Academic literature on the topic 'Provinces Unies des Pays Bas – 17e siècle'

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Journal articles on the topic "Provinces Unies des Pays Bas – 17e siècle":

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Liatard, Antonin. "Les Autels à tableaux multiples en Allemagne, dans les Pays-Bas espagnols, en France et aux Provinces-Unies au xvii e siècle." Dix-septième siècle 302, no. 1 (January 29, 2024): 29–54. http://dx.doi.org/10.3917/dss.241.0029.

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Abstract:
Succédant aux polyptyques médiévaux, certains retables modernes ont été pourvus d’un mécanisme permettant d’exposer successivement différents tableaux d’autel. Cet article aborde les raisons qui motivèrent le changement des peintures et le rythme selon lequel il s’opérait, en étudiant l’histoire des cycles et leur iconographie. Prenant en compte les travaux les plus récents ainsi que de nouvelles découvertes en archives, le corpus d’étude – dont le répertoire est annexé en ligne – permet d’interroger la dimension spectaculaire de ces dispositifs comme l’implication des Jésuites dans sa diffusion.
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Corfield, P. J. "Reviews : Études sur les villes en Europe Occidentale (milieu du XVIIe siècle à la veille de la Révolution Française): J. Meyer, Vol I: Généralités - France; A. Lottin, J-P. Poussou, H. Soly, B. Vogler and A. Van der Woude, Vol II: Angleterre, Pays-Bas, Provinces Unies, Allemagne Rhénane; Paris, CDU SEDES, 1983; Vol I 215pp; Vol II 475pp; 115,00F and 235,00F (respectively) t.t.c." European History Quarterly 16, no. 2 (April 1986): 234–37. http://dx.doi.org/10.1177/026569148601600211.

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Monika, Salzbrunn. "Migration." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.059.

