Journal articles on the topic 'Pièces de monnaie anciennes'

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Comaroff, Jean, and John L. Comaroff. "Bétail, perles et pièces de monnaie." Anthropologie et Sociétés 34, no. 2 (February 23, 2011): 21–45. http://dx.doi.org/10.7202/045704ar.

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Abstract:
Cet essai porte sur les mécanismes qui permettent les échanges équitables entre différents ordres de valeur, dans la production de la société et de l’histoire. Alors que les équivalences entre monnaies, la normalisation et la conversion sont présentes dans la plupart des théories sur l’argent et la marchandisation, leur nature en tant que processus social n’a pas été suffisamment étudiée, surtout dans la construction du caractère universalisant des idéologies et des régimes politiques et économiques modernes. Notre analyse examine la confrontation des différents régimes de valeur à l’occasion de la rencontre entre les Tswana d’Afrique du Sud et les colonisateurs européens, ainsi que les conflits et la médiation complexe auxquels ce processus a donné lieu. Le bétail, les pièces de monnaie et les contrats, qui avaient la possibilité à la fois de renforcer et de nier les différences, ont rapidement été investis de qualités magiques. Mais les peuples colonisés étaient également sensibles à la faculté de ces monnaies de faciliter ou d’empêcher la convertibilité, et connaissaient les formes d’abstraction et d’incorporation qu’ils impliquaient. C’est pourquoi, en Afrique du Sud et ailleurs, ces monnaies ont souvent servi de moyen de contestation de la valeur autour de laquelle les luttes coloniales se sont jouées.
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Houlbrook, Ceri. "Des pièces de monnaie au cadenas." Techniques & culture, no. 70 (October 30, 2018): 240–59. http://dx.doi.org/10.4000/tc.9988.

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Gorre, Gilles. "La monnaie de bronze lagide et les temples égyptiens." Annales. Histoire, Sciences Sociales 69, no. 01 (March 2014): 91–113. http://dx.doi.org/10.1353/ahs.2014.0004.

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Abstract:
Résumé Le système monétaire de l’Égypte ptolémaïque, instauré par Ptolémée I, était composé de pièces d’or, d’argent et de bronze, ces dernières n’ayant eu qu’une valeur fiduciaire. Alors qu’il réforma le système fiscal, Ptolémée II (284-246 av. J.-C.) imposa le paiement en monnaie de bronze d’un certain nombre de taxes dont il accorda une partie des revenus aux temples. Le clergé disposa dès lors de monnaie de bronze. Or, étant donné que de nombreux Égyptiens étaient employés dans les temples, on peut en déduire que cela permitla diffusion des pièces de bronze dans l’ensemble du pays du fait de la rétribution des travailleurs. Ptolémée II, par sa politique, favorisa donc la circulation de cette monnaie.
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Premat, Timothée, and Sophie Chouvion. "Adaptations de la mélodie aux variations de longueur du vers aux XII et XIII siècles." Rhythmica. Revista Española de Métrica Comparada, no. VI (December 3, 2021): 243–70. http://dx.doi.org/10.5944/rhythmica.32387.

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Abstract:
Cette étude est dédiée à la description et à la formalisation des mécanismes qui permettent d’adapter une mélodie à des vers dont la longueur varie. Notre corpus est constitué de pièces de musique vocale écrites en français aux XIIe et XIIIe siècles, qui sont parmi les plus anciennes pièces vernaculaires à nous être parvenues accompagnées de leur notation musicale. Il s’agit donc d’étudier les modifi cations que subit la mélodie pour s’adapter à la variation de longueur du vers, tout en conservant un sentiment d’équivalence entre les différentes versions de la mélodie.
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Frontier, J. P., I. Brissaud, K. Gruel, M. Rousset, and A. Tarrats-Saugnac. "Etude de pièces anciennes par analyse PIXE. Comparaison avec d'autres techniques." Revue de Physique Appliquée 23, no. 5 (1988): 955–61. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:01988002305095500.

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SOMAN, Kouadio Daouda, Djaffar Aboudou SAID AHMED, and Hachemi BENTAHAR. "Le Franc CFA : Quel avenir pour la monnaie en zone UEMOA ?" International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 5 (September 28, 2021): 763–79. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i5.152.

