Journal articles on the topic 'Prise alimentaire – Régulation'

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1

Luquet, Serge. "Régulation de la prise alimentaire." Nutrition Clinique et Métabolisme 22, no. 2 (June 2008): 52–58. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2008.04.011.

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2

Disse, E. "Régulation neuro-hormonale de la prise alimentaire." Annales d'Endocrinologie 78, no. 4 (September 2017): 204. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2017.07.750.

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3

Mithieux, G. "Régulation de la prise alimentaire par les protéines." Médecine des Maladies Métaboliques 7, no. 1 (February 2013): 35–40. http://dx.doi.org/10.1016/s1957-2557(13)70490-5.

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4

Pénicaud, Luc, Alexandre Benani, Xavier Fioramonti, Thierry Alquier, Élise Guillod, Anne Lorsignol, and Corinne Leloup. "Détecteurs de glucose et régulation de la prise alimentaire." Cahiers de Nutrition et de Diététique 42, no. 3 (May 2007): 134–38. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(07)88755-4.

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5

Luquet, Serge. "Du nouveau dans la régulation de la prise alimentaire ?" médecine/sciences 24, no. 8-9 (August 2008): 680–82. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20082489680.

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6

Berthoz, S. "Concept d’alimentation émotionnelle : mesure et données expérimentales." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S29—S30. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.088.

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Abstract:
Le concept d’alimentation émotionnelle (emotional eating) peut se définir comme le fait de moduler la consommation alimentaire en réponse à un ressenti émotionnel plutôt qu’à celui de la faim ou de la satiété . Il postule l’existence d’une association étroite entre la régulation homéostasique de la prise alimentaire et de l’humeur, que l’affectivité ferait partie des traits psychologiques qui augmentent ou diminuent la consommation alimentaire et le contrôle du poids. Les mécanismes mis en cause sont les mêmes que ceux incriminés dans les abus de substances ou certaines addictions comportementales : la nourriture serait utilisée pour « s’automédiquer » d’un ressenti déplaisant. Actuellement, un recours à la prise alimentaire pour se réconforter d’un éprouvé négatif est de plus en plus mis en cause dans la surconsommation (overeating) et l’obésité , ainsi que dans les différents sous-types de troubles du comportement alimentaire . Si ces études suggèrent bien qu’adopter un comportement alimentaire « de réconfort » peut avoir des effets délétères pour la santé, on ne sait pas encore dans quelles mesures certaines ou toutes les émotions sont associées à des modifications importantes de la prise alimentaire, quel(s) rôle(s) de médiation peuvent avoir différentes stratégies de régulation émotionnelle ou comportementale. Pourtant, le recours à l’alimentation émotionnelle, au même titre que l’abus de substances, serait en augmentation ces 20 dernières années , et des associations entre un comportement alimentaire « de réconfort » avec des indicateurs de mal être ou de mauvaise santé mentale (ex. stress, burn-out, dépression), en plus de problèmes de poids, commencent à être rapportées. Mieux identifier si toutes ou certaines émotions favorisent l’émergence de l’alimentation émotionnelle, et quelles sont les personnes les plus vulnérables, permettrait de développer des stratégies thérapeutiques plus ciblées et donc potentiellement plus efficaces.
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Andreelli, F., and H. Mosbah. "IRM fonctionnelle cérébrale et régulation de la prise alimentaire chez l’homme." Médecine des Maladies Métaboliques 8, no. 1 (February 2014): 21–27. http://dx.doi.org/10.1016/s1957-2557(14)70678-9.

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8

Dupont, Mariève, Vicky Drapeau, Caroline Senécal, Annette Gallant, Émilie Pérusse-Lachance, and Angelo Tremblay. "Régulation de la prise alimentaire consécutive à un travail mental exigeant." Canadian Journal of Behavioural Science / Revue canadienne des sciences du comportement 49, no. 1 (January 2017): 18–31. http://dx.doi.org/10.1037/cbs0000061.

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9

BOUVAREL, I., S. TESSERAUD, and C. LETERRIER. "L’ingestion chez le poulet de chair : n’oublions pas les régulations à court terme." INRAE Productions Animales 23, no. 5 (December 19, 2010): 391–404. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.5.3317.

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Abstract:
Les programmes nutritionnels reposent le plus souvent sur la base de pas de temps d’une journée minimum alors que des phénomènes associés à l’ingestion des aliments induisent des réponses selon des pas de temps beaucoup plus courts. L’ingestion est régulée à long terme au niveau central depuis des boucles de rétroaction des tissus périphériques, afin d’assurer l’équilibre énergétique, et ceci de concert avec la recherche de l’homéostasie protéique et de l’homéothermie. La régulation de l’ingestion à court terme est liée à la nécessité de limiter l’encombrement de l’aliment ingéré, et d’assurer des apports énergétiques et de nutriments réguliers. Chez les volailles, elle est vraisemblablement effective selon un pas de temps inférieur à une heure. Elle fait intervenir des signaux provenant du tractus gastro-intestinal et agissant au niveau central. Les signaux sensoriels conditionnent la réponse à très court terme (< minute). Parmi eux, les capacités visuelles et tactiles sont particulièrement utilisées par les volailles pour apprécier leur aliment. Le comportement alimentaire dépend de ces différentes perceptions qui interagissent entre elles et dépendent aussi de l’expérience de l’animal. Les volailles sont capables de différents types d’apprentissage, par association de sensorialités entre elles ou avec les effets post-ingestifs de l’aliment. Ces informations sont stockées dans la mémoire à long terme et sont réutilisées par l’animal, qui est alors capable d’anticiper les effets d’un aliment qu’il apprend à identifier. Ces apprentissages, permettant à l’animal une meilleure adaptation à son environnement en améliorant sa capacité de choix, interfèrent alors avec les mécanismes de régulation de la prise alimentaire. La prise en compte des préférences alimentaires et des capacités d’apprentissage des volailles, constitue un challenge ambitieux pour les nutritionnistes.
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Ballon, N., S. Berthoz, P. Brunault, and N. Rigal. "L’alimentation est-elle soluble dans la psychologie et la psychiatrie ? Cas de l’alimentation émotionnelle et de l’addiction à l’alimentation." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S29. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.087.

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Abstract:
Si l’étude du comportement alimentaire est complexe et nécessite une approche intégrative, des travaux récents ont conforté l’idée que les psychologues et les psychiatres ont un rôle fondamental à jouer dans la prise en charge d’un spectre large de désordres de la prise alimentaire. Trois communications actualisées permettront d’aboutir à une meilleure compréhension et à une meilleure prise en charge des déterminants psychologiques et psychiatriques de la modulation de la prise alimentaire chez l’enfant et l’adulte :– la 1re portera sur le concept d’alimentation émotionnelle, définit comme le fait de moduler la consommation alimentaire en réponse à un ressenti émotionnel plutôt qu’à celui de la faim ou de la satiété . Nous présenterons l’évolution des instruments d’évaluation et la littérature épidémiologique, clinique et expérimentale, établissant que l’affectivité – négative mais aussi positive – fait partie des traits psychologiques qui modulent la consommation alimentaire et le contrôle du poids et quel(s) rôle(s) de médiation peuvent avoir différentes stratégies de régulation émotionnelle ou comportementale ;– la 2e présentera le concept d’addiction à l’alimentation, qui a été récemment proposé en appliquant les critères diagnostiques DSM de dépendance à une substance dans le champ de l’alimentation . Après avoir précisé comment mesurer ce concept, nous présenterons la littérature sur les facteurs biologiques, psychologiques et psychiatriques associés à cette addiction chez les patients obèses. Ceci nous permettra de suggérer de nouvelles pistes thérapeutiques pour ces patients ;– enfin, la 3e communication illustrera la mise en évidence de liens entre tempérament et alimentation dès l’enfance. Après la présentation du modèle de Rothbart et al. , qui définit le tempérament par le niveau de réactivité des enfants ainsi que par leur capacité d’autorégulation, nous testerons la valeur de ce modèle tempéramental dans le domaine alimentaire enfantin au travers de deux études.
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Bourdier, L., C. Carre, C. Dantzer, L. Romo, and S. Berthoz. "Étude psychométrique des facteurs émotionnels et motivationnels impliqués dans la prise alimentaire." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S109. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.207.

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Abstract:
Le concept d’alimentation émotionnelle se définit comme le fait de moduler la consommation alimentaire en réponse à un ressenti émotionnel plutôt qu’à celui de la faim ou de la satiété [1]. Il postule que l’affectivité ferait partie des traits psychologiques qui augmentent ou diminuent la consommation alimentaire et le contrôle du poids. Le recours à l’alimentation émotionnelle est de plus en plus mis en cause dans la surconsommation (overeating) et l’obésité [2], et les différents sous-types de troubles du comportement alimentaire [3]. Si des études suggèrent qu’adopter un comportement alimentaire « de réconfort » peut avoir des effets délétères, on ne sait pas encore dans quelle mesure certaines ou toutes les émotions sont associées à des modifications importantes de la prise alimentaire. L’objectif de l’étude était de mieux identifier si toutes ou certaines émotions favorisent l’émergence de l’alimentation émotionnelle, et quelles sont les personnes les plus vulnérables. Des étudiants (n = 149 ; âge = 21,5 ± 2,9 ; 81,9 % femmes) ont complété des évaluations de l’alimentation émotionnelle (EMAQ), l’alimentation intuitive (IES), l’addiction à l’alimentation (YFAS) ainsi que la personnalité affective (ANPS). Des corrélations bivariées (Spearman) et des régressions linéaires ont été menées. L’effet de la catégorie d’IMC a été analysé par des tests de Mann-Withney. On retrouve des associations significatives entre la personnalité affective et : la propension à moduler sa prise alimentaire (ex. : EMAQ-émotions négatives/ANPS-négatif Rho = –0,17, p = 0,04 ; IES-Total/ANPS-Tristesse Rho = –0,19, p = 0,03) et à présenter des symptômes d’addiction alimentaire (e.g. YFAS-Sevrage/ANPS-Tristesse Rho = 0,18, p = 0,04). L’alimentation émotionnelle et l’alimentation intuitive prédisent l’IMC (EMAQ-négatif/IMC : = 0,17, p = 0,04 ; IES-Total/IMC : = –0,17, p = 0,04). Le fait de moduler la consommation alimentaire indépendamment de la sensation de faim ou de la satiété (IES-signaux internes) est significativement plus marqué chez les étudiants en surpoids/obèses (p = 0,03). L’étude confirme l’importance de prendre en compte le recours à l’alimentation comme une stratégie potentiellement inadaptée de régulation émotionnelle et ses conséquences sur la santé.
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FAVERDIN, P., D. M’HAMED, M. RICO-GÓMEZ, and R. VERITE. "La nutrition azotée influence l’ingestion chez la vache laitière." INRAE Productions Animales 16, no. 1 (February 9, 2003): 27–37. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.1.3642.

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Abstract:
L’augmentation des teneurs en protéines des régimes est souvent associée à une augmentation de l’ingestion chez les vaches laitières, mais l’amplitude de ces réponses et les mécanismes sont encore mal connus. Cet article caractérise les effets des teneurs en azote et en protéines des régimes sur l’ingestion des aliments par les vaches laitières et discute les différentes hypothèses concernant les mécanismes. La fourniture en azote dégradable aux microbes du rumen et la disponibilité en protéines pour la synthèse du lait sont capables de stimuler l’ingestion. Ces effets peuvent être quantitativement importants et le plus souvent augmentent au cours du temps. Si le rôle de l’azote dégradable sur l’activité microbienne dans le rumen permet de bien comprendre l’augmentation des quantités ingérées, l’action des protéines sur la régulation de l’ingestion est moins facile à expliquer et pourrait être multifactorielle. Comme chez les monogastriques, les modifications possibles d’équilibre des acides aminés pourraient également modifier le contrôle de la prise alimentaire et expliquer des effets à court terme sur l’ingestion. Cependant, l’augmentation de l’effet des protéines sur l’ingestion au cours du temps milite plus pour une action indirecte, via la demande d’énergie ou la mobilisation des réserves par exemple, que pour une action directe des protéines sur le contrôle de la prise alimentaire. Ces hypothèses pourraient permettre d’intégrer les effets de l’alimentation protéique dans les modèles de prévision des quantités ingérées.
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Faverdin, P. "The effect of nutrients on feed intake in ruminants." Proceedings of the Nutrition Society 58, no. 3 (August 1999): 523–31. http://dx.doi.org/10.1017/s0029665199000695.

