Journal articles on the topic 'Qualité de la carcasse'

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1

RICARD, F. H., G. MARCHE, and E. LE BIHAN-DUVAL. "Essai d’amélioration par sélection de la qualité de carcasse du poulet de chair." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 253–61. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4173.

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Abstract:
Une expérience d’amélioration de la qualité des carcasses par les techniques classiques de la sélection a été réalisée pendant 8 générations sur une lignée synthétique de poulets de chair à croissance rapide. La lignée de départ a été obtenue par croisements entre plusieurs souches commerciales et expérimentales et a ensuite été maintenue sans sélection orientée comme lignée "témoin". La lignée "qualité" était sélectionnée pour donner des poulets ayant un faible état d’engraissement et un fort développement des muscles perctoraux tout en étant aussi lourds que possible. En raison des corrélations existant entre les caractères sélectionnés, la diminution de l’engraissement a été plus longue à obtenir que l’augmentation du rendement en muscles pectoraux. Mais les résultats sont encourageants : à la huitième génération de sélection, les poulets de la lignée "qualité" étaient environ 8% plus lourds que ceux de la lignée "témoin", les dépôts gras abdominaux étaient réduits de 21% et l’ensemble des muscles pectoraux était augmenté de 11%. Comparés aux témoins, les poulets de la lignée "qualité" présentaient une meilleure conformation (angle de poitrine), un gésier un peu moins développé et une plus forte proportion des parties nobles de la carcasse (muscles grand et petits pectoraux, pilons, ailes). Les corrélations entre éléments de la carcasse, relativement homogènes à la huitième génération, ont montré que la sélection n’avait pas modifié sensiblement la structure anatomique de la carcasse.
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2

KONE YELAKAN, CLARISSE KINONTON, RENE AHUA KOFFI, and GUICHARD LOUIS BOHOUA. "Qualité Des Carcasses Et Propriétés Organoleptiques Des Viandes De Poulets De Chair (Arbor) Et De Poulettes (Warren) Nourris Avec Des Aliments Démarrages Et Croissances Reformulés." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 34, no. 2 (November 1, 2022): 524. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v34.2.4463.

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Abstract:
Ce présent travail se propose d’évaluer les effets de l’ingestion d’aliments démarrages et croissances reformulés sur la qualité des carcasses et les propriétés organoleptiques des viandes de poulets de chair Arbor et de poulettes Warren. Des études préalables ont permis de déterminer les teneurs optimales de certains intrants tels que la lysine, la choline, la méthionine, la phytase, les farines de poisson et de tourteaux de coton. Les aliments démarrages et croissances utilisés pour la présente étude sont fabriqués en utilisant les teneurs optimales obtenues. Ces aliments ainsi formulés ont été distribués à 50 poulets de chair Arbor et 50 poulettes Warren. Après 8 et 19 semaines d’expérience, un échantillon de 10 individus (poulets et poulettes) ayant atteint le poids de vente ou de ponte sont abattus. Des tests physiques et sensoriels sont réalisés sur les carcasses et les viandes de ces volailles. Les résultats obtenus lors des tests organoleptiques montrent que les viandes de notre étude ont des valeurs de tendreté, de saveur, d'arôme, de jutosité et de texture comprises entre 5 et 7.94 pour les poulets de chairs et entre 5,5 et 8 pour les poulettes. En ce qui concerne la qualité de la carcasse, les valeurs de rendement d’abattage obtenues ont été de 68,85g et 79g respectivement pour les poulets de chair et les poulettes. Le poids des carcasses est de 1120g pour les poulets de chair et de 1400g pour les poulettes avec des indices de gras respectifs de 0,09g et de 0,05g.L’étude ainsi menée indique que les viandes de poulets de chair et de poulettes sont des viandes agréables au goût et de bonne qualité physique.Mots clés —Aliment démarrage, aliment croissance, poulet de chair, poulette, carcasse, viande, qualité physique, qualité organoleptique.
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3

LEBRET, B., and J. MOUROT. "Caractéristiques et qualité des tissus adipeux chez le porc. Facteurs de variation non génétiques." INRAE Productions Animales 11, no. 2 (July 2, 2020): 131–43. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.2.3925.

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Abstract:
En production porcine, la réduction de l’adiposité des carcasses au profit de la teneur en maigre obtenue par l’amélioration génétique et l’évolution des conditions d’élevage, a entraîné l’apparition de défauts de qualité des tissus adipeux. La qualité de ces tissus ne peut guère être améliorée par les technologies de transformation, elle dépend des caractéristiques des tissus à l’abattage, celles-ci étant déterminées par les conditions d’élevage des animaux en interaction avec leur type génétique. Les composantes nutritionnelle, organoleptique et technologique de la qualité des tissus adipeux sont fonction de leur composition chimique : teneurs en lipides et en eau, importance de la trame conjonctive, et de la nature des acides gras constitutifs des lipides. Ainsi, tout facteur intrinsèque ou extrinsèque à l’animal entraînant une variation de composition du tissu adipeux modifie en conséquence la qualité de ce tissu. La composition du tissu adipeux varie selon la localisation anatomique, l’adiposité globale de la carcasse et le type sexuel. Parmi les facteurs d’élevage, l’alimentation, en particulier la nature des acides gras ingérés, la supplémentation du régime alimentaire en vitamine E ou en minéraux, l’administration de promoteurs de croissance (hormone de croissance, béta-agonistes) ainsi que la température d’élevage influencent les propriétés de la fraction adipeuse de la carcasse. Les effets des facteurs d’élevage sur les caractéristiques des tissus adipeux du porc et leurs relations avec la qualité sont relativement bien établis. La maîtrise de la qualité des tissus adipeux est donc maintenant accessible, et ne dépend plus que de l’importance relative accordée à la qualité dans les coûts de production, au sein de la filière porcine.
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4

ELLIES-OURY, M. P., Y. DURAND, A. E. DELAVIGNE, B. PICARD, D. MICOL, and R. DUMONT. "Objectivation de la notion de grain de viande et perspectives d’utilisation pour évaluer la tendreté des viandes de bovins Charolais." INRAE Productions Animales 27, no. 5 (December 12, 2014): 347–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.5.3082.

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Abstract:
L'évaluation du « grain de viande » est une appréciation subjective, utilisée par certains chevillards et bouchers pour sélectionner et orienter les carcasses, un grain extrêmement fin étant synonyme de qualité. Pour évaluer la pertinence de cette notion quatre études ont permis i) d’objectiver la notion de grain de viande par une approche ethnologique, ii) de formaliser ce savoir-faire dans une grille de notation en vif et en carcasse, iii) d’évaluer les propriétés physicochimiques des quatre muscles utilisés par les experts pour juger une carcasse, et iv) d’évaluer l’existence d’un lien entre l’évaluation du grain de viande et la qualité sensorielle des viandes. Les seize indicateurs consignés dans la grille établie sur la carcasse sont répétables et facilement utilisables en abattoir. Sur le muscle longissimus thoracis, les grains fins ont été caractérisés par des teneurs en lipides intramusculaires significativement plus faibles que les grains grossiers, conduisant à des notes d’intensité de flaveur également significativement plus faibles, mais sans répercussions sur les notes de jutosité. Il n’est pas apparu de différence significative de tendreté entre les muscles à grains fins et grossiers. Au niveau physicochimique, le grain fin a été associé à des muscles nécessitant une moindre force de cisaillement sur la viande cuite et présentant une moindre teneur en collagène, sans différence sur sa solubilité, laissant supposer un effet favorable sur les propriétés sensorielles. Les écarts sont cependant très dépendants du muscle étudié et méritent d’être confirmés à plus grande échelle.
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5

LARZUL, C., and F. GONDRET. "Aspects génétiques de la croissance et de la qualité de la viande chez le lapin." INRAE Productions Animales 18, no. 2 (May 15, 2005): 119–29. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.2.3515.

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Abstract:
L’amélioration génétique des lapins élevés pour la production de viande a porté jusqu’à présent essentiellement sur les critères de reproduction (taille de portée) pour les souches femelles et plus récemment sur les aspects quantitatifs de la production pour les souches mâles, principalement la vitesse de croissance. Cette sélection a ainsi permis de réduire l’âge d’abattage des lapereaux de 2 semaines en 15 ans, tandis que le poids d’abattage variait peu. S’appuyant sur les résultats obtenus dans les comparaisons entre les différentes races ou souches, les attendus étaient une amélioration de l’efficacité alimentaire, une réduction de l’adiposité des carcasses, mais aussi une dégradation des rendements à l’abattage. Paradoxalement, les études génétiques portant sur les qualités de la carcasse ou de la viande et sur les caractéristiques musculaires restent peu fréquentes. Toutefois, il existe maintenant quelques expériences de sélection intra-souche pour la croissance dans lesquelles les réponses corrélées ont été mesurées. Si l’indice de consommation est bien corrélé négativement avec la vitesse de croissance, ces expériences ne valident pas toutes les évolutions attendues en matière de composition corporelle, notamment pour l’adiposité de la carcasse. En revanche, elles suggèrent dans leur ensemble des relations génétiques faibles entre les caractéristiques de la viande et la vitesse de croissance. La sélection actuellement pratiquée sur la vitesse de croissance a donc peu de conséquences sur les qualités de la viande de lapin.
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6

DUMONT, R., M. ROUX, J. AGABRIEL, C. TOURAILLE, J. BONNEMAIRE, C. MALTERRE, and J. ROBELIN. "Engraissement des vaches de réforme de race charolaise. Facteurs de variation des performances zootechniques, de la composition tissulaire des carcasses et de la qualité organoleptique de la viande." INRAE Productions Animales 4, no. 4 (October 30, 1991): 271–86. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.4.4341.

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Abstract:
Les conditions de finition de la vache de réforme de race Charolaise ont été étudiées au cours de 2 essais portant sur 67 vaches : 11 abattues maigres et 56 engraissées avec un régime à base d’ensilage de maïs. Ils ont permis de mettre en évidence l’influence de la durée d’engraissement (0, 70 ou 109 jours), de l’âge moyen (5 ou 11 ans) et d’un implant d’acétate de trenbolone sur la reprise de poids, la capacité d’ingestion, la composition tissulaire des carcasses, la proportion de muscle dans le gain de poids, les caractéristiques physico-chimiques et les qualités organoleptiques de la viande. Pour l’ensemble des vaches non implantées, le gain de poids vif se situe entre 1100 et 1200 g/j pour une durée d’engraissement d’environ 2 mois et demi. Elles ingèrent en moyenne 13,7 kg de matière sèche par jour, leur efficacité alimentaire est de l’ordre de 90 g de croît par UFL ingérée. A l’abattage, ces animaux fournissent des carcasses dont le poids chaud moyen est de 385 kg, composées de 66 % de muscle, 19 % de tissu adipeux et 15 % d’os. Par rapport aux vaches abattues maigres, le gain de carcasse au cours de l’engraissement est de 63 kg dont 37 % sous forme de muscle. La prolongation de l’engraissement jusqu’à 110 jours peut permettre d’accroître le poids de carcasse de 20 à 30 kg mais ce surplus de carcasse est essentiellement constitué de tissu adipeux. Dans les conditions de cette expérimentation, il n’est pas possible de conclure à un effet négatif très net de l’âge des animaux sur les performances d’engraissement bien que le gain de poids vif, l’efficacité alimentaire et le rendement à l’abattage apparaissent plus faibles chez les animaux les plus âgés. L’implant d’acétate de trenbolone a un effet marqué sur la reprise de poids des vaches : 57 kg supplémentaires de poids vif pour l’ensemble des animaux avec une prolongation de la durée d’engraissement de 27 jours. Il améliore également la proportion de tissu musculaire dans le gain de carcasse (47 % contre 41 % pour le lot témoin chez les vaches âgées). L’engraissement des carcasses (comparaison entre vache maigre et vache engraissée) avec pour corollaire l’augmentation de la teneur en lipides intramusculaires améliore très nettement la tendreté, la jutosité et la flaveur de la viande avec diminution de la force de cisaillement. Les animaux les plus âgés (11 ans), produisent une viande jugée plus dure à la dégustation alors qu’on n’observe pas d’augmentation significative avec l’âge de la force de cisaillement. Enfin cet essai ne met pas en évidence d’effet négatif de l’acétate de trenbolone sur les caractéristiques sensorielles et physico-chimiques du muscle.
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PRACHE, S., and D. BAUCHART. "La viande et la carcasse des agneaux : les principales qualités recherchées." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 10, 2020): 105–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3015.

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Abstract:
Bien que la consommation de viande ovine s’érode régulièrement en France depuis 25 ans, la viande d’agneau porte une forte valeur symbolique, culturelle et cultuelle. La filière française est caractérisée par une grande diversité de systèmes de production et de races auxquelles correspondent différents modes d’élevage et d’engraissement des agneaux, avec des conséquences importantes sur la qualité sensorielle et nutritionnelle des carcasses et des viandes. L’objectif de cet article est de faire le point sur les principales qualités demandées à la viande ovine et de présenter les questions de recherches majeures.
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Ekpo, J. S. "Carcass quality and economic benefit of New Zealand White rabbit bucks fed processed mucuna pruriens." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 100–110. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2975.

