Academic literature on the topic 'Pratiques de jardinage'

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Journal articles on the topic "Pratiques de jardinage"

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Delay, Christophe, Arnaud Frauenfelder, and Laure Scalambrin. "« On sait ce qu’on mange » : jardin familial et mode d’alimentation populaire." Sociologie et sociétés 46, no. 2 (October 28, 2014): 37–57. http://dx.doi.org/10.7202/1027141ar.

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Abstract:
Fondé sur une enquête de terrain réalisée auprès de catégories populaires d’origine rurale récemment urbanisées, cet article éclaire les principales facettes d’un mode singulier et méconnu d’alimentation populaire : le jardin familial. Afin d’être au plus proche du sens de l’expérience vécue par les enquêtés (« on sait ce que l’on mange »), il interroge les diverses opérations sociales investies dans la chaîne de production de cette forme de consommation alimentaire (des pratiques héritées/réactualisées de jardinage à la consommation des produits cultivés) et les significations qui lui sont conférées compte tenu des configurations de contraintes et de ressources des jardiniers (réponse à un budget serré, plaisir de pouvoir manger ses « propres » légumes, aliments qui « tiennent au corps » et morale de la bonne vie). Il questionne aussi les groupes sociaux auxquels ces derniers tentent au fond, de manière plus pratique qu’ostentatoire, de se distinguer.
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Reid, Daniel. "Jardins Communautaires ET Sécurité Alimentaire Community Gardens and Food Security." Open House International 34, no. 2 (June 1, 2009): 91–95. http://dx.doi.org/10.1108/ohi-02-2009-b0010.

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Abstract:
En 1977, les autorités municipales de Montréal ont décrété que 10% du territoire serait dorénavant zoné espaces verts. La plupart des quartiers avaient suffisamment de terrains disponibles pour respecter cette norme. A la même époque, l′administration municipale a mis en place un programme municipal de jardins communautaires. Les jardins communautaires offrent l′opportunité aux citadins de cultiver leurs légumes et de fraterniser. À Montréal, 1.5% de la population adulte jardine dans un jardin communautaire municipal. Les jardins sont dispersés sur tout le territoire et sont facilement accessibles, soit 8200 jardinets dans 97 jardins communautaires. Dans les arrondissements les plus peuplés, il faut attendre de 1 à 3 ans sur la liste d′attente avant d′accéder à un jardinet. Le programme comporte un minimum de réglementation afin de simplifier l′activité. En terme de coût, la contribution moyenne d′un jardinier revient à 10$/jardinet pour un lopin de terre mesurant 3m x 6m. Avant la réorganisation municipale de 2002, suite à laquelle chaque arrondissement gérait ses propres jardins communautaires (Ville de Montréal), l′investissement de la municipalité, il est d′environ 0,2% du budget du Service des sports, des loisirs et du développement social. Le jardinage communautaire permet l′auto-production d′aliments de qualité sur des terrains gérés par la municipalité. Cette activité populaire favorise l′estime de soi et l′acquisition de nouvelles connaissances pratiques et techniques. A Montréal, les saisons de cultures sont réduites dû aux longs hivers et ne permettent qu′une récolte; ainsi, pendant les mois de récolte, cette initiative municipale allège la problématique de la sécurité alimentaire. Le programme des jardins communautaires de Montréal est considéré comme le programme de jardinage collectif le plus accessible et le mieux organisé en Amérique (Reid, 2006).
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Mabberley, D. J. "A note on the chestnut vine and Séraphin Mottet's 'Dictionnaire Pratique d'Horticulture et Jardinage' (1892–1899)." Blumea - Biodiversity, Evolution and Biogeography of Plants 62, no. 3 (February 22, 2018): 240–44. http://dx.doi.org/10.3767/blumea.2018.62.03.06.

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Boulianne, Manon. "L’agriculture urbaine au sein des jardins collectifs québécois." Anthropologie et Sociétés 25, no. 1 (September 6, 2002): 63–80. http://dx.doi.org/10.7202/000210ar.

