Academic literature on the topic 'Période d'incubation de la maladie infectieuse'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Période d'incubation de la maladie infectieuse.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Période d'incubation de la maladie infectieuse"

1

Adeyefa, C. A. O. "Diagnostic rapide de la peste équine." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 4 (April 1, 1996): 295–98. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9499.

Full text
Abstract:
Dans le présent article est décrite une technique rapide de diagnostic de la peste équine dès la période d'incubation de la maladie. Il s'agit d'un test ELISA indirect en sandwich qui permet la détection des antigènes viraux liés aux lymphocytes circulants ou aux globules rouges. Sur les prélèvements sanguins récoltés durant la phase virémique des chevaux malades, les lymphocytes circulants ont donné de meilleurs résultats en comparaison avec les globules rouges. La possibilité d'application de cette technique comme technique de diagnostic rapide et d'épidémiosurveillance de la peste équine en zone non infectée comme en zone enzootique est discutée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Willemsma, Kaylie, Lindsay Barton, Rochelle Stimpson, Irene Pickell, Venessa Ryan, Amanda Yu, Ann Pederson, Gina Ogilvie, Troy Grennan, and Jason Wong. "Caractérisation des cas de syphilis infectieuse féminine en Colombie-Britannique afin de déterminer les possibilités d’optimisation des soins." Relevé des maladies transmissibles au Canada 48, no. 2-3 (February 24, 2022): 76–84. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v48i23a03f.

Full text
Abstract:
Introduction : Le taux de syphilis infectieuses continue d'augmenter chez les femmes en Colombie-Britannique et au Canada, ce qui soulève des préoccupations quant à l'augmentation de l'incidence de la syphilis congénitale. Nous avons caractérisé les cas de syphilis chez les femmes de la Colombie-Britannique afin de déterminer les possibilités de prévenir la syphilis et d'optimiser ses soins. Méthodes : Tous les cas de syphilis infectieuse diagnostiqués en Colombie-Britannique entre le 13 mars 2018 et le 31 décembre 2020 et s'identifiant comme femme ont été examinés. Des données démographiques, des facteurs de risque et des conditions concurrentes ont été recueillis auprès d'un système de surveillance provincial. Des analyses de sous-groupes comparant des cas avec et sans instabilité du logement, consommation de substances, maladie mentale et une infection sexuellement transmissible récente (ITS) ont été effectuées afin de comprendre les différences entre ces sous-groupes. Les associations statistiques ont été calculées au moyen de tests khi carré ou de tests t. Résultats : Au cours de cette période, 226 cas de syphilis infectieuse féminine ont été déclarés en Colombie-Britannique : 38 (16,8 %) en 2018; 74 (32,7 %) en 2019; et 114 (50,4 %) en 2020. L'âge moyen était de 32 ans (intervalle de 15 à 75 ans). Parmi les personnes qui ont déclaré des conditions concomitantes, la plupart des cas ont connu une instabilité du logement (71,1 %), une consommation de substances (68,2 %) et une maladie mentale (83,9 %), alors que 42,9 % avaient une ITS récente. Les cas qui ont déclaré une instabilité du logement ou une consommation de substances étaient beaucoup plus susceptibles d'avoir récemment eu une ITS, avoir des antécédents de vie dans la rue, de rapports sexuels transactionnels, une maladie mentale et une aide au revenu (tous p < 0,01). Conclusion : Nos résultats soulignent l'importance de favoriser un environnement propice aux soins de la syphilis. Des services simultanés pour soutenir les personnes atteintes de syphilis ainsi que l'instabilité du logement, la consommation de substances et la maladie mentale pourraient aider à prévenir la syphilis et à améliorer le bien-être.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Salat, Olivier, and Florent Perrot. "La période de transition chez la vache laitière : une phase critique pour sa santé." Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 13, no. 49 (2021): 7–19. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/49009.