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Abstract:
The concern of people about nutritional quality and healthy eating make them to reduce meat consumption due to the fear of hypercholesterolemia. Against this background, there is need to incorporate cholesterol-reducing feed stuff into diets of meat producing animals. This study was therefore carried out to evaluate the performance as well as carcass quality of rabbits fed diets containing processed Mucuna seed meal (MSM) for 84 days. A total of 45 rabbit bucks (New Zealand White) of six weeks old were divided into three treatment groups of 15 rabbits each. Each treatment group was replicated thrice with five rabbits per replicate. The rabbit groups were randomly assigned to three treatment diets in a completely randomized design: The three experimental diets were formulated such that Mucuna pruriens seed (processed by soaking and boiling) replaced maize at 0, 20 and 30% as T1, T2 and T3 respectively. T1 served as the control without Mucuna Pruriens. Data were collected on feed intake, weight gain, feed conversion ratio, carcass traits and meat lipid profile viz: total cholesterol (TC), triglyceride (TG), low density lipoprotein (LDL), very low density lipoprotein (VLDL) and high density lipoprotein (HDL). Result obtained revealed that rabbits on mucuna-based diets (T2 and T3) had significant (P<0.05) increase in feed intake and weight gain than rabbits on diet T1 (control). Similarly, carcass characteristics of the animals fed mucuna-based diets showed significant (P<0.05) increase in dressed weight, dressing percentage, cut parts (fore leg, hind leg, loin, thoracic cage) except organ (liver, kidney. heart, lungs) weights which were comparable to rabbits fed control diet. Significant (P<0.05) improvement in meat quality in terms of increase in HDL, protein, muscle, meat to bone ratio and reduction in TC, TG, LDL, VLDL and fat were obtained for the rabbit fed the mucuna-based diets. Economy of production indicated that cost of feed consumed and cost per weight gain reduced for rabbits fed MSM compared to those fed control diet. The results of the trial have shown that processed MSM can be used to substitute maize in diet up to 30% for improved performance, carcass traits and meat quality of rabbit bucks. Les préoccupations des gens au sujet de la qualité nutritionnelle et d'une alimentation saine les font réduire la consommation de viande en raison de la crainte de l'hypercholestérolémie. Dans ce contexte, il est nécessaire d'incorporer des aliments pour animaux réducteurs de cholestérol dans les régimes alimentaires des animaux producteurs de viande. Cette étude a donc été réalisée pour évaluer la performance ainsi que la qualité de carcasse des lapins nourris à des régimes contenant des farines de graines de Mucuna transformées (le 'MSM') pendant 84 jours. Un total de 45 mâles de lapin (New Zealand White) de six semaines ont été divisés en trois groupes de traitement de 15 lapins chacun. Chaque groupe de traitement a été répliqué trois fois avec cinq lapins par réplique. Les groupes de lapins ont été assignés au hasard à trois régimes de traitement dans une conception complètement randomisée : Les trois régimes expérimentaux ont été formulés de telle sorte que les graines pruriens de Mucuna (traitées par trempage et ébullition) ont remplacé le maïs à 0, 20 et 30% comme T1, T2 et T3 respectivement. T1 a servi de contrôle sans Mucuna Pruriens. Des données ont été recueillies sur la consommation d'aliments pour animaux, le gain de poids, le rapport de conversion des aliments pour animaux, les traits de carcasse et le profil lipidique de la viande viz : cholestérol total (le 'TC'), triglycéride (le 'TG'), lipoprotéine de basse densité (le 'LDL'), lipoprotéine de très faible densité (le 'VLDL') et lipoprotéine de haute densité (le 'HDL'). Le résultat obtenu a révélé que les lapins qui suivreaient un régime à base de mucuna (T2 et T3) avaient une augmentation significative (P<0.05) de la consommation d'aliments pour animaux et du gain de poids que les lapins au régime T1 (contrôle). De même, les caractéristiques de carcasse des animaux nourris à base de mucuna ont montré une augmentation significative (P<0.05) du poids habillé, du pourcentage d'habillage, des parties coupées (jambe avant, patte arrière, longe, cage thoracique) à l'exception des poids des organes (foie, rein, cœur, poumons) comparables aux lapins nourris au régime de contrôle. Une amélioration significative (P<0.05) de la qualité de la viande en termes d'augmentation de la HDL, des protéines, des muscles, du rapport viande/os et de la réduction du TC, du TG, du LDL, du VLDL et de la graisse a été obtenue pour le lapin nourri aux régimes à base de mucuna. L'économie de production a indiqué que le coût des aliments consommés et le coût par gain de poids réduit pour les lapins nourris aux 'MSM' par rapport à ceux nourris régime de contrôle. Les résultats de l'essai ont montré que les 'MSM' transformés peuvent être utilisés pour remplacer le maïs dans l'alimentation jusqu'à 30 % par une meilleure performance, des caractéristiques de carcasse et la qualité de la viande des mâles lapins.
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MOUROT, J., and B. LEBRET. "Modulation de la qualité de la viande de porc par l’alimentation." INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009): 33–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3330.

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Abstract:
Parmi les facteurs d’élevage influençant la qualité de la viande chez le porc, l’alimentation joue un rôle central. Le niveau et le profil de distribution de la ration (restriction puis réalimentation) influencent la vitesse et la composition du gain de poids (protéines/lipides) aux niveaux corporel et tissulaire, et, donc, la composition de la carcasse et des tissus. La qualité sensorielle de la viande peut être ainsi modifiée, notamment via la teneur en lipides intramusculaires. L’équilibre entre les principaux nutriments, notamment les protéines et l’énergie de la ration, conditionnent également la vitesse et la nature des dépôts tissulaires, pouvant ainsi affecter la qualité sensorielle des viandes. La nutrition constitue un puissant levier pour modifier le profil lipidique des viandes porcines, la teneur en acides gras (polyinsaturés n-3 notamment), et par suite leur valeur nutritionnelle.
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CLINQUART, A., J. L. HORNICK, C. VAN EENAEME, and L. ISTASSE. "Influence du caractère culard sur la production et la qualité de la viande des bovins Blanc Bleu Belge." INRAE Productions Animales 11, no. 4 (October 3, 1998): 285–97. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.4.3955.

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Abstract:
Lorsqu’on les compare à des sujets mixtes de la même race, les taurillons Blanc Bleu Belge (BBB) culards réalisent des gains quotidiens moyens au moins aussi élevés tout en consommant moins d’aliments. L’amélioration de l’efficacité alimentaire est expliquée principalement par la composition des gains de poids : la carcasse d’un sujet BBB culard contient au moins 60 kg de muscle en plus et 30 kg de graisse en moins que celle d’un sujet mixte abattu au même poids vif. Lorsque le poids vif augmente, on observe, dans les deux types, une augmentation du rendement à l’abattage et de la proportion de viande maigre dans la carcasse. La composition chimique et les qualités organoleptiques des viandes sont, elles aussi, influencées par le caractère culard. La teneur en gras est réduite et la proportion d’acides gras polyinsaturés est augmentée chez le culard, ce qui constitue un avantage nutritionnel. L’évolution plus rapide du pH post mortem chez le taurillon culard ne peut expliquer que très partiellement les différences observées pour les qualités sensorielles. La couleur plus pâle de la viande est liée en grande partie à sa faible teneur en myoglobine. L’avantage du culard en matière de tendreté, expliqué par une teneur faible en collagène, n’apparaît pas dans un morceau noble de la carcasse à faible teneur en collagène. Enfin, dans la majorité des études disponibles à ce jour, la capacité de rétention d’eau de la viande produite par les culards apparaît peu différente de celle des non culards. Les concentrations de plusieurs métabolites sanguins indiquent une répartition des nutriments favorable au dépôt de protéines et défavorable au dépôt de graisses chez le culard. Lors de l’engraissement, les particularités endocriniennes concernent essentiellement l’hormone de croissance et l’insuline ; elles peuvent expliquer la répartition particulière des nutriments.
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LAVILLE, E., J. BOUIX, T. SAYD, F. EYCHENNE, F. MARCQ, P. L. LEROY, J. M. ELSEN, and B. BIBE. "La conformation bouchère des agneaux. Etude d’après la variabilité génétique entre races." INRAE Productions Animales 15, no. 1 (February 12, 2002): 53–66. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.1.3687.

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Abstract:
La conformation des carcasses est considérée par les différents acteurs de la filière ovine comme un critère important de la qualité. La grille de paiement des animaux se fonde en partie sur ce critère d’évaluation visuel. Cependant, ce critère est souvent sujet à controverse d’une part à cause de sa relative subjectivité, d’autre part à cause de la faiblesse de sa valeur prédictive pour le rendement en muscle. Les objectifs de cet article sont de présenter des résultats sur la signification biologique de la conformation et d’évaluer le degré de fiabilité de la mesure globale de conformation notamment pour l’amélioration génétique des qualités bouchères. Ce travail est une synthèse des résultats obtenus dans trois études indépendantes, fondées chacune sur la comparaison de deux types génétiques, l’un avec une bonne conformation, l’autre avec une conformation médiocre. La conformation est le reflet de la morphologie musculaire, plus particulièrement de l’épaisseur des muscles. L’augmentation d’épaisseur des muscles individuels est différentielle selon leur situation anatomique. L’amélioration de la conformation correspond à une augmentation du rendement de carcasse et du rendement musculaire. Le rapport du poids de muscle sur le poids d’os est augmenté. Cela correspond à une diminution du pourcentage d’os et parfois à une augmentation du pourcentage de muscle. Le plus souvent les muscles individuels ont une répartition pondérale différentielle sur les segments de carcasse. L’adiposité n’augmente pas avec la conformation. L’augmentation des épaisseurs musculaires s’accompagne d’un glissement des caractéristiques contractiles vers des isoformes de myosine de type rapide. Enfin, ces études ont montré que certains caractères biologiques sont davantage des caractères raciaux que la conséquence d’une différence de conformation.
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Odetola, O. M., and O. O. Adetola. "Growth response, carcass analysis and sensory evaluation of meat from broiler chicken served acidified water." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 1 (February 25, 2022): 284–92. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i1.3427.

Full text
Abstract:
Due to the emergence of drugs resistance microorganisms, side effects of antimicrobials and harmful residual toxicity effects of drugs observed in food chain, there is an increasing trend towards the use of alternatives for the general health maintenance. This study was carried out using 135 day old arbor acre chicks to evaluate the growth response, carcass and sensory evaluation of meat obtained from broiler chickens served two different organic acids. The chicks after brooded for a period of seven days were randomly distributed into five treatments group of 27 chicks per treatment replicated thrice with 9 birds per replicate in a completely randomized design (CRD). Treatment 1 served as the control without oral inclusion of organic acid, T had 2% citric acid, T had 4% citric acid, T had 2% acetic acid 2 3 4 and T had 4% acetic acid respectively while all administration was done two weeks at 5 starter phase and two weeks at finisher phase. parameter measured includes feed intake, weight gain, feed conversion ratio and mortality percentage while two birds per replicate making 6 per treatment were randomly selected, slaughtered and dissected for carcass, meat quality and sensory evaluation respectively. Result obtained showed no significant (P >0.05) difference in all growth parameters measured. Significant (P< 0.05) differences were obtained on the mean value recorded for drumstick, wing, neck, head and gizzard among all carcass parameters measured. Higher (P< 0.05) values for drumstick was obtained on T2 (11.17) followed by T and T (10.65 and 10.67) while the least values was recorded for T and 1 4 3 T (9.54 and 10.10). The same trend was observed for gizzard. Significant (P< 0.05) 5 differences were obtained in cooking loss recorded on breast muscle and on chilling loss recorded on thigh muscle and drumstick across the treatment for all parameters measured for meat quality attributes. Sensory evaluation results revealed similarities in the values obtained for colour, appearance, flavor, texture, taste and overall acceptance. Conclusively, the inclusion of citric and acetic acid orally for broilers had no detrimental effect on growth performance but enhance the quality of the carcass. En raison de l'émergence de micro-organismes résistants aux médicaments, des effets secondaires des antimicrobiens et des effets toxiques résiduels nocifs des médicaments observés dans la chaîne alimentaire, il existe une tendance croissante à l'utilisation d'alternatives pour le maintien de la santé générale. Cette étude a été réalisée en utilisant des poussins âgés de 135 jours pour évaluer la réponse de croissance, la carcasse et l'évaluation sensorielle de la viande obtenue à partir de poulets à griller servis avec deux acides organiques différents. Les poussins après avoir été couvés pendant une période de sept jours ont été répartis au hasard dans cinq groupes de traitements de 27 poussins par traitement répétés trois fois avec 9 oiseaux par répétition dans une conception complètement randomisée (CCR). Le traitement 1 a servi de contrôle sans inclusion orale d'acide organique, T avait 2 % d'acide citrique, T avait 4 % d'acide citrique, T avait 2 % d'acide 2 3 4 acétique et T avait 4 % d'acide acétique, respectivement, tandis que toute l'administration 5 était effectuée deux semaines à la phase de démarrage et deux semaines en phase finisher. Le paramètre mesuré comprend l'apport alimentaire, le gain de poids, l'indice de conversion alimentaire et le pourcentage de mortalité, tandis que deux oiseaux par répétition, soit 6 par traitement, ont été sélectionnés au hasard, abattus et disséqués pour la carcasse, la qualité de la viande et l'évaluation sensorielle, respectivement. Le résultat obtenu n'a montré aucune différence significative (P > 0,05) dans tous les paramètres de croissance mesurés. Des différences significatives (P < 0,05) ont été obtenues sur la valeur moyenne enregistrée pour le pilon, l'aile, le cou, la tête et le gésier parmi tous les paramètres de carcasse mesurés. Les valeurs les plus élevées (P < 0,05) pour le pilon ont été obtenues sur T2 (11,17) suivi de T1 et T4 (10,65 et 10,67) tandis que les valeurs les plus faibles ont été enregistrées pour T3 et T5 (9,54 et 10,10). La même tendance a été observée pour le gésier. Des différences significatives (P< 0,05) ont été obtenues dans la perte à la cuisson enregistrée sur le muscle de la poitrine et dans la perte au froid enregistrée sur le muscle de la cuisse et le pilon tout au long du traitement pour tous les paramètres mesurés pour les attributs de qualité de la viande. Les résultats de l'évaluation sensorielle ont révélé des similitudes dans les valeurs obtenues pour la couleur, l'apparence, la saveur, la texture, le goût et l'acceptation globale. En conclusion, l'inclusion d'acide citrique et acétique par voie orale pour les poulets de chair n'a eu aucun effet néfaste sur les performances de croissance mais a amélioré la qualité de la carcasse.
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ROUSSELOT-PAILLEY, D., G. GUY, D. GOURICHON, N. SELLIER, and J. C. BLUM. "Influence des conditions d’abattage et de réfrigération sur la qualité des foies gras d’oie." INRAE Productions Animales 5, no. 3 (July 29, 1992): 167–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.3.4230.

