Academic literature on the topic 'Post-communism – Social aspects – Romania'
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Journal articles on the topic "Post-communism – Social aspects – Romania"
Mihăilescu, Ioan. "Mental Stereotypes in the First Years of Post‐Totalitarian Romania." Government and Opposition 28, no. 3 (July 1, 1993): 315–24. http://dx.doi.org/10.1111/j.1477-7053.1993.tb01318.x.
Full textBucur, Maria. "Women and state socialism: failed promises and radical changes revisited." Nationalities Papers 44, no. 5 (September 2016): 847–55. http://dx.doi.org/10.1080/00905992.2016.1169263.
Full textVasile, Cristian. "The Institute of Philosophy in Communist Romania Under the Regime of Gheorghiu-Dej, 1949-65." History of Communism in Europe 9 (2018): 161–86. http://dx.doi.org/10.5840/hce201898.
Full textFisanov, Volodymyr. "Facing Europe: Regional Aspects of Paradiplomatics in Chernivtsi Oblast (Current Challenges and Possible Solutions)." Mediaforum : Analytics, Forecasts, Information Management, no. 7 (December 23, 2019): 81–96. http://dx.doi.org/10.31861/mediaforum.2019.7.81-96.
Full textSorbán, Angella. "Hungarian Beyond the Border1 On the Contexts of Education, Bilingualism, and Labour Market in the Early 21st Century. The Transylvanian Perspective." Hungarian Studies Yearbook 4, no. 1 (November 1, 2022): 66–91. http://dx.doi.org/10.2478/hsy-2022-0004.
Full textAndreescu, Florentina. "The changing face of the Other in Romanian films." Nationalities Papers 39, no. 1 (January 2011): 77–94. http://dx.doi.org/10.1080/00905992.2010.532776.
Full textForis, Tiberiu, and Diana Foris. "EUROPEAN FUNDS MANAGEMENT ANALYSIS—A CASE STUDY OF EUROPEAN SOCIAL FUNDS IN ROMANIA FROM 2007 TO 2013." CBU International Conference Proceedings 2 (July 1, 2014): 142–46. http://dx.doi.org/10.12955/cbup.v2.457.
Full textSzilveszter, László Szilárd. "From Proletarian Internationalism to Transnational Consciousness." Acta Universitatis Sapientiae, Philologica 14, no. 3 (December 1, 2022): 157–73. http://dx.doi.org/10.2478/ausp-2022-0031.
Full textMakarowski, Ryszard, Radu Predoiu, Andrzej Piotrowski, Karol Görner, Alexandra Predoiu, Rafael Oliveira, Raluca Anca Pelin, et al. "Coping Strategies and Perceiving Stress among Athletes during Different Waves of the COVID-19 Pandemic—Data from Poland, Romania, and Slovakia." Healthcare 10, no. 9 (September 14, 2022): 1770. http://dx.doi.org/10.3390/healthcare10091770.
Full textPloscaru, Cristian, and IonuČ› Nistor. "HISTORIC MOLDOVA. HISTORICAL DISPARITIES, REGIONALISATION AND CROSS-BORDER INTEGRATION." CBU International Conference Proceedings 5 (September 30, 2017): 920–26. http://dx.doi.org/10.12955/cbup.v5.1112.
Full textDissertations / Theses on the topic "Post-communism – Social aspects – Romania"
Coman, Ramona. "La carrière publique de la consolidation des garanties d'indépendance de la justice: un phénomène social et politique dans la Roumanie post-communiste." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2008. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210520.
Full textLa présente dissertation se situe certes dans la prolongation de cette recherche, mais ce n’est pas le désir de la continuer qui justifie notre intérêt pour la réforme de la justice dans le contexte de l’adhésion de la Roumanie à l’Union européenne. Un siècle plus tard, d’autres raisons nous ont poussée à convertir une question médiatisée en problématique de recherche en science politique. Dans les années 2000, le processus de « retour à l’Europe » de la Roumanie a été sérieusement ralenti. La crise de l’institution judiciaire roumaine était d’une actualité évidente. Elle se présentait, d’ailleurs, comme le dernier bastion de résistance aux changements imposés par la transition vers la démocratie et par la nécessité de s’adapter aux exigences formulées par l’Union européenne. Devant une littérature récente qui met l’accent sur l’exceptionnalisme du communisme et du post-communisme roumain, la question qui a stimulé au départ notre réflexion a été de savoir comment et pourquoi ce pays, dont les réformes sont lentes et difficiles, s’adapte aux exigences de l’Union européenne.
