Academic literature on the topic 'Pointe d' (Vendée, France)'

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Journal articles on the topic "Pointe d' (Vendée, France)"

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Everett, M. E., C. J. Pierce, N. Save, R. R. Warden, D. B. Dickson, R. A. Burt, and J. C. Bradford. "Geophysical investigation of the June 6, 1944 D-Day invasion site at Pointe du Hoc, Normandy, France." Near Surface Geophysics 4, no. 5 (December 1, 2005): 289–304. http://dx.doi.org/10.3997/1873-0604.2005052.

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Mic, R., G. Galéa, and P. Javelle. "Modélisation régionale des débits de crue du bassin hydrographique du Cris : approche régionale classique et par modèles de référence." Revue des sciences de l'eau 15, no. 3 (April 12, 2005): 677–700. http://dx.doi.org/10.7202/705475ar.

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Abstract:
Une régionalisation débit-durée-fréquence des débits de crue est réalisée sur les sous bassins du Cris qui draine une superficie d'environ 14 300 km2 à l'ouest de la Roumanie. Cette régionalisation concerne 78 sous bassins dont les chroniques de débit quotidien et de pointe observées sont de trente ans en moyenne et pour lesquels nous disposons des pluies maximales de bassin de 1 jour à 10 jours calculées à partir de 92 postes pluviométriques. La régionalisation est menée selon deux approches : une approche régionale classique et une approche à partir de trois modèles adimensionnels de référence établis sur trois sites observés de France. La différence fondamentale entre les deux approches réside en ce que l'une prend en compte l'information spatiale pluie-débit inventoriée du Cris et que l'autre considère essentiellement l'information pluie-débit de chaque site de référence français. L'approche modèles de référence a pour base conceptuelle une typologie des crues qui pour un site cible est prédéfinie par un critère de choix, tandis que l'approche classique nécessite que soient définis des régions hydrologiques homogènes. Cette démarche est menée sur les trois sous bassins hydrographiques du Cris et permet d'étendre la région hydrologique homogène à l'ensemble du bassin du Cris. L'approche régionale comme l'approche modèles de référence privilégie la loi exponentielle adaptée aux valeurs supérieures à un seuil pour ce qui concerne les quantiles de crue de faible période de retour et pour des durées de 1j à 10j selon la dynamique de crue des sous bassins. Pour les quantiles de crue de grande période de retour les deux approches sous tendent le modèle du GRADEX, forme d'extrapolation des distributions observées par le gradex des pluies maximales. Quelle que soit l'approche de régionalisation, en tout site cible doivent être disponibles deux descripteurs de régime : le débit de pointe décennal Q10 et une durée caractéristique de crue D. Afin de comparer essentiellement l'incertitude des modélisations sur les quantiles de crue, D et Q10 sont connus et déduits des observations. Les résultats présentés montrent une bonne validité du modèle régional ajusté sur l'ensemble du Cris. Ceci indique que la zone étudiée est relativement bien homogène. Concernant les modèles de référence, leur critère de choix n'apparaît pas pertinent lorsqu'on s'intéresse aux faibles périodes de retour, mais se révèle significatif pour les fortes périodes de retour. Ce résultat est en grande partie dû à la méthode d'extrapolation appliquée. Celle ci est liée à la méthode du GRADEX et utilise l'information locale sur les gradex de pluie, comme cela est souvent le cas en France. Il est à noter que ces modèles de référence établis sur des chroniques de débit et pluie d'avant 1992 n'ont pas été réactualisés. L'exemple du bassin du Cris montre qu'ils n'en gardent pas moins un caractère opérationnel pour l'estimation des quantiles de crue de durée d (0 < d(j) < 10) et de période moyenne de retour T (5 < T(an) < 1000).
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Moussaoui, Abderrahmane. "Violence extrême." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.134.