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Abstract:
Les conditions d’abattage, d’éviscération et de refroidissement des oies gavées ont une incidence importante sur la production quantitative et qualitative des foies gras. La mise à jeun des animaux avant l’abattage est nécessaire pour préserver leur qualité sanitaire. Toutefois, un jeûne prolongé entre le dernier repas de gavage et l’abattage peut entraîner une importante diminution du poids du foie gras et une altération de sa qualité technologique par augmentation de sa fonte lipidique. Un optimum pourrait être trouvé autour de 12 h. La réfrigération rapide des foies gras après l’abattage des oies gavées est nécessaire pour limiter leur fonte lipidique et ceci d’autant plus que leur qualité technologique initiale est meilleure (foies de 600 à 900 g). L’éviscération à chaud (immédiatement après l’abattage), qui permet d’isoler rapidement le foie des risques de contaminations intestinales et une réfrigération rapide hors de la carcasse, conduit à une meilleure qualité technologique des foies gras. Sa mise en oeuvre exige toutefois une parfaite maîtrise des conditions d’hygiène.
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BAÉZA, E., X. FERNANDEZ, and M. MARIE-ETANCELIN. "Qualité des carcasses et de la viande des palmipèdes gavés." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 18, 2013): 425–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3171.

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Abstract:
La viande de palmipèdes gavés se distingue de la viande de palmipèdes non gavés surtout par son enrichissement en lipides (teneur multipliée par deux) qui modifie la qualité nutritionnelle et sensorielle des produits et leur aptitude à la conservation. Toutefois, ces caractéristiques peuvent fortement varier selon l’itinéraire technique mis en oeuvre pendant les phases d’élevage et de gavage et en particulier en fonction de la composition et des modalités de distribution de l’aliment, de l’âge à la mise en gavage et de sa durée. Les étapes de pré-abattage et la technologie d’abattage et de transformation sont également importantes à considérer. Les paramètres génétiques de la qualité de la carcasse et de la viande ont surtout été étudiés chez le canard. Ces critères de qualité sont dans l’ensemble faiblement héritables. Récemment, plusieurs QTL ont été mis en évidence en particulier pour les pertes à la cuisson, le pH et la texture de la viande. La connaissance des gènes impliqués dans le contrôle de ces paramètres devrait permettre à plus ou moins long terme de les inclure dans les schémas de sélection.
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Benaissa, A., A. Ould El Hadj-Khelil, A. Adamou, B. Babelhadj, M. Hammoudi, and A. Riad. "Qualité de la viande de dromadaire dans les abattoirs de Ouargla en Algérie. II. Contamination bactérienne superficielle des carcasses." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 4 (October 2, 2015): 229. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20565.

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Abstract:
Dans le but d’apprécier la qualité microbiologique de la viande de dromadaire produite à l’abattoir de la wilaya de Ouargla en Algérie, la contamination superficielle d’origine bactérienne de 60 carcasses camelines a été évaluée. Les prélèvements ont été réalisés par écouvillonnage de trois sites (cuisse, flanc et épaule). Les échantillons ont été prélevés dans un intervalle d’une heure après l’abattage de l’animal, après le dépouillement, à la fin de l’éviscération et avant l’inspection post mortem. Les taux de germes ont varié en fonction des carcasses et des sites de prélèvement. La flore prédominante a été la flore aérobie mésophile totale, dont le niveau de contamination a été de 2,8 log UFC/cm2, représentant 25 p. 100 de la flore dénombrée, suivie par les entérobactéries avec 2,4 log UFC/cm2 (21 p. 100), les coliformes totaux avec 2,2 log UFC/cm2 (20 p. 100), les coliformes fécaux avec 2,0 log UFC/ cm2 (18 p. 100), et les staphylocoques avec 1,8 log UFC/cm2 (16 p. 100). La présence de souches de salmonelles et d’Escherichia coli a été détectée sur toutes les zones prélevées de la carcasse. La viande cameline de l’abattoir de Ouargla a présenté un niveau de contamination élevé par les germes pathogènes (salmonelles et staphylocoques). Une contamination fécale (E. coli) élevée a également été observée. De bonnes pratiques d’hygiène durant la phase d’abattage doivent être mises en œuvre afin de diminuer le niveau de contamination.
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SELLIER, P., J. BOUIX, G. RENAND, and M. MOLÉNAT. "Les objectifs et les critères de sélection : Les aptitudes bouchères : croissance, efficacité alimentaire et qualité de la carcasse." INRAE Productions Animales 5, HS (December 2, 1992): 147–59. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4278.

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Abstract:
Les programmes de sélection sur les aptitudes bouchères ont un double objectif : l’abaissement du coût de production et l’amélioration de la qualité du produit. Cet article rappelle un certain nombre de données de base sur les aptitudes bouchères : courbe de croissance, évolution de la composition chimique et tissulaire chez l’animal en croissance (notion d’allométrie), énergétique de la croissance (relation entre efficacité alimentaire et croissance musculaire), développement des tissus musculaire et adipeux, qualités de la viande et du gras. Les objectifs et les critères de sélection sont décrits pour chacune des espèces bovine, ovine et porcine. L’importance relative accordée aux différents caractères (vitesse de croissance, efficacité alimentaire, teneur en viande de la carcasse, qualité de la viande) varie selon l’espèce. Chez les bovins allaitants et les ovins, l’évaluation génétique des mâles repose dans un premier temp sur le contrôle individuel et dans un second temps sur le contrôle de descendance. Chez le porc, la composition corporelle peut être estimée avec précision sur l’animal vivant (échographie aux ultra-sons) et le contrôle individuel a été largement utilisé dans les deux dernières décennies.
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OUHAYOUN, J. "La composition corporelle du lapin. Facteurs de variation." INRAE Productions Animales 2, no. 3 (July 10, 1989): 215–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.3.4415.

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Abstract:
Dans les élevages de lapins spécialisés, la production d’une femelle est de l’ordre de 45 lapereaux abattus par an, soit 60 kg de viande. Généralement de format adulte moyen (4 kg) ces lapereaux fournissent en 10-11 semaines une carcasse de 1,3 kg dont les morceaux nobles (83 % de la carcasse), comestibles à 85 %, sont particulièrement maigres (moins de 3 % de tissu gras). L’espèce cunicole est riche en races de formats très différents. Celles-ci représentent un potentiel important de diversification qualitative de la viande. En particulier, les races géantes sont intéressantes dans la mesure où la découpe et la transformation se développent. Les principales caractéristiques bouchères des carcasses : le rendement à l’abattage, le rapport muscle/os et éventuellement l’adiposité peuvent être modifiées par sélection en race pure. L’amélioration de la vitesse de croissance par sélection ou par augmentation de la teneur en protéines de l’aliment, qui favorise la voie glycolytique du métabolisme énergétique musculaire, peut entraîner une dégradation de la qualité de la viande. Lorsque la vitesse de croissance des lapereaux est accrue, soit par un meilleur équilibre des nutriments (protéines/ énergie, notamment), soit par un apport alimentaire élevé (nourriture à volonté, teneur en lest minimum), les caractéristiques corporelles sont modifiées. Les proportions des tissus précoces (tractus digestif, squelette et éventuellement peau) sont réduites, celles des tissus tardifs (tissu musculaire et surtout tissu adipeux) sont augmentées ; par conséquent, le rendement à l’abattage, le rapport muscle/os et l’adiposité sont favorisés. Chez le lapin, herbivore monogastrique, la supplémentation en lipides de l’aliment, destinée à élever le niveau énergétique de la ration sans abaisser celui des glucides indigestibles, peut intervenir sur la stabilité thermique et chimique des graisses corporelles.
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PICARD, B., B. LEBRET, I. CASSAR-MALEK, L. LIAUBET, C. BERRI, E. LE BIHAN-DUVAL, F. LEFEVRE, J. F. HOCQUETTE, and G. RENAND. "Des marqueurs génomiques au service de la qualité de la viande." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 183–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3024.

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Abstract:
Le séquençage et l’annotation du génome des principaux animaux producteurs de viande ou de chair, ont permis l’essor des études de génomique au cours de la dernière décennie. Les techniques utilisées concernent d’une part la détection de mutations sur des régions du génome (QTL : « Quantitative Trait Loci »). Cette approche dite de génomique structurale a permis la détection de gènes majeurs (mutations ayant un effet majeur sur un caractère), comme le gène « culard » chez le bovin et le mouton, les gènes halothane et « Rendement Napole » chez le porc. Des QTL associés à une qualité, comme la vitesse de chute de pH chez le poulet, ont été identifiés. D’autre part, le niveau d’expression des gènes mesuré au travers de l’abondance relative d’ARN messagers et de protéines est analysé respectivement dans les études de transcriptomique et de protéomique. Des protéines ou des ARN messagers dont l’abondance est associée à une composante de qualité de viande, ont été identifiés chez le porc, le bovin, le poulet et la truite. Ils constituent des biomarqueurs d’intérêt pour la compréhension et la maîtrise des qualités d’intérêt pour chaque espèce. Le développement en cours d’outils d’évaluation de la qualité à destination des acteurs des filières permettra des applications sur l’animal vivant pour l’évaluation de son potentiel de qualité et l’adaptation de la conduite d’élevage à ce potentiel. Sur la carcasse, ils serviront à orienter sa destination bouchère ou celle des pièces ou morceaux de découpe. Ces biomarqueurs seront également utiles pour fournir des mesures phénotypiques pour la sélection génomique appliquée à la qualité de la viande.
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MOUROT, J. "Utilisation du glycérol en alimentation porcine." INRAE Productions Animales 22, no. 5 (December 9, 2009): 409–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.5.3365.

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Abstract:
Le développement de l’agrochimie va mettre sur le marché des matières premières des coproduits qui pourront être utilisés en alimentation animale. Afin de pouvoir les valoriser en production animale, il est nécessaire de montrer la bonne efficacité des ces coproduits en terme de performances de croissance, de qualité de la viande et aussi d’économie de production. Le développement de la production de diester à partir de la transestérification de l’huile de colza pourra permettre de disposer de glycérol. Son utilisation semble possible en alimentation animale. Les différentes données expérimentales montrent que, chez le porc, le glycérol alimentaire, à la dose de 5% d’introduction dans l’alimentation ne modifie pas l’appétence de l’aliment et n’a pas d’action négative sur les performances de croissance, sur la conversion énergétique des aliments et sur la composition tissulaire de la carcasse. Certains paramètres de la qualité de la viande sont améliorés comme la rétention d’eau et la teneur en lipides des muscles ce qui peut être bénéfique pour le rendement de transformation et la qualité organoleptique de la viande.
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Le Bel, Sébastien, Philippe Chardonnet, Dominique Dulieu, and Michel Salas. "Impact de la castration du daguet rusa sur les performances de croissance, d'abattage et sur la qualité biologique de la viande à 24 et 30 mois." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 48, no. 1 (January 1, 1995): 85–93. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9493.

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Abstract:
Chez le jeune mâle rusa (Cervus timorensis russa) destiné à être abattu, le rut est considéré par l'éleveur comme une contrainte. Le but de l'expérimentation est d'apprécier l'impact zootechnique de la castration. Dix-sept cerfs rusa de Java castrés et dix-neuf entiers, âgés de 12 mois ont été embouchés à l'herbe et abattus à 24 ou 30 mois. La castration induit une diminution du poids vif à 24 mois et 30 mois. De 12 à 24 mois, la croissance est de 82 + ou - 3 g/j et 91 + ou - 1 g/j. De 24 à 30 mois, elle ralentit pour n'atteindre plus que 45 + ou - 6 g/j et 63 + ou - 12 g/j. La castration et le vieillissement augmentent le rendement carcasse de 1 % mais ne modifie pas le rendement de découpe. La castration induit une diminution de la quantité de viande totale produite par carcasse, cet effet ne touchant pas les morceaux de l'arrière-main . La composition de la viande n'est pas modifiée par la castration ou l'âge d'abattage. A 24 mois, la venaison de cerf rusa est plus tendre et moins foncée qu'à 30 mois. Si les éleveurs de cerfs rusa castrent leurs jeunes mâles vers 1 an, il semble plus intéressant de les abattre à 24 mois.
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Oyedele, O. J., A. O. Olosunde, T. A. Otunla, and F. H. A. Ajibogun. "Growth performance and carcass characteristics of broilers fed graded levels of dry distilled cassava with soluble." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020): 156–61. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1342.

