Academic literature on the topic 'Plus longues sous-Suites croissantes'

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Journal articles on the topic "Plus longues sous-Suites croissantes"

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Nicolini, Eric. "Nouvelles observations sur la morphologie des unités de croissance du hêtre (Fagus sylvatica L.). Symétrie des pousses, reflet de la vigueur des arbres." Canadian Journal of Botany 78, no. 1 (March 7, 2000): 77–87. http://dx.doi.org/10.1139/b99-162.

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Abstract:
Le hêtre a une croissance rythmique où chaque pousse annuelle est constituée d'une unité de croissance (u.c.) printanière parfois suivie, quelques semaines plus tard, d'une unité de croissance estivale. L'u.c. printanière présente une disposition foliaire alterne distique, tandis que l'u.c. estivale, selon certains auteurs, a une disposition foliaire alterne spiralée. Au terme d'observations morphologiques et histologiques de bourgeons formés à différentes périodes de l'année, il s'avère que la disposition foliaire du hêtre n'évolue pas d'un type d'u.c. à l'autre : les ébauches foliaires sont toujours disposées suivant deux droites parallèles, rapprochées sur un côté de la tige selon une disposition « plagiotrope distique ». La symétrie axiale d'une u.c. peut toutefois se modifier au cours de son allongement et évoluer d'une symétrie bilatérale vers une symétrie radiale secondaire. Cette évolution est le résultat d'une réorientation des nœuds par torsion des entre-nœuds, les plus grands déplacements d'organe foliaire étant réalisés par les u.c. les plus longues au niveau de leurs entre-nœuds les plus longs. Il est possible de rattacher degré de développement des u.c. et architecture des arbres. Les arbres les moins vigoureux (très jeunes ou situés sous couvert forestier dense) ont un axe principal plus ou moins incliné, constitué d'u.c. peu développées dont la symétrie est bilatérale; l'axe principal est plagiotrope et porte un houppier plan. En revanche, les arbres les plus vigoureux (adultes ou en situations forestières favorables) ont un axe principal vertical, constitué d'u.c. relativement longues et de symétrie radiale; l'axe principal est orthotrope et porte un houppier bien réparti tout autour de lui.Mots clés : morphologie, Fagus, vigueur, disposition foliaire, architecture.
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2

Di Costanzo, Hadrien. "Probabilités d’occurrence des séquences sèches les plus longues sur le bassin versant du Gardon (sud-est de la France) – Quels impacts de la définition du jour sec sur les distributions statistiques des séquences sèches les plus longues en climat méditerranéen ?" Climatologie 18 (2021): 6. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202118006.

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Abstract:
En climat méditerranéen, l’évapotranspiration potentielle est forte, en particulier durant la saison estivale. Elle coïncide avec une période de faible pluviosité. Si celle-ci perdure durant des phases de forte évapotranspiration, elle peut avoir de graves conséquences sur les activités agricoles très consommatrices en eau pendant leur période de croissance. Une étude de la sécheresse atmosphérique dans le secteur du Gardon est réalisée à partir de l’indicateur des séquences sèches. Premièrement, une étude historique permet d’identifier les grands évènements de sécheresse dans le bassin du Gardon entre 1900 et 2019. Puis une analyse sur l’effet du seuil de pluie pour caractériser les précipitations utiles est proposée. Différentes définitions du jour sec sont testées pour calculer les séquences sèches entre 2000 et 2019. L’utilisation d’un seuil d’évapotranspiration réelle ou d’évapotranspiration potentielle, par rapport à un seuil de 1 mm, modifie à probabilité d’occurrence égale la saisonnalité et la géographie de l’intensité des séquences sèches. Les seuils d’évapotranspiration réelle et d’évapotranspiration potentielle produisent des évènements plus intenses qu’un seuil de 1 mm. L’intensité des séquences sèches est sous-estimée avec un seuil de 1 mm pour les évènements des mois de printemps mais surtout pour ceux de début d’été. Sont identifiés à risque, quel que soit le seuil retenu, les secteurs du sous-bassin de la Salindrenque et la partie la plus aval du bassin du Gardon. Elles sont touchées à probabilité d’occurrence égale par des intensités plus importantes pour les évènements de moyenne et de forte intensité que le reste du bassin. La comparaison des distributions statistiques en fonction du seuil retenu montre que, à défaut d’avoir une valeur d’évapotranspiration réelle pour déterminer les précipitations utiles, le seuil 1 mm reste plus pertinent qu’un seuil d’évapotranspiration potentiel.
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DRONNE, Yves. "Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : le monde." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 165–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.0.31.0.2345.