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Abstract:
Même si la guerre, comme destruction de masse, a été très tôt au centre des intérêts de la discipline, l’anthropologie ne l’a jamais caractérisée comme une « violence extrême ». Ce qui pose d’emblée la question en termes autres que quantitatifs. L’extrême dans la violence n’est pas forcément dans l’importance du nombre de ses victimes. Il faut y ajouter d’autres dimensions comme l’inanité de l’acte, sa gratuité, son degré de cruauté et le non-respect des règles et normes partagées. Celles de la guerre, par exemple, imposent de ne s’attaquer qu’à l’ennemi armé et d’épargner les civils, de soigner le blessé etc. La violence extrême passe outre toutes ces normes et règles ; et s’exerce avec une cruauté démesurée. La première guerre mondiale constitue aux yeux des défenseurs de cette thèse, le moment inaugural dans le franchissement d’un tel seuil. Car, c’est dans cette guerre que fut utilisé pour la première fois le bombardement aérien, lié à l’ère industrielle, exterminant de nombreuses populations civiles non armées. Associée aux affrontements et insurrections débordant les cadres étatiques, l’expression peut désormais inclure également des faits commis dans le cadre des guerres conduites par des États. La violence extrême est une agression physique et une transgression outrancière d’une éthique partagée. Qu’elle s’exerce lors d’une guerre ou dans le cadre d’une institution (violence institutionnelle) elle est une violence extrême dès lors qu’elle use de moyens estimés inappropriés selon les codes communs et les sensibilités partagées. Les manières et les moyens d’agir doivent être proportionnels à l’objectif visé ; et toute outrance délégitime l’acte de violence, quand bien même celui-ci relèverait de « la violence légitime » monopole de l’Etat. Le qualificatif extrême vient donc spécifier un type de violence qui atteint ce point invisible ou imprévisible, en bafouant l’ordre éthique et conventionnel. Aller à l’extrême c’est aller au-delà du connu et de l’imaginable. La violence extrême est celle donc qui dépasse une limite se situant elle même au-delà des limites connues ou considérées comme impossibles à franchir. Elle renvoie à ce qui dépasse l’entendement par son ampleur ou par sa « gratuité » ; car, ce sont ses finalités qui rationalisent la guerre et toute autre forme de violence. Dépourvue de toute fonctionnalité, la violence extrême n’a d’autres buts qu’elle-même (Wolfgang Sofsky (1993). En d’autres termes, la violence extrême est ce qui oblitère le sens en rendant vaines (ou du moins imperceptibles) les logiques d’un acte jusque-là appréhendé en termes d’utilité, de fonctionnalité et d’efficacité. La violence est extrême quand elle parait démesurée par le nombre de ses victimes (génocide, nettoyage ethnique, meurtres et assassinat de masse) ; mais elle l’est d’autant plus, et le plus souvent, quand elle est accompagnée d’un traitement cruel, froid et gratuit : dépeçage, brûlure, énucléation, viols et mutilations sexuelles. Outrepassant l’habituel et l’admissible, par la démesure du nombre de ses victimes et le degré de cruauté dans l’exécution de l’acte, la violence extrême se situe dans un « au-delà », dont le seuil est une ligne mouvante et difficilement repérable. Son « objectivation » dépend à la fois du bourreau, de la victime et du témoin ; tous façonnés par des constructions culturelles informées par les contextes historiques et produisant des sensibilités et des « esthétiques de réception » subjectives et changeantes. La violence extrême est, nécessairement, d’abord une question de sensibilité. Or, celle-ci est non seulement une subjectivation mais aussi une construction historiquement déterminée. Pendant longtemps et jusqu’au siècle des lumières, le châtiment corporel fut, pour la justice, la norme dans toute l’Europe. Les organes fautifs des coupables sont maltraités publiquement. On exhibait les femmes adultères nues et on leur coupait les seins ; on coupait les langues des blasphémateurs et les mains des voleurs. Le bûcher était réservé aux sodomites, aux hérétiques et aux sorcières. On crevait les yeux (avec un tisonnier incandescent) du traître. Les voleurs de grands chemins subissaient le châtiment d’être rompus vifs. On écartelait et on démembrait le régicide. La foule se dépêchait pour assister à ces spectacles et à ceux des supplices de la roue, des pendaisons, de la décollation par le sabre etc. Placidement et consciencieusement, les bourreaux ont appliqué la « terreur du supplice » jusqu’au milieu du XVIIIe siècle (Meyran, 2006). Il a fallu attendre les lumières pour remplacer le corps violenté par le corps incarcéré. Aujourd’hui insupportables, aux yeux du citoyen occidental, certains de ces châtiments corporels administrés avec une violence extrême sont encore en usage dans d’autres sociétés. Après les massacres collectifs qui ont marqué la fin du XXe siècle, les travaux de Véronique Nahoum-Grappe portant sur le conflit de l’ex-Yougoslavie vont contribuer à relancer le débat sur la notion de « violence extrême » comme elle le rappellera plus tard : « Nous avions utilisé la notion de « violence extrême » à propos de la guerre en ex-Yougoslavie pour désigner « toutes les pratiques de cruauté « exagérée » exercées à l’encontre de civils et non de l’armée « ennemie », qui semblaient dépasser le simple but de vouloir s’emparer d’un territoire et d’un pouvoir. » (Nahoum-Grappe. 