A partir de cet encadrement générique, quelques précisions méthodologiques s’imposent. Construire un objet scientifique consiste d’abord à réaliser une mise en problématique de la réalité que l’on souhaite observer et analyser. Dans le cas qui nous intéresse, ce qu’on appelle « la réforme de la justice » est un champ d’action publique extrêmement vaste, mais ce qui fédère les différentes mesures de réforme est leur finalité :une indépendance plus affirmée de l’institution judiciaire vis-à-vis du pouvoir politique.
Que doit-on expliquer et en quoi doit consister l’explication lorsque l’on veut comprendre et expliquer une réforme dans ce domaine ?Pour nous, l’exercice de reconstruction de l’émergence et du développement de ce processus législatif consiste à mettre en lumière à la fois ses étapes et ses phases, mais aussi les interactions entre des facteurs qui accélèrent ou freinent le mouvement de réforme. Cette dissertation traite de la façon dont la consolidation des garanties d’indépendance de la justice a été envisagée comme problème public dans la Roumanie post-communiste, des significations ainsi que des réponses politiques et institutionnelles qui ont été données à travers le temps à ce problème. La dissertation se propose de voir comment et dans quelles conditions on passe, lors de l’adhésion à l’UE, d’une justice « aveugle » et asservie au pouvoir politique vers ce qu’un magistrat qualifiait récemment de « paradis de la démocratie de la magistrature ».
Cette première opération de problématisation s’est poursuivie par la formulation d’une série d’hypothèses. Comme toute étude sur le policy change se focalise sur un ou plusieurs facteurs explicatifs, au départ, nous avons envisagé d’analyser cette décision politique dans une double perspective :comme l’effet de la conditionnalité de l’Union européenne et comme le résultat de la compétition partisane. Au fur et à mesure que la vérification de ces deux hypothèses avançait, nous en avons testé une 3ème à partir de laquelle nous avons analysé la consolidation des garanties d’indépendance de la justice comme le résultat de la compétition des acteurs nationaux dans la définition politique et sociale du secteur à réformer. Nous avons opérationnalisé ces 3 hypothèses en utilisant des concepts propres à trois littératures distinctes :le néo-institutionnalisme historique, la littérature sur l’européanisation et l’approche cognitive des politiques publiques.
Précisons d’abord que cette recherche a été commencée dans le contexte d’un apparent « renouveau » conceptuel dans l’étude des transformations post-communistes. Vers la fin des années 1990, la littérature sur l’européanisation lançait de nouvelles pistes de recherche et offrait de nouveaux outils d’analyse et hypothèses de recherche. C’est dans cette perspective que nous avons inscrit notre réflexion en postulant que dans l’étude de la consolidation des garanties d’indépendance de la justice en Roumanie, l’Union européenne met la question de l’indépendance de la justice à l’agenda du pays et qu’elle impulse le changement par un large éventail de mécanismes d’européanisation.
Ensuite, une deuxième hypothèse a été formulée - centrée sur le rôle des élites politiques nationales - pour expliquer la résistance au changement. Si par le rôle de l’UE on se proposait d’expliquer le changement, la lenteur de la réforme de l’institution judiciaire résultait à nos yeux de l’absence au niveau national d’une matrice cognitive et normative qui conduise à un renouveau de l’institution judiciaire.