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Abstract:
Cet article analyse la tournure de la coopération monétaire entre la France et ses anciennes colonies en cherchant à déterminer l’avenir du Franc CFA. En effet, le Franc CFA a suscité plusieurs débats et malgré les réformes institutionnelles mises en œuvre dans les années 1970, l’idée d’abandon de cette monnaie coloniale a été évoquée depuis 1983. Cependant, ce n’est que le 29 juin 2019 à Abuja (Nigéria) que le processus de la création d’une monnaie commune a été enclenché lors de la conclusion de la conférence des chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Ainsi, « Eco » a été adopté comme le nom de la monnaie unique de la CEDEAO et devrait donc entrer en vigueur en 2020 dans les quinze États de l’espace CEDEAO. Toutefois, la mise en place de cette nouvelle monnaie ((Eco) a pris un grand retard mais son utilisation fera disparaître le Franc CFA et restreindra ou supprimera la coopération monétaire entre la France et les pays de l’UEMOA.
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Piron, Sylvain. "Monnaie et Majesté Royale dans la France du 14eSiècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 51, no. 2 (April 1996): 325–54. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1996.410850.

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Abstract:
De quoi sont faites les monnaies nationales ? Comment décrire ces entités étranges que sont le franc, le dollar ou le yen ? Leur existence tangible et familière nous est donnée sous la forme de pièces métalliques ou de billets de banque. Mais ces objets, tout comme l'ensemble des instruments de paiements (chèques, cartes, etc.), n'ont d'existence monétaire qu'en tant qu'ils expriment une certaine quantité de l'unité de compte nationale. C'est donc en réfléchissant à partir de cette mesure monétaire, et de ce qui la rend si particulière, qu'on peut tenter d'éclairer le problème. En théorie, la mesure monétaire possède la même universalité que les cinq formes de mesure physique (longueur, surface, volume, masse et durée) à cette différence près que la qualité qu'elle nombre, la valeur, est strictement abstraite et sociale, et qu'elle ne prend ainsi corps que dans des espaces socio-politiques déterminés.
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Agut-Labordère, Damien. "L’orge et l'argent." Annales. Histoire, Sciences Sociales 69, no. 01 (March 2014): 75–90. http://dx.doi.org/10.1353/ahs.2014.0060.

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Abstract:
Résumé À partir de l’exemple du village oasien de ‘Ayn Manâwir, dont l’histoire nous est connuepar près de 500 documents datant des Ve et IVe siècles av. J.-C., cet article propose une analysede la manière dont les Égyptiens appréhendèrent les statères d’argent qui commencèrent àse répandre en Égypte à cette époque. Les pièces grecques furent intégrées au systèmemonétaire égyptien dans lequel l’argent cohabitait avec une monnaie marchandise reposantsur l’orge. La principale vertu de l’argent résidait dans sa capacité à susciter la confiancedans le cadre des transactions touchant au patrimoine des notables.
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Carland, John M. "Bureaucrats and Imperial Finance: The Colonial Office, the Treasury and the West African Currency Board, 1911‑1914." Historical Papers 17, no. 1 (April 26, 2006): 53–70. http://dx.doi.org/10.7202/030884ar.

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Abstract:
Résumé Entre 1901 et I9I0, quarante pour cent des pièces de monnaie frappées au Royaume-Uni circulaient dans les pays britanniques de la côte ouest de l'Afrique. Cette situation n'était certes pas vue d'un bon oeil; d'une part, le British Treasury craignait les effets que pourrait avoir une repatriation soudaine de la monnaie alors que, d'autre part, le Colonial Office qui avait la responsabilité de voir au bien-être des colonies, enviait les profits réalisés par le Treasury qui détenait le pouvoir de faire frapper les pièces. Pour remédier au problème et assurer un meilleur contrôle, on institua donc, en 1912, le West African Currency Board (WACB). Le British Treasury et le Colonial Office furent intimement liés à la création et aux premières activités du WACB mais cette liaison prit la forme d'une lutte pour le contrôle de cette commission. Bien qu'on ait. jusqu'à date, toujours pensé que c'est le Treasury qui a eu la haute-main sur l'affaire, cette étude démontre, au contraire, que c'est le Colonial Office qui a réussi à dominer la situation et à prendre la commission sous sa tutelle. Pour faire état du comment et du pourquoi de cette prise de pouvoir, l'auteur décrit les mécanismes par lesquels le WACB fut créé et mis en opération au cours des années 1911-12, les modes selon lesquels on a rapatrié l'argent britannique des pays africains pendant les années 1912-14 et la controverse qui entoura la demande du Treasury d'être représenté au sein du WACB. Selon l'auteur, les décisions ont toujours favorisé le Colonial Office et il est évident que ce sont ses intérêts qui ont toujours prévalu.
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Matthee, Rudi. "MINT CONSOLIDATION AND THE WORSENING OF THE LATE SAFAVID COINAGE: THE MINT OF HUWAYZA." Journal of the Economic and Social History of the Orient 44, no. 4 (2001): 505–39. http://dx.doi.org/10.1163/15685200160052603.

