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Journal articles on the topic 'Productions variations'

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1

DE LA TORRE, A., and J. AGABRIEL. "Prendre en compte l’efficience alimentaire des vaches allaitantes dans les recommandations alimentaires à travers la quantification de leurs dépenses non productives." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 153–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2241.

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Abstract:
La vache allaitante utilise près de 70% de l’énergie qu’elle ingère pour son besoin d’entretien. L’importance de cette dépense non productive détermine fortement son efficience d’utilisation de l’énergie. Les nouvelles recommandations alimentaires de l’INRA permettent de mieux quantifier cette dépense non productive afin d’en maîtriser les principaux facteurs de variation. Une base de données a été constituée en regroupant 30 expérimentations, présentant notamment des niveaux alimentaires contrastés (soit au final 101 traitements expérimentaux), menées en stations expérimentales avec des vaches allaitantes. L’Énergie des dépenses non productives (EDNP) exprimée en énergie nette (UFL) a été calculée pour chaque traitement comme la différence entre l’énergie nette ingérée et celles des besoins de lactation, de gestation, et des variations de la masse corporelle par estimation de sa composition chimique. La production de lait moyenne est de 8 kg/jour et prioritaire, quel que soit le niveau alimentaire subit. Estimée par sa composition chimique (respectivement 37 et 21% de lipides), la valeur énergétique de la variation de poids s’élève en moyenne à 2,4 UFL/kg pour les multipares et 1,8 UFL/kg pour les primipares. Les dépenses non productives peuvent s’estimer à partir d’une seule équation dont les variables sont le besoin d’entretien (Eentretien), les conditions d’activité (Iact), la variation de poids (ΔPV) et l’état initial au vêlage (NEC) : EDNP = (Eentretien x Iact) + (0,0073 x ΔPVc x NEC). Le terme interférant (ΔPVc x NEC) traduit les adaptations du métabolisme en situation nutritionnelle contraignante ou pléthorique. Cette quantification nouvelle de l’épargne énergétique associée à la baisse des apports (ou l’inverse) permettra aux éleveurs de mieux gérer l’alimentation de leurs vaches. Les variations de dépenses non productives et leurs nombreux facteurs de variation devront devenir la cible des recherches dans les années à venir.
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2

BAS, P., and D. SAUVANT. "Variations de la composition des dépôts lipidiques chez les bovins." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 19, 2001): 311–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3755.

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Abstract:
La teneur et le profil des acides gras (AG) des dépôts adipeux et des muscles influencent la qualité de la viande. Les principales causes de variation de la composition des lipides de ces dépôts ont été étudiées chez les bovins par méta-analyse des données publiées. Le taux de lipides intramusculaires est influencé par le génotype et par le niveau d’ingestion d’énergie. L’accroissement des teneurs en lipides intramusculaires est presque exclusivement constitué de triglycérides (TG). La teneur en phospholipides (PL) varie peu pour un type de muscle donné. Les TG sont plus riches en AG monoinsaturés (AGMI) et en AG saturés (AGS) (TG / PL = 1,9 - 1,3 - 4,5 - 1,2 et 1,1 pour les AGMI - AGS - C14:0 - C16:0 et C18:0, respectivement) mais plus pauvres en AG polyinsaturés (TG / PL : environ 1/15 pour les AGPI) que les PL. Avec des rations contenant des aliments concentrés non supplémentés en matières grasses, les dépôts adipeux et les muscles présentent des teneurs plus faibles en C18:0 et en C18:3 mais plus élevées en C18:1 qu’avec des rations constituées uniquement de fourrage. En outre, dans les lipides intramusculaires, le rapport des AGPI n-6/n-3 est plus élevé avec des aliments concentrés qu’avec du fourrage. Excepté les huiles de palme et les graines de coton, les matières grasses végétales réduisent les teneurs en AGS dans les dépôts adipeux par rapport aux matières grasses d’origine animale. Les graines de lin et de carthame induisent les teneurs en AGPI les plus élevées dans les dépôts adipeux et le lin induit les teneurs les plus élevées en C18:3 dans les muscles. Dans les muscles, les teneurs en C18:2 sont peu influencées par la nature de la matière grasse ajoutée à la ration lorsque celle-ci n’est pas protégée. Les huiles de poisson diminuent les teneurs en C18:0 des muscles et augmentent les teneurs en AGPI à longue chaîne de la série n-3. Une supplémentation de la ration en matières grasses a un effet différent sur la composition en acides gras des triglycérides et des phospholipides des muscles selon la proportion relative des différentes classes de lipides.
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3

QUESNEL, H., S. BOULOT, and Y. LE COZLER. "Les variations saisonnières des performances de reproduction chez la truie." INRAE Productions Animales 18, no. 2 (May 15, 2005): 101–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.2.3513.

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Abstract:
Bien que la truie ne connaisse pas d’anœstrus saisonnier, une diminution des performances de reproduction est observée en été et au début de l’automne dans de nombreux pays. La proportion de truies qui tardent à revenir en oestrus après le tarissement augmente tandis que la proportion de truies inséminées qui mettent bas baisse de 5 à 15 %. Ces échecs de gestation sont liés, pour une grande part, à des avortements. Cette baisse des performances peut s’accompagner d’un taux de réforme accru, notamment chez les jeunes femelles. L’influence des saisons est attribuée essentiellement à la photopériode et aux températures ambiantes. La durée quotidienne d’éclairement est perçue par la truie via la sécrétion nocturne de mélatonine par la glande pinéale, comme chez les mammifères à reproduction saisonnière. Cependant, le lien entre mélatonine et sécrétion de LH n’est pas établi chez la truie. La chaleur, si elle induit une hyperthermie chez la mère, affecte la survie des embryons en début de gestation. Pendant la lactation, les truies luttent contre l’hyperthermie en réduisant leur consommation d’aliment et développent des adaptations métaboliques et endocriniennes. Le déficit nutritionnel est connu pour favoriser le risque d’anoestrus après le tarissement. Les adaptations physiologiques liées à la chaleur joueraient aussi un rôle. La conduite d’élevage module les variations saisonnières des performances de reproduction : alimentation et logement des truies, présence du verrat… Une meilleure caractérisation des points critiques dans la gestion de l’atelier de reproduction devrait permettre d’atténuer ces fluctuations saisonnières. Enfin, l’origine de la sensibilité individuelle à la saison mériterait d’être étudiée.
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DELAGARDE, R., and J. L. PEYRAUD. "Gérer les variations des apports alimentaires des vaches laitières au pâturage." INRAE Productions Animales 26, no. 3 (June 18, 2013): 263–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.3.3155.

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Abstract:
La prairie pâturée, source de nutriments la plus économique pour les vaches laitières, devrait constituer la base de systèmes économes et durables. Dans ces systèmes, la gestion de l’alimentation des troupeaux laitiers au pâturage est un challenge majeur. L’objectif de cet article de synthèse est de présenter et de hiérarchiser les principaux facteurs déterminant des apports énergétiques et azotés des vaches laitières au pâturage en milieu tempéré, afin de mettre en évidence les voies d’actions possibles permettant des performances par vache élevées tout en maximisant l’utilisation et la valorisation de l’herbe par hectare. La gamme de variation possible des besoins alimentaires des vaches et de leur capacité d’ingestion est comparée avec celle de la valeur alimentaire des prairies pâturées et des effets induits par la gestion du pâturage. Ces comparaisons montrent que les vaches fortes productrices ne peuvent pas atteindre leur potentiel de production laitière lorsqu’elles sont nourries à l’herbe seule. Les bilans énergétiques théoriques des vaches peuvent cependant être estimés dans une large gamme de disponibilité et de qualité de prairies. Des modèles prévisionnels permettent aussi de calculer les apports de concentrés nécessaires pour couvrir ces besoins dans une large gamme de pratiques. Les effets de la pression de pâturage, de la complémentation, de l’utilisation des légumineuses ou de la gestion du temps d’accès journalier au pâturage sont notamment présentés et discutés. Il est conclu que les connaissances acquises en termes de régulation de l’ingestion et de la digestion des vaches laitières au pâturage permettent aujourd’hui de définir les voies de maîtrise de l’alimentation du troupeau et des performances des systèmes laitiers bovins herbagers.
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POPOVA, M., D. P. MORGAVI, M. DOREAU, and C. MARTIN. "Production de méthane et interactions microbiennes dans le rumen." INRAE Productions Animales 24, no. 5 (December 8, 2011): 447–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.5.3277.

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Abstract:
Le méthane entérique est formé par les Archea méthanogènes au cours de la dégradation microbienne des aliments dans le rumen, cequi implique que toute variation dans sa production est le résultat d'un changement dans la chaîne alimentaire microbienne. En effetla structure et/ou l'activité de la communauté microbienne fermentaire (bactéries et protozoaires) détermine la quantité et,partiellement, l'utilisation de l'hydrogène, substrat limitant de la méthanogenèse. Les microorganismes méthanogènes ne constituentqu'une petite partie de la biomasse et de la diversité microbienne dans le rumen. Aujourd'hui, l'absence de lien entre la productionde méthane et le nombre des méthanogènes est bien établie sauf lorsque des inhibiteurs spécifiques des Archaea sont employés (vaccin,additifs chimiques). Les variations dans la production de méthane, observées suite à des modifications de l'écosystème microbienou d'un des constituants de la ration, s'expliquent par des changements de diversité et/ou d'activité des Archaea par suite d'unemoindre disponibilité en hydrogène. En effet, les études récentes relient les variations observées dans la production de méthane à desvariations dans l'activité métabolique des méthanogènes et/ou à des changements fins dans leur diversité au niveau de l'espèce oumême de la souche. Ainsi, le développement des stratégies efficaces à long terme pour réduire les émissions de méthane, impliqueinévitablement la bonne compréhension des mécanismes impliqués en considérant l'écosystème microbien dans son ensemble.
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MICOL, D., J. ROBELIN, and Y. GEAY. "Composition corporelle et caractéristiques biologiques des muscles chez les bovins en croissance et à l’engrais." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 61–69. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4188.

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Abstract:
Cet article présente de façon synthétique les connaissances acquises par différentes équipes de recherches sur les lois biologiques de variations de la composition corporelle des bovins et les effets des facteurs zootechniques qui permettent de la modifier (génotype, sexe, stade d’abattage, niveau d’alimentation, nature de la ration et facteurs de croissance). Les caractéristiques du tissu musculaire, déterminantes pour la qualité de la viande, et leurs variations sous l’influence des mêmes facteurs sont également développées.
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COULON, J. B., E. ROCK, and Y. NOËL. "(only in French) Caractéristiques nutritionnelles des produits laitiers et variations selon leur origine." INRAE Productions Animales 16, no. 4 (August 11, 2003): 275–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.4.3666.

