Journal articles on the topic 'Pêche à pied – Environnement'

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David, Gilbert. "La pêche côtière océanienne et son environnement." Journal de la société des océanistes, no. 126-127 (December 15, 2008): 247–70. http://dx.doi.org/10.4000/jso.4352.

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2

Lacombe, Philippe. "La pêche à pied: une perspective anthropologique." Loisir et Société / Society and Leisure 23, no. 1 (January 2000): 71–98. http://dx.doi.org/10.1080/07053436.2000.10715604.

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3

Evrard, Barbara, Damien Féménias, and Michel Bussi. "Pêche à pied en sortie d’estuaire de Seine." Espace populations sociétés, no. 2011/1 (March 1, 2011): 137–51. http://dx.doi.org/10.4000/eps.4391.

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4

Arbour, J. Maurice. "La sentence arbitrale du 17 juillet 1986 concernant le filetage du poisson dans les eaux du golfe du Saint-Laurent." Revue générale de droit 17, no. 4 (April 26, 2019): 813–96. http://dx.doi.org/10.7202/1059231ar.

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Abstract:
En 1972 la France et le Canada conclurent un accord sur leurs relations réciproques en matière de pêche. L’accord prévoyait que, lorsque les bâtiments de pêche immatriculés en France métropolitaine se seraient retirés du golfe du Saint-Laurent en mai 1986, les chalutiers français immatriculés à Saint-Pierre et Miquelon, d’une taille maximum de 50 mètres et dans la limite d’une dizaine, pourraient continuer de pêcher dans la zone de pêche canadienne à l’intérieur du golfe sur un « pied d’égalité » avec les chalutiers canadiens. Le Canada ayant interdit à ses propres chalutiers de fileter (transformer en filets) leurs prises dans le golfe, il s’agissait de savoir s’il pouvait imposer cette interdiction aux chalutiers de Saint-Pierre et Miquelon. Un tribunal arbitral de trois membres, composé Donat Pharand (nommé par le Canada), Jean-Pierre Quéneudec (nommé par la France) et Paul de Visscher comme Président (nommé par les deux parties) décida, par deux voix contre une, que le Canada ne pouvait interdire un tel filetage. Ce qui suit est un commentaire de la décision majoritaire du tribunal, en particulier en ce qui a trait au droit du Canada de réglementer le filetage et à l’interprétation de la clause du « pied d’égalité ». Le commentaire se réfère également à l’opinion dissidente. La décision majoritaire et l’opinion dissidente sont chacune reproduites dans la langue dans laquelle elles furent rédigées.
5

Savard, Réjean. "Étude de milieu et stratégies de promotion des services documentaires." Documentation et bibliothèques 32, no. 3 (October 19, 2018): 77–81. http://dx.doi.org/10.7202/1052672ar.

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Abstract:
Les services d’information documentaire fonctionnent comme des « systèmes ouverts ». À ce titre, ils sont en constantes interactions avec leur environnement. L’Etat subventionne les divers organismes d’information documentaire en échange de services efficaces. Le marketing est un outil qui permet de maximiser et de rentabiliser cet échange. Grâce au plan de marketing, le gestionnaire pourra mettre sur pied des stratégies propres à augmenter l’efficacité du service. Le marketing est une « philosophie de gestion » qui place l’usager des services documentaires au centre des préoccupations.
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Gattuso, Linda, Raynald Lacasse, Viateur Lemire, and Jean-Marie Van der Maren. "Quelques aspects sociaux et affectifs de l’enseignement des mathématiques ou le vécu des mathophobes." Revue des sciences de l'éducation 15, no. 2 (November 26, 2009): 193–218. http://dx.doi.org/10.7202/900627ar.

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Abstract:
Résumé Le problème de la mathophobie fait partie du quotidien des professeurs de mathématiques et de la vie de certains étudiants. Un environnement ayant pour but de réconcilier un certain nombre d’élèves ayant un vécu négatif face aux mathématiques a été mis sur pied au Cégep du Vieux-Montréal. Cette recherche-action a consisté à faire l’analyse de séances d’atelier, d’entrevues des participants et de deux questionnaires. Elle conduit à des suggestions pour les professeurs de mathématiques : favoriser la communication et les relations élèves-élèves et enseignant-élève, permettre l’exploration et la verbalisation, resituer les mathématiques dans un contexte plus humain.
7

Plante, Catherine, Matthew Hatvany, and Najat Bhiry. "Le haut marais de l’Isle-aux-Grues : un exemple d’exploitation et de développement durables." Revue d'histoire de l'Amérique française 60, no. 1-2 (February 21, 2007): 37–60. http://dx.doi.org/10.7202/014594ar.