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Abstract:
Les produits agricoles cultivés et utilisés dans le monde servent traditionnellement à nourrir les Hommes et les animaux et aussi à certains usages non-alimentaires. Compte tenu de l’importance du débat sur la complémentarité et/ou la concurrence entre l’Homme et l’animal et de l’importance de celles-ci en nutrition humaine et animale, les tonnages de tous les produits végétaux et animaux qui ont des compositions extrêmement diverses ont été exprimés en protéines brutes. Cet article analyse successivement la production mondiale de protéines végétales, la répartition de leurs utilisations sous forme de produits non transformés et de produits et coproduits issus des industries agricoles et alimentaires, la répartition des consommations par grandes espèces animales, les évolutions structurelles en termes de consommation humaine et animale, le poids croissant du « système maïs/soja », les aspects de concurrence et/ou de complémentarité entre usages humains et animaux et enfin les aspects liés à l’instabilité croissante des prix du soja et du maïs et les systèmes de régulation de ces marchés. La production mondiale de protéines végétales (environ 800 millions de tonnes (mt)) est utilisée pour environ 630 millions par l’alimentation animale (400 de fourrages, 230 de concentrés, produits utilisés en l’état comme les céréales, et surtout coproduits des industries agricoles et alimentaires comme les tourteaux, dont plus de 80 pour le seul soja) et permet la production d’environ 68 millions de tonnes de protéines animales. L’industrie des aliments composés a connu un développement considérable depuis trente ans et apporte actuellement les deux tiers des protéines de concentrés utilisés par l’ensemble des animaux, mais seulement 18 % du total fourrages inclus. Au cours des dernières décennies un modèle d’alimentation animale maïs/soja s’est fortement développé dans le monde, mais à un moindre degré en Europe. Les prix de la graine et du tourteau de soja comme ceux des autres grands produits agricoles tels que les céréales ont fortement augmenté par paliers au cours des dernières décennies et font preuve d’instabilité croissante, mais le rapport de prix soja/maïs est resté sur longue période très stable ce qui tend à contredire l’idée d’une pénurie croissante sur le marché des protéines.
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Secondary Forests in Equatorial Africa Côte d’Ivoire - Cameroon - F. E. A." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31241.

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Abstract:
La « brousse secondaire » s’oppose à la « forêt primaire », forêt « noble » aux grands arbres. C’est une forêt exubérante, inextricable, avec plus de lianes et de petits bois que d’arbres, succédant à l’agricul- ture sur brûlis. Dans les régions habitées, elle entoure communément les villages et borde les routes, la forêt primaire étant reléguée aux collines rocheuses et maré- cages. En Afrique équatoriale, la « brousse secondaire » représente actuellement 50 à 75 % des surfaces forestières. La forma- tion des brousses secondaires procède en trois phases : (i) l’apparition de semis d’es- pèces héliophiles (Musanga sp., Vernonia sp., Anthocleista sp.) à croissance rapide, qui diffèrent des espèces de « forêt pri- maire » et dont les graines sont dispersées sur de longues distances ; (ii) la formation d’un sous-bois, constitué cette fois des mêmes espèces arbustives qu’en « forêt primaire », et où se mêle un second groupe d’espèces héliophiles banales, caractéris- tiques de la « brousse secondaire » et rat- trapant le précédent, voire le surcimant ;(iii) la lente reconstitution de la « forêt primaire », riche en sapotacées, guttifères et légumineuses au bois dur, capables de se régénérer dans les sous-bois, et parmi lesquelles de très grands arbres finissent par percer la voûte des cimes. L’okoumé (Aucoumea klaineana), essence précieuse typique des « brousses secondaires », est ainsi fréquent dans les prétendues « forêts primaires » du Gabon, forêts qui ont été en réalité autrefois défrichées. On ne saurait admettre aujourd’hui que le fort potentiel des « brousses secondaires » soit inva- riablement réduit en cendres. Il faut au contraire apprendre à guider et hâter leur évolution en faveur d’espaces à haute va- leur économique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Valin, Roch. "Centenaire D’Une Naissance." Historiographia Linguistica 12, no. 1-2 (January 1, 1985): 85–104. http://dx.doi.org/10.1075/hl.12.1-2.05val.