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Abstract:
Au cours des dernières années de nombreux travaux ont été réalisés sur les caractéristiques sensorielles des fromages d’AOC, dans le cadre général de l’objectivation de leur liaison à leur terroir (voir Martin et al 2003, dans ce même dossier). De plus en plus, et au-delà des produits AOC, les consommateurs sont à la recherche d’information sur les caractéristiques nutritionnelles des aliments qu’ils consomment, et des produits laitiers en particulier. Les fromages d’AOC sont particulièrement concernés par cette question, dans la mesure où les conditions de leur production peuvent conduire à des caractéristiques nutritionnelles spécifiques. Celles-ci relèvent schématiquement de deux domaines distincts, d’une part les caractéristiques liées à la microbiologie des laits et des fromages et d’autre part celles liées à leur teneur en macro ou micro-constituants d’intérêt nutritionnel (protéines, lipides, vitamines, minéraux…).L’objectif de ce texte est de fournir quelques points de repères sur le rôle des micronutriments et de la microflore sur la santé, sur les liens entre la microflore digestive de l’Homme et son système immunitaire, et sur les actions déjà engagées ou en projet pour identifier et comprendre le rôle de la consommation de fromages au lait cru sur la santé humaine. Voir la suite de l'article à l'adresse :https://www6.inrae.fr/productions-animales_eng/content/download/3821/39526/version/1/file/Prod_Anim_2003_16_4_05.pdf
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AGABRIEL, C., J. B. COULON, and G. MARTY. "Facteurs de variation du rapport des teneurs en matières grasses et protéiques du lait de vache : étude dans les exploitations des Alpes du Nord." INRAE Productions Animales 4, no. 2 (May 31, 1991): 141–49. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.2.4326.

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Abstract:
Soixante deux exploitations laitières des Alpes du Nord ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, la qualité des fourrages et les pratiques alimentaires hivernales et estivales. Ces données ont permis d’analyser les variations de la composition chimique du lait d’une exploitation à l’autre, et en particulier du rapport taux butyreux/taux protéique. Celui-ci a présenté des variations très importantes d’une exploitation à l’autre et d’un mois à l’autre. Selon les exploitations, ces variations sont dues surtout à celles du taux butyreux (cas le plus fréquent), ou plutôt à celles du taux protéique. Les différences de niveau de ce rapport d’une exploitation à l’autre sont difficiles à expliquer par les seules données disponibles : en particulier, compte tenu du type des vaches présentes (Abondance, Tarine et Montbéliarde), l’effet de la race ne semble pas prépondérant. Ce sont les exploitations qui maîtrisent le mieux l’alimentation hivernale et estivale des animaux (et qui présentent par ailleurs des effectifs importants et stables au cours de l’année) qui ont présenté les rapports les plus stables au cours de l’année.
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MOSSÉ, J. "Acides aminés de 16 céréales et protéagineux : variations et clés du calcul de la composition en fonction du taux d’azote des grain(e)s. Conséquences nutritionnelles." INRAE Productions Animales 3, no. 2 (February 3, 1990): 103–19. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.2.4365.

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Abstract:
Les changements parfois importants de composition en acides aminés des grain(e)s sont toujours en corrélation avec ceux de leurs taux d’azote. Ils sont décrits par des relations linéaires entre la teneur en chaque acide aminé et le taux d’azote mises en évidence chez 16 espèces cultivées pour leurs grain(e)s. Quelques rappels sont d’abord faits sur les grain(e)s, leurs réserves, la protéosynthèse dont elles sont le siège jusqu’à maturité, ainsi que sur les problèmes soulevés par l’analyse des acides aminés et l’expression des compositions. Les caractéristiques des variations de ces compositions sont discutées, sur le plan tant fondamental que pratique : qu’elles soient dues aux facteurs de l’environnement, à la fumure ou aux conditions culturales ou bien qu’elles soient d’origine variétale, ces variations obéissent strictement aux mêmes types de relations linéaires qui sont donc définies par deux coefficients déterminables expérimentalement pour tout couple correspondant à une espèce et un acide aminé donnés. Le tableau de ces coefficients est donné pour chacune des 16 espèces et pour chacun des 19 acides aminés analysables. Un certain nombre de conséquences nutritionnelles qui en découlent sont discutées, en particulier l’ampleur des variations intraspécifiques des acides aminés dans les protéines des grain(e)s, les variations comparées, en fonction du taux d’azote, des scores nutritionnels par espèce et entre espèces, celle du rapport leucine/isoleucine, ainsi que les changements éventuels dans l’ordre des acides aminés limitants et aussi ceux des coefficients de conversion de l’azote total en protéines réelles. En toute occasion, la connaissance de la composition en acides aminés des lots de grains utilisés dans les rations animales est désormais beaucoup plus simple à établir avec une précision et une sécurité accrues.
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BOUISSOU, M. F. "Relations sociales, conduites agressives et réactivité émotionnelle chez les ongulés : influence des stéroïdes sexuels." INRAE Productions Animales 8, no. 2 (April 22, 1995): 71–82. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.2.4112.

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Abstract:
A côté de leurs effets sur la motivation sexuelle et la réalisation des conduites de reproduction, les stéroïdes sexuels affectent de nombreux autres aspects du comportement, en particulier les relations sociales, les conduites agressives et la réactivité émotionnelle.Nos connaissances dans ce domaine, en ce qui concerne les Ongulés, ne sont que relativement récentes et souvent fragmentaires, bien que l’importance des comportements influencés par les stéroïdes sexuels soit évidente pour la gestion des espèces domestiques.Il existe des différences sexuelles dans les comportements agressifs, le rôle social qu’exercent les individus, et la réactivité émotionnelle. Ces différences sont sous la dépendance des androgènes. On a en effet pu mettre en évidence des variations des comportements territoriaux et agressifs avec les variations naturelles des niveaux hormonaux. Par ailleurs, des interventions telles que la castration ou des traitements hormonaux chez l’adulte, le jeune ou même in utero, ont confirmé l’influence des stéroïdes sexuels. En particulier, les traitements par des androgènes accroissent l’aptitude à la dominance des mâles et des femelles, et réduisent les réactions de peur dans les deux sexes en situations sociales ou non sociales. De plus, cet effet persiste après l’arrêt des traitements et il est ainsi possible d’influencer à long terme le rang social d’un animal. Le mode d’action des androgènes est cependant mal connu.Compte tenu de la généralisation de l’élevage des mâles en groupes, l’étude des relations entre androgènes et conduites agressives s’avère nécessaire. Par ailleurs, la réactivité émotionnelle qui peut également être influencée par les stéroïdes sexuels, intervient dans l’adaptation de l’animal à son milieu. Son étude, ainsi que celle de ses facteurs de variation, s’inscrit donc dans le cadre des recherches qui visent à développer des techniques respectueuses du bien-être animal.
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CHEMINEAU, P., B. MALPAUX, J. P. BRILLARD, and A. FOSTIER. "Saisonnalité de la reproduction et de la production chez les poissons, oiseaux et mammifères d’élevage." INRAE Productions Animales 22, no. 2 (February 15, 2009): 77–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.2.3336.

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Abstract:
Les diverses productions issues d’animaux d’élevage sont fréquemment saisonnières, et par là même leur disponibilité en produits frais sur les marchés (viandes, lait et fromages, oeufs). Ceci relève, en partie, de la décision de l’éleveur qui vise à commercialiser ses produits à la période la plus favorable. Cette saisonnalité peut être aussi imposée par l’accès à des ressources alimentaires saisonnières, comme chez les herbivores, ou par des contraintes biologiques spécifiques, comme celle de la température de l’eau pour les poissons. Les variations saisonnières de la disponibilité en produits animaux sont aussi la conséquence de contraintes résultant d’une saison de reproduction plus ou moins marquée des animaux d’élevage qu’il s’agisse de poissons, d’oiseaux ou de mammifères. Sous des latitudes moyennes et hautes, la plupart des animaux d’élevage, comme leurs «cousins» sauvages, donnent en effet naissance à leurs petits en fin d’hiver et/ou au début du printemps, période souvent la plus favorable pour la survie des jeunes et la mise en place d’une nouvelle génération. En conséquence, la plupart des espèces manifestent des variations saisonnières de la fréquence d’ovulation (présence ou absence d’ovulations chez les mammifères et les poissons ; variations ou suppression des taux de ponte chez les oiseaux), de la qualité des gamètes (variations des taux de fécondation et de survie embryonnaire), mais aussi du comportement sexuel. Parmi les espèces d’intérêt en production animale, les oiseaux et les poissons sont généralement considérés comme plus directement sensibles aux facteurs externes (majoritairement température, mais aussi photopériode, pour les poissons et photopériode pour les oiseaux). Cependant, chez de nombreuses espèces incluant des mammifères, il est intéressant de constater que des traitements photopériodiques artificiels consistant en un éclairement supplémentaire pendant les jours courts naturels (chez le poulet, la dinde, la pintade, le mouton et la chèvre) ou de la mélatonine pendant les jours longs (chez le mouton et la chèvre), sont utilisés largement pour ajuster la période de reproduction aux souhaits de l’éleveur et/ou pour abolir complètement les variations saisonnières de la production spermatique dans les centres producteurs de semence destinée à l’insémination artificielle (mammifères), et dans les élevages (volaille, poissons). Par ailleurs, des traitements photopériodiques « purs » (sans mélatonine), en particulier lorsqu’ils sont appliqués en bâtiments ouverts, sont non invasifs et donc respectent pleinement le bien-être animal.
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COULON, J. B., Y. CHILLIARD, and B. RÉMOND. "Effets du stade physiologique et de la saison sur la composition chimique du lait de vache et ses caractéristiques technologiques (aptitude à la coagulation, lipolyse)." INRAE Productions Animales 4, no. 3 (July 31, 1991): 219–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.3.4336.

