Academic literature on the topic 'Plainnes du Loup'

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Journal articles on the topic "Plainnes du Loup"

1

May, David W. "Holocene Alluvial Fills in the South Loup Valley, Nebraska." Quaternary Research 32, no. 1 (July 1989): 117–20. http://dx.doi.org/10.1016/0033-5894(89)90038-0.

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Abstract:
AbstractFour Holocene alluvial fills are present in Nebraska's South Loup River valley. Fill IV, the oldest and thickest, was deposited between 10,200 and 4800 14C yr B.P.; Fill III has an age of about 3000 14C yr B.P.; Fill II is younger than 2100 and older than 900 14C yr B.P.; and Fill I is younger than 900 14C yr B.P. Regional contemporaneity of valley alluviation in the eastcentral Great Plains suggests that climate has controlled long-term sediment storage in the South Loup River valley.
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2

Pichakum, A., N. Traisuwan, C. Kammak, and W. Chintakovid. "Climate change affecting off-season longan (Dimocarpus longan Lour.) production at alluvial plains of Thailand." Acta Horticulturae, no. 1293 (October 2020): 231–38. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2020.1293.33.

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3

Mitsuhata, Yuji, Toshihiro Uchida, Koichi Matsuo, Atsunao Marui, and Kinichirou Kusunose. "Various-scale electromagnetic investigations of high-salinity zones in a coastal plain." GEOPHYSICS 71, no. 6 (November 2006): B167—B173. http://dx.doi.org/10.1190/1.2335658.

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Abstract:
Three different-scale electromagnetic (EM) measurements have been performed in the Kujukuri coastal plain, southeast Japan, to investigate the distribution of saline groundwater. The three techniques were audio-frequency magnetotelluric (AMT), transient electromagnetic (TEM), and small loop-loop EM measurements. The resistivity sections estimated from these data sets reveal three independent resistivity distributions extending to different depths. The AMT method reveals a regional-scale resistivity distribution across the plain to a maximum depth of approximately [Formula: see text] and the existence of deep conductive zones, which are inferred to be associated with fossil seawater trapped in a Pleistocene formation. The TEM results show a medium-scale resistivity distribution to depths of approximately [Formula: see text], in which two shallow conductive zones are recognized. It is concluded that these features are caused by present seawater intrusion and high-salinity salt-marsh deposits formed during sporadic marine regressions. The small loop-loop EM method provided a shallow resistivity profile that highlights the conductive salt-marsh deposits and resistive sandy ridges. Although these resistivity sections correspond to different depth ranges, the overlapping portions of the sections are very consistent with one another. These EM methods are useful in detecting and interpreting important resistivity features. Taking the geologic evolution of the coastal plains into consideration is crucial when interpreting resistivity profiles such as these, and our results suggest that the presence of fossil seawater is an important factor controlling resistivity at a variety of depths.
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4

King, Kelsey C., Andrew J. Caven, Katie G. Leung, Dustin H. Ranglack, and Nico Arcilla. "High society: behavioral patterns as a feedback loop to social structure in Plains bison (Bison bison bison)." Mammal Research 64, no. 3 (February 13, 2019): 365–76. http://dx.doi.org/10.1007/s13364-019-00416-7.

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5

LEMAUVIEL-LAVENANT, S., and R. SABATIER. "Quand l’élevage est garant de la conservation de milieux patrimoniaux." INRA Productions Animales 30, no. 4 (June 25, 2018): 351–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2265.