Full text
Abstract:
Des progrès remarquables en termes de production laitière bovine ont été obtenus au cours de ces dernières décennies. Les vaches laitières modernes présentent des performances productives très élevées mais le corollaire en est une sensibilité beaucoup plus grande au moindre dysfonctionnement, qu’il soit alimentaire ou de conduite d’élevage. Cette sensibilité est exacerbée pendant le peripartum, période correspondant à la transition entre la fin de gestation et le démarrage de la lactation. Le métabolisme de la vache se focalise alors sur la production prioritaire de lait, comme l’illustrent la prédominance des hormones de l’homéorrhèse et l’orientation du glucose ou du calcium vers la mamelle. Le vêlage et ses suites ainsi que la constitution du colostrum et du lait s’accompagnent d’un état inflammatoire systémique, fondamental par exemple pour une bonne involution utérine, mais qui peut rapidement s’exacerber. De plus, un stress oxydant est toujours présent à ce moment-là et c’est son intensité qui va conditionner son effet délétère. Enfin, cette étape est également caractérisée par un certain degré d’immunodépression. Une lipomobilisation marquée, des états plus ou moins prolongés d’hypocalcémie, des perturbations du fonctionnement ruminal ainsi qu’un manque d’antioxydants représentent les quatre principaux facteurs qui vont aggraver les états précédemment décrits et qui peuvent aboutir à une maladie, qu’elle soit infectieuse, métrites ou mammites, ou métabolique, non délivrance, cétose, déplacement de caillette à gauche. La maîtrise du péripartum d’une vache laitière impose donc de mettre en place les outils indispensables à la prévention de ces 4 écueils.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Singh, Ameeta E., Kethika Kulleperuma, Jenny Begin, Jessica DeGuzman, Diane Sammurtok, Obed Anoee, Theresa Koonoo, and Jasmine Pawa. "Leçons tirées de la gestion de la syphilis au Nunavut, Canada, 2012 à 2020." Relevé des maladies transmissibles au Canada 48, no. 2-3 (February 24, 2022): 115–24. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v48i23a08f.

Full text
Abstract:
Contexte : Le Nunavut, territoire qui fait partie de l’Inuit Nunangat, est une vaste région dans le nord du Canada qui abrite une population de plus de 38 000 personnes. La majorité de la population (85 %) s’identifie comme Inuit. Le Nunavut a connu une hausse importante du nombre de cas de syphilis infectieuse dans sa population hétérosexuelle depuis 2012. La gestion des maladies transmissibles, notamment la syphilis, est difficile en raison du roulement élevé du personnel et des longs délais de transport des spécimens. Les déterminants sociaux de la santé sont également des facteurs contributifs importants. Cette étude vise à décrire l’épidémiologie et les éléments du programme sur la syphilis infectieuse de 2012 à 2020 dans le but de mettre en évidence des interventions qui pourraient s’avérer bénéfiques. Méthodes : La syphilis est une maladie à déclaration obligatoire au Nunavut, et tous les cas sont signalés au ministère de la Santé du territoire. Les cas ont été déclarés par un médecin consultant. Les données ont été analysées et publiées dans des rapports publics dans le cadre du programme de santé publique. Résultats : De 2012 à 2020, 655 cas de syphilis infectieuse ont été signalés, dont 53 % chez des femmes. Les taux d’infection étaient les plus élevés chez les personnes âgées de 20 à 39 ans. Les cas déclarés au cours de cette période variaient considérablement selon la région géographique, et la majorité des cas infectieux ont été signalés dans la région de Kivalliq. Malgré 48 cas signalés pendant la grossesse, il n’y a eu aucun cas confirmé de syphilis congénitale. Le personnel du programme a cerné les forces des interventions ainsi que les besoins continus, comme les ressources en langage clair disponibles dans plusieurs langues. Conclusion : Malgré les défis logistiques liés à la gestion de la syphilis dans le territoire, les résultats globaux ont été positifs, et aucun cas congénital confirmé n’a été identifié. Nous attribuons cela à un effort coordonné de multiples partenaires, notamment des interventions clés d’infirmières de la santé publique et de représentants de la santé communautaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Wann, TA, and Et Al. "La tuberculose et ses aspects épidémio-cliniques et évolutifs au service de Médecine Interne de l’Hôpital National Donka (Guinée)." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 19, no. 1 (March 13, 2024): 38–41. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v19i1.2792.