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Abstract:
A partir de données de la bibliographie, on a précisé l’effet de la saison et du stade physiologique (et en particulier de la fin de la gestation chez des animaux non taris) sur la composition chimique du lait et ses caractéristiques technologiques. A stade de lactation constant, les taux butyreux et protéique sont les plus faibles en été et les plus élevés en hiver, à l’inverse de la production laitière. Les écarts entre les mois extrêmes atteignent respectivement 3 g/kg, 2 g/kg et 2,5 kg/j. Les paramètres d’aptitude du lait à la coagulation varient pratiquement du simple au double au cours des 2 à 3 premiers mois de lactation : les temps de coagulation augmentent de 30 à 40 %, le temps de raffermissement double pratiquement et la fermeté du gel diminue de moitié. Des variations encore plus importantes ont été observées au cours des dernières semaines de gestation : les temps de coagulation et de raffermissement sont divisés par 4 entre la 5e et la dernière semaine avant le vêlage. Ces variations semblent dues en grande partie à celles du pH du lait. La lipolyse spontanée du lait dépend essentiellement du stade de gestation et du niveau de production. En absence de tarissement, elle est maximale 2 semaines avant le vêlage (40 fois son niveau normal), et redevient normale dès le premier jour de lactation. Des variations comparables de lipolyse sont induites par injection d’hormones sexuelles à des vaches vides.
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CHEMINEAU, P., and J. A. DELGADILLO. "Neuroendocrinologie de la reproduction chez les caprins." INRAE Productions Animales 7, no. 5 (November 27, 1994): 315–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.5.4177.

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Abstract:
L’hypothalamus, par l’intermédiaire de la sécrétion du LH-RH, commande la libération épisodique des hormones gonadotropes LH et FSH dans la circulation générale. La LH n’est pas sécrétée de façon continue par l’hypohyse mais sous forme de "pulses", définis par leur fréquence et leur amplitude, qui stimulent la libération de la testostérone par le testicule chez le mâle et de l’oestradiol et de la progestérone par l’ovaire chez la femelle. La FSH est sécrétée de de façon moins épisodique. Chez la chèvre, la modulation des rétroactions négatives et positives de la progestérone et de l’oestradiol sur l’axe hypothalamo-hypohysaire joue un rôle clé dans la régulation des différents événements du cycle oestrien. Une imprégnation par la progestérone n’est pas nécessaire pour l’induction du comportement d’oestrus par l’oestradiol. Dans les deux sexes, le saisonnement de l’activité neuroendocrinienne est responsable des fortes variations saisonnières d’activité sexuelle. Un accroissement de la rétroaction négative de l’oestradiol sur l’axe hypothalamo-hypohysaire est responsable de la faible activité gonadotrope pendant la saison d’anoestrus. Cet effet est sous la commande des variations photopériodiques qui agissent sur le système nerveux central par l’intermédiaire de la modification de la durée de sécrétion de la mélatonine nocturne. Les changements dans le régime alimentaire provoquent également des variations dans l’activité gonadotrope. La mise en présence des femelles avec le bouc provoque une augmentation immédiate de la fréquence des pulses de LH chez celles-ci.
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BRONNER, A., E. MORIGNAT, A. MADOUASSE, P. GASQUI, E. GAY, and D. CALAVAS. "Utilisation des données d’insémination artificielle afin d’identifier l’impact d’un évènement abortif dans les élevages de bovins laitiers." INRA Productions Animales 28, no. 3 (January 13, 2020): 243–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.3.3029.

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Abstract:
Le présent article a pour objectif de discuter de la faisabilité et de l’intérêt que représenterait le suivi d’un indicateur indirect de survenue des avortements élaboré à partir des données d’insémination artificielle, le taux d’avortements précoces, afin d’identifier l’impact d’un évènement abortif, de manière rétrospective ou prospective. Deux études sont présentées pour illustrer le propos, ayant eu pour objet d’estimer, par l’analyse des variations du taux d’avortements précoces, l’impact de l’épizootie de fièvre catarrhale ovine due au sérotype 8 (FCO-8), qui a émergé en France en 2006, puis s’est diffusée dans une large partie du territoire métropolitain en 2007 et 2008. La première étude souligne qu’une analyse des variations temporelles du taux d’avortements précoces à l’échelle du département a permis d’identifier a posteriori l’impact de la FCO-8 sur la survenue d’avortements en élevages de bovins. La seconde étude indique qu’une analyse prospective hebdomadaire des variations temporelles du taux d’avortements précoces aurait permis d’identifier l’impact de la FCO-8 dans un département dans un délai médian de 12 semaines suivant son introduction. Considérant ces résultats, il apparaît pertinent de réfléchir à la mise en place d’une surveillance intégrée des avortements en élevage de bovins, qui reposerait sur deux volets : la déclaration obligatoire des avortements (sous la forme du dispositif actuel en version révisée) et un outil de surveillance syndromique (qui devrait être mis en place à une échelle infra-départementale, en particulier pour améliorer les délais de détection).
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CHILLIARD, Y., F. BOCQUIER, C. DELAVAUD, Y. FAULCONNIER, M. BONNET, M. GUERRE-MILLO, and P. MARTIN. "La leptine chez le ruminant. Facteurs de variation physiologiques et nutritionnels." INRAE Productions Animales 12, no. 3 (June 1, 1999): 225–37. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.3.3882.

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Abstract:
La leptine est une hormone produite principalement par le tissu adipeux. Un de ses rôles essentiels est d’informer l’organisme sur le niveau de ses réserves lipidiques. Le gène spécifiant la leptine est exprimé dans différents tissus adipeux chez les bovins et ovins. Les résultats récents sur les concentrations plasmatiques de leptine et/ou d’ARN messager de cette hormone dans le tissu adipeux montrent des effets positifs de l’adiposité corporelle et du niveau alimentaire, et un effet bêta-adrénergique négatif chez les bovins. Chez les ovins, on observe des effets similaires de l’adiposité et du niveau alimentaire, ainsi qu’un effet positif de la durée quotidienne d’éclairement. Par ailleurs, la production de leptine est stimulée in vitro par les glucocorticoïdes et l’insuline, dont les effets sont inhibés par l’hormone de croissance. Le progrès des connaissances sur la leptine permettra de mieux comprendre et maîtriser les adaptations du métabolisme énergétique et de l’activité reproductrice des ruminants aux variations saisonnières de la durée d’éclairement et des disponibilités alimentaires, ainsi que les variations de l’adiposité des carcasses chez les ruminants en croissance.
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SAUVANT, D., and J. VAN MILGEN. "Les conséquences de la dynamique de la digestion des aliments sur le métabolisme ruminal et les performances animales." INRAE Productions Animales 8, no. 5 (November 24, 1995): 353–67. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.5.4150.

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Abstract:
Les travaux des dernières décennies ont montré que les cinétiques de dégradation ruminale des aliments variaient largement en fonction de leur nature et du constituant considéré. Il est donc envisageable de mettre à profit cette variabilité pour formuler des aliments composés, ou des régimes mixtes, plus ou moins rapidement dégradables ou plus ou moins bien équilibrés entre les flux des glucides et des protéines disponibles par rapport aux besoins des micro-organismes du rumen. Les résultats expérimentaux sur les effets des variations de ces phénomènes sur la digestion ruminale et sur les performances zootechniques indiquent que ces effets sont beaucoup moins importants que ce qui pouvait être envisagé a priori. Il est de ce fait nécessaire de rechercher des explications sur la capacité du rumen à “amortir” ces variations. Il semble que ce soit l’existence de nombreuses structures et phénomènes de délais qui permettent d’amortir efficacement les variations dynamiques des processus de dégradation entre aliments et constituants. Plusieurs exemples sont évoqués. Pour les constituants azotés, les phénomènes d’amortissement existent en particulier au niveau du stockage transitoire de molécules peptidiques avant captation par les cellules microbiennes et des recyclages d’azote par les protozoaires et le recyclage d’urée d’origine sanguine. Pour les constituants énergétiques, il semble que le stockage transitoire d’énergie le plus important soit le compartiment polysaccharidique des microbes. L’approche dynamique des phénomènes digestifs ruminaux indique en outre que la croissance microbienne est limitée et peu adaptable dans le court terme même si une quantité suffisante de nutriments est disponible. Quelques commentaires sont effectués sur cet aspect.
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COULON, J. B., and B. REMOND. "Réponses de la production et de la composition du lait de vache aux variations d’apports nutritifs." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 2, 1991): 57–65. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4317.

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Abstract:
L’objectif de cette étude bibliographique a été de préciser l’influence du stade de lactation, de l’âge, du niveau de production des animaux et de la durée de la sous(sur)-alimentation, sur la réponse de la production laitière et du taux protéique à des apports variables d’énergie. Soixante-six essais d’alimentation réalisés sur des vaches laitières produisant entre 9 et 29 kg/j (6 à 30 vaches/lot expérimental) et comportant au moins 3 niveaux d’apports énergétiques ont été utilisés. Ces apports énergétiques ont été exprimés en énergie réellement disponible pour l’animal (énergie nette de lactation, UFL). En début de lactation, la réponse de production laitière aux apports énergétiques a été linéaire et élevée (+ 0,9 kg de lait/UFL). En milieu de lactation et dans les essais de longue durée, cette réponse a été curvilinéaire. Lorsque les apports étaient inférieurs aux besoins, elle a été plus forte dans les essais de longue durée que dans ceux réalisés sur de courtes périodes en milieu de lactation (2,2 kg/UFL contre 1,3 kg/UFL, P < 0,01). La réponse du taux protéique aux apports énergétiques a été linéaire quelles que soient la période et la durée des essais. Elle a été 2 fois plus faible en début de lactation (0,3 g p.1000/UFL) qu’en milieu de lactation ou qu’au cours des essais de longue durée (0,6 g p.1000/UFL). La relation entre les variations de la production laitière et du taux protéique a été curvilinéaire et a dépendu du stade de lactation et du niveau de couverture des besoins énergétiques. Il n’a pas été possible de mettre en évidence d’effet important du niveau de production des animaux sur les réponses de la production laitière ou du taux protéique aux variations d’apports énergétiques.
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SAUVEUR, B. "Adaptation des apports alimentaires aux variations journalières des besoins en calcium et phosphore de la poule." INRAE Productions Animales 5, no. 1 (February 28, 1992): 19–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.1.4218.