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Abstract:
This study was carried out to investigate the performance of broilers fed graded levels of Dry Distilled Cassava with Soluble (DDCS). In a 28-day trial, one hundred and forty-four (144), 5-week old, un-sexed Arbor acre strain broiler chicks (average weight of 1.09±0.02 kg) were randomly allocated to four dietary treatments of wheat offal (WO) and DDCS (12% WO + 0% DDCS = 0% DDCS; 8% WO + 4% DDCS = 4% DDCS; 4% WO + 8% DDCS = 8% DDCS and 0% WO + 12% DDCS = 12% DDCS) in completely randomized design. Each treatment had 2 replicates of 18 birds each. Dry matter feed intake (FI g/day), daily weight gain (g/day) and total weight gain (kg) decreases with increase in the levels of DDCS, while the feed conversion ratio (FCR) increases with increase in levels of DDCS, respectively. However, there was no significant (P>0.05) differences in the carcass evaluation measured. It was concluded that DDCS could replace wheat offal in the diets of broilers up to 8% without significant difference in growth and feed intake without detrimental effects on carcass quality of the birds. Cette étude a été réalisée pour étudier la performance des poulets de chair nourris à des niveaux échelonnés de manioc distillé sec avec soluble (le 'DDCS'). Dans un essai de 28 jours, cent quarante-quatre (144) poussins de chair de la souche Arbor acre non sexés de 5 semaines (poids moyen de 1.09 ± 0.02 kg) ont été répartis au hasard dans quatre traitements diététiques d'abats de blé (WO) et DDCS (12% WO + 0% DDCS = 0% DDCS ; 8% WO + 4% DDCS = 4% DDCS ; 4% WO + 8% DDCS = 8% DDCS et 0% WO + 12% DDCS = 12 % DDCS) dans une conception complètement aléatoire. Chaque traitement comportait 2 répétitions de 18 oiseaux chacun. L'apport alimentaire en matière sèche (FI g / jour), le gain de poids quotidien (g / jour) et le gain de poids total (kg) diminuent avec l'augmentation des niveaux de DDCS, tandis que le taux de conversion alimentaire (FCR) augmente avec l'augmentation des niveaux de DDCS, respectivement. Cependant, il n'y avait aucune différence significative (P> 0.05) dans l'évaluation de la carcasse mesurée. Il a été conclu que le DDCS pouvait remplacer les abats de blé dans l'alimentation des poulets de chair jusqu'à 8% sans différence significative de croissance et de consommation alimentaire sans effets néfastes sur la qualité de la carcasse des oiseaux.
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MOUROT, J. "Mise en place des tissus adipeux sous-cutanés et intramusculaires et facteurs de variation quantitatifs et qualitatifs chez le porc." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 353–63. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3761.

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Abstract:
Le choix de la matière première lipidique dans l’alimentation du porc est particulièrement important. Il est bien connu qu’il existe une relation entre la nature des acides gras ingérés et ceux qui vont se déposer dans le tissu adipeux et à un degré moindre dans le muscle. Ce choix va donc conditionner la qualité de la viande. Des études récentes laissent aussi apparaître un rôle important du taux et de la nature des acides gras alimentaires sur la mise en place et le développement des tissus adipeux chez le fœtus lors de la gestation. Chez la truie, l’accroissement du taux de lipides alimentaires augmente l’adiposité de la carcasse du porcelet à la naissance et favorise la prolifération des précurseurs adipocytaires qui, par la suite, donneront les adipocytes. Un taux excessif de lipides alimentaires durant la gestation peut donc à terme induire une adiposité plus élevée chez le porc charcutier. L’origine des acides gras intervient également sur ces mêmes paramètres. L’huile de coprah, comparée à celle de tournesol et au saindoux semble stimuler la prolifération adipocytaire avec toutes les conséquences que ceci peut avoir sur l’obésité future du porc. Toutefois un mode d’alimentation restreint chez le porc en croissance semble minimiser ces conséquences. Chez le porc en croissance, l’accroissement du taux de lipides dans l’alimentation semble favoriser les dépôts de lipides dans les tissus adipeux. Une source de matière grasse insaturée, particulièrement riche en acide linoléique, favorise le potentiel de synthèse des lipides et peut donc accroître l’adiposité de la carcasse. Ces matières grasses insaturées ayant aussi des conséquences sur la qualité technologique des tissus adipeux, on ne peut qu’en recommander une utilisation raisonnable au cours de la croissance et si possible éviter de les incorporer aux aliments des porcs au-delà de 70 kg de poids vif pour un abattage à 105-110 kg.
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ELSEN, J. M. "Sélection sur gènes et sélection assistée par marqueurs." INRAE Productions Animales 24, no. 4 (September 8, 2011): 357–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.4.3267.

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Abstract:
Jusqu’à une date très récente (l’émergence de la sélection génomique), l’essentiel des plans de sélection était basé sur l’évaluation desvaleurs génétiques à partir des informations phénotypiques et de pedigree. Cependant, ont aussi été mis en place plusieurs exemplesréussis de sélection valorisant la connaissance de gènes à effets importants sur les caractères ou utilisant l’aide de marqueurs moléculaires(la «Sélection Assistée par Marqueurs»). Ces exemples sont riches en enseignements pour l’avenir de la sélection. Les applicationsfurent variées, tant en termes de type de caractères (reproduction, qualité de carcasse, résistance aux maladies...) que d’organisation(éliminations d’allèles défavorables, introgression, accouplements ciblés…). Les limites, qui sont détaillées, de ces plans desélection sur gènes ou marqueurs, sont autant de contraintes qu’il faudra intégrer dans l’organisation de la sélection génomique.
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QUINIOU, Nathalie, Giuseppe BEE, Hanne MARIBO, Galia ZAMARATSKAIA, and Peadar LAWLOR. "Quelles stratégies alimentaires pour couvrir les besoins nutritionnels des porcs mâles entiers et/ou immuno-castrés et pour réduire les risques d’odeurs de verrat dans la viande ?" INRAE Productions Animales 35, no. 2 (August 26, 2022): 109–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.2.7079.

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Abstract:
Cet article fait le point sur les connaissances relatives aux besoins nutritionnels des porcs mâles non castrés chirurgicalement, dans la perspective de mieux valoriser leur potentiel de croissance pour une meilleure efficience alimentaire, tout en veillant à maintenir un faible risque d’odeurs de verrat et à préserver les qualités de la carcasse et de la viande. Les raisons pour lesquelles une alimentation à volonté des mâles entiers doit être privilégiée, plutôt qu’un rationnement alimentaire, avec des aliments plus concentrés en acides aminés, sont présentées, notamment pour optimiser leur potentiel de développement de la masse protéique. Elles s’appliquent également aux porcs mâles immuno-castrés, qui peuvent être nourris comme les mâles entiers jusqu’à la deuxième vaccination contre les odeurs de verrat. Au-delà, leurs besoins en acides aminés essentiels sont nettement inférieurs à ceux des mâles entiers et les apports peuvent être diminués. Le risque d’odeurs de verrat de la viande est un problème crucial pour l’aval qui doit être maîtrisé en amont dans la production de mâles entiers. À cette fin, les impacts de l’incorporation de divers ingrédients alimentaires susceptibles de réduire les teneurs en scatol sont discutés, tant pour ce qui concerne leur efficacité que les mécanismes mis en œuvre. Avec une très faible adiposité de carcasse, les mâles entiers présentent une teneur en lipides intramusculaires inférieure à celle des femelles et des mâles castrés chirurgicalement, ce qui pénalise la qualité organoleptique de la viande. Par ailleurs, les acides gras du tissu adipeux des mâles entiers peuvent être fortement insaturés, ce qui modifie l’aptitude technologique au séchage des produits. La prise en compte de ces critères dans les cahiers des charges peut orienter les recommandations alimentaires.
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GEAY, Y., G. RENAND, J. ROBELIN, and C. VALIN. "Possibilités d’améliorer la productivité et la qualité des produits de la filière viande." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 2, 1991): 41–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4316.

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Abstract:
La filière viande est confrontée à un double problème de réduction des coûts de production, et d’amélioration de la qualité des produits. Parmi les principaux axes explorés par la Recherche dans ce domaine, l’attention a été focalisée sur la physiologie de la croissance, sa maîtrise par la nutrition et la sélection et enfin la technologie de la viande. Les caractéristiques biologiques des fibres musculaires conditionnent en partie les caractéristiques qualitatives des muscles. Il est donc important de bien connaître les mécanismes de mise en place des différents types de fibres au cours de la différenciation. Par ailleurs, l’étude du contrôle nutritionnel et hormonal et du déterminisme génétique de l’évolution des fibres, au cours du développement, doit permettre de proposer des méthodes d’élevage adaptées à l’élaboration d’un produit capable de satisfaire la filière et le consommateur. Un effort important est consacré à la mise au point de méthodes d’appréciation de la qualité du produit pour remplacer le système de cotation actuel reposant sur une appréciation subjective de la carcasse. Il s’agit de mesurer plus précisément le rendement en muscles, mais aussi les caractéristiques de cette matière première oui déterminent les qualités organoleptiques et hygiéniques de la viande. La maîtrise des procédés de transformation, depuis la technologie d’abattage, le ressuyage, l’automatisation de la découpe et du dessossage, jusqu’aux techniques de conditionnement et de restructuration de la viande sont autant de secteurs de recherches générateurs de progrès à moyen terme. Enfin, la maîtrise de la qualité nécessite une connaissance approfondie de la biochimie de la transformation du muscle en viande après l’abattage.
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PRACHE, S., M. THÉRIEZ, G. BÉCHET, H. CASSAGNES, P. AMBLARD, and P. LEBECQUE. "Complémentation des agneaux au pâturage pendant la phase d’allaitement. Interaction entre le niveau de complémentation et la quantité d’herbe offerte et effet sur le niveau de parasitisme." INRAE Productions Animales 5, no. 2 (May 29, 1992): 137–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.2.4228.

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Abstract:
Pour étudier l’effet de l’apport de concentré à des agneaux à l’herbe pendant la phase d’allaitement, des agneaux d’herbe consommant à volonté du maïs grain humide ont été mis en comparaison avec des agneaux non complémentés, pendant deux années consécutives. Trente six brebis Ile de France allaitant des doubles ont été utilisées pour ces deux expériences ; elles ont pâturé en rotation une prairie naturelle à un chargement de 12 brebis/ha. Les agneaux étaient âgés de 7 semaines en début d’expérience et de 16 semaines à la fin de la période de pâturage. Ils ont ensuite été finis en bergerie et, après abattage, la qualité de la carcasse a été appréciée. L’effet de la complémentation sur la vitesse de croissance des agneaux au pâturage et sur la qualité de la carcasse a été variable d’une expérience à l’autre. Des différences dans la quantité d’herbe offerte aux animaux pouvaient être à l’origine de ces résultats. C’est pourquoi nous avons réalisé une 3ème expérience, dans laquelle 24 brebis ont été réparties 8 semaines après mise bas en 4 lots au pâturage : deux niveaux de quantité d’herbe offerte x deux niveaux de complémentation. La quantité d’herbe offerte était de 57,0 (H) et 38,5 (B) g MO/kg PV.j. Les agneaux étaient soit complémentés à volonté avec du maïs grain (C), soit non complémentés (NC). Les animaux ont pâturé en rotation une prairie de fétuque elevée. Pour le faible niveau d’herbe, la complémentation a permis d’augmenter la vitesse de croissance des agneaux au pâturage (287 g/j vs 226 g/j), alors qu’elle n’a eu aucun effet pour le niveau d’herbe élevé (277 g/j vs 276 g/j). C’est donc uniquement lorsque la quantité d’herbe offerte a été faible que la complémentation des agneaux a permis d’améliorer leur vitesse de croissance. Elle a également réduit le niveau de parasitisme, même lorsque les quantités d’herbe offertes étaient importantes. Enfin, elle a conduit à une amélioration de la fermeté du gras dorsal, lorsqu’elle a permis de réduire la durée de finition en bergerie.
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THERIEZ, M. "Elevage et alimentation du cerf (Cervus Elaphus). 2. Elevage des jeunes et production de viande." INRAE Productions Animales 2, no. 2 (May 10, 1989): 105–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.2.4405.