Full text
Abstract:
Introduction : La tuberculose est une maladie infectieuse à transmission interhumaine liée au bacille de koch (BK). Elle est l’une des pathologies infectieuses causant le plus de décès dans le monde. Notre objectif était de déterminer les aspects épidémiologiques, cliniques et évolutifs de la tuberculose au service de Médecine Interne de l’Hôpital National Donka. Matériel et Méthodes : Il s’agissait d’une étude rétrospective de type descriptif portant sur les dossiers médicaux des patients au service de médecine interne (SMI) de l’hôpital national Donka sur une période d’étude allant de janvier 2017 à juin 2023. Nous avons inclus, tous les dossiers des patients âgés de plus de 15 ans durant la période d’étude et présentant les signes d’imprégnation tuberculeuse. Résultats : Durant la période d’étude 145 patients avec 81 (55,86 %) hommes et 64 (44,14 %) femmes ont été colligés. L’âge moyen de nos patients était de 44 ans avec une prédominance masculine soit un sex-ratio de 1,26. Soixante-quinze patients (51,72 %) étaient des patients infectés par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH). La tuberculose était de localisation multifocale dans 69 (47,59 %) des cas, neuro-méningée chez 31 (21,38 %) des cas et pulmonaire dans 45 (31,03 %) des cas. La symptomatologie clinique était dominée par l’altération de l’état général et la fièvre chez tous nos patients, les vomissements chez 61 (42,07 %) patients. Les signes radiologiques les plus fréquents étaient les nodules pulmonaires (53,36 %) et les adénopathies profondes (36,42%). La tuberculose était confirmée par gène expert dans 38,27% des cas. L’intradermo-réaction à la tuberculine était positive dans 42 % des cas. L’évolution était favorable chez 68 % des patients, vers une aggravation dans 32 % des cas avec un taux de décès de 26%. Conclusion : La tuberculose demeure encore un problème de santé publique dans nos régions surtout depuis l’avènement du VIH/Sida. Cette affection concerne surtout les hommes dans notre contexte.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Gervelmeyer, A., H. Abu Ajarnijeh, E. Bani Younis, O. Anasweh, N. Bzour, R. Akasheh, Peter-Henning Clausen, C. Staak, and G. Monreal. "Production d'anticorps de jaune d'oeuf antiviraux spécifiques pour le diagnostic de la maladie de Newcastle, de la bronchite infectieuse et de la maladie de Gumboro par le test d'immunofluorescence directe." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 51, no. 1 (January 1, 1998): 5–9. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9652.

Full text
Abstract:
Les possibilités d'utilisation d'anticorps de jaune d'oeuf (IgY) pour la détection des virus de la maladie de Newcastle (NDV), de la bronchite infectieuse (IBDV) et de la maladie de Gumboro (IBDV) par le test d'immunofluorescence directe ont été examinées. Des poules pondeuses ont été immunisées avec différents vaccins commerciaux à NDV, IBV et IBDV inactivés. L'immunisation a donné des titres élevés d'anticorps spécifiques dans le jaune d'oeuf à partir de 4 à 8 semaines après l'immunisation initiale, et ce durant une période d'environ 20 semaines. Les IgY ont été extraites du jaune d'oeuf par précipitation au sulfate d'ammonium, puis purifiées par la méthode de chromatographie d'affinité, donnant 1,46 mg d'IgY spécifique par jaune d'oeuf en moyenne. Après marquage avec l'isothiocyanate de fluorescéine (FITC) la sensibilité et la spécificité des conjugués ont été évaluées sur des cultures cellulaires sur des lamelles couvre-objets. Dans le test d'immunofluorescence directe, les conjugués dilués au 1 : 8 ou au 1 : 4 avec du PBS réagissaient spécifiquement avec l'antigène homologue dans des calques d'organes de poussins infectés expérimentalement et dans des cultures cellulaires sur des lamelles couvre-objets. Aucune réaction n'a été observée avec des antigènes hétérologues. La fluorescence non spécifique était facilement éliminée par une absorption avec de la poudre de foie. En conclusion, ces résultats montrent que les IgY marquées avec FITC peuvent être produites en grandes quantités de manière facile et économique. Pour le diagnostic de NDV, IBV et IBDV, les anticorps de jaune d'oeuf constituent donc une excellente alternative à la production d'anticorps fluorescents à partir du sang de lapins ou de poules, notamment pour les laboratoires ayant des moyens financiers limités.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Ndubuka, Nnamdi, Sabyasachi Gupta, Rim Zayed, Brian Quinn, Moliehi Khaketla, Elaine Chan, Kristyn Franklin, and Erin McGill. "Éclosion multijuridictionnelle de COVID-19 associée à une veillée funèbre et à des funérailles dans une communauté des Premières Nations du nord de la Saskatchewan." Relevé des maladies transmissibles au Canada 48, no. 4 (April 6, 2022): 156–62. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v48i04a04f.

