Journal articles on the topic 'Pratiques et cultures populaires'

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Clarke, P. D. "Pêche et identité en Acadie: nouveaux regards sur la culture et la ruralité en milieu maritime." Recherche 39, no. 1 (April 12, 2005): 59–101. http://dx.doi.org/10.7202/057186ar.

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Abstract:
Les régimes économique et social des régions de pêche en Acadie, dérivés de l'écologie et de la géographie, ont été déterminants dans la construction d'une identité collective populaire acadienne. La structure socioéconomique des communautés de pêche, qui s'articule à des pratiques culturelles et à une régulation sociale populaires, reconduit l'influence de la famille étendue et la solidarité communautaire. Peu bousculées par la modernité et l'économie industrielle, ces communautés sont le refuge d'une culture populaire séculaire, assises d'une identité collective reliée à l'espace vécu et à l'appropriation de la ressource halieutique. Encore aujourd'hui, la structure industrielle des pêches est à l'origine de pratiques culturelles susceptibles de contrer l'homogénéisation identitaire. L'identité collective acadienne, nationalitaire, pour se défendre du fractionnement identitaire postmoderne, s'étaye des régimes de signification et de représentation de l'Acadie de la mer.
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Bélanger, Anouk, and Lisa Sumner. "De la Taverne Joe Beef à l’Hypertaverne Edgar. La taverne comme expression populaire du Montréal industriel en transformation." Globe 9, no. 2 (February 16, 2011): 27–48. http://dx.doi.org/10.7202/1000878ar.

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Abstract:
La taverne montréalaise a historiquement constitué un espace social et culturel d’animation et de protestation ouvrière à certains aspects des conditions liées à l’industrialisation. Cette culture de résistance a diminué avec l’accélération du développement industriel et l’intégration graduelle du mouvement ouvrier dans les structures et les pratiques du capitalisme contemporain. En explorant les pratiques et la culture populaire de la taverne montréalaise dans ses transformations et dans ses articulations conjoncturelles constantes, nous voulons en saisir le potentiel à la fois paradoxal et subversif. Pour ce faire, nous analyserons la culture de la taverne selon les dimensions suivantes : comme agora politique et lieu d’émergence de pratiques de résistance; comme espace homosocial; et comme espace résiduel dans le contexte post-fordiste de la ville. De façon générale, cet article est porté par l’argument que la culture de la taverne, en tant qu’articulation du développement et de la transformation du Montréal industriel, met l’accent sur le caractère ambigu des lieux populaires, qui sont propices à la fois à des logiques dominantes et à diverses logiques de résistance.
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Massicotte, Marie-Josée. "Forces d’émancipation et démocratie participative dans les Amériques : un regard sur l’Alliance sociale continentale." Articles 23, no. 2-3 (June 7, 2005): 11–43. http://dx.doi.org/10.7202/010883ar.

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Abstract:
Résumé Cet article analyse l’Alliance sociale continentale (ASC) et son opposition au projet de la Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA). L’ASC est un « réseau transnational d’action » qui regroupe des leaders sociaux représentant des ONG et des mouvements populaires locaux, nationaux, régionaux et sectoriels, issus de tout le continent. Ce réseau d’acteurs de la société civile conteste les accords de commerce et d’investissement qui permettent de consolider les politiques néolibérales. Utilisant un cadre théorique qui s’inspire de l’approche néo-gramscienne et des études culturelles, cet article examine en particulier le discours, les stratégies d’action et les pratiques démocratiques mises de l’avant par l’ASC. L’analyse d’un cas spécifique de construction d’un réseau transnational entre des forces d’émancipation au sein des Amériques cherche à démontrer l’importance politique de tels réseaux en tant que lieux de production et d’échange de connaissances, qui prennent racine dans une diversité de pratiques et de cultures des mouvements sociaux. Ces forces d’émancipation créent de nouveaux espaces au sein desquels les citoyens peuvent faire l’expérience de la démocratie participative et de ses nombreuses difficultés. Ce faisant, cette analyse remet en question l’idée de plus en plus répandue selon laquelle il y aurait consolidation d’une société civile mondiale et progressiste, unifiée autour d’un projet politique commun qui puisse remplacer le capitalisme néolibéral.
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Djakouane, Aurélien, and Louis Jesu. "Générations hip-hop." L'Année sociologique Vol. 74, no. 1 (March 5, 2024): 57–84. http://dx.doi.org/10.3917/anso.241.0057.

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Abstract:
Si comme le rappelle Eliot Freidson (1986), les professions artistiques posent un défi à l’analyse sociologique, c’est encore plus vrai des milieux peu institutionnalisés, issus des cultures populaires, comme la danse hip-hop. L’observation de l’évolution des identités professionnelles des danseurs de hip-hop offre donc une perspective intéressante pour comprendre les mutations à l’œuvre dans cet univers artistique : démultiplication de l’activité, voisinage du public et du privé, évolution des formes de transmission et de collaboration artistiques, métamorphoses des lieux de pratique ordinaire et effacement des liens avec les quartiers populaires (Jésu, 2016). Le propos de cet article est d’analyser les déterminants qui pèsent sur la manière dont on se revendique danseur de hip-hop au fil des générations et d’éclairer les différentes dimensions qui participent à construire cette identité artistique. Ce faisant, il s’agira, par cet exemple, d’illustrer les processus d’institutionnalisation des arts populaires et les enjeux pour la survie des artistes qui en sont issus, tout comme l’émergence d’un nouveau rapport au travail.
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Kaiser, Marc. "Pratiques culturelles et politiques publiques : l’approche par le concept de « scène »." Cahiers de recherche sociologique, no. 57 (February 24, 2016): 133–57. http://dx.doi.org/10.7202/1035279ar.

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Abstract:
Une scène musicale peut être définie comme unespace culturel délimité sur un territoire par unensemble d’activités, de lieux et d’institutionsautour d’une culture musicale commune. Les musiques populairess’inscrivent non seulement dans un espace de pratiques et dereprésentations sociales, mais également dans des espacespolitique et économique dans lesquels une multitude depolitiques publiques interviennent. Une scène culturelle donneplus largement à voir la diversité desréglementations en oeuvre qui participent à lafaçonner – alors que celles-ci ne sont pas toujoursdéfinies comme des instruments de gouvernance culturelle. Lesindustries culturelles, qui jouent un rôle central dans lesdynamiques culturelles locales et translocales, sont pourtant lesgrandes absentes des différentes études sur lespolitiques culturelles. En nous appuyant sur trois enquêtes deterrain (Paris, Sydney, Québec), nous montrons que lesinterventions dans le domaine des musiques populaires reposentuniquement sur deux registres d’action – le social etl’économique - ce qui interroge finalement lesvisées de l’interventionnisme culturel.
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Madec, Annick. "« Les ploucs, les bourgeoises et les filles1 comme nous. » Ethnosociographie d’un cours de yoga démocratique." Approches inductives 4, no. 2 (February 21, 2018): 22–48. http://dx.doi.org/10.7202/1043430ar.

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Par la participation observante durant plusieurs années de ce qui se dit et se fait dans des cours de yoga, cet article montre les rapports sociaux construits par des femmes de différentes classes sociales qui pratiquent une même activité, mais ne partagent pas les mêmes valeurs. Examiner comment égalité et coopération sont mobilisées dans les manières d’être d’élèves yogis permet de montrer que ces valeurs restent au coeur des cultures populaires et de distinguer deux groupes : les mutualistes, héritières de ces cultures, qui assument leurs origines sociales, et les compétitrices, individualistes, qui plagient les catégories supérieures. La transmission des éthos de classe n’opère pas systématiquement terme à terme.
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Imbert, Arthur. "Les dispositions de classe au travail." Sociétés contemporaines N° 130, no. 2 (May 24, 2024): 39–67. http://dx.doi.org/10.3917/soco.130.0039.