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Abstract:
La conservation de nombreux écosystèmes patrimoniaux est conditionnée par le maintien d’une activité d’élevage extensive. Les prairies humides et les systèmes transhumants de Méditerranée constituent deux exemples contrastés de territoires à forts enjeux naturels où excès d’eau dans le premier cas et sècheresses annuelles dans l’autre conditionnent à la fois la végétation et les conditions d’élevage. Les marais portent des services environnementaux majeurs comme l’accueil de la biodiversité, notamment de l’avifaune ou la régulation des crues. Ce sont des territoires complexes où de nombreux acteurs interagissent autour de la gestion des niveaux d’eau. Parmi eux, les éleveurs jouent un rôle clé en gérant des prairies contraignantes à exploiter. Les prairies de marais sont fragilisées par un double mouvement d’intensification et de déprise agricole. L’élevage craven, exemple de système ovin transhumant de la plaine de Crau en zone méditerranéenne, permet de lutter contre la fermeture des milieux et joue un rôle de protection contre certains risques naturels comme les incendies dans les collines en Provence ou contre les risques d’avalanche dans les Alpes. Dans la plaine de la Crau, les éleveurs sont au coeur des enjeux de biodiversité dans la conservation du « Coussoul », dernière steppe européenne. Crise de la filière ovine, retour du loup et pression foncière grandissante sur les espaces de Crau menacent ce système d’élevage. Le maintien de l’élevage représente un véritable enjeu pour la conservation des espaces à forte valeur patrimoniale. Il dépend de la viabilité économique de formes d'élevage soumises à de fortes contraintes naturelles et nécessite donc une politique agroenvironnementale adaptée. La dynamique des territoires, à travers une valorisation de produits de qualité, apparaît également comme un levier pour préserver les activités d’élevage et conserver les habitats naturels.
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6

GROSCLAUDE, Jeanne, and M. THIBIER. "Spécificités de l'élevage de ruminants en montagne." INRAE Productions Animales 27, no. 1 (April 2, 2014): 3–4. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.1.3048.

