux en interaction avec leur type génétique. Les composantes nutritionnelle, organoleptique et technologique de la qualité des tissus adipeux sont fonction de leur composition chimique&nbsp;: teneurs en lipides et en eau, importance de la trame conjonctive, et de la nature des acides gras constitutifs des lipides. Ainsi, tout facteur intrinsèque ou extrinsèque à l’animal entraînant une variation de composition du tissu adipeux modifie en conséquence la qualité de ce tissu. La composition du tissu adipeux varie selon la localisation anatomique, l’adiposité globale de la carcasse et le type sexuel. Parmi les facteurs d’élevage, l’alimentation, en particulier la nature des acides gras ingérés, la supplémentation du régime alimentaire en vitamine E ou en minéraux, l’administration de promoteurs de croissance (hormone de croissance, béta-agonistes) ainsi que la température d’élevage influencent les propriétés de la fraction adipeuse de la carcasse. Les effets des facteurs d’élevage sur les caractéristiques des tissus adipeux du porc et leurs relations avec la qualité sont relativement bien établis. La maîtrise de la qualité des tissus adipeux est donc maintenant accessible, et ne dépend plus que de l’importance relative accordée à la qualité dans les coûts de production, au sein de la filière porcine.
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TRAVEL, A., Y. NYS, and E. LOPES. "Facteurs physiologiques et environnementaux influençant la production et la qualité de l’œuf." INRAE Productions Animales 23, no. 2 (April 10, 2011): 155–66. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3297.

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Abstract:
La qualité de l’œuf se révèle fortement influencée par les modifications physiologiques liées à l’âge de la poule, à une mue ou par les conditions environnementales (température, lumière et système d’élevage). Le poids de l’œuf augmente avec l’âge des poules, du fait notamment d’un accroissement de la part de jaune. L’âge de la poule réduit la qualité de la coquille ainsi que les propriétés fonctionnelles des œufs. La mue restaure, pour un cycle plus court, les performances des poules et la qualité des œufs, dégradée en fin de premier cycle. L’augmentation de la température ambiante en élevage entraîne, dès 30°C, des perturbations de l’équilibre acido-basique et une chute de la consommation d’aliment. Celles-ci réduisent la production d’œufs, leur poids et leur qualité de coquille. Les programmes lumineux mis en place avant et après l’entrée en ponte, conditionnent la courbe de ponte. L’application de nycthémères supérieurs à 24&nbsp;h ou de programmes fractionnés symétriques augmente le poids d’œuf et l’épaisseur de coquille mais les directives européennes interdisent leur usage. La qualité sensorielle, nutritionnelle ou technologique de l’œuf est faiblement affectée et de manière inconstante par le système de production, volière ou cage. Certaines cages aménagées ont initialement engendré une détérioration de l’intégrité des œufs mais des modifications de leur conception, de la disposition des aménagements et de la taille du groupe aboutissent progressivement à l’obtention de résultats comparables à ceux obtenus en cages conventionnelles.
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Tavoularis, Gabriel, and Solène Navéos. "Qualité nutritionnelle de la restauration scolaire en France en 2007 et comparaison à la qualité des repas pris hors cantine." Médecine & Nutrition 48, no. 3 (2012): 46–57. http://dx.doi.org/10.1051/mnut/201248306.

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BAÉZA, E., X. FERNANDEZ, and M. MARIE-ETANCELIN. "Qualité des carcasses et de la viande des palmipèdes gavés." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 18, 2013): 425–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3171.

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Abstract:
La viande de palmipèdes gavés se distingue de la viande de palmipèdes non gavés surtout par son enrichissement en lipides (teneur multipliée par deux) qui modifie la qualité nutritionnelle et sensorielle des produits et leur aptitude à la conservation. Toutefois, ces caractéristiques peuvent fortement varier selon l’itinéraire technique mis en oeuvre pendant les phases d’élevage et de gavage et en particulier en fonction de la composition et des modalités de distribution de l’aliment, de l’âge à la mise en gavage et de sa durée. Les étapes de pré-abattage et la technologie d’abattage et de transformation sont également importantes à considérer. Les paramètres génétiques de la qualité de la carcasse et de la viande ont surtout été étudiés chez le canard. Ces critères de qualité sont dans l’ensemble faiblement héritables. Récemment, plusieurs QTL ont été mis en évidence en particulier pour les pertes à la cuisson, le pH et la texture de la viande. La connaissance des gènes impliqués dans le contrôle de ces paramètres devrait permettre à plus ou moins long terme de les inclure dans les schémas de sélection.
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Julia, C., L. Fézeu, P. Ducrot, C. Méjean, S. Péneau, M. Touvier, S. Hercberg, and E. Kesse-Guyot. "La qualité nutritionnelle des aliments consommés est associée prospectivement au risque de syndrome métabolique." Nutrition Clinique et Métabolisme 31, no. 1 (February 2017): 57. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2016.10.065.

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Tourette, Isabelle, Samir Messad, and Bernard Faye. "Impact des pratiques de traite des éleveurs sur la qualité sanitaire du lait de chamelle en Mauritanie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 3 (March 1, 2002): 229. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9827.