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Cet article explore l’agencement des socialisations plurielles au travail de deux groupes de travailleuses de l’école maternelle – les enseignantes et les ATSEM (agentes territoriales spécialisées des écoles maternelles) – en étudiant deux modalités de leur activité : le travail pédagogique et le travail disciplinaire. Dans le premier cas, chaque groupe est porteur d’un modèle pédagogique ancré dans leur socialisation de classe basé sur une opposition entre l’abstrait et la finalité, entre le visible et l’invisible. Les pratiques disciplinaires sont quant à elles homogènes, tant dans les discours que dans les actes. Ce résultat vient discuter la littérature qui mettait en avant les oppositions entre « styles » ou « modèles » éducatifs des classes populaires et classes moyennes à fort capital culturel et pointe la malléabilité des dispositions.
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Roux, Louis. "Des livres jaunes aux livres en rose et bleu ?" Histoire et civilisation du livre 19 (September 26, 2023): 189–209. http://dx.doi.org/10.47421/hcl_19_189-209.

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Les pratiques de narrations orales de contes populaires arabes, qui ont connu un déclin progressif aux XIXe et XXe siècles, sont marquées par l’affirmation d’une distinction de genre forte entre des récits propres aux hommes et d’autres aux femmes. À partir du milieu du XIXe siècle, l’essor de l’imprimerie au Proche-Orient conduit à une transposition de ces récits de l’oral vers l’imprimé, qui se fait selon deux modes. Des éditions sont, d’une part, produites à partir de manuscrits, tandis que d’autres le sont à partir d’un matériau oral, dont la langue est en général corrigée. Cet article étudie la manière dont le passage d’un médium à un autre a affecté la distinction de genre associée aux narrations orales, qui a pu se manifester dans le choix des textes publiés et les modalités de leur transposition. De ce point de vue, l’édition de contes populaires arabophones a suivi plusieurs directions. Elle a tout d’abord été marquée par la publication de contes associés à des narrations et des sociabilités masculines dans de petits recueils bon marché ainsi que celle de grandes œuvres du patrimoine oral masculin adaptées de manuscrits. Cette seconde forme a majoritairement perduré, en parallèle de l’émergence d’éditions de narrations féminines dans des contextes politiques et culturels spécifiques.
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Guerrien, Marc. "Pratiques et perceptions de l’espace urbain dans des quartiers populaires de Mexico." Cahiers des Amériques latines, no. 39 (January 31, 2002): 128–54. http://dx.doi.org/10.4000/cal.6745.

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Malogne-Fer, Gwendoline. "Reconnaître et intégrer les Antillais catholiques en Île-de-France." Social Sciences and Missions 35, no. 1-2 (April 13, 2022): 67–96. http://dx.doi.org/10.1163/18748945-bja10045.

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Résumé Face à l’ ampleur des migrations antillaises vers la métropole à partir des années 1960, l’ Église catholique a mis en place une aumônerie nationale antillo-guyanaise destinée à aider les Antillais catholiques à s’ insérer dans leurs paroisses respectives. Après avoir rappelé le contexte historique de ces migrations antillaises en métropole, cet article analyse la genèse et les limites de ce modèle organisationnel de l’ aumônerie nationale antillo-guyanaise. Dans un troisième temps, à partir de l’ étude de la paroisse de Saint-Denys de l’ Estrée (à Saint-Denis), nous nous interrogerons sur les modalités d’ engagement des Antillais catholiques en montrant comment l’ engagement local se conjugue avec la fréquentation d’ autres hauts lieux du catholicisme parisien. Ces pratiques cumulatives ou circulatoires laissent entrevoir toute une gamme de pratiques populaires parfois qualifiées de « magico-religieuses » par la hiérarchie ecclésiale qui invitent à s’ interroger sur les modalités de catégorisation de l’ Église et sur le rapport que les Antillais catholiques entretiennent à l’ institution ecclésiale.
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Carletti, Marc. "L’expression « animation » dans les discours : sens et catégorisation." Revue internationale animation, territoires et pratiques socioculturelles, no. 7 (March 7, 2019): 1–14. http://dx.doi.org/10.55765/atps.i7.541.

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Le champ de l’animation professionnelle est précaire. Le terme lui-même semble tomber en désuétude dans certains des pays dans lesquels il s’était implanté (Espagne, Italie...). Dans les pays où ses assises sont plus stables, les acteurs qui s’en réclament ressentent le besoin d’en prendre la défense. Le positionnement du champ est en effet délicat puisqu’il s’est construit en complémentarité et parfois en opposition avec des champs voisins historiquement mieux établis. Cet article montre en quoi la langue qui nous guide révèle et nourrit les processus de constitution et de légitimation des identités et des cultures professionnelles et quels en sont les enjeux pour l’animation socioculturelle, l’intervention sociale et l’éducation populaire. Postulant que la langue est un vecteur de construction des représentations du monde, l’auteur défend l’hypothèse que l’évolution des discours témoigne des mouvements d’une pensée collective et de l’ensemble des pratiques qui en découlent.
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Parsapajouh, Sepideh. "Le mal subi, le mal rendu. Une lecture anthropologique des pratiques de lamentations et de malédictions dans le shiʿisme populaire iranien." Oriens 49, no. 3-4 (November 18, 2021): 370–97. http://dx.doi.org/10.1163/18778372-12340005.

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Abstract:
Résumé Dans le shiʿisme duodécimain iranien, deux catégories de traditions populaires (comprenant rituels, pratiques et croyances) ont pris forme au cours du temps autour de la question du mal, précisément des souffrances et de la mort subies par les personnes de la famille du Prophète (ahl al-bayt). La première catégorie comprend les expressions poétiques élégiaques (marṯīya) accompagnées de pratiques reflétant la passion et la compassion pour les victimes de la mort injuste, à commencer par le troisième imam Ḥusayn. La seconde catégorie comprend de violentes expressions satiriques de malédiction adressées aux auteurs de ce mal. Cette tradition mobilise aussi la récitation de prières et de formules dévotionnelles tirées du corpus scripturaire sacré, ainsi qu’un ensemble de pratiques particulières appelées ʿUmar-košī (« le meurtre de ʿUmar »). Cet article propose d’analyser la formation et la fonction de ces deux traditions, ainsi que l’évolution de leur forme et de leur signification dans le contexte social du shiʿisme iranien contemporain. Il montrera que ces deux traditions, tout en étant cohérentes avec le double principe shiʿite de tawallāʾ (loyauté et amour pour les imams) et tabarrāʾ (dissociation et haine à l’égard de leurs adversaires), reflètent clairement l’autonomie des croyants vis-à-vis du pouvoir politique comme de l’autorité religieuse institutionnelle. In Iranian Twelver Shiʿism, two categories of popular traditions (including rituals, practices and beliefs) have taken shape over time around the issue of evil, namely the harm and death suffered by the holy figures of the house of the Prophet (ahl al-bayt). The first category includes elegiac poetic expressions (marṯīya), accompanied by ritual practices reflecting passion and compassion for the victims of unjust death – notably the third imam, Ḥusayn. The second category includes violent and satirical expressions of maledictions, addressed to the authors of this evil. This tradition also involves the recitation of prayers and devotional formulas borrowed from the sacred scriptural corpus as well as particular practices called ʿUmar-košī (the murder of ʿUmar). This article offers an analysis of the formation and function of these two traditions, as well as the development of their form and meaning in the social context of contemporary Iranian Shiʿism. It shows that, by being in line with the double Shiʿi principle of tawallāʾ (loyalty and love towards the Imams) and tabarrāʾ (dissociation and hatred towards the enemies of the Imams), these two traditions clearly reflect the autonomy of the believers vis-à-vis both political power and institutional religious authority.
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Mira, Maria Celeste. "ENTRE A BELEZA DO MORTO E A CULTURA VIVA: a(s) cultura(s) popular(es) na virada do milênio e seus mediadores simbólicos." Caderno CRH 29, no. 78 (August 23, 2017): 427–42. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v29i78.19995.