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Abstract:
Résumé L’agriculture d’autosubsistance pratiquée en milieu urbain connaît une résurgence dans les pays « développés » lors des phases d’ajustement de l’économie capitaliste. C’est le cas en Amérique du Nord ces dernières années. Les initiatives les plus récentes favorisent une autoproduction collective. Elles surgissent au Québec dans le contexte d’une reconnaissance accrue de l’économie sociale par l’État. Les jardins collectifs, portés par des organismes communautaires, se veulent une alternative à l’aide alimentaire et un outil d’insertion sociale pour les personnes appauvries. Les femmes occupent une place importante dans les organismes de support et les collectifs de production utilisés. Alors que certaines auteures mettent en relief le potentiel des organisations communautaires féminines actives dans le domaine de la sécurité alimentaire sur le renforcement du pouvoir d’agir individuel et collectif des femmes, d’autres y voient plutôt, dans le contexte de la décentralisation des programmes sociaux, une « domestication de l’espace public ». L’essor du jardinage collectif au Québec s’inscrit-il dans un processus de renforcement du pouvoir individuel et collectif des femmes ou de domestication de l’espace public ? À partir de données de terrain, cet article vise à apporter des éléments de réponse à cette question.
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Hochedez, Camille. "La nature jardinée à l’épreuve de la société suédoise multiculturelle. Espaces et pratiques de nature urbaine ordinaire à Malmö et Göteborg (Suède)." Annales de géographie N°736, no. 6 (2020): 55. http://dx.doi.org/10.3917/ag.736.0055.

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Lamarre, Nicole. "Parenté et héritage du patrimoine dans un village français terre-neuvien." Articles 12, no. 3 (April 12, 2005): 345–59. http://dx.doi.org/10.7202/055540ar.

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Abstract:
Toute la côte ouest de Terre-Neuve — le « French Shore » — était au siècle dernier fréquentée par les Bretons qui y péchaient depuis le traité d'Utrecht de 1713, où ils avaient acquis des droits qu'ils finirent par considérer comme exclusifs. Les « maîtres de pêche », jaloux de leurs privilèges, ne permirent cependant à aucun pêcheur de s'établir sur la côte : contrairement aux autres postes qu'ils avaient occupés dans le golfe depuis Gaspé jusqu'au Labrador, à Terre-Neuve les Français ne firent que la pêche de bateau. Entre 1825 et 1850, la compagnie saint-pierraise Campion-Théroulde acquit un monopole exclusif sur l'île Rouge, à condition d'y transporter des Bretons et des Saint-Pierrais pour la pêche d'été. C'est à partir de cette époque que quelques pêcheurs réussirent à s'établir en permanence, depuis la Grand Terre jusqu'à La Barre (du sud au nord), puis du Cap à Port-au-Port à l'entrée de l'isthme, sur les côtes de la Baie Saint-Georges. Jusqu'alors on pratiquait la pêche à la morue, mais bientôt le développement de la pêche au homard et de la mise en conserve suscita l'intérêt de nombreux groupes : les pêcheurs de la Nouvelle-Ecosse commencèrent d'affluer, les Terre-Neuviens réclamèrent leur part. Les Français durent se retirer dans six postes de la côte qu'ils gardèrent jalousement : l'île Rouge, Cod Roy, L'Anse-au-Canard, Port-au-Choix, Petit-Havre, Port-au-Port. Seuls les engagés des maîtres de pêche pouvaient résider dans ces endroits. L'immigration acadienne se développa parallèlement, entre 1830 et 1900, à partir des Îles-de-la-Madeleine, de la Nouvelle-Ecosse, de Magree et Chéticamp au Cap-Breton. Pour demeurer indépendants des Français, les pêcheurs acadiens se restreignirent à la pêche à la morue. Ceux qui voulaient s'établir durent cependant acheter les terres aux Français et leur vendre les produits de la pêche pour acquérir les provisions d'hiver. Quelques-uns louèrent leurs services aux marchands-maîtres de pêche — les Leroux, Grenier, Tajean, Chrétien, etc. — pour la prise ou la transformation du homard ; ce sont surtout les femmes qui furent affectées à cette dernière tâche. Depuis 1888, les Français, chassés de la côte sud par le Bait Act du gouvernement terre-neuvien, songent, malgré l'opposition des Saint-Pierrais, à abandonner leurs droits sur la côte ouest ; 1904 marquera la fin de la pêche française sur les côtes de Terre-Neuve. Les habitants reprirent les postes de l'île Rouge pour la morue et le homard ; on pratiqua une pêche mixte sur la côte de la Baie Saint-Georges. On complétait la subsistance avec le produit de la chasse et quelque jardinage et cueillette. Le développement de la coupe forestière du côté de Corner Brook, à partir de 1910, sollicita grandement les habitants de la Baie Saint-Georges : on connut alors la pratique mixte de la pêche et des chantiers, ou bien de l'agriculture — qui s'était développée — et des chantiers. L'émigration vers les États-Unis avait commencé dès les premières générations de peuplement français ; avant la fin du XIXe siècle, plusieurs jeunes hommes s'étaient dirigés vers Boston et les centres industriels pour y faire quelque fortune. Mais l'émigration ne devint un véritable courant qu'avec les guerres, surtout avec l'érection de la base militaire américaine de Stephenville, en 1940 ; plusieurs filles de la Baie épousèrent des G.I. et partirent à leur suite aux États-Unis. Les centres actuels d'attraction sont Corner Brook, Stephenville et le Nouveau-Brunswick.
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Loewen, Brad. "Le paysage boisé et les modes d’occupation de l’île de Montréal, du Sylvicole supérieur récent au XIXe siècle." 39, no. 1-2 (December 3, 2010): 5–21. http://dx.doi.org/10.7202/044994ar.