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Abstract:
Si on offre à une poule pondeuse une source de calcium alimentaire qu’elle puisse identifier (alimentation calcique séparée), elle consomme ce calcium de façon discontinue en relation avec la formation de la coquille de l’aeuf. Cette pratique réduit la mobilisation osseuse et accroît la solidité de la coquille dans la moitié des cas environ. L’effet est particulièrement net lorsque la température ambiante est élevée. Ceci permet également de réduire l’apport alimentaire de phosphore. Plus généralement, la quantité de coquille déposée sur l’oeuf apparaît comme inversement liée à la teneur en phosphore du plasma, à la fois à long terme et de façon instantanée. Il convient donc de limiter la teneur en phosphore assimilable de l’aliment à 0,28 % pour une production de 60 g oeuf/jour. L’apport de phosphore semble également pouvoir être modulé au cours de la journée : il doit alors être aussi faible que possible durant l’après-midi alors que l’apport de calcium doit être le plus élevé. Une dernière façon de diminuer le besoin en phosphore pourrait être l’utilisation de programmes d’éclairement fractionné aboutissant à une désynchronisation des ovipositions.
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SAUVANT, D. "Conséquences digestives et zootechniques des variations de la vitesse de digestion de l’amidon chez les ruminants." INRAE Productions Animales 10, no. 4 (October 8, 1997): 287–300. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.4.4003.

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Abstract:
Une base de données publiées dans la littérature comprenant 52 comparaisons entre des régimes à amidon rapidement ou lentement dégradables dans le rumen a été constituée. Cette base a été traitée avec les méthodes statistiques appropriées pour permettre de dégager des modèles de réponses de la digestion dans le rumen et des performances animales aux variations de la vitesse de digestion ruminale de l’amidon. Une baisse de la vitesse de digestion de l’amidon réduit la teneur du régime en matière organique fermentescible et la croissance microbienne induite. Cependant, l’efficacité de la croissance microbienne ne semble pas être affectée. Avec des sources d’amidon lentement digestible, le pH du rumen et la proportion d’acétate sont plus élevées tandis que la proportion et la concentration du propionate sont plus basses. Avec ces régimes, il y a en outre une chute systématique de la digestibilité de l’amidon et de la matière organique dans l’ensemble du tube digestif. La densité énergétique du régime suit donc la même tendance. Neuf des publications utilisées comprenaient une combinaison factorielle des vitesses de dégradation ruminale de l’amidon et de l’azote. Il n’est pas apparu d’interaction entre ces deux paramètres sur l’ensemble des résultats considérés. Une décroissance de la vitesse de digestion de l’amidon est accompagnée d’un accroissement systématique du niveau de matière sèche ingérée. Une analyse spécifique des essais conduits sur vaches laitières confirme la tendance et montre que la production de lait brut n’est pas modifiée par la vitesse de digestion de l’amidon. Cependant les teneurs du lait en matière grasse et en protéines sont respectivement et significativement accrues et diminuées quand les sources d’amidon lentement digestibles sont comparées à des rapides.
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McLeod, Sharynne, Linda Hand, Joan B. Rosenthal, and Brett Hayes. "The Effect of Sampling Condition on Children’s Productions of Consonant Clusters." Journal of Speech, Language, and Hearing Research 37, no. 4 (August 1994): 868–82. http://dx.doi.org/10.1044/jshr.3704.868.

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Abstract:
An investigation was conducted to compare the effects of single word and connected speech sampling conditions on the production of consonant clusters. Speech samples were obtained from 40 children with speech sound impairments who were aged 3 years: 6 months to 5 years. The children’s productions of 36 commonly occurring consonant clusters were compared across the two sampling conditions. Overall, children’s productions were more similar than different. Differences between the sampling conditions were apparent for three of the eight phonological processes studied, namely, cluster reduction, final consonant deletion, and epenthesis. Of 12 fine phonetic variations, only aspirated stops showed a significant difference between the sampling conditions. There was a wide range of individual variation.
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AGABRIEL, C., J. B. COULON, G. MARTY, B. BONAÏTI, and P. BONIFACE. "Effets respectifs de la génétique et du milieu sur la production et la composition du lait de vache. Etude en exploitations." INRAE Productions Animales 6, no. 3 (June 28, 2020): 213–23. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.3.4202.

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Abstract:
Soixante-trois exploitations laitières du Massif Central adhérentes au Contrôle Laitier et élevant des vaches Holstein ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, la qualité des fourrages utilisés (y compris leur composition chimique), les pratiques alimentaires hivernales et estivales et les caractéristiques génétiques des animaux (index et effet troupeau pour le lait, le taux butyreux et le taux protéique). L’état corporel et le tour thoracique des animaux ont par ailleurs été mesurés. Ces données ont permis d’analyser conjointement les variations de la production et de la composition chimique du lait d’une exploitation à l’autre, et de préciser certains facteurs du milieu responsables de ces variations. La production moyenne par vache et par an a varié de 5040 à 8330 kg, le taux butyreux de 36,5 à 42,9 g/kg et le taux protéique de 28,1 à 32,4 g/kg. Ces écarts sont principalement liés aux facteurs du milieu. Les performances les plus faibles sont rencontrées dans les exploitations où les pratiques alimentaires sont les moins favorables : une alimentation énergétique insuffisante chez les génisses puis chez les vaches en production, se traduisant par un état corporel médiocre et un faible développement corporel des animaux est associée aux productions laitières et aux taux protéiques les plus faibles. L’absence de liaison significative entre les effets troupeau taux protéique et lait, qui conduit à observer les taux protéiques les plus élevés dans des exploitations où la production laitière est moyenne est discutée. En particulier, le rôle de la nature des aliments (valeur laitière de la ration), de l’état corporel des animaux et de leur état sanitaire est mis en évidence. Les variations du taux butyreux du lait sont d’abord liées à la nature de la ration de base (présence ou non d’ensilage de maïs).
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DUBEUF, B., J. B. COULON, and E. LANDAIS. "Mise à l’herbe des vaches laitières en zone de montagne : description des pratiques et liaison avec les performances laitières." INRAE Productions Animales 4, no. 5 (December 2, 1991): 373–81. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.5.4351.

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Abstract:
46 exploitations laitières des Alpes du Nord ont été classées à l’aide d’une typologie des systèmes de pratiques de mise à l’herbe. Les variations de la production laitière et de la composition chimique des laits de troupeau ont été observées dans chacun des types au cours de cette période. A la mise à l’herbe, la production et la composition du lait ont varié de manière importante, mais différente selon les types (- 0,5 à + 2,9 g/kg de taux protéique entre la 3e semaine avant la mise à l’herbe et la 3e semaine après ; - 1,6 à + 3,5 g/kg de taux butyreux ; + 1,6 à + 2,3 kg/j de lait). La maîtrise de l’alimentation hivernale est un facteur majeur des variations des taux protéiques et butyreux, alors que les pratiques de mise à l’herbe n’en modifient que faiblement l’amplitude. Les pratiques de gestion du système fourrager au printemps ont surtout une influence sur les ressources fourragères ultérieures. La maîtrise de l’alimentation des vaches laitières au pâturage est très liée à celle de l’alimentation hivernale.
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RULQUIN, H., R. VÉRITÉ, J. GUINARD-FLAMENT, and P. M. PISULEWSKI. "Acides aminés digestibles dans l’intestin. Origines des variations chez les ruminants et répercussions sur les protéines du lait." INRAE Productions Animales 14, no. 3 (June 16, 2001): 201–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.3.3740.

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Abstract:
La production de protéines (lait, viande, laine, poil) des ruminants peut être limitée par des apports insuffisants en certains acides aminés (AA) appelés pour l’occasion AA limitants. En effet, contrairement à ce qui était généralement admis, la composition des acides aminés digérés par les ruminants n’est pas constante. Si la part des protéines microbiennes et leur composition en AA relativement constante tamponnent les variations de la composition en AA des contenus intestinaux, celle-ci varie en fonction de la composition en AA de la ration et de sa richesse en protéines peu dégradables. L’importance des conséquences des variations de la composition en AA des contenus digestifs sur la production de protéines du lait a été étudiée grâce à des apports postruminaux de doses croissantes d’un acide aminé. La supplémentation postruminale en lysine ou en leucine peut faire gagner jusqu’à 4 g/kg de taux protéique. Le gain maximum n’est que de 2 g/kg avec la méthionine, l’histidine, la phénylalanine et la thréonine. Dans tous les cas l’augmentation du taux protéique porte sur le taux de caséine. En milieu de lactation, l’histidine et la thréonine accroissent aussi le volume de lait produit de façon dose-dépendante.
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Sukaton, Ounu Zakiy. "WELL, WELL, WELL: VARIATION IN DRESS VOWEL REALISATIONS BEFORE LATERAL /L/ IN AUSTRALIAN ENGLISH." Lire Journal (Journal of Linguistics and Literature) 4, no. 2 (October 12, 2020): 225–36. http://dx.doi.org/10.33019/lire.v4i2.90.

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Abstract:
The ongoing el-æl merger in Australian English has been informally recognized by Australians especially those who have experience of contact with Victorians. This study aims to investigate the correlation of speakers’ sex and origin with their /el/ production and how speech styles influence their production. Two male speakers of Australian English from Victoria and South Australia were recorded while reading texts, doing interviews, and having casual conversations. The recordings were then transcribed and analyzed by using various software to describe their /el/ productions. The result of this study was both male subjects are able to produce considerable variations in their /el/ productions. The production of the Victorian male speaker confirmed the findings of previous studies while the SA male speaker showed variations of /el/ similar to back vowels. Speech styles do not significantly affect the variations of /el/ production. The ongoing merger of el-æl in Australian English might be spreading from Victoria through diffusion to its neighboring states. However, more studies should be conducted in order to confirm this suspicion. Other suggestions include customized reading passages and better semi-structured interviews.
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COULON, J. B. "Facteurs de variation du taux protéique du lait de vache en exploitation : réflexions à partir de résultats d’enquêtes." INRAE Productions Animales 4, no. 4 (October 2, 1991): 303–9. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.4.4344.

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Abstract:
En raison de ses conséquences sur la quantité et la qualité des produits transformés, la composition chimique du lait, et plus particulièrement le taux protéique, fait l’objet depuis quelques années de nombreux travaux d’enquête dans différentes situations françaises. A partir de ces travaux, l’objectif de cette étude a été de montrer la complexité de ces situations de terrain par rapport aux connaissances expérimentales. Ces observations confirment bien que les différences de niveau moyen annuel du taux protéique sont dûs à la fois à des facteurs génétiques et à des facteurs du milieu, en particulier liés à l’alimentation. Ces derniers sont la plupart du temps prépondérants, parce que la variabilité génétique des troupeaux est réduite par rapport à celle des caractéristiques du milieu. Celles-ci interagissent souvent entre elles de sorte que la prise en compte d’un seul facteur peut conduire à des conclusions erronées. Ainsi, la période de vêlage des animaux n’est pas un facteur direct majeur de variation du taux protéique annuel, mais plutôt un indicateur de la conduite d’élevage qui, selon les cas, regroupe des facteurs différents et n’a donc pas toujours la même signification. Il est aussi possible que des facteurs autres que ceux expérimentalement identifiés puissent intervenir sur les variations du taux protéique.
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LOCATELLI, Y., and P. MERMILLOD. "Caractéristiques et maîtrise de la fonction de reproduction chez les cervidés." INRAE Productions Animales 18, no. 1 (March 14, 2005): 3–25. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.1.3505.