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Abstract:
O objetivo do artigo é contribuir para o debate sobre o tema da “cultura popular”, abraçado na universidade por diferentes disciplinas como a Antropologia, a História, a Literatura, a Sociologia e outras. Trata-se de um conceito que, apesar de sua extrema ambiguidade, quando menos se espera, volta a nos interrogar. Considerando o ressurgimento do interesse pelas práticas relacionadas a essa noção, no final do século XX, o texto tenta responder, em que medida elas a transformaram mais uma vez. Partindo do princípio de que o conceito de cultura popular é formulado por intelectuais, como mediadores simbólicos entre as classes populares e outros grupos de interesse, a metodologia adotada foi o estudo dos agentes culturais atualmente envolvidos com a questão, a saber: os próprios folcloristas, as ONGs, gestores culturais do Estado e grupos informais na cidade de São Paulo. Após o exame de algumas práticas e crenças dos novos intelectuais da cultura popular, conclui-se haver mudanças relevantes em relação ao período folclorista, embora vários traços do velho conceito resistam ao tempo e mesmo se fortaleçam com sua associação à causa da “diversidade cultural”.BETWEEN THE BEAUTY OF THE DEAD AND THE LIVING CULTURE: the popular culture(s) in the turn of the millennium and its symbolic mediatorsThe objective of this article is to contribute with the debate about the subject of “popular culture”, studied in the Academia by different disciplines such as Anthropology, History, Literature, Sociology, among others. It is a concept that, besides its extreme ambiguity, when least expected makes us question ourselves again. Considering the resurgence of the interest in practices related to this concept by the end of the 20th century, this text aims to answer in which measure this concept was once again transformed. Starting at the principle that the concept of popular culture is formulated by intellectuals, the methodology used was the study of cultural agents involved with this question which include folklorists, NGOs, State cultural managers and informal groups of the city of São Paulo. After the examination of some practices and believes of the new intellectuals of the popular culture, it is concluded that relevant changes have occurred since the folklorist period, although some traces of the old concept resist the passing of time and get stronger with the association with “cultural diversity”.Key words: Popular culture; Tradition; Brazilian culture; Cultural politics; Intellectuals ENTRE LA BEAUTÉ DU MORT ET LA CULTURE VIVANTE: la(les) culture(s) populaire(s) au passage du millénaire et ses (leurs) médiateurs symboliquesL’objectif de cet article est d’apporter une contribution au débat concernant le thème de la “culture populaire”, thème adopté à l’université par différentes disciplines telles que l’anthropologie, l’histoire, la littérature, la sociologie et d’autres encore. Il s’agit d’un concept qui, malgré son énorme ambiguïté, nous remet en question au moment où on s’y attend le moins. Compte tenu de la résurgence d’un intérêt pour les pratiques liées à cette notion à la fin du XXe siècle, le texte essaie de dire dans quelle mesure elles l’ont à nouveau transformée. En partant du principe selon lequel le concept de culture populaire est formulé par des intellectuels jouant le rôle de médiateurs symboliques entre les classes populaires et les autres groupes d’intérêt, la méthodologie adoptée fut d’étudier les agents culturels actuellement concernés par cette question, à savoir: les folkloristes eux-mêmes, les ONG’s, les gestionnaires culturels de l’état et les groupes informels de Sao Paulo. Suite à l’analyse de certaines pratiques et croyances des nouveaux intellectuels de la culture populaire, on en conclut qu’il y a eu des changements importants par rapport à la période folkloriste, même si plusieurs caractéristiques de l’ancien concept résistent au temps, ou encore se fortifient par leur association à la cause de la “diversité culturelle”.Key words: Culture populaire; Tradition; Culture brésilienne; Politiques culturelles-intellectuelles
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Orea, René. "Paradoxe dans la relation entre oralité et écriture musicale." Circuit 21, no. 2 (July 21, 2011): 13–27. http://dx.doi.org/10.7202/1005270ar.

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Les notions d’oralité et d’écriture sont souvent associées dans l’imaginaire collectif à l’idée de « primitif » et « civilisé » et, par-delà, de cultures dites lettrées et illettrées, de « populaire » et « savant », d’immatériel et matériel. Dans les faits, elles ont une existence et renvoient à des pratiques certes opposées, mais complémentaires. Elles agissent à des niveaux de fonctionnement différents, soit l’auditif et le visuel. L’oral et l’écrit coexistent en musique non sans une certaine tension d’origine historique. Celle-ci est notamment entretenue par l’authenticité recherchée à travers le geste graphique et la signification qu’il faut lui accorder, souvent explicitée par le biais de l’oralité. À ce titre, le xxe siècle occidental a engendré un éclatement des langages, des techniques, des niveaux de perception et de conception des structures sonores, remettant en question la fonction et le statut de la partition, ce symbole qui apparaît comme l’aboutissement de la pensée musicale d’Occident. L’objectif de cet article est donc d’explorer les relations entre l’oralité et l’écriture, en ayant comme point de mire les musiques contemporaines occidentales, en faisant parfois référence à des champs qui nous sont familiers et que nous aimons juxtaposer pour leurs points communs et différences : ceux de la composition et de l’ethnomusicologie.
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Reid, Daniel. "Jardins Communautaires ET Sécurité Alimentaire Community Gardens and Food Security." Open House International 34, no. 2 (June 1, 2009): 91–95. http://dx.doi.org/10.1108/ohi-02-2009-b0010.

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En 1977, les autorités municipales de Montréal ont décrété que 10% du territoire serait dorénavant zoné espaces verts. La plupart des quartiers avaient suffisamment de terrains disponibles pour respecter cette norme. A la même époque, l′administration municipale a mis en place un programme municipal de jardins communautaires. Les jardins communautaires offrent l′opportunité aux citadins de cultiver leurs légumes et de fraterniser. À Montréal, 1.5% de la population adulte jardine dans un jardin communautaire municipal. Les jardins sont dispersés sur tout le territoire et sont facilement accessibles, soit 8200 jardinets dans 97 jardins communautaires. Dans les arrondissements les plus peuplés, il faut attendre de 1 à 3 ans sur la liste d′attente avant d′accéder à un jardinet. Le programme comporte un minimum de réglementation afin de simplifier l′activité. En terme de coût, la contribution moyenne d′un jardinier revient à 10$/jardinet pour un lopin de terre mesurant 3m x 6m. Avant la réorganisation municipale de 2002, suite à laquelle chaque arrondissement gérait ses propres jardins communautaires (Ville de Montréal), l′investissement de la municipalité, il est d′environ 0,2% du budget du Service des sports, des loisirs et du développement social. Le jardinage communautaire permet l′auto-production d′aliments de qualité sur des terrains gérés par la municipalité. Cette activité populaire favorise l′estime de soi et l′acquisition de nouvelles connaissances pratiques et techniques. A Montréal, les saisons de cultures sont réduites dû aux longs hivers et ne permettent qu′une récolte; ainsi, pendant les mois de récolte, cette initiative municipale allège la problématique de la sécurité alimentaire. Le programme des jardins communautaires de Montréal est considéré comme le programme de jardinage collectif le plus accessible et le mieux organisé en Amérique (Reid, 2006).
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Olmos Aguilera, Miguel. "Las creencias indígenas y neo-indias en la frontera MEX/USA." Revista Trace, no. 54 (July 5, 2018): 45. http://dx.doi.org/10.22134/trace.54.2008.310.

