Academic literature on the topic 'Produits végétaux – Aliments'

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Journal articles on the topic "Produits végétaux – Aliments"

1

MÉDALE, F., R. LE BOUCHER, M. DUPONT-NIVET, E. QUILLET, J. AUBIN, and S. PANSERAT. "Des aliments à base de végétaux pour les poissons d’élevage." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (2013): 303–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3159.

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Abstract:
L'aquaculture mondiale se développe (+ 8% par an) pour répondre à une demande croissante des consommateurs que les captures de pêche ne peuvent plus couvrir. Les besoins en aliments piscicoles et donc en matières premières s’accroissent, alors que les volumes de farines et huiles de poisson, ingrédients traditionnels des aliments aquacoles, ne peuvent augmenter. Selon les espèces, 80 à 95% de la farine de poisson peut être substituée par un mélange de sources protéiques végétales apportant les acides aminés indispensables en quantité suffisante pour couvrir les besoins des poissons. Au-delà de ce taux de remplacement, on observe une baisse de la consommation d'aliment, de l'efficience alimentaire et de la croissance, bien que les aliments contiennent les nutriments nécessaires aux poissons. Quant à l'huile de poisson, elle peut être remplacée jusqu’à 80 ou 100% par des huiles végétales sans effet délétère sur la croissanceet la santé des poissons, à condition que le régime apporte en quantité suffisante les acides gras essentiels à la couverture des besoins, qui diffèrent selon l'espèce : contrairement aux poissons marins, les salmonidés disposent en effet d’une relative capacité de synthèse d’acides gras longs polyinsaturés omega 3 à partir de l’acide linoléique. La conséquence majeure est une baisse de la teneur de ces acides gras dans la chair. Les recherches doivent se poursuivre pour affranchir encore davantage l'aquaculture des produits de la pêche, en choisissant des matières premières alternatives qui garantissent une production piscicole efficace, des produits de haute qualité et des impacts environnementaux limités.
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2

LE BOUCHER, R., M. DUPONT-NIVET, S. LAUREAU, et al. "Amélioration génétique et utilisation des aliments à base de végétaux en pisciculture." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (2013): 317–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3160.

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Abstract:
La production mondiale de poissons d’élevage augmente rapidement alors que les principaux ingrédients des aliments pour poissons (huiles et farines de poisson issues de la pêche) sont en quantité désormais insuffisante pour répondre à la demande. Cette situation, en Europe notamment, a conduit au remplacement progressif des produits marins par des matières premières végétales. Mais les taux de substitution élevés provoquent des réductions importantes des performances (croissance, voire survie) chez les espèces d’élevage de haut niveau trophique, à forts besoins en protéines et lipides. L’étude du potentiel d’adaptation de plusieurs de ces espèces à des aliments fortement ou totalement substitués (sans huiles ni farines de poisson) a révélé qu’il est possible de sélectionner au sein des populations d’élevage des individus à forte capacité de croissance avec des régimes à base de végétaux. Les mécanismes à l’origine de cette adaptation restent à identifier. Les analyses montrent aussi que les groupes les plus performants varient en fonction de l’aliment (marin ou substitué). Ces interactions génotype-aliment peuvent compliquer la gestion d’un programme de sélection si les reproducteurs sont sélectionnés avec un aliment différent de celui utilisé pour élever leurs descendants. Des simulations du progrès génétique attendu dans différents scénarios alimentaires permettent d’identifier quelques pistes pour optimiser la sélection chez la truite arcen- ciel et le bar, espèces majeures de la pisciculture d’eau douce et marine en France. La combinaison judicieuse de programmes d’amélioration génétique et de parcours alimentaires raisonnés pourrait aider la filière piscicole à évoluer vers un mode de production moins dépendant des ressources naturelles marines, tout en continuant à fournir des produits de qualité au consommateur.
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3

CHATEIGNER-BOUTIN, Anne-Laure, Luc SAULNIER, Michel LESSIRE, Nathaële WACRENIER, and Fabien ALLEMAN. "Les polymères de mannose en production animale. 1. focus sur les structures chimiques rencontrées dans les aliments et les propriétés biologiques." INRAE Productions Animales 33, no. 4 (2021): 283–94. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.4.4633.