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Abstract:
DOSSIER : Spécificités de l’élevage de ruminants en montagne Avant-propos Dans le cadre de l’organisation d’une séance annuelle commune, l’Académie d’Agriculture de France et l’Académie Vétérinaire de France ont choisi pour 2013 le thème de l’élevage en montagne (séance publique du 17 avril 3013). Sur fond de crise, d’évolution des politiques agricoles européennes et de fluctuation des revenus des éleveurs, l’Académie d’Agriculture, et plus particulièrement la section « Production Animale », réfléchit sur les conditions de restauration de perspectives positives pour l’élevage ; elle assume l’hypothèse qu’une clé est l’ancrage territorial de cette activité, associé à un effort d’imagination pour valoriser des produits propres à combler l’attente des citoyens. Choisir en premier lieu d’approfondir l’évolution de l’élevage en montagne et d’en analyser quelques traits spécifiques est un prologue tout indiqué pour cette réflexion. De manière convergente l’Académie Vétérinaire, confrontée à la déprise territoriale du métier de vétérinaire notamment dans les zones dites difficiles ou défavorisées que représentent certaines régions de montagne, a relevé de manière frappante les risques associés, sur les plans sanitaire et épidémiologique, aux systèmes de transhumance et de mise en commun des troupeaux toutes générations confondues, loin de leurs « camps de base » et des yeux attentifs de leurs propriétaires. Rassembler des troupes issues d’exploitations multiples, c’est aussi favoriser les échanges de leurs agents pathogènes respectifs risquant ainsi d’exposer brutalement à de tels agents des jeunes peu ou pas immunisés. Dans les milieux de montagne la détection précoce des maladies est rendue difficile par la dissémination des animaux sur de vastes territoires. Loin de toute vision rousseauiste sur la salubrité et la paix des alpages, l’élevage de montagne est de plus confronté à des prédateurs tolérés voire défendus par les profanes (ours et loup) et à la mitoyenneté avec une faune sauvage porteuse d’agents pathogènes non contrôlés, parfois responsables de zoonoses (agent de la brucellose, notamment). Le thème de l’élevage des ruminants en montagne était donc particulièrement bienvenu pour cette séance commune. L’Editeur d’« Inra Productions Animales », René Baumont, a bien voulu reconnaître l’intérêt des travaux présentés en cette occasion sur quelques aspects géographique, technique, économique, historique et sanitaire, même s’ils ne traitent qu’une partie des problèmes de l’élevage en montagne. Grâce à ses exigences, et à celles des lecteurs critiques des articles, ce dossier a pris figure et pourra constituer une base estimable de références pour de nombreux lecteurs intéressés à l’élevage en montagne. Dans le respect de la pluralité professionnelle représentée dans nos académies nous avons demandé à de jeunes chercheurs d’une part, à des professionnels praticiens en activité d’autre part, de présenter différentes facettes des forces et faiblesses de ces systèmes pastoraux. Bruno Martin, avec Michel Lherm et Claude Béranger, dresse un panorama très documenté, dans l’espace et dans le temps, des atouts qui ont permis à des éleveurs dynamiques et imaginatifs demaintenir par leurs initiatives et leur sens de l’entraide la stabilité économique de ces modes de production, tout en assurant un service écologique par la préservation de milieux fragiles, qui légitime des soutiens publics spécifiques. Stabilité, il est vrai, à un niveau de revenus moindre que leurs homologues des plaines, beaucoup plus affectés par la crise de l’élevage. L’avenir de la production de ruminants en montagne passe comme en plaine par la nécessaire maîtrise des coûts, mais surtout par la capacité des filières animales à valoriser les atouts spécifiques de ces territoires notamment autour de la notion de paniers de biens. Marie Dervillé, avec Gilles Allaire, s’interroge sur le devenir de la production laitière de montagne après la suppression en 2015 des quotas laitiers protecteurs. Détaillant les mécanismes de concurrence entre montagne et plaine d’une part, et entre différentes régions de montagne d’autre part, elle montre que la différenciation des productions de montagne par rapport à celles qui peuvent être obtenues en plaine est la stratégie essentielle d’adaptation à la libéralisation des marchés. Développer au niveau d’un territoire une capacité d’innovation et la construction d’une réputation collective, répondant à l’imaginaire des citoyens, conditionnera la survie de la production laitière et fromagère de montagne. Jean-Pierre Alzieu, en collaboration avec Jeanne Brugère-Picoux et Christophe Brard, montre que les dominantes pathologiques sont d’abord et surtout des maladies dites de groupe, principalement d’étiologie infectieuse. Il explicite les raisons de la plus grande susceptibilité sanitaire de ce type de conduite des troupeaux, face à une diversité de maladies (respiratoires, parasitaires ou boiteries entre autres) qui vont trouver dans le pâturage de montagne des conditions favorables à leur propagation. S’il existe au sein du troupeau un ou plusieurs états cliniques avant la montée à l’estive, ceux-ci seront amplifiés et propagés aux autres animaux réunis, d’où l’importance primordiale des mesures prophylactiques en amont et notamment durant l’hivernage. Christophe Roy présente, au regard de ces conditions sanitaires particulières, les contraintes spécifiques à l’activité vétérinaire en montagne. Celles-ci contribuent à une légère découverture du maillage vétérinaire. Or, la veille sanitaire est très importante en montagne, sans doute plus qu’ailleurs étant donné les risques liés à l’élevage dans ces régions. L’auteur nous livre quelques pistes d’adaptation afin de maintenir une offre de service aussi efficace et performante que possible alors que l’engouement pour les produits de montagne, notamment fromagers, appelle une vigilance soutenue. Outre ces avertissements sanitaires, des alertes sont perceptibles : une partie de la production laitière, trop générique, résistera mal à la concurrence des plaines. Des appétits fonciers apparaissent, pas seulement pour des activités de loisir consommatrices de territoires et de ressources en eau : des compétitions nouvelles pour l’accès aux estives apparaissent avec des investisseurs aux capacités financières affirmées. A un titre ou un autre tous les auteurs de ce dossier soulignent néanmoins les atouts de cette production montagnarde, basée sur une culture collective d’acteurs durs au labeur : recours à une ressource herbagère peu coûteuse, utilisation de races locales rustiques, référence à des terroirs évocateurs de dépaysement, robustesse d’une activité fromagère calée sur des appellations contrôlées et dans laquelle les urbains se plaisent à reconnaître une naturalité respectueuse du bien-être animal, au servicedu maintien de milieux et de paysages à préserver. La conjonction d’acteurs de montagne combatifs et sobres, de citoyens avides d’images pastorales devrait favoriser l’acceptation de soutiens financiers spécifiques et la pérennisation économique de systèmes d’élevages ancrés sur ces territoires tout en sachant s’adapter.
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Halmos, Gergő, Károly Nagy, Zsolt Karcza, and Tibor Szép. "The status of the Hoopoe (Upupa epops) in Hungary: a review." Ornis Hungarica 23, no. 2 (December 1, 2015): 1–9. http://dx.doi.org/10.1515/orhu-2015-0009.