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Abstract:
En este artículo se analizan y describen las creencias indígenas originarias de la frontera norte, así como algunas creencias mestizas de tipo popular. Se hace hincapié en las creencias vinculadas con nuevas formas de identidad indígena y mestiza que se mueven en el terreno de la ficción. La identificación “neoindia” no es construida por los grupos indígenas, sino por mestizos que sin una identidad anclada en la memoria tradicional suelen adherirse a una identidad ancestral generada en múltiples religiones del escenario fronterizo o del imaginario mítico de la mesoamérica mexica. La Frontera Norte, como lugar donde las referencias culturales se pierden y transforman rápidamente, tanto la cultura indígena como la mestiza, se han convertido en un terreno fértil para la invención del “otro” mediante la transformación constante de sus prácticas religiosas.Abstract: This article analyzes and describes the native beliefs of the North Border, as well as some popular racial mixed beliefs. Emphasizing in the ones linked with new forms of racial mixed and native identity in the fiction area. The identification of “neoindia” is not built for native but for racially mixed groups that, without an identity anchored in the traditional memory, are used to adhere to an ancient identity generated from multiple religions of the border or of the mythical imaginary of Mexica Mesoamerica. The North Border, a place where cultural references are lost and quickly transformed, both native and racially mixed cultures have become a fertile land for the invention of the “Other” through the constant transformation of its religious practices.Résumé : Dans cet article, on analyse et on décrit les croyances indiennes de la Frontière Nord du Mexique, ainsi que quelques croyances métissées de type populaire. On s’intéresse en particulier aux croyances en relation avec de nouvelles formes d’identité indiennes et métisses qui se déploient sur le terrain de la fiction. L’identification “néo-indienne” n’est pas construite par les groupes indiens, mais par les métis dont l’identité n’est pas ancrée dans la mémoire traditionnelle et qui se réfèrent souvent à une identité ancestrale, générée dans de multiples religions du cadre frontalier ou de l’imaginaire mythique de la Mésoamérique mexicaine. À la Frontière Nord, en tant que lieu où les références culturelles se perdent et se transforment rapidement, les cultures indiennes et métisses se sont converties en un terrain fertile pour l’invention de l’« Autre » par l’entremise de la constante transformation des pratiques religieuses.
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S. Paiva, Luiz Fábio. "“AQUI NÃO TEM GANGUE, TEM FACÇÃO”: AS TRANSFORMAÇÕES SOCIAIS DO CRIME EM FORTALEZA." Caderno CRH 32, no. 85 (June 7, 2019): 165. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v32i85.26375.

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Abstract:
<p>O artigo analisa o processo de transformação social do crime nas periferias da cidade de Fortaleza, estado do Ceará, Brasil, mediante a constituição de coletivos criminais conhecidos como “facções”. Evidencia como as gangues e quadrilhas de traficantes ofereceram as condições objetivas para o processo de adesão a esses coletivos que, entre outras coisas, afetaram as maneiras de fazer o crime na cidade. A pesquisa se desenvolveu em uma dinâmica de investigação qualitativa e multissituada, articulando matérias da imprensa, entrevistas e conversações, à luz de uma perspectiva compreensiva dos sentidos e relações pertinentes ao fenômeno estudado. A análise considera múltiplos efeitos sociais da violência em circunstâncias criadas por coletivos criminais que se enfrentam e buscam exercer poder de governo sobre populações com as quais compartilham determinados sofrimentos sociais, e demonstra mudanças na escala de violência e interferência das pessoas que fazem o crime, com práticas de tortura, expulsão de residências e chacinas envolvendo homens e mulheres. Conclui que as “facções” criaram dinâmicas de governo locais que resultam em formas de dominação e sujeição dos pobres em Fortaleza.</p><p><strong>“THERE ISN’T GANG HERE, THERE’S ‘FACÇÃO’”: the social transformations of crime in Fortaleza, Brasil </strong></p><p>This paper discusses the social transformation process of crime in Fortaleza’s peripheries through the constitution of criminal collectives known as “facções”. It evidences how gangs and drug trafficking groups offered objective conditions to the process of joining these collectives which, among other circumstances, affected the forms of crime in the City. The research was developed in a dynamic of qualitative and multisituated investigation, articulating press material, interviews and conversations in the light of a comprehensive perspective of the senses and the relations within the studied phenomenon. It considers the multiple social effects of violence in circumstances created by criminal collectives that are facing each other and seek to exert power of government over populations with which they share certain social sufferings. The paper also demonstrates a change in the scale of violence and interference of people who commit crimes with torture, expulsion and slaughter involving men and women. It concludes that the “facções” created dynamics of government that result in forms of domination and subjection of the poorpopulation in Fortaleza, Brazil.</p><p>Keywords: Violence. Crime. Criminal collectives. Facções. Periphery</p><p><strong>“ICI, IL N’Y A PAS DE GANG, IL Y A UNE FACTIONS”: les transformations sociales du crime à Fortaleza, Brasil</strong></p><p>L’article analyse le processus de transformation sociale du crime dans les quartiers populaires de la ville de Fortaleza au travers de la constitution de groupes criminels connus sous la dénomination de “factions”. Je mets en évidence comment les gangs et les bandes organisés de trafiquants ont fourni les conditions objectives au processus d’adhésion à ces collectifs qui, parmi d’autres choses, ont influé sur les manières de faire du crime dans la ville. La recherche a été menée dans une dynamique d’enquête qualitative et multisituée, en mettant en relation des articles journalistiques, des entretiens et des conversations, en suivant la voie d’une perspective compréhensive des sens et des relations pertinentes vis-à-vis du phénomène étudié. Je prends en considération de multiples effets sociaux de la violence dans des circonstances créées par des groupes criminels qui s’affrontent et cherchent à exercer un pouvoir de gouvernement des populations avec lesquelles ils partagent certaines souffrances sociales. Je démontre le changement dans l’échelle de la violence et de perturbations des personnes qui participent au crime, avec des pratiques de torture, d’expulsion de domicile et de massacres impliquant des hommes et des femmes. J’en conclus que les «factions» ont créé des dynamiques de gouvernement engendrant des formes de domination et d’assujettissement des pauvres à Fortaleza, Brasil.</p><p>Mots-clés: Violence. Crime. Groupes criminels. Factions. Quartiers populaires.</p>
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Lacasse, Germain, Sacha Lebel, and Hubert Sabino. "L’objet cinéma entre culture populaire et culture savante1." Globe 15, no. 1-2 (March 6, 2013): 83–101. http://dx.doi.org/10.7202/1014627ar.

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Abstract:
Cet article envisage d’élargir et d’approfondir le champ de l’histoire culturelle en étudiant les relations entre culture académique et culture populaire. Prenant comme exemple diverses pratiques et institutions dans l’histoire du cinéma québécois (le bonimenteur, la censure, la critique), il propose de déconstruire leur histoire pour rappeler les exclusions sur lesquelles elle est souvent fondée. L’article s’inspire de travaux récents qui revalorisent les études culturelles et leur potentiel interdisciplinaire.
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Lüsebrink, Hans-Jürgen. "Fernand Dumont face à la culture populaire. Écriture de la nostalgie et usages socioculturels." Dossier 27, no. 1 (October 3, 2006): 48–58. http://dx.doi.org/10.7202/201581ar.

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Abstract:
Résumé Cet article propose une lecture du double rapport qu'entretient Fernand Dumont avec la culture populaire et la culture savante. Son regard à la fois personnel et scientifique semble opposer la chaleur d'une relation personnelle et le regard froid du chercheur, la nostalgie passionnée d'un univers riche mais perdu à jamais et la froideur d'un discours scientifique penché sur les transformations inévitables, puisque universelles, du monde culturel moderne et de ses pratiques et modes de communication culturels. Dumont décrit ses rapports avec la culture populaire en termes apparemment contradictoires : il parle de « déchirement » et de « nostalgie », termes se référant à des rapports émotionnels; mais aussi de « mise à distance », ce qui implique un rapport refroidi, distancié, un regard analytique porté sur l'objet, sa culture d'origine, ses modes de communication et ses relations de sociabilité. Cette originalité réside dans une conceptualisation théorique qui allie, de manière heureuse, des perspectives sociologiques, anthropologiques et littéraires.
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Campbell, Angela. "Wives' Tales: Reflecting on Research in Bountiful." Canadian journal of law and society 23, no. 1-2 (April 2008): 121–41. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100009601.

