Academic literature on the topic 'Politique de l'environnement – Téhéran (Iran)'

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Journal articles on the topic "Politique de l'environnement – Téhéran (Iran)":

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Mahdavi Zadeh, Mojgan. "La mise en scène des pièces de théâtre européennes par Ali Raffi en Iran et Circulation des savoirs entre la France et l’Iran." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 5 (February 13, 2020): 6–20. http://dx.doi.org/10.29173/af29394.

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Abstract:
Résumé Des traces de diverses cérémonies plutôt rituelles datant de l'Antiquité prouvent la fertilité de l'histoire du théâtre persan. Il y a eu même à cette époque des échanges culturels entre l'Orient et l'Occident. Au cours des siècles, les rites traditionnels ont cédé la place à des genres de théâtre populaire tels les farces, les comédies, les marionnettes, les imitations mimétiques, …etc. Puis, des conteurs se sont mis à réaliser les récits à épisodes basés sur des histoires épiques, de divers romans picaresques, des lamentations pour les Imams martyrisés, sur des places publiques ou dans des maisons de thé. Ce n'est qu'au XIXe siècle que le théâtre moderne d'inspiration occidentale a été créé par les témoignages des étudiants envoyés en Europe pour se spécialiser en diverses technologies occidentales. En 1886, une première salle de théâtre a été construite à l'École Polytechnique de Téhéran (Dâr Ol- Fonûn), où la traduction du Misanthrope de Molière, y a été mise en scène en 1889. Sous le règne des Pahlavis, fut créé un théâtre nationaliste, se référant au passé préislamique de l'Iran. Puis, vu que les iraniens diplômés en études théâtrales et cinématographiques des universités, des grandes écoles et des conservatoires européennes se sont mis à traduire les pièces de théâtre étrangères, les pièces ont pris un air socio-politique. Sous la Révolution islamique, le théâtre a vécu plusieurs périodes de détente et de tension. Et enfin, depuis 1997, une autorisation de la mise en scène des pièces de théâtre a été émise de nouveau. Ali Raffi, iranien contemporain, dont la dernière réalisation théâtrale à Téhéran date du mois de Janvier 2019, a su exposer l'essentiel de sa conception esthétique par le mépris total des conventions scéniques mises en pratique en Iran. L'esthétique de ses pièces a suscité des discussions sans nombre. Il a toujours privilégié la couleur, le mouvement et l'intuition. Il a eu une influence considérable sur la mentalité du peuple iranien par la mise en scène des pièces de théâtre françaises ou européennes traduites vers le français. Notre problématique consiste à mettre en évidence les échanges interculturels qui se sont effectués entre l'Iran et la France grâce à la mise en scène des pièces de théâtre européennes en Iran et de voir l'innovation créative et le rôle d'Ali Raffi dans l'enrichissement de ces transferts culturels et artistiques. Notre but est de mettre en relief la circulation des savoirs, issue de la mise en scène des pièces de théâtre françaises par les réalisateurs iraniens, en particulier par Ali Raffi en Iran, de démontrer l'omniprésence des grands auteurs dramatiques, tragiques et comiques français dans ce pays, et de dévoiler que les élites intellectuelles iraniennes vivent en symbiose permanente avec ces éminents auteurs français. Mots clés: Circulation des savoirs France-Iran, Échanges culturels, Mise en scène, Ali Raffi, Pièces de théâtre européennes, Francophonie, Conception esthétique
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Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux

Dissertations / Theses on the topic "Politique de l'environnement – Téhéran (Iran)":

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Deladerriere, Loup. "De la gouvernance de l'air aux transformations socio-urbaines à Téhéran et à Mexico." Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2024. http://www.theses.fr/2024EHES0018.