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Abstract:
AbstractThe provincial town of Huwayza in Arabistan/Khuzistan, southwestern Iran, was a minting center from the early days of the Safavid period. Huwayza became an especially productive mint in the course of the seventeenth century, issuing a silver coinage, the mahmudi, that became the most widely circulating of all currencies throughout the Persian Gulf basin. A combination of extant mahmudis and written records about these coins permits an analysis that views the coinage of Huwayza through the prism of the economic problems that plagued Iran in the later Safavid period. The focus of the present article is twofold. The first part examines the place of Huwayza in the general consolidation of mints in seventeenth-century Iran and seeks to explain why Arabistan was somewhat of an exception to this trend. Part two makes an effort to substantiate the alleged deterioration of the Huwayza coinage as of the 1660s through numismatic techniques, relates this to the overall monetary situation in the country, and speculates on the causes and reasons for the demise of the Huwayza mahmudi at the turn of the eighteenth century. Huwayza, centre provincial situé en Arabistan/Khuzistan, au sud-ouest de l'Iran, possédait un atelier de monnaie dès le début de l'époque safavide. L'atelier monétaire de Huwayza atteignit son essor productif dans la seconde moitié du XVIIe siècle, avec la frappe d'un monnayage d'argent, le mahmudi, qui devint la monnaie la plus repandue dans le bassin entier du golfe Persique et jusqu'aux côtes occidentales de l'Inde. L'étude des pièces de monnaie preservées et des données écrites qui leur sont consacrées, nous permet d'analyser le mahmudi de Huwayza à la lumière des difficultés économiques qui accablaient l'Iran vers la fin de l'époque safavide. Le présent article a un double objectif. La première partie s'interroge sur la place de Huwayza dans l'unification des ateliers de frappe iraniens au XVIIe siècle, et sur les raisons pour lesquelles Huwayza ne s'était pas conformé à cette tendance générale. La seconde partie tente de vérifier, par des techniques numismatiques, la détérioration prétendue de la monnaie de Huwayza à partir de 1660. Enfin, en établissant un rapport entre le mahmudi de Huwayza et les conditions monétaires générales dans le pays, nous évoquons les causes de l'arrêt de l'émission de cette monnaie au tournant du XVIIIe siècle.
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Breton, Stéphane. "Le monde de la dette." Annales. Histoire, Sciences Sociales 55, no. 6 (December 2000): 1361–66. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2000.279921.

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Abstract:
Ce recueil réuni par Michel Aglietta et André Orléan se fonde sur une critique de la théorie économique orthodoxe, ou plutôt sur une critique de son impuissance à théoriser la monnaie. Les différentes contributions participent d'une ambition commune, celle de réintroduire la dimension sociologique qui fait défaut à la théorie classique de la valeur et sans laquelle on se trouve en peine de pouvoir rendre compte du fait monétaire, non seulement dans ses expressions anciennes ou exotiques, mais aussi dans l'économie de marché. Il faut souligner la cohérence de ce livre important, fruit d'un long travail ayant associé plusieurs disciplines allant de l'anthropologie, de l'histoire et de l'économie jusqu'à la psychanalyse. Cet effort collectif a permis à chacun des auteurs d'envisager le médium monétaire dans sa signification la plus large, sans être limité par les particularités de tel ou tel système, et en particulier du système marchand moderne.
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Fournier, P. G., T. R. Govers, J. Fournier, and M. Abani. "Contamination par le nickel et d'autres métaux lors de la manipulation des pièces de monnaie – comparaison entre francs français et euros." Comptes Rendus Physique 3, no. 6 (January 2002): 749–58. http://dx.doi.org/10.1016/s1631-0705(02)01371-3.

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Fournier, Paul-Guy, Alain Nourtier, Mohammed Monkade, Khalid Berrada, Hichame Boughaleb, Abdelkader Outzourhit, Rémy Pichon, Christian Haut, and Thomas Govers. "Transfert de nickel, de cuivre et de zinc lors de la manipulation de pièces de monnaie : le cas du dirham marocain." Comptes Rendus Physique 7, no. 2 (March 2006): 284–92. http://dx.doi.org/10.1016/j.crhy.2006.03.011.