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Abstract:
RésuméCet article développe des stratégies de recherche pour obtenir et consigner les récits de femmes qui vivent dans des sociétés pratiquant le mariage plural, et ceci, dans le but d'approfondir les connaissances légales et populaires sur la polygamie au Canada. Pour parvenir à cet objectif, l'article fait appel à la littérature qui explore les méthodes utilisées pour mener des recherches introspectives d'un point de vue féministe. Deux stratégies de recherche étudiées dans la littérature féministe sont considérées, notamment en référence à Bountiful, Colombie-Britannique, une communauté où le mariage plural est ouvertement pratiqué. Ces stratégies exigent de la chercheuse : (1) qu'elle écoute et ajoute foi aux récits des femmes relatant leurs expériences en tant qu'épouses polygames; et (2) qu'elle procède à une autoréflexion critique de ses propres références et a priori culturels et normatifs. Ces stratégies sont utilisées ici pour formuler une enquête proprementjuridique, qui rejette toute préférence présumée du droit étatique par rapport au « droit » culturel, tout en examinant de façon rigoureuse les arguments à propos du genre et des traditions fondées dans les normes culturelles. La mise en application de cette enquête dans l'étude de la polygamie à Bountiful devrait enrichir notre compréhension de la manière dont les femmes sont affectées par le mariage plural, ainsi que par la réponse du droit envers cette pratique, à cet endroit précis.
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Genest, Bernard. "Dolores Turmel-Rodrigue, peintre de la vie populaire en Beauce." Terrains 12 (September 29, 2014): 109–30. http://dx.doi.org/10.7202/1026786ar.

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Abstract:
Décédée en 2011 à l’âge de 82 ans, Dolores Turmel-Rodrigue, artiste peintre, s’était donné pour mission de faire revivre dans ses tableaux les personnes, les lieux et les pratiques de la société traditionnelle de sa région natale, la Beauce. Pour nous la présenter et commenter son oeuvre, Bernard Genest a ressorti ses notes de terrain et des enregistrements réalisés dans le cadre de recherches menées dans les années 1982-1985. Il commence par situer l’artiste dans ses contextes géographique, social et culturel, puis s’attarde à décrire la technique et les thématiques qui caractérisent la production de l’artiste. Sans avoir au départ de plan préconçu, celle-ci voyait comme un devoir de mémoire le fait de témoigner de pratiques et d’un mode de vie pour lesquels elle éprouvait un vif attachement et la conviction profonde d’un héritage à préserver et à transmettre. Son oeuvre, selon l’auteur de l’article, est une contribution importante au patrimoine culturel des Beaucerons et pour l’ensemble des Québécois.
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Lefebvre, Richard. "L’influence d’un livre à l’époque de l’imprimerie mécanisée." Études 35, no. 1 (November 12, 2009): 101–12. http://dx.doi.org/10.7202/038573ar.

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Abstract:
Résumé Au début du xxe siècle au Bas-Canada, une économie émergente de l’imprimé de masse coexiste avec une culture populaire déterminée par la transmission orale et une conception prémoderne du livre qui prend appui sur la circulation restreinte d’une parole autoritaire. Animé par le projet de constituer une littérature nationale, l’auteur de L’influence d’un livre se trouve devant le problème, la nécessité, le défi de composer avec d’autres groupes socialement différenciés, d’articuler les rapports entre les pratiques culturelles coexistantes qui, si elles se recouvrent et convergent à certains égards, sont à d’autres égards opposées et concurrentes. Le récit d’Aubert de Gaspé fils reconfigure les rapports existants entre ces pratiques en adoptant une position complexe : au moyen de la représentation réaliste des types culturels et par l’inflexion qu’il donne aux rapports sociaux dans l’univers du récit, il critique la soumission à l’autorité du livre, valorise l’artefact de la culture populaire tout en gommant les procédés par lesquels cette culture populaire s’institutionnalise oralement, et propose une représentation triomphante de la littérature.
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Adelkhah, Fariba. "Logique étatique et pratiques populaires." Sociétés contemporaines N° 120, no. 4 (May 31, 2021): 124–37. http://dx.doi.org/10.3917/soco.120.0124.

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Hopkin, David. "Les religieux et la culture vernaculaire en Europe : un aperçu et un exemple." Port Acadie, no. 24-25-26 (October 31, 2013): 424–49. http://dx.doi.org/10.7202/1019149ar.

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Abstract:
Le rôle joué par les religieux tant dans la collecte que dans la valorisation des traditions orales n’est pas spécifique à la Bretagne ni au Canada francophone : les religieux sont tout aussi présents parmi les folkloristes et ethnographes d’autres régions de l’Europe. Et les mêmes questions peuvent être posées sur leur implication dans la culture populaire : leur investissement a-t-il à voir avec leur vocation religieuse (ou était-ce simplement un résultat fortuit chez une personne cultivée au fait des tendances littéraires qui vit en étroite relation avec la culture rurale) ? Comment ont-ils surmonté l’hostilité religieuse pour certains éléments douteux de la culture populaire, et l’association du populaire et de la superstition ? Y avait-il notamment des réseaux cléricaux autour des savoirs populaires qui diffusaient des modèles de comportement en matière de collecte ? Y avait-il une conception spécifiquement catholique ou protestante de la valeur du folklore ? Comment la position d’autorité des prêtres au sein de la communauté a-t-elle influé sur leur pratique de collecte ? Comment ont-ils répondu à la politisation de la religion ? Quel est l’impact de toutes ces considérations sur les matériaux qu’ils ont recueillis et sur la façon dont ils les ont diffusés auprès du public ? Après un court résumé de la place des religieux dans la collecte folklorique en Europe depuis le dix-huitième siècle, ce chapitre considère trois motifs qui ont poussé les religieux à s’intéresser à la culture vernaculaire : le sens du merveilleux ; le problème de survivances païennes, et les savoirs linguistiques au service des missions. Pour conclure on prend l’exemple du père Louis Pinck, l’un des religieux les plus redoutables dans le Reichsland Elsass-Lothringen, et personnage controversé dans l’histoire mouvementée de l’Alsace et de la Lorraine entre les deux guerres. Si les cinq volumes du Weisen Verklingende de Pinck sont l’un des grands monuments de la collecte de la chanson folklorique en France au xxe siècle, leur forme doit beaucoup à l’influence de ses préoccupations religieuses et sacerdotales. La Lorraine présente un point commun avec la Bretagne et le Canada francophone : la politique linguistique y a également été au centre des activités de collecte.
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Schoepf, Brooke Grundfest. "Représentations du sida et pratiques populaires à Kinshasa." Anthropologie et Sociétés 15, no. 2-3 (September 10, 2003): 149–66. http://dx.doi.org/10.7202/015180ar.

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Abstract:
Résumé Représentations du sida et pratiques populaires à Kinshasa Le sida offre aux anthropologues un terrain riche en connaissances nouvelles. En contrepartie, les chercheurs peuvent mettre leurs analyses des représentations populaires et des structures sociales au service de la prévention. Cet article examine les connaissances et pratiques populaires qui se développent rapidement autour du sida dans la capitale du Zaïre.
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Le Goïc-Auffret, Antony, and Emmanuel Porte. "Comment le numérique peut-il servir un projet d’éducation populaire et de culture scientifique ?" Cahiers de l’action N° 61, no. 2 (December 20, 2023): 74–82. http://dx.doi.org/10.3917/cact.061.0074.

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Abstract:
Impliqué dans le mouvement des Petits Débrouillards depuis les années 1990 en Bretagne, Antony Le Goïc-Auffret a développé et expérimenté de nombreuses méthodes d’éducation populaire dans son travail d’animation autour des sciences. Il a notamment accompagné l’émergence des enjeux numériques et environnementaux et leur prise en compte dans les pratiques d’animation scientifique.
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Hansen, Peter H. "Albert Smith, l'Alpine Club et l’invention de l’alpinisme au milieu de l’ère Victorienne." STAPS 21, no. 51 (2000): 7–27. http://dx.doi.org/10.3406/staps.2000.1157.