2002). Elle expliquera plus loin qu’après dix années de ces premières observations, ce qu’elle tentait de désigner, relève, en fait, d’une catégorie de crimes, graves, usant de cruauté dans l’application d’un programme de « purification ethnique ». Pourtant, quel que soit le critère invoqué, le phénomène n’est pas nouveau et loin d’être historiquement inédit. Si l’on reprend l’argument du nombre et de la gratuité de l’acte, le massacre n’est pas une invention du XXe s ; et ne dépend pas de la technologie contemporaine. On peut remonter assez loin et constater que dans ce domaine, l’homme a fait feu de tout bois, comme le montre El Kenz David dans ses travaux sur les guerres de religion (El Kenz 2010 & 2011). Parce que les sensibilités de l’époque admettaient ou toléraient certaines exactions, aux yeux des contemporains celles-ci ne relevaient pas de la violence extrême. Quant aux cruautés et autres exactions perpétrés à l’encontre des populations civiles, bien avant Auschwitz et l’ex-Yougoslavie, l’humanité en a souffert d’autres. Grâce aux travaux des historiens, certaines sont désormais relativement bien connues comme les atrocités commises lors des colonnes infernales dans la guerre de Vendée ou le massacre de May Lai dans la guerre du Vietnam. D’autres demeurent encore méconnues et insuffisamment étudiées. Les exactions menées lors des guerres coloniales et de conquêtes sont loin d’être toutes recensées. La mise à mort, en juin 1845, par « enfumade » de la tribu des Ouled Riah, dans le massif du Dahra en Algérie par le futur général Pélissier sont un exemple qui commence à peine à être porté à la connaissance en France comme en Algérie (Le Cour Grandmaison, 2005.). Qu’elle soit ethnique ou sociale, qu’elle soit qualifiée de purification ethnique ou d’entreprise génocidaire, cette extermination qui passe par des massacres de masse ne peut être qualifiée autrement que par violence extrême. Qu’elle s’exerce sur un individu ou contre un groupe, la violence extrême se caractérise presque toujours par un traitement cruel, le plus souvent pensé et administré avec une égale froideur ; une sorte d’« esthétisation de la cruauté ». Pour le dire avec les mots de Pierre Mannoni, la violence extrême use d’un certain « maniérisme de l'horreur », ou de ce qu’il appelle « une tératologie symbolique » (Mannoni ,2004, p. 82-83), c‘est à dire l’art de mettre en scène les monstruosités. Motivée par un danger ou une menace extrême justifiant, aux yeux du bourreau, une réponse extrême, cette violence extrême a pu s’exécuter par la machette (Rwanda) ou dans des chambres à gaz, comme par d’autres moyens et armes de destruction massive. C'est l'intégrité du corps social et sa pureté que le bourreau « croit » défendre en recourant à une exérèse… salvatrice. La cruauté fait partie de l’arsenal du combattant qui s’ingénie à inventer le scénario le plus cruel en profanant l’intime et le tabou. Françoise Sironi le montre à propos d’une des expressions de la violence extrême. L’efficacité destructrice de la torture est obtenue entre autres par la transgression de tabous culturels ; et par l’inversion qui rend perméable toutes les limites entre les dedans et les dehors. Réinjecter dans le corps ce qui est censé être expulsé (excréments, urine, vomissures) ; féminiser et exposer les parties intimes ou les pénétrer en dehors de la sphère intime, associer des parties démembrées d’un corps humain à celles d’un animal, sont autant de manières de faire violence extrême. Cette inversion transgressive use du corps de la victime pour terroriser le témoin et le survivant. Outrepassant l’habituel et l’attendu par la manière (égorgement, démembrement, énucléation, émasculation etc.,), les moyens (usage d’armes de destruction massive, d’armes nucléaires bactériologiques ou chimiques) et une certaine rationalité, la « violence extrême » est un dépassement d’horizon. L’acte par sa singularité suggère une sortie de l’humanité de son auteur désensibilisé, déshumanisé ; qui, par son forfait et dans le même mouvement, exclue sa victime de l’humanité. Pour Jacques Semelin, la violence extrême « est l’expression prototypique de la négation de toute humanité ; dans la mesure où ses victimes sont le plus souvent d’abord « animalisées » ou « chosifiées » avant d’être anéanties (Sémelin, 2002). Ajoutons qu’elle n’est pas qu’anéantissement, elle est aussi une affirmation démonstrative d’une surpuissance. Que ce soit par le nombre, la manière ou l’arbitraire, la violence extrême a ponctué l’histoire de l’humanité et continue à la hanter Parmi ses formes contemporaines, le terrorisme est une de ses manifestations les plus spectaculaires ; permettant de comprendre qu’elle est d’abord une théâtralisation. L’image de chaos que renvoient les attentats et autres exactions spectaculaires, est le résultat dument recherché à l’aide d’une