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Abstract:
Cet article examine l’ancien paysage boisé de l’île de Montréal afin de restituer les modes d’occupation territoriale de la préhistoire au xixe siècle. À la fin de la préhistoire, on distingue trois modes d’occupation sur l’île. Dans le Sud-Est, le paysage boisé résulte des pratiques de jardinage intensif et de circulation à travers des chênaies clairsemées évoluant vers une savane. Ce mode d’occupation diminue d’intensité mais ne disparaît pas entre Cartier et Champlain. La forêt du tiers ouest de l’île est modelée par des pratiques de jardinage traditionnel dispersé et ce, jusqu’au début du xviiie siècle. Enfin, une immense cédraie couvre le versant nord de l’île; elle semble être en place depuis des siècles, sans perturbation anthropique significative. Les derniers signes d’occupation autochtone traditionnelle disparaissent entre 1700 et 1725 alors que prend place un mode colonial d’exploitation. Les seigneurs sulpiciens se réservent la forêt montréalaise jusqu’à 1698 quand ils cèdent la cédraie du versant nord à des pionniers qui l’utilisent pour la construction d’un habitat rural. Les espèces plus convoitées, le pin blanc, le chêne et le frêne, demeurent l’apanage des seigneurs. Vers 1830 les premiers arrivages du bois de l’Outaouais apparaissent dans le registre archéologique, signalant l’épuisement de la forêt insulaire.
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Naoufal, Nayla. "Éducation relative à l’environnement, dialogue intercommunautaire et apprentissage du vivre-ensemble." 37, no. 2 (January 11, 2010): 186–203. http://dx.doi.org/10.7202/038823ar.