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Bourin, Monique, Sandro Carocci, François Menant, and Lluís To Figueras. "Les campagnes de la Méditerranée occidentale autour de 1300 : tensions destructrices, tensions novatrices." Annales. Histoire, Sciences Sociales 66, no. 3 (September 2011): 663–704. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900011082.

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Abstract:
RésuméCet article présente une synthèse des résultats obtenus par une étude internationale menée pendant quatre années sur la conjoncture des années 1300 dans le monde de la Méd.terranée occidentale chrétienne. Il en ressort une image fortement diversifiée. Géographiquement diversifiée : coexistent des régions «émergentes» en plein développement et d’autres dont les ressorts semblent usés. Et socialement diversifiée : les nouveaux chemins de l’économie et de la politique bouleversent les équilibres traditionnels, mettent à mal les anciennes formes de richesse et créent de nouvelles stratégies gagnantes. À la différence de l’Europe du Nord, l’Europe méridionale n’a pas connu la grande famine de 1315. Il n’y a pas, au Sud, de disette généralisée sauf en 1347. Les disettes y sont dues aux distorsions du marché plus qu’à la chute de la productivité des terres cultivées. L’urbanisation y est en pleine puissance et pèse sur les circuits d’approvisionnement. Le commerce pénètre partout et dans tous les milieux, notamment à partir d’un réseau de petites villes qui s’est densifié au cours du XIIIesiècle. Rien n’indique un réel manque de monnaie : le crédit, omniprésent, y supplée mais contribue à redistribuer les cartes économiques et sociales.
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El Koraichi, A., T. Lamkinsi, A. Ghannam, J. Tadili, K. Benchekroun, M. El Haddoury, and S. E. El Kettani. "Extraction des pièces de monnaie à partir du tractus oesophagien supérieur chez les enfants par la pince de Magill sous sédation en ventilation spontanée." Réanimation 20, no. 3 (April 14, 2011): 260–63. http://dx.doi.org/10.1007/s13546-011-0265-8.

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Gozalbes-Cravioto, Enrique, and Helena Gozalbes García. "Hallazgos de monedas greco-massaliotas en la provincia de Cuenca (España)." Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 11 (June 22, 2022): 280–95. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2022.11.12.

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Abstract:
Publicamos una pequeña serie de monedas, relacionadas con las piezas conocidas inicialmente como de ejemplares “tipo Auriol”. Se trata de varias imitaciones greco-massaliotas, relacionadas con el ciclo numismático griego del Occidente mediterráneo. La importante novedad de las mismas se fundamenta en el lugar de hallazgo, pues este se ha producido en una zona interior de la Península Ibérica, donde hasta el momento no se había documentado el descubrimiento de numismas de este tipo. Palabras clave: moneda, imitaciones, edetanosTopónimos: Massalia, Emporion, AuriolPeriodo: Edetanos ABSTRACTThe text presents a small series of coins, similar to those initially known as "Auriol type". These are various Greek-Massalian imitations, related to the Greek numismatic cycle of the Western Mediterranean. What makes these coins particularly interesting is their place of discovery, since they were found in an inland area of the Iberian Peninsula, where the appearance of specimens of this type had not previously been documented. Keywords: coin, imitations, AuriolPlace names: Massalia, Emporion,Period: edetans REFERENCIASAmorós, J. V. (1934), Les monedes emporitanes anteriors a les dracmes, Barcelona, Gabinet Numismàtic de Catalunya.Arévalo González, A. (2002), “La moneda griega foránea en la Península Ibérica”, en Actas del X Congreso Nacional de Numismática, Madrid, Museo Casa de la Moneda, pp. 1-15.Babelon, E. C. F. (1901), Traité des monnaies grecques et romaine, vol. 1, Paris, Ernest Leroux Editeur.Benezet, J., Delhoeste, J. Lentillon, J.-P. (2003), “Une monnaie du “type d´Auriol” dans la plaine roussillonnaise”, Cahiers Numismatiques, 158, pp. 5-8.Blancard, M. 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Berland, Jody. "McLuhan and Posthumanism: Extending the Techno-Animal Embrace." Canadian Journal of Communication 44, no. 4 (December 8, 2019). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2019v44n4a3725.