Mais, le test de ces deux hypothèses a révélé un certain nombre de surprises. La première survalorisait le rôle de l’UE, la portée de sa conditionnalité et des mécanismes d’européanisation tandis que la deuxième minimalisait le rôle du législateur roumain et la modernité de sa réflexion sur une indépendance plus affirmée de l’institution judiciaire. Qui plus est, en formulant ces deux hypothèses, la recherche se focalisait uniquement sur la période post-communiste. La longue durée était écartée et le processus de réforme était analysé comme une réponse des élites politiques de Bucarest à un paquet de normes prédéfinies à Bruxelles. Nous avons observé que, d’une part, il fallait « faire de l’histoire » pour comprendre le changement, car la méconnaissance du passé de l’organisation judiciaire roumaine nous empêchait d’avancer dans la compréhension du présent et que, d’autre part, les deux axes d’analyse - la conditionnalité de l’UE et les réponses données par les élites politiques de Bucarest – s’avéraient insuffisantes pour comprendre l’émergence et le développement de cette politique publique.
En testant ces deux hypothèses, combinées avec la prise en considération de la longue durée, nous sommes arrivée à un ensemble de conclusions dont les plus importantes sont les suivantes :
Premièrement, le chapitre consacré à l’histoire moderne de l’institution judiciaire roumaine permet d’observer que les dysfonctionnements actuels de la justice sont similaires à ceux signalés par les élites politiques et judiciaires roumaines à la fin du 19ème siècle, et pointés justement par ce docteur de 1903. La réforme de la justice, dans le sens qu’on lui donne en 2004, est exigée depuis 1859. En dépit de la reprise de modèles d’organisation politique occidentaux, la création de la Roumanie moderne est la période de la formation et de la reproduction d’un pattern institutionnel qui ne sort pas l’institution judiciaire de son archaïsme et de son retard. Dans une perspective néo-institutionnaliste, nous pouvons dire que l’institution judiciaire roumaine connaît deux points de bifurcation :l’instauration du communisme et sa chute en 1989. L’institution judiciaire a fait l’objet d’une longue série de réformes, plus ou moins ambitieuses, mais qui n’ont jamais été à la hauteur des attentes sociales ou politiques.
La deuxième série de conclusions se rapporte au rôle des élites politiques post-communistes, les principaux acteurs qui participent à la redéfinition du cadre institutionnel roumain. Après 1989, leur vision normative sur le rôle et le fonctionnement de l’institution judiciaire s’impose. En 1992, une large majorité politique soutient la reprise du modèle d’organisation judiciaire instauré lors de la création de la Roumanie moderne, modèle largement critiqué à l’époque pour l’étendue des prérogatives du pouvoir exécutif en matière d’administration de la justice. Malgré le fait que l’indépendance de la justice s’impose comme un thème central des répertoires critiques de la politique, malgré les recommandations formulées par les organisations internationales qui exigent une indépendance plus affirmée des juges, les partis politiques post-communistes procèdent tous à une consolidation des pouvoirs de l’exécutif sur l’institution judiciaire.
C’est à ce stade de la recherche que l’hypothèse relative au rôle de l’Union européenne est avancée et décortiquée. C’est ainsi qu’on découvre les points forts et les faiblesses de la conditionnalité européenne et des mécanismes d’européanisation. On observe que la conditionnalité ne peut pas être utilisée comme variable uniforme, que l’UE n’impose pas un modèle d’organisation de la justice et que la principale caractéristique de la conditionnalité en la matière est la fluidité. Son inconsistance s’explique par la diversité des modèles de justice existants dans les pays européens. Tous les systèmes manient les mêmes principes :efficacité, indépendance et responsabilité de la justice et tous les systèmes les abordent dans des termes similaires. Mais quand il s’agit de les interpréter et de les mettre en œuvre à travers des institutions et des pratiques concrètes, chaque pays produit un modèle différent. C’est ainsi que nous sommes arrivée à la conclusion que la conditionnalité informelle de l’UE est un construit politique et social.