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Abstract:
Le présent article tente d’expliquer pourquoi l’ascensionnisme devint populaire durant le milieu de l’ère Victorienne, et suggère la forte pertinence de l’alpinisme dans la construction de la culture impériale et de la culture de la nouvelle bourgeoisie. A travers sa personnalité, ses spectacles et sa popularité, Albert Smith incarne un ensemble de changements sociaux et culturels reliés entre eux, que les membres de la bourgeoisie de l’ Alpine Club instituèrent plus tard sous une forme de l’exploration impériale au travers de l’alpinisme Victorien. Dans l’espace culturel créé par le spectacle d’Albert Smith, les hommes de l’Alpine Club combinaient des définitions contemporaines de la distinction et de la masculinité, avec la géographie impériale imaginée de la bourgeoisie Victorienne. L’alpinisme aida à la légitimation de l’exploration et de la large expansion impériale en transformant l’impérialisme d’une abstraction en quelque chose de tangible et réellement accessible pour les hommes ambitieux de la classe professionnelle. Si les ascensions attiraient tant l’attention dans la Culture Britannique c’est parce que la manière dont elles représentaient la virilité et la puissance nationales étaient largement partagées. En effet, l’acceptation d’une culture populaire impériale à la fin du XIXe siècle n’apparut pas de novo ; elle se construisit sur l’invention de pratiques culturelles telles que l’alpinisme durant les décennies du milieu de l’ère Victorienne.
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Lipsett-Rivera, Sonya, Colin M. Coates, and Pierre Desrosiers. "Un Canadien errant." Revue d’histoire de l’Amérique française 63, no. 4 (September 28, 2011): 435–64. http://dx.doi.org/10.7202/1006006ar.

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Abstract:
En 1739, un charpentier de Québec arrive au Nouveau-Mexique. Quatre ans plus tard, il est exécuté pour avoir suscité une rébellion indienne. Cet article examine les accusations portées contre cet homme, Louis-Marie Moreau dit Coulon, et les replace dans leurs contextes culturel et historique. Ayant critiqué les pratiques du catholicisme populaire dans la colonie espagnole, Moreau a soulevé la méfiance de plusieurs Indiens et Espagnols. En décrivant certaines pratiques guerrières de la région du Mississippi, il est de plus accusé d’avoir annoncé une invasion française. Même si les documents judiciaires transmettent mal ses propos, il est clair que Moreau eut de la difficulté à jauger les différences culturelles entre la Nouvelle-France et le Nouveau-Mexique.
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Ouellette, Monique. "L’éducation populaire au Québec : penser les pratiques." Éducation populaire, culture et pouvoir, no. 2 (January 29, 2016): 77–82. http://dx.doi.org/10.7202/1034855ar.

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Abstract:
Il y a une grande diversité d’activités d’éducation populaire au Québec. Cependant, en 1978 des organismes engagés dans des activités éducatives auprès des milieux populaires se sont donnés une définition de l’éducation populaire « autonome » qui insiste sur la prise de conscience collective relative aux conditions de vie et de travail et sur la transformation de ces conditions. Les groupes d’éducation populaire sont sans cesse confrontés aux initiatives de l’État dans leur domaine qui, par exemple, substitue ses propres services bureaucratisés aux services collectifs créés par les milieux populaires, ou encore brouille la distinction entre son rôle de surveillance de l’application des lois et celui de promoteur des intérêts des milieux populaires qui revient aux organismes autonomes que ceux-là se sont donnés. Ainsi beaucoup d’organismes étouffent progressivement à cause de la création de « groupes populaires » parallèles. En outre les organismes subissent, via leur financement, une tentative constance et croissante d’intégration par l’État. Enfin, plus insidieuse est l’obligation faite par le Ministère de l’Éducation tant aux syndicats qu’aux organismes populaires de se conformer pour le financement de leurs programmes à des normes qui sont celles du système scolaire. Malgré cette situation, l’éducation populaire est bien vivante. Elle doit demeurer au service et sous le contrôle des milieux populaires, faite par eux pour transformer leur situation sociale.
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Hourat, Pierre. "La chasse à la palombe, au coeur de la construction identitaire du Sud-Ouest aquitain." Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale 130, no. 303 (2018): 333–59. http://dx.doi.org/10.3406/anami.2018.8931.

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Abstract:
La chasse à la palombe est une pratique cynégétique ancienne. Sa transmission intergénérationnelle a permis à cette chasse de s’inscrire dans le patrimoine culturel du Sud-Ouest aquitain. Cette pratique rurale s’est diffusée au XIXe siècle depuis son coeur historique en Gascogne ou dans le Pays basque, vers les régions voisines, mais elle a également conquis les élites sociales locales qui l’ont anobli grâce à la littérature. De nos jours, la chasse à la palombe est une pratique identitaire, même si la proportion de paloumayres dans la population a diminué. Elle est le sujet d’inspiration d’un grand nombre d’artistes, d’artisans d’art et de scientifiques qui permettent ainsi de perpétuer la transmission de savoirs, de savoir-faire et d’histoires populaires aux nouvelles générations à travers les âges.
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Blot, Denis. "Développement durable, économie circulaire et pratiques populaires." Acciones e Investigaciones Sociales, no. 43 (December 22, 2022): 211–34. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_ais/accioninvestigsoc.2022437427.

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Abstract:
L’économie circulaire prolonge et précise le développement durable en lui donnant le cadre formel de projets concrets. Cet article montre que ces notions de développement durable et d’économie circulaire s’appuient sur le présupposé très largement partagé de l’existence d’une sphère économique obéissant à ses règles propres. Il questionne les conséquences que cette croyance a sur des pratiques économiques hors marché relevant de cadres sociaux populaires et reposant sur de l’inter-connaissance, des résistances aux logiques marchandes et de la solidarité communautaire. L’économie circulaire ignore le caractère souvent écologique de ces pratiques et cherche parfois à les faire disparaître. Cette réduction de l’écologie à l’économie occulte les conséquences sociales du développement de l’économie circulaire et renforce la main mise de l’économie sur le social. L’article défend l’hypothèse selon laquelle l’économie circulaire, portée en germe par le développement durable, est un projet de société qui se construit sans la société.
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Blanc-Noël, Nathalie. "Démocratie et égalité en Suède. Culture politique et pratiques sociales." Égalité et parité en Suède : des rêves évanouis ? 26 (2023): 12–28. http://dx.doi.org/10.4000/11y9o.

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Abstract:
La démocratie suédoise arrive en tête de nombreux classements internationaux. Si elle fascine des chercheurs en science politique dans le monde entier, c’est parce qu’elle semble avoir résolu un dilemme fondamental en politique : le choix entre liberté et égalité, sans les inconvénients des régimes qui ont mis l’accent sur l’égalité, mais ont sacrifié la liberté, ou des régimes qui ont favorisé la liberté, mais n’ont pas réussi à réaliser l’égalité des citoyens… Le « pluralisme égalitaire » pratiqué en Suède est ancré dans une culture politique spécifique. Cette culture repose sur la notion de souveraineté populaire et puise ses racines dans l’ancienne société paysanne. Les valeurs luthériennes et l’absence de féodalisme ont favorisé la recherche de l’égalité et la mise en place d’un État fort. Au XXe siècle, les sociaux-démocrates ont repris les valeurs traditionnelles et les ont prolongées dans le « modèle suédois », qui à la fois met en œuvre des politiques sociales égalitaristes et favorise une plus grande autonomie de l’individu. Mais aujourd’hui, le modèle évolue, confronté à la mondialisation et à la crise économique, et la redéfinition de l’égalité est en débat.
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Donnat, Olivier. "Les univers culturels des Français." Sociologie et sociétés 36, no. 1 (December 9, 2004): 87–103. http://dx.doi.org/10.7202/009583ar.