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Abstract:
La croissance des animaux, de la naissance à l’âge adulte, ainsi que les caractéristiques de la carcasse des cerfs sont présentées dans cet article. Le jeune faon qui pèse de 8 à 9 kg à la naissance, a une croissance rapide pendant la phase d’alimentation lactée. Cette croissance varie entre 250 et 450 g/j selon le niveau alimentaire de sa mère. Elle dépend également du sexe du faon (+ 20 à + 50 g/j pour les mâles par rapport aux femelles) et de son poids à la naissance (1 kg supplémentaire l’améliore de 5 à 15 g/j). Le sevrage, qui peut être réalisé en septembre ou en novembre, avant ou après le brame, entraîne une chute de croissance de 20 à 50 g/j selon la production laitière de la mère. La croissance restera voisine de 200-250 g/j jusqu’à la fin novembre pour diminuer ou s’annuler de décembre à fin février et reprendre à partir de mars, elle variera entre 150 et 250 g/j au cours de la deuxième année au pâturage. L’apport d’aliment concentré (jusqu’à 1 kg/j) en hiver permet de maintenir un gain quotidien de 100 g/j environ mais, après mise à l’herbe, les animaux ainsi traités ont une croissance réduite d’environ 50 g/j par rapport aux témoins. Le poids atteint au cours du second automne représente 70 à 75 % du poids adulte pour les biches mais 50 % seulement pour les cerfs. Les femelles atteignent leur poids adulte vers 4 ou 5 ans et les mâles poursuivent leur croissance jusqu’à 8-9 ans. Le rendement en carcasse des cerfs d’élevage est élevé (55 à 58 %). Leur carcasse se caractérise par une forte proportion de muscles et très peu de tissu adipeux sauf chez les mâles adultes avant le brame, chez lesquels ce tissu peut dépasser 20 % du poids de carcasse. Le cerf est un animal « tardif » qui ne commence à déposer une quantité importante de gras qu’à partir de 16-18 mois, lorsqu’il a atteint plus de 50 % de son poids potentiel adulte. Les besoins stricts pour la croissance sont voisins de 4 Mcal EM par kg de gain chez le faon de 60 kg, ils atteignent 5 Mcal pour des animaux de 90 kg. Les besoins d’entretien sont relativement plus élevés : 0,2 Mcal EM/kg P0,75. Les manipulations pour regrouper les animaux et les traitements avant abattage peuvent avoir un effet très défavorable sur la qualité de la viande dont les muscles restent à un pH élevé (supérieur à 6) 24 h post-mortem chez les animaux stressés lors de ces opérations.
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SOULAT, Julien, Cécile SIBRA, Brigitte PICARD, and Valérie MONTEILS. "Quelles pratiques d’élevage pour piloter la qualité des carcasses et de la viande au cours de la vie des génisses ?" INRAE Productions Animales 35, no. 3 (December 15, 2022): 187–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.3.7173.

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Abstract:
Les travaux étudiant la relation entre l’élevage des bovins et la qualité des carcasses ou de la viande portent généralement sur l’effet de facteurs d’élevage (de la période de finition) pris individuellement. Peu de recherches traitent de l’effet des pratiques d’élevage (combinaisons de plusieurs facteurs d’élevage) appliquées tout au long de la vie de l’animal sur la qualité de ces deux produits. Les objectifs de cette synthèse sont i) de mettre en évidence l’impact des pratiques d’élevage sur la qualité des carcasses et de la viande et ii) d’identifier des leviers d’action mobilisables au cours de la vie des génisses pour améliorer ces qualités. Les résultats montrent que les pratiques d’élevage mises en œuvre lors des différentes phases de vie des génisses (allaitement, croissance, finition) peuvent avoir des effets sur la qualité des carcasses et de la viande. Les propriétés des carcasses apparaissent plus sensibles aux changements de pratiques d’élevage que celles de la viande. A chaque période de vie, un ou plusieurs facteurs d’élevage permettent d’améliorer la qualité des carcasses (n = 9) et/ou de la viande (n = 3). Seul l’âge à l’abattage est commun au pilotage de la qualité des carcasses et de la viande, tous les autres sont spécifiques. Les leviers identifiés n’ont pas d’effets antagonistes sur la qualité de ces deux produits. Ainsi en élevage, grâce à des pratiques adaptées tout au long de la vie des génisses, un pilotage conjoint de la qualité des carcasses et de la viande est possible.
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AGABRIEL, J., J. P. GAREL, J. LASSALAS, M. PETIT, Y. Vantomme, P. Maronne, and F. Decuq. "Engraissement des vaches de réforme du troupeau allaitant en conditions de montagne." INRAE Productions Animales 4, no. 5 (December 2, 1991): 389–97. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.5.4353.

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Abstract:
Cent dix-huit vaches (86 de race Salers et 32 Limousines) ont été mises en expérience pendant 3 ans sur les domaines INRA de Marcenat (Cantal) et Laqueuille (Puy-de-Dôme) pour connaître les conditions de production de carcasses de vaches de réforme lorsque le régime alimentaire est à base de foin. Les foins, de valeur alimentaire très variable (DMO entre 58,5 et 64,0), ont été récoltés par beau temps, en demi-montagne (1000 m). C’est l’évolution de l’état d’engraissement moyen (note 3,5 - 4,0 sur 5) qui a déterminé la date d’abattage. Les vaches Salers d’état initial moyen (note 2 à 2,5) ont ainsi produit des carcasses de 350 kg environ, en 55-60 jours d’engraissement, en ingérant de 2,0 à 2,2 kg MS/100 kg poids vif/j. Il a fallu complémenter le fourrage avec un minimum de 5 kg/j de concentré pour obtenir des reprises de poids de l’ordre de 1000 - 1100 g/j et à l’abattage une proportion de dépôts adipeux de 16 à 17 % dans la masse corporelle, soit 19 à 20 % dans la carcasse (DACA). Lorsque les états d’engraissement initiaux sont plus faibles, allonger la durée d’engraissement ne modifie pas la croissance moyenne d’un lot, et permet d’obtenir des carcasses d’état et de poids comparables : il faut compter au minimum 12 jours supplémentaires d’engraissement pour un écart initial de 0,8 points de note. De même, diminuer l’apport de concentré à 3 kg/j allonge la durée d’engraissement de 10 jours environ et n’entraîne que peu de différence de poids et d’état final des carcasses. Dans les mêmes conditions d’engraissement, les carcasses des vaches Limousines sont d’un poids satisfaisant (330 kg) mais d’un état insuffisant (15 % DACA). Le faible niveau d’ingestion de foin (10 % de moins que les Salers) limite l’énergie disponible pour l’engraissement. Pour ce type de vaches il faut s’assurer d’une excellente qualité des fourrages de base, et distribuer plus de 50 % de la ration sous forme de concentré.
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DUMONT, R., M. ROUX, C. TOURAILLE, J. AGABRIEL, D. MICOL, D. CONTOUR, and M. C. BAYLE. "Engraissement des vaches de réforme de race Charolaise. Effet d’un apport de tourteau de lin sur les performances d’engraissement et les propriétés physico-chimiques et sensorielles de la viande." INRAE Productions Animales 10, no. 2 (April 7, 1997): 163–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.2.3992.

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Abstract:
L’utilisation du tourteau de lin comme complément protéique des rations de finition des vaches de réforme de race Charolaise a été étudiée au cours de deux essais successifs. L’objectif était d’évaluer, par comparaison au tourteau de soja, l’effet d’un tourteau de lin dosant 2,5 % de matières grasses, à deux niveaux d’apport, sur la reprise de poids, l’efficacité alimentaire, les dépôts de muscle et de tissu adipeux et les propriétés sensorielles et physico-chimiques des viandes. Pour chaque essai, 45 vaches d’un âge moyen de 5 ans et demi ont été réparties en 5 lots homogènes sur des critères d’âge, de poids vif et d’état d’engraissement : un lot de 5 vaches a été abattu au début de la période d’engraissement comme témoin initial maigre et 4 lots de 10 vaches (soja 90, lin 90, soja 160, lin 110) ont été engraissés avec des régimes isoénergétiques et à proportion constante d’aliments concentrés, composés d’ensilage de maïs, de pulpes de betteraves déshydratées et de tourteaux de soja ou de lin. Les lots soja 90 et lin 90 ont reçu respectivement 0,65 kg de MS de tourteau de soja et 1,4 kg de MS de tourteau de lin par vache et par jour, soit un niveau de 90 g de PDI par UFL pour l’ensemble de la ration. Les lots soja 160 et lin 110 ont reçu respectivement 3,5 et 4 kg de MS de tourteau de soja et de tourteau de lin soit 160 et 110 g de PDI par UFL. Toutes les vaches ont été abattues à même durée moyenne d’engraissement, soit 80 jours pour l’essai 1 et 58 jours pour l’essai 2. La reprise de poids obtenue avec le tourteau de lin est d’un niveau élevé, en moyenne 1500 g par jour, et au minimum égale à celle observée avec le tourteau de soja. Elle ne varie pas significativement avec le niveau protéique des rations et s’explique par un niveau d’ingestion également important, de 14,1 à 14,5 kg de MS par vache et par jour respectivement pour les essais 1 et 2. Les vaches, abattues à un poids vif moyen de 710 kg, produisent des carcasses pesant 392 kg ce qui correspond à un rendement vrai de 65,1 % et à un rendement commercial de 54,2 %. La source protéique comme le niveau azoté des rations n’ont pas d’effet significatif sur les poids vifs vides et de carcasse, sur les rendements à l’abattage ou la conformation des carcasses. A même poids de carcasse et à même durée d’engraissement, l’apport de tourteau de lin favorise l’engraissement des animaux. Ainsi lorsqu’il est distribué à raison de 1,4 kg de MS par vache et par jour, les dépôts adipeux sous-cutanés ont tendance à s’accroître (+ 13 %). A un niveau d’apport de 4 kg, cet engraissement s’accentue au niveau sous-cutané (+ 25 %), du gras du 5ème quartier (+ 12 %), du tissu adipeux de la carcasse (+ 10 %) et des lipides intramusculaires (+ 7 et + 19 % selon le muscle). Pour le niveau protéique de 90 g de PDI par UFL, le poids de muscle déposé au cours de la finition se situe entre 22 et 24 kg quelle que soit la nature du tourteau. La suralimentation protéique réalisée avec le tourteau de lin se traduit par un dépôt supplémentaire de gras (de + 6 à + 9 kg) alors qu’avec le tourteau de soja, c’est la synthèse musculaire qui a tendance à s’accroître. Les analyses sensorielles et physico-chimiques montrent que l’apport de tourteau de lin en remplacement du tourteau de soja n’améliore ni ne détériore la qualité organoleptique des viandes.
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POMMIER, S. A., P. M. FLIPOT, and G. LALANDE. "QUALITÉ DES CARCASSES DES TAURILLONS HOLSTEIN ALIMENTÉS À DEUX NIVEAUX D'ORGE EN PÉRIODE DE FINITION." Canadian Journal of Animal Science 67, no. 3 (September 1, 1987): 855–58. http://dx.doi.org/10.4141/cjas87-088.

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Abstract:
We studied the effects of two levels of barley in the finishing period on the carcass characteristics of 129 Holstein bulls reared on different feeding systems. Greater fat thickness (P < 0.05) was associated with higher barley levels in the finishing period. Animals fed barley ad libitum produced a greater proportion of grade A1 and B1 carcasses compared to animals fed only 5 kg of barley (28.0 and 48.0% vs. 12.0 and 37.0%, respectively, P < 0.05). Key words: Carcass, Holstein bulls, energy levels, barley, management
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Awodola-Peters, O. O., M. O. Yahaya, K. Y. Oganija, B. O. Adetoro, M. O. Bolarinwa, A. A. Saka, and A. O. Akinyemi. "Effect of dietary chili pepper (Capiscum annum) supplementation on carcass characteristics, proximate composition and lipid profile of broiler chickens." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 6 (January 18, 2022): 209–16. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i6.3295.