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Abstract:
Résumé Mettant tous ses soins à ne pas séparer l’homme de l’oeuvre et à suivre rigoureusement l’ordre chronologique des événements, l’auteur de l’article se propose de satisfaire au moins partiellement la curiosité croissante qu’a suscitée, au cours des deux dernières décennies, la vie de ce linguiste pas tout à fait comme les autres qu’a été Gustave Guillaume. Il a pu s’aider dans son travail, pour préciser certains faits et certaines dates, de l’essai inédit de biographie entrepris en 1980, comme mémoire de licence à la Vrije Universiteit Brussel, par Karine Vitrier, sous la direction de Marc Wilmet, auteur de Gustave Guillaume et son école linguistique (1978). Il a aussi tiré parti de la documentation rassemblée au Fonds Gustave Guillaume de l’Université Laval, à quoi il n’a pas hésité à joindre, comme sources, les souvenirs accumulés au cours d’une longue intimité avec le savant et son entourage immédiat, au cours des dix dernières années de sa vie. Ce qui est ici proposé au lecteur n’est en quelque sorte – plus n’étant pas pour l’instant possible – que l’embryon à partir duquel une vraie biographie pourra un jour s’écrire. En attendant mieux, on trouvera dans ces pages un éclairage un peu intimiste sur l’homme, dont on espère qu’il permettra une lecture moins désincarnée d’une oeuvre par maints côtés abrupte, difficile et austère.
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CHATELLIER, Vincent. "La dépendance de l’Afrique de l’Ouest aux importations de produits laitiers." INRAE Productions Animales 33, no. 2 (September 15, 2020): 125–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.2.4027.

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Abstract:
Le secteur laitier mondial connaît un développement soutenu en raison de l’augmentation des besoins en produits laitiers d’une population en croissance et d’un changement progressif des régimes alimentaires. Cet article s’intéresse à la place des pays de l’Afrique de l’Ouest dans la « planète laitière ». L’analyse mobilise pour ce faire, d’une part, les données statistiques de la FAO sur une longue période (1961 à 2017) et, d’autre part, les statistiques des douanes de 2000 à 2018 pour les données mondiales (base de données « BACI ») et de 2000 à 2019 pour les données européennes (base de données « COMEXT »). Si la consommation de produits laitiers par habitant et par an est encore faible dans de nombreux pays de l’Afrique de l’Ouest, comparativement aux pays industrialisés, les besoins globaux en produits laitiers augmentent rapidement sous l’effet de la croissance démographique. En raison de nombreuses difficultés (climat, qualité des sols, faible productivité des animaux, manque d’investissement...), le développement de la production laitière en Afrique de l’Ouest (5,8 milliards de litres en 2017 pour seize pays, soit l’équivalent de la production de la Bretagne) n’est pas suffisant pour faire face aux besoins locaux. Les importations de cette zone en produits laitiers se font pour un peu plus des deux tiers en provenance de l’UE, dont les exportations ont fortement augmenté depuis une dizaine d’années (fin des quotas de production). Ces importations concernent à 40 % des mélanges de lait écrémé et de matière grasse végétale en poudre (à base d’huile de palme), un produit qui bénéficie d’un prix compétitif et qui n’est que très faiblement taxé à l’entrée dans les pays de l’Afrique de l’Ouest.
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Temgoua, Lucie Félicité, Raphaël Njoukam, and Régis Peltier. "Plantations ingénieuses de bois d'oeuvre par les paysans de l'Ouest-Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 63. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20467.