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Abstract:
RésuméIl existe peu de recherches et de pratiques en éducation relative à l’environnement (ERE) qui participent explicitement à la création d’une dynamique de paix. Ni la recherche en éducation, ni les organismes d’éducation populaire et communautaire, ni le milieu éducatif formel, ni le grand public ne prennent généralement en compte les liens entre les problématiques environnementales et l’émergence de conflits, exception faite de quelques organismes non gouvernementaux. Or, la dégradation du milieu de vie et l’apparition ou l’exacerbation de guerres sont interdépendantes et étroitement liées, tout comme le sont la protection de l’environnement et la création d’une dynamique de paix. Il importe certes de prendre en compte ce double enjeu dans la recherche et la pratique en ERE. L’éducation relative à l’environnement peut contribuer à l’apprentissage du vivre-ensemble dans un environnement partagé, notamment à travers des projets collectifs et concrets de résolution de problèmes et d’écodéveloppement. Cet article présente notamment deux exemples d’interventions : un projet de coopération hydrique et environnementale entre communautés voisines en conflit politique et un projet de jardinage collectif réunissant des groupes précédemment en guerre. Ces démarches participent à la consolidation de la paix et à l’innovation sociale.Signalons d’entrée de jeu que la méthodologie adoptée pour la rédaction de cet article est celle d’une démarche réflexive et critique de synthèse d’une recension d’écrits exhaustive sur un ensemble de thématiques et sur les liens entre celles-ci : environnement, guerre, éducation, ERE, consolidation de la paix, projets éducatifs contribuant à une dynamique de paix, etc. Elle intègre des éléments d’une recherche spéculative, à savoir « un travail de l’esprit produisant des énoncés théoriques à partir et à propos d’autres énoncés théoriques » (Van der Maren, 1995, p. 134), en vue de proposer des pistes de réflexion sur la contribution de l’ERE à la création d’un dialogue intercommunautaire environnemental et à la construction d’une dynamique de paix.
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Dissertations / Theses on the topic "Pratiques de jardinage"

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Riboulot-Chetrit, Mathilde. "Les habitants et leur jardin : relations au vivant, pratiques de jardinage et biodiversité au coeur de l'agglomération parisienne." Thesis, Paris 1, 2016. http://www.theses.fr/2016PA01H058.

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Abstract:
Cette thèse interroge la place des habitants et de leur jardin dans la gestion de la biodiversité ordinaire, à partir de trois communes situées au cœur de l'agglomération parisienne. Cette question nous conduit à nous intéresser à la sensibilité des habitants-jardiniers au monde vivant, à évaluer le lien entre cette sensibilité et les modes de jardiner et, plus fondamentalement, à envisager le rapport entre cette sensibilité au vivant, ces modes de jardinage et la biodiversité dans les jardins privés. Cette recherche s'appuie sur une base de données constituée d'une enquête par questionnaires (585), enrichie d'un matériau iconographique (110 photos prises par les enquêtés) et de 59 relevés botaniques effectués par des écologues. Nous montrons ainsi que les habitants développent une relation multidimensionnelle avec leur jardin dans laquelle la nature, l'ordre et l'esthétique occupent des places centrales. Au sein de ces rapports pluriels, on identifie comme biophiles des répondants qui justifient leur intérêt pour le jardin par une sensibilité à l'égard du vivant. Les jardins sont ainsi le support d'une relation particulière à la biodiversité caractérisée par des modes de jardinage plus respectueux du vivant. L'indicateur mis en place pour mesurer l'état de la Biodiversité Potentielle dans les Jardins (IBPJ) indique que les jardins forment aussi des espaces de biodiversité, surtout lorsque leurs gestionnaires sont considérés comme biophiles. Dans l'objectif d'améliorer la biodiversité dans les espaces verts privés, nous proposons de dépasser la connexion à la nature souvent préconisée, et d'encourager une connexion au vivant ainsi qu'une nouvelle esthétique du jardin
This thesis investigates the role of inhabitants and their garden in the management of ordinary biodiversity, based on three towns located within the Greater Paris. This core issue leads us to explore the inhabitants-gardeners' sensitivity towards the living world, to assess the connection between this sensitivity and gardening techniques and, more fundamentally, to consider the link between this sensitivity towards the living, gardening practices and the biodiversity that exists in domestic gardens. This study is based on a database mainly composed of a questionnaire survey (585), enriched by iconographic material (110 pictures taken by the respondents) and by 59 botanical surveys conducted by ecologists. Thus, we demonstrate that inhabitants develop a multidimensional connection with their garden in which nature, order and aesthetics play a central role. Within these plural connections, we identify as biophilic the respondents who justify their interest for the garden by a specific care for the living. Domestic gardens are thus the support to a particular connection to biodiversity distinguished by gardening techniques more considerate of the living. We implement an Index to gauge the state of the Potential Biodiversity in Gardens (IPBG). This index reveals that gardens, areas undertaken by inhabitants-gardeners, are also areas of biodiversity, furthermore when their owners are considered as biophilic. With the aim of improving biodiversity in private green areas, we propose to overstep the connection to nature advocated in several scientific work and by governmental policies, and to encourage a connection to the living and a new aesthetic of the garden
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Barrault, Julia. "Les pratiques de jardinage face aux risques environnementaux et sanitaires des pesticides. Les approches différenciées de la France et du Québec." Phd thesis, Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00859540.