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Abstract:
Consumer awareness to quality poultry products and the ban and/or restricted use of antibiotic growth promoter has necessitated the use of natural alternatives. Chili pepper is a natural alternative that contain phytochemical compounds that exhibits pharmacological properties among others. While there are reports on the effects of dietary chili pepper as an antioxidant and antimicrobial, there are sparse information on its effect on carcass characteristics and quality of broiler chickens. A 7-week trial was conducted to assess the effect of dietary chili pepper (DCP) supplementation on the carcass characteristics of broiler chickens, proximate composition and lipid profile of the meat. Fresh chili peppers used were air dried, milled and stored in air tight container, and then supplemented into the experimental diets at varying levels of 0, 0.1, 0.2 and 0.3% respectively to formulate four dietary treatments. One hundred and forty-four 1-old broiler chicks were randomly assigned into four treatment groups of 36 birds per treatments, replicated three times with 12 birds per replicate in a completely randomized design. The carcass characteristics of the broiler chickens were measured using two randomly selected birds per replicate. Meat samples collected from the breast, thigh and drumstick region were homogenized to determine proximate composition and lipid profile. Data obtained were subjected to analysis of variance. Results showed that the DCP supplementation had no influence (p>0.05) on the carcass characteristics of broiler chicken measured. The DCPsupplementation significantly (p<0.05) influenced the proximate composition of the meat samples across dietary treatments. The dry matter, crude protein and ash contents of meat sample collected varied significantly (p<0.05) across the dietary treatments as DCP supplementation increased. Birds fed on 0.1% DCP-supplementation recorded the highest dry matter (29.93%), crude protein (26.38%) and ash (1.65%) contents. The DCP supplementation significantly (p<0.05) influenced the lipid profile of meat of broiler chicken across dietary treatments. Birds fed 0.1 and 0.2% DCP supplementation had the highest cholesterol values followed by those fed 0.3 and 0% DCPsupplementation respectively. The triglycerides values of the meat sample increased across the dietary treatment as DCP supplementation increased. Birds fed 0.2% DCP supplementation recorded the highest high density lipoprotein (16.83 mg/dL) when compared with other means values. The low density lipoprotein values of the meat sample collected varied (17.53 - 36.40 mg/dL) significantly across the dietary treatments as DCP supplementation increased. It was therefore concluded that chili pepper can be supplemented at 0.1% in broiler chickens' diet to increase crude protein and inorganic contents of the meat and at 0.2% to improve lipid profile of broiler chicken meat. La sensibilisation des consommateurs aux produits avicoles de qualité et l'interdiction et/ou l'utilisation restreinte d'antibiotiques activateurs de croissance ont nécessité l'utilisation d'alternatives naturelles. Le piment est une alternative naturelle qui contient des composés phytochimiques qui présentent entre autres des propriétés pharmacologiques. Bien qu'il existe des rapports sur les effets du piment alimentaire en tant qu'antioxydant et antimicrobien, il existe peu d'informations sur son effet sur les caractéristiques de la carcasse et la qualité des poulets à griller. Un essai de 7 semaines a été mené pour évaluer l'effet de la supplémentation alimentaire en piment chili (APC) sur les caractéristiques de la carcasse des poulets à griller, la composition immédiate et le profil lipidique de la viande. Les piments frais utilisés ont été séchés à l'air, broyés et stockés dans un récipient hermétique, puis ajoutés aux régimes expérimentaux à des niveaux variables de 0, 0,1, 0,2 et 0,3 % respectivement pour formuler quatre traitements diététiques. Cent quarante-quatre poussins de chair âgés d'un an ont été répartis au hasard en quatre groupes de traitement de 36 oiseaux par traitement, répliqués trois fois avec 12 oiseaux par réplicat dans une conception complètement randomisée. Les caractéristiques de la carcasse des poulets à griller ont été mesurées en utilisant deux oiseaux sélectionnés au hasard par répétition. Des échantillons de viande prélevés dans la région de la poitrine, de la cuisse et du pilon ont été homogénéisés pour déterminer la composition immédiate et le profil lipidique. Les données obtenues ont été soumises à une analyse de variance. Les résultats ont montré que la supplémentation en APC n'avait aucune influence (p>0,05) sur les caractéristiques de la carcasse des poulets à griller mesurées. La supplémentation en APC a influencé de manière significative (p<0,05) la composition immédiate des échantillons de viande à travers les traitements diététiques. La teneur en matière sèche, en protéines brutes et en cendres de l'échantillon de viande collecté variait considérablement (p<0,05) selon les traitements diététiques à mesure que la supplémentation en APC augmentait. Les oiseaux nourris avec 0,1% de supplémentation en APC ont enregistré les teneurs les plus élevées en matière sèche (29,93%), en protéines brutes (26,38%) et en cendres (1,65%). La supplémentation en APC a influencé de manière significative (p<0,05) le profil lipidique de la viande de poulet à griller à travers les traitements diététiques. Les oiseaux nourris avec une supplémentation en APC à 0,1 et 0,2% présentaient les valeurs de cholestérol les plus élevées, suivis de ceux nourris avec une supplémentation en APC à 0,3 et 0% respectivement. Les valeurs de triglycérides de l'échantillon de viande ont augmenté tout au long du traitement diététique à mesure que la supplémentation en APC augmentait. Les oiseaux nourris avec une supplémentation en APC à 0,2% ont enregistré la lipoprotéine de haute densité la plus élevée (16,83 mg/dL) par rapport aux autres valeurs moyennes. Les valeurs de lipoprotéines de faible densité de l'échantillon de viande prélevé variaient de 17,53 à 36,40 mg/dL de manière significative selon les traitements diététiques à mesure que la supplémentation en APC augmentait. Il a donc été conclu que le piment peut être complété à 0,1% dans le régime alimentaire des poulets à griller pour augmenter la teneur en protéines brutes et inorganiques de la viande et à 0,2% pour améliorer le profil lipidique de la viande de poulet à griller
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LIENARD, G., M. LHERM, M. C. PIZAINE, J. Y. LE MARECHAL, B. BOUSSANGE, D. BARLET, P. ESTEVE, and R. BOUCHY. "Productivité de trois races bovines françaises, Limousine, Charolaise et Salers. Bilan de 10 ans d’observations en exploitations." INRAE Productions Animales 15, no. 4 (September 15, 2002): 293–312. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.4.3709.

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Abstract:
Des suivis d’élevages de vaches allaitantes ont été mis en place, dès 1971 en Limousin, Charolais et Salers, en vue de recueillir des références et d’évaluer les potentiels des systèmes de production, puis de juger des évolutions à moyen et long termes. Parmi les résultats nécessaires à l’interprétation des marges et revenus, figurent la productivité numérique en veaux, les caractéristiques des bovins vendus, la dynamique des troupeaux. Des bilans sur dix années sont présentés pour les trois races, chacune étant exploitée dans son propre milieu selon des systèmes de production très divers. La productivité numérique se constitue de façon variable. La plus ou moins grande facilité de vêlage influence à la fois le taux de gestation et la mortalité des veaux. Le système de production intervient aussi : la durée de la période des vêlages influe sur le taux de gestation et les intervalles entre vêlages ; la valeur du taux de réforme détermine l’âge moyen du troupeau&nbsp;; la manière dont sont effectuées les réformes influe sur les performances ultérieures. La productivité numérique baisse à partir de l’âge de 9 à 11 ans, la chute s’accélère à partir de 13-14 ans, à la fois par la réduction du taux de gestation et par la hausse de la mortalité des veaux. Le poids maximum de carcasse des vaches de réforme est atteint à 6-7 ans puis il diminue régulièrement avec l’âge. Le prix du kg de carcasse est maximum dès 3 à 4 ans et diminue ensuite, plus fortement pour les vaches les plus âgées, plus fortement aussi lors de la période récente. Car depuis la première crise de l’ESB, et plus encore depuis la seconde, les circuits de vente sous signe de qualité ont recherché exclusivement les jeunes vaches. Si cela n’occasionne pas de difficulté en Charolais avec des taux de réforme supérieurs à 20 %, cela pose des problèmes en Limousin où les taux de réforme sont de 14 à 18 % selon le système, et plus encore en Salers où ils sont inférieurs à 13 % lorsque le croisement avec taureau Charolais est pratiqué. Le rajeunissement des troupeaux en Limousin et Salers est un enjeu collectif qui devrait permettre un progrès génétique plus rapide et une meilleure valorisation des vaches de réforme dans les filières de qualité.
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LEGRAND, I., Jean-François HOCQUETTE, C. DENOYELLE, and C. BIÈCHE-TERRIER. "La gestion des nombreux critères de qualité de la viande bovine : une approche complexe." INRA Productions Animales 29, no. 3 (December 12, 2019): 185–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.3.2959.

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Abstract:
La filière bovine est importante en Europe, mais doit faire face à un contexte économique difficile, notamment en raison d’une baisse régulière de la consommation de viande par personne. Les opérateurs de l’élevage à la transformation dégagent peu de marges et les circuits de commercialisation sont de plus en plus complexes et déconnectés de la carcasse, base sur laquelle est encore rémunéré l’éleveur. En parallèle, les comportements des consommateurs évoluent par leurs lieux d’achat, la nature des produits consommés et les attentes qui se sont diversifiées au fil des années, amenant la recherche et le développement à élargir largement son champ d’action. Alors que les actions étaient centrées sur la production et son efficacité dans les années 1970-80, le champ de recherche a progressivement pris en compte les caractéristiques intrinsèques de la viande que sont les qualités sensorielles, sanitaires et nutritionnelles. S’y sont ajoutées plus récemment des qualités associées au produit (appelées qualités extrinsèques) répondant à des attentes sociétales larges, en lien avec les modes de production : bien-être animal, impact environnemental et durabilité des élevages. Cet article a pour objectif de présenter des approches de recherche transversales et intégrées qui sont souvent les seules à apporter les résultats escomptés, ainsi qu’illustré pour la maîtrise d’un risque sanitaire ou la prédiction de la qualité d’une viande en bouche. Certaines lacunes dans les connaissances subsistent encore sur ces aspects, mais de nombreux résultats sont disponibles, bien qu’ils ne soient pas toujours pris en compte dans les pratiques des opérateurs. Des travaux en lien direct avec les attentes des consommateurs sont de plus en plus nécessaires. La recherche doit apporter des outils intégratifs pour prédire de façon objective les qualités intrinsèques de la viande, mais aussi ses qualités extrinsèques. Un fort besoin d’innovation se fait effectivement ressentir pour conquérir de nouveaux marchés et répondre aux attentes sociétales. La combinaison des qualités intrinsèques et extrinsèques afin de mieux satisfaire les consommateurs est un enjeu majeur pour l’avenir de la filière viande bovine et plus largement de la filière viande de ruminants.
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Egbeyale, L. T., O. Uza, A. A. Ayoola, R. A. Sobayo, O. O. Adeleye, O. Y. Ayo-Ajasa, F. A. Adewole, O. C. Ojetunji, and I. E. Oguntayo. "Effect of neem (Azadirachta indica) leaves infusion on growth performance and carcass quality of broiler chickens." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 142–51. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2906.

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Abstract:
This study was conducted to determine the effect of neem leaf infusion on growth parameters, carcass characteristics and meat quality of broiler chicken. One hundred and sixty, seven days old broiler chicks of cob strain were used for the experiment which was laid out in a completely randomized design (CRD). Each group was sub-divided into four replicates of 10 birds. The chicks in group 1 served as control and antibiotics were administered to them while 0.1, 0.2 and 0.3% concentration of neem leaf infusion were administered to bird on groups 2, 3 and 4, respectively. The period of experiment was six weeks. The birds were fed ad libitum. One bird close to average final weight was selected randomly in each replicate and was slaughtered at 42nd day of the experiment. Meat samples from breast muscle of the bird were subjected to cooking weight loss, refrigeration weight loss and sensory evaluation. The data obtained were subjected to one-way Analysis of Variance. Results revealed that there were no significant (p>0.05) effects of neem leaf infusion on weight gain and feed conversion ratio while water intake was influenced (p<0.05) at the starter phase across the treatment groups. It was only feed intake that was influenced (P<0.05) by the Neem leaf infusion (NLI) at the finisher phase. The heart was the only parameter that was significantly (p<0.05) affected among the carcass parameters. The cooking loss increased (P<0.05) with higher concentration of the infusion while refrigeration weight loss percentages were similar (P>0.05) across the treatments. The result on Sensory evaluation showed that only colour, tenderness and overall flavour were significantly (P<0.05) influenced. The study concluded that administration of aqueous Neem (Azadirachta indica) leaf infusion in drinking water of broiler chicken as alternative to antibiotics did not pose any adverse threat on the performance and meat quality of broiler chicken. Cette étude a été menée pour déterminer l'effet de l'infusion de feuilles de neem sur les paramètres de croissance, les caractéristiques de la carcasse et la qualité de la viande du Effect of neem (Azadirachta indica) leaves infusion on growth performance and carcass quality of broiler chickens poulet de gril. Cent soixante poussins de poulet à griller de sept jours de souche d'épi ont été utilisés pour l'expérience qui a été présenté dans une conception complètement randomisée (le 'CRD'). Chaque groupe a été subdivisé en quatre répliques de 10 oiseaux. Les poussins du groupe 1 ont servi de contrôle et des antibiotiques leur ont été administrés tandis que 0,1, 0,2 et 0,3 % de concentration d'infusion de feuilles de neem ont été administrés à l'oiseau sur les groupes 2, 3 et 4, respectivement. La période d'expérience était de six semaines. Les oiseaux ont été nourris ad libitum. Un oiseau dont le poids final est proche de la moyenne a été sélectionné au hasard dans chaque réplique et a été abattu au 42e jour de l'expérience. Des échantillons de viande prélevés sur le muscle mammaire de l'oiseau ont été soumis à la perte de poids de la cuisson, à la perte de poids de réfrigération et à l'évaluation sensorielle. Les données obtenues ont fait l'objet d'une analyse à sens unique de la variance. Les résultats ont révélé qu'il n'y avait pas d'effets significatifs (p>0,05) de l'infusion de feuilles de neem sur le gain de poids et le rapport de conversion des aliments pour animaux, tandis que la prise d'eau a été influencée (p<0,05) à la phase de démarrage dans tous les groupes de traitement. Ce n'est que la prise d'aliments qui a été influencée (P<0,05) par l'infusion de feuilles neem (NLI) à la phase finale. Le cœur était le seul paramètre qui était significativement (p<0,05) affecté parmi les paramètres de la carcasse. La perte de cuisson a augmenté (P<0,05) avec une concentration plus élevée de l'infusion tandis que les pourcentages de perte de poids de réfrigération étaient similaires (P>0,05) à travers les traitements. Le résultat de l'évaluation sensorielle a montré que seules la couleur, la tendresse et la saveur globale étaient significativement influencées (P<0,05). L'étude a conclu que l'administration de feuilles de neem (Azadirachta indica) dans l'eau potable du poulet de gril comme alternatif aux antibiotiques ne posait aucune menace négative sur la performance et la qualité de la viande du poulet de gril.
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LECLERCQ, B. "Possibilités d’obtention et intérêt des génotypes maigres en aviculture." INRAE Productions Animales 2, no. 4 (October 10, 1989): 275–86. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.4.4421.

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Abstract:
La sélection pratiquée en aviculture sur la vitesse de croissance a conduit à la production d’animaux de plus en plus gras. Or l’importance des dépôts adipeux est un caractère à héritabilité élevée, ce qui autorise une sélection efficace vers la maigreur. Les sélections expérimentales réalisées jusqu’à présent utilisent comme paramètre soit l’efficacité alimentaire, soit les lipoprotéines plasmatiques de très basse densité soit l’importance du tissu adipeux abdominal mesuré sur collatéraux après abattage. Ces différentes méthodes ont permis d’obtenir aisément des génotypes maigres. Ceux-ci présentent toujours un indice de consommation plus faible, une meilleure efficacité de la transformation des protéines alimentaires en protéines corporelles, un meilleur rendement en carcasse et une plus forte proportion de muscles. L’orientation de la sélection de toutes les espèces avicoles vers une amélioration des qualités de carcasse et en particulier la réduction de l’état d’engraissement peut représenter un progrès notable en aviculture.
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Upah, S. O., A. I. Okwori, and K. T. Orayaga. "Performance, nutrients digestibility and economics of production of finisher broiler fed diets containing Euphorbia heterophylla leaf meal." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 5 (November 10, 2021): 223–38. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i5.3203.