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Abstract:
Les polysaccharides à base de mannose sont très largement répandus dans le monde vivant. D’un organisme à un autre, la longueur du squelette de mannose, le type de liaison entre les sucres, la composition et la longueur des ramifications sont extrêmement variables et confèrent à ces polymères des propriétés fonctionnelles et biologiques différentes. Au-delà de leur rôle structural ou encore de capteur de molécules d’eau dans les plantes, ils participent en particulier à la glycosylation des protéines et sont clairement impliqués dans les phénomènes d’interaction ligand-récepteur. Certains polymères de mannose viraux ou bactériens hautement conservés sont ainsi, chez les animaux supérieurs, reconnus très rapidement par l’hôte qui se défend en initiant une réponse non spécifique, dite « réaction immunitaire innée ». Plutôt reliées par les liaisons α chez les virus, les bactéries et les levures, les unités de mannose sont reliées par des liaisons β chez les végétaux supérieurs. Les β-mannanes sont présents dans tous les produits d’origine végétale, et à des teneurs particulièrement élevées dans certaines familles (palme, guar, coprah) et certains tourteaux utilisés en alimentation animale. Leurs propriétés anti-nutritionnelles observées chez les porcs et les volailles s’expliqueraient principalement par l’apparition d’inflammation intestinale induisant des baisses de performances, des baisses d’efficacité alimentaire et une augmentation des dépenses énergétiques associées à la mise en œuvre du système immunitaire.
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4

Aman, J. B., D. Memel, D. Kouassi, and A. Otchoumou. "Effets de l’alternance des aliments concentré et végétal sur quelques performances zootechniques de l’escargots <i>Achatina achatina</i> (Linné, 1758)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no. 5 (2023): 1890–902. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i5.9.

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Abstract:
En Côte d’Ivoire, certains achatiniculteurs nourrissent leurs escargots à la provende pour une meilleure croissance pendant que d’autres les nourrissent aux végétaux pour minimiser le coût alimentaire. L’objectif de cette étude est de déterminer un système d’alimentation capable de réduire le cycle de croissance et le coût alimentaire de Achatina achatina. Ainsi, des escargots juvéniles ont été soumis à différents systèmes d’alimentation alternant provende et produits de papayer. Ces animaux ont été pesés et mesurés toutes les deux semaines pour évaluer leurs croissances. Aussi, leurs ingestions d’aliment concentré et les taux de mortalité ont été déterminées et comparées. Les meilleurs gains de poids (48,6 ± 9,7 g) et de longueur coquillière (2,74 ± 0,11 cm) ont été ceux des escargots nourris un jour sur quatre aux végétaux et les trois autres jours à la provende. La consommation de provende de ces escargots a été plus faible (171,28 g) que celle de ceux nourris uniquement au concentré (205,5 g). Le système d’alimentation basé sur la distribution de provende uniquement a entrainé, le plus de mortalité (33,33%). Les résultats de cette étude montrent que l’éleveur peut réduire la consommation d’aliment concentré et le cycle de croissance de A. achatina, en lui proposant tous les quatre jours des produits de papayer. In Côte d'Ivoire, some Achatina achatina farmers feed their snails with concentrated feed for better growth, while others feed them with plants to minimize feed costs. The aim of this study is to determine a feeding method capable of reducing the feed cost and growth cycle of Achatina achatina. To do this, Juvenile snails were subjected to different feeding systems alternating feed and papaya products. These animals were weighed and measured every two weeks to assess their growth. Concentrated feed intake and mortality rates were also determined and compared. The greatest gains in weight (48.6 ± 9.7 g) and shell length (2.74 ± 0.11 cm) were achieved by snails fed one day out of four with vegetable feed and the other three days with concentrated feed The concentrated feed consumption of these snails was lower (171.28 g) than that of snails fed concentrate only (205.5 g). The feeding system based on the distribution of concentrated feed only resulted in the highest mortality (33.33%). The results of this study show that the farmer can reduce the consumption of concentrated feed and the growth cycle of A. achatina, by suggesting to him, papaya products every four days.
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5

YIANNIKOURIS, A., and J. P. JOUANY. "Les mycotoxines dans les aliments des ruminants, leur devenir et leurs effets chez l’animal." INRAE Productions Animales 15, no. 1 (2002): 3–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.1.3683.