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Abstract:
Abstract The Hoopoe is a widespread species in Hungary with the strongest populations on the Great plains. The fact that in 2015 it became ‛The Bird of the Year’ in Hungary offers the possibility to summarise the information about the distribution, population size, dispersion, migration as well as the nature conservation status of the Hoopoe population breeding in Hungary. In the period of 1999–2014 the number of breeding pairs and trend of population level was estimated based on the Common Bird Census database. The population size was estimated as 13,500–17,500 pairs with a stable trend (slope=−1.3%, SE=2.5%) over 1999–2014. There is very limited information on migration from bird ringing, only 8 recoveries between 1928–1963 indicate, that the Hungarian population is migrating on a south-southeast direction in autumn, wintering in the eastern parts of the Sahel, possibly in Chad and Sudan and migrates back in spring following a loop migration pattern further to the east. The main conservation issues are agricultural intensification impacting feeding possibilities, lack of nesting cavities and hunting during migration.
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Lindgren, C., C. Pearce, and K. Allison. "The Biology of Invasive Alien Plants in Canada. 11. Tamarix ramosissima Ledeb., T. chinensis Lour. and hybrids." Canadian Journal of Plant Science 90, no. 1 (January 1, 2010): 111–24. http://dx.doi.org/10.4141/cjps08212.

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Abstract:
These Tamarix species and their hybrids, known collectively as saltcedar, are perennial small trees or shrubs native to Eurasia, and were among the Tamarix species introduced to the United States in 1800s as ornamentals, for plantings in windbreaks, and to stabilize eroding stream banks. They have since escaped and become damaging invasive plants in large areas of the western and Great Plains regions of the United States. They are able to reproduce vigorously by both seed and vegetative propagation, and are persistent and long-lived once established. Ecological problems include hydrologic impacts, displacement of native flora and fauna including endangered species, and excretion of salt, which increases soil salinity. Economic impacts include costs associated with control as well as losses of irrigation and municipal water, flood control costs, and loss of recreational opportunities. Invaded habitats include floodplains, salt flats, marshes, reservoirs, stock watering ponds, and irrigation ditches. Saltcedar is difficult to control and almost impossible to eradicate once established. In 2007, naturalized saltcedar was found near Penticton and at Osoyoos Lake in British Columbia, Canada. It is also currently sold in several Canadian provinces as an ornamental. Ecological niche modelling indicates that large areas of the Canadian Prairies are susceptible to invasion. Hybridization, multiple intentional introductions through garden plantings, natural dispersal from populations in the northern United States, and climate warming will increase the risk and promote the spread of saltcedar in Canada. Key words: Saltcedar, Tamarix ramosissima, Tamarix chinensis, invasive alien plant, weed biology, invasion biology, ecological niche modeling
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Qian, Jian-Hua, Brian Viner, Stephen Noble, and David Werth. "Precipitation Characteristics of Warm Season Weather Types in the Southeastern United States of America." Atmosphere 12, no. 8 (August 3, 2021): 1001. http://dx.doi.org/10.3390/atmos12081001.

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Abstract:
Daily weather types (WTs) over the Southeast United States have been analyzed using 850 hPa winds from reanalysis data from March to October of 1979–2019. Six WTs were obtained. WTs 1–3 represent mid-latitude synoptic systems propagating eastward. WT4 is a summer-type pattern predominantly occurring in June–August, with the center of the North Atlantic Subtropical High (NASH) along the Gulf coast in the southern United States. WT5 is most frequent from August to middle October, with the NASH pushed further north and southerly winds over the northern Great Plains. An anticyclone centered at the Carolina coast characterizes WT6, which occurs in all months but is slightly more frequent in the spring and fall, especially in October, corresponding to fair weather in the region. WTs 1, 2 and 3 can persist for only a few days. WTs 4, 5 and 6 can have long spells of persistence. Besides self-persistence, the most observed progression loop is WT1 to WT2, to WT3, and then back to WT1, corresponding to eastward-propagating waves. WTs 4 and 5 are likely to show persistence, with long periods of consecutive days. WT6 usually persists but can also transfer to WT3, i.e., a change from fair weather in the Southeast U.S. to rainy weather in the Mississippi River Valley. A diurnal cycle of precipitation is apparent for each WT, especially over coastal plains. The nocturnal precipitation in central U.S. is associated with WT3. WTs 1–3 are more frequent in El Niño years, corresponding to stronger westerly wave activities and above normal rainfall in the Southeast U.S. in the spring. The positive rainfall anomaly in the Mississippi and Ohio River valley in El Niño years is also associated with more frequent WT3.
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10