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Background This article builds on McLuhan’s medium theory to address the undertheorized role of animals as mediators in network cultures.Analysis McLuhan’s medium theory aligns with and to some extent anticipates contemporary discussion about posthumanist thought that recognizes that human perception and experience are shaped by and extended through non-human tools and connections. Both digital culture and the endangered status of the natural world now call upon us to elaborate less anthropocentric concepts of mediation to understand our interdependence with the non-human world.Conclusion and implications Using as illustration various moments of media change, including early coins and the first cat videos, this article argues that the proliferation of animal imagery is significant not only in the affective management of digital practices and investments, but more broadly in the management of cultural and ecological risk.Contexte Cet article se fonde sur la théorie des médias de Marshall McLuhan afin de traiter du rôle sous-théorisé des animaux en tant que médiateurs dans les cultures du réseau.Analyse La théorie des médias de McLuhan s’aligne avec—et dans une certaine mesure anticipe—les discussions contemporaines sur la pensée post-humaniste reconnaissant que des connections et outils non-humains contribuent à former et à prolonger la perception et l’expérience humaines. La culture numérique et le statut menacé du monde naturel exigent que nous élaborions des concepts sur la médiation qui soient moins anthropocentriques afin de mieux comprendre notre interdépendance avec le monde non-humain.Conclusion et implications Cet article se rapporte à divers changements médiatiques, y compris la création de certaines pièces de monnaie anciennes et les premières vidéos sur les chats, pour soutenir que la prolifération d’imagerie animale est importante, non seulement dans la gestion affective de pratiques et d’investissements numériques, mais aussi plus généralement dans la gestion de risques culturels et écologiques.
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Quéret-Podesta, Adrien. "Draco flammivomus, holophagus, draco : les dragons dans les plus anciennes sources historiques polonaises." IRIS, no. 41 (November 26, 2021). http://dx.doi.org/10.35562/iris.2205.

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La première apparition du dragon dans les sources historiques polonaises est relativement précoce, puisque le motif du combat contre un dragon est visible sur une monnaie dès la seconde moitié du XIe siècle, soit quelques décennies seulement après la réalisation des plus anciennes sources numismatiques et textuelles du pays. Au siècle suivant, la plus ancienne chronique polonaise connue contient deux cas de comparaisons d’un protagoniste à un dragon et les cas de représentations de dragons dans les sources numismatiques augmentent. Enfin, au début du XIIIe siècle, la première trace de la légende du dragon du Wawel à Cracovie apparaît dans la Chronique des Polonais de Vincent Kadłubek.
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Şeptilici, Raoul M. "Două interesante monete descoperite în Banat Deux interessantes pièces de monnaie découvertent dans le Banat." Analele Banatului XV 2007, January 1, 2007. http://dx.doi.org/10.55201/npnp4920.

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Tralongo, Stéphane. "Remanier les dialogues, rénover les tableaux." traverser, no. 20 (April 4, 2013). http://dx.doi.org/10.7202/1015088ar.

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Cette étude porte sur les méthodes de rénovation qui se mettent en place au tournant du xxe siècle pour lancer de grandes reprises de pièces féeriques et, plus précisément, sur ce que les historiens du cinéma ont retenu comme l’une des premières intégrations du cinématographe au domaine de la mise en scène théâtrale : la projection d’un film dans la féerie La Biche au bois (Théâtre du Châtelet, 1896). En partant des propositions historiographiques formulées par David Mayer, cette recherche se fonde sur le dépouillement d’archives théâtrales qui invitent à nuancer l’effet de nouveauté qu’on serait tenté de percevoir a posteriori dans cette appropriation très précoce du cinématographe. La logique de « récupération des clous » développée par Roxane Martin permet justement de réinscrire l’utilisation du cinématographe dans la continuité des procédures de l’époque, avec le perfectionnement de techniques déjà anciennes et la reconduction de conventions bien établies.
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Feio, Stefanie Cecília Passinho, Franciolli da Silva Dantas Araújo, Amanda Alves Fecury, Euzébio Oliveira, Carla Viana Dendasck, and Claudio Alberto Gellis de Mattos Dias. "Panorama national d’argent entre 2010 et 2014." Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, September 26, 2018, 38–46. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/quimica-fr/argent.