organisation minutieuse et de stratégies affinées que cette image chaotique occulte souvent. Il s’agit d’une démarche rationnelle tendant à produire un acte apparemment irrationnel. Les massacres collectifs qui font partie de ce que Stéphane Leman-Langlois qualifie de « mégacrimes » (Leman-Langlois, 2006) constituent une autre forme contemporaine de cette violence extrême ; dont la Bosnie-Herzégovine et le Rwanda demeurent les exemples les plus dramatiques depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. En raison de leur ampleur et l’organisation méthodique de leur exécution, ces massacres ont été, à juste titre, souvent qualifié de génocide. C’est le professeur de droit américain d’origine polonaise, Raphael Lemkin qui donnera le nom de génocide à ce que, Winston Churchill, parlant du nazisme, qualifiait de « crime sans nom ». Au terme génocide devenu polémique et idéologique, sera préféré la notion de massacre que Semelin définit comme « forme d’action le plus souvent collective de destruction des non combattants » (Sémelin 2012, p. 21). Dans les faits, il s’agit de la même réalité ; sans être des entreprises génocidaires, ces massacres de masse ont visé l’« extermination » de groupes humains en vue de s’emparer de leur territoire au sens le plus large. La violence extrême agit à la fois sur l'émotionnel et sur l'imaginaire ; en franchissant le seuil du tolérable et de la sensibilité ordinairement admise dans le cadre de représentations sociales. Le caractère extrême de la violence se définit en fonction d’un imaginaire partagé ; qu’elle heurte en allant au-delà de ce qu'il peut concevoir ; et des limites de ce qu'il peut « souffrir ». Il s’agit d’une violence qui franchit le seuil du concevable et ouvre vers un horizon encore difficilement imaginable et donc insupportable parce que non maîtrisable. Qu’est-ce qui motive ce recours à l’extrême ? Nombre d’historiens se sont demandé si les logiques politiques suffisaient à les expliquer. Ne faudrait-il pas les inférer aux dimensions psychologiques ? Plusieurs approches mettent, quelquefois, en rapport violence extrême et ressorts émotionnels (peur, colère et haine et jouissance..). D’autres fois, ce sont les pulsions psychiques qui sont invoquées. Incapables d’expliquer de telles conduites par les logiques sociales ou politiques, ce sont les dimensions psychologiques qui finissent par être mises en avant. L’acte, par son caractère extrême serait à la recherche du plaisir et de la jouissance dans l’excès, devenant ainsi une fin en soi. Il peut également être une manière de tenter de compenser des manques en recherchant du sens dans le non-sens. Cela a pu être expliqué aussi comme une manière de demeurer du côté des hommes en animalisant ou en chosifiant la victime, en la faisant autre. L’auteur de la violence extrême procède à une négation de sa victime pour se (re) construire lui-même. Pure jouissance (Wolfgang Sofsky) délire (Yvon Le Bot, J Semelin) ou conduite fonctionnelle de reconstruction de soi (Primo Levi), sont les trois approches avancées pour expliquer la cruauté comme acte inadmissible et inconcevable (Wierworka, 2004 : p 268). Or, la violence extrême prend la forme d’une cruauté quand ses protagonistes redoublent d’ingéniosité pour inventer le scénario inédit le plus cruel. Car la violence extrême est d’abord un indéchiffrable insupportable qui se trouve par commodité rangé du côté de l’exceptionnalité. Parce qu’inintelligible, elle est inacceptable, elle est extra… ordinaire. Ses auteurs sont des barbares, des bêtes, des monstres ; autrement dit ; des inhumains parce qu’ils accomplissent ce que l’humain est incapable de concevoir. Dans quelle mesure, de telles approches ne sont-elles pas une manière de rassurer la société des humains qui exclue ces « monstres » exceptionnels seuls capables d’actes … inhumains ? Parce qu’inexplicables, ces violences sont quelquefois rangées dans le registre de la folie ; et qualifiées de « barbares » ou de « monstrueuses » ; des qualificatifs qui déshumanisent leurs auteurs et signalent l’impuissance du témoin à comprendre et à agir. En d’autres termes, tant que la violence relève de l’explicable (réciprocité, échange, mimétisme etc.), elle demeure humaine ; et devient extrême quand elle échappe à l‘entendement. Indicible parce qu’injustifiable, la violence extrême est inhumaine. Cependant, aussi inhumaine soit-elle d’un point de vue éthique, la violence extrême demeure du point de vue anthropologique, un acte terriblement humain ; et que l’homme accomplit toujours à partir de déterminants et selon un raisonnement humains. Comme le dit Semelin : « Les deux faces de la violence extrême, sa rationalité et sa démence, ne peuvent se penser l’une sans l’autre. Et rien ne sert de dénoncer la sauvagerie des tueurs en omettant de s’interroger sur leurs buts » (Semelin, 2000). L’auteur de l’acte de violence extrême s’érige en homme-dieu pour dénier toute humanité à la victime qu’il décide d’exclure de la vie, de la déshumaniser en l’expulsant vers l’infra humain.
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Dissertations / Theses on the topic "Pointe d' (Vendée, France)"