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Abstract:
Les mycotoxines sont des métabolites secondaires sécrétés par des moisissures appartenant principalement aux genres Aspergillus, Penicillium et Fusarium. Elles sont produites sur une large variété de denrées alimentaires avant, pendant et après récolte. En raison de la diversité de leurs effets toxiques et de leurs propriétés synergiques, les mycotoxines présentent un risque pour le consommateur d’aliments contaminés. Le métabolisme des mycotoxines est complexe et comprend plusieurs voies de bioactivation et de détoxication régies par des mécanismes de biotransformation résultant de l’action d’enzymes de l’hôte et de la flore microbienne présente dans le tube digestif. Une partie des toxines ou de leurs métabolites peut se fixer dans les tissus biologiques ; la majorité est éliminée par voie urinaire, fécale et lactée. Des différences de sensibilité sont observées entre espèces animales. Chez les ruminants, la toxicité se manifeste généralement par des troubles chroniques légers et n’aboutit que rarement à la mort. Une diminution de l’ingestion et des performances zootechniques est généralement observée. Le problème de la présence éventuelle de résidus toxiques se pose pour les produits animaux destinés à la consommation humaine (lait, viande, abats).&#x0D; La réduction des risques passe par un contrôle de la contamination fongique des végétaux résultant de la maîtrise des méthodes de culture, de récolte et de conservation, par des techniques d’élimination des toxines sur l’aliment contaminé, et par une réduction de leur biodisponibilité dans le tractus digestif des animaux par l’emploi d’adsorbants.
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Martin, Wanda, and Lindsey Vold. "Renforcer les compétences grâce à l’agriculture urbaine : rapport sur le projet Askîy." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 38, no. 1 (2018): 33–40. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.38.1.06f.

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Abstract:
Introduction De nombreuses villes d’Amérique du Nord ont construit un environnement donnant accès à des aliments riches en calories et laissant peu de possibilités de mener une vie active. L’agriculture urbaine contribue à un environnement favorable grâce à la culture de végétaux destinés à l’alimentation, ce qui implique leur transformation, leur entreposage, leur distribution et leur compostage. Elle constitue un moyen d’augmenter la production alimentaire locale et d’améliorer ainsi la santé dans les collectivités. Cette étude avait comme objectif de comprendre comment la participation à l’agriculture urbaine peut contribuer à l’autonomisation de jeunes adultes et au renforcement des compétences à cultiver des aliments en ville. Méthodologie Il s’agissait d’une étude qualitative reposant sur sept participants (cinq Autochtones et deux non-Autochtones) de 19 à 29 ans, recrutés comme stagiaires dans un projet d’agriculture urbaine appelé « Askîy » à Saskatoon (Saskatchewan, Canada) en 2015. Nous avons utilisé un modèle d’étude de cas et une analyse qualitative pour décrire l’expérience des participants en fonction du Cadre des moyens de subsistance durables. Résultats L’approche collaborative a eu un effet majeur sur l’expérience des stagiaires, en particulier dans les liens qu’ils ont formés au fil de la planification, de la plantation, de l’entretien, de la récolte et de la vente des produits. Certains stagiaires ont changé leurs habitudes en matière d’épicerie et ont commencé à acheter plus de légumes et à demander où et comment sont produits les légumes. Tous les stagiaires étaient enthousiastes à l’idée de jardiner de nouveau l’année suivante, et certains d’entre eux planifiaient d’appliquer leurs connaissances et leurs compétences dans leur réserve d’origine. Conclusion Les programmes d’agriculture urbaine renforcent les compétences en permettant d’acquérir des habiletés qui vont au-delà de la culture d’aliments. Ils augmentent la production alimentaire locale et améliorent les compétences en littératie alimentaire, les relations sociales, l’activité physique et la fierté au sein de la collectivité.
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MORGAVI, D., W. J. KELLY, P. H. JANSSEN, and G. T. ATTWOOD. "La (méta)génomique des microorganismes du rumen et ses applications à la production des ruminants." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (2013): 347–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3163.