Pour toutes ces raisons, une fois ces deux premières hypothèses testées, au lieu de terminer le travail, nous l’avons continué en rajoutant une nouvelle séquence analytique. Dans le processus étudié, à savoir l’élaboration des lois sur l’indépendance de la justice, le véritable législateur, « n’est pas le rédacteur de la loi », ni la Commission européenne, mais un ensemble d’acteurs « qui, dans des champs différents, élaborent des aspirations, les font accéder à l’état de problèmes sociaux, organisent les expressions et les pressions pour faire avancer » des normes et des valeurs par des algorithmes et des images. Des lors, une troisième hypothèse a été rajoutée pour étudier ce processus de décision politique comme le résultat d’une compétition entre des acteurs politiques et sociaux nationaux dans le processus de définition politique et sociale de la réalité sur laquelle le législateur roumain a dû intervenir.
Ce troisième niveau d’analyse nous amène aux résultats suivants. Dans les années 2000, la consolidation des garanties d’indépendance de la justice a suscité des passions politiques et médiatiques incontrôlables. Ce processus de décision politique a eu lieu dans une situation de crise. Et les récits (une série d’histoires causales) ont été le principal vecteur par lequel ils ont été diffusés. Un récit de délégitimation des institutions politiques et judiciaires a été forgé par les médias, par un nombre réduit de professionnels de droit et par des représentants de la société civile. Ces récits synthétisent « le paradigme de la dégradation », le « déficit de modernité » de la démocratie roumaine et les aspects défectueux de son fonctionnement. Les conditions de la démocratie roumaine sont difficiles mais leur interprétation et narration leur donne un élan décisif sur la critique radicale du système. Ces récits visent tant les institutions politiques que les institutions judiciaires. La classe politique roumaine est discréditée. Mais ces critiques n’ont en rien empêché ceux à qui elles étaient adressées de maintenir leurs positions dans les dispositifs du pouvoir. C’est dans ces conditions qu’on exige de doter la magistrature d’une capacité d’intervention dans l’espace politique pour sanctionner les illégalismes des classes dirigeantes et pour pouvoir « participer à la distribution des titres d’opprobre ou de légitimité sur le marché politique ». Mais la justice roumaine et les professionnels du droit ne bénéficient pas d’une attitude plus clémente. Selon les récits, tant les uns que les autres sont corrompus et ont fait partie des anciennes administrations coercitives du régime communiste. Quelle indépendance peut-on donner à ces juges dont on dit qu’ils ne sont « pas des anges », mais des anciens cadres de la Securitate ou des anciens tortionnaires ?
Dans ce contexte, l’indépendance de la justice est mise en avant comme la solution miracle pour résoudre un large éventail de problèmes de la société post-communiste, des problèmes du passé toujours présents ou des problèmes du présent provoqués par la transition vers la démocratie. La mission qu’on souhaite que l’institution judiciaire roumaine accomplisse est avant tout axiologique. Tant au milieu du 19ème siècle qu’après la chute du communisme, la justice est appelée à contribuer à la reconnaissance des valeurs sociales et à la séparation du « bon grain » de « l’ivraie ». En dépit de ses faiblesses et de ses propres difficultés, l’institution judiciaire est appelée à apaiser les tensions sociales et à restaurer au sein de la vie politique la moralité et la transparence. C’est dans ce contexte que des membres de ce corps professionnel parviennent à blanchir leur image en se représentant comme des victimes du pouvoir politique et de la hiérarchie interne de la magistrature.
Des communautés de politique publique se constituent qui dialoguent avec les représentants des institutions internationales, discutent des problèmes et réfléchissent à des solutions. A partir du moment où le gouvernement de Bucarest n’est plus crédible, les médias et les membres de ces communautés de politique publique deviennent de véritables interlocuteurs des organisations internationales. La crédibilité deviendra l’atout des magistrats, des journalistes et de tous ceux qui se sont autoproclamés les représentants de la société civile. Ces récits, qui parlent de la déroute d’un régime qualifié de démocratique et par lesquels on exige la moralisation de la vie publique, ont influencé la perception des élites politiques européennes lors de l’adhésion de la Roumanie à l’UE. Les acteurs politiques et sociaux roumains procèdent tous à la construction de la « vérité du moment » sur le fonctionnement de l’institution judiciaire, sur ses problèmes et ses besoins de réforme. Ils mobilisent des normes et des valeurs, des images et des causes qui jouent fort dans la définition d’un modèle institutionnel de consolidation des garanties d’indépendance de la justice. C’est par la multiplication de ces récits diffusés par des magistrats, des journalistes et des représentants de la société civile qu’on parvient à passer d’un système où la justice est soumise au pouvoir politique à une institution judiciaire qui, d’un point de vue institutionnel, vit dans « le paradis de la démocratie ».