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Abstract:
Les services de développement impliqués en sylviculture paysanne adoptent souvent des paradigmes tels que : " la plupart des paysans n'envisagent que des productions à court terme, leurs systèmes traditionnels agroforestiers sont immuables ou en voie d'abandon et il n'est possible que de leur proposer des techniques bien rodées, simples et normalisées incluant la plantation d'espèces exotiques à croissance rapide pour la production de bois de service ". En fait, l'étude des pratiques sylvicoles dans l'Ouest Cameroun montre qu'il existe une grande diversité de comportements vis-àvis de l'arbre et que des paysans-sylviculteurs font preuve d'ingéniosité pour adapter les systèmes traditionnels et aussi pour intégrer des technologies extérieures selon leurs besoins. Pour les plantations d'eucalyptus, ils ont su intégrer les techniques utilisées par les services de développement rural et de recherche, en innovant en ce qui concerne la production de plants, le semis direct, l'association avec des cultures, la coupe en taillis ou la diversité des produits. Quant aux boisements de pins, encouragés par l'État et les projets, peu de plantations paysannes ont été réalisées, faute de débouchés ou d'utilisations pratiques des produits. Pour ce qui est du système traditionnel de bocage, les espèces n'ayant plus d'usage courant sont éliminées au profit de nouvelles espèces qui sont choisies en fonction des besoins familiaux ou locaux et des opportunités du marché. En outre, il est surprenant de constater que, contrairement aux projets étatiques, certains paysans plantent dans leurs haies des espèces de forêt naturelle productrices de bois d'oeuvre à longue révolution, tels que le kosipo, Entandrophragma candollei. Par ailleurs, les boisements d'État ou communaux brûlent dans une indifférence quasi générale, malgré les efforts des gestionnaires soulevant la question de savoir si les crédits d'aide au reboisement public ne seraient pas mieux utilisés sous forme d'aide au reboisement privé. (Résumé d'auteur)
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Bourassa, Guy. "La connaissance politique de Montréal : bilan et perspective." Articles 6, no. 2 (April 12, 2005): 163–79. http://dx.doi.org/10.7202/055265ar.

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Abstract:
C'est par un curieux paradoxe que l'un des secteurs les plus importants de la vie politique, du moins dans la société américaine, a été presque entièrement négligé par les chercheurs jusqu'à une époque toute récente. Il y a à peine sept ans qu'un politicologue faisait paraître, dans l 'American Political Science Review, un article intitulé « The Lost World of Municipal Government ». Une fausse et tenace division du travail n'avait voulu voir jusque-là dans le gouvernement municipal, fût-il aussi vaste que celui de New-York, qu'une entité administrative, la véritable politique se jouant à un niveau supérieur. Ainsi, pendant de longues années, les chercheurs se sont-ils satisfaits d'étudier l'aspect administratif, dans une perspective d'ailleurs nettement orientée vers une réforme visant surtout à introduire une certaine éthique dans des comportements politiques où, jusque-là, le boss symbolisait tout un système. Au mieux, tous ces travaux aboutirent à considérer la vie d'une grande ville de la même manière que celle d'une entreprise et à lui appliquer les mêmes critères d'économie et d'efficacité. C'est en ce sens que l'on peut qualifier de sous-développée cette importante partie de la recherche politique. Des caractéristiques fondamentales de la vie urbaine, telles la définition de la démocratie à ce niveau, la formation d'une communauté, l'activité des groupes d'intérêt, bref, ce qui constitue l'essentiel du phénomène politique : les relations de pouvoir et d'influence, n'a presque pas été abordé. Pourtant, la science politique progressait et déplaçait son centre d'intérêt de la seule étude des institutions politiques vers l'examen du comportement et de la structure d'autorité à tous les niveaux : dans un parti politique, au sein d'un comité ministériel, dans un puissant groupe d'intérêt. En même temps, la rapide croissance des milieux urbains interdisait de ne pas tenir compte de la complexité du problème. La nécessité, une fois de plus, allait susciter des travaux importants : le problème de la banlieue, la faiblesse du vote dans les grandes villes, l'unification des structures municipales dans un ensemble métropolitain, pour ne citer que ces trois questions, furent à l'origine de recherches qui représentent maintenant des étapes majeures dans le progrès de la science politique et même, de la façon la plus large, vers l'élaboration d'une théorie politique générale. On assiste donc depuis quelques années à une véritable explosion dans ce domaine. Floyd Hunter a ouvert la voie en 1953, mais c'est depuis cinq ans surtout que les travaux se sont multipliés, à tel point que ce secteur est aujourd'hui devenu, sans aucun doute, l'un des principaux champs de la science politique. Un peu partout, d'importants projets de recherche sont mis en œuvre aux États-Unis : à Chicago, à New-York, à Saint-Louis, à New-Haven, et chaque trimestre apporte sa moisson d'articles sur la vie politique, entendue cette fois au sens le plus large, des grandes villes. Comment, par rapport à cette évolution, se situe l'étude politique de Montréal ? La première impression, et elle s'avère malheureusement trop juste, indique que le retard est ici considérable. L'importante bibliographie publiée en 1961 sur les « Matériaux pour une sociologie politique du Canada français » ne mentionne qu'une étude proprement académique sur le Montréal politique. Pourtant, dans certains secteurs, divers travaux ont été entrepris et menés à bonne fin. Il y a donc lieu d'établir le bilan de la recherche réalisée jusqu'ici pour mieux faire ressortir tout ce qui a été laissé de côté. Après avoir identifié les tâches à entreprendre, nous serons amenés à proposer, en nous appuyant sur l'importante contribution américaine, les éléments d'un plan général de recherches sur la vie politique montréalaise.
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Dion, Léon. "La polarité des idéologies : conservatisme et progressisme." II. Le pouvoir politique 7, no. 1-2 (April 12, 2005): 23–35. http://dx.doi.org/10.7202/055295ar.