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Abstract:
La thèse met en évidence, dans le cas de la France, une forme de régulation composite des risques sanitaires et environnementaux liés aux usages des pesticides par les jardiniers amateurs, qui comporte trois principales dimensions. (1) Intimement articulée aux mécanismes de marché, cette forme de régulation impute l'essentiel de la responsabilité à l'utilisateur considéré en tant que consommateur à responsabiliser, alors que les autorités publiques considèrent les firmes de pesticides comme des opérateurs économiques dont les avantages compétitifs sont à valoriser, veillant donc à respecter la dynamique de l'offre et de la demande tout en se chargeant d'encadrer ce marché par l'homologation des produits. (2) Elle épouse les principes de la société singulariste où l'individu serait la référence centrale de la dynamique des sociétés contemporaines et le régulateur des problèmes collectifs par ses choix de consommation et ses prises de positions individuelles. (3) Elle s'opère dans un contexte où l'État a per¬du sa centralité sous la double influence de l'européanisation et de la décentralisation et où les modes de régulations politiques sont caractérisés par des formes moins dirigistes de gouvernement pouvant être définies comme des " politiques sans politique ". La régulation composite des pesticides domestiques est porteuse d'un postulat implicite qui impute la responsabilité des risques aux usagers et qui, si elle laisse ouverte la voie à une po¬ten-tielle réduction de l'usage des produits, tend à limiter leur exclusion et réduit les possibilités d'une transition vers un jardinage sans pesticides.
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Zhong, Xueqian. "Modélisation des bilans et des flux de métaux en traces dans les sols sous agriculture urbaine." Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2022. http://www.theses.fr/2022LORR0051.