Full text
Abstract:
Contexte : Soixante-huit cas confirmés en laboratoire de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) (12 en Alberta, 56 en Saskatchewan) sont liés à un rassemblement dans un hôpital en Alberta du 1er au 4 juin 2020 et à une veillée funèbre et des funérailles dans une communauté des Premières Nations du nord de la Saskatchewan du 9 au 11 juin 2020. Objectif : Les objectifs étaient de fournir une description complète de l’épidémiologie de l’éclosion et de décrire les chaînes de transmission pour étayer l’hypothèse selon laquelle il y aurait eu des introductions multiples de la COVID-19 lors de la veillée funèbre et des funérailles. Méthodes : L’enquête sur les cas et la recherche des contacts ont été menées par les services de santé publique locaux en Alberta et en Saskatchewan, et l’Agence de la santé publique du Canada a effectué une analyse centralisée des cas. Une courbe épidémique et un diagramme de Gantt pour la période infectieuse ont été créés pour confirmer ou infirmer l’existence d’introductions multiples de la COVID-19 lors de la veillée funèbre et des funérailles. Résultats : Les dates de début de maladie s’échelonnaient du 31 mai au 1er juillet 2020. L’âge variait de 2 à 80 ans (âge médian = 43 ans). Cinq cas ont été hospitalisés; il n’y a pas eu de décès. Les renseignements disponibles sur l’exposition aux cas soutiennent l’hypothèse qu’il y a eu de multiples introductions de la COVID-19 lors de la veillée funèbre et des funérailles. Les autorités de santé publique de l’Alberta et de la Saskatchewan ont déclaré la fin de l’éclosion le 20 juillet 2020, soit deux périodes d’incubation (i.e. 28 jours) après l’apparition de la maladie chez le dernier cas primaire. Conclusion : Pendant les éclosions multijuridictionnelles, le partage des données, la coordination entre les autorités de la santé publique et l’analyse centralisée sont essentiels pour comprendre les événements qui ont conduit à l’éclosion et les hypothèses possibles concernant les chaînes de transmission.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Shaw, Souradet, Pierre Plourde, Penny Klassen, and Derek Stein. "Étude descriptive des tests de dépistage de la syphilis au Manitoba, Canada, 2015 à 2019." Relevé des maladies transmissibles au Canada 48, no. 2-3 (February 24, 2022): 107–14. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v48i23a07f.