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Abstract:
Ces dernières années, l’élevage de cervidés s’est considérablement développé en Nouvelle-Zélande pour devenir une industrie profitable. Alors que quelques cervidés (daim d’Europe et cerf élaphe) font l’objet de domestication et d’élevage dans un but commercial, d’autres espèces et sous-espèces de cervidés sont menacées d’extinction dans le milieu naturel. Les travaux de recherches effectués afin de mieux caractériser et maîtriser la fonction de reproduction de ces ruminants sont présentés dans cette étude bibliographique. Il apparaît qu’à l’instar de nos ruminants domestiques (ovins, caprins), les cervidés originaires des zones tempérées sont généralement caractérisés par un saisonnement marqué de leur fonction de reproduction. Ces variations saisonnières d’activité sexuelle sont dictées par les variations photopériodiques et permettent la naissance des jeunes en fin de printemps. Chez les cervidés, les différences entre les périodes d’activité et de repos sexuels semblent beaucoup plus marquées en comparaison de nos ruminants domestiques. La période d’activi-té sexuelle est variable d’une espèce à l’autre (été, automne ou début de l’hiver) mais très fixe pour une espèce donnée. La période de repos sexuel traduit des modifications importantes dans les sécrétions de gonadotrophines et se caractérise notamment par une aspermie complète chez le mâle. Chez la femelle, l’état d’anoestrus est profond et associé à une absence d’ovulation. La durée de gestation est également variable d’une espèce à l’autre mais est remarquablement fixe pour une espèce donnée. Chez les cervidés originaires des zones subtropicales et selon les espèces, les variations d’activité sexuelle sont plus discrètes permettant une répartition des mises bas plus ou moins homogène au cours de l’année, y compris lorsque les animaux sont transportés sous des latitudes élevées. Dans le cas des espèces de cervidés menacés d’extinction, l’utilisation des biotechnologies de la reproduction et des méthodes de procréation assistée pourrait, à terme, faciliter la réalisation des programmes conservatoires. Les techniques classiques de production in vivo d’embryons basées sur l’ovulation multiple, l’insémination artificielle et le transfert embryonnaire se sont avérées difficilement applicables aux cervidés. Aussi, les recherches portent actuellement sur le développement de techniques de production in vitro d’embryons.
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MALPAUX, B., C. VIGUIE, J. C. THIERY, and P. CHEMINEAU. "Contrôle photopériodique de la reproduction." INRAE Productions Animales 9, no. 1 (February 17, 1996): 9–23. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.1.4031.

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Abstract:
Les variations annuelles de la durée du jour, ou photopériode, sont responsables de l’alternance entre une saison sexuelle et une saison de repos sexuel dans la plupart des espèces animales. Selon sa durée, la photopériode peut exercer une action stimulante ou inhibitrice sur l’activité de reproduction. Toutefois, en l’absence d’information photopériodique, l’animal exprime un rythme endogène de reproduction et le rôle principal de la photopériode dans les conditions naturelles semble être de synchroniser ce rythme interne des animaux. L’information lumineuse est perçue par la rétine et, après un trajet nerveux, elle est transformée en un signal endocrinien, le rythme de sécrétion de mélatonine. Cette hormone est sécrétée uniquement pendant la nuit. La mélatonine agit au niveau du système nerveux central pour modifier la sécrétion pulsatile de LHRH. Son action sur les neurones à LHRH n’est pas directe mais met en jeu des interneurones. Par ailleurs, la modification de sécrétion de LHRH est observable avec un délai important par rapport au changement du rythme de sécrétion de mélatonine, de 40 à 60 jours chez la brebis. Les modifications de sécrétion de LHRH induisent à leur tour des changements de sécrétion des gonadotropines et en conséquence des variations d’activité des gonades
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COULON, J. B., C. HURTAUD, B. RÉMOND, and R. VÉRITÉ. "Facteurs de variation de la proportion de caséines dans les protéines du lait de vache." INRAE Productions Animales 11, no. 4 (October 3, 1998): 299–310. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.4.3956.

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Abstract:
L’objectif de cette étude a été de préciser et de hiérarchiser les différents facteurs de variation de la proportion entre les caséines et les protéines totales dans le lait de vache. Au total 29 essais, tous effectués dans les unités de l’INRA de Rennes ou de Theix et regroupant 821 lactations ont été utilisés. Pour 551 de ces lactations, les variants génétiques des lactoprotéines avaient été déterminés. Les autres lactations faisaient partie d’essais dans lesquels les animaux étaient leurs propres témoins. Le principal facteur de variation de ce rapport est le polymorphisme génétique de la beta-lactoglobuline : toutes choses étant égales par ailleurs, les animaux de type BB présentent un rapport supérieur, de près de 3 points, à celui des vaches de type AA. Le variant B de la caséine kappa exerce aussi un effet favorable (+1,2 points à l’avantage des animaux BB). En dehors de la première semaine de lactation et des deux dernières semaines de gestation, le rapport caséines/protéines varie peu au cours de la lactation mais tend à diminuer légèrement en fin de lactation. Ce rapport est significativement diminué lorsque la numération cellulaire du lait dépasse 200 000 cellules/ml. Il diminue par ailleurs légèrement avec l’âge. Parmi les différents facteurs alimentaires étudiés (niveau et nature des apports énergétiques et azotés, mode de conservation et nature des fourrages), aucun n’a eu un effet significatif sur le rapport caséines/protéines du lait, sauf dans des conditions de sous-alimentation très prononcées. Ce rapport augmente très légèrement avec le niveau de production laitière des animaux et le taux protéique du lait. En pratique, la mesure du taux protéique du lait, chez des animaux indemnes de mammites reste donc un très bon indicateur du taux de caséines, dont il explique à lui seul 93 % des variations.
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SAUVANT, D., S. GIGER-REVERDIN, A. SERMENT, and L. BROUDISCOU. "Influences des régimes et de leur fermentation dans le rumen sur la production de méthane par les ruminants." INRAE Productions Animales 24, no. 5 (December 8, 2011): 433–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.5.3276.

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Abstract:
Ce travail s'appuie sur l'étude de plusieurs bases de données en vue d'extraire des modèles de prévision de la production de CH4 enfonction des régimes et des fermentations ruminales. La méthanogenèse est décrite en relation avec les principaux principes de la stoechiométrieet de la thermodynamique des fermentations ruminales. Il apparaît en particulier une relation étroite entre la productionde CH4 et le rapport des acides acétique/propionique du jus de rumen (Ac/Pr). Les variations du profil des AGV et de la productionde CH4 traduisent des phénomènes d'adaptation des microorganismes du rumen à la quantité d'énergie disponible. Au sein desdifférents critères alimentaires de prévision de la production de CH4, la teneur en matière organique digestible (MOD) est intéressante: elle est globalement bien liée à la MO fermentescible du rumen, donc au CH4 produit, et à la valeur énergétique des aliments.Cependant, le rapport CH4/MOD varie également en fonction de certains facteurs de variation qui modifient aussi le rapport Ac/Prdans le rumen : le niveau alimentaire, la qualité du fourrage, la teneur en concentré du régime et l'apport de matières grasses.Une dernière partie du texte est consacrée à l'étude de modèles plus mécanistes qui s'appuient sur les principes de stoechiométrie desAGV, ces modèles constituant une étape vers une modélisation intégrative de l'ensemble des phénomènes digestifs et fermentaires durumen.
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COULON, J. B., D. ROYBIN, and B. CRISTOFINI. "Production laitière et fonctionnement des exploitations : facteurs de variation dans les exploitations du Pays de Thônes (Haute-Savoie)." INRAE Productions Animales 3, no. 4 (October 10, 1990): 287–98. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.4.4387.

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Abstract:
La production laitière (kg/vache/an) de 67 exploitations du Pays de Thônes adhérentes au Contrôle Laitier a été analysée. Ces exploitations avaient fait l’objet d’une étude préalable détaillée de leurs caractéristiques, aboutissant à une typologie de fonctionnement (12 types différents). Les variations de la production laitière (1 800 à 6 220 kg/vache/an selon les exploitations) n’ont pas été liées à la structure des exploitations (taille, système fourrager) mais à la maîtrise plus ou moins complète des facteurs génétiques et de conduite du troupeau (conduite des vêlages, alimentation hivernale et estivale). Les exploitations les plus productives présentent aussi une meilleure valorisation économique du lait, liée en partie à une meilleure qualité des fromages produits. Lorsque l’on analyse les différences de production laitière entre les différents types d’exploitations, et à l’intérieur des principaux types, on s’aperçoit qu’il existe des fonctionnements : 1 / plus favorables que d’autres à l’expression de cette production, 2 / dans lesquels il n’y a pas cohérence entre les 2 principaux facteurs d’amélioration (génétique et alimentation) de cette production, 3 / pour lesquels la prise en compte de ces seuls facteurs s’avère inopérante pour comprendre les variations de la production laitière. Par ailleurs, tous les types d’exploitations ne présentent pas les mêmes marges de progrès. Ces résultats sont discutés en fonction de la méthode d’analyse employée et de leur intérêt pour le développement.
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COULON, J. B., F. DAUVER, and J. P. GAREL. "Facteurs de variation de la numération cellulaire du lait chez des vaches laitières indemnes de mammites cliniques." INRAE Productions Animales 9, no. 2 (April 17, 1996): 133–39. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.2.4042.