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Abstract:
Cette thèse propose d’interroger l’évolution de la gouvernance de l’environnement et des sociétés à partir de l’étude des politiques de lutte contre la pollution atmosphérique à Téhéran et à Mexico. Si la pollution de l’air représente un problème de santé publique majeur (4,2 millions de décès prématurés en 2019 selon l’OMS), son exposition et ses conséquences sont inégalement réparties. Au Mexique comme en Iran, l’institutionnalisation de ce problème sanitaire, environnemental, social et politique soulève de nombreux problèmes de gouvernance qui renouvellent les inégalités spatiales et socio-environnementales entre les centres et les périphéries. La mise en place de lois, normes, outils et restrictions transforment également l’urbain et questionnent l’évolution du Droit à la ville. Les enjeux environnementaux offrent enfin de nouveaux arguments aux autorités pour intervenir sur l’urbain et en reprendre le contrôle - ce qui soulève des résistances protéiformes. Les problématiques environnementales interrogent non seulement les questions d’égalité et de justice mais aussi de démocratie et de liberté
This thesis examines the evolution of environmental and social governance through the study of air pollution control policies in Tehran and Mexico City. While air pollution represents a major public health problem (4.2 million premature deaths in 2019 according to the WHO), its exposure and consequences are unevenly distributed. In Mexico, as in Iran, the institutionalization of this health, environmental, social and political problem raises numerous governance issues that renew spatial and socio-environmental inequalities between centers and peripheries. The implementation of laws, standards, tools and restrictions is also transforming the urban environment, and calling into question the evolution of the Right to the City. Finally, environmental issues offer new arguments for authorities to intervene in the urban environment and regain control of it - a move that raises protean resistance. It's not just a question of equality and justice, but also of democracy and freedom, that environmental issues seem to raise
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Saeidnia, Aurore. "« Faire avec » les contraintes : l'expérience du politique des conseillers de quartier de Téhéran." Paris, EHESS, 2016. http://www.theses.fr/2016EHES0113.

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Abstract:
Sans présumer en amont d'un « autoritarisme iranien », cette thèse étudie l'expérience du politique des conseillers de quartier de Téhéran à la lumière des processus de normalisation qui organisent en pratique leur participation à la vie publique locale. A partir d'une double enquête ethnographique et conceptuelle, l'analyse montre que les processus de dépolitisation observables n'indiquent pas la fin ou l'absence du politique. Au contraire, leur position hors de l'espace politique institué permet aux conseillers de s'assembler et d'affirmer publiquement leur capacité à parler et à agir. Plus précisément, les conseillers investissent la figure publique et dépolitisée du motamed, au carrefour des multiples registres de légitimation - religieux, révolutionnaires et civiques - de la République islamique, pour revendiquer un droit à parler, à critiquer et à être entendu. A la fois élus, bénévoles et bureaucrates, les conseillers se sont progressivement à définis comme des intermédiaires incontournables dans l'accès et la redistribution des ressources à l'échelle du quartier. En mettant en œuvre des politiques publiques municipales et nationales, ils jouent le rôle d'agents de contrôle social et de disciplinarisation des habitants mais aussi de représentants élus contestant la partition de l'espace social que ces politiques véhiculent. Cette analyse « par le bas » des pratiques de remise en question mais aussi de diffusion des logiques autoritaires éclaire plus largement les transformations et les conflits politiques et sociaux de la société iranienne contemporaine
This thesis studies how neighbourhood councillors in Tehran experience politics, in light of historically and socially built normative processes which organize and define their participation in local public life. Leaning on both an ethnographical and theoretical survey, the analysis shows that the processes of DE politicization do not indicate the end or the absence of politics. On the contrary, the position outside the political space allows the councillors to assert publicly their capacity to speak and to act. More precisely, they invest a public and depoliticized figure (the motamed) who is defined at the crossroads of the multiple registers of legitimization of the Islamic Republic - religious, revolutionary and civic - to claim the rights to speak, to criticize and to be heard. Simultaneously elected representatives, volunteers and bureaucrats, councillors are gradually defined as major intermediaries in the access and the redistribution of the resources at the neighbourhood level. By implementing municipal and national public policies, they act as social control agents of neighbourhood inhabitants, and local representatives who contest the partition of the social space these politics convey. This exploration "from below" of practices that question or reproduce authoritarian logics provides an overall analysis of political and social transformations of Iranian modern society
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Gharakhani, Ali. "L’ insertion du concept de développement durable dans les politiques urbaines à Téhéran." Paris 10, 2013. http://www.theses.fr/2013PA100062.