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Abstract:
En anthropologie, la migration, du mot latin migratio, signifie en principe un déplacement physique d’un être humain (migration humaine), bien que des déplacements non-humains soient aussi qualifiés de migrations (migration animale, migration de plantes, migration de planètes etc.). Suite à la généralisation de l’État-nation comme forme d’organisation politique au 19e siècle, on distingue surtout la migration transnationale (qui implique le déplacement d’au moins une frontière nationale) et la migration interne (à l’intérieur de frontières étatiques). Par ailleurs, ces migrations peuvent prendre la forme d’une migration pendulaire (mouvement de va-et-vient), circulaire (mouvement en cercle), saisonnière (migration de travail influencé par les saisons agricoles) ou durable, menant à une installation et une naturalisation. Parmi les causes, on a longtemps souligné les migrations de travail alors que les cas de migrations climatiques et forcées augmentent de façon significative : migrations imposées par le contexte, notamment politique, par exemple pendant une guerre civile ou encore déplacements engendrés par des changements climatiques comme une sècheresse ou l’avancement du désert dans la zone du Sahel. Le tourisme est parfois considéré comme une forme volontaire de migration à courte durée. Jusqu’à présent, peu de travaux lient les réflexions sur les migrations avec celles sur la mobilité (Ortar, Salzbrunn et Stock, à paraître). Certaines recherches sur l’ethnicité (Barth 1999 [1969]) et la transnationalisation ainsi que de nouvelles catégories statistiques développées au niveau gouvernemental témoignent du fait que certaines personnes peuvent être considérées ou perçues comme migrant-e-s sans avoir jamais effectué un déplacement physique au-delà des frontières nationales de leur pays de naissance. Ainsi, aux Pays-Bas et en Belgique, dans le discours politique, on distingue parfois autochtones (grec, littéralement terre d’ici) et allochtones (grec, littéralement terre d’ailleurs). Au Pays-Bas, on entend par allochtone une personne qui y réside et dont au moins un parent est né à l’étranger. Ce terme était destiné à remplacer le terme « immigré », mais il continue à renvoyer des résidents (voire des citoyens) à (une partie de) leur origine. Le terme allemand « Migrationshintergrund » (littéralement background migratoire) pose le même problème. L’anthropologie s’intéresse de facto dès l’émergence de la discipline aux migrations, notamment dans l’étude de sociétés pastorales (en focalisant les déplacements des éleveurs et de leurs troupeaux) ou dans l’analyse des processus d’urbanisation (suite à la migration du monde rural vers les villes). En revanche, l’anthropologie des migrations et de la transnationalisation n’émergent que dans les années 1990 en tant que champ portant explicitement ce nom – d’abord dans le monde anglophone (Glick Schiller N., Basch L. et C. Blanc Szanton 1992, Hannerz U. 1996), et ensuite dans le monde francophone (Raulin A., D. Cuche et L. Kuczynski 2009 Revue Européenne des Migrations internationales, 2009, no. 25, vol. 3), germanophone (Pries L. 1996), italophone (Riccio 2014), hispanophone, lusophone etc.. La traite des esclaves et les déportations de millions de personnes d’Afrique Sub-Saharienne vers l’Europe et les Amériques, qui ont commencé au 17e siècle et duré jusqu’en 1920, ont été étudiées dans le cadre de l’anthropologie marxiste (Meillassoux 1986) puis par des historiens comme Olivier Pétré-Grenouilleau (2004) ou encore par Tidiane N’Diaye (2008), ce dernier ayant mis l’accent sur la longue et intense implication de commerçants arabes dans la traite négrière. La violente « mission civilisatrice » ou campagne de conquête coloniale a très souvent été accompagnée d’une mission de conversion au christianisme, ce qui a fait l’objet de publications en anthropologie depuis une trentaine d’années sous l’impulsion de Jean et John Comaroff (1991) aux Etats-Unis, et plus récemment en France (Prudhomme 2005). Selon les contextes régionaux, l’une ou l’autre forme de migration a été étudiée de manière prépondérante. En Chine, les migrations internes, notamment du monde rural vers les villes, concernent presque autant de personnes dans l’absolu (229,8 millions en 2009 selon l’Organisation internationale du Travail) que les migrant-e-s transnationaux dans le monde entier (243,7 millions en 2015 selon les Nations Unies/UN International Migration Report). Le pourcentage de ces derniers par rapport à la population mondiale s’élève à environ trois pour cent, ce qui semble en décalage avec la forte attention médiatique accordée aux migrant-e-s transnationaux en général et aux réfugiés en particulier. En effet, la très grande majorité des déplacé-e-s dans le monde reste à l’intérieur des frontières d’un État-nation (Withol de Wenden C., Benoît-Guyod M. 2016), faute de moyens financiers, logistiques ou juridiques (passeport, visa). La majorité des réfugiés politiques ou climatiques reste à l’intérieur des frontières nationales ou dans un des pays voisins. Ainsi, selon l’UNHCR/ l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés, sur les 65,3 millions de personnes déplacées de force, 40,8 