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Abstract:
The high cost of feed has become a great challenge in poultry production. Good quality and cheap feed is therefore crucial for optimal growth performance of poultry chickens. In this study the effect of Euphorbia heterophylla Leaf Meal (EHLM) on the performance, carcass characteristics, nutrients digestibility and economics were evaluated. Broiler chicks numbering one hundred and eighty (180) of Ross 308 strain were fed for 4 weeks. The birds were randomly allotted to six experimental diets with three replications of 10 birds each. The diets were formulated with the inclusion of EHLMat 0, 5, 10, 15, 20 and 25% levels, for T1, T2, T3, T4, T5 and T6 which replaces soyabean meal respectively and data collected were subjected to analysis of variance in a completely randomized design. Results obtained indicated that the experimental diets significantly (P<0.05) affected the average feed intake and average daily protein intake, while the average daily weight gain, average feed conversion ratio, average daily protein efficiency ratio and average final live weight were not affected (P>0.05); mortality was not affected (P>0.05) by the diet. Carcass parameters, carcass cut and internal organs such as fasted liveweight, plucked weight, dressed weight, breast weight, thigh, drum stick, neck, shank and wings, heart, empty gizzard, lungs, spleen, pancreas, small intestine and esophagus weights showed no significant (P>0.05) difference while back, head, liver, proventriculus, kidney, abdominal fat, large intestine and caeca weight were significantly (P<0.05) different. The GIT length was affected (P<0.05) by the diet except the caeca length. The nutrient digestibility of CP and NFE did not showed significant (P>0.05) effect, but CF, EE and Ash were affected (P<0.05) by the dietary treatments. The nutrient digestibility of 5%, 10%, 15% and 25% were higher than the control diet(0%) for the five nutrients evaluated. The economics of production showed that feed cost (N/kg weight gain), total income (birds sold) and total profit (net gain) were not significantly (P>0.05) different while the feed cost (N/chicken), cost saving due to EHLM inclusion, total cost of production (N/chicken) and feed cost as percentage of total cost were significantly (P<0.05) affected by the test diets. The result showed that birds fed diet containing 15% have better economic advantage for optimum benefit. Therefore 15% EHLM replacement of soya bean is recommended for adoption for optimum growth performance, carcass yield, nutrient digestibility and economics of production in finisher broiler chicken. Le coût élevé des aliments pour animaux est devenu un grand défi dans la production avicole.Une alimentation de bonne qualité et bon marché est donc cruciale pour des performances de croissance optimales des poulets de volaille. Dans cette étude, l'effet de la farine de feuilles d'Euphorbia heterophylla (EHLM) sur la performance, les caractéristiques de la carcasse, la digestibilité des nutriments et l'économie ont été évalués. Des poussins de chair au nombre de cent quatre-vingts (180) de souche Ross 308 ont été nourris pendant 4 semaines. Les oiseaux ont été répartis au hasard dans six régimes expérimentaux avec trois répétitions de 10 oiseaux chacune. Les régimes ont été formulés avec l'inclusion d'EHLM à 0, 5, 10, 15, 20 et 25%, pour T1, T2, T3, T4, T5 et T6 qui remplace respectivement le tourteau de soja et les données collectées ont été soumises à une analyse de variance. dans une conception complètement aléatoire. Les résultats obtenus ont indiqué que les régimes expérimentaux affectaient significativement (P<0,05) la consommation alimentaire moyenne et la consommation quotidienne moyenne de protéines, tandis que le gain de poids quotidien moyen, le rapport de conversion alimentaire moyen, le rapport d'efficacité protéique moye quotidien et le poids vif final moyen n'étaient pas affectés ( P>0,05) ; la mortalité n'a pas été affectée (P>0,05) par le régime alimentaire. Les paramètres de la carcasse, la coupe de la carcasse et les organes internes tels que le poids vif à jeun, le poids plumé, le poids paré, le poids de la poitrine, le poids de la cuisse, de la baguette, du cou, du jarret et des ailes, le poids du cœur, du gésier vide, des poumons, de la rate, du pancréas, de l'intestin grêle et de l'œsophage ont été montrés aucune différence significative (P> 0,05) alors que le poids du dos, de la tête, du foie, du proventricule, des reins, de la graisse abdominale, du gros intestin et des caeca étaient significativement différents (P< 0,05). La longueur GIT a été affectée (P < 0,05) par le régime, à l'exception de la longueur des caeca. La digestibilité des nutriments du CP et du NFE n'a pas montré d'effet significatif (P>0,05), mais CF, EE et Ash ont été affectés (P<0,05) par les traitements diététiques. La digestibilité des nutriments de 5 %, 10 %, 15 % et 25 % était supérieure à celle du régime témoin (0 %) pour les cinq nutriments évalués. L'économie de la production a montré que le coût de l'alimentation (N/kg de gain de poids), le revenu total (oiseaux vendus) et le bénéfice total (gain net) n'étaient pas significativement différents (P>0,05) alors que le coût de l'alimentation (N/poulet), la réduction des coûts en raison de l'inclusion de l'EHLM, le coût total de production (N/poulet) et le coût des aliments en pourcentage du coût total ont été significativement (P<0,05) affectés par les régimes d'essai. Le résultat a montré que les oiseaux nourris avec un régime contenant 15 % ont un meilleur avantage économique pour un bénéfice optimal. Par conséquent, il est recommandé d'adopter un remplacement EHLM de 15 % du soja pour des performances de croissance optimales, un rendement en carcasse, une digestibilité des éléments nutritifs et des économies de production dans le poulet de chair de finition.
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LECLERCQ, B., and H. De CARVILLE. "Aliments de finition du canard de Barbarie : effets de leurs teneurs en protéines brutes sur les performances et la qualité de carcasse." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 129–31. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4444.

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Abstract:
On a comparé, chez le caneton de Barbarie mâle, les effets de régimes de finition (56-84 jours) présentant des teneurs différentes en protéines brutes (130 à 170 g/kg). Des performances satisfaisantes sont obtenues avec une concentration située entre 140 et 150 g par kg. Toutefois, des apports excédentaires tendent encore à améliorer la vitesse de croissance à raison de 0,55 g de gain de poids (56-84 jours) par g supplémentaire de protéines ingérées. Les teneurs en protéines brutes des aliments n’ont exercé aucun effet significatif sur l’état d’engraissement ni sur les rendements en parties comestibles à haute valeur commerciale (filets, cuisses + pilons).
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LARZUL, C., P. E ROY, G. MONIN, and P. SELLIER. "Variabilité génétique du potentiel glycolytique du muscle chez le porc." INRAE Productions Animales 11, no. 3 (June 3, 1998): 183–97. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.3.3937.

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Abstract:
Le potentiel glycolytique du muscle (PG) se réfère à la teneur en glycogène musculaire chez l’animal vivant et est défini comme le potentiel de production d’acide lactique lors de la glycolyse post mortem. Le PG varie selon le muscle considéré : il est plus fort dans les muscles de type blanc que dans les muscles de type rouge. La valeur du PG dépend aussi du moment de la mesure&nbsp;: elle est plus élevée lorsque le muscle est prélevé par biopsie sur l’animal au repos que lorsqu’il est prélevé sur la carcasse dans l’heure qui suit l’abattage. Une relation de type linéaire puis en plateau lie le pH ultime au PG, et la valeur-seuil de PG au-delà de laquelle le pH ultime reste constant dépend du muscle considéré. La valeur du PG est très fortement influencée par le gène majeur RN (viande acide), qui est à l’origine de la position très particulière occupée de ce point de vue par la race Hampshire ("effet Hampshire"). L’allèle RN-, responsable de l’augmentation substantielle (+ 70 %) de la teneur en glycogène des muscles de type blanc rapide (Long dorsal par exemple), est presque complètement dominant. En dehors du gène RN, le PG présente une variabilité polygénique appréciable (héritabilité de 20-25 %). Ce caractère est lié positivement au rapport muscle/gras de la carcasse et à la teneur en glycogène résiduel de la viande. Il est lié négativement au pH ultime et au rendement à la cuisson de la viande. Les animaux porteurs de l’allèle RN-se caractérisent par une forte élévation du rapport eau/protéines du muscle. Plusieurs faits indiquent que le métabolisme énergétique du muscle est à tendance plus oxydative chez les animaux à PG génétiquement plus fort. Le potentiel glycolytique du muscle, caractère mesurable chez l’animal vivant (sur une biopsie du Long dorsal), est un critère de sélection à prendre en considération pour l’amélioration génétique de la qualité de la viande de porc.
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Anigbogu, N. M., and N. N. N. Nwagbara. "Performance des chèvres Naines d'Afrique de l'Ouest alimentées à partir de résidus de maïs améliorés avec des fientes de volaille séchées." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 66, no. 2 (February 1, 2013): 51. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10141.

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Abstract:
La qualité nutritionnelle des fientes de volaille en remplacement de résidus de maïs a été évaluée chez 16 chèvres Naines d’Afrique de l’Ouest (WAD) en croissance (huit femelles et huit mâles âgés environ de huit mois) avec un poids vif moyen de 6,5 kg. Les chèvres ont été réparties dans quatre lots contenant respectivement 0 p. 100 (L1, lot témoin), 10 p. 100 (L2), 20 p. 100 (L3) et 30 p. 100 (L4) de fientes de volaille dans des régimes à base de résidus de maïs. Chaque animal a été alimenté ad libitum pendant 120 jours selon le régime assigné. La prise alimentaire, le gain de poids quotidien, le taux de conversion alimentaire et l’efficacité lipidique ont été dans l’ensemble plus élevés (p < 0,05) dans les régimes comportant des fientes de volaille que dans L1. Le coût par kilogramme d’aliment, le coût par kilogramme de gain de poids et le coût de production ont été en général moins élevés (p < 0,05) avec l’incorporation de fientes de volaille dans l’alimentation. Les gains, la marge brute, le retour sur investissement et les avantages relatifs de coûts ont été plus élevés (p < 0,05) dans les régimes comportant les fientes de volaille. Le rendement carcasse le plus élevé a été observé dans L4 (p > 0,05) et le plus faible dans L1. La cuisse, le dos, le flanc, le maigre, l’épaule, l’entrecôte, la graisse et les os ont été généralement améliorés (p < 0,05) par l’inclusion de fientes de volaille dans l’alimentation. Le ratio os / viande maigre a augmenté de façon similaire (p > 0,05) dans tous les lots, sauf dans L3 où il a été légèrement plus élevé. En conclusion, les chèvres WAD peuvent être alimentées à partir de régimes comportant des fientes de volaille afin d’accroître, d’une part, les performances comme le gain de poids, le taux de conversion alimentaire, le rendement de la carcasse et, d’autre part, les avantages économiques des agriculteurs.
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LEBRET, B. "Conséquences de la rationalisation de la production porcine sur les qualités des viandes." INRAE Productions Animales 17, no. 2 (May 20, 2004): 79–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.2.3555.

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Abstract:
Le porc est la viande la plus consommée en France actuellement. La production nationale a doublé depuis les années 60, grâce à la mise en place d’un plan de rationalisation de la production. Les performances techniques des élevages (prolificité, vitesse de croissance, proportion de tissus maigres des carcasses) ont fortement progressé, grâce aux importants progrès réalisés en génétique, en nutrition animale et dans la conduite des élevages. Ces gains de productivité ont permis de répondre à la demande croissante pour une viande de plus en plus maigre à un prix compétitif. Cependant, l’élevage porcin rationalisé est maintenant jugé responsable d’une détérioration de la qualité des produits proposés aux consommateurs. Après une présentation des composantes de la qualité des carcasses et des viandes de porc, l’article fait le point sur l’effet de l’accroissement de la productivité sur ces qualités. Les faits majeurs sont l’augmentation de la teneur en muscle des carcasses, ainsi que l’identification de gènes à effet majeur sur la qualité de viande (HAL et RN) et l’éradication des allèles défavorables n (dans les lignées maternelles) et RN-. L’indice de qualité de viande, seul critère de qualité inclus dans les programmes de sélection, est resté globalement stable depuis 20 ans dans les races contrôlées, conformément à l’objectif fixé. Une évaluation du progrès génétique réalisé en race Large White depuis 1977 montre une réduction du pH ultime et du rendement à la cuisson des viandes, alors que le taux de lipides intramusculaires, composante favorable aux propriétés sensorielles, est resté stable. L’aptitude à la transformation en produits secs de la bardière s’est dégradée, toutefois ce défaut peut être corrigé en partie par une alimentation appropriée distribuée aux animaux. En conclusion, la rationalisation de la production porcine a permis d’améliorer les qualités des carcasses, sans entraîner de dégradation majeure des qualités des viandes dans les races utilisées en production standard, voire de les améliorer dans les lignées où la fréquence des allèles n et RN- était élevée.
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Santé, V., X. Fernandez, G. Monin, and J. P. Renou. "Nouvelles méthodes de mesure de la qualité des viandes de volaille." INRAE Productions Animales 14, no. 4 (August 17, 2001): 247–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.4.3747.