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Abstract:
La viande et le lait produits par les ruminants sont d'importants produits agricoles qui représentent une source importante de protéines pour les humains. La production des ruminants a une valeur économique considérable et un impact sur la sécurité alimentaire de nombreuses régions du monde. Cependant, le secteur fait face à des défis majeurs en raison de la diminution des ressources naturelles et de la conséquente hausse des prix, mais également en raison de la prise de conscience grandissante de l'empreinte écologique laissée par les ruminants d'élevage. Une particularité des ruminants est la digestion prégastrique des aliments par les microbes du rumen. Une meilleure connaissance du microbiome du rumen et de ses fonctions aura pour conséquence une amélioration de l'efficacité de la digestion des aliments et une réduction de la production de méthane entérique, contribuant ainsi à relever les défis de la durabilité. Le progrès des technologies de séquençage d'ADN et de la bioinformatique accroît notre connaissance des écosystèmes microbiens complexes, y compris du tractus gastro-intestinal des mammifères. L'application de ces techniques à l'écosystème du rumen a permis d'étudier la diversité microbienne sous différentes conditions alimentaires et de production. Par ailleurs, le séquençage des génomes de différentes espèces bactériennes et d’archées isolées du rumen fournit des informations détaillées sur leur physiologie. La métagénomique, utilisée principalement pour comprendre les mécanismes enzymatiques impliqués dans la dégradation des polyosides structurels des végétaux, commence à offrir de nouvelles connaissances en permettant de contourner les limitations imposées par la culture des espèces microbiennes et ainsi de permettre l’accès à la totalité de la communauté. Ces approches permettent non seulement de caractériser la structure de la communauté microbienne du rumen, mais aussi d'établir un lien entre celle-ci et les fonctions du microbiome du rumen. Les premiers résultats obtenus grâce à ces technologies à haut débit ont également montré que le microbiome du rumen est bien plus complexe et diversifié que le caecum humain. Par conséquent, le catalogage de ses gènes exigera des efforts de séquençage et bioinformatiques considérables, mais constitue néanmoins un objectif réaliste. Un catalogue des gènes microbiens du rumen est nécessaire pour comprendre la fonction du microbiome et son interaction avec l'animal hôte et ses aliments. De plus, il fournira une base pour les modèles d'intégration microbiome-hôte et bénéficiera aux stratégies cherchant à diminuer l'action polluantes des ruminants et à les rendre plus robustes et rentables.
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DRONNE, Yves. "Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : le monde." INRA Productions Animales 31, no. 3 (2019): 165–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.0.31.0.2345.

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Abstract:
Les produits agricoles cultivés et utilisés dans le monde servent traditionnellement à nourrir les Hommes et les animaux et aussi à certains usages non-alimentaires. Compte tenu de l’importance du débat sur la complémentarité et/ou la concurrence entre l’Homme et l’animal et de l’importance de celles-ci en nutrition humaine et animale, les tonnages de tous les produits végétaux et animaux qui ont des compositions extrêmement diverses ont été exprimés en protéines brutes. Cet article analyse successivement la production mondiale de protéines végétales, la répartition de leurs utilisations sous forme de produits non transformés et de produits et coproduits issus des industries agricoles et alimentaires, la répartition des consommations par grandes espèces animales, les évolutions structurelles en termes de consommation humaine et animale, le poids croissant du « système maïs/soja », les aspects de concurrence et/ou de complémentarité entre usages humains et animaux et enfin les aspects liés à l’instabilité croissante des prix du soja et du maïs et les systèmes de régulation de ces marchés. La production mondiale de protéines végétales (environ 800 millions de tonnes (mt)) est utilisée pour environ 630 millions par l’alimentation animale (400 de fourrages, 230 de concentrés, produits utilisés en l’état comme les céréales, et surtout coproduits des industries agricoles et alimentaires comme les tourteaux, dont plus de 80 pour le seul soja) et permet la production d’environ 68 millions de tonnes de protéines animales. L’industrie des aliments composés a connu un développement considérable depuis trente ans et apporte actuellement les deux tiers des protéines de concentrés utilisés par l’ensemble des animaux, mais seulement 18 % du total fourrages inclus. Au cours des dernières décennies un modèle d’alimentation animale maïs/soja s’est fortement développé dans le monde, mais à un moindre degré en Europe. Les prix de la graine et du tourteau de soja comme ceux des autres grands produits agricoles tels que les céréales ont fortement augmenté par paliers au cours des dernières décennies et font preuve d’instabilité croissante, mais le rapport de prix soja/maïs est resté sur longue période très stable ce qui tend à contredire l’idée d’une pénurie croissante sur le marché des protéines.
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POINTILLART, A. "Phytates, phytases : leur importance dans l’alimentation des monogastriques." INRAE Productions Animales 7, no. 1 (1994): 29–39. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.1.4155.