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Abstract:
Résumé Nous proposons, en nous appuyant sur les résultats des deux dernières enquêtes « Pratiques culturelles des Français » (1989, 1997) de faire une présentation des univers culturels repérables à l’échelle de la population française, avant de nous interroger sur l’hybridation de la culture légitime. Quelles formes prend-elle ? Quelles mutations artistiques et sociales l’alimentent ? Quel(s) sens lui donner ? Il apparaît en effet que les modes de production, de diffusion et de légitimation des oeuvres et produits culturels ainsi que les formes de participation à la vie culturelle ont connu ces dernières décennies d’importantes mutations. Aussi, la représentation ternaire des rapports d’homologie entre milieux sociaux et consommations culturelles héritée de la sociologie critique — culture cultivée, culture moyenne, culture populaire — rend-elle de plus en plus difficilement compte de la complexité des propriétés symboliques des oeuvres et de la diversité des univers culturels des individus.
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Lebon, Francis. "Socialiser par les loisirs ? Travail et professions à l’école primaire." Éducation et sociétés 50, no. 2 (September 7, 2023): 139–60. http://dx.doi.org/10.3917/es.050.0139.

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Abstract:
Les activités culturelles et sportives sont dorénavant encadrées pendant le temps scolaire et dans les marges de l’école par divers personnels socioéducatifs non enseignants : animateurs, éducateurs sportifs, intervenants culturels, etc. Comment ces professionnels et les enseignants se représentent-ils les enjeux éducatifs des activités sportives et culturelles ? De quelles façons l’éducation scolaire est-elle liée à l’éducation populaire hors l’école ? À qui ce travail éducatif est-il adressé : à des enfants et/ou à des élèves ? Fondé sur une vingtaine d’entretiens menés en 2020 dans deux villes de taille moyenne, l’une en banlieue parisienne, l’autre en province, l’article interroge la forme scolaire en examinant l’organisation du temps et des lieux d’apprentissage, la relation des élèves aux différents professionnels, l’articulation des enjeux sociaux et scolaires. Si la forme scolaire reste un socle de référence, de nouvelles pratiques sociales, différentes logiques traversent l’école élémentaire privilégiant des apprentissages en situation informelle, l’expression de soi, la sociabilité et la découverte de nouvelles pratiques.
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Greenlaw, Jane. "Choix pratiques et choix des pratiques." Revue d'histoire de l'Amérique française 46, no. 1 (August 26, 2008): 91–113. http://dx.doi.org/10.7202/305049ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le non-conformisme protestant, réaction des classes populaires contre les structures hiérarchiques des Églises établies d'Angleterre et d'Écosse, a été introduit à Montréal par les immigrants. L'examen des registres paroissiaux de sept Églises non-conformistes révèle des divergences dans leur composition sociale. Si, dans toutes, l'élément populaire était dominant, la participation des marchands et des professions libérales, qui variait de l'une à l'autre, créaient entre elles des distinctions importantes. L'analyse des archives des Églises presbytérienne Erskine et congrégationaliste de Zion révèle que ces différences influençaient les préoccupations de chaque congrégation de même que sa manière de définir et d'imposer son code moral. Les méthodes allaient du respect de l'indépendance et de la liberté de choix dans le cas de l'Église Erskine, dominée par les artisans, à l'examen minutieux de la moralité de chacun dans le cas de l'Église de Zion, davantage polarisée socialement.
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Genest, Bernard. "Genèse d’une demande de reconnaissance en patrimoine immatériel. La désignation de la pratique du canot à glace sur le fleuve Saint-Laurent." Études 12 (September 29, 2014): 7–24. http://dx.doi.org/10.7202/1026781ar.

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Abstract:
Le 9 février 2014, la pratique du canot à glace sur le fleuve Saint-Laurent était proclamée élément du patrimoine immatériel en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel. Dans son article, Bernard Genest rappelle les différentes étapes du processus (mission en Belgique, étude, production d’un rapport synthèse et publication des résultats) qui ont conduit la Société québécoise d’ethnologie à déposer en 2013 une demande de désignation auprès du ministère de la Culture et des Communications. Un long parcours qui a finalement amené le Ministère à inscrire cette pratique emblématique et populaire au registre du patrimoine culturel du gouvernement du Québec, reconnaissant de ce fait que la connaissance, la sauvegarde, la transmission ou la mise en valeur de la manifestation présente un intérêt public. Genest conclut en précisant que la désignation de cette tradition fortement identitaire, bien qu’essentielle et incontournable, ne constitue pas pour autant une fin en soi, l’objectif ultime étant d’obtenir sa reconnaissance sur le plan international.
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Gilbert, Dale. "Une culture urbaine en mouvement. Se déplacer et consommer en milieu populaire à Québec, 1930-1980." Articles 41, no. 2 (May 6, 2013): 3–18. http://dx.doi.org/10.7202/1015377ar.

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Abstract:
Cet article porte sur les mutations de la mobilité et des pratiques de consommation en milieu populaire québécois au coeur du XXe siècle dans une perspective intégrant usages, demande et planification. À partir du cas du quartier Saint-Sauveur de Québec, nous examinons l’évolution de l’expérience du quartier et de la ville des résidants, de même que les réactions des instances planificatrices et les demandes citoyennes face à celle-ci. Les résultats d’une enquête orale démontrent que l’automobile a transformé l’expérience de la consommation au tournant des années 1960 en redessinant les rapports à la proximité et à l’accessibilité physique des résidants, habitués jusqu’alors de se déplacer à pied. Les projets des instances planificatrices de la Ville de Québec découlant du nouveau contexte né de cette transformation, fortement teintés par la variable automobile, ont fait l’objet d’une opposition de la part de citoyens. Les interventions de ces instances ont conduit néanmoins à une redéfinition durable de la structure de ce quartier populaire ancien et conséquemment de la vie qu’on y menait, redéfinition acceptée par une grande partie de ses résidants.
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Jetté, Philippe. "Les surnoms en Nouvelle-Acadie." Études 9 (September 22, 2011): 69–90. http://dx.doi.org/10.7202/1005894ar.

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Abstract:
Cet article rend compte d’une recherche portant sur les surnoms relevés au lieu-dit « Nouvelle-Acadie » fondé par des Acadiens dans Lanaudière au Québec. L’auteur propose une typologie des surnoms en cinq thèmes : surnom de personne ou sobriquet (SP), surnom de quêteux (SQ), surnom par filiation (SF), blason populaire (BP) et toponymie populaire (TP). Une recherche documentaire préalable montre que la pratique de donner et d’utiliser des surnoms est une coutume qui date des débuts de la colonie en Nouvelle-Acadie ; des documents, entre autres ceux de la famille Fontaine, l’attestent. À partir d’une enquête de terrain visant à répertorier les surnoms, les surnommés, l’origine du surnom et les anecdotes en lien avec le surnom et le surnommé, l’auteur illustre le mécanisme du surnom par des exemples concrets qui valident l’héritage culturel acadien en Nouvelle-Acadie.
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Maltais, Alexandre, and Hélène Bélanger. "La gentrification au Québec : les gens, les lieux, les pratiques." Recherche 62, no. 1 (October 19, 2021): 7–34. http://dx.doi.org/10.7202/1082611ar.

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Abstract:
Le phénomène tour à tour qualifié de gentrification ou d’embourgeoisement, par lequel l’habitat populaire est investi par de nouvelles populations mieux nanties en capital culturel ou économique, s’est imposé au coeur des luttes urbaines et de l’action communautaire comme l’un des principaux enjeux contemporains de justice sociale. Dans ce texte, nous proposons d’abord quelques fragments d’une généalogie québécoise du concept de gentrification (ou d’embourgeoisement) et du phénomène qu’il recouvre, à partir d’éléments qui ne visent pas à clore mais bien à alimenter le débat scientifique sur des bases théoriques explicites et transparentes. Peut-on parler d’une ou de gentrifications québécoises et, si oui, quels sont les éléments constitutifs de cette singularité? Cette question est l’occasion d’esquisser un bilan de plusieurs décennies de débats et de recherches, en faisant ressortir certaines particularités du contexte québécois, et en identifiant un certain nombre d’angles morts, autour de trois axes : les gens; les lieux; les pratiques.
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Oberti, Marco. "Offre et « choix » scolaires : inégalités sociales et territoriales." Diversité 139, no. 1 (2004): 81–90. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2004.2340.