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Quiniou, Louis. "Les peuplements de poissons démersaux de la pointe de la Bretagne : Environnement, écologie, structure démographique, relations trophiques." Brest, 1986. http://www.theses.fr/1986BRES0005.

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Houssein, Abdi Yassin. "La côte continentale du Pertuis Breton, du début du XVIIIe siècle à la fin du Second Empire : évolution et aménagement du littoral depuis la Tranche-sur-Mer jusqu'au nord de La Rochelle." Electronic Thesis or Diss., La Rochelle, 2023. http://www.theses.fr/2023LAROS013.

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Abstract:
Entre le début du XVIIIe siècle et la fin du Second Empire, la côte continentale du Pertuis Breton connaît une évolution significative. Elle est constituée de trois paysages géomorphologiques singuliers, dynamiques et corrélés : un territoire marécageux, une zone dunaire et une côte à falaises. Ces milieux subissent des transformations naturelles lentes à l’origine de la constitution des flèches sableuses d’Arcay et de l’Aiguillon qui forment un grand cordon dunaire. Celui-ci est alimenté par un transport considérable des sables de l’ouest vers l’est par dérive littorale. Ces mouvements de sédiments sont soumis à l’influence d’agents hydrodynamiques. La remontée des eaux de l’océan entraîne le colmatage progressif du golfe des Pictons par des apports de sédiments d’origine fluvio-marine. Ce processus est à l’origine de la formation de l’anse de l’Aiguillon et du Marais poitevin. Ces milieux subissent également des transformations naturelles brutales dues à des phénomènes climatiques extrêmes. Cette étude met aussi en lumière la part de l’influence humaine dans l’évolution et la modification de leur trait de côte. Les aménagements sont particulièrement visibles dans le Marais poitevin. Entre le Moyen Âge et le XIXe siècle, ce territoire est l’enjeu d’une grande transformation qui modifie largement son écosystème. Cette zone humide est drainée par l’instauration de canaux, de digues et d’écluses. Grâce aux dessèchements réalisés par les sociétés des marais, l’agriculture et l’élevage connaissent un essor considérable et remplacent progressivement ces terres inondables réputées insalubres. Les marais connaissent alors un afflux de population. L'Etat est présent sur ce littoral par l’intermédiaire des Amirautés sous l’Ancien Régime ou de l’administration des Ponts et Chaussées au XIXe siècle
Between the beginning of the 18th century and the end of the Second Empire, the continental coast of the Pertuis Breton experienced a significant evolution. It is composed of three singular, dynamic and correlated geomorphological landscapes: a marshy area, a dune zone and a cliff coast. These environments underwent slow natural transformations which led to the creation of the sandy spits of Arcay and Aiguillon which form a large dune belt. The latter is fed by a considerable transport of sand from west to east by littoral drift. These sediment movements are subject to the influence of hydrodynamic agents. The rise in oceanic waters leads to the progressive clogging of the Gulf of the Pictons with sediment of fluvio marine origin. This process is at the origin of the formation of the Aiguillon Cove and the Poitevin Marsh. These environments also go through brutal natural transformations due to extreme climatic phenomena. This study also highlights the role of human influence in the evolution and modification of their coastline. Developments are particularly visible in the Marais Poitevin. Between the Middle Ages and the 19th century, this territory was the focus of a major transformation that greatly modified its ecosystem. This wetland was drained by the creation of canals, dykes and locks. Thanks to the draining carried out by the marsh companies, agriculture and livestock farming flourished and gradually replaced the flooded lands, which were considered unsanitary. The marshes then experienced an influx of people. The State is present on this coastline through the Admiralty under the Ancien Régime or the administration of the Ponts et Chaussées in the 19th century
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Evanno, Philippe. "La Terreur en Maine-et-Loire." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040090.