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Abstract:
La consommation de légumes cultivés dans un sol contaminé par des métaux et l'inhalation directe du sol représente un risque pour la santé humaine. Afin de maintenir la durabilité des jardins urbains, la prédiction de l'évolution des métaux dans les sols devrait nous permettre d'identifier les risques liés à la contamination des sols par les métaux, et ainsi de mettre en place des pratiques permettant de mieux préserver les fonctions rendues par les sols des jardins et de cibler une réhabilitation plus efficace des sols contaminés. Nous avons utilisé un modèle de bilan de masse pour simuler l'évolution des métaux du sol sous les différentes pratiques de jardinage au cours du temps. Le modèle de bilan de masse a été amélioré pour le rendre applicable aux jardins potagers en considérant leur utilisation régulière et intensive d'amendements organiques. La lixiviation et le prélèvement par les plantes sont les principaux flux de perte de métaux dans les sols. Nous avons incorporé, respectivement, les modèles RothC et VSD+ pour simuler les changements du carbone et du pH dans les sols. Des valeurs spécifiques de PUF (plant uptake factor) pour plus de 60 espèces végétales ont été recueillies dans la littérature pour simuler la perte de métaux par le prélèvement par les plantes. Les flux d'entrée de métaux ont été pris en compte dans le modèle de bilan de masse, en considérant les apports d’engrais chimiques, d’amendements organiques, de pesticides et les dépôts atmosphériques. La profondeur du travail du sol et la rotation des cultures ont également été prises en compte dans le modèle. Nous avons prédit l'évolution des concentrations de métaux dans le sol de 104 jardins potagers français au cours des 100 prochaines années. Si les pratiques de jardinage actuelles sont maintenues, une augmentation des teneurs en Cd (35% en moyenne), Cu (183%) et Zn (27%) du sol devrait se produire après un siècle. La concentration de Pb dans le sol ne devrait pas varier de façon notable. Le modèle a également été utilisé pour simuler les tendances historiques et futures des concentrations en métaux du sol dans le Potager du Roi à Versailles, qui compte plus de 300 ans de pratiques de jardinage depuis sa création en 1683. Le pH du sol et la MO du sol simulés par les modules RothC et VSD+ sont très proches des valeurs mesurées, avec une variation inférieure à 10%. Les teneurs en Zn des sols ont été bien simulées par rapport aux valeurs mesurées, avec un intervalle de variation de 3% à 25% dans les différents scénarios. Des résultats moins précis ont été trouvés dans les simulations de tendances historiques de la teneur en Cd, Cu et Pb dans les sols. Dans les simulations de tendances futures, les teneurs en métaux des sols du Potager du Roi augmenteront de 39 % pour le Cd, 20 % pour le Cu, 5 % pour le Pb et 32 % pour le Zn dans un siècle, alors que les pratiques de jardinage actuelles seraient maintenues. Le compost de déchets verts contribue à plus de 70 % du total des flux de métaux entrants et sortants. En outre, il existerait une surexposition alimentaire chronique au Cd et au Pb pour les personnes qui ne consommeraient que des légumes cultivés dans le Potager du Roi à l'avenir. D'après les résultats des simulations, les pratiques de jardinage actuelles peuvent entraîner une accumulation de métaux dans les sols des potagers français. Une norme relative aux pratiques de jardinage devrait être élaborée pour prévenir/atténuer la contamination des sols par les métaux afin de garantir la sécurité alimentaire
Consumption of vegetables grown in a soil contaminated by trace metals and direct soil inhalation pose a risk to human health. In order to maintain the sustainability of urban gardens, predicting the evolution of metals in soils should allow to identify risks related to metal contamination of soil, and thus to apply practices to better preserve the functions rendered by garden soils and target a more efficient rehabilitation of contaminated soils. We used a mass balance model to simulate the evolution of soil metals under the different gardening practices over time. The mass balance was improved to make it more applicable to vegetable gardens by considering the regular and intensive use of organic waste amendments. Leaching and plant uptake are the main flows of metals loss in soils. We incorporate the RothC and VSD+ models to simulate the changes in soil carbon and pH over time, respectively. Specific values of plant uptake factor for over 60 vegetable species have been collected from literature to simulate metal loss via plant uptake. Metal input flows are associated to chemical fertilizers, organic waste amendment, pesticides and atmospheric deposition. Soil tillage depth and crop rotation have also been considered in the model. We predicted the evolution of soil metal (Cd, Cu, Pb and Zn) concentrations in 104 French vegetable gardens over the next 100 years. If current gardening practices are maintained, an increase in soil Cd (35% on average), Cu (183%), and Zn (27%) contents should occur after a century. Soil Pb concentration should not vary consistently. The model has also been used to simulate the historical and future trends of soil metal concentrations in the King’s Vegetable Garden (Potager du Roi) in Versailles, which has more than 300 years of gardening practices since its creation in 1683. Simulated soil pH and OM by the integrated RothC and VSD+ modules are very close to measured values, with variation less than 10%. Soil Zn contents have been well simulated comparing to measured values, with a variation range of 3% to 25% in different scenarios. Less accurate results were found in the historical trend simulations of Cd, Cu and Pb content in soils. In the future trend simulations, the soil metal contents will increase by 39% for Cd, 20% for Cu, 5% for Pb, and 32% for Zn for the next century, while the current gardening practices will be maintained in King’s Vegetable Garden. Green waste compost contributes over 70% of the total input and output metal flows. Moreover, there would be a chronic over-exposure to Cd and Pb for people who would only consume vegetables grown in the King's Vegetable Garden in the future. According to the results of the simulations, current gardening practices can lead to accumulation of metals in French vegetable garden soils. A standard for gardening practices should be developed to prevent/mitigate soil metal contamination in order to ensure food safety
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Kohli, Alice. "Effets de composts autoproduits et d'un biochar sur le transfert d'éléments trace dans des légumes de jardins familiaux modérément contaminés." Thesis, Rennes, Agrocampus Ouest, 2022. http://www.theses.fr/2022NSARD098.