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Ayant le nom dérivé du mot latin Argentun, l’argent (Ag) est un métal de transition qui a une conduction électrique élevée et une résistance à la corrosion. On le trouve habituellement agrégé avec des minéraux de cuivre, de zinc et d’or. Largement utilisé dans la fabrication de miroirs et de pièces de monnaie, dans les processus dentaires tels que l’amalgame d’argent, dans la production de bijoux et de couverts, dans la photographie et les appareils électroniques en raison de sa conductivité électrique élevée. Cette recherche vise à décrire les données obtenues dans les résumés minéraux du Département national de la recherche minérale (http://www.dnpm.gov.br), la recherche bibliographique a été effectuée dans des articles scientifiques, à l’aide d’ordinateurs du laboratoire informatique de l’Institut fédéral de l’éducation, des sciences et de la technologie de l’Amapá. En ce qui concerne l’extraction d’argent, le Mexique est le pays qui se distingue en tant que producteur et le Pérou possède actuellement la plus grande réserve au monde. Le Brésil dispose de minuscules réserves de minéraux argentés, sa participation à la production mondiale de ce métal est presque négligeable. Dans le pays, il n’y a jamais eu de registres de l’extraction de l’argent comme produit principal, il est toujours trouvé associé à d’autres substances et labouré comme un sous-produit de leur extraction. La production nationale se fait principalement dans les métaux primaires et, dans une moindre mesure, dans les métaux concentrés, parce qu’elle est plus coûteuse et nécessite plus d’étapes de transformation. La demande d’argent est beaucoup plus élevée que sa production dans le pays, ce qui rend les dépenses d’importation plus élevées que celles qui ont des exportations. Le matériau le plus exporté est le bien primaire et le plus importé est le produit semi-manufacturé. La consommation intérieure d’argent dans le pays est presque stable, avec peu de variations. Les secteurs qui consomment le plus d’argent sont : la monnaie, l’industrie photographique, le secteur joaillier et l’électronique. Son prix a connu une baisse après une hausse record en 2011 en raison de la faible demande industrielle associée à une forte offre de métal.
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Carpantier, Jean-François. "Numéro 161 - mars 2021." Regards économiques, March 17, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.03.16.01.

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L’or est étroitement mêlé à l’histoire des hommes, étant tour à tour chair des dieux égyptiens, matière des premières pièces de monnaie, promesse de liberté lors des ruées vers l'or et ancrage du système monétaire international. Aujourd’hui, alors qu’il ne joue plus de rôle officiel dans nos systèmes monétaires, l’or continue de susciter l’intérêt des investisseurs. En août 2020, le prix de l’or a atteint un nouveau sommet en dépassant ponctuellement les 2.000 dollars l’once. L’investissement est tentant. Les vertus présumées de l’or sont multiples. Certains y voient un refuge lorsque le climat économico-financier se dégrade, d’autres une couverture contre les fluctuations du dollar américain, d’autres un moyen de se protéger de l’inflation. Et justement, les craintes d'un retour de l'inflation ressurgissent, au vu des niveaux d'endettement de nos économies. Dans ce numéro de Regards économiques, nous testons la validité de cette dernière vertu : la propriété qu'aurait l'or de protéger contre l’inflation. L’originalité de notre approche est non pas d’évaluer la capacité propre de l’or à préserver le pouvoir d’achat, mais plutôt sa performance relative par rapport à d’autres matières premières que sont, par exemple, le pétrole, le cuivre ou le blé. En nous appuyant sur différentes techniques statistiques, nous montrons que la réputation de l'or est surfaite, l'or n'étant pas plus apte à protéger contre l’inflation que ne l’est le maïs, le nickel, le pétrole ou toute autre matière première.
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Larue, Louis. "Focus 26 - janvier 2021." Regards économiques, January 28, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.01.28.01.