Doctorat en Sciences politiques et sociales
info:eu-repo/semantics/nonPublished
Djerasimović, Sanja. "Formation of the civic education policy as a discursive project in post-2000 Serbia." Thesis, University of Oxford, 2014. http://ora.ox.ac.uk/objects/uuid:2a15894a-8189-44e5-a6b6-edcc14bf5c54.
Full textRunceanu, Camelia. "Les intellectuels et la recomposition de l'espace public roumain après 1989. Le cas du Groupe pour le Dialogue Social." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH211/document.
Full textThe purpose of this research is to account for some of the dominant features of the Romanian intellectual space in connection with the regime change that followed the collapse of state socialism. Transition to pluralism and representative democracy effected in different on the spheres of intellectual life, which echoed the transfiguration of the social order from a centralized and planned economy to new economic relations governed by the market. This research is focused on a group of intellectuals set up during the last days of December 1989 at the time of the political transformations triggered by the fall of the communist regime in Romania, and which avowed goal was to make sense of this dramatic change.The Group for Social Dialogue (GDS) has been the first such association to be established and remains the most influential and stable group of its kind. The group typically includes authors that acquired public recognition under the communist regime as well as young scientists that completed their academic and intellectual training in the last decade of state socialism. One of the reasons for their success was the cultural authority capitalized by the group’s weekly publication, 22, widely regarded as the most prominent intellectual outlets of post-communism. The regular contributors to the journal were instrumental in redefining a public space marked after 1989 by an increased interest for the political issues and politics. The distinctiveness and the sustainability of this venture were the cumulative result of the personal prestige abs cultural authority enjoyed by most of the members of the group either as well published and widely read authors of the communist period, or as former dissidents. This prestige and authority was gradually on other members, whose public career started after 1990. These types of notoriety, joined together, took many different forms of engagement, collective and individual, consecutive and simultaneous: texts published in the journal of the Group, public statements during various meetings with politicians, open letters, expertise provided to civic organizations or political structures, papers published in the specialised press, political essays and studies, participation in civic associations, political party enrolment. The personal notoriety gained by a considerable number of intellectuals of the GDS, the resilience of the Group, the circulation of its journal 22, sequential investments in politics, of the Group itself but also individually, conferred a significant amount of clout to its (re)presentations of politics at a time when the political realm was structured around the rejection of communism (the post-communist “anti-communism”), as opposed to the electoral and social influence exercised by former “communists”, especially by those members of the nomenklatura who succeeded to set the tone of post-communist politics. The Group included representatives of literary professions who achieved the recognition and have even become famous before 1989, but the GDS does not hesitate to integrate also journalists and lawyers who did not reach recognition as authors, artists or scientists. The research was by and large devoted to isolate and examine intellectual practices, especially discursive practices, in the analysis of scientific and journalistic texts, looking at ways and means deployed by intellectuals in order to occupy the public space. In a socio-historical approach and in a vision inspired nu the sociology of relations, this research was concerned with various forms taken by the politicisation within specific fields – militancy, entrance into politics, political mobilisation and demobilisation of the intellectuals –, and intellectual professions at the dawn of the democratic regime
BLOKKER, Paul. "Modernity and its varities : a historical sociological analysis of the Romanian modern experience." Doctoral thesis, 2004. http://hdl.handle.net/1814/5240.
Full textExamining Board: Prof. Peter Wagner (European University Institute)(Supervisor) ; Prof. Arfon Rees (European University Institute) ; Prof. Otto Holman (University of Amsterdam) ; Prof. Ken Jowitt (Stanford University/University of California)
First made available online 24 January 2017.