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Abstract:
L’étude a eu pour objectif d’évaluer les relations entre les pratiques de traite et la qualité sanitaire du lait cru de chamelle. Elle a été menée de mai à août 2001 en Mauritanie, dans les régions du Trarza et du Brakna, à la frontière avec le Sénégal. L’amélioration de la qualité sanitaire du lait représente un enjeu commercial certain puisque les Mauritaniens sont de grands consommateurs de lait local et que la laiterie « Laitière de Mauritanie » souhaite produire du lait stérilisé longue conservation. Un échantillon des fournisseurs de la Laitière de Mauritanie a été enquêté et le lait de leurs chamelles prélevé afin de le soumettre à une série d’analyses bactériologiques : dénombrement des flores aérobie mésophile et coliforme, réduction du bleu de méthylène et test de la résazurine, et titrage de l’acidité Dornic. Les producteurs qui ont eu les moins bonnes pratiques de traite ont eu les plus mauvais résultats en termes de qualité sanitaire du lait de traite. En moyenne, le lait a été peu contaminé juste après la traite. La moyenne des dénombrements a été de 1,6 x 106 germes aérobies mésophiles/ml et de 3,5 x 104 germes coliformes/ml. La qualité sanitaire du lait acheminé du lieu de production au centre de collecte en plus de trois heures et demi s’est détériorée significativement. Le titrage de l’acidité Dornic a été indépendant des résultats des autres analyses réalisées. Cette étude a confirmé l’intérêt de mettre en place une formation des éleveurs à l’hygiène de la traite afin d’obtenir un lait de bonne qualité sanitaire, organoleptique et nutritionnelle.
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Mabossy-Mobouna, Germain. "Caractérisation et valorisation alimentaire des chenilles d’Imbrasia truncata (Aurivillius, 1908) au Congo-Brazzaville." African Journal of Tropical Entomology Research 2, no. 1 (March 10, 2023): 11–13. http://dx.doi.org/10.58697/ajter020102.

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Abstract:
Comme dans d’autres pays d’Afrique subsaharienne, le problème de la malnutrition inhérent à l’insécurité alimentaire se pose avec acuité au Congo-Brazzaville. Des nombreuses suggestions préconisent la consommation des certains aliments de récoltes tels que les chenilles. Si une information de base est à présent disponible concernant la diversité des chenilles consommées en République du Congo, nous ne disposons pas des données solides concernant leur valeur nutritive, la qualité de leur matière grasse et la valeur biologique de leurs protéines. Il est également indispensable de connaître les facteurs limitant leur consommation par la population habitant le territoire congolais. De ce fait, une meilleure connaissance de la qualité nutritionnelle des chenilles Imbrasia truncata doit être entreprise pour stimuler leur consommation par la population congolaise afin d’assurer la prévention de certaines pathologies dues aux carences nutritionnelles. L’objectif général de cette étude était de caractériser les chenilles d’Imbrasia truncata en vue de promouvoir leur consommation et d’augmenter leur valeur alimentaire dans les ménages en République du Congo, pour assurer la sécurité alimentaire de la population congolaise.
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Chaumont, S., L. Quinquis, B. Monnerie, C. Six, P. Hebel, M. Duracinsky, O. Chassany, and B. Le Nevé. "Une alimentation de moindre qualité nutritionnelle est associée à des symptômes digestifs plus fréquents affectant la qualité de vie des adultes Français." Nutrition Clinique et Métabolisme 35, no. 1 (April 2021): 58. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2021.01.079.

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Kalandi, M., A. Sow, WVH Guigma, MZ Zabre, A. Bathily, and GJ Sawadogo. "Evaluation de la qualité nutritionnelle du lait cru dans les élevages traditionnels de Kaolackau Sénégal." International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no. 2 (July 23, 2015): 901. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i2.28.

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Raynard, Bruno, and Sami Antoun. "Peut-on améliorer la qualité de vie par une prise en charge nutritionnelle en cancérologie ?" Nutrition Clinique et Métabolisme 28, no. 1 (February 2014): 65–69. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2013.11.004.

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Adriouch, S., C. Julia, E. Kesse-Guyot, C. Méjean, P. Ducrot, S. Péneau, M. Donnenfeld, et al. "Association prospective entre la qualité nutritionnelle des aliments consommés et le risque de maladies cardiovasculaires." Nutrition Clinique et Métabolisme 31, no. 1 (February 2017): 56. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2016.10.063.

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Valla, F. V., and N. Peretti. "P166 Évaluation de la qualité de l’évaluation nutritionnelle en réanimation pédiatrique : évaluation des pratiques professionnelles." Cahiers de Nutrition et de Diététique 46 (December 2011): S133. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(11)70250-4.

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Valla, F. V., and N. Peretti. "P166 Évaluation de la qualité de l’évaluation nutritionnelle en réanimation pédiatrique : évaluation des pratiques professionnelles." Nutrition Clinique et Métabolisme 25 (December 2011): S133. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(11)70233-3.

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