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Abstract:
Cette étude propose de revisiter les processus de l’application à Téhéran des politiques urbaines et leur fonctionnement dans la durabilité environnementale. En dépit de l’affichage clair de la volonté des autorités urbaines, exprimée à travers des organisations et des politiques locales et nationales, la plus grande ville de l’Iran n’est pas parvenue à un niveau souhaitable et reste toujours dans un état environnemental dégradé. La problématique transversale de cette recherche est de saisir pourquoi une telle situation prévaut dans la ville. À cette fin, cette thèse a couvert un champ assez large pour faire ressortir plusieurs facteurs tels que les paramètres historiques, géographiques, réglementaires et administratifs qui sembleraient être déterminants dans la mise en route du développement durable. Sur le plan méthodologique, la consultation et la saisie de nombreux documents urbanistiques et environnementaux et de rapports de diagnostics territoriaux, nous a permis de vérifier le bien-fondé des hypothèses de départ. Selon les résultats dégagés, la gestion urbaine à Téhéran subit des inconvénients comme la fragmentation politique, la multiplicité des acteurs et l’antinomie des réglementations, le tout faisant augmenter en intensité et en étendue les dégradations environnementales que l’on prétend corriger. Les caractéristiques géographiques spécifiques de la ville aggravent cet état alors que l’étouffante centralité politico-administrative et socioéconomique qui a dominé l’histoire de la capitale iranienne alourdit sans cesse le poids des aspects négatifs pour l’écologie de la ville. L’amélioration de cette situation réclamerait, conformément aux préceptes du développement durable, une gouvernance urbaine à l’échelle de la région métropolitaine téhéranaise en partenariat avec la société civile dont les ONG qui ne sont pas les bienvenues pour l’actuel gouvernement en exercice
This study proposes to revisit the application process of urban policies and their operation in environmental sustainability in Tehran. In spite of the clear willingness of the urban authorities, expressed through organizations and local and national policies, the largest city of Iran, was unable to a desirable level and remains still in degraded environmental conditions. Issues section of this research is to understand why such a situation prevails in the city. To this goal, this thesis covered a rather large field to bring out several factors such as historical, geographical, regulatory and administrative settings that seem to be critical in the implementation of sustainable development. On the methodological level, consultation and seizure of numerous documents urban and environmental and territorial diagnostic reports allowed to check the validity of the hypotheses. According to the results released, urban management in Tehran suffers disadvantages such as political fragmentation, multiplicity of actors and antinomy in the regulations, all increasing in intensity and extent of the environmental damage alleged to correct. Specific geographical features of the city exacerbate this state while stifling political-administrative and socio-economic centrality dominated the history of the Iranian capital increases constantly the measure of the negative aspects on the ecology of the city. Improving this situation would claim, in accordance with the precepts of sustainable development, urban governance across Tehran metropolitan area in partnership with civil society, including NGOs that are not welcome to the current government in office
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Yazdani, Amiri Mahmoud. "Eau et assainissement dans l'agglomération de Téhéran." Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1988PA040084.