Full text
Abstract:
Contexte : En 2018, le Manitoba affichait le plus haut taux déclaré de syphilis infectieuse au Canada, soit plus de trois fois la moyenne nationale. Dans la province, la syphilis infectieuse touche principalement les jeunes couples hétérosexuels marginalisés du centre-ville de Winnipeg. Par la suite, une crise de santé publique découlant de la syphilis congénitale est apparue au Manitoba, juste avant la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Le dépistage de la syphilis (dans le cas d’une grossesse) est considéré comme une mesure efficace pour réduire l’incidence de la syphilis et de ses séquelles. L’objectif de cette étude est de décrire les pratiques de dépistage de la syphilis dans la population générale et chez les femmes enceintes pendant une épidémie de syphilis. Méthodes : Les données d’analyse utilisées de la syphilis fondées sur la population provenaient du laboratoire provincial Cadham (Winnipeg, Manitoba) pour la période de 2015 à 2019. Les taux normalisés selon l’âge sont déclarés directement, et la régression de Poisson a été utilisée pour modéliser les déterminants des taux de dépistage. Les taux de dépistage prénatal sont également déclarés. Résultats : De 2015 à 2019, un total de 386 350 personnes ont subi un test de dépistage de la syphilis. Le taux a augmenté chaque année, passant de 462 pour 10 000 habitants en 2015 à 704 pour 100 000 en 2019, tandis que le ratio femme-homme a diminué, passant de 1,8 à 1,6. Avant 2019, la majorité des femmes enceintes (environ 60 %) ont fait l’objet d’un dépistage une fois, au cours du premier trimestre; toutefois, en 2019, davantage de femmes ont subi plus de deux tests au cours de leur grossesse. Conclusion : Il y a eu une augmentation globale du nombre de personnes testées, ce qui reflète le taux accru de syphilis au Manitoba. Les tendances du dépistage prénatal ont changé en 2019, probablement en raison de l’augmentation du nombre de cas de syphilis congénitale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Anderson, Maureen, Ashok Chhetri, Edith Halyk, Amanda Lang, Ryan McDonald, Julie Kryzanowski, Jessica Minion, and Molly Trecker. "Une éclosion de COVID-19 associée à un centre d’entraînement physique en Saskatchewan : leçons pour la prévention." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 11 (November 10, 2021): 538–44. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i11a08f.

Full text
Abstract:
Contexte : Une éclosion de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) est survenue en Saskatchewan du 12 septembre au 20 octobre 2020. L’événement index, la fréquentation d’un centre d’entraînement physique local, a donné naissance à six éclosions/agrégats de cas supplémentaires dans de multiples contextes. Il s’agissait d’une école secondaire, d’un hôpital, de trois lieux de travail (A, B et C) et de plusieurs ménages. L’aggrégat comprenait 63 cas au total, soit 27 membres du centre d’entraînement et 36 autres cas de deuxième, troisième et quatrième génération. Méthodes : Tous les cas de COVID-19 liés à l’éclosion et confirmés en laboratoire ont été inclus dans l’analyse. Les autorités locales de santé publique ont interrogé tous les cas et les contacts et ont mené des enquêtes environnementales dans le centre d’entraînement physique. Nous avons utilisé des méthodes épidémiologiques descriptives pour comprendre la dynamique de transmission de l’aggrégat associé au centre d’entraînement en utilisant l’enquête des cas, l’enquête sur les contacts et les données de laboratoire, y compris le séquençage du génome entier. Résultats : Les données de séquençage ont confirmé la lignée unique des cas liés à l’aggrégat (n = 32 séquencés; coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 [SRAS-CoV-2] lignée B.1.1.72). En plus de la fréquentation du centre d’entraînement, des cas infectieux fréquentaient l’école secondaire et étaient impliqués dans d’autres activités. Malgré la transmission continue dans le centre d’entraînement, aucun cas secondaire n’a été identifié dans l’école secondaire où quatre élèves appartenant à l’aggrégat ont assisté à des cours pendant leur période infectieuse. Conclusion : Nous décrivons une éclosion de COVID-19 où le ou les cas index fréquentaient un centre d’entraînement, et où la propagation s’est poursuivie pendant 38 jours malgré le dépistage et l’isolement des cas positifs au cours de cette période. En raison de la fréquentation du centre d’entraînement au fil du temps, la fermeture à court terme et le nettoyage peuvent ne pas interrompre les chaînes de transmission. Une mesure de santé publique ciblée et préventive dans les installations d’entraînement physique peut être justifiée. Les mesures de contrôle ont permis de limiter la propagation dans les écoles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Adeyemi, O. I., O. O. Ige, M. A. Akanmu, and O. E. Ukponmwan. "In vivo anti-malarial activity of propranolol against experimental Plasmodium berghei ANKA infection in mice." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 21, no. 4 (August 25, 2020): 333–39. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v21i4.10.