This study has a dual objective. On the one hand, it seeks to contribute to a more complex of understanding of modernisation and social change. In this respect, my casestudy of the Romanian experience with modernity might be of interest to scholars working in other fields, as the particularities of the Romanian case could have relevance for other Tater modernising countries’, i.e. those countries that did not take part in the emergence of Western modernity. On the other hand, the study attempts to contribute to a fuller understanding of the Romanian history of modernisation, in that it seeks to provide theoretically informed interpretations of its pattern of modernisation. It is claimed that particular experiences that are usually understood as non-modem should be interpreted as contributing to the overall modem experience in Romania. It should be noted that only in a more advanced stage of my research I was able to consult sources in the Romanian language, as I started out without any knowledge of Romanian. This also means that in some instances I have relied on translated sources.
Marques, II Israel. "Political Institutions and Preferences for Social Policy in the Post-communist World." Thesis, 2016. https://doi.org/10.7916/D8V987WG.
Full textGUGUSHVILI, Alexi. "Trends, covariates and consequences of intergenerational social mobility in post-socialist societies." Doctoral thesis, 2014. http://hdl.handle.net/1814/32131.
Full textExamining Board: Professor Fabrizio Bernardi, European University Institute (Co-Supervisor) Professor Martin Kohli, European University Institute/Bremen International Graduate School of Social Sciences (Supervisor) Professor Ellu Saar, Tallinn University Professor Martin K. Whyte, Harvard University.
This dissertation studies the trends, covariates and consequences of intergenerational social mobility in post-socialist societies. The existing literature does not provide an answer if crossnational differences in social mobility levels are determined by socialist legacies or by the divergent paths these countries followed in their transition from socialist to capitalist system. In addition to the industrialisation thesis and the role of income inequality, I study the implications of political democracy and economic liberalisation for intergenerational status reproduction. Individual-level consequences of mobility are explored using the socialpsychological concept of the self-serving bias in causal attribution, which implies that people are more likely to explain individual success as resulting from their own abilities and efforts. Market-based democratic systems, almost by definition, emphasise the importance of selfdetermination in shaping an individual's life chances. Thus, upwardly mobile groups are expected to show greater support of unequal reward distribution. The hypotheses are tested using multivariate and multilevel statistical methods based on data from the European Values Studies and Life in Transition Survey. Although I find evidence of the decisive role of social origin in predicting educational and occupational attainment, particularly during postsocialism, cross-country variation in intergenerational social mobility can largely be explained by the institutions that were in place immediately after the collapse of the Berlin Wall. The findings suggest that while strong, positive links exist between social mobility and democracy levels in Western Europe, the economic liberalisation that took place in the early 1990s is the strongest predictor of why some post-socialist states have higher social mobility rates than others; subjective perceptions of mobility have stronger implications on attitudes than the objective mobility experience; upwardly mobile individuals do in fact demonstrate more support for inequality, democracy and market economy, but the strength of these links is mediated by macro-contextual variables.
DIGOL, Diana. "Emerging Diplomatic Elites in Post-Communist Europe." Doctoral thesis, 2007. http://hdl.handle.net/1814/6941.
Full textExamining board: Prof. John Hemery (Centre for Political and Diplomatic Studies, Oxford) ; Prof. Jacek Wasilewski (Warsaw School of Social Psychology) ; Prof. Jaap Dronkers (European University Institute)(Supervisor)
The aim of this study is to explore the process of diplomatic elite transformation in the post-communist countries within the context of political elite transformation and to analyse whether the process of circulation or reproduction prevailed among the diplomatic elites during the first decade and a half after the change of the political regime (1989-2004). I focus upon the entry-level diplomats to a greater degree than in the older works on political elite and diplomacy. The key to capturing the process of circulation/ reproduction among diplomatic elites is through analysis of the general characteristics of diplomats as well as the system of personnel selection. I argue that a better understanding of the transformation processes could be achieved by looking at people at the entry level into political elite, i.e., by looking at newcomers. The thesis is further set out to show how the historical, political and cultural legacy of the past and geographical realities shaped the emerging diplomatic elites. The analysis presented in the thesis is based on a survey that I conducted. Several conclusions can be drawn from the analysis of diplomats in 27 countries. The composition of the emerging diplomatic elite across countries shows some striking similarities and some striking differences. The areas of important similarities are education, social origins and channels of recruitment. The differences mainly occur in age, gender, recruitment channels, previous professional experience, type of residence and additional jobs performed. Particularly illuminating in this respect is the division of respondents by geographical criterion into the CEE/FSU countries. A more meticulous analysis shows that the revolutionary political transformations were not followed by a revolutionary transformation of elites, or of diplomatic elites in particular. There was a modest degree of circulation from the lower classes into the elite role (in particular, into the diplomatic elite), but it did not transcend the socially desirable and socially stabilising moderate level. It was certainly not a revolutionary degree of circulation into the diplomatic elite. Nor was there a full-scale reproduction of elites.