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Les crypto-monnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, animent le débat public depuis au moins 10 ans. A leur avènement, les banques centrales se sont montrées pour le moins frileuses. Ainsi, dans un rapport publié en 2013, la Banque centrale européenne (BCE) avertissait que la nature non réglementée de ces monnaies pourrait exposer leurs utilisateurs à des risques élevés. Plusieurs années plus tard, les banquiers centraux reconnaissent maintenant leur potentiel. La Banque d'Angleterre, la Banque centrale suédoise et la BCE étudient toutes intensément la possibilité d'émettre leur propre monnaie numérique (ci-après dénommée «monnaie numérique de banque centrale» ou «central bank digital currencies» en anglais). Cet enthousiasme est-il justifié ? Les banques centrales devraient-elles créer leur propre monnaie numérique ? Ce focus de Regards économiques présente d’abord brièvement ce que sont ces monnaies. Il expose ensuite les raisons justifiant leur éventuelle introduction et détaille finalement les risques qu’elles pourraient poser. Notons tout d’abord que ces monnaies ne sont pas une copie «publique» des crypto-monnaies privées. Les banques centrales rejettent en effet la nature décentralisée et l’absence de gouvernance unifiée du Bitcoin et des crypto-monnaies similaires. Par ailleurs, la nature «numérique» de ces nouvelles monnaies n’est pas vraiment une innovation. La majorité de la masse monétaire prend déjà une forme numérique. A côté de la monnaie «physique» (pièces et billets), la plus grande partie de notre monnaie est constituée de dépôts bancaires privés et de dépôts à la banque centrale (la monnaie de réserve). Pour l'instant, seules les banques et certaines institutions financières ont accès aux réserves de la banque centrale. La véritable innovation au cœur des monnaies numériques de banque centrale serait de donner aux particuliers et aux entreprises la possibilité de détenir de l'argent sous forme de dépôts directement auprès de la banque centrale. En somme, les monnaies numériques de banques centrales, malgré leur nom, ne formeraient pas une nouvelle monnaie, mais plutôt un nouveau moyen de payement, labellisé en euros, et de valeur équivalente à l’euro. Pour quelles raisons une banque centrale pourrait-elle donner cette opportunité à toutes et tous ? Une première raison est liée à la dépendance des banques centrales vis-à-vis du système financier. Le système financier moderne est basé sur une certaine division du travail entre les banques commerciales qui sont chargées de prêter de l'argent au secteur productif, et les banques centrales qui supervisent les premières et tentent d'influencer l'économie par des interventions sur les marchés financiers. Schématiquement, ces dernières tentent de peser sur le comportement des premières de deux manières : soit en modifiant le taux d’intérêt auquel les acteurs financiers peuvent leur emprunter de l’argent, soit via l’achat ou la vente d’actifs financiers. Cela signifie que les banques centrales n'ont qu'une influence indirecte sur l'économie productive et qu'elles dépendent des banques commerciales pour canaliser la politique monétaire. Lors de la crise financière de 2007-2008, par exemple, la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales a conduit les premières à injecter des milliards d'euros et de dollars sur les marchés financiers, dans l'espoir que les banques commerciales utilisent cet argent pour des investissements productifs. Or, l’efficacité de ces politiques est loin d’être démontrée. D’aucuns s’effraient que cette situation ne génère des bulles spéculatives et ne privilégie indûment les banques commerciales, sans que ces dernières ne financent l’économie productive à la hauteur des espérances des banquiers centraux. La mise en œuvre de monnaies numériques de banque centrale à grande échelle pourrait modifier radicalement cette situation. Cela offrirait un système de paiement alternatif qui ne serait pas géré par le secteur bancaire commercial. Les citoyens pourraient également choisir de placer leurs économies sur un compte à la banque centrale qui, par définition, serait plus sûr qu’un compte dans une banque commerciale. En outre, l'introduction de ces monnaies réduirait la dépendance des banques centrales vis-à-vis des banques commerciales en permettant aux banques centrales de créditer directement les comptes des citoyens ou des entreprises, sans nécessairement recourir à des intermédiaires bancaires. Par conséquent, l'introduction de ces monnaies pourrait rendre la politique monétaire plus directe et plus simple. A première vue, donc, on pourrait se réjouir de la possibilité de limiter la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales. Il convient cependant de considérer plusieurs problèmes importants. Premièrement, si les particuliers et les entreprises décident de considérer leur banque centrale comme leur fournisseur de services bancaires, ne risque-t-on pas de rendre les banques commerciales obsolètes et superflues ? Dans ce cas extrême, ni les citoyens ni les banques centrales n'auraient plus besoin d'intermédiaires pour l’octroi de crédits et l’accueil de dépôts. Les banques commerciales garderaient sans doute le rôle d’intermédiaire sur les marchés financiers, mais manqueraient d'une source de financement appropriée (les dépôts des clients) et perdraient une de leurs principales activités (les prêts). La taille des marchés financiers pourrait se réduire considérablement. Cela pourrait fragiliser la santé économique des banques commerciales et celle des marchés financiers dans leur ensemble. Un deuxième problème concerne l’équilibre des pouvoirs entre gouvernements, banques centrales et banques commerciales. À la suite de la crise financière, les banques centrales ont déjà acquis d'énormes pouvoirs. La BCE a par exemple participé à la Troïka en Grèce et dicté des réformes économiques structurelles dans ce pays. La Réserve fédérale américaine (la Fed), la BCE et la Banque d'Angleterre ont également obtenu des pouvoirs supplémentaires de supervision du système bancaire. Et elles sont toutes intervenues massivement sur les marchés financiers, par l'achat massif d'obligations et de titres. L’introduction de monnaies numériques de banque centrale renforcerait ces tendances et accroîtrait le poids des banques centrales sur les marchés financiers, en leur donnant un accès direct aux comptes des citoyens et des entreprises, et en leur permettant de contourner les acteurs financiers commerciaux. Ce déséquilibre de pouvoir pourrait encore accroître le déficit démocratique dont souffrent les banques centrales. Par ailleurs, les banques centrales, si elles sont amenées à fournir des services bancaires et à alimenter l'économie productive par le crédit, pourraient être entraînées dans d’importants conflits d'intérêts. En effet, ces dernières deviendraient leur propre régulateur. En conclusion, il est certain que les monnaies numériques de banque centrale suscitent un débat intéressant sur le rôle des banques centrales dans le système financier. D’une part, elles pourraient constituer une piste de solution à la dépendance des banques centrales vis-à-vis des marchés financiers. Cependant, elles pourraient également conduire à accroître démesurément les pouvoirs des banques centrales et à fragiliser les marchés financiers en rendant le financement des banques commerciales plus complexe. L’enjeu, en définitive, est le partage du pouvoir financier entre banques commerciales et banques centrales – un débat qui dépasse de loin l’objectif de ce focus, et qu’il ne prétend pas trancher. Pour aller plus loin : Larue, L., Fontan, C. et Sandberg, J. (2020). The promises and perils of Central Bank Digital Currencies. Revue de la Régulation, Numéro 28.
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Leuchter, Mark. "Jehoiakim and the Scribes: A Note on Jer 36,23." Zeitschrift für die alttestamentliche Wissenschaft 127, no. 2 (January 28, 2015). http://dx.doi.org/10.1515/zaw-2015-0019.