millions étaient des déplacé-e-s internes et seulement 3,2 millions des demandeur-e-s d’asile en 2015. L’urbanisation croissante qui s’opère dans le monde suscite une augmentation de la migration de travail, notamment en Chine. Dans cet État, le système d’enregistrement et d’état-civil (hukou) limite l’accès aux services sociaux (santé, école, etc.) à la commune de naissance : un changement de résidence est soumis à des conditions restrictives, ce qui engendre une perte de droits élémentaires pour des dizaines de millions de migrants ruraux ne possédant pas de permis de résidence (Jijiao 2013). En France, jusqu’au tournant culturel (qui marque une bifurcation de la focale de la recherche vers les appartenances culturelles et religieuses des personnes étudiées) dans les années 1990, les sciences sociales des migrations, notamment la sociologie des migrations, ont surtout étudié les conditions et rapports de travail, les inégalités sociales ou encore la politique du logement et les inégalités spatiales (Salzbrunn 2015), conduisant ainsi à une très forte focalisation sur les rapports de classe et sur les conditions de vie des immigré-e-s des anciennes colonies. La migration des personnes hautement qualifiées n’a en revanche été que peu étudiée. Après la chute du mur de Berlin, les « appartenances multiples » (concept central de l’ouvrage de Yuval-Davis, Viethen et Kannabiran 2006), notamment religieuses (Capone 2010), ont été privilégiées comme objet de recherche. Cette tendance, accompagnée par un climat politique de plus en plus xénophobe dans certains pays européens, a parfois pointé vers une « ethnicisation » de la religion (Tersigni, Vincent et Willems, à paraître). Le glissement de perception d’une population de la catégorie des « travailleurs immigrés » ou « Gastarbeiter » (littéralement « travailleurs invités ») vers celle de « musulmans » s’inscrit dans un processus d’altérisation, sous-entendant dans les deux cas qu’il s’agit d’un groupe homogène marqué par les mêmes caractéristiques, et ignorant de ce fait la « diversité au sein de la diversité » (Vertovec 2010), notamment les différences en termes de niveau de formation, de genre, d’âge, de statut juridique, de préférence sexuelle, du rapport aux discours et pratiques religieux etc. Beaucoup d’études se sont ainsi focalisées sur des groupes fondés sur le critère d’une nationalité ou d’une citoyenneté commune, ce qui a été critiqué comme relevant d’un « nationalisme méthodologique » (Glick Schiller et Caglar 2011). Même le nouveau champ de recherches consacré aux espaces sociaux transnationaux (Basch, Glick Schiller et Szanton Blanc 1992 ; Salzbrunn 2016) a parfois été (auto-)critiqué pour la reproduction des frontières nationales à travers une optique transnationale. Ont alors émergé des réflexions sur une relocalisation de la migration (Glick Schiller et Caglar 2011) et sur l’enracinement spatial de la migration dans des espaces sociaux translocaux (Salzbrunn 2011). Bien que la moitié de la population migratoire soit féminine, les aspects de genre n’ont été étudiés que très tardivement (Morokvasic-Müller 1984), d’abord dans un contexte de regroupement ou de liens familiaux maintenus pendant la migration (Delcroix 2001 ; Kofman 2004 ; Kofman et Raghuram 2014), puis dans celui des approches féministes du développement (Verschuur et Reysoo 2005), de la migration du travail et des frontières genrées (Nouvelles Questions Féministes 26, 2007). En effet, les dynamiques internationales dans la division du travail engendrent une chaîne globale des soins (« global care chain ») qui repose essentiellement sur les femmes, que ce soit dans le domaine médical, de la pédiatrie ou des soins aux personnes âgées. La réflexion sur la division internationale du travail reproductif a été entreprise par Rhacel Parrenas (2000) et développée par Arlie Hochschild (2000). On peut obtenir une vue d’ensemble des projets européens consacrés au genre et à la migration, voir les résultats du projet européen GEMMA. Enhancing Evidence Based Policy-Making in Gender and Migration : http://gemmaproject.seminabit.com/whatis.aspx En anthropologie politique, l’évolution de systèmes politiques sous l’impact d’une migration de retour, a été étudiée dans un contexte postcolonial (von Weichs 2013). De manière générale, les réflexions menées dans un contexte études postcoloniales de ce type n’ont été entreprises que tardivement en France, et ce souvent dans une optique très critique, voire hostile à ces débats (L’Homme 156, 2000). Parmi les autres sujets traités actuellement en anthropologie des migrations se trouvent les inégalités sociales et spatiales, les dynamiques religieuses transnationales (Argyriadis et al. 2012), les réfugiés et leurs moyens d’expressions politiques et artistiques (Salzbrunn 2014) ou musicales (Civilisations 67, 2018 ; Salzbrunn, Souiah et Mastrangelo 2015). Enfin, le développement conceptuel du phénomène de transnationalisation ou des espaces sociaux translocaux, voire le retour à la « localisation de la migration » (titre de l’ouvrage de Glick Schiller et Caglar 2011) sont des réponses constructives à la question : Comment étudier les migrations dans des sociétés super-diverses (Vertovec 2011) sans réifier leurs appartenances ?