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Abstract:
Le phosphore des végétaux constitue la majeure partie (2/3 à 3/4) des apports de phosphore chez les monogastriques. Il est pour l’essentiel (2/3 à 3/4) sous forme d’acide phytique ou de phytates (de Na, K, ...). L’utilisation digestive de cette forme de P par l’animal dépend pour beaucoup de l’addition ou de la présence naturelle de phytase et varie de moins de 20% pour les régimes dépourvus à plus de 60% pour ceux enrichis en phytase microbienne (=1000 unités d’enzyme/kg d’aliment). Cette enzyme, en hydrolysant le phosphore phytique, réputé peu disponible et ayant de nombreuses propriétés antinutritionnelles vis-à-vis de certains cations, permet d’économiser partiellement, voire totalement (porcs), sur les phosphates minéraux ajoutés et de réduire considérablement (jusqu’à 50%) les teneurs en P des lisiers. Le principal frein à l’utilisation généralisée des phytases, qu’elles soient ajoutées ou naturellement présentes dans certaines céréales comme le blé ou le seigle et leurs sous-produits, reste le problème de leur conservation au cours de la fabrication des aliments : un trop fort échauffement au cours de la granulation (70-80°C) conduisant à des pertes importantes (30 à 50%, près de 100% au-delà de 80°C) de l’activité phytasique. Enfin, l’étude systématique des correspondances entre activité phytasique des céréales et digestibilités de P de celles-ci reste à faire.
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TRAN, G., and F. SKIBA. "Variabilité inter et intra matière première de la teneur en phosphore total et phytique et de l’activité phytasique." INRAE Productions Animales 18, no. 3 (2005): 159–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.3.3520.

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Abstract:
La valeur «phosphore» des aliments, dont la connaissance est nécessaire pour maîtriser les apports nutritionnels et les rejets dans l’environnement, est caractérisée par les teneurs en phosphore total et en phosphore phytique par l’activité phytasique endogène. Les teneurs en phosphore total varient fortement entre matières premières : de moins de 1 g/kg (paille de blé) à plus de 210 g/kg (certains phosphates). Le phosphore total représente en général moins de 20 % des matières minérales et le ratio phosphore total / matières minérales (P/MM) est caractéristique d’une famille biologique. Ainsi, pour les céréales et les graines oléagineuses (2 à 8 g/kg de phosphore total), l’extraction de l’amidon ou de l’huile conduit à une concentration en matières minérales avec un ratio P/MM relativement constant pour une espèce donnée (20 % pour le blé, 10 % pour le soja). Pour les produits végétaux autres que les grains et graines et leurs coproduits, les teneurs en phosphore total sont plus faibles (moins de 3 g/kg) et moins corrélées aux teneurs en matières minérales.&#x0D; Le phosphore phytique constitue en général de 50 à 80 % du phosphore total des matières premières végétales, avec une grande variabilité intra-espèce (30 à 90 % pour le blé). Les phytases végétales sont présentes de façon significative dans le seigle (plus de 5000 U/kg), les issues de blé, le triticale, l’orge et le blé, avec là encore une grande variabilité intra-espèce (de 250 à 1000 U/kg pour le blé).&#x0D; Différentes études montrent que le principal facteur de variation de la teneur en phosphore ou en phosphore phytique des céréales est le lieu de culture, à travers la fertilisation phosphatée et azotée ou le climat. Il existe souvent une relation linéaire reliant les deux critères. L’activité phytasique endogène semble surtout déterminée génétiquement mais en interaction avec le lieu de culture, ce qui rend ce critère difficilement sélectionnable. Elle n’est pas liée à la teneur en phosphore ou en phosphore phytique. Par ailleurs, les phytases végétales, comme les phytases exogènes, sont sensibles à la chaleur et il convient d’évaluer spécifiquement pour chaque atelier de fabrication l’effet de la technologie sur l’activité phytasique. La mesure de cette activité est enfin fortement sujette à des variations inter-laboratoires. De façon générale, la prédiction des teneurs en phosphore et surtout de l’activité phytasique n’est pas aisée, et les mesures de laboratoire sont souvent nécessaires.
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