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Abstract:
Située sur le piedmont aride de l'Alborz, la capitale de l’Iran a connu une croissance démographique et spatiale extrêmement rapide qui rend de plus en plus aigu le problème de l'approvisionnement en eau et de l'assainissement. Le système traditionnel d'alimentation par galeries drainantes souterraines a été remplacé par des dérivations apportant à Téhéran l'eau de trois rivières. Les eaux usées sont déversées dans des puisards et les eaux pluviales évacuées par un réseau de rigoles et de canaux. Ce système d'assainissement présente bien des inconvénients : inondations dans la ville et a l'aval, remontée de la nappe, risques de contamination. On cherche à intégrer les actions ponctuelles dans des schémas directeurs, mais ceux-ci resteront sans effet si la croissance urbaine n'est pas maitrisée
The rapid demographic and spatial growth of Tehran, located on the arid piedmont of the Alborz mountains, resulted in sharp difficulties in water supply and draining off. A system of three dams replaced the traditional supply by qanats. Wastewaters are poured into sumps while rain water flows down along a network of drains and channels. Master plans are being drawn in order to prevent drawbacks such as floods or rising of the watertable level, but they cannot reach any efficiency if the urban growth remains uncontrolled
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Dargahi, Malellou Esmaeil. "L’espace public à Téhéran : analyse comparée de trois quartiers (ancien, moderne et informel)." Thesis, Rennes 2, 2018. http://www.theses.fr/2018REN20013/document.

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Abstract:
La problématique qui guide cette recherche est la suivante : quelles sont les dimensions principales de l’espace public en Iran et quelles sont les variations de cet espace public entre des quartiers de types ancien, moderne et informel à Téhéran ? Afin de comparer les caractères des espaces publics, nous avons choisi les trois types de quartiers ancien (Bazar), moderne (Shahrak-e-Gharb) et informel (Khak Sefid) présents à Téhéran. L’examen selon la méthode présentée (documents, observations personnelles, questionnaires et interviews), nous a permis de conclure que les réponses obtenues à partir de ces travaux confirment que le quartier du Bazar se caractérise par d’importantes interactions sociales du fait de son rayonnement commercial et religieux, en dépit d’une structure vétuste. Le quartier moderne de Shahrak-e-Gharb assure une fonctionnalité propice à des espaces publics programmés, mais l’omniprésence de l’automobile et l’absence de fonctions supérieures y limitent les échanges à l’échelle du quartier. Enfin, malgré l’absence d’espaces aménagés, le quartier informel de Khak Sefid n’est pas dénué d’interactions sociales. Les enjeux d’aménagement des espaces publics différent donc nécessairement en fonction de leurs caractéristiques physiques, économiques et socio-culturelles propres que nous avons tenté de mettre en évidence dans cette thèse
The problematic that guides this research is as follows: what are the main dimensions of the public space in Iran and what are the variations of this public space between old, modern and informal neighborhoods in Tehran? In order to compare the characters of the public spaces, we chose the 3 types of old neighborhood (Bazar), modern (Shahrak-e-Gharb) and informal (Khak Sefid) present in Tehran. Examination according to the method presented (documents, personal observations, questionnaires and interviews), allowed us to conclude that the answers obtained from this work confirm that the Bazar district is characterized by important interactions, because of its commercial and religious influence, despite its antiquated structure. The modern district of Shahrak-e-Gharb provides functionality for planned public spaces, but the omnipresence of the automobile and the lack of superior functions limit the exchanges on a neighborhood scale. Finally, despite the lack of developed spaces, the informal Khak Sefid neighborhood is not devoid of social interaction. The challenges of planning public spaces therefore necessarily differ according to their specific physical, economic and socio-cultural characteristics that we have tried to highlight in this thesis
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Parsapajouh, Sepideh. "Humanisation de l’espace et solidarités dans deux quartiers populaires de Téhéran et de Paris." Thesis, Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100123.