Dissertations / Theses on the topic "Provinces Unies des Pays Bas – 17e siècle":

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Savini, Massimiliano. "Le développement de la méthode cartésienne dans les Provinces-Unies (1643-1665)." Paris, EPHE, 2002. http://www.theses.fr/2002EPHE5013.

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Abstract:
Notre recherche se propose de suivre le débat sur la methodus cartesiana qui eut lieu dans les Provinces-Unies dans la période relative à la première diffusion du cartésianisme. Un des enjeux philosophiques principaux du débat entre cartésiens et anticartésiens fut celui de la méthode suivie par Descartes. Le rejet, qui se trouve dans le Discours de la méthode, de la logique traditionnelle sembla provoquer un vide "épistémologique" qui ne pouvait pas être comblé, et les premiers adversaires de Descartes ne manquèrent pas de souligner l'absence d'un instrument formel capable de prouver les thèses soutenues dans le Discours de la méthode ou dans les Meditationes de prima philosophia. La première publication contre la philosophie cartésienne (l'Admiranda methodus de Martin Schoock de 1643) met en question la methodus Cartesii et le refus cartésien de la logique. Cette critique se retrouve aussi dans les oeuvres publiées contre Descartes par Jacobus Revius et Ciriacus Lentulus entre 1648 et 1654. Après la mort de Descartes (1650) les cartésiens des Provinces-Unies furent obligés de démontrer qu'on pouvait reconstruire la théorie de la méthode et la logique utilisée par Descartes. Parmi les intervenants dans ce débat on peut compter Johann Clauberg (Defensio cartesiana, 1652), Daniel Lipstorp (Specimina philosophiae cartesianae, 1653) et Tobias Andreae (Assertio methodi cartesianae, 1653-1654). Clauberg, en particulier, fut aussi l'auteur de la première logique s'inspirant des oeuvres de Descartes : la Logica vetus et nova (1654 et 1658). L'étude de la methodus cartesiana nous a portés d'une part à reconstruire la genèse et l'articulation du débat autour de la méthode de Descartes, de l'autre à mettre en évidence les développements essentiels, internes au cartésianisme, qui accompagnent cette discussion. Les limites chronologiques de la recherche sont la publication de l'Admiranda methodus de M. Schoock (1643) et la mort de Clauberg (1665)
Our research purposes to reconstruct the debate on the methodus cartesiana that took place in the Netherlands in the period relevant to the early diffusion of Cartesianism. Among the mainly discussed questions between Cartesians and anti-Cartesians there was one relevant to the method followed by Descartes. The rejection of the traditional logic that is present in the Discours de la méthode seemed to give rise to an "epistemological gap" that could not be filled up, and Descartes' early opponents emphasized the lack of a formal instrument that could be able to prove the theses backed up in the Discours de la méthode or in the Meditationes de prima philosophia. The first publication directed against the Cartesian philosophy (Martin Schoock's Admiranda methodus of 1643) questions the methodus Cartesii and the Cartesian refusal of the logic. This criticism is also present in the works published by Jacobus Revius and Ciriacus Lentulus between 1648 and 1654. After Descartes' death (1650) the Dutch Cartesians were forced to prove that one could "reconstruct" both the method and the logic utilized by Descartes. Among those who intervened in this debate there were Johann Clauberg (Defensio cartesiana), Daniel Lipstorp (Specimina philosophiae cartesianae) and Tobias Andreae (Assertio methodi cartesianae, 1653-1654). The study of the methodus cartesiana led us both to reconstruct the genesis and the articulation of the discussion on Descartes' method, and to show the inner developments of Cartesianism that match to this discussion. The chronological limits of the research are on the one hand the publication of Schoock's Admiranda methodus (1643), on the other Clauberg's death (1665)
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Martin, Claire. "Un protestant ambassadeur du Très-Chrétien aux Provinces-Unies : Benjamin Aubery du Maurier : étude sur l'identité protestante et le service du roi sous les règnes d'Henri IV et de Louis XIII." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010547.