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Zwar wurde schon lange erkannt, dass Jojakims Vernichtung der prophetischen Spruchrolle Jeremias (Jer 36,23) eine Ablehnung des Prophetenwortes darstellt, die Frage aber, warum der König die Rolle zunächst in Stücke schneidet, bevor er sie den Flammen preisgibt, hat noch nicht das angebrachte Maß an Aufmerksamkeit erfahren. Die vorliegende Studie stellt heraus, dass dieses sonst wenig beachtete Detail mit der Konzeption zusammenhängt, bei der Verschriftlichung eines Prophetenwortes handle es sich um eine Art Ersatzhandlung für Prophetie oder gar um eine Form von Prophetie an sich. Nach vergleichender Berücksichtigung von antiken Traditionen, die eine solche Verschriftlichung als Träger von Offenbarung darstellen, wird Jojakims Handeln erklärbar: In der vorliegenden Darstellung macht der König den Akt der Verschriftlichung ungeschehen, dessen Offenbarungscharakter demjenigen der ursprünglichen Worte des Prophetenspruches an Autorität gleichkommt.While scholars have long recognized that Jehoiakim’s destruction of Jeremiah’s oracle-croll (Jer 36,23) constitutes a repudiation of the prophetic word, the question of why the king first slices the scroll into pieces before consigning it to the fire has not received adequate attention. The present study suggests that this otherwise extraneous detail relates to the role of scribal redaction as a surrogate for – and even a form of – prophecy. After a consideration of comparative ancient traditions that present scribal redaction as a vehicle for revelation, Jehoiakim’s actions become clear: the king is presented as »undoing« the act of redaction, which carried revelatory power equal in force to the words of the prophet’s original oracles.Alors que les chercheurs ont depuis longtemps reconnu que la destruction du rouleau d’oracles de Jérémie par Yoyaqim (Jer 36,23) démontre le rejet de la parole prophétique, la question de savoir pourquoi le roi découpe d’abord le rouleau en pièces avant de jeter les morceaux au feu n’a pas encore reçu de réponse adéquate. Cet article tente de démontrer que ce détail insolite se comprend par rapport au rôle qu’occupait l’activité du scribe comme substitut, voire même comme une forme de prophétie. Après avoir comparé ce texte avec des anciennes traditions similaires, qui présentent l’activité du scribe comme une voie de la révélation, l’action de Yoyaqim devient claire : le roi est présenté comme »défaisant« l’acte de la rédaction, qui comportait un pouvoir de révélation similaire au pouvoir des mots du prophète dans les oracles originels.
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