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Abstract:
Résumé Synonymes de richesses animales et végétales, les marais de l’estuaire du fleuve Saint-Laurent ont été exploités depuis longtemps, d’abord par les Amérindiens puis par les colons européens. Toutefois, l’industrialisation a entraîné leur destruction : plus de la moitié des milieux humides de l’estuaire du Saint-Laurent a disparu. Dans l’optique du développement durable, cet article a pour but d’explorer la relation géohistorique entre société et environnement sur le haut marais de l’Isle-aux-Grues1, une relation qui a pris appui sur les limites et les processus naturels de l’écosystème, à la différence de ce qu’on observe dans plusieurs autres environnements humides de l’estuaire. Depuis quatre siècles, les humains ont développé un rapport durable avec la nature, en faisant du haut marais de l’Isle-aux-Grues un lieu de chasse, de pêche, de récolte du foin de mer et de loisir.
8

Boisvert, Denis, and Benoit Seguin. "Implantation en mode coopératif d’un système de gestion de bibliothèques dans huit établissements du réseau de l’Université du Québec (UQTR, UQAC, UQAR, UQO, UQAT, ETS, INRS, ENAP)." Documentation et bibliothèques 56, no. 2 (March 18, 2015): 49–62. http://dx.doi.org/10.7202/1029132ar.

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Abstract:
Historique de l’exploitation de systèmes intégrés de gestion de bibliothèques (SIGB) dans le réseau de l’Université du Québec. Choix et acquisition d’un SIGB commercial. Modèle de gestion à caractère participatif. Mise en oeuvre du projet d’implantation du nouveau SIGB en trois étapes. Mise sur pied d’un catalogue unifié : caractéristiques et défis surmontés dans le cadre de la fusion de huit banques de données. Équipe de soutien et environnement technologique à l’UQTR (Université du Québec à Trois-Rivières). Cadre financier et respect des contingences. Outils de gestion. Rôle du plan de communication. Impacts sur le personnel : processus d’apprentissage et formation. Utilisation d’un outil de gestion de projet.
9

Chudyk, Anna M., Joanie Sims-Gould, Maureen C. Ashe, Meghan Winters, and Heather A. McKay. "Walk the Talk: Characterizing Mobility in Older Adults Living on Low Income." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 36, no. 2 (April 3, 2017): 141–58. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980817000046.

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Abstract:
RÉSUMÉNous offrons une description en profondeur de la mobilité des personnes âgées (activité physique et comportement de voyage) de faible statut socioéconomique vivant dans les communautés. Les participants (n = 161, âge moyen [intervalle] = 74 [65-96] ans) ont rempli des questionnaires administrés par les enquêteurs et ont participé à des mesures objectives de la mobilité. En général, nos résultats n’ont pas indiqué que les personnes âgées de faible statut socio-économique ont une capacité réduite d’être mobiles. Les participants, malgré un désavantage économique, ont présenté des profils positifs, physiques, psychosociaux et liés à leur environnement social, qui influencent tous la capacité d’être mobiles. Ils ont également entrepris une grande proportion des déplacements à pied, bien que ceux-ci ne l’ont pas, pris ensemble, répondu aux directives physiques pour la plupart d’entre eux. Nous incitons les futurs chercheurs à mettre l’accent sur des stratégies novatrices de recrutement de cette population, difficilement accessible, afin de prendre en compte l’influence du statut socio-économique sur la durée de vie, ainsi que le rôle des facteurs liés au comportement lors de l’étude des relations entre une personne, son environnement et la mobilité des aînés.
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Lévesque, Sylvie. "Accoucher à 16 ans, sans violence : une réalité possible ? État empirique de la situation et réflexion critique." Santé mentale au Québec 35, no. 1 (October 26, 2010): 195–219. http://dx.doi.org/10.7202/044804ar.

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Abstract:
La présence de violence intime lors de la grossesse à l’adolescence est une problématique relativement nouvelle en termes d’intérêt scientifique et de préoccupations cliniques. Cette problématique est préoccupante pour la santé publique puisque 1) sa prévalence varie entre 5 % et 67 % selon les études recensées ; 2) les conséquences pour la santé des mères et des bébés sont nombreuses, tant sur le plan de la santé physique que psychologique et sexuelle et 3) les connaissances théoriques et empiriques spécifiques à cette problématique sont peu développées, ce qui limite le développement d’interventions pertinentes et efficaces. Il apparaît donc pertinent et nécessaire d’améliorer l’état des connaissances à différents niveaux écologiques afin de mettre sur pied des interventions préventives adaptées, qui permettront aux jeunes mères de surmonter les conditions adverses dans lesquelles elles se trouvent et d’offrir, à elles et leurs enfants, un environnement favorable et sécurisant.
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André-Lamat, Véronique, and Solange Pupier-Dauchez. "Des pratiques aux perceptions de l’évolution de la pêche à pied de loisir sur l’estran du bassin d’Arcachon : paroles de pêcheurs." Sud-Ouest européen, no. 45 (December 6, 2018): 157–74. http://dx.doi.org/10.4000/soe.4301.

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PEREZ, J. M. "Nouvelles de la recherche - 2èmes Journées de la Recherche Filière Piscicole." INRAE Productions Animales 22, no. 5 (December 9, 2009): 415–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.5.3366.