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Abstract:
Il y a moins de dix ans, les intellectuels étaient d'avis que la société québécoise était parvenue à un moment critique de son existence. Nombre d'entre eux se groupaient dans le Rassemblement des forces démocratiques. Leur diagnostic était des plus déprimants : (( stérilité » de l'esprit, « monolithisme » de la pensée, « omniprésence » de la droite, bref, le corps social tout entier, selon eux, était menacé de mort. Aujourd'hui, cependant, les intellectuels définissent la situation d'une manière bien différente : ils parlent généralement de « dynamisme », de « croissance » et de « révolution ». Comment expliquer cette étonnante volte-face des états d'esprit en si peu de temps ? L'observation un peu attentive des faits nous amène à conclure que les conditions sociales, bien qu'elles aient évolué dans ce court intervalle, ne sont pas fondamentalement aussi différentes que l'antinomie des slogans qui servent à les caractériser ne le laisse supposer. Le contraste des perceptions paraît tenir surtout à des facteurs psychologiques. Il y a dix ans, le Québec touchait à la fin d'une longue ère de conservatisme politique : l'impression d'immobilisme social et intellectuel s'en trouvait amplifiée ; aujourd'hui, nous venons d'entrer dans une ère de progressisme politique : la conscience du changement social et intellectuel s'en trouve accrue. Inversement, l'ampleur de l'évolution dans certains secteurs était alors méconnue tandis qu'aujourd'hui on sous-estime souvent l'importance des foyers de conservatisme. Une enquête un peu poussée, menée en 1958 par l'Institut d'éducation des adultes auprès de différents milieux, révélait chez les membres d'associations les plus diverses, en même temps qu'une conscience aiguë de l'emprise du traditionalisme, l'adhésion à des normes démocratiques élevées de même qu'aux valeurs propres à la civilisation moderne. Par contraste, le débat sur le Bill 60, moment critique de l'évolution récente, manifesta la fermeté de l'emprise des convictions anciennes sur un grand nombre d'associations et d'individus. Au delà des apparences, aujourd'hui comme il y a dix ans, la divergence des aspirations et des mentalités parmi les agents sociaux est intense. Dans les deux cas, cependant, par suite d'une disposition d'esprit particulière, on magnifie dans les perceptions globales un aspect de la situation idéologique et on réduit l'importance de l'autre aspect. Comment rendre compte de ce comportement insolite ? Peut-on aller au delà de l'explication psychologique élémentaire que je viens d'esquisser ? Le problème posé peut se formuler ainsi : comment se fait-il que le stock des idéologies dont dispose la société — entendant par idéologie un système plus ou moins élaboré de représentations en vue de l'action — soit assurément beaucoup plus diversifié qu'il ne semble aux acteurs sociaux ? Comment se fait-il qu'une série entière d'idéologies reste toujours sous-utilisée, voire même ignorée au plan global, et que les idéologies qui paraissent activer le cours des choses fassent généralement partie elles aussi d'une seule et même série d'idéologies ? Tout se passe comme s'il existait dans la société des mécanismes de polarisation qui entraînent les idéologies sociales particulières, dès qu'elles acquièrent une fonction et une signification globales, dans l'orbite de deux constellations idéologiques dominantes que j'appellerai le « conservatisme » et le « progressisme ». Par ces deux termes, j'entends deux orientations d'esprit opposées, l'une, le conservatisme, s'attachant à la consolidation et à la défense des valeurs et des institutions existantes, et l'autre, le progressisme, visant à l'implantation de valeurs et d'institutions nouvelles. J'emploierai ces deux notions d'une manière synthétique, c'est-à-dire comme exprimant deux dynamiques, différentes et opposées, de polarisation des idéologies. Dans le présent exposé, je veux m'attacher à identifier les mécanismes de polarisation des idéologies, à supposer qu'ils existent, et à examiner les effets qui résultent de la polarité sur le comportement et le destin des idéologies. L'identification des mécanismes de polarisation, je vais la chercher, d'une part, dans la nature même du tissu social qui enveloppe les idéologies, c'est-à-dire les pouvoirs, et, d'autre part, dans la voie d'analyse généralement empruntée pour l'étude des idéologies et qui consiste à considérer celles-ci selon l'optique des pouvoirs plutôt que selon celle des agents sociaux. À la suite de cet exposé forcément abstrait, je décrirai brièvement comment la question de la polarité des idéologies se pose au Québec.
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DONNARS, C., P. CELLIER, and J. L. PEYRAUD. "Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages." INRAE Productions Animales 25, no. 4 (October 2, 2012): 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Abstract:
Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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Dissertations / Theses on the topic "Plus longues sous-Suites croissantes"