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Abstract:
Malgré la fin des guerres de Religion, servir le roi tout en restant protestant n'était guère aisé dans la France du XVIIe siècle. Au cours d'une carrière riche de multiples expériences dans les finances, notamment au service du duc de Bouillon puis de Sully, et la diplomatie, Benjamin Aubery (1566-1636) resta fidèle à son roi comme à sa foi. Son ambassade aux Provinces-Unies (1613-1624), point d'orgue de sa carrière, fut délicate en raison des hésitations de la diplomatie française et des troubles politico-religieux entre Arminiens et Gomaristes à La Haye. Cette étude démontre cependant la lente sécularisation des relations internationales et confirme le rôle essentiel des Provinces-Unies dans la diplomatie française de cette période. Mais ce travail ne se limite pas à 1 'histoire des difficiles relations entre identité protestante et service du roi au cours de la carrière politique de Benjamin Aubery du Maurier. Elle s'intéresse également à des aspects méconnus de sa vie privée: protestant fervent, mémorialiste et poète, père de famille, gestionnaire avisé de ses biens, il contribua puissamment à l'ascension sociale de sa famille, qui, à la Révocation, dut choisir entre la conversion au catholicisme et l'exil
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Thomas, Romain. "La fiancée hollandaise. : images du mariage et usages sociaux, religieux et politiques de la symbolique matrimoniale dans les Provinces-Unies au XVIIe siècle." Electronic Thesis or Diss., Lyon 2, 2012. http://www.theses.fr/2012LYO20094.

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Abstract:
Société ”iconique” par excellence, les Provinces-Unies au XVIIe siècle sont un espace où la représentation graphique envahit le quotidien. Parallèlement, le mariage est une institution au cœur d’un processus de réhabilitation et de cristallisation confessionnelle de dispositions dogmatiques et disciplinaires. Il constitue en outre une expérience anthropologique fondamentale, dont chacun fait l’expérience, comme acteur ou spectateur. Dans cette perspective, les images du mariage innervent toute la culture visuelle de la société néerlandaise et sont au croisement d’enjeux sociaux, religieux et politiques, perceptibles à différentes échelles, par la symbolique qu’elles mettent en jeu et les usages sociaux qui en sont faits. Comment les différences confessionnelles s’y articulent-elles ? Comment les distinctions sociales s’y manifestent-elles ? Quels bénéfices symboliques les usages métaphoriques visuels du mariage permettent-ils d’obtenir pour les acteurs sociaux ? Enfin comment ces images fonctionnent-elles vis-à-vis du lecteur-spectateur ? A travers un corpus de sources très divers (livres ou brochures illustrés, feuilles volantes, mais aussi peintures ou médailles), la thèse répond à ces questions en examinant successivement comment les images accompagnent les discours prescriptifs sur le mariage, la façon dont elles sont mobilisées lors des noces des élites urbaines et lors de la célébration des noces princières, mais aussi comment elles permettent de donner métaphoriquement corps au lien entre le croyant et Dieu ou, paradoxalement, à celui entre le Prince d’Orange et la Patrie, dans un système politique revendiqué comme une République
"Iconic" society par excellence, the United Provinces in the seventeenth century is a place where images play a tremendous role in daily life. Meanwhile, marriage is an institution at the heart of a rehabilitation process and of a differentiation process of confessional identities involving dogmatic and disciplinary provisions. It is also a fundamental anthropological experience, experienced by everybody in the society, be it as actor or spectator. In this perspective, the matrimonial images pervade the whole visual culture of Dutch society and are at the crossroads of social, religious and political issues, at different scales, through the symbolics they involve and the social uses they are submitted to. How are confessional differences articulated to them? How are social distinctions manifested? What symbolic benefits do social actors get out of visual metaphors of marriage? Finally, how do these images interact with the reader-viewer? Through a diverse corpus of sources (illustrated books or pamphlets, single-leaf engravings, but also paintings and medals), the thesis addresses these questions by examining successively how images accompany prescriptive discourses on marriage, how they are involved in the urban elites weddings and during wedding festivities for princes, but also how they can metaphorically embody the link between the believer and God, or, paradoxically, that between the Prince of Orange and the Fatherland, in a political system claimed to be a Republic
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Wegener, Sleeswijk Anne. "Les vins français aux Provinces-unies au 18e siècle : négoce, dynamique institutionnelle et la restructuration du marché." Paris, EHESS, 2006. http://www.theses.fr/2006EHES0133.