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Abstract:
Basée sur la méthode d’observation ethnographique suivant une approche emic, cette étude a pour objet l’humanisation de l’espace et l’invention des formes de solidarité à travers les pratiques minimes de la vie quotidienne. Cette recherche a commencé sur le terrain d’Islamâbâd, un quartier auto-construit qui fut d’abord un bidonville, situé en banlieue de Téhéran, habité par une population précaire issue de l’exode rural. Une étude compréhensive a porté sur tous les aspects de la vie de ce quartier. Puis le parcours personnel de la chercheuse l’a conduite à un nouveau terrain, le quartier parisien de Saint Blaise, marqué par de grands ensembles de logements et une population, souvent immigrée, vivant des minimas sociaux. On s’est alors demandé ce qu’il en était de la solidarité et de l’appropriation de l’espace dans la capitale française d’aujourd’hui. Cette recherche a ainsi pris la forme d’une étude comparative des pratiques quotidiennes d’interaction dans deux systèmes étatiques et sociaux aussi différents que l’Iran et la France. Les résultats montrent que les usages de la solidarité, exemplairement la relation don/contre-don, et les efforts d’appropriation de l’espace, sont caractéristiques de ces deux sociétés, en dépit de toutes leurs différences sensibles
Based on the methods of ethnographic observation and according to an emic approach, this study is meant to understand the humanization of space and the invention of the forms of solidarity through the tiny practices of the everyday life. This research started on the field of Islamâbâd, a self constructed community which was initially a shantytown, located in suburbs of Teheran, inhabited by a precarious population resulting from the rural migration. This is a whole study related to all of the aspects of the life of this community. Then the personal experience of the researcher led her to a new field: the Parisian community of Saint Blaise, marked by great public and social housing with an often immigrant population living of the social minimums. One of the questions was about the signification of the solidarity and appropriation of space in the actual situation of French capital. This research thus took the form of a comparative study of the everyday practices of interaction in two official and social systems as different as Iran and France. The results show that the uses of solidarity, particularly the relation “don/contre-don”, and the efforts of appropriation of space, are characteristic of these two societies in spite of all their obvious differences
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Terrany, Bernard. "L'Iran dans cinq hebdomadaires français de la Révolution (1979) à nos jours." Thesis, Paris 2, 2012. http://www.theses.fr/2012PA020078/document.

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Abstract:
Le moins qu’on puisse dire est que l’Iran depuis la prise de pouvoir par les Ayatollahs en 1979 est un pays qui intéresse les hebdomadaires français et plus généralement les journalistes de notre pays. Une approche quantitative des articles consacrés à ce pays le prouve aisément. Mais il est particulièrement intéressant de constater que chacun des hebdomadaires français étudiés apporte une vision assez spécifique de ce qui caractérise l’Iran d’aujourd’hui. Toutefois, si la plupart des hebdomadaires sont d’accord pour reconnaître la complexité du problème iranien et de la société perse, "Valeurs Actuelles" par exemple va stigmatiser la barbarie du régime en place alors que"Courrier International", à l’inverse, va s’efforcer d’offrir un kaléidoscope d’opinions souvent contradictoires sur cette république islamique. De même, "Le Point" insiste sur la dangerosité de l’Iran d’aujourd’hui alors que "L’Express" met surtout l’accent sur les problèmes de nucléaire. "Marianne" pour sa part offre une étude équilibrée des problèmes tant internes qu’externes de l’Iran des Ayatollahs. En réalité, on peut constater un consensus des journalistes français spécialistes du monde persan sur le fait qu’en matière de politique intérieure, l’Iran ne cesse d’osciller entre démocratie et totalitarisme alors même que le pays semble avoir fait de la possession de l’arme nucléaire le futur point d’ancrage de sa politique extérieure à l’échelle internationale et de la sous-région
The least we can say is that Iran since the seizure of power by the Ayatollahs in 1979 is a country that interests French weekly magazines and journalists. A quantitative approach of the articles concerning this country proves this assertion easily. But it is particularly interesting to note that each of the French weekly magazines provides a fairly specific approach that characterizes today's Iran. Nevertheless most French magazines recognize the complexity of the problems of Iran and Persian society. However, Valeurs Actuelles stigmatizes the barbaric regime while Courrier International, conversely provides a kaleidoscope of rather conflicting opinions on this Islamic republic. Similarly, Le Point emphasizes the danger of Iran today while L'Express focuses primarily on nuclear issues. Marianne on the other hand offers a balanced study of both internal and external problems of this country ruled by Ayatollahs. In reality, there may be a consensus among French journalists who are specialists of the Persian world due to the fact that concerning its domestic policy Iran continues to oscillate between democracy and totalitarianism even though the country seems to consider the possession of nuclear weapons as the future anchor of its foreign policy and sub-regional diplomatic role

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