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L’offre scolaire en région parisienne est fortement corrélée aux profils sociaux des différents territoires et se traduit par de fortes disparités. À l’offre scolaire publique et privée, très diversifiée et attractive, des communes les plus favorisées, s’oppose l’offre scolaire moins diversifiée et à faible présence du privé des communes les plus populaires. Les logiques de choix d’établissement sont fortement liées à la catégorie sociale des parents mais ne se réduisent pas aux seules pratiques d’évitement des collèges stigmatisés des communes populaires. Comment évaluer dès lors la pertinence de la sectorisation comme dispositif de lutte contre la ségrégation scolaire ?
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Nicolas, Laurence. "Pratiques de nature populaires et écologisation du territoire." Norois, no. 238-239 (October 17, 2016): 59–67. http://dx.doi.org/10.4000/norois.5865.

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Juan, Salvador. "Pierre Périer, Vacances populaires. Images, pratiques et mémoire." Sociologie du travail 44, no. 3 (July 1, 2002): 439–41. http://dx.doi.org/10.4000/sdt.34026.

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Osganian, Patricia, Nicolas Haeringer, Jade Lindgaard, Anne-Sophie Perriaux, and Patrick Simon. "Cultures populaires : populisme et émancipation sociale." Mouvements 57, no. 1 (2009): 7. http://dx.doi.org/10.3917/mouv.057.0007.

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Saez, Guy. "Diabolisation et dédiabolisation des cultures populaires." Cités N° 91, no. 3 (September 19, 2022): 47–62. http://dx.doi.org/10.3917/cite.091.0047.

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Lamothe, Mathilde. "« Passions ordinaires »1 ou nouveaux objets patrimoniaux ?" Ethnologies 36, no. 1-2 (October 12, 2016): 405–31. http://dx.doi.org/10.7202/1037615ar.

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Le thème du sport est longtemps resté un champ d’études inexploré – voire même une « sous-culture » – en raison de son caractère peu « scientifique », sa connotation populaire ou associée à la vie quotidienne. Pourtant le sport et la culture restent liés de manière intrinsèque puisqu’il révèle des facettes particulières de la société qui le façonne et permet d’analyse des fondements et des évolutions de notre culture. L’étude du patrimoine sportif et de la patrimonialisation de pratiques sportives apparait comme un nouvel objet d’étude, apportant un éclairage sur les processus de transmission de ces expressions culturelles dans le temps et dans l’espace. Ces jeux ou sports traditionnels s’ancrent dans la modernité en évoluant techniquement, institutionnellement et structurellement; tout en exprimant les valeurs reconnues par l’UNESCO en tant que patrimoine culturel immatériel.
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Grove, Jaleen. "Drawing Out Illustration History in Canada." RACAR : Revue d'art canadienne 40, no. 2 (March 3, 2016): 115–29. http://dx.doi.org/10.7202/1035400ar.

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Abstract:
Cette historiographie critique documente la réception des illustrateurs canadiens anglophones par l’histoire de l’art, la cultural theory, la politique culturelle et les collections institutionnelles, de la fin du dix-neuvième siècle au présent. Nous montrons que la préservation de la culture visuelle canadienne a été biaisée en faveur d’un agenda culturel nationaliste qui a mis à l’écart la majorité de la culture visuelle populaire illustrée et qui, par ailleurs, a négligé l’héritage culturel états-unien en faveur des liens avec la Grande-Bretagne. En outre, à cause du manque d’espace pour des archives et des expositions, d’importantes collections d’illustration attendent urgemment un foyer, et les archives existantes sont incapables de gérer les fonds existants. Avec une méthodologie guidée par la pratique, nous proposons un centre de recherche idéal pour l’histoire graphique canadienne qui serait opéré sur un modèle d’affaires autarcique.
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Bellanger, Julien. "Lieux numériques : entre pratiques populaires et réappropriation des technologies ?" Cahiers de l’action 51-52, no. 2 (2018): 87. http://dx.doi.org/10.3917/cact.051.0087.

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Troger, Vincent. "De l'éducation populaire à la formation professionnelle, l'action de "peuple et culture"." Sociétés contemporaines 35, no. 3 (September 1, 1999): 19–42. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p1999.35n1.0019.

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Abstract:
Résumé RÉSUMÉ: Le mouvement d’éducation populaire Peuple et Culture a été, dans les années cinquante, un lieu de rencontre entre des formateurs en entreprises et des militants de l’action culturelle. Pour une part, ces acteurs, issus de secteurs d’activité à priori distincts, se sont rencontrés en raison de leur ambition commune de faire reconnaître leur professionnalisme dans leurs domaines respectifs. Ils ont en effet élaboré ensemble, au sein de Peuple et Culture, une méthode de formation, l’entraînement mental, qui a été assez largement diffusée aussi bien dans les milieux de la formation professionnelle des adultes que dans ceux de l’animation culturelle, et qui a constitué une ressource commune qu’ils ont mobilisée au service de leur quête de légitimité. Mais ces acteurs se sont aussi rencontrés en raison d’affinités politiques. La proximité d’une majorité d’entre eux avec les thèses de la gauche chrétienne en matière de promotion sociale et de contestation des pratiques scolaires traditionnelles, thèses élaborées notamment au cours de l’expérience de l’école d’Uriage, explique leur conception de la formation d’adultes. Conçue comme une «éducation permanente», la formation était pour eux un instrument de rénovation et de pacification sociale. Peuple et Culture a donc constitué, pour reprendre le modèle proposé par S. Moscovici, une minorité active qui, via la diffusion d’un outil de formation performant, a participé à l’émergence de la formation d’adultes en tant qu’activité sociale majeure et consensuelle dans la France contemporaine.
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Kakpo, Séverine. "La circulation du travail scolaire entre école et familles populaires." Diversité 172, no. 1 (2013): 119–24. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2013.3737.

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Abstract:
Cet article s’intéresse aux pratiques familiales d’accompagnement des devoirs en milieux populaires. Il s’interroge sur les effets de continuité qui sont à l’oeuvre entre milieu scolaire et milieu familial en matière de travail personnel des élèves mais aussi sur les effets de discontinuité qui existent et sont susceptibles de contribuer au creusement des inégalités sociales de réussite scolaire. Il utilise les résultats d’une enquête ethnographique conduite dans la proche banlieue parisienne qui a permis, sur la base d’entretiens et d’observations ponctuelles de séances de travail encadrées par les parents, d’interroger les pratiques de suivi du travail scolaire de vingt familles dont les enfants sont scolarisés dans des établissements ZEP (CM2-5e).
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Filion, Esther. "Vers une amélioration des pratiques démocratiques en alphabétisation populaire." Nouvelles pratiques sociales 23, no. 2 (October 17, 2011): 47–64. http://dx.doi.org/10.7202/1006128ar.

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Abstract:
Cet article analyse les pratiques démocratiques de groupes populaires en alphabétisation en utilisant le prisme des différences culturelles entre participants et animateurs. Il vise à enrichir les discussions et réflexions sur l’amélioration des pratiques démocratiques dans les organismes. Il fait le constat que les pratiques correspondent à la culture des animateurs et non à celle des participants, ce qui a pour effet de diminuer le pouvoir de ceux-ci. Un tel constat émane, d’une part, de la perception qu’ont les participants des pratiques démocratiques telles qu’ils les vivent et, d’autre part, d’observations des interactions entre animateurs et participants. En résulte l’importance de tenir compte des différences culturelles entre participants et animateurs pour une amélioration des pratiques démocratiques. Des pistes de solutions concrètes sont proposées dans ce sens.

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