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Abstract:
Au 18e siècle, le commerce des vins français aux Provinces-Unies connaît une restructuration profonde. Ce processus est au centre de la présente étude. Pour commencer, elle aborde l'évolution quantitative et des aspects géographiques du commerce. Le volume du commerce recule. Les vins blancs doux cèdent la place aux rouges, que l’on laisse volontiers vieillir et dont les marques sont reconnues sur le marché néerlandais. La part du marché des vins nantais et du “Poitou” diminue; celle du Languedoc, de la Provence et du Rhône s’améliore. L’importation se concentre de plus en plus sur Amsterdam. La deuxième et la troisième partie du travail sont consacrées au marché et à ses institutions : les normes, règles écrits et non-écrits qui dirigent son fonctionnement. L’évolution de trois institutions est analysée de manière détaillée. Il s’agit de la vente de vins aux enchères à Amsterdam, des impôts provinciaux hollandais sur la consommation des vins et des normes et règles de la qualité
In the 18th century, French wine-trade to the Dutch Republic underwent radical restructuring. This process is at the centre of this study. To start with, the quantitative development and geographical aspects of trade are highlighted. The volume of trade decreased. On the Dutch market, red wines substituted whites and a growing interest existed in old wines and producer brands. The market share of wines from the hinterland of Nantes and from the “Poitou” diminished, whereas the Languedoc, the Provence and the Rhône valley improved their share. The import was more and more concentrated in Amsterdarn. The second and third parts of this study are devoted to the organisation of the market and its institutions : the standards and forma! as well as unwritten rules that directed its functioning. The development of three institutions receives detailed attention: the Amsterdam wine auctions, provincial excise on wines in Holland and fmally, standards and regulation on the quality of wines
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Hageman, Marjolein. "La réception du théâtre de Voltaire dans les Provinces-Unies au XVIIIème siècle." Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040044.

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Abstract:
Aujourd’hui quand on pense à Voltaire, on songe à ses contes. Qui ne connaît pas Candide ou Zadig ? Néanmoins, au XVIIIème siècle, il était surtout célèbre et souhaitait surtout être célébré pour son théâtre. Plusieurs spécialistes se sont déjà penchés sur la réception de ce théâtre en France. Mais qu’en était-il à l’étranger ? Il semble que la figure de Voltaire en tant que dramaturge ait été respectée dans l’Europe des Lumières. Il est dans les Provinces-Unies, les anciens Pays-Bas, considéré comme le grand tenant du classicisme. En outre, certains aspects de son théâtre ont particulièrement plu. Il s’agissait de l’exotisme présent dans ses pièces, mais aussi de ce qui a été remarqué et souvent intensifié, le patriotisme. On parle souvent de ses tragédies dont Zaïre est la plus connue, mais on oublie souvent ses comédies. Elles ont pourtant rencontré un certain succès dans un pays où la culture française malgré de nombreuses attaques conserve un certain prestige
Nowadays, when you think about Voltaire, you think about his “Tales”. Who does not know Candide or Zadig? However, in the XVIIIth century, he was famous and wanted to be celebrated for his theater. A few specialists already studied the reception of his theater in France. But what happened outside France? It seems that Voltaire as a dramatist was very appreciated in the Europe of the Enlightment. He is in the “United Provinces”, today the Netherlands, seen as the main figure of Classicism. Moreover, some aspects of his plays were found of particular interest: the exoticism of some of them, and specifically the patriotism often intensified in the translations. We talk about his tragedies like Zaïre, the best known, but we forget his comedies most of the time. However, the public who loved them have been in a country, where despite the critics, the French culture has kept her Glory
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Thomas, Romain. "La fiancée hollandaise. : images du mariage et usages sociaux, religieux et politiques de la symbolique matrimoniale dans les Provinces-Unies au XVIIe siècle." Thesis, Lyon 2, 2012. http://www.theses.fr/2012LYO20094.