Full text
Abstract:
Background: Malaria is a mosquito-borne infectious disease caused by Plasmodium spp, which is widespread in tropical and subtropical regions of the world. The objective of this study is to evaluate in vivo antimalarial activity of propranolol against experimental Plasmodium berghei ANKA (PbA) infection in a mouse model.Methods: A total of 36 mice weighing between 15 to 18g were randomly divided into six groups of six mice each. Mice in the first group (SAL) were non-infected with P. berghei but received normal saline (control), second group (PbA) were mice infected without treatment (control), third group (PRL) were non-infected mice treated with propranolol at the dose of 7.5 mg/kg/bid, fourth group (PbA+PRL) were mice infected and treated with same dose of propranolol, fifth group (QUN) were non-infected mice treated with quinine at a dose of 20 mg/kg stat, then 10 mg/kg bid, and sixth group (PbA+QUN) were infected mice treated with quinine. Parasitaemia, physiological conditions (cognitive function, temperature) and lethality of infected mice were monitored over 7-day period to assess the antimalarial activity of propranolol and quinine. The Y-maze paradigm was used to assess cognitive impairment induced by PbA infection. The effects of propranolol on malaria indices and cognitive impairment were compared with that of quinine and the control using T-test statistical method.Results: Mortality of mice at day 7 in the infected group without treatment (PbA) was 100% (6/6) while mortality was 50% (3/6) in infected group treated with propranolol (PbA+PRL) and 33.3% (2/6) in infected group treated with quinine (PbA+QUN) (OR=2.000, p=1.000). No mortality was recorded in any of the three groups of uninfected mice. Propranolol reduced parasitaemia to a trough level of 1.40±0.07 three days after treatment, comparable to trough level of 1.39±0.0633 by quinine but did not reverse PbA-induced hypothermia, which quinine did.Conclusion: Propranolol demonstrated in vivo antimalarial activity against experimental PbA infection in mice comparable to that of quinine. Keywords: malaria, propranolol, quinine, Plasmodium, cerebral malaria French Title: Activité antipaludique in vivo du propranolol contre l'infection expérimentale par Plasmodium berghei ANKA chez la souris Contexte: Le paludisme est une maladie infectieuse transmise par les moustiques causée par Plasmodium spp, qui est répandue dans les régions tropicales et subtropicales du monde. L'objectif de cette étude est d'évaluer l'activité antipaludique in vivo du propranolol contre une infection expérimentale à Plasmodium berghei ANKA (PbA) dans un modèle murin. Méthodes: Un total de 36 souris pesant entre 15 et 18 g ont été réparties au hasard en six groupes de six souris chacun. Les souris du premier groupe (SAL) n'étaient pas infectées par P. berghei mais ont reçu une solution saline normale (contrôle), le deuxième groupe (PbA) était des souris infectées sans traitement (contrôle), le troisième groupe (PRL) était des souris non infectées traitées par propranolol à la dose de 7,5mg/kg/bid, le quatrième groupe (PbA+PRL) étaient des souris infectées et traitées avec la même dose de propranolol, le cinquième groupe (QUN) étaient des souris non infectées traitées avec de la quinine à une dose de 20mg/kg stat, puis 10mg/kg bid et le sixième groupe (PbA+QUN) étaient des souris infectées traitées avec de la quinine. La parasitémie, les conditions physiologiques (fonction cognitive, température) et la létalité des souris infectées ont été surveillées sur une période de 7 jours pour évaluer l'activité antipaludique du propranolol et de la quinine. Le paradigme du labyrinthe en Y a été utilisé pour évaluer les troubles cognitifs induits par l'infection au PbA. Les effets du propranolol sur les indices du paludisme et les troubles cognitifs ont été comparés à ceux de la quinine et du témoin à l'aide de la méthode statistique du test T. Résultats: La mortalité des souris au jour 7 dans le groupe infecté sans traitement (PbA) était de 100% (6/6) tandis que la mortalité était de 50% (3/6) dans le groupe infecté traité avec du propranolol (PbA+PRL) et 33,3% ( 2/6) dans le groupe infecté traité par la quinine (PbA+QUN) (OR=2.000, p=1.000). Aucune mortalité n'a été enregistrée dans aucun des trois groupes de souris non infectées. Le propranolol a réduit la parasitémie à un niveau minimum de 1,40±0,07 trois jours après le traitement, comparable au niveau minimum de 1,39±0,0633 de la quinine, mais n'a pas inversé l'hypothermie induite par le PbA, ce que la quinine a fait. Conclusion: le propranolol a démontré une activité antipaludique in vivo contre l'infection expérimentale au PbA chez la souris comparable à celle de la quinine. Mots-clés: paludisme, propranolol, quinine, Plasmodium, paludisme cérébral
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Période d'incubation de la maladie infectieuse"