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Abstract:
Le sujet est envisagé d'abord dans sa genèse : qu'est-ce qui, dans les décisions des autorités locales (en liaison avec celles de l'Assemblée nationale) et, en particulier, celles du directoire du département, de juillet 1790 à mars 1793, peut expliquer l'insurrection contre la levée des 300 000 hommes ? Quel rôle jouent alors les représentants en mission et les nouvelles juridictions qu'ils créent : commissions militaires et comités révolutionnaires ? Quelle place reste-t-il, dans la gestion des affaires, aux autorités locales ? Ensuite, à partir d'un dépouillement exhaustif des archives des commissions militaires, il s'agit de savoir quelles sont, de mars 1793 à floréal an II (mai 1794), les victimes de la répression, leurs origines, notamment géographique et sociale, et leurs convictions ? Comment s'organise la répression, qui arrête, interroge, condamne et exécute ? Est-il possible d'établir un bilan de la Terreur en Maine-et-Loire ? Enfin, la Terreur surgit-elle de façon imprévisible dans le processus révolutionnaire ou bien est-elle présente, au moins en germe, dès la mise en place des nouvelles institutions ? S'agit-il d'un dérapage, ou de l'essence même du processus révolutionnaire ?
At first, the subject is considered in its origin : considering the decisions to be taken by local authorities (in connection with those of the national Assembly) and, in particular, those of the department directory, between july 1790 and march 1793, what can explain the rebellion against the call up of 300 000 men ? What rôle are then playing the missionned representatives and the new jurisdiction that they set up : military commissions and revolutionary committees ? Which place is then left to local authorities in managing affairs ? Next, from the exhaustive analysis of the miltary commissions archives, it remains to understand who are, between march 1793 to floreal of year II (may 1794), the victims of repression, their origin, geographical as well as social in particular, and their convictions ? How is repression organised, who is effecting arrests, procceding to interrogatories, passing sentences and carrying out executions ? Is it possible to evaluate the effects of Terror in Maine-et-Loire ? Last, does Terror come out unforseably in the revolutionnary process or is it present, at least as a germ, since the establishment of new institutions ? Is it a skid or the very spirit of the revolutionnary process ?
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Blanchet-Aurigny, Aline. "Les populations d'ophiures épigées Ophiothrix fragilis et Ophiocomina nigra à la pointe de Bretagne : évolution et écologie trophique." Phd thesis, Université de Bretagne occidentale - Brest, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00863260.