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Abstract:
Société ”iconique” par excellence, les Provinces-Unies au XVIIe siècle sont un espace où la représentation graphique envahit le quotidien. Parallèlement, le mariage est une institution au cœur d’un processus de réhabilitation et de cristallisation confessionnelle de dispositions dogmatiques et disciplinaires. Il constitue en outre une expérience anthropologique fondamentale, dont chacun fait l’expérience, comme acteur ou spectateur. Dans cette perspective, les images du mariage innervent toute la culture visuelle de la société néerlandaise et sont au croisement d’enjeux sociaux, religieux et politiques, perceptibles à différentes échelles, par la symbolique qu’elles mettent en jeu et les usages sociaux qui en sont faits. Comment les différences confessionnelles s’y articulent-elles ? Comment les distinctions sociales s’y manifestent-elles ? Quels bénéfices symboliques les usages métaphoriques visuels du mariage permettent-ils d’obtenir pour les acteurs sociaux ? Enfin comment ces images fonctionnent-elles vis-à-vis du lecteur-spectateur ? A travers un corpus de sources très divers (livres ou brochures illustrés, feuilles volantes, mais aussi peintures ou médailles), la thèse répond à ces questions en examinant successivement comment les images accompagnent les discours prescriptifs sur le mariage, la façon dont elles sont mobilisées lors des noces des élites urbaines et lors de la célébration des noces princières, mais aussi comment elles permettent de donner métaphoriquement corps au lien entre le croyant et Dieu ou, paradoxalement, à celui entre le Prince d’Orange et la Patrie, dans un système politique revendiqué comme une République
"Iconic" society par excellence, the United Provinces in the seventeenth century is a place where images play a tremendous role in daily life. Meanwhile, marriage is an institution at the heart of a rehabilitation process and of a differentiation process of confessional identities involving dogmatic and disciplinary provisions. It is also a fundamental anthropological experience, experienced by everybody in the society, be it as actor or spectator. In this perspective, the matrimonial images pervade the whole visual culture of Dutch society and are at the crossroads of social, religious and political issues, at different scales, through the symbolics they involve and the social uses they are submitted to. How are confessional differences articulated to them? How are social distinctions manifested? What symbolic benefits do social actors get out of visual metaphors of marriage? Finally, how do these images interact with the reader-viewer? Through a diverse corpus of sources (illustrated books or pamphlets, single-leaf engravings, but also paintings and medals), the thesis addresses these questions by examining successively how images accompany prescriptive discourses on marriage, how they are involved in the urban elites weddings and during wedding festivities for princes, but also how they can metaphorically embody the link between the believer and God, or, paradoxically, that between the Prince of Orange and the Fatherland, in a political system claimed to be a Republic
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Marquaille, Léonie. "Peindre pour les milieux catholiques dans les Pays-Bas du Nord au XVIIe siècle." Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100126.