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Abstract:
Les variations de la numération cellulaire du lait ont été analysées sur 404 lactations de 208 vaches laitières conduites sur un domaine expérimental de l’INRA et indemnes de mammites cliniques au cours des lactations considérées. En moyenne, la numération cellulaire a été minimale en 2ème mois de lactation (50 000 cellules/ml) et maximale en fin de lactation (200 000 cellules/ml). Les vaches primipares ont présenté des numérations plus élevées que les multipares en début de lactation et plus faibles en fin de lactation. Les vaches Holstein ont présenté des numérations cellulaires constamment supérieures à celles des vaches Montbéliardes et Tarentaises. En fin de lactation, l’écart entre ces 2 groupes d’animaux atteint environ 120 000 cellules/ml. Cet effet de la race n’est pas dû à un effet du niveau de production. Chez les vaches multipares, la présence de plus d’une mammite au cours des lactations précédentes a conduit à des numérations cellulaires significativement plus élevées (d’environ 40 000 cellules/ml à l’échelle de la lactation) que chez les vaches ayant présenté une mammite ou pas du tout au cours des lactations précédentes. La numération cellulaire augmente légèrement, indépendamment de l’effet du stade de lactation, au cours des mois d’août et septembre. L’ensemble de ces facteurs de variations ne permettent cependant pas d’expliquer des numérations cellulaires supérieures à 300 000 cellules/ml dans un lait de mélange.
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COULON, J. B., D. ROYBIN, E. CONGY, and A. GARRET. "Composition chimique et temps de coagulation du lait de vache : facteurs de variations dans les exploitations du pays de Thônes." INRAE Productions Animales 1, no. 4 (October 12, 1988): 253–63. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.4.4464.

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Abstract:
41 exploitations laitières situées dans le Pays de Thônes (Haute-Savoie) ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, les pratiques alimentaires et la fabrication du fromage. Ces données ont permis d’analyser les variations de la composition chimique du lait et de son temps de coagulation. Les écarts d’une exploitation à l’autre pour ces variables sont importants : respectivement 6,5 g ‰, 4 g ‰ et 11 minutes entre les étables extrêmes pour le taux butyreux, le taux protéique et le temps de coagulation. Les taux protéiques hivernaux faibles et les temps de coagulation hivernaux très variables d’un mois à l’autre sont associés à une maîtrise médiocre de l’alimentation. La période de vêlage des animaux explique en grande partie les différences de taux protéiques estivaux. L’analyse des données individuelles mensuelles des caractéristiques du lait de 814 vaches de ces exploitations a permis de mettre en évidence l’effet propre du stade de lactation et de la saison sur ces variables. En particulier, le temps de coagulation du lait est minimal en début de lactation (25 min) et maximal en sixième mois de lactation (32 min) ; il est d’autre part maximal en fin d’hiver et en milieu d’été.
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THÉRIEZ, M. "Elevage et alimentation du cerf (Cervus Elaphus). 1. Caractéristiques physiologiques, besoins alimentaires et élevage des adultes." INRAE Productions Animales 1, no. 5 (December 12, 1988): 319–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.5.4467.

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Abstract:
L’élevage du cerf pour la production de viande se développe actuellement en France, après l’Ecosse et la Nouvelle-Zélande où les premiers élevages ont été créés il y a une vingtaine d’années. Cette espèce se différencie des ruminants domestiques traditionnels par un certain nombre de points dont en particulier une variation très importante de la capacité d’ingestion avec la saison (elle varie du simple au double entre l’hiver et l’été sous l’effet des variations de la photopériode) et une moindre digestibilité des fourrages grossiers (5 à 7 % de moins que le mouton). Les besoins d’entretien des cerfs sont voisins de ceux des bovins ; s’y ajoutent, chez le mâle, des besoins spécifiques pour la croissance annuelle des bois (énergie et surtout minéraux dont une partie provient d’une déminéralisation du squelette). Les naissances gémellaires sont très rares chez la biche dont la fertilité dépend essentiellement du poids au moment du rut (les biches doivent peser 60 kg ou plus). Le poids des faons à la naissance est voisin de 8-9 kg, il varie avec leur sexe et selon le niveau alimentaire moyen du troupeau. La production laitière des biches varie entre 120 et 200 litres en 100 jours selon la qualité du pâturage. Leur lait est très riche en lipides et en protéines (respectivement 10,3 et 7,6 % au cours du second mois de lactation) soit deux fois plus que le lait de vache.
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ALZIEU, J. P., J. BRUGÈRE-PICOUX, and C. BRARD. "Particularités pathologiques des ruminants domestiques en estive dans les montagnes françaises." INRAE Productions Animales 27, no. 1 (April 2, 2014): 31–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.1.3052.

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Abstract:
Mis à part certaines pathologies spécifiques telle la myiase à Wohlfartia magnifica, la plupart des maladies infectieuses et parasitaires d’importance sont véhiculées sur l’estive avec leurs hôtes, bovins et ovins. La problématique des cheptels collectifs constitués de troupeaux de statuts sanitaires différents et les fortes variations climatiques et thermiques favorisent l’expression des maladies infectieuses. La montée en estive d’animaux infectés constitue le facteur majeur de risque, induisant à terme un accroissement de la morbidité, de la mortalité et des pertes économiques. La meilleure prévention réside dans la meilleure maîtrise sanitaire des troupeauxavant leur transhumance.
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VERMOREL, M. "Emissions annuelles de méthane d’origine digestive par les bovins en France. Variations selon le type d’animal et le niveau de production." INRAE Productions Animales 8, no. 4 (August 23, 1995): 265–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.4.4135.

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Abstract:
Les ruminants sont parfois accusés a priori de contribuer largement à l’effet de serre en raison de leur production de méthane d’origine digestive. Les émissions journalières de méthane des principaux types de bovins ont été déterminées à l’aide de chambres respiratoires. Les émissions annuelles de méthane d’origine digestive des bovins laitiers ou à viande en France ont été calculées en tenant compte des types d’animaux, des niveaux de production, du type d’alimentation au cours de l’année et des effectifs en 1993. L’émission de méthane d’une vache laitière est comprise entre 140 et 160 m3 par an pour une production laitière variant de 3 400 à 6 500 kg. La quantité de méthane émise en moyenne par kg de lait passe de 41 à 25 litres pour cette même plage de production. L’émission de méthane d’une vache allaitante est en moyenne de 120 m3/an. Celle des bovins en croissance se situe entre 56 et 78 m3/an selon la vitesse de croissance et le type de production. En revanche, l’émission de méthane par kg de carcasse produite diminue lorsque la vitesse de croissance augmente ; elle se situe entre 0,32 et 0,49 m3/kg pour les bovins de races laitières et entre 0,58 et 1,04 m3/kg pour les bovins de races bouchères si on inclut la production de méthane de la mère pendant un an. Ainsi, l’émission totale de méthane des bovins en 1993 est de l’ordre de 1,86 milliard de m3 (soit 1,33 millions de tonnes) dont 38 % par les 4,6 millions de vaches laitières et 6 % par les génisses futures reproductrices, 26 % par les 4,0 millions de vaches allaitantes, 7 % par les génisses futures reproductrices et 23 % par les 6,6 millions de bovins en croissance destinés à la production de viande. Les possibilités de réduire les émissions de méthane des ruminants et des autres sources de pollution sont discutées.
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FAVERDIN, P., J. P. DULPHY, J. B. COULON, R. VÉRITÉ, J. P. GAREL, J. ROUEL, and B. MARQUIS. "Les phénomènes de substitution fourrages-concentrés chez la vache laitière." INRAE Productions Animales 5, no. 2 (May 29, 1992): 127–35. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.2.4227.

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Abstract:
Les principaux facteurs de variations des taux de substitution (TS) entre fourrage et aliments concentrés que constituent le niveau d’apport du concentré, la nature du fourrage et la nature de l’aliment concentré ont été étudiés au cours de 8 essais réalisés en 3 lieux différents. Dans chaque essai, 3 niveaux de d’apport de concentrés (bas, moyen et haut) ont été comparés selon un schéma carré latin 3x3, répété 3 ou 4 fois, avec des vaches pie-noires en milieu de lactation et au cours de périodes de 1 mois. Les 8 essais correspondaient à 8 régimes différant par la nature du fourrage (ensilage de maïs, ensilage d’herbe ou foin) et la nature du concentré (riche en amidon, riche en parois très digestibles, ou riche en parois moyennement digestibles). Quels que soient les fourrages et les concentrés, le taux de substitution augmente systématiquement avec le niveau d’apport de concentré : il passe, en moyenne, de 0,47 entre les niveaux bas et moyen à 0,67 entre les niveaux moyens et haut. Pour un fourrage donné, le taux de substitution est plus élevé lorsque la concentration énergétique du concentré est plus forte, mais cet écart n’existe qu’entre les niveaux bas et moyen d’apport. Les taux de substitution moyens observés sur ensilage de maïs (0,70) sont supérieurs à ceux observés sur ensilage d’herbe (0,53) ainsi que sur foin (0,44). Ces essais montrent, à travers les 3 facteurs de variations étudiés, que les taux de substitution observés en milieu de lactation sont d’autant plus importants que le bilan énergétique des animaux est plus élevé.
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BIDANEL, J. P., D. BOICHARD, and C. CHEVALET. "De la génétique à la génomique." INRAE Productions Animales 21, no. 1 (April 20, 2008): 15–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3372.

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Abstract:
Cet article retrace les principales étapes et la contribution de l’INRA au développement de la génomique, qui révolutionne depuis deux décennies les connaissances sur la structure et le fonctionnement du génome des animaux d’élevage. L’élaboration, dans les années 90, des premières cartes de marqueurs microsatellites a rapidement permis de mettre en évidence de nombreux locus à effets quantitatifs et de localiser les premiers gènes majeurs. En parallèle, les travaux de cytogénétique et de génomique comparative permettaient de tirer parti de l’avancée des connaissances sur le génome de l’homme et de la souris. A la fin des années 90, la construction d’outils de cartographie à haute densité, cartes d’hybrides d’irradiation et banques de grands fragments, a permis l’essor des travaux de cartographie fine et l’identification des premières mutations causales. Le début des années 2000 a été marqué par le développement des outils d’étude systématique de l’expression des gènes, micro-réseaux et puces à ADN, le démarrage du séquençage des premiers génomes d’animaux d’élevage, et l’essor des bases de données génomiques et de la bioinformatique. La connaissance des séquences permet ensuite de détecter in silico leurs variations, en particulier les très nombreuses variations ponctuelles (SNP) et de caractériser finement la structure des génomes des populations animales. La génomique a également renouvelé les méthodes d’amélioration génétique des populations, avec la mise en place de programmes de sélection assistée par marqueurs, de caractérisation et de gestion de la variabilité génétique et le développement d’applications en matière de contrôle de généalogie ou de traçabilité.
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Shahandashti, Mohsen, Baabak Ashuri, and Kia Mostaan. "Automatic fault detection for Building Integrated Photovoltaic (BIPV) systems using time series methods." Built Environment Project and Asset Management 8, no. 2 (May 14, 2018): 160–70. http://dx.doi.org/10.1108/bepam-07-2017-0045.

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Abstract:
PurposeFaults in the actual outdoor performance of Building Integrated Photovoltaic (BIPV) systems can go unnoticed for several months since the energy productions are subject to significant variations that could mask faulty behaviors. Even large BIPV energy deficits could be hard to detect. The purpose of this paper is to develop a cost-effective approach to automatically detect faults in the energy productions of BIPV systems using historical BIPV energy productions as the only source of information that is typically collected in all BIPV systems.Design/methodology/approachEnergy productions of BIPV systems are time series in nature. Therefore, time series methods are used to automatically detect two categories of faults (outliers and structure changes) in the monthly energy productions of BIPV systems. The research methodology consists of the automatic detection of outliers in energy productions, and automatic detection of structure changes in energy productions.FindingsThe proposed approach is applied to detect faults in the monthly energy productions of 89 BIPV systems. The results confirm that outliers and structure changes can be automatically detected in the monthly energy productions of BIPV systems using time series methods in presence of short-term variations, monthly seasonality, and long-term degradation in performance.Originality/valueUnlike existing methods, the proposed approach does not require performance ratio calculation, operating condition data, such as solar irradiation, or the output of neighboring BIPV systems. It only uses the historical information about the BIPV energy productions to distinguish between faults and other time series properties including seasonality, short-term variations, and degradation trends.
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DELAGARDE, R., and M. O’DONOVAN. "Les modèles de prévision de l’ingestion journalière d’herbe et de la production laitière des vaches au pâturage." INRAE Productions Animales 18, no. 4 (October 18, 2005): 241–53. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.4.3530.

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Abstract:
La diversité des pratiques de gestion des prairies et de complémentation des vaches laitières au pâturage rend très difficile l’estimation de l’ingestion d’herbe par les animaux en fermes. Cet article a pour objectif principal de faire le point sur les modèles simples ou complexes de prévision de l’ingestion des vaches laitières au pâturage. Les modèles les plus complets prennent en compte à la fois les caractéristiques du troupeau, de la prairie pâturée, des conditions de pâturage et des compléments alimentaires apportés au troupeau. Les modèles récents, intégrés dans des outils d’aide à la gestion du pâturage (Pâtur’IN, Sepatou, Grazemore) ou dans des outils d’aide à l’alimentation des vaches au pâturage (GrazFeed, Diet-Check, INRAtion prochainement), sont ici décrits dans leurs principes. Des simulations réalisées à partir des modèles ou des logiciels disponibles permettent également de décrire et de comparer les principales lois de réponse de l’ingestion des vaches aux variations des conditions de pâturage et de complémentation. La précision des différents modèles existants est estimée par une approche statistique globale en comparant l’ingestion observée expérimentalement et celle prévue indépendamment par les modèles à l’échelle troupeau-parcelle (n = 304). L’erreur moyenne de prévision varie de 10 à 25 % selon les modèles, soit de 1,5 à 3,8 kg MS d’herbe ingérée par vache et par jour. Les écarts de précision entre modèles proviennent essentiellement de la façon dont les conditions de pâturage sont prises en compte, notamment pour les situations extrêmes de chargement. Par ailleurs, très peu de modèles permettent de prévoir les performances animales (lait produit, variation de poids) à partir de l’ingestion d’herbe.
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TESSERAUD, S. "Métabolisme protéique chez le poulet en croissance. Effet des protéines alimentaires." INRAE Productions Animales 8, no. 3 (June 23, 1995): 197–212. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.3.4128.

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Abstract:
Pour assurer une croissance musculaire maximale tout en évitant de gaspiller l’azote, une possibilité consiste à diminuer l’apport alimentaire de protéines et rééquilibrer les régimes en les supplémentant en acides aminés industriels. Connaître les conséquences des variations de l’apport protéique alimentaire (quantités et composition en acides aminés) sur les activités respectives de la synthèse et de la dégradation des protéines, dont le bilan détermine le dépôt protéique, permet de rationaliser cette démarche. Les méthodes de mesure de la synthèse des protéines les plus couramment employées sont présentées en insistant particulièrement sur les hypothèses sur lesquelles elles reposent et leurs limites. Les techniques permettant d’estimer la dégradation des protéines sont également brièvement discutées. Le renouvellement des protéines tissulaires et corporelles varie en fonction de facteurs liés à l’animal : le taux de synthèse diminue avec l’âge, notamment dans les muscles squelettiques, et le taux de dégradation est très lié au type génétique du poulet. Le taux protéique de la ration modifie le métabolisme protéique par des effets propres dus aux quantités de protéines ingérées ainsi que par des effets liés aux variations de ces niveaux d’apports (restriction puis réalimentation protéique). La composition en acides aminés des protéines alimentaires joue également un rôle important. Ainsi la diminution de l’apport en protéines ou en un acide aminé produit une réduction des quantités de protéines synthétisées et, dans une moindre mesure, de celles dégradées. Les mécanismes régulant le dépôt protéique lorsque les apports quantitatifs et qualitatifs d’acides aminés varient, restent cependant mal connus. L’approfondissement de leur étude au niveau de différents tissus et organes, en intégrant les facteurs physiologiques et hormonaux, permettrait de mieux raisonner la supplémentation en acides aminés.
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FAULCONNIER, Y., M. BONNET, F. BOCQUIER, C. LEROUX, J. F. HOCQUETTE, P. MARTIN, and Y. CHILLIARD. "Régulation du métabolisme lipidique des tissus adipeux et musculaires chez le ruminant. Effets du niveau alimentaire et de la photopériode." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 287–300. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3889.

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Abstract:
Les effets respectifs de l’état nutritionnel et de la photopériode sur le métabolisme lipidique et le partage de nutriments entre le tissu adipeux et le muscle sont récapitulés chez le ruminant, en particulier pour ce qui concerne l’expression des gènes spécifiant les enzymes lipogéniques et la lipoprotéine-lipase chez la vache et la brebis. La restriction alimentaire diminue la synthèse "de novo" d’acides gras et l’activité lipoprotéine-lipasique dans les tissus adipeux des ruminants adultes ou en croissance. Ces effets sont partiellement ou totalement inversés par la réalimentation. Chez les ovins et les bovins adultes, l’activité lipoprotéine-lipasique est diminuée par la restriction dans le muscle cardiaque, oxydatif, inchangée dans le muscle ; Longissimus thoracis, glycolytique, et augmentée par la réalimentation dans ces deux muscles. Les activités lipoprotéine-lipasiques du tissu adipeux et du muscle de ruminant répondent donc dans le même sens à des variations de l’état nutritionnel, contrairement aux données généralement publiées chez le rat. De plus, les taux d’ARNm de la lipoprotéine-lipase dans le tissu adipeux et le muscle varient de manières identiques à son activité chez les différentes espèces, ce qui suggère une régulation, au moins en partie, pré-traductionnelle de l’expression du gène spécifiant cette enzyme. La photopériode exerce une influence directe sur l’activité métabolique des tissus adipeux et musculaires de brebis. Ainsi, les capacités lipogéniques du tissu adipeux et l’activité lipoprotéine-lipasique du muscle glycolytique sont augmentées par les jours longs. Inversement, la lipomobilisation est augmentée par les jours courts. Ces adaptations métaboliques sont probablement impliquées dans les adaptations physiologiques des ovins aux variations saisonnières des disponibilités alimentaires.
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SAUVANT, D., G. CANTALAPIEDRA-HIJAR, L. DELABY, J. B. DANIEL, P. FAVERDIN, and P. NOZIÈRE. "Actualisation des besoins protéiques des ruminants et détermination des réponses des femelles laitières aux apports de protéines digestibles dans l’intestin." INRA Productions Animales 28, no. 5 (January 14, 2020): 347–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.5.3038.

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Abstract:
Dans le cadre de la révision des unités d’alimentation des ruminants (projet INRA « Systali »), les besoins protéiques ainsi que les réponses aux variations des apports protéiques ont été actualisés. Le calcul des besoins d’entretien intègre les trois principales voies de pertes obligatoires azotées, qui aboutissent aux besoins protéiques non productifs : les protéines endogènes fécales, les pertes azotées urinaires endogènes et les pertes de protéines par les phanères. Ces actualisations ont été effectuées par approche factorielle et à partir de méta-analyses de larges bases de données de la littérature. Les nouvelles valeurs de ces besoins en protéines digestibles dans l’intestin (PDI) « non productifs » ont ensuite été appliquées à de nombreuses expériences conduites sur vaches ou chèvres laitières avec pour objectif d’étudier les variations des réponses aux apports protéiques. Pour l’estimation de la réponse de l’efficacité des PDI en protéine de lait (EffPDI), il a été décidé d’appliquer une valeur commune pour les différentes productions de protéines ainsi que pour l’accrétion et la mobilisation des protéines corporelles, liées au bilan d’énergie. EffPDI est une fonction décroissante non linéaire de la concentration en PDI, identique entre les vaches et les chèvres. Il est aussi possible de prédire la réponse de la production des protéines laitières en fonction du niveau d’apport des PDI disponibles et en utilisant, comme situation pivot, soit la production pour EffPDI = 67%, soit le potentiel de production. Les données recueillies ont également permis de calculer, de façon factorielle, les pertes azotées urinaires dont les deux principales causes sont l’inefficacité des PDI et l’état nutritionnel azoté du rumen évalué par le critère de la balance protéique du rumen (BalProRu).
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DELAGARDE, R., and L. A. PÉREZ-PRIETO. "Effets de la biomasse et de la quantité d’herbe offerte sur l’ingestion, les performances laitières et le comportement alimentaire des vaches laitières conduites en pâturage tournant : étude par métaanalyse." INRA Productions Animales 29, no. 2 (July 9, 2019): 87–102. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2519.

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Abstract:
En pâturage tournant, la gestion du pâturage par les éleveurs détermine en partie les performances des vaches laitières et la valorisation de l’herbe. Deux méta-analyses de la littérature ont été réalisées afin de définir les effets respectifs de la quantité d’herbe offerte (exprimée en kg MS/vache/jour, étudiée à même biomasse d’herbe) et de la biomasse d’herbe (exprimée en kg MS/ha, étudiée à même quantité d’herbe offerte) sur l’ingestion, la production laitière et le comportement alimentaire des vaches. La hauteur à laquelle l’herbe est coupée (0, 2-3 ou 5 cm au-dessus du sol) pour estimer la biomasse d’herbe a été considérée comme un facteur explicatif clé de la variabilité des réponses des vaches. Les relations curvilinéaires décrivant les effets de la quantité d’herbe offerte sur l’ingestion et la production laitière sont conceptuellement identiques et indépendantes de la méthodologie de rélèvement de l’herbe (hauteur de coupe), même si les paramètres des équations restent spécifiques à chaque méthodologie. Les variations d’ingestion et de production laitière sont reliées à des variations importantes de la vitesse d’ingestion, mais peu à celles de la durée d’ingestion. L’effet de la biomasse d’herbe sur l’ingestion, la production laitière et la vitesse d’ingestion est inféodé à la méthodologie de prélèvement de l’herbe (hauteur de coupe) : il peut être positif, nul ou négatif selon la hauteur de coupe de l’herbe choisie (0, 3 ou 5 cm). La quantité d’herbe offerte au- dessus de 3 cm est le meilleur prédicteur des performances des vaches, car elle ne dépend pas de la biomasse d’herbe. Ces résultats permettent de mieux comprendre et prévoir les effets des pratiques sur les performances des vaches laitières en pâturage tournant.
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GUILLAUME, D. "Action de la photopériode sur la reproduction des équidés." INRAE Productions Animales 9, no. 1 (July 17, 2020): 61–69. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.1.4035.

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Abstract:
Juments et étalons présentent une phase de reproduction pendant les jours croissants ou longs, au printemps et en été. La majorité des juments n’ont pas d’ovulation en hiver. Ce rythme annuel de reproduction est synchronisé par les variations annuelles de la longueur du jour. Un éclairement artificiel de 14,5 h, débuté en hiver, avance la première ovulation annuelle des juments. Certaines des étapes de la transmission de l’information lumineuse ont été vérifiées chez les équidés. Le message lumineux est transformé en influx nerveux par des cellules spécialisées de la rétine. Cet influx, via le noyau supra-chiasmatique puis le ganglion cervical supérieur, agit sur la glande pinéale. Les pinéalocytes répondent à une stimulation noradrénergique en libérant la mélatonine. Cette hormone, sécrétée pendant la phase obscure, agit sur des récepteurs membranaires spécifiques. L’administration de mélatonine exogène sous forme d’implants sous-cutanés ou, dans certaines conditions, sous forme orale, supprime l’effet photostimulant d’un jour long. L’utilisation d’implants est actuellement à l’étude pour mettre au point un traitement de désaisonnement. La sécrétion des neurones à GnRH est ensuite régulée par des neuromédiateurs. La naloxone, antagoniste des opiacées endogènes, induit une décharge de GnRH suivie d’une libération de LH et de FSH chez la jument en inactivité. Les hormones thyroïdiennes ont probablement une action à ce niveau. L’alternance d’un mois de jours courts et d’un mois de jours longs qui permet, chez les petits ruminants mâles, d’abolir les variations saisonnières est, dans l’état actuel des travaux, inefficace chez l’étalon ou la jument. Pour avancer la date de la première ovulation annuelle, les éleveurs ne disposent actuellement que d’un traitement comportant 14,5 h d’éclairement par jour, commencé vers le solstice d’hiver et appliqué pendant 35 jours.
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RICARD, F. H., M. J. PETITJEAN, J. M. MELIN, G. MARCHE, and G. MALINEAU. "Croissance et engraissement de faisandeaux élevés en volière ou en claustration." INRAE Productions Animales 4, no. 2 (May 31, 1991): 117–21. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.2.4323.

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Abstract:
Des faisandeaux nés le même jour et issus de la même population parentale ont été élevés soit en volière soit en claustration complète jusqu’à l’âge de 22 semaines. Après l’âge de 10 semaines les faisandeaux élevés en volière ont une croissance plus rapide que ceux élevés en claustration, un meilleur indice de consommation apparent et un plus fort développement des dépôts gras abdominaux. Les analyses de covariance montrent que ces différences d’engraissement s’expliquent par les variations du poids vif. Les dépôts gras augmentent fortement avec l’âge et présentent une forte corrélation avec le poids vif. Un bon compromis pour obtenir une carcasse légère et maigre semble se situer entre 14 et 17 semaines d’âge.
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FAUVEL, C., and M. SUQUET. "La domestication des poissons : le cas du thon rouge." INRAE Productions Animales 17, no. 3 (July 29, 2004): 183–87. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.3.3589.

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Abstract:
Le thon rouge présente des caractères adaptatifs lui permettant de vivre dans une gamme large de paramètres physiques et climatiques tels que la température, la salinité et la pression hydrostatique. L’élevage de l’espèce et une domestication progressive pouvaient donc être envisagés. Les mortalités importantes observées après manipulation et les pertes liées aux variations brutales de l’environnement en cage ont révélé l’extrême sensibilité du thon au stress. Cette nouvelle caractéristique de ce poisson pélagique diminue les possibilités d’intervention humaine durant l’élevage. Celui-ci se limite à l’engraissement d’individus sauvages et les progrès sur le contrôle du cycle biologique de l’espèce sont extrêmement lents. On peut dire que la production de thon progresse sans domestication de l’espèce.
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SAUVANT, D., P. SCHMIDELY, and J. j. DAUDIN. "Les méta-analyses des données expérimentales : applications en nutrition animale." INRAE Productions Animales 18, no. 1 (March 15, 2005): 63–73. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.1.3510.

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Abstract:
Pour plusieurs raisons les recherches en sciences animales, en nutrition en particulier, nécessitent des traitements de bases de données de plus en plus importantes. En effet, pour les sujets d’intérêt, les nombres de publications et de résultats par publication se sont largement accrus. Il est donc de plus en plus nécessaire de pouvoir extraire des données quantitatives à partir des publications de la littérature. En conséquence les méthodes de méta-analyses statistiques des bases de données expérimentales deviennent essentielles et il importe de les mettre en œuvre d’une façon adéquate. La conduite des méta-analyses suit une démarche en plusieurs phases. La première phase concerne la définition des objectifs du travail et du cahier des charges qui en découle, déterminant pour le choix des publications candidates. Celles ci doivent être scrupuleusement évaluées avant d’être intégrées dans la base. Lors de cette intégration il convient d’effectuer un soigneux travail de codages (expériences, traitements…) qui seront autant de repères essentiels dans la suite de l’analyse. Les bases de données ainsi construites soulèvent des difficultés d’interprétation, elles contiennent des données manquantes et elles ne représentent pas un dispositif expérimental classique. Il est recommandé d’effectuer une première étape d’interprétation graphique de manière à pouvoir avoir une vue à la fois globale et précise des données. Cette phase est suivie d’une étude du méta-dispositif constitué par la base à interpréter. Ces différentes étapes conditionnent la définition du modèle statistique appliqué. Celui-ci doit permettre de bien différencier les variations inter- et intra-expériences, il peut intégrer des facteurs qualitatifs ou quantitatifs, d’autre part il tient compte d’effets fixes ou aléatoires. Enfin il peut tenir compte de systèmes de pondérations des données. Après ajustement du modèle, il convient de mettre en œuvre une étude post-analytique qui consiste en particulier à étudier les variations résiduelles et les rôles des différents traitements et expériences dans les résultats obtenus. A ce stade, il est souvent nécessaire de revenir à une des étapes précédentes. De ce fait, les méta-analyses constituent une démarche heuristique.
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LABROUE, F. "Facteurs de variation génétiques de la prise alimentaire chez le porc en croissance : le point des connaissances." INRAE Productions Animales 8, no. 4 (September 23, 1995): 239–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.4.4132.

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Abstract:
L’objectif de cet article est d’examiner les différents facteurs génétiques qui influencent la prise alimentaire, avant d’étudier la possibilité d’inclure un critère de comportement alimentaire dans les objectifs de sélection. Le type génétique peut entraîner des variations importantes (10 à 20%) du niveau de consommation et influencer les caractéristiques (fréquence, taille, durée) des repas. Les valeurs d’hétérosis pour la consommation moyenne journalière (5 à 10% de la moyenne parentale) sont du même ordre de grandeur que celles rapportées pour la vitesse de croissance ou l’efficacité alimentaire. Les écarts de consommation entre les trois génotypes pour le gène Hal varient entre 5 et 15%. La moyenne des estimées pour l’héritabilité de la consommation alimentaire en conditions réelles d’alimentation ad libitum est 0,32. Les corrélations génétiques moyennes entre la consommation moyenne journalière d’une part, le gain moyen quotidien, l’indice de consommation et le taux de muscle d’autre part, sont respectivement de l’ordre de 0,75, 0,40 et -0,45. Les répercussions économiques éventuelles de la prise en compte de l’appétit dans les objectifs de sélection sont discutées sur la base de ces paramètres génétiques moyens.
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CABARAUX, J. F., I. DUFRASNE, M. ROUX, L. ISTASSE, and J. L. HORNICK. "La production de viande bovine à partir de femelles de réforme." INRAE Productions Animales 18, no. 1 (March 7, 2005): 37–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.1.3508.

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Abstract:
Dans l’Union Européenne, la moitié des gros bovins abattus sont des femelles, dont 60 % de vaches adultes et 40 % de génisses, essentiellement de races laitières. Les causes qui conduisent ces animaux à la réforme sont multiples et varient fortement d’un pays à l’autre et même d’un troupeau à l’autre. Leur engraissement est de ce fait nettement plus difficile et aléatoire que celui des jeunes taurillons, eu égard à l’hétérogénéité de leurs caractéristiques lors de la réforme. Parmi celles-ci, on peut citer : l’âge, la race et le format, l’état sanitaire, l’état physiologique, l’état corporel. Les modalités de finition (au pâturage ou à l’auge) et d’alimentation sont également des sources de variations importantes. Cet article propose de passer en revue les principaux facteurs pouvant influer sur la finition des femelles de réforme.
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DULPHY, J. P., and J. ROUEL. "Note sur la capacité d’ingestion des vaches laitières en fin de lactation." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 93–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4439.

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Abstract:
Les quantités ingérées par des vaches laitières en fin de lactation ont été mesurées pour une ration à base d’ensilage d’herbe et comparées à celles mesurées en début de lactation (respectivement semaines 34-46 après le vêlage et semaines 1 à 12). Au maximum d’ingestion (5e semaine après le vêlage) les vaches produisant 33 kg de lait à 4 % de MG ont ingéré 20,6 kg de MS (ensilage d’herbe + concentré) ; en fin de lactation, pour une production de 11 kg de lait (40e semaine après le vêlage), elles ont ingéré 14,1 kg de MS. Cette dernière valeur correspond à une capacité d’ingestion de 15,6 UEL, cohérente avec le système des unités d’encombrement. Il existe cependant des variations individuelles de la capacité d’ingestion en fin de lactation qui ne s’expliquent pas par le format ni par la production des animaux.
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