1

Galmiche, Simon. "Identifying the settings at risk of transmission of SARS-CoV-2, the role of children in household transmission, and the incubation period of the main variants in an online case-control study in France." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2024SORUS144.pdf.

Full text
Abstract:
Notre objectif était d’identifier, pour l’infection à SARS-CoV-2, les lieux de transmission, le rôle des enfants dans la transmission intra-domiciliaire et la période d’incubation. Dans une étude cas-témoins en France métropolitaine incluant des adultes avec infection récente et des témoins non infectés appariés sur l’âge, le sexe, la région, la taille de population, et la semaine, nous avons estimé les odds ratios d’infection par le SARS-CoV-2 pour certains lieux d’intérêt, comportements, activités et la présence d’enfants au domicile. Nous avons analysé les circonstances de transmission décrites par les cas. Nous avons étudié l’effet de l’isolement entre un enfant infecté et les parents au sein des foyers, et la période d’incubation pour différents variants. D’octobre 2020 à octobre 2022, nous avons inclus 691454 cas et 57065 témoins. Après appariement de 175688 cas avec 43922 témoins (4 :1) durant l’étude divisée en neuf périodes, nous avons identifié un risque augmenté d’infection associé aux bureaux partagés, transports en commun et lieux de loisirs. Parmi les cas ayant identifié la source de transmission, celles-ci avaient lieu principalement dans les foyers, auprès de la famille élargie ou d’amis, ou sur le lieu de travail. Les personnes vivant avec des enfants avaient un risque augmenté d’infection, mais l’isolement d’un enfant infecté (notamment l’aération des espaces clos) était associé à une diminution de la transmission. La période d’incubation du variant omicron était environ 1 jour plus courte que pour le variant historique. Cette étude apporte des éléments de preuve sur la transmission du SARS-CoV-2 qui contribueront à la préparation aux prochaines pandémies
We aimed to identify the community settings associated with the risk of SARS-CoV-2 infection, the role of children in household transmission, and the incubation period of the SARS-CoV-2 infection. In a case-control study conducted in mainland France among adults with recent infection and uninfected controls matched on age, sex, region, population size, and calendar week, we estimated the odds ratios of SARS-CoV-2 infection for community settings, behaviours, activities, and children presence in the household. We leveraged the case series to describe the circumstances of transmission. We studied the effect of intra-household isolation from a child with ongoing infection. We determined the incubation period across variants of SARS-CoV-2. Between October 2020 and October 2022, we included 691,454 cases and 57,065 controls. After matching 175,688 cases with 43,922 controls (4:1) across the study divided into nine periods, we identified the risk associated with shared offices, shared transport, and leisure activities. Among the cases who could identify the source of transmission, the most reported transmissions took place in the household, with extended family or friends, or in the workplace. People living with children were at increased risk of infection, but isolation from an infected child (particularly ventilation of indoor areas) was associated with decreased transmission. The incubation period of the omicron variant was shorter by approximately 1 day compared with the historical strain. The evidence provided by this study on the transmission of SARS-CoV-2 will help design mitigation strategies in the context of pandemic preparedness
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography