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Journal articles on the topic 'Prédiction de la mortalité et de la durée de séjour'

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Hirdes, John P., and K. Stephen Brown. "A Survival Analysis of Institutional Relocation in a Chronic Care Hospital." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 15, no. 4 (1996): 514–24. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800009399.

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Abstract:
RÉSUMÉLe lien entre le relogement des patients âgés et leur taux de mortalité continue de faire l'objet de nombreux débats à cause, en partie du moins, des résultats équivoques des travaux scientifiques. La plupart des recherches dans ce domaine sont toutefois limitées par la petite taille des échantillons, l'utilisation de périodes de suivi arbitraires et l'emploi de méthodes statistiques peu précises. Les analyses présentées ici reposent sur les données de mortalité d'une période de six ans accumulées par une unité pour les maladies chroniques. Les patients de cet établissement ont été relogés en grand nombre dans une nouvelle unité. En tenant compte de l'âge, du sexe et de la durée du séjour avant le suivi, le risque relatif de mortalité lié au relogement était de 1,53.
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Blanc, P., and C. Breton. "Le court-circuit gastrique par cœlioscopie avec robot assistance au cours de la période d’apprentissage : étude prospective." Obésité 14, no. 3 (September 2019): 92–97. http://dx.doi.org/10.3166/obe-2019-0066.

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Abstract:
But de l’étude : Le court-circuit gastrique par cœlioscopie est le geste de référence en chirurgie bariatrique, la chirurgie robotique se développe en chirurgie digestive et bariatrique. Le but de ce travail est de rapporter les résultats de la chirurgie robotique bariatrique lors de la période d’apprentissage. Patients et méthodes : De septembre 2017 à septembre 2018, les 50 premiers courts-circuits gastriques par cœlioscopie avec robot assistance ont été analysés. La période d’apprentissage a été évaluée prospectivement par la durée opératoire, la durée moyenne de séjour et, le taux de complications précoces. Résultats : Il a été réalisé 50 courts-circuits gastriques avec anse en Y. Il s’agissait d’une chirurgie de première intention dans 39 cas, une chirurgie de révision dans 11 cas (6 après anneau périgastrique modulable, 5 après gastrectomie en manchon pour reflux gastro-œsophagien). Il y avait 43 femmes 7 hommes, l’âge moyen était de 43,8 ans (22-65) et, l’IMC moyen de 41,45 kg/m2 (35-55). La durée opératoire moyenne a été de 155,1 min. (90-252) en cas de chirurgie de première intention et, de 181,4 min. (124-252) en cas de chirurgie de révision. La durée moyenne de séjour a été de 3,4 jours (2-12) en cas de chirurgie de première intention et, de 4,5 jours (2-12) en cas de chirurgie de révision. Il n’y a eu aucune conversion, aucun décès. Le taux de complications a été de 12% en cas de chirurgie de première intention (5/39) de 45 % en cas de chirurgie de révision (5/11), le taux de réintervention précoce a été de 8%. Il n’y a eu aucune mortalité. Conclusion : A la condition de suivre une formation spécifique, et de sélectionner les premiers patients, la chirurgie bariatrique par cœlioscopie avec robot assistance est une technique réalisable sans augmenter la morbidité postopératoire et ceci même lors de la période d’apprentissage.
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Chalasani, Venu, Carlos H. Martinez, Darwin Lim, Reem Al Bareeq, Geoffrey R. Wignall, Larry Stitt, and Stephen E. Pautler. "Impact of body mass index on perioperative outcomes during the learning curve for robot-assisted radical prostatectomy." Canadian Urological Association Journal 4, no. 4 (April 17, 2013): 250. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.875.

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Abstract:
Introduction: Previous studies of robotic-assisted radical prostatectomy(RARP) have suggested that obesity is a risk factor for worseperioperative outcomes. We evaluated whether body mass index(BMI) adversely affected perioperative outcomes.Methods: A prospective database of 153 RARP (single surgeon)was analyzed. Obesity was defined as BMI ≥ 30 kg/m2; normalBMI < 25 kg/m2; and overweight as 25 to 30 kg/m2. Two separateanalyses were performed: the first 50 cases (the initial learningcurve) and the entire cohort of 153 RARP.Results: In the initial cohort of 50 cases (14 obese patients), therewas no statistically significant difference with regards to operativetimes, port-placement times and estimated blood loss (EBL). Lengthof stay (LOS) was longer in the obese group (4.3 vs. 2.9 days); BMIremained an independent predictor of increased LOS on multivariatelinear regression analysis (p = 0.002). There was no statisticallysignificant difference in the postoperative outcomes of leak rates,margin rates and incisional herniae. In the entire cohort, whencomparing obese patients to those with a normal BMI, there wasno statistically significant difference in operative times, EBL, LOS,or immediate postoperative outcomes. However, on multivariatelinear regression analysis, BMI was an independent predictor ofincreased operative time (p = 0.007).Conclusion: Obese patients do not have an increased risk of bloodloss, positive margins or the postoperative complications of incisionalhernia and leak during the learning curve. They do, however,have slightly longer operative times; we also noted an increasedLOS in our first 50 cases.Introduction : Des études antérieures sur la prostatectomie radicaleassistée par robot (PRAR) ont laissé entendre que l’obésité était unfacteur de risque de complications périopératoires. Nous avonsévalué si l’indice de masse corporelle (IMC) affectait de façonnégative les résultats de l’opération.Méthodologie : Une base de données prospective comptant153 PRAR (effectuées par un seul chirurgien) a été analysée. On adéfini l’obésité comme un IMC ≥ 30 kg/m2, un IMC normal étant< 25 kg/m2, et un IMC entre 25 et 30 kg/m2 représentant un surplusde poids. Deux analyses distinctes ont été réalisées : les 50 premierscas (courbe d’apprentissage initiale) et la cohorte entière des153 patients ayant subi une PRAR.Résultats : Dans la cohorte initiale de 50 cas (dont 14 patientsobèses), on n’a noté aucune différence significative sur le planstatistique en ce qui concerne la durée de l’opération, le tempsrequis pour installer l’accès vasculaire et la perte de sang approximative.La durée du séjour était plus longue dans le groupe despatients obèses (4,3 contre 2,9 jours), et l’IMC est demeuré unfacteur indépendant de prédiction d’une durée prolongée du séjourlors de l’analyse de régression linéaire multivariée (p = 0,002).Aucune différence significative sur le plan statistique n’a été notéedans les résultats postopératoires quant aux taux de fuite, aux tauxde marges positives et aux hernies incisionnelles. Dans toute lacohorte, on n’a noté aucune différence significative sur le planstatistique entre les patients obèses et les patients dont l’IMC étaitnormal en ce qui a trait à la durée de l’opération, la perte desang, la durée du séjour et les résultats postopératoires immédiats.Néanmoins, l’IMC s’est révélé un facteur de prédiction indépendantd’une durée prolongée de l’opération lors de l’analyse de régressionlinéaire multivariée (p = 0,007).Conclusion : Les patients obèses ne courent pas un risque plus élevéde perte de sang, de marges positives ou de complications postopératoirescomme une hernie incisionnelle ou une fuite pendantla période de la courbe d’apprentissage du chirurgien. Ils nécessitenttoutefois une opération légèrement plus longue; une duréeplus longue du séjour a aussi été notée chez les 50 premiers cas.
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Thibon, E., X. Bobbia, B. Blanchard, T. Masia, L. Palmier, L. Tendron, J. E. de La Coussaye, and P. G. Claret. "Association entre mortalité et attente aux urgences chez les adultes à hospitaliser pour étiologies médicales." Annales françaises de médecine d’urgence 9, no. 4 (April 21, 2019): 229–34. http://dx.doi.org/10.3166/afmu-2019-0151.

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Abstract:
Introduction: Notre objectif principal est de comparer, dans un centre hospitalier universitaire (CHU) français et chez les patients hospitalisés pour étiologies médicales à partir de la structure des urgences (SU), le taux de mortalité intrahospitalière entre ceux qui n’attendent pas faute de place en service et ceux en attente (boarding).Méthode: Il s’agit d’une étude quasi expérimentale, monocentrique, observationnelle, rétrospective, par recueil d’informations à partir des dossiers patients informatisés. Nous avons appliqué un score de propension pour ajuster les critères de jugement aux variables mesurées dans les deux groupes, c’est-à-dire les données : 1) démographiques (âge et sexe) ; 2) médicales (niveau de triage) ; 3) biologiques (numération leucocytaire, hémoglobinémie, natrémie, kaliémie, taux sérique de CRP, créatininémie) ; 4) d’imageries (réalisation ou non de radiographie, d’échographie, d’imagerie par résonance magnétique, de tomodensitométrie).Résultats: En 2017, la SU du CHU a admis 60 062 patients adultes. Sur les 15 496 patients hospitalisés après admission en SU, 6 997 l’ont été pour une étiologie médicale, dont 2 546 (36 %) sans attente et 4 451 (64 %) après une attente. Après pondération, le taux de mortalité intrahospitalière était plus important dans le groupe en attente : 7,8 vs 6,3 % ;p< 0,05. De même, la durée médiane d’hospitalisation était plus importante dans le groupe en attente : 7,6 [4,7– 12,0] vs 7,1 j [4,3–11,5] ;p< 0,01.Discussion: Les taux de mortalité et de la durée de séjour intrahospitaliers sont plus importants chez les patients étudiés qui attendent en SU faute de place en service. Nos résultats sont concordants avec la littérature internationale. Il est nécessaire de trouver des solutions pour réduire cette surmortalité.
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Mazen, E., A. Musat, L. Popitean, A. Camus, O. Bouchot, M. David, and P. Pfitzenmeyer. "Chirurgie cardiaque au CHU de Dijon : morbi-mortalité et durée moyenne de séjour chez le sujet âgé et très âgé." La Revue de Médecine Interne 29 (June 2008): S88—S89. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2008.03.160.

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Lascarrou, Jean Baptiste, Wulfran Bougouin, Florence Dumas, Emmanuel Canet, Stéphane Legriel, François Javaudin, and Alain Cariou. "Les spécificités de l'arrêt cardiaque intra-hospitalier et sa prise en charge." Médecine Intensive Réanimation 31, no. 2 (June 16, 2022): 95–106. http://dx.doi.org/10.37051/mir-00096.

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Abstract:
L’arrêt cardiaque intra hospitalier (ACIH) est un évènement rare (1 cas pour 1000 admissions hospitalières approximativement) mais associé à une mortalité et une morbidité importante. Beaucoup d’éléments de la prise en charge sont calqués sur l’arrêt cardiaque extrahospitalier (ACEH) et/ou la disponibilité immédiate d’un plateau technique hospitalier complet. La prévention incluant l’amélioration de la détection des ACIH, mais aussi la prédiction de leur survenue nécessite la mise en place de registre exhaustif tels qu’ils existent déjà dans des pays notamment scandinaves mais font défaut en 2021 en France. Les causes de l’ACIH sont équilibrées entre causes cardiaques similaires aux ACEH et causes extracardiaques avec en premier lieu l’asphyxie. Cette épidémiologie conduit à une prise en charge spécifique de manière plus fréquente que dans le cadre de l’ACEH. La prise en charge non spécialisée repose sur les compressions thoraciques, l’oxygénation avec ou sans intubation trachéale et l’administration d’Adrénaline. La prise en charge après récupération d’une activité cardiaque spontanée est guidée par l’étiologie et les mesures neuroprotectrices pouvant être proposées. L’évaluation du pronostic étant cruciale comme dans le cadre de l’ACEH avec néanmoins une place particulière pour les comorbidités, la fragilité et la pathologie responsable du séjour hospitalier.
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Dicko, Hammadoun, and Et Al. "Prévalence des infections associées aux soins en réanimation au Mali." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 17, no. 1 (April 30, 2022): 77–83. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v17i1.2231.

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Abstract:
Introduction : Ce travail a été initié pour faire un état des lieux des infections associées aux soins en réanimation et identifier les pathogènes en causes. Méthodes : Une étude prospective descriptive a été menée en réanimation à l’hôpital universitaire du Point G, Bamako. L’échantillon était constitué de 218 patients hospitalisés avec une durée de séjour de plus de 48 heures et qui ont été interrogés à l’aide d’un questionnaire standardisé. Notre étude s’est déroulée sur une période de 09 mois, Septembre 2020 à Juin 2021. Résultats : Notre étude a permis de recenser 64 patients atteints d’une infection associée aux soins. La prévalence était de 29,4%. Le taux d’incidence global d’épisode infectieux était de 33,5%. On notait une égalité entre les deux sexes avec un ratio de 1. L’âge moyen des patients était de 47,1 ± 22,2 ans. Les facteurs de risque ont été : la gravité de l’état pathologique des malades, les comorbidités associées et la fréquence des dispositifs médicaux invasifs. Parmi les infections associées aux soins, les bactériémies ont été les plus fréquentes (44,8%.), suivies des infections urinaires (32,9%.) et des PAVM (22,3%). L’hémoculture a été l’examen le plus réalisé (64) avec un taux de positivité de 50%. Les microorganismes retrouvés étaient les entérobactéries (bacilles Gram négatifs fermentant) ont été plus fréquents avec 36,8%, suivis des bacilles Gram négatifs non fermentant (23,7%), les levures (23,7%) et les Cocci Gram positif (15,8%). La mortalité était de 68,8%. Conclusion : au terme de cette étude, il ressort une augmentation de la prévalence des infections associées aux soins en réanimation avec une mortalité élevée
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Alfandari, S. "Prévention des infections urinaires nosocomiales : effets de l’infection urinaire nosocomiale sur la durée de séjour, le coût et la mortalité." Médecine et Maladies Infectieuses 33 (September 2003): 247–54. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(03)00155-0.

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Saoud, M. "Comment mieux valoriser notre activité en psychiatrie de liaison ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 586. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.299.

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Abstract:
La cooccurrence des troubles somatiques et psychiatriques est très fréquente chez les patients admis à l’hôpital général. Il en découle des augmentations des risques de morbi-mortalité et des surcoûts liés à la complexité des soins [1]. Ces patients nécessitent des prises en charge multidisciplinaire ou le rôle du psychiatre de liaison-consultation joue un rôle important. Les effets bénéfiques de ces prises en charge a été démontré notamment en termes de durée moyenne de séjour. Cependant, ces études soulèvent beaucoup d’interrogation notamment concernant le critère principal d’évaluation. Ainsi par exemple certaines études, se sont intéressées au niveau de satisfaction des praticiens somaticiens et des patients ainsi qu’à leurs attentes. Ces difficultés découlent également du fait que les classifications psychiatriques usuelles (DSM et CIM) apparaissent souvent comme insuffisantes pour décrire les comorbidités psychiatriques chez les patients hospitalisés à l’hôpital général [2]. Certains groupes d’experts ont par conséquent proposé quelques catégories nosographiques plus proches de la réalité de la pratique de la psychiatrie de liaison [3]. Dans cette revue, seront abordés les éléments de valorisation de l’activité de psychiatrie de liaison. Ces éléments sont : le bien-être des patients, l’intégration des psychiatres dans les équipes multidisciplinaires et les aspects médico-économiques.
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Kettaneh, A., N. Mario, L. Fardet, D. Flick, T. Fozing, K. Tiev, C. Tolédano, and J. Cabane. "Mortalité hospitalière et durée de séjour des patients non programmés en médecine interne: valeur pronostique de paramètres biochimiques usuels à l'admission." La Revue de Médecine Interne 28, no. 7 (July 2007): 443–49. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2007.02.003.

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Dufourcq, J. B., P. M.A.rsol, M. Granados, and O. Gall. "R173 Analyse de la mortalité et de la durée moyenne de séjour dans un service pédiatrique de brûlés (Comparaison des années 1983–89 et 1990–97)." Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 17, no. 8 (January 1998): 898. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(98)80292-x.

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Samaké, D., M. Coulibaly, M. Kéita, O. Guindo, M. Dembélé, A. Traoré, and Et Al. "La COVID-19 à Mopti : Aspects épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 16, no. 1 (January 31, 2021): 47–51. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v16i1.1760.

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Abstract:
Introduction : La COVID-19 est une pandémie ayant occasionné une morbi-mortalité importante. L'hôpital Sominé DOLO (HSD) a été le principal site de prise en charge des cas dans la région de Mopti. Objectif : décrire les caractéristiques épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutive de l'infection par le SRAS-Cov-2. Méthodes : Il s'agit d'une étude de cohorte prospective et descriptive entre Avril et Septembre 2020. Ont été inclus : les patients prélevés et testés positifs au SRAS-CoV-2, et les patients testés positifs ailleurs puis transférés à l'hôpital Sominé DOLO. Résultats : sur 345 personnes, 125 ont été testées positives au coronavirus soit 36,2% des cas. Les hommes étaient majoritaires avec 68%. Les tranches d'âge de 31-40 ans et 41-50 ans étaient les plus affectées. L'âge moyen était de 44,84 ans. Les formes asymptomatiques ont représenté 50,4% des cas. Les symptômes pulmonaires et de la sphère ORL ont été les plus fréquents. Les cas de comorbidité ont été de 8%. Deux cas d'infection sont survenus sur grossesse. Nous avons rapporté 8 cas (6,4%) de contamination parmi le personnel soignant. La durée moyenne de séjour était de 11 jours, le taux de guérison 94,3% tandis que la létalité était de 5,7%. Conclusion : la mise en place d'un laboratoire de proximité sur le site en vue d'un diagnostic rapide des cas contribuerait à améliorer le taux de dépistage et la prise en charge précoce des cas. La baisse de la létalité quant à elle reste tributaire d'une prise en charge efficace des formes sévères. Ce ci passe par la dotation de la structure en équipements de réanimation et la formation continue du personnel.
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Bilandzic, Anja, and Laura Rosella. "Les coûts du diabète sur 10 ans au Canada : intégration des coûts en soins de santé imputables au diabète à un modèle de prédiction de son incidence." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 37, no. 2 (February 2017): 54–59. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.37.2.03f.

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Abstract:
Introduction Notre objectif était d’estimer les coûts de santé directs liés au traitement du diabète au Canada sur 10 ans, à l’aide de données de sondages nationaux et d’un outil de prévision du risque de diabète, ainsi que les coûts par personne. Méthodologie Nous avons utilisé le Diabetes Population Risk Tool pour estimer le nombre de nouveaux cas de diabète chez les personnes âgées de 20 ans et plus sur 10 ans (jusqu'en 2022) à l’aide des données de 2011 et de 2012 de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes. Nous avons évalué les coûts liés au diabète à partir d’une étude de cohorte faisant appel à l’appariement par score de propension, en utilisant la base de données sur le diabète de l’Ontario ainsi que d’autres données administratives. Nous avons calculé les coûts totaux en utilisant les coûts associés aux nouveaux cas, en tenant compte du sexe, de l’année du diagnostic et des taux de mortalité annuels dus à la maladie. Résultats D'après nos calculs, le risque de développer le diabète sur 10 ans s’élevait pour la population canadienne en 2011-2012 à 9,98 %, soit 2,16 millions de nouveaux cas. Les coûts totaux en soins de santé imputables au diabète pendant cette période sont de 15,36 milliards (7,55 milliards pour les femmes et 7,81 milliards pour les hommes). Ce sont les hospitalisations de courte durée qui constituent la majeure partie de ces coûts (43,2 %). Des interventions menées au sein de la population entraînant une perte de poids de 5 % au sein de la population permettraient de réduire les coûts des soins de santé de 2,03 milliards de dollars. Une réduction du risque de 30 % obtenue grâce à des interventions auprès des personnes à plus haut risque de développer le diabète (c.-à-d. les 10 % au sommet du groupe à risque le plus élevé) entraînerait des économies de l’ordre de 1,48 million de dollars. Conclusion D'ici 2022, le diabète va constituer un lourd fardeau financier pour le système de santé canadien. Notre méthode de calcul des coûts à venir offre aux décideurs et aux planificateurs un outil accessible et clair susceptible de leur permettre de prévoir les dépenses imputables à la maladie et les économies potentielles de coûts associées aux interventions.
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Jalloh, M., M. Ndoye, TA Diallo, J. Mouanza, A. Diallo, MM Mbodji, I. Labou, L. Niang, and S. Gueye. "C109: Coût annuel de la prise en charge du cancer de la prostate de 105 patients hospitalisés à l’Hôpital Général Idrissa Pouye en 2018." African Journal of Oncology 2, no. 1 Supplement (March 1, 2022): S45—S46. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c109.opfy7382.

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Abstract:
INTRODUCTION : Le cancer de la prostate fait partie des maladies chroniques non transmissibles qui touche essentiellement les hommes âgés de plus de 50 ans. Son incidence augmente avec l’âge et est connue pour être plus élevée chez les noirs à causes de certaines prédispositions génétiques. Les personnes atteintes sont en majorité à la retraite avec un pouvoir d’achat limité. Le but de notre étude est d’évaluer le coût de la prise en charge du cancer de la prostate en milieu hospitalier. MATERIELS ET METHODES : Nous avons effectué une étude descriptive, médico-économique auprès des patients diagnostiqués de cancer de la prostate et hospitalisés à l’Hôpital Général Idrissa Pouye en 2018. RESULTATS : Un effectif de 105 patients était inclus. La moyenne d’âge était de 70 ans et la tranche d’âge la plus représentée était celle de 60 à 69 ans avec 48%. Une hospitalisation était nécessaire pour la majorité des patients. Le mode d’admission en hospitalisation était à 100% et le mode de sorti le plus fréquent était le retour à domicile à 93% avec une durée moyenne de séjour en hospitalisation de sept jours. Il y avait 62% de patients retraités, 8% de cultivateurs et 7% de commerçants. L’adénocarcinome de la prostate était le seul type histologique retrouvé. La forme avancée de cancer de la prostate avec des métastases était de 81% contre 16% de formes localisées et 3% et de formes localement avancées. Le traitement curatif était possible chez 16% de l’effectif contre 84% de cas de traitement palliatif. En effet, huit patients ont subi une prostatectomie radicale dont deux ayant une radio-hormonothérapie complémentaire et huit autres ont eu une radio-hormonothérapie seule. Le BAC médicamenteux était indiqué chez 63 patients, la pulpectomie testiculaire chez 14 autres. La RTUP était combiné à la pulpectomie chez un patient, suivi d’un traitement hormonal chez neuf patients et suivi d’une radio-hormonothérapie chez un patient. La chimio-hormonothérapie était effectuée chez un patient. Le coût des actes de diagnostic était estimé à 28.497.000 Fcfa, celui des indications thérapeutiques à 168.149.700 Fcfa et celui des actes de suivi estimé à 3.463.900 Fcfa. Le montant annuel de la prise en charge des 105 patients était de 200.110.600 Fcfa, soit un coût moyen estimé à environ 1.905.815 Fcfa par patient et par an. CONCLUSION : Les difficultés de la prise en charge du cancer de la prostate sont en partie liées à une inaccessibilité financière des patients. La réduction de la morbidité et de la mortalité de cette pathologie pourrait passer par la vulgarisation et la mise à disposition élargie des avantages de la CMU à toutes les catégories socio-professionnelles dans les EPS mais également par la recherche génétique et la biologie moléculaire pour une meilleure précision des approches thérapeutiques.
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Tamegnon, Dossouvi, Kanassoua Kouliwa Kokou, Amouzou Efoe-Ga Olivier, Kassegne Iroukora, Adabra Komlan, and Dosseh Ekoué David. "Prise En Charge Des Hernies De L’aine Au Chu-Kara (Togo)." European Scientific Journal, ESJ 17, no. 21 (June 30, 2021): 256. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p256.

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Objectif: Evaluer la prévalence de la hernie de l’aine et d’analyser sa prise en charge au CHU-Kara (Togo). Matériel et Méthode: Il s’est agi d’une étude rétrospective et descriptive qui a été menée du 1er juillet 2014 au 31 décembre 2019 soit 66 mois au CHU Kara. Ont été inclus dans notre étude tous les patients âgés de plus de 15 ans présentant une hernie de l’aine compliquée ou non et ayant été pris en charge pendant la période d’étude. Les patients de moins de 15 ans présentant hernie de l’aine ou les autres formes de hernie de la paroi abdominale ont été exclus de notre étude. Résultats: Au cours de notre période d’étude nous avions opéré 444 hernies de l’aine dont 26 bilatérales sur les 2557 interventions réalisées en chirurgie générale. Parmi les patients opérés de hernie, 371 étaient des hommes et 60 des femmes avec une sex-ratio de 6,1.L’âge moyen était de 48 ans ±17,2.Toutes les professions étaient représentées dominées par les cultivateurs suivies des femmes au foyer. Après examen clinique les formes inguinales et inguino-scrotales prédominaient avec respectivement 60,8% et 37,6%. Parmi ces hernies de l’aine colligées 82 (18,5%) étaient étranglées et 6(1,4%) cas de récidives. Au plan thérapeutique, tous les patients avaient été opérés sous anesthésie loco-régionale. Les techniques opératoires utilisées étaient celle du Bassini dans 355 cas, le Shouldice dans 53 cas, le Lichtenstein dans 26 cas et le Mac Vay dans 10 cas. La durée moyenne du séjour était de 3,7 jours ±4,2. La morbidité a été de 6,5% dominée essentiellement par les hématomes de bourses et les suppurations pariétales. La mortalité est de 0,5%. Conclusion: La hernie de l’aine est très fréquente dans notre pratique. La hernie inguinale est la forme la plus rencontrée. Elle pose le problème de sa prise en charge dans les pays à ressources limitées. Une prise en charge précoce et efficiente permettra de réduire la morbi-mortalité dans nos pays pauvres. Objective: To assess the prevalence of groin hernia and to analyze its management at Kara Teaching Hospital, Togo. Materials and Method: This was a retrospective and descriptive study that was carried out from July 1, 2014, to December 31, 2019, i.e., 66 months at the Kara Teaching Hospital. All patients over 15 years of age with a complicated or uncomplicated groin hernia who were treated during the study period were included in our study. Patients under 15 years of age with a groin hernia or other forms of abdominal wall hernia were excluded from our study. Results: During our study period, we operated on 444 groin hernias, including 26 bilateral out of the 2557 procedures performed in general surgery. Among the hernia operated patients, 371 were men and 60 were women with a sex ratio of 6.1. The mean age was 48 ± 17.2. All professions were represented dominated by farmers followed by housewives. After clinical examination, the anatomo-clinical varieties found were dominated by inguinal forms (60.8%), followed by inguino-scrotal forms (37.6 %). Among collected groin hernias, 82(18.5%) were strangulated alongside with 6(1.4%) cases of recurrence. Therapeutically, all the patients had been operated on under locoregional anesthesia. All patients had undergone hernia repair by laparotomy. The surgical technique used was that of Bassini in 355 cases, Shouldice in 53 cases, Lichtenstein in 26 cases, and Mac Vay in 10 cases. The associated pathologies were taken care of at the same operating time. The mean length of stay was 3.7 days ± 4.2. Morbidity was 6.5%, which is mainly dominated by bursa hematomas and parietal suppurations. Mortality was 0.5%. Conclusion: Groin hernias are very common in our practice. The inguinal hernia is the most common form. Some countries lack adequate resources to effectively treat groin hernia. Early and efficient treatment will reduce morbidity and mortality in poor countries.
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Dorgham, Sana, Mohamed Amine Selmene, Mourad Zaraa, Ahmed Amine Lahmar, Hedi Annabi, and Sabri Mahjoub. "Les fractures de l’extrémité supérieure du fémur : Estimation du coût médical direct de la prise en charge hospitalière." La Tunisie Médicale 102, no. 2 (February 18, 2024). http://dx.doi.org/10.62438/tunismed.v102i2.4760.

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Abstract:
Introduction : Les fractures de l’extrémité supérieure du fémur (ESF) constituent un problème de santé publique du fait de leur prévalence élevée, leur morbi-mortalité et leurs lourdes conséquences socio-économiques. Objectif : Estimer le coût médical direct de la prise en charge hospitalière des fractures de l’ESF. Méthodes: Il s’agissait d’une étude descriptive prospective étalée sur six mois à propos de patients hospitalisés et opérés pour une fracture de l’ESF. Afin d’estimer le coût nous nous sommes référés à la nomenclature des actes professionnels et les tarifs fixés par le ministère de la santé publique et le ministère des Finances. Résultats : Nous avons recensé 100 patients. Cinquante-cinq des patients étaient des femmes. L’âge moyen était de 76 ans. La durée moyenne du séjour hospitalier était de cinq jours. Le délai moyen préopératoire était de trois jours. Le coût total moyen de la prise en charge de ces fractures était estimé à 2877 Dinars Tunisiens. Les dépenses se répartissaient en : frais d’hôtelleries et coût des ressources humaines 40%, coût de l’implant 25,9%, coût des consommables 12%, coût opératoire 10%, coût des examens complémentaires 9% et coût des médicaments 2%. Conclusion : Les fractures de l'ESF ont des conséquences financières majeures sur les budgets. Pour diminuer le coût de sa prise en charge hospitalièrelimiter au maximum la durée du séjour hospitalier, s’investir dans les prothèses totale et intermédiaire de hanche et adopter un comportement économique en tenant compte du coût des consommables.
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Guenancia, Charles, François Aptel, Marie Labruyère, Jean-Baptiste Roudaut, Marine Jacquier, Pascal Andreu, Luc Lorgis, and Jean-Pierre Quenot. "Fibrillation atriale de novo chez les patients en choc septique." Médecine Intensive Réanimation, September 7, 2020. http://dx.doi.org/10.37051/mir-00036.

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Une fibrillation atriale de novo (FAN)survient chez 4,5 à 11% des patients admis en réanimation et peut atteindre 46% chez des patients en choc septique. Si la morbidité associée à la FAN semble acquise (instabilité hémodynamique, accident vasculaire cérébral, allongement de la durée de séjour), les données de la littérature concernant l’association d’une FAN à la mortalité restent débattues. Les recommandations actuelles émanant des sociétés internationales de rythmologie sont plutôt en faveur d’un contrôle de la fréquence cardiaque en cas de retentissement hémodynamique plutôt qu’un contrôle du rythme cardiaque. Dans ce dernier cas, on pourrait proposer un bétabloquant de durée d’action courte pour bloquer l’activation sympathique présente en phase aiguë du choc septique. Il faut, quelle que soit la stratégie adoptée, identifier et contrôler les facteurs de risques de FAN, notamment les troubles hydro-électrolytiques. L'anticoagulation se discute en cas de retour en rythme sinusal et pourrait dépendre des scores de risques thrombo-emboliques (CHA2DS2VASc) et hémorragiques (HAS-BLED) mais aussi du risque individuel du patient. Le risque d’AVC à moyen et long terme de ces patients même après un retour en rythme sinusal reste présent et nécessite sans doute un suivi régulier pour traquer les FA silencieuses.
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Sissoko, BF, B. Baya, D. Soumaré, K. Ouattara, T. Kanouté, O. M'Baye, E. Dao, Y. Toloba, and S. Diallo. "Caractéristiques épidemio- clinique et diagnostique des patients décédés au service de pneumo-phtisiologie du centre hospitalier universitaire du point g." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie, August 5, 2016. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v0i0.897.

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Abstract:
Objectif : Nous avons conduit une étude rétrospective, descriptive pour étudier les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et paracliniques des patients décédés dans le service.Patients et méthode : Nous avons colligé les dossiers des patients décédés au cours de leur hospitalisation dans le service de pneumo-phtisiologie du centre hospitalo-universitaire du point G entre juin 2010 et juin 2012. Résultats : Sur un total de 1025 patients hospitalisés pendant la période d'étude, 307 sont décédés soit une fréquence de 29,95%. Seuls 189 dossiers répondaient à nos critères soit 18,44%. La mortalité globale était de 29,95%, avec une prédominance du sexe masculin (sex-ratio = 3,39). La tranche d'âge la plus élevée était de 60 à 90 ans (32,3%) des cas. Une radiographie thoracique de face pathologique dans 98,4% des cas avec des opacités occupant au moins les 2/3 du champ pulmonaire dans 39,8% et bilatérales dans 66,7% des cas. La durée moyenne de séjour dans le service était de 18,6 jours. La tuberculose était le diagnostic de deces le fréquemment retrouvée avec 28% des cas.Conclusion : Malgré les efforts fournis dans le cadre des objectifs du millénaire, notre pays continu à payer un lourd tribut à la Tuberculose.Mot clés :Décès à l'hôpital, épidémiologie, clinique, paraclinique
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Rupp, Samuel, Elena Ahrens, Maira I. Rudolph, Omid Azimaraghi, Maximilian S. Schaefer, Philipp Fassbender, Carina P. Himes, et al. "Mise au point et validation d’un instrument de prédiction d’une prolongation de la durée de séjour en salle de réveil après chirurgie ambulatoire." Canadian Journal of Anesthesia/Journal canadien d'anesthésie, November 13, 2023. http://dx.doi.org/10.1007/s12630-023-02604-1.

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Besnier, Emmanuel, Chadi Aludaat, Hélène Eltchaninoff, and Éric Durand. "Ce qu'un réanimateur doit savoir des TAVI." Médecine Intensive Réanimation, December 24, 2020. http://dx.doi.org/10.37051/mir-00047.

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Abstract:
Le rétrécissement aortique est la valvulopathie acquise la plus fréquente. Quand il devient serré et symptomatique, la mortalité à 2 ans est proche de 80% en l’absence de prise en charge. Le traitement repose sur le remplacement valvulaire, historiquement réalisé par voie chirurgicale. L’avènement des procédures percutanées par cathétérisme cardiaque TAVI (Trans-catheter Aortic Valve Implantation) a tout d’abord permis de traiterdes patients jugés inopérables, puis avec l’avancée des connaissances cette procédure s’est étendue aux populations à risque chirurgicale élevépuis intermédiaire, et a même été validée chez les patients à bas risque aux Etats-Unis suite à de grandes études multicentriques. Le principe consiste à implanter une bioprothèse aortique suturée sur un stent directement au sein de la valve native calcifiée, soit par un procédé de dilatation au ballonnet, soit par un procédé auto-expansé. Le TAVI présente l’avantage d’une procédure peu invasive, le plus souvent réalisée sous anesthésie locale et sédation, et une durée de séjour courte. La récupération fonctionnelle est plus rapide qu’après chirurgie cardiaque conventionnelle.Un autre avantage par rapport à la chirurgie cardiaque conventionnelle est un moindre taux de complications graves (choc cardiogénique, saignement majeure, accident vasculaire cérébrale, insuffisance rénale, décès toute cause). En revanche certaines complications sont plus spécifiques du TAVI comme l’apparition d’un trouble conduction de haut degré nécessitant la pose d’un pacemaker, et l’existence de complications vasculaires. La surveillance en soins intensifs en découlant est donc plus courte qu’après chirurgie et doit probablement être personnalisée selon le risque du patient. L’utilisation du TAVI chez les sujets à risque et/ou âgés semble parfaitement implanté en France. L’extension des indications à des sujets à bas risque et plus jeunes n’est pas encore autorisée en France et en Europe. L’étude de la durabilité des bioprothèses implantées par voie percutanée à long terme nécessite des investigations supplémentaires.
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"Le sevrage non invasif d’une ventilation assistée réduit la mortalité, le taux de pneumopathie en rapport avec le ventilateur et la durée de séjour des adultes intubés." Kinésithérapie, la Revue 12, no. 132 (December 2012): 3–4. http://dx.doi.org/10.1016/j.kine.2012.09.010.

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Mansare, ML, K. Bangoura, FB Diallo, MM Dio, M. Guilavogui, PN Beimy, A. Attoumane, SAT Barry, and ML Drame. "Évaluation de la qualité des soins et de la prise en charge dans l'unité d'hématologie-oncologie pédiatrique de l'Hôpital National Donka." Journal Africain des Cas Cliniques et Revues, September 9, 2024, 298–312. http://dx.doi.org/10.70065/24ja83.010l010909.

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Abstract:
Problématique : Comme d’autres pathologies chroniques, la prise en charge du cancer ne se limite pas au seul traitement de la maladie. Des « soins oncologiques de soutien » sont nécessaires aux personnes malades tout au long de leur maladie. Ils sont réalisés en association avec tout traitement spécifique contre le cancer qui peut être mis en œuvre. La question de la qualité des soins en hématologie-oncologie et particulièrement dans le secteur pédiatrique est cruciale, car elle touche largement les aspects psycho-sociaux au-delà des soins de base (antimitotiques, contrôle de la douleur, chirurgie) tant chez l'enfant malade qu'auprès de ses parents et proches. La mise en œuvre d’une démarche qualité est très importante en hématologie-oncologie pédiatrique afin d’assurer un traitement optimal et sûr aux patients. Dans l'ensemble des structures hospitalières de Guinée, le nombre de cas de cancer pédiatrique diagnostiqués et hospitalisés était en moyenne de 15 par mois pour un taux de mortalité estimé à 30%. L'objectif de l'étude était d'auditer la situation contextuelle de la prise en charge globale des enfants atteints de cancer dans le cadre de l'élaboration d'un projet de protocole d'assurance qualité pour l'amélioration continue des soins en vue d'une réduction significative du taux de mortalité. Méthodologie : L’enquête a eu lieu en décembre 2022 à l’unité d’hématologie-oncologie pédiatrique de l’hôpital national de Donka. Les questionnaires ont été élaborés et administrés aux différentes parties prenantes de l'unité (personnel médical, responsable et usager). Les items ont porté sur les aspects concernant : l'information sur l'existence de l'unité, la qualité de l'accueil, le séjour des patients (locaux, hygiène, accès aux médicaments, qualité des soins), la charge de travail et les conditions de travail du personnel soignant, les difficultés rencontrées par les responsables pour gérer le bon fonctionnement de l'unité, l'existence d'un plan d'action opérationnel pour l'amélioration continue de la qualité des soins et les principaux indicateurs d'évaluation de la performance de l'unité. Résultats : Parmi les utilisateurs (usagers) interrogés, 90 % se déclarent satisfaits de l’accueil et de la manière dont le personnel soignant les prend en charge. 78 % des utilisateurs ont déclaré avoir des difficultés à payer les frais liés aux contrôles de santé et à l'achat de médicaments pour les enfants atteints de cancer. Le personnel (médecin et infirmier) déclarait être soumis à une charge de travail intense qui tend parfois vers l'épuisement professionnel. Selon lui, les mesures prévues pour la motivation étaient insuffisantes et n’ont pas favorisé le bon compromis. Malgré la situation, des rapports sur les activités quotidiennes de l'unité ont été tenus régulièrement chaque jour ouvrable. Il a été constaté par les enquêteurs, une sous-utilisation du matériel informatique disponible par le personnel pour une gestion efficace des données de l'unité. En moyenne, 15 cas de cancer étaient diagnostiqués et hospitalisés par mois dans l'unité malgré le retard diagnostique souvent observé. Les pathologies fréquemment diagnostiquées étaient : leucémie, néphroblastome, lymphome de Burkitt, lymphome hodgkinien, rétinoblastome, ostéosarcome. Une durée moyenne d'hospitalisation très longue, de 6 à 8 semaines, a été observée. Le taux de mortalité était élevé, autour de 30 %. Le nombre de lits en état de marche était inférieur au nombre de patients hospitalisés et le taux d'occupation des lits était de 100% avec parfois deux enfants malades par lit. L’unité ne dispose pas d’un secteur protégé dédié aux patients à immunité précaire. Il n’existait pas de plan d’action opérationnel dans l’unité ni de programme interne formalisé de formation continue du personnel médical. Le service de maintenance n'était pas disponible le week-end, ce qui entraînait des difficultés dans la gestion des déchets. Les partenaires d'appui identifiés étaient : le Groupe Franco-Africain d'Oncologie Pédiatrique (GFAOP), le Lions Club, le fonds social des indigents et des donateurs anonymes. Conclusion : L'enquête réalisée auprès des acteurs impliqués dans la prise en charge des enfants atteints de cancer au sein de l'unité d'hématologie-oncologie de l'Hôpital National de Donka, révèle de graves distorsions non seulement dans le fonctionnement effectif des activités de l'unité, mais aussi dans la fourniture d’intrants (médicaments et consommables) au profit des patients admis dans le secteur. La combinaison de ces facteurs a eu un impact négatif important sur la qualité des soins efficaces prodigués aux enfants atteints de cancer. La formation du personnel favorisera la mise en œuvre d’une démarche participative d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins. L'élaboration d'un plan d’action national pluriannuel pour l’assurance qualité des soins médicaux sûrs afin de remédier aux problèmes identifiés et la mise en œuvre d'activités appropriées par les autorités compétentes pourraient permettre à l'unité de parvenir à une réduction significative du taux de mortalité dans le secteur. Une analyse objective ponctuelle de la situation en temps utiles, serait nécessaire pour auditer de la situation en vue de prendre des mesures appropriées pour espérer inverser la tendance actuelle. Mots-clés : Cancer, Mortalité, Assurance qualité des soins.
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Patel, Arpita, Arielle Beauchesne, Nina Bredenkamp, Rumi McGloin, Sarah N. Stabler, and Krystin Boyce. "Vasopressin for Septic Shock in a Medical-Surgical Intensive Care Unit." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 73, no. 3 (June 25, 2020). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v73i3.2999.

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Abstract:
ABSTRACTBackground: Critically ill patients often need vasopressors to treat hypotension related to septic shock and to maintain adequate systemic perfusion. Although the 2017 guidelines of the Surviving Sepsis Campaign recommend norepinephrine as first-line therapy, they also state that vasopressin may be considered as an adjunctive agent for patients with refractory shock. Limited evidence is available for directing optimal administration of vasopressin. As such, prescribing practices are not standardized and may vary according to the particular clinician, the clinical scenario, and various patient-specific factors.Objectives:To review the current practice of administering concomitant norepinephrine and vasopressin therapy to patients with septic shock, to describe variability in vasopressin administration, and to evaluate effects on patient safety in a medical-surgical intensive care unit (ICU).Methods: This single-centre retrospective chart review involved 100 adult patients admitted to the ICU who received vasopressin and norepinephrine for septic shock between April and December 2017. The data were analyzed with descriptive statistics.Results: The mean time to initiation of vasopressin was 12.0 (standard deviation [SD] 21.6) h after initiation of norepinephrine. The mean dose of norepinephrine at the time of vasopressin initiation was 29.5 (SD 19.7) μg/min. The mean vasopressin dose prescribed was 0.04 (SD 0.03) units/min, with a range of tapering and discontinuation regimens. The mean duration of vasopressin therapy was 49.1 (SD 65.2) h, and vasopressin was discontinued before norepinephrine in 49 of the patients. A total of 60 hypotensive events occurred after vasopressor discontinuation and were more common when vasopressin was discontinued before norepinephrine.Conclusions: Vasopressin dosing was comparable to that reported elsewhere; however, discontinuation practices were inconsistent. These results show that variability in the literature supporting vasopressin use has led to variability in vasopressin administration and discontinuation practices; however, correlation with improvement in clinical outcomes, such as mortality or ICU length of stay, is unclear, and further research is required to determine the ideal approach to vasopressin use.RÉSUMÉContexte : Les patients gravement malades nécessitent souvent un vasopresseur pour traiter l’hypotension liée au choc septique et pour préserver une perfusion systémique adéquate. Bien que les directives de 2017 de la campagne Surviving Sepsis recommandent la norepinephrine en guise de thérapie de première ligne, elles précisent également que la vasopressine pourrait être envisagée comme agent d’appoint pour les patients présentant des chocs réfractaires. Seules des données probantes limitées soutiennent l’administration optimale de la vasopressine. Les pratiques de prescription proprement dites ne sont pas standardisées et peuvent varier selon le clinicien, le scénario clinique et les divers facteurs particuliers au patient.Objectifs : Examiner la pratique actuelle d’administration de la norépinephrine concomitante à la thérapie de vasopressine aux patients ayant subi un choc septique, décrire la variabilité d’administration de la vasopressine et évaluer les effets sur la sécurité du patient dans une unite de soins intensifs (USI) médicale-chirurgicale.Méthodes : Cet examen rétrospectif unicentrique des dossiers portait sur 100 patients adultes admis dans une USI, ayant reçu de la vasopressine et de la norépinephrine en réponse à des chocs septiques entre avril et décembre 2017. Les données ont été analysées à l’aide de statistiques descriptives.Résultats : Le temps moyen du début de l’administration de la vasopressine était de 12 h (écart type [É.T.] 21,6) après le début de l’administration de la norépinephrine. La dose moyenne de norepinephrine au moment du début de l’administration de la vasopressine était de 29,5 (É.T. 19,7) μg/min. La dose moyenne de vasopressine prescrite était de 0,04 (É.T. 0,03) unités/min, avec une gamme de posologies dégressives et d’abandons. La durée moyenne de la thérapie à la vasopressine était de 49,1 h (É.T. 65,2), et 49 patients ont abandonné la vasopressine avant l’abandon de la norépinephrine. Un total de 60 événements hypotenseurs se sont produits après l’abandon du vasopresseur et ils étaient plus fréquents lors de l’abandon de la vasopressine précédant celui de la norépinephrine.Conclusions : Le dosage de vasopressine était comparable à celui indiqué dans d’autres études; cependant, les pratiques d’abandon étaient incohérentes. Ces résultats démontrent que l’indétermination de l’information publiée dans la littérature soutenant l’utilisation de la vasopressine a entraîné une fluctuation dans l’administration de la vasopressine et des pratiques d’abandon; cependant, la corrélation entre l’usage de la vasopressine et l’amélioration des résultats cliniques, comme la mortalité ou la durée du séjour en USI, n’est pas claire, et davantage de recherches sont nécessaires pour déterminer l’approche idéale à adopter à l’égard de l’utilisation de la vasopressine.
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Chow, Ivy, Vincent Mabasa, and Connor Chan. "Meropenem Assessment before and after Implementation of a Small-Dose, Short-Interval Standard Dosing Regimen." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 71, no. 1 (March 9, 2018). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v71i1.1724.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background: </strong>Small-dose, short-interval dosing for meropenem has been shown to yield pharmacokinetic and pharmacodynamic properties similar to those associated with traditional dosing of this drug. However, few studies have examined clinical outcomes in the general population.</p><p><strong>Objectives: </strong>To characterize differences in effects between a small-dose, short-interval dosing regimen for meropenem (500 mg every 6 h) and the traditional regimen (1000 mg every 8 h) on clinical outcomes and costs to the health care system.</p><p><strong>Methods: </strong>This retrospective cohort study included 194 patients who received the traditional meropenem dosage (July 2006 to August 2008) and 188 patients who received the small-dose, short-interval regimen (December 2008 and October 2009) at a large tertiary care hospital and a community hospital. The primary outcome (clinical success), the secondary outcomes (30-day in-hospital mortality, time to defervescence, duration of therapy, and length of stay), and drug costs were compared between cohorts.</p><p><strong>Results: </strong>The 2 cohorts did not differ significantly in terms of baseline characteristics. There was no statistically significant difference between the small-dose, short-interval regimen and the traditional dosing regimen in terms of the primary outcome: clinical success was achieved in 83.5% (162/194) and 80.8% (152/188) of the patients, respectively. Likewise, there was no statistically significant difference in any of the secondary outcomes. The average drug cost per patient per visit was $222.23 with small-dose, short-interval dosing and $355.90 with traditional dosing, a significant difference of more than $130 per patient per visit.</p><p><strong>Conclusion: </strong>The small-dose, short-interval meropenem dosing regimen resulted in clinical outcomes similar to those achieved with the traditional dosing regimen at significantly lower cost.</p><p> <strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte : </strong>Selon des études, un schéma posologique de méropénème avec administration d’une faible dose à intervalle réduit produit des résultats pharmacocinétiques et pharmacodynamiques semblables à ceux obtenus avec une posologie traditionnelle. Mais peu d’études ont examiné les résultats cliniques dans la population générale.</p><p><strong>Objectif : </strong>Offrir un portrait des différences entre les effets d’un schema posologique de méropénème avec administration d’une faible dose à intervalle réduit (500 mg toutes les 6 heures) et d’une posologie traditionnelle (1000 mg toutes les 8 heures) pour ce qui est des résultats cliniques et des coûts pour le système de santé.</p><p><strong>Méthodes : </strong>La présente étude de cohorte rétrospective incluait 194 patients ayant reçu le méropénème selon le schéma posologique traditionnel (entre juillet 2006 et août 2008) et 188 patients l’ayant reçu avec administration d’une faible dose à intervalle réduit (entre décembre 2008 et octobre 2009) dans un grand hôpital de soins tertiaires et un hôpital communautaire. Le principal paramètre d’évaluation (succès clinique), les paramètres d’évaluation secondaires (taux de mortalité à l’hôpital dans les 30 jours, période de défervescence, durée du traitement et durée du séjour) et les coûts des médicaments ont été comparés entre les cohortes.</p><p><strong>Résultats : </strong>Les deux cohortes n’étaient pas significativement différentes en ce qui touche aux caractéristiques de base. Il n’y avait aucune difference statistiquement significative entre le schéma posologique avec administration d’une faible dose à intervalle réduit et la posologie traditionnelle en ce qui concerne le principal paramètre d’évaluation : le succès clinique a été obtenu respectivement chez 83,5 % (162/194) et chez 80,8 % (152/188) des patients. De même, aucune différence statistiquement significative n’a été relevée pour les paramètres d’évaluation secondaires. Par contre, le coût moyen des médicaments par patient par visite était de 222,23 $ pour le schéma posologique avec administration d’une faible dose à intervalle réduit et de 355,90 $ pour la posologie traditionnelle, une difference significative de plus de 130 $ par patient par visite (<em>p </em>&lt; 0,001).</p><strong>Conclusion : </strong>Le schéma posologique de méropénème avec administration d’une faible dose à intervalle réduit produisait des résultats cliniques semblables à ceux de le posologie traditionnelle, et ce, pour un prix significativement plus faible.
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Wilson, Ben, and Duane Bates. "Diuretic Strategies in Acute Decompensated Heart Failure: A Narrative Review." Canadian Journal of Hospital Pharmacy, December 13, 2023, 1–14. http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.3323.

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Abstract:
Background: Heart failure is a common condition with considerable associated costs, morbidity, and mortality. Patients often present to hospital with dyspnea and edema. Inadequate inpatient decongestion is an important contributor to high readmission rates. There is little evidence concerning diuresis to guide clinicians in caring for patients with acute decompensated heart failure. Contemporary diuretic strategies have been defined by expert opinion and older landmark clinical trials. Objective: To present a narrative review of contemporary recommendations, along with their underlying evidence and pharmacologic rationale, for diuretic strategies in inpatients with acute decompensated heart failure. Data Sources: PubMed, OVID, and Embase databases were searched from inception to December 22, 2022, with the following search terms: heart failure, acute heart failure, decompensated heart failure, furosemide, bumetanide, ethacrynic acid, hydrochlorothiazide, indapamide, metolazone, chlorthalidone, spironolactone, eplerenone, and acetazolamide. Study Selection: Randomized controlled trials and systematic reviews involving at least 100 adult patients (> 18 years) were included. Trials involving torsemide, chlorothiazide, and tolvaptan were excluded. Data Synthesis: Early, aggressive administration of a loop diuretic has been associated with expedited symptom resolution, shorter length of stay, and possibly reduced mortality. Guidelines make recommendations about dose and frequency but do not recommend any particular loop diuretic over another; however, furosemide is most commonly used. Guidelines recommend that the initial furosemide dose (on admission) be 2–2.5 times the patient’s home dose. A satisfactory diuretic response can be defined as spot urine sodium content greater than 50–70 mmol/L at 2 hours; urine output greater than 100–150 mL/h in the first 6 hours or 3–5 L in 24 hours; or a change in weight of 0.5–1.5 kg in 24 hours. If congestion persists after the maximization of loop diuretic therapy over the first 24–48 hours, an adjunctive diuretic such as thiazide or acetazolamide should be added. If decongestion targets are not met, continuous infusion of furosemide may be considered. Conclusions: Heart failure with congestion can be managed with careful administration of high-dose loop diuretics, supported by thiazides and acetazolamide when necessary. Clinical trials are underway to further evaluate this strategy.Keywords: heart failure, acute heart failure, decompensated heart failure, furosemide, bumetanide, ethacrynic acid, hydrochlorothiazide, indapamide, metolazone, chlorthalidone, spironolactone, eplerenone, acetazolamide RÉSUMÉ Contexte : L’insuffisance cardiaque est une maladie courante entraînant des coûts, une morbidité et une mortalité considérables. Les patients se présentent souvent à l’hôpital avec une dyspnée et un œdème. Une décongestion inadéquate des patients hospitalisés contribue largement aux taux élevés de réadmission. Il existe peu de données probantes concernant la diurèse pour guider les cliniciens dans la prise en charge des patients atteints d’insuffisance cardiaque aiguë décompensée. Les stratégies diurétiques contemporaines ont été définies par l’opinion d’experts et des essais cliniques de référence plus anciens. Objectif : Présenter une revue narrative des recommandations contemporaines, ainsi que leurs données probantes sous-jacentes et leur justification pharmacologique, pour les stratégies diurétiques chez les patients hospitalisés souffrant d’insuffisance cardiaque aiguë décompensée. Sources des données : Les bases de données PubMed, OVID et Embase ont été consultées depuis leur création jusqu’au 22 décembre 2022, avec les termes de recherche suivants : insuffisance cardiaque, insuffisance cardiaque aiguë, insuffisance cardiaque décompensée, furosémide, bumétanide, acide éthacrynique, hydrochlorothiazide, indapamide, métolazone, chlorthalidone, spironolactone, éplérénone et acétazolamide. Choix de l’étude : Les essais contrôlés randomisés et les revues systématiques portant sur au moins 100 patients adultes (plus de 18 ans) ont été inclus. Les essais impliquant le torsémide, le chlorothiazide et le tolvaptan ont été exclus. Synthèse des données : L’administration précoce et agressive d’un diurétique de l’anse a été associée à une résolution accélérée des symptômes, à une durée de séjour plus courte et éventuellement à une mortalité réduite. Les lignes directrices font des recommandations sur la dose et la fréquence, mais ne recommandent pas un diurétique de l’anse particulier plutôt qu’un autre; cependant, le furosémide est le plus couramment utilisé. Les lignes directrices recommandent que la dose initiale de furosémide à l’admission soit de 2 à 2,5 fois la dose à domicile du patient. Une réponse diurétique satisfaisante peut être définie comme une teneur ponctuelle en sodium dans l’urine supérieure à 50 à 70 mmol/L après 2 heures; débit urinaire supérieur à 100 à 150 mL/h au cours des 6 premières heures ou à 3 à 5 L en 24 heures; ou un changement de poids de 0,5 à 1,5 kg en 24 heures. Si la congestion persiste après la maximisation du traitement par diurétique de l’anse au cours des premières 24 à 48 heures, un diurétique d’appoint tel que le thiazidique ou l’acétazolamide doivent être ajoutés. Si les objectifs de décongestion ne sont pas atteints, une perfusion continue de furosémide peut être envisagée. Conclusions : L’insuffisance cardiaque accompagnée de congestion peut être gérée par l’administration prudente de diurétiques de l’anse à haute dose, appuyés par des thiazidiques et de l’acétazolamide si nécessaire. Des essais cliniques sont en cours pour évaluer davantage cette stratégie. Mots-clés : insuffisance cardiaque, insuffisance cardiaque aiguë, insuffisance cardiaque décompensée, furosémide, bumétanide, acide éthacrynique, hydrochlorothiazide, indapamide, métolazone, chlorthalidone, spironolactone, acétazolamide, éplérénone
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