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Abstract:
Les jardins familiaux ont souvent été installés sur des sols urbains sans évaluation préalable du risque sanitaire. Le diagnostic de contamination du sol par des éléments trace comme le plomb (Pb) peut compromettre la poursuite du jardinage. Pour éviter un changement d’usage, l’apport au sol de compost industriel peut être efficace mais le potentiel des composts autoproduits par les jardiniers eux-mêmes doit être évalué. Ce travail de thèse a eu pour premier objectif d’analyser les pratiques de compostage dans les jardins familiaux et sélectionner des composts autoproduits différents en termes de propriétés biochimiques et de contenu en éléments trace. Les pratiques de compostage et la qualité des composts sont très variables. Les composts autoproduits au jardin (domestiques)sont généralement pauvres en matière organique et parfois contaminéscontrairement aux composts autoproduits en pied d’immeuble ou en restauration (collectifs) également utilisés au jardin. Le second objectif a été d’évaluer le risque sanitaire potentiel lié à la consommation de légumes de jardins familiaux modérément contaminés en Pb (100-200 mg.kg-1) amendés avec des composts autoproduits. Pour tenter d’améliorer la remédiation, du biochar a aussi été introduit. Une alimentation composée essentiellement des légumes autoproduits au jardin ne présenterait pas de risque sanitaire mais l’apport de composts autoproduits à une dose élevée (10-20 kg.m-2) a pu augmenter la biodisponibilité de As dans des sols de jardins familiaux. L’apport combiné d’un compost autoproduit et d’un biochar a toutefois limité les transferts de As et de Pb tout en augmentant la biomasse des légumes autoproduits
For some time, allotment gardens have often been established on urban soils without prior health risk assessment. Soil analysis revealing contamination by trace elements such as lead (Pb) may now compromise the practice of gardening. To prevent a restriction or change of soil use, the introduction of industrial compost to the soil can be efficient, but the potential of composts self-produced by the gardeners themselves must be evaluated. The first objective of this thesis was to analyze composting practices in allotment gardens and select self-produced composts with different biochemical properties and trace element content. The composting practices and the quality of these composts are very variable. Composts self-produced in the garden (home composts) are generally poor in organic matter and sometimes contaminated,contrary to composts self-produced at the foot of buildings or in restoration (community composts) also used in gardens. The second objective was to assess the potential health risk of consuming vegetables from allotment gardens moderately contaminated with Pb (100 - 200 mg.kg-1) amended with self-produced composts. In an attempt to improve remediation, biochar was also introduced into the soil. A diet composed essentially of self-produced vegetables in the garden would not present a health risk, but the addition of self-produced composts at a high dose (10-20 kg.m-2) could increase the bioavailability of As in allotment garden soils. In contrast, the combined addition of self-produced compost and biochar limited the transfer of both As and Pb while simultaneously increasing the biomass of self-produced vegetables
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Barrault, Julia Dominique. "Les pratiques de jardinage face aux risques sanitaires et environnementaux des pesticides : les approches différenciées de la France et du Québec." Thèse, 2012. http://www.archipel.uqam.ca/5944/1/D2584.pdf.