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Abstract:
Cet article fait le point sur les développements techniques récents en matière de prédiction des qualités technologiques et sensorielles des viandes de volaille. Trois composantes de la qualité sont considérées : la qualité des carcasses, la qualité des viandes et l’authenticité qui correspond à une demande croissante de la part des producteurs, des distributeurs et des consommateurs. Les différentes applications de ces nouvelles méthodes sont exposées. Elles ont l’avantage d’être précises, robustes et non destructives. Toutefois, leur coût est souvent élevé et leur mise en œuvre dans le secteur industriel s’avère, à ce jour, difficile.
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Faye, Bernard, Mohammed Bengoumi, Samir Messad, and Yves Chilliard. "Estimation des réserves corporelles chez le dromadaire." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 1 (January 1, 2002): 69. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9849.

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Abstract:
La gestion des réserves corporelles par les herbivores est un moyen de répondre à la variabilité de la qualité et de l’accès aux ressources alimentaires. L’estimation de ces réserves représente un outil de pilotage pour les éleveurs. Chez le dromadaire, les données sur ces aspects sont quasi inexistantes. Le présent article a fait la synthèse de plusieurs travaux relatifs à des observations barymétriques permettant l’estimation du volume et du poids de la bosse, principale part des réserves adipeuses, l’estimation des relations entre les dimensions de la bosse et le poids de la carcasse et les relations entre le poids de la bosse et celui du gras périrénal. L’évaluation du nombre et de la taille des adipocytes permet de tester la pertinence de ces formes de stockage adipeux. Il existe notamment une relation positive entre la taille et le nombre des adipocytes de la bosse et ceux du gras périrénal. Les effets âge et sexe sont très marqués sur certains de ces critères. L’appréciation de quelques sites anatomiques a permis de construire une grille d’état corporel adaptée à l’espèce. Les résultats ont cependant montré que la bosse, du fait de la variabilité tant de son poids que de la taille des adipocytes, ne représentait pas un bon indicateur de l’état corporel.
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LEBRET, B., S. PRACHE, C. BERRI, F. LEFÈVRE, D. BAUCHART, B. PICARD, G. CORRAZE, F. MÉDALE, J. FAURE, and H. ALAMI-DURANTE. "Qualités des viandes : influences des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d'élevage." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3022.

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Abstract:
Cette synthèse présente l’influence des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d’élevage sur les qualités des viandes et des chairs des principales espèces animales d’élevage (porc, bovins, ovins, poulets, poissons). Les dimensions intrinsèques (composition des carcasses, qualités sensorielle, nutritionnelle et technologique) et extrinsèques (interactions entre productions animales et environnement, bien-être des animaux, origine des produits, authenticité des pratiques de production…) de la qualité des produits sont considérées. Dans toutes les espèces, le type génétique et la conduite alimentaire sont les principaux déterminants de la composition des carcasses. La nature de l’alimentation des animaux constitue le principal levier pour moduler la qualité nutritionnelle, toutefois le niveau d’enrichissement des viandes et chairs en acides gras, minéraux ou vitamines favorables à la santé humaine varie selon les espèces. Pour une espèce donnée, les caractéristiques des animaux, leurs conditions d’élevage et d’abattage interagissent pour déterminer les propriétés (teneurs en lipides, glycogène, myoglobine…) et le métabolisme péri et post-mortem des muscles, et consécutivement la qualité sensorielle des viandes ou chairs et de leurs produits. A l’inverse, la qualité technologique, composante importante dans les filières porc, poulet et poisson résulte essentiellement du type génétique et des conditions d’abattage des animaux et de transformation des viandes. Dans les différentes filières animales, les qualités extrinsèques des produits font partie intégrante de certaines démarches collectives ou privées et sont garanties aux consommateurs au travers des signes officiels de qualité. Elles visent à améliorer les interactions favorables entre les productions animales et l’environnement et/ou le bien-être des animaux, garantir l’origine des produits et/ou valoriser l’authenticité des méthodes de production et de transformation. Différents exemples sont développés pour illustrer la prise en compte par les acteurs des filières de cette demande croissante des consommateurs et plus largement des citoyens envers leur alimentation.
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Collobert, Jean-François, Francis Dorey, Virginie Dieuleveux, and Nicolas Quillien. "Qualité bactériologique de surface de carcasses de bovins." Sciences des Aliments 22, no. 3 (June 28, 2002): 327–34. http://dx.doi.org/10.3166/sda.22.327-334.

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BONNEAU, M. "Administration de GRF ou de somatotropine chez le porc et les volailles : effets sur les performances, la qualité des viandes et la fonction de reproduction." INRAE Productions Animales 5, no. 4 (October 29, 1992): 257–67. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.4.4239.

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Abstract:
Chez des porcs nourris à volonté, l’administration de somatotropine porcine (pST) pendant la période de finition entraîne une diminution de l’ingéré alimentaire (2-22%), une accélération de la croissance (jusqu’à 47%) et une amélioration de l’efficacité alimentaire (3-38%), en relation avec une réduction du dépôt de gras corporel (7-44%). Le pourcentage de muscles dans la carcasse est augmenté de 2 à 23%. En liaison avec l’augmentation du poids de certains organes (foie, coeur, etc.), le rendement à l’abattage est réduit de 1 à 4%. L’administration de GRF (Growth Hormone-Releasing Factor) ou d’un analogue du GRF a les mêmes effets qualitatifs que celle de pST. L’amplitude des effets de la pST peut varier en fonction : 1) de la dose de pST. L’ingéré alimentaire et le dépôt de gras décroissent linéairement avec la dose alors que la réponse en termes d’efficacité alimentaire ou de dépôt de muscle plafonne au delà de la dose seuil qui permet d’obtenir la vitesse de croissance maximale. 2) des modalités d’administration. Les formes d’administration lente semblent moins efficaces qu’une injection journalière. 3) de l’âge et du poids. Les effets de la pST administrée pendant la phase de croissance ou chez des porcs lourds sont similaires, qualitativement et quantitativement, à ceux observés pendant la période de finition. 4) du génotype, du sexe et de la castration. Les effets de la pST sont d’autant plus importants que le potentiel de croissance musculaire de l’animal est plus faible. Les effets de la pST sur le pourcentage des différents types de fibres musculaires ne sont pas clairs, bien que l’on observe une augmentation générale de leur surface de section transversale. Les effets de la pST sur les caractéristiques musculaires peuvent varier fortement selon le muscle considéré. Les propriétés physiques et sensorielles de la viande ne sont généralement pas ou peu modifiées par le traitement pST. Outre l’impact sur la composition du muscle et du gras, on observe assez souvent une légère dégradation de la tendreté. L’impact d’un traitement par la pST sur la venue en puberté des cochettes n’est pas clair. Il semble bien cependant que, s’il devait y avoir un effet négatif, celui-ci soit facilement réversible, dès l’arrêt du traitement. L’administration de pST pendant la gestation n’a aucun effet sur la portée. L’intérêt d’un traitement par la pST pendant la lactation reste controversé. Bien que la somatotropine semble être impliquée dans la régulation de la croissance chez les oiseaux, l’administration de GRF ou de somatotropine n’a que des effets transitoires (ou même, le plus souvent, aucun effet) sur les performances de croissance et la composition des carcasses de poulet...
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Pulkrábek, J., J. Pavlík, L. Vališ, and M. Vítek. "Pig carcass quality in relation to carcass lean meat proportion." Czech Journal of Animal Science 51, No. 1 (December 5, 2011): 18–23. http://dx.doi.org/10.17221/3904-cjas.

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Abstract:
The objective of the study was to quantify differences in the carcass composition of pig carcasses with different lean meat proportions. Totally 132 carcasses with lean meat proportions ranging from 45 to 65% were analysed. The average lean meat proportion in the analysed set of carcasses was 55.38% (s = 4.319). The carcasses were classified into the groups according to their lean meat proportion (R, 45.0 to 49.9%; U, 50.0 to 54.9%; E, 55.0 to 59.9%; S, more than 60.0%). Carcasses from each group were cut into primal cuts and the main cuts (leg, loin, shoulder and belly with bones) were further separated into different tissues. Carcass value was markedly enhanced by the increasing carcass lean meat proportion. Average leg percentages in the groups R, U, E and S were 17.88% (s = 0.918), 19.32% (s = 0.889), 20.88% (s = 0.817) and 21.88% (s = 0.827), respectively. Average proportions of fat over leg expressed as percentages of leg weight in these groups were 5.82% (s = 0.402), 4.87% (s = 0.556), 4.05% (s = 0.479) and 3.21% (s = 0.321), respectively. Lean meat proportions of leg weight were improved from 84.93% (s = 1.136) in the group R to 88.12% (s = 0.986) in the group S. The most distinct differences were found in lean proportions of belly weight. The observed averages in the group R and S were 43.90% (s = 2.729) and 62.10% (s = 2.219), respectively. Actually, in carcasses with a high classification score the belly can be considered as a cut with the predominant muscle tissue. The results of the study proved the efficiency of carcass evaluation based on the lean meat proportion. Such a method can significantly contribute to the overall improvement of pig production. &nbsp;
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Kempster, A. J., and A. S. Monk. "How well do bacon grade schedules reflect carcass composition?" Proceedings of the British Society of Animal Production (1972) 1986 (March 1986): 40. http://dx.doi.org/10.1017/s0308229600015518.

Full text
Abstract:
Most bacon carcasses in Britain are measured, within the national Pig Carcase Classification Scheme operated by the Meat and Livestock Commission (MLC), for P2 fat thickness, shoulder and loin fat thicknesses and carcass length. Bacon curers use these measurements to define the grading schedules most appropriate to their buying requirements.There is debate about the value of mid-line fat measurements and length as indicators of carcass quality. The scientific evidence indicates that mid-line measurements are less precise predictors of carcass lean content than P2, and that the mid-line loin measurement is superior to the mid-line shoulder measurement.However, it is argued that the mid-line measurements may have special regional value: eg as predictors of carcass lean content in individual joints. The analysis reported uses a computer model (PIGRADER) to examine overall lean in carcass, the composition of individual joints and joint proportions for alternative grading schedules.
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Díaz, M. T., J. de la Fuente, S. Lauzurica, C. Pérez, S. Velasco, I. Álvarez, F. Ruiz de Huidobro, E. Onega, B. Blázquez, and V. Cañeque. "Use of carcass weight to classify Manchego sucking lambs and its relation to carcass and meat quality." Animal Science 80, no. 1 (February 2005): 61–69. http://dx.doi.org/10.1079/asc41260061.

Full text
Abstract:
Eighty-seven Manchego sucking lambs raised exclusively on maternal milk were slaughtered. The carcasses were weighed immediately after dressing and classified according to hot carcass weight (HCW): low HCW (<5.5 kg), medium HCW (5.5 to 6.5 kg) and high HCW (≥ 6.5 kg). The effects of this classification system on carcass and meat quality were studied. Carcass conformation improved as carcass weight increased; carcasses became more compact. Carcass fatness increased (P < 0.001) as carcasses became heavier. With regard to the joints, leg (P < 0.001) and shoulder (P < 0.05) proportions decreased as carcass weight increased, whereas loin-rib (P < 0.001) and flank (P < 0.001) proportions increased. The proportion of fat in the leg clearly increased in the heavier carcasses (P < 0.001), while that of bone decreased (P < 0.001) and that of muscle was not affected. pH at 24 h in the m. longissimus dorsi and m. semitendinosus decreased as carcass weight increased. The only meat colour parameter affected by carcass weight was the yellowness index; lighter-weight carcasses displayed lower index (P < 0.05). Cooking losses were unaffected as carcass weight increased, whereas with regard to tenderness, the shear force value tended to be higher in the low carcass weight group. No differences between carcass weight groups were found in the sensory analysis. Fatty acid composition did not show any significant effect due to carcass weight except in stearic fatty acid (C18:0); C18:0 proportion decreased (P < 0.01) as carcasses became heavier. Carcass weight affected carcass quality (all carcass quality parameters studied were higher in the heavier carcasses), whereas meat quality varied little as a result the small variation between carcass weights in sucking lambs.
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Subagyo, Safira Fauziyyah, Nenny Harijani, Prima Ayu Wibawati, Mustofa Helmi Effendi, Sri Chusniati, and Maya Nurwartanti Yunita. "Carcass Quality and Tetracycline Residues in Broiler Chicken Meat in Banyuwangi Traditional Market." Jurnal Medik Veteriner 4, no. 1 (April 15, 2021): 1. http://dx.doi.org/10.20473/jmv.vol4.iss1.2021.1-7.

Full text
Abstract:
This study aimed to examine the quality of broiler carcasses in the Banyuwangi traditional market with carcass quality examination based on SNI number 3924-2009 and tetracycline antibiotic residues test based on SNI number 7424:2008. A total of ten broiler chicken sellers as representative of almost all broiler chicken sellers in the Banyuwangi market, with each seller was taken for one carcass in this research. Carcass quality examination used a standart carcasses weight 1,0-1,3 kg. Carcass quality examination was carried out with descriptive analysis with reference to the physical characteristics of SNI (Standarisasi Nasional Indonesia). The bioassay method is used to test for tetracycline antibiotic residue. The result of the carcass quality examination showed that from the whole sample consisting of conformation, disjointed or broken bones and missing parts, discolorations, and cleanliness of broiler carcasses are good enough. The percentage quality of broiler carcasses quality I is 60%, quality II is 30% and quality III is 10%. The examination of antibiotic tetracycline residues in broiler meat showed negative results indicating that no feeds containing additional antibiotics made carcasses in the traditional Banyuwangi market safe for consumption.
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