Ishihara, Takeshi, Gaurav Shrestha, Shohei Kaneko, and Youhei Uchida. "Analysis of Shallow Subsurface Geological Structures and Ground Effective Thermal Conductivity for the Evaluation of Ground-Source Heat Pump System Installation in the Aizu Basin, Northeast Japan." Energies 11, no. 8 (August 13, 2018): 2098. http://dx.doi.org/10.3390/en11082098.

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Abstract:
Shallow subsurface geological structure mapping combined with ground effective thermal conductivity values at the basin scale provide an appropriate method to evaluate the installation potential of ground-source heat pump systems. This study analyzed the geological structure of the Aizu Basin (Northeast Japan) using sedimentary cores and boring log and mapped the distribution of average ground effective thermal conductivity in the range from −10 m to −100 m depth calculated from cores and logs. Gravel layers dominate in alluvial fans of the northern and southern basin areas, which are found to be associated with higher average ground effective thermal conductivity values, 1.3–1.4 W/m/K, while central and western floodplain areas show lower values of 1.0–1.3 W/m/K due to the existence of thick mud layers in the shallow subsurface. The results indicate that the conventional closed-loop systems are more feasible in northern and southern basin areas than in the central and western areas. Evaluation for the installation potential of the ground-source heat pump systems using depth-based distribution maps of average ground effective thermal conductivity is the originality of this study. This approach is valuable and proper for the simple assessment of the system installation in different sedimentary plains and basins in Japan and other countries.
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Dissertations / Theses on the topic "Plainnes du Loup"

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Harvey, Léa. "Les variations spatiales de l'effort d'approvisionnement du bison des plaines soumis à la prédation par le loup gris." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/29867/29867.pdf.

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Abstract:
Cette étude visait à expliquer les variations spatiales de l'effort d'approvisionnement du bison des plaines. J’ai caractérisé les cratères d'alimentation des bisons dans la neige et j’ai suivi des bisons et des loups munis de colliers émetteurs en hiver. Les bisons s’alimentaient davantage dans les prés où le couvert de neige était mince et peu dense, de même que dans les parcelles les plus profitables (énergie digestible/temps de manipulation) du paysage. La cooccurrence spatiale entre les loups et les bisons indique que le prédateur gagne le jeu spatial. Aussi, les bisons laissaient plus de végétation hautement profitable dans les grands prés que dans les petits, une décision concordant avec la notion que les bisons se déplacent fréquemment afin d'éviter que les prédateurs connaissent leurs localisations. L'étude de l'approvisionnement du bison dans son milieu naturel révèle comment des patrons spatiaux d'herbivorie émergent dans un paysage caractérisé par plusieurs niveaux d’hétérogénéité.
The aim of this study was to explain spatial variation in the feeding effort of plains bison. I characterized feeding craters of bison in snow, and I radio-tracked bison and wolves in winter. Bison foraged more intensively in meadows with shallow and light snow, and in the most profitable (digestible energy / handling time) patches available in the landscape. Bison and wolves intensively used the same meadows, a co-occurrence indicating that wolves are ahead in the spatial game they play with bison. Also, bison left more vegetation of higher-than-average profitability in large than in small meadows. This decision is consistent with the notion that bison move frequently to prevent wolves from knowing their location. The assessment of bison foraging in a natural setting reveals how spatial patterns of herbivory emerge in landscapes characterized by multiple levels of heterogeneity.
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Books on the topic "Plainnes du Loup"

1

Holland, Royce Q. Old Lop-Ear Wolf (Southern Plains). Council for Indian Education, 1991.

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