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Abstract:
L'utilisation des pesticides par les jardiniers amateurs s'est élevée à 3500 tonnes environ en 2008 pour les quinze millions de jardins privés que compte la France, ce qui représente une surface totale d'un million d'hectares. Dans le contexte d'une sensibilité sociale croissante aux problématiques sanitaires et environnementales, alors que la réduction des pesticides en agriculture est affichée comme un objectif politique du Grenelle de l'environnement et que l'Europe définit des politiques de contrôle des substances chimiques (REACH), une étude de l'usage des pesticides dans les pratiques de jardinage constitue un bon observatoire pour comprendre les représentations, les dispositions et les pratiques sociales liées à l'usage des pesticides dans les jardins privés, pour questionner l'écologisation annoncée des modes de vies, pour apprécier la capacité de la chaine de production-distribution commerciale à se saisir d'une telle problématique, et finalement pour évaluer la direction et l'impact des politiques publiques de prévention des risques sanitaires et environnementaux. Les résultats de la thèse s'appuient sur des enquêtes sociologiques menées auprès de jardiniers amateurs (par questionnaire (N=900) et par entretiens (N=24)), auprès de fabricants et de distributeurs de produits phytosanitaires et de la presse spécialisée jardin (N=17) en France. Un contrepoint à la situation française est apporté par une analyse du Code de gestion des pesticides appliqué depuis 2003 au Québec et qui constitue une régulation de type réglementaire qui interdit l'utilisation et la vente d'une partie des pesticides reconnus comme étant les plus dangereux pour la santé dans les municipalités et les jardins privés. La thèse met en évidence, dans le cas de la France, une forme de régulation composite des risques sanitaires et environnementaux liés aux usages des pesticides par les jardiniers amateurs, qui comporte trois principales dimensions. (1) Intimement articulée aux mécanismes de marché, cette forme de régulation impute l'essentiel de la responsabilité à l'utilisateur considéré en tant que consommateur à responsabiliser, alors que les autorités publiques considèrent les firmes de pesticides comme des opérateurs économiques dont les avantages compétitifs sont à valoriser, veillant donc à respecter la dynamique de l'offre et de la demande tout en se chargeant d'encadrer ce marché par l'homologation des produits. (2) Elle épouse les principes de la société singulariste où l'individu serait la référence centrale de la dynamique des sociétés contemporaines et le régulateur des problèmes collectifs par ses choix de consommation et ses prises de positions individuelles. (3) Elle s'opère dans un contexte où l'État a perdu sa centralité sous la double influence de l'européanisation et de la décentralisation et où les modes de régulations politiques sont caractérisés par des formes moins dirigistes de gouvernement pouvant être définies comme des « politiques sans politique ». La régulation composite des pesticides domestiques est porteuse d'un postulat implicite qui impute la responsabilité des risques aux usagers et qui, si elle laisse ouverte la voie à une potentielle réduction de l'usage des produits, tend à limiter leur exclusion et réduit les possibilités d'une transition vers un jardinage sans pesticides. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : pesticides, jardins privés, homologation des pesticides, régulation politique, responsabilité, politiques publiques, prévention des risques, marché des pesticides, santé et environnement.
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Books on the topic "Pratiques de jardinage"

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Magnan, Jean-Charles. Le jardin scolaire: Comment l'établir, instructions et directions pratiques. Québec (Province): Ministère de l'agriculture, 1997.

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Guide pratique du jardinage écologique. Waterloo, Québec: Éditions M. Quintin, 2005.

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3

Conversations dans un jardin potager. Tracadie-Sheila, NB: La Grande marée, 2008.

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Ciel! mon jardin a froid: Petit guide pratique pour faire face aux aléas climatiques. Paris: Aubanel, 2007.

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5

Revel, Jacques. L'Horticulture pour tous. Conseils techniques et pratiques pour la culture florale et le jardinage. Casteilla, 1993.

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6

(Angleterre), Royal Horticultural Society, and Sélection du Reader's Digest (France). Encyclopédie pratique du jardinage. Sélection du Reader's digest, S.A.R.L, 2000.

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7

COLLECTIF. Encyclopédie pratique du jardinage. ARTEMIS, 2011.

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8

COLLECTIF. Encyclopédie pratique du jardinage. ARTEMIS, 2011.

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9

CARNET de MON POTAGER Jardinage : 70 Fiches Pratiques Pour Suivre l'évolution de Votre Potager * des Semis Aux Récoltes: Tout Sera Noté Dans Ce Carnet * Indispensable Pour les Jardiniers débutants Ou Experts * 80 Pages Format Pratique 15,23 X 22,9 Cm. Independently Published, 2020.

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10

Vivante, Nature. Carnet de Jardinage: Cahier COMPLET Spécial POTAGER * Carnet de Jardinier à Remplir Pour Suivre l'évolution de Vos Plantations des Semis Aux Récoltes * 120p écrites Par des JARDINIERS PROFESSIONNELS * Calendrier + Plans du Jardin + 80 Fiches Pratiques... Independently Published, 2020.

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