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Boyer, Alexandre. "Bidimensional stationarity of random models in the plane." Thesis, université Paris-Saclay, 2022. http://www.theses.fr/2022UPASM011.

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Abstract:
Dans le cadre de cette thèse,trois modèles ont été étudiés indépendamment. Ils ont en commun d’être des modèles aléatoires définis dans le plan et possédant une propriété de stationnarité bidimensionnelle. Le premier est le modèle de Hammersley stationnaire dans le quart de plan, introduit et étudié par Cator et Groeneboom.Nous présentons ici une preuve probabiliste des fluctuations gaussiennes dans le cas non critique. Le deuxième modèle peut être vu comme une version stationnaire du problème d’O’Connell-Yor. La preuve de sa stationnarité est obtenue en introduisant une discrétisation de ce modèle dont nous montrons la stationnarité, puis en observant que cette stationnarité est préservée à la limite. Enfin,le troisième modèle est une classe généralede systèmes aléatoires de lignes brisées dansle quart de plan, dont on montre la réversibilité. Cette classe contient de nombreux processus classiques comme des modèles de percolation de dernier passage. La nouveauté ici est qu’un poids est associé à chaque ligne
In this PhD thesis, three models have been independently studied. They all have in common to be random models defined in the plane and having a two-dimensional stationarity property. The first one is Hammersley’s stationary model in the quarter plane, introduced and studied by Cator and Groeneboom. We present here a probablistic proof the Gaussian fluctuations in the non-critical case. The second model can be seen as a stationary modification ofO’Connell-Yor’s problem. The proof of its stationarity is obtained by introducing a discretisation of this model, by proving its stationairty and then by observing that this stationarity is preserved in the limit. Finally, the third model is a general class of random systems of horizontal and vertical weighted broken lines on the quarter plane whose distribution are proved to be reversible. This class of systems generalizes several classical processes of the same kind. The noveltycomes here from the introduction of a weight associated with each line
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