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Abstract:
L'évolution spatio-temporelle des populations d'Ophiocomina nigra et d'Ophiothrix fragilis (Ophiuridés, Echinodermes) a été étudiée dans deux écosystèmes contrastés de la pointe de Bretagne (France); la rade de Brest et la baie de Douarnenez. Entre la fin des années 80 et 2011, la population d'O. nigra s'est très largement étendue sur l'ensemble des zones d'études et a vu sa densité augmenter d'un facteur 5 en rade de Brest. Dans ce site, l'expansion d'O. nigra a généré de profonds changements qui se sont progressivement traduits entre autre par une exclusion spatiale d'O. fragilis du bassin central vers la partie sud de la zone d'étude où l'espèce colonise des coquilles vides de crépidules; Crepidula fornicata. L'expansion d'O. nigra a été mise en relation avec la combinaison de possible changements globaux du milieu et les traits biologiques de l'espèce. Les isotopes stables naturels (δ13C & δ15N) et les marqueurs d'acides gras ont été utilisés pour décrire l'écologie trophique des deux ophiures par un suivi in situ, sur des stations sélectionnées en raison de leurs situations contrastées (influence continentale vs influence océanique). Les facteurs de discrimination (∆δ13C et ∆δ15N) ont été calculés en expérimentation pour les deux espèces avec trois types de sources et ont montré principalement un effet de la qualité de la nourriture et de l'état reproducteur des espèces sur ces facteurs et des différences interspécifiques. Le suivi in situ a principalement révélé des différences interspécifiques dans l'alimentation des espèces. Le phytoplancton (diatomées) apparait en été comme une source majeure pour les deux espèces et plus importante pour O. fragilis. Des valeurs en δ15N plus élevées chez O. nigra par rapport à O. fragilis associées à une plus forte contribution de bactéries, de détritus et de matériel d'origine animal, indiquent que l'espèce exploite une grande diversité de sources de nourriture expliquant en partie son succès. Les macroalgues (Ulva sp) et les apports terrigènes semblent jouer un rôle trophique mineur pour les deux espèces, malgré une augmentation significative dans les sites plus confinés en fin d'étude.
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Udphuay, Suwimon. "3-D Electrical Resistivity Tomography for Cliff Stability Assessment at Pointe du Hoc in Normandy, France." 2008. http://hdl.handle.net/1969.1/ETD-TAMU-2008-12-155.

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Abstract:
Pointe du Hoc overlooking the English Channel in Normandy, France was host to one of the most important military engagements of World War II. While the site is a valuable historic cultural resource, it is vulnerable to cliff collapses that already have endangered the observation post and Rudder?s command post. The observation post has been closed to visitors for some time due to safety concerns. Geophysical techniques have been used increasingly in recent years for slope stability investigation purposes. The objective of this study is to apply advanced 3?D resistivity tomography toward a detailed site stability assessment with special attention to the two at-risk buildings. 3?D resistivity tomography datasets at Pointe du Hoc in the presence of extreme topography and dense cultural clutter have been successfully acquired, inverted, and interpreted. The cliff stability in the areas around the two at?risk buildings has been analyzed. A hazard assessment scheme has been designed in which regions of high resistivity are interpreted as zones of open, dry fractures with a moderate mass movement potential. Regions of low resistivity are zones of wet, clay?filled fractures with a high mass movement potential. The observation post tomography results indicate that the highest mass movement hazard appears to be associated with the marine caverns at the base of the cliff that are positioned at the point of strongest wave attack. These caverns likely occupy the future site of development of a sea arch which will definitely threaten the observation post building. A high probability of a soil wedge failure is on the east?facing cliff edge close to the observation post that could damage or destroy the building. The mass movement potential at the Rudder?s command post area is low to moderate. The greatest risk is associated with soil wedge failures at the top of the cliffs. The resistivity geophysical data add great value to the natural geohazard assessment at Pointe du Hoc and constitute an integral component of an interdisciplinary approach to the problem of cultural resource preservation at the site. Geophysics is a non?invasive and relatively inexpensive technology that provides unique constraints which are unobtainable using traditional engineering geology methods for site characterization. However, the technology is difficult to master and the inherent limitations must be carefully understood to ensure a reliable geotechnical interpretation.
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Books on the topic "Pointe d' (Vendée, France)"

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Zaloga, Steve. Rangers lead the way: Pointe-du-Hoc D-Day, 1944. Oxford: Osprey Pub., 2009.

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Zaloga, Steve. The most daring raid of World War II: D-Day--Pointe-du-Hoc. New York: Rosen Pub., 2011.