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Abstract:
Les enjeux de ce travail sont multiples et s’inscrivent dans le renouvellement de la recherche sur la peinture hollandaise. S’il est courant d’opposer un peu rapidement la Flandre catholique d’une part, associée à une production importante de peinture religieuse, et la Hollande calviniste de l’autre, cantonnée à la peinture de genre, on sait à quel point la situation historique et sociale des Pays-Bas était plus complexe. L’existence de milieux catholiques dans les provinces protestantes a entraîné la production non négligeable de peinture : tableaux religieux pour les églises ou pour la dévotion privée ; portraits de clercs ou de laïcs affichant leur confession ; peintures représentant des allégories de la foi catholique. C’est à l’étude de l’ensemble de cette production que je me suis consacrée, en tentant de cerner les besoins et usages des milieux catholiques, ainsi que les réponses des peintres. Je me suis en particulier efforcée de rendre compte le plus précisément possible de la diversité des situations rencontrées et de la difficulté à les faire entrer dans des schémas. Ainsi en est-il par exemple de la question des liens entre l’appartenance confessionnelle des artistes et celles des commanditaires comme des rapports entre sentiments religieux et production artistique ou encore de l’interprétation catholique d’une œuvre. Mon étude vise à enrichir la connaissance du regard des milieux catholiques sur la peinture à l’âge de la Contre-Réforme, par la mise en lumière d’une situation géographique et socio-politique très singulière, et à nuancer l’opposition traditionnelle entre les Pays-Bas du Sud et du Nord en matière d’œuvres d’art
This research intends to be part of the Dutch art historiography’s renewal. The traditional opposition between North and South, Calvinism and Catholicism, History painting and Genre painting is no longer relevant. Although the Reformed church was the public church, the choice of personal religion permitted « sects », like Catholicism, Anabaptism, Lutheranism, to remain active. The presence of Catholics in the calvinist Dutch Republic during the 17th century maintains a demand for paintings : religious art works for churches or private devotion, portraits of the clergy or catholic lay, allegory of the catholic faith. I considered not only the expectations of Catholics in terms of painting, but also the responses of the painters whether they were Catholic or not. My aim is to extend the knowlegde of the production and reception of paintings during the age of the Counter-Reformation in an uncommon political and geographic situation
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Marquaille, Léonie. "Peindre pour les milieux catholiques dans les Pays-Bas du Nord au XVIIe siècle." Electronic Thesis or Diss., Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100126.

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Abstract:
Les enjeux de ce travail sont multiples et s’inscrivent dans le renouvellement de la recherche sur la peinture hollandaise. S’il est courant d’opposer un peu rapidement la Flandre catholique d’une part, associée à une production importante de peinture religieuse, et la Hollande calviniste de l’autre, cantonnée à la peinture de genre, on sait à quel point la situation historique et sociale des Pays-Bas était plus complexe. L’existence de milieux catholiques dans les provinces protestantes a entraîné la production non négligeable de peinture : tableaux religieux pour les églises ou pour la dévotion privée ; portraits de clercs ou de laïcs affichant leur confession ; peintures représentant des allégories de la foi catholique. C’est à l’étude de l’ensemble de cette production que je me suis consacrée, en tentant de cerner les besoins et usages des milieux catholiques, ainsi que les réponses des peintres. Je me suis en particulier efforcée de rendre compte le plus précisément possible de la diversité des situations rencontrées et de la difficulté à les faire entrer dans des schémas. Ainsi en est-il par exemple de la question des liens entre l’appartenance confessionnelle des artistes et celles des commanditaires comme des rapports entre sentiments religieux et production artistique ou encore de l’interprétation catholique d’une œuvre. Mon étude vise à enrichir la connaissance du regard des milieux catholiques sur la peinture à l’âge de la Contre-Réforme, par la mise en lumière d’une situation géographique et socio-politique très singulière, et à nuancer l’opposition traditionnelle entre les Pays-Bas du Sud et du Nord en matière d’œuvres d’art
This research intends to be part of the Dutch art historiography’s renewal. The traditional opposition between North and South, Calvinism and Catholicism, History painting and Genre painting is no longer relevant. Although the Reformed church was the public church, the choice of personal religion permitted « sects », like Catholicism, Anabaptism, Lutheranism, to remain active. The presence of Catholics in the calvinist Dutch Republic during the 17th century maintains a demand for paintings : religious art works for churches or private devotion, portraits of the clergy or catholic lay, allegory of the catholic faith. I considered not only the expectations of Catholics in terms of painting, but also the responses of the painters whether they were Catholic or not. My aim is to extend the knowlegde of the production and reception of paintings during the age of the Counter-Reformation in an uncommon political and geographic situation

Books on the topic "Provinces Unies des Pays Bas – 17e siècle":

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Calvet, Robert. Sciences, Techniques, Pouvoirs et Sociétés du XVIe Siècle Au XVIIIe Siècle en Angleterre, France, Pays-Bas/Provinces Unies et Péninsule Italienne: Concours CAPES et Agrégation, Histoire Moderne. Independently Published, 2016.

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