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Abstract:
The purpose of the present review is to examine the role played by nutrients in controlling feed intake in ruminants, in light of their particular anatomical, physiological, nutritional and behavioural characteristics. The ration is first digested in the rumen for several hours by microbial fermentation. Volatile fatty acids, which constitute 50–75 % of a ruminant’s energy supply, considerably depress feed intake when administered by short-term infusion into the rumen. However, this effect seems to be largely due to osmolarity problems. Only propionate seems to have a specific action, unrelated to osmolarity, in the mesenteric or portal veins. Nitrogenous nutrients have little short-term effect on feed intake, except when there is excess NH3 in the rumen. Metabolic cues from intestinal digestion, particularly of glucose and starch, have very little short-or long-term influence in controlling feed intake, in comparison with rumen digestion cues. However, the short-term responses in feeding behaviour do not always reflect longer-term effects on feed intake control. The effects of volatile fatty acid infusion on feed intake are much less significant over the long term, except in the case of propionate. The nutrients required for good microbial activity (proteins in the rumen) generally promote feed intake, whereas nutrients that disrupt rumen functioning (lipids) reduce feed intake. After a learning period, preferences are always governed by a tendency toward optimum rumen functioning, rather than by animal nutritional requirements, although the two factors are not independent. Ruminants, due to their particular anatomical and nutritional characteristics, have, in the course of their evolution, developed specific feed intake control mechanisms based on nutritional cues.Résumé L’objet de cette revue est d’étudier le rôle des nutriments dans les mécanismes de contrôle de la prise alimentaire chez les ruminants, en tenant compte de leurs particularités anatomiques, physiologiques, nutritionnelles et comportementales. La digestion de la ration se déroule d’abord pendant de nombreuses heures dans le rumen par fermentation des aliments par des microbes. Les acides gras volatils, qui constituent 50–75 % des nutriments énergétiques d’un ruminant, présentent des effets rassasiants marqués lorsqu’ils sont perfusés dans le rumen. Cependant, ces effets semblent liés dans une large mesure à des problèmes d’osmolarité. Seul le propionate semble agir avec une action spécifique autre que l’osmolarité au niveau des veines mésentériques ou porte. Les nutriments azotés ont peu d’effet à court terme sur la prise alimentaire, excepté en cas d’excès d’ammoniac du rumen. Les signaux métaboliques provenant de l’absorption intestinale, en particulier le glucose ou l’amidon, ont très peu d’effet, à court ou long terme, dans le contrôle de la prise d’aliment comparativement aux signaux provenant de la digestion ruminale. Mais les réponses observées à court terme dans le contrôle de la prise alimentaire ne présagent pas toujours des effets à plus long terme dans la régulation des quantités ingérées. Les effets des acides gras volatils sur les quantités ingérées sont beaucoup moins nets à long terme, sauf pour le propionate. Les nutriments indispensables au bon fonctionnement de l’activité microbienne (protéines dans le rumen) ont des effets favorables sur l’ingestion alors que les nutriments qui perturbent le fonctionnement du rumen (lipides) diminuent les quantités ingérées. Après apprentissage, les choix alimentaires s’orientent toujours vers une recherche d’un fonctionnement optimal du rumen plus que vers une bonne adéquation des apports aux besoins de l’animal, même si les deux ne sont pas indépendants. Les ruminants présentent donc, de par leurs spécificités anatomique et nutritionnelle, des adaptations originales dans les mécanismes de régulation des quantités ingérées à partir des signaux nutritionnels.
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Dantas-Ferreira, Rosana, Dominique Ciocca, Patrick Vuillez, Stéphanie Dumont, Christian Boitard, Ute C. Rogner, and Etienne Challet. "Implication du gène d’horloge Bmal2 dans la régulation circadienne de la prise alimentaire et du métabolisme énergétique." Médecine du Sommeil 20, no. 4 (December 2023): 248–49. http://dx.doi.org/10.1016/j.msom.2023.10.019.

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Mithieux, Gilles. "Rôle des récepteurs mu-opioïdes dans la régulation d’un axe intestin–cerveau de contrôle de la prise alimentaire." Cahiers de Nutrition et de Diététique 48, no. 2 (April 2013): 92–97. http://dx.doi.org/10.1016/j.cnd.2013.02.002.

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Dominique, M., I. Boulete, C. Bole-Feysot, F. Leon, J. C. Do Rego, S. O. Fetissov, P. Déchelotte, G. Lambert, R. Legrand, and N. Lucas. "Rôle de la protéine bactérienne ClpB et d’un de ses fragments peptidiques dans la régulation de la prise alimentaire." Nutrition Clinique et Métabolisme 33, no. 1 (March 2019): 23–24. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2019.01.258.

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Mortreux, M., N. Kassis, C. Magnan, and S. Migrenne-Li. "O14: La Prokinéticine-2 olfacto-bulbaire est impliquée dans la régulation de la prise alimentaire et de l’homéostasie glucidique." Nutrition Clinique et Métabolisme 28 (December 2014): S36. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(14)70590-4.

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Gehring, Joséphine, Claire Gaudichon, and Patrick C. Even. "Influence de la teneur en protéines de l’alimentation sur le contrôle de la prise alimentaire et la régulation du poids." Cahiers de Nutrition et de Diététique 55, no. 5 (October 2020): 223–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.cnd.2020.08.001.

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Mortreux, M., N. Kassis, R. Burcelin, N. Kassis, D. J. Drucker, C. Magnan, and S. Migrenne-Li. "O23 La Prokinéticine-2 olfacto-bulbaire est impliquée dans la régulation de la prise alimentaire via un mécanisme GLP-1R dépendant." Diabetes & Metabolism 41 (March 2015): A7. http://dx.doi.org/10.1016/s1262-3636(15)30023-9.

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FAVERDIN, P., and M. PICARD. "Dossier : Préhensibilité des aliments par les herbivores et les volailles - Avant-propos." INRAE Productions Animales 10, no. 5 (December 9, 1997): 375. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.5.4013.

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Abstract:
Le groupe "Ingestion" du Département Elevage et Nutrition des Animaux contribue, par des échanges interdisciplinaires, à une meilleure compréhension des facteurs de variation de la consommation alimentaire et à favoriser le développement de nouvelles méthodes de mesures qui puissent être appliquées à différents types d’élevages. La palatabilité d’un aliment, analysée dans le dossier précédent (INRA Prod. Anim., 9, 337-366) dépend pour une large mesure de l’expérience alimentaire d’un animal. La mesure de la palatabilité pendant des tests de courte durée ne permet donc que difficilement de caractériser l’ingestibilité d’un aliment chez les animaux mono ou polygastriques. Une prévision intégrée de la consommation peut être obtenue grâce à un modèle global comme celui proposé par Sauvant et al (réunion du groupe ingestion du 9-10-95). Au coeur de ce modèle, la bouchée (ou la becquée) représente l’acte élémentaire conduisant à l’ingestion. De durée comparable chez l’herbivore ruminant et chez le poulet granivore, il est le premier contact physique entre l’animal et l’aliment. A ce titre, il est apparu important au groupe "Ingestion" de dresser un état des connaissances sur cet acte central de la prise alimentaire. Les organes qui permettent aux animaux de reconnaître et saisir de la nourriture sont adaptés depuis des millions d’années à des conditions environnementales complexes. "La connaissance de la nutrition peut masquer le fait que les animaux sont des nutritionnistes depuis que la première cellule assimila des nutriments et se reproduisit à la fin du précambrien, il y a quelques milliards d’années et que les herbivores paissent efficacement depuis 65 millions d’années sans l’assistance des hommes." (Provenza 1995 in: Ruminant Physiology, F. Enke Verlag (ed), Stuttgart (Deu), 233-247). Les conditions d’élevage placent aujourd’hui l’animal dans des situations différentes selon le type de production. Dans ce dossier deux situations opposées sont décrites. Les conditions hétérogènes du parcours étudiées par Michel Meuret imposent une gestion spatio-temporelle optimale des ressources disponibles. A l’autre extrême les volailles reçoivent un aliment unique dans un environnement simplifié analysé par Michel Picard et al. Entre ces deux situations il existe une communauté d’approche méthodologique que Sophie Prache et Jean-Louis Peyraud illustrent en analysant d’abord la préhension de l’herbe par les ruminants. Au-delà des mécanismes physiologiques de régulation et malgré les particularités de chacune des espèces animales, ces articles montrent qu’il est important de ne pas négliger les aspects de structure et de spatialisation des aliments dans le déterminisme de la prise alimentaire.
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Mortreux, M., N. Kassis, C. Magnan, and S. Migrenne-Li. "PO14 La prokinéticine-2 olfacto-bulbaire est impliquée dans la régulation de la prise alimentaire : identification d’une nouvelle cible thérapeutique dans le traitement de l’obésité ?" Diabetes & Metabolism 40 (March 2014): A24. http://dx.doi.org/10.1016/s1262-3636(14)72272-4.

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Remy, E., S. Issanchou, V. Boggio, and S. Nicklaus. "O23 Les enfants s’arrêtent-ils de manger lorsqu’ils n’ont plus faim ? Lien entre la régulation de la prise alimentaire, l’âge, le genre et la corpulence." Cahiers de Nutrition et de Diététique 46 (December 2011): S31—S32. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(11)70044-x.

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Remy, E., S. Issanchou, V. Boggio, and S. Nicklaus. "O23 Les enfants s’arrêtent-ils de manger lorsqu’ils n’ont plus faim ? Lien entre la régulation de la prise alimentaire, l’âge, le genre et la corpulence." Nutrition Clinique et Métabolisme 25 (December 2011): S31—S32. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(11)70027-9.

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HERPIN, P. "Bases métaboliques et physiologiques de l’acclimation du porcelet au froid." INRAE Productions Animales 2, no. 4 (October 10, 1989): 255–65. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.4.4419.

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Abstract:
Les manifestations métaboliques d’une exposition au froid et leurs conséquences sur la croissance du porcelet sont présentées et analysées en termes de mécanismes mis en jeu dans la régulation de la thermogénèse. Les approches zootechniques, biochimiques, endocrinologiques et bioénergétiques sont successivement abordées. L’acclimatation du porcelet à une température basse s’accompagne d’une augmentation de la dépense énergétique (production de chaleur) et nécessite un accroissement de la prise alimentaire ; en alimentation rationnée, l’exposition au froid s’accompagne d’une réduction des performances. Les effets du froid sur la composition corporelle varient en fonction des conditions d’alimentation. Le rôle clé des lipides et du tissu adipeux blanc (captation, synthèse, stockage et mobilisation des acides gras), déjà suggéré par les résultats zootechniques, est démontré par l’étude des enzymes de leur métabolisme (lipoprotéine lipase, lipogénèse, lipolyse), suggérant une augmentation du débit de renouvellement des acides gras au froid. Le rôle énergétique des glucides est aussi important. Au plan endocrinologique, les catécholamines et les hormones thyroïdiennes apparaissent comme les effecteurs essentiels de la thermogénèse au froid. En l’absence de quantités notables de tissu adipeux brun, le muscle semble un site privilégié d’utilisation et d’oxydation des acides gras libérés par le tissu adipeux. Il s’y développe en effet, outre le frisson, des mécanismes spécifiques de dissipation de chaleur (découplage partiel des mitochondries du muscle rhomboïde, stimulation de la pompe Na+ /K+-ATPase du muscle intercostal) qui contribuent efficacement au maintien de la température corporelle.
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Bitsoumanou Nkounkou, Junior, and Ludovic Temple. "Résilience du secteur alimentaire face à la crise Covid-19 et perspectives pour les politiques agricoles en République du Congo." Cahiers Agricultures 30 (2021): 39. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021025.

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Abstract:
La crise économique et sanitaire due à la Covid-19 interpelle les trajectoires de reconfiguration des systèmes alimentaires en République du Congo. Elle questionne la capacité des mesures de régulation prises par les pouvoirs publics et des stratégies d’adaptation des acteurs à induire des inflexions dans la gouvernance structurelle du système alimentaire du pays. L’article analyse les stratégies d’adaptation à la crise en mobilisant des données secondaires et des expériences d’accompagnement de politiques publiques agricoles et alimentaires conduites par les auteurs. Au Congo, le secteur alimentaire reste tributaire des importations et repose sur une agriculture vivrière extensive. Pour gérer la pandémie, un confinement général « flexible » de la population a été appliqué. Les achats de panique, la réduction de la durée d’activité des marchés et la hausse temporaire des prix des produits alimentaires ont révélé les fragilités du secteur, liées à sa dépendance aux marchés internationaux. La crise a cependant confirmé la capacité d’innovation collective du secteur informel. Elle réhabilite la reconnaissance d’une agriculture de proximité, source d’emplois pour des populations vulnérables. Elle interpelle la conception de politiques agricoles et alimentaires futures au regard d’enjeux d’intégration des risques sanitaires, alimentaires et sociaux, dans le contexte du bassin forestier du Congo, qui est exposé à des risques de résurgence de zoonoses existantes et d’arrivée de maladies émergentes.
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Pontanier, Emilie, and Anne-Claire Husser. "Religions et sorties scolaires au collège : la laïcité scolaire au prisme des aménagements ordinaires." Studies in Religion/Sciences Religieuses 48, no. 4 (September 27, 2019): 571–92. http://dx.doi.org/10.1177/0008429819868675.

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Abstract:
En France, la question du religieux dans l’école laïque peut être appréhendée comme une question socialement vive. Quelles stratégies et quels traitements les professionnels de l’éducation adoptent-ils lorsqu’ils sont en présence d’expressions du religieux « ostentatoires », fondamentalistes ou plus généralement en décalage par rapport aux normes scolaires ? Comment et dans quelle mesure prennent-ils en compte les croyances des élèves et de leur famille (aménagement pour des interdits alimentaires ou accommodement lors de déplacements scolaires, etc.) ? Quelles ressources mobilisent-ils, selon quels principes de justice ? En nous appuyant sur l’exemple des sorties scolaires et des modalités de régulation du religieux, par le biais des outils de la sociologie pragmatique, nous analysons la variété des accommodements réalisés par les enseignants et les personnels de vie scolaire pour atteindre leur objectif principal : rendre possible le départ de « tous les élèves » en sortie et voyage scolaires dont la dimension formative fait l’accord. Des situations (exceptionnelles) de gestion de radicalisation seront analysées.
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Veluk Gutierrez, Felipe, Ronnie De Camino, and Alejandro Imbach. "Cartographie des aires prioritaires pour la restauration des paysages forestiers et l'amélioration des moayens de subsitance ruraux sur l'Altiplano de San Marcos au Guatemala." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 313, no. 313 (September 1, 2012): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.313.a20498.

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Abstract:
Le projet de recherche a été mené au sein de trois petits bassins versants localisés dans l'altiplano du département de San Marcos, dans la région Sud-Ouest du Guatemala. L'objectif principal était d'analyser les attributs spatiaux du territoire et de cartographier les aires prioritaires pour aider les parties prenantes aux prises de décision de mise en oeuvre de futurs efforts régionaux de développement, d'aménagement et de conservation des ressources naturelles. Ce travail a pris en compte différents outils et approches techniques tels que: la restauration du paysage forestier (Rpf), les milieux de vie durables, les services écosystémiques, le système d'information géographique (Sig) et l'analyse décisionnelle avec de multiples critères spatiaux. Cette cartographie a identifié et mis en exergue trois lignes stratégiques de Rpf en accord avec chaque modèle spatial ainsi créé, qui sont par ordre d'importance croissante, l'aménagement et la conservation des résidus forestiers, le reboisement ou la régénération de terres dégradées et, surtout, la mise en place de systèmes agroforestiers. Chaque modèle a été établi à partir d'attributs géographiques spécifiques en accord avec les besoins élémentaires des moyens de vie et aussi à partir des données spatiales disponibles. En outre, différents services écosystémiques ont été mis à profit pour orienter la construction de la structure cartographique, parmi lesquels: l'approvisionnement en bois énergie et bois d'oeuvre, la régulation hydrique, la protection des sols et la réduction des risques de glissement de terrain et le gel, la production/sécurité alimentaire et la conservation de la biodiversité. Le Sig s'est avérée être un outil assez puissant et innovant pour comprendre et intégrer le large et complexe réseau de facteurs et/ou lignes de force (mosaïque d'usage du sol, moyens de vie locaux, relations et enjeux sociaux, parmi d'autres caractéristiques géographiques) qui définissent le paysage et ses habitants et consolident ainsi les futurs efforts ou plans régionaux de Rpf. L'analyse spatiale et l'identification d'aires prioritaires à choisir pour la Rpf constituent ainsi les éléments clés d'appui auprès des responsables locaux et des décideurs en vue de l'usage optimal de leurs ressources techniques et financières afin d'élaborer un avenir le plus durable possible vis-à-vis des communautés et de leur environnement.
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Aubry, A. S., G. Awad, and K. Befort. "Neuro-inflammation induite par une prise alimentaire incontrôlée : risque de douleurs chroniques ?" Douleur et Analgésie, 2022. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2022-0226.

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Abstract:
L’hyperphagie boulimique ou binge eating disorder (BED) est le trouble du comportement alimentaire le plus répandu. Il est caractérisé par une prise incontrôlée d’aliments riches en calories, comme le gras et/ou le sucre. Les recherches cliniques et précliniques sur cette pathologie montrent le développement d’une réponse inflammatoire induite par des régimes riches en gras et/ou en sucre. Cette réaction inflammatoire se propage au système nerveux central, en particulier aux structures cérébrales impliquées dans les circuits de la récompense et de la prise alimentaire, via l’axe intestin–cerveau. Les mécanismes neuro-inflammatoires sont associés à une modulation, entre autres, du système endocannabinoïde. Celui-ci est également impliqué dans la régulation de la prise alimentaire, de la récompense et dans le contrôle de la douleur. Les comorbidités associées au BED favorisent l’obésité mais incluent également des troubles de l’humeur (anxiété, dépression notamment). Le binge eating pourrait aussi être un facteur de risque majeur de l’apparition de douleurs chroniques, sous-tendues par des mécanismes neuroinflammatoires. Des recherches futures dans le domaine permettront de développer des stratégies de traitement de cette pathologie, en considérant ces comorbidités.
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Tezenas-du-Montcel, Chloé, and Virginie Tolle. "La régulation de la prise alimentaire au travers des actions antagonistes de la ghréline et du LEAP-2." Cahiers de Nutrition et de Diététique, February 2023. http://dx.doi.org/10.1016/j.cnd.2022.12.002.

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Guy-Grand, Bernard. "Rôle des portions dans la régulation des prises alimentaires et la diversité alimentaire. Synthèse du workshop de la SFN en partenariat avec Nestlé tenu le 25 novembre 2021." Cahiers de Nutrition et de Diététique, March 2022. http://dx.doi.org/10.1016/j.cnd.2022.02.003.

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Smolinski, Jan, and Élisabeth Lambert. "D’une posture de suspicion à celle de confiance dans les applications numériques pour une alimentation saine : analyse socio-juridique des décisions judiciaires contre Yuca." 3, no. 3 (March 21, 2024). http://dx.doi.org/10.56078/amplitude-droit.650.

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Abstract:
Cet article a comme objet l’observation d’une controverse sur l’information alimentaire discutée dans le cadre juridique de décisions de tribunaux de commerce et cours d’appel. Dans un contexte de crises sanitaires et environnementales, la construction de l’information sur ces risques est devenue un enjeu qui crispe les acteurs des marchés, crispation qui prend notamment la forme de recours aux jugements des tribunaux au moment d’arbitrer ces conflits. Cela est d’autant plus notable dans un contexte où les médiations informationnelles portées par des acteurs renouvelés se digitalisent et prennent la forme de scores et informations augmentées. Une étude d’un cas français exemplaire est l’affaire impliquant la société Yuca et le secteur agro-industriel de la charcuterie. Étudier l’affrontement judiciaire de ces acteurs, entre premières instances et appels, offre des clés de lecture des argumentaires qui structurent ces débats. Au prisme du droit et de la socio-économie, il s’agit de démêler les problématiques qui entourent les fondements des postures de suspicion versus la confiance des juges, la définition de la place de la recherche et du consensus scientifique dans l’établissement du jugement, et l’influence des deux dimensions précitées sur l’arbitrage entre dénigrement et liberté d’expression. Il s’agit d’exercer une focale sur les modalités de régulation des actions des médiateurs qui surveillent et influencent les pratiques marchandes, en maintenant une attention aux positions politiques qui semblent différer des positions judiciaires, divergences qui posent en définitive le constat d’informations et médiateurs à encadrer toujours plus nombreux.

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