KOSYAKOVA, Yuliya. "The regime change and social inequality : educational and job careers in the Soviet and post-Soviet Era." Doctoral thesis, 2016. http://hdl.handle.net/1814/41584.
Full textExamining Board: Professor Dr. rer. Pol. Dr. h.c. Hans-Peter Blossfeld, European University Institute; Professor Dr. Dmitry Kurakin, Higher School of Economics; Professor Dr. David Bills, University of Iowa, Professor Dr. Klarita Gërxhani, European University Institute.
The collapse of the Soviet Union and subsequent rapid shifts in economic, political, and social institutional arrangements – labeled here as a regime change – offer a unique opportunity to explore how patterns of social inequality vary across broader institutional contexts and over time. How the stratification order between different social groups has changed in the aftermath of the regime change in Russia is a central question I raise in this thesis. In contrast to prior research, I draw on a life-course perspective and address several rather untouched aspects of social inequalities in Soviet and post-Soviet societies and investigate them in terms of school-to-work and work-to-school transitions in the earlier and later life courses. Empirically, I employ powerful longitudinal data from the Education and Employment Survey for Russia (EES) linked to the Russian Gender and Generation Survey (GGS), which cover life trajectories in a time-frame between 1965 and 2005. Compared with previous studies, that data enable me to utilize a much larger observation window to scrutinize long-term consequence of the regime change in Russia. First, I tackle social inequality in terms of horizontal gender differences and vertical gender inequalities upon labor market entry. My findings reveal that despite proclaimed equality principles, the school-to-work transition was by no means gender-neutral in Soviet Russia, with women facing a net vertical disadvantage in job authority. This inequality has increased even more since the collapse of the Soviet Union, particularly due to worsening chances for female entrants. Second, I explore inequality of adult-educational opportunity due to initial educational level and occupational position. My results suggest that selective participation in adult education might lessen or exacerbate inequality of adult-educational opportunity depending on type of adult education and analyzed group of participants. Nonetheless, the collapse of the Soviet Union has contributed to inequality of adult-educational opportunity, thereby strengthening the exacerbation effects of adult education on social inequalities. Third, I investigate whether participation in adult education may improve career opportunities, thereby mitigating social inequalities that emerged in the earlier life course. My findings show that adult education either benefits all participants or those who are already advantaged. Overall, the results point to a mechanism of persistence or reinforcement of social inequalities. Furthermore, returns to adult education have decreased or been not offset since the collapse of the Soviet Union. Finally, throughout my thesis I put a particular focus on gender. Altogether, my findings unravel noteworthy gender inequalities arising in the initial career stages. These initial (dis-)advantages cumulate over men's and women's life courses, thereby contributing to overall social inequality in Russia, and specifically during the post- Soviet period. I conclude that the regime change was accompanied by a widening of preexisting social distances and an effective amplification of the Russian society's stratification order.
Books on the topic "Post-communism – Social aspects – Romania"
Hatos, Adrian. Participarea comunitara in Romania: Actiune colectiva urbana in postsocialism. Iasi: Institutul European, 2013.
Find full textCsergo, Zsuzsa. Talk of the nation: Language and conflict in Romania and Slovakia. Ithaca: Cornell University Press, 2007.
Find full textDavid, Berry. The Romanian mass media and cultural development. Aldershot, Hampshire, England: Ashgate, 2004.