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Brinkley, Douglas. The boys of Pointe du Hoc: Ronald Reagan, D-Day and the U.S. Army 2nd Ranger Battalion. New York: W. Morrow, 2005.

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Ronald, Reagan, ed. The boys of Pointe du Hoc: Ronald Reagan, D-Day, and the U.S. Army 2nd Ranger Battalion. New York: W. Morrow, 2005.

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The Boys of Pointe du Hoc: Ronald Reagan, D-Day, and the U.S. Army 2nd Ranger Battalion. Harper Perennial, 2006.

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Brinkley, Douglas. The Boys of Pointe du Hoc: Ronald Reagan, D-Day, and the U.S. Army 2nd Ranger Battalion. Harper Perennial, 2006.

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Book chapters on the topic "Pointe d' (Vendée, France)"

1

Rowe, M. W. "D-Day and the Battle of Normandy." In J. L. Austin, 318–39. Oxford University PressOxford, 2023. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780198707585.003.0019.

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Abstract:
Abstract The plan of Operation Overlord and the events of D-Day itself are outlined. Two official reports singled out the remarkable accuracy of Intelligence supplied by Austin’s section [TIS] as one of the primary factors in D-Day’s success. Four aspects of the assault where TIS’s information played a crucial role are examined, but the bulk of the chapter looks at some of the few places where TIS’s Intelligence was incorrect: the Merville, Crisbecq, and Pointe du Hoc batteries, and, most importantly, Omaha beach. The grinding battle of Normandy and the eventual American breakout are described. Austin remained in England for most of this period, and the chapter examines his experience of V1 strikes, and his section’s move first to Portsmouth, and then to Granville, France.
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Conference papers on the topic "Pointe d' (Vendée, France)"

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Everett, Mark E., Carl J. Pierce, Robert R. Warden, Suwimon Udphuay, Dax C. Soule, Jean-Louis Briaud, and Richard A. Burt. "Cliff Stability Assessment Using Electrical Resistivity Tomography at the Historic WWII D-Day Invasion Site, Pointe du Hoc, France." In Geo-Denver 2007. Reston, VA: American Society of Civil Engineers, 2007. http://dx.doi.org/10.1061/40908(227)1.

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2

MIRANDA SANTOS, MARTA, Alison HILTON, Philippe Poullain, Erwan HAMARD, and Corentin Mouraud. "Rediscovered earth heritage becomes motor for local change - The Guérande Peninsula (France)." In HERITAGE2022 International Conference on Vernacular Heritage: Culture, People and Sustainability. Valencia: Universitat Politècnica de València, 2022. http://dx.doi.org/10.4995/heritage2022.2022.15287.

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Abstract:
In the northwest of France, raw earth has been broadly used, especially in Brittany where cob dwellings have been built since the sixteenth century. Today, cob buildings represent 20 % of the built heritage on this territory (Bardel P., Maillard J-L. 2009). The cob technique is also found in the Vendée marshes, where squat dwellings (“bourrines”), dating back to the fourteenth century, bear witness to the use of local, natural resources (Patte E., Streiff F. 2006; Bonnet S., Alzeort D, Poullain P. 2021). Between these two well-documented earth-building territories lies the Guérande Peninsula where earthen heritage, until recently little-known and neglected, has become the object of study.As a result of several inventories undertaken by earth-building professionals, a part of this heritage has been recorded and mapped (Hilton A. 2016; Miranda Santos M. 2016; Humblot D., Josset F., Marquis B. 2018). Two main research methods have been used: · a general audit of the specific areas of the peninsula where earth buildings exist,· a targeted audit of certain villages and their buildings.This latter entailed a comparison of historical maps with current cadastral maps, followed up by on-site verification.Following this inventory work, a sense of the nature and extent of local earthen heritage is beginning to emerge, feeding synergies with renewed local interest in earth construction. The Maison Neuve eco-district in Guérande presents a clear example of this: its objective is to reuse several thousand tonnes of its own site-excavated earth in earth-building projects over the next 5 years. The results of the inventory work helped this local project to understand the nature of the earth available and the different relevant earth-building techniques. The inventory work has also fed into local educational and awareness-raising activities to raise awareness of local earth-built heritage and disseminate best practice in the renovation of earthen walls
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