Find full text1953-, Carey Henry F., ed. National reconciliation in Eastern Europe. Boulder: East European Monographs, 2003.
Find full textFosztó, László. Ritual revitalisation after socialism: Community, personhood, and conversion among Roma in a Transylvanian village. Münster: Lit, 2009.
Find full textBank, World, ed. Romania: Human resources and the transition to a market economy. Washington, D.C: World Bank, 1992.
Find full textDan, Dimancescu, and Costescu Manuel, eds. Romania redux: A view from Harvard. București: Humanitas, 2004.
Find full textPatterns of political elite recruitment in post-communist Romania. București: Ziua, 2004.
Find full textJ, Ray Larry, ed. Social theory, communism and beyond. Oxford: Blackwell, 2005.
Find full textLeaders and laggards: Governance, civicness and ethnicity in post-Communist Romania. Boulder [Colo.]: East European Monographs, 2003.
Find full textBook chapters on the topic "Post-communism – Social aspects – Romania"
Kurunczi, Gábor. "Electoral Systems." In Comparative Constitutionalism in Central Europe : Analysis on Certain Central and Eastern European Countries, 423–40. Central European Academic Publishing, 2022. http://dx.doi.org/10.54171/2022.lcslt.ccice_22.
Full textBucur, Maria. "Gender and Religiosity in Communist Romania: Continuity and Change." In Women and Religiosity in Orthodox Christianity, 155–75. Fordham University Press, 2021. http://dx.doi.org/10.5422/fordham/9780823298600.003.0007.
Full textSwift, Ellen. "Introduction." In Roman Artefacts and Society. Oxford University Press, 2017. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780198785262.003.0005.
Full textAlmagor, Laura. "Fitting the Zeitgeist." In Beyond Zion, 183–233. Liverpool University Press, 2022. http://dx.doi.org/10.3828/liverpool/9781789621259.003.0005.
Full textKaminer, Jenny. "Adolescence as Nightmare." In Haunted Dreams, 47–79. Cornell University Press, 2022. http://dx.doi.org/10.7591/cornell/9781501762192.003.0003.
Full textConference papers on the topic "Post-communism – Social aspects – Romania"
Sabo, Helena maria. "DEVELOPMENT OF ICT EDUCATION IN ROMANIA." In eLSE 2012. Editura Universitara, 2012. http://dx.doi.org/10.12753/2066-026x-12-136.
Full textPopa, Luminita. ""ELECTRONIC SHEET OF PRACTICE" USED IN ROMANIAN STUDENTS' INTERNSHIP ACTIVITIES." In eLSE 2017. Carol I National Defence University Publishing House, 2017. http://dx.doi.org/10.12753/2066-026x-17-072.
Full textBülbül, Seçil, and Serin Işiaçik. "The Traumatic Life Experiences and Ontological Well-Being: Insights from Narrative Psychology and Self-Memory Theory." In World Lumen Congress 2021, May 26-30, 2021, Iasi, Romania. LUMEN Publishing House, 2022. http://dx.doi.org/10.18662/wlc2021/11.
Full textLitoiu, Nicoleta, and Gabriela carmen Oproiu. "PROFESSIONAL COUNSELLING ACTIVITIES FOR DOCTORAL AND POST-DOCTORAL STUDENTS IN TECHNICAL UNIVERSITIES." In eLSE 2021. ADL Romania, 2021. http://dx.doi.org/10.12753/2066-026x-21-125.
Full textShabordina, Irina Vasilevna. "The Social and Value Aspect of the Influence of the Post-Soviet Competition Movement on the Preservation and Development of the Genre of Russian Romance." In All-Russian Scientific Conference with International Participation. Publishing house Sreda, 2020. http://dx.doi.org/10.31483/r-97459.
Full textShabordina, Irina Vasilevna. "The Social and Value Aspect of the Influence of the Post-Soviet Competition Movement on the Preservation and Development of the Genre of Russian Romance." In All-Russian Scientific Conference with International Participation. Publishing house Sreda, 2020. http://dx.doi.org/10.31483/r-97459.
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