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Abstract:
Suite à la première édition de 2007, les organismes de recherche INRA, IFREMER et CIRAD avec le CIPA (Comité Interprofessionnel des Produits de l’Aquaculture), l’ITAVI (Institut Technique de l’Aviculture), le SYSAAF (SYndicat des Sélectionneurs Avicoles et Aquacoles Français) et au Ministère de l’Agriculture et de la Pêche (MAP) ont organisé, en partenariat, les 1 et 2 juillet 2009 les 2èmes Journées Recherche Filière Piscicole (JRFP). Comme pour les autres filières françaises d'élevage, l'objectif de ces journées est d'améliorer les échanges d'informations entre tous les acteurs de la filière. Elles permettent de mieux faire connaître les programmes de recherche, d'en diffuser les résultats et d'en montrer les perspectives d'application ; et de s'informer sur l'évolution des pratiques dans les entreprises. Durant ces deux journées, plusieurs sessions ont abordé les thèmes d'actualité importants pour la filière piscicole : Nutrition, Environnement, Génétique, Qualité, Durabilité… avec notamment lors de la première journée les réponses et éclairages de la recherche aux grands reproches formulées à la filière : l’Aquaculture pille-t-elle les mers ? l’Aquaculture pollue-t-elle ? Le poisson d’élevage est-il moins bon ? voir la suite sur le pdf ci-joint https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/3285/33228/version/1/file/Nouvelle_de_la_recherche-22-5.pdf
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Guillemard, Alexis, and Dominic Lapointe. "La ruralité contemporaine face aux changements climatiques : étude de l’adaptation sur les littoraux touristiques d’une petite ville québécoise." Revue Organisations & territoires 29, no. 1 (May 12, 2020): 139–47. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v29n1.1133.

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Abstract:
En études urbaines ou régionales, les petites et moyennes villes (PMV) forment une catégoriedifficile à classer. En périphérie, ces territoires hybrides comprennent des signes de l’urbain, mais aussi certaines fonctions associées à la ruralité (p. ex., agriculture et conservation). Le tourisme y est souvent désignécomme une solution au recul agricole et à la désindustrialisation. Pourtant, en situation littorale, le secteurtouristique des PMV dépend d’un environnement fragile, soumis à divers événements naturels amplifiés parles changements climatiques. Au Québec, les littoraux de l’estuaire du Saint-Laurent font face à plusieurs pressions liées aux transformations du climat : accélération de l’érosion côtière, diminution du pied de glace, incertitudes autour des tempêtes, submersion, etc. C’est notamment le cas à Rivière-du-Loup, petite ville du Bas- Saint-Laurent. À l’aide de la théorie de la production de l’espace (Lefebvre, 1974/2000), nous essayons demettre en lumière les principaux enjeux pour l’adaptation du territoire touristique louperivois. Nous nousbasons sur certains résultats préliminaires d’une recherche-action en mode living lab que nous avons menée de 2016 à 2019.
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Herry, Yves, and Claire Maltais. "Intégration des services offerts par l’école et par les services de garde au sein d’un programme préscolaire « quatre ans à temps plein »." Nouvelles pratiques sociales 15, no. 2 (August 30, 2004): 137–52. http://dx.doi.org/10.7202/008920ar.

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Abstract:
Dans le but d’offrir un programme éducatif complet à tous les enfants francophones de quatre ans, le Conseil des écoles catholiques de langue française du Centre-Est de l’Ontario a innové en mettant sur pied un programme temps plein pour les enfants de quatre ans, misant sur l’intégration des services de garde au programme de « maternelle quatre ans demi-temps » déjà existant. Le présent article s’intéresse à l’intégration de ces services éducatifs en présentant la structure du programme proposé, de même que les avantages et les difficultés posées par cette intégration. Les chercheurs ont interrogé 81 personnes, soit 17 enseignantes, 40 parents, 10 directrices et directeurs d’école, neuf éducatrices, quatre directrices des services de garde et une conseillère en éducation de la petite enfance. Parmi les avantages de cette intégration, les répondants ont relevé la fréquentation quotidienne du milieu scolaire, l’accès à un environnement francophone, la socialisation avec d’autres enfants et des apprentissages réalisés dans des domaines variés comme la socialisation, le langage, l’autonomie et les acquis scolaires. Les chercheurs ont, pour leur part, relevé trois principales sources de conflits présentes lors de l’intégration des services : 1) la méfiance des enseignantes à l’égard des éducatrices des services de garde 2) les différences organisationnelles entre les services de garde et l’école et 3) le manque de communication entre le personnel des deux organisations.
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Gonnet, Adrien, Cécilia Cammas, and François Coupard. "Interactions Homme / Environnement depuis le Néolithique : impacts anthropiques sur la morphogenèse colluviale en contexte de pied de versant à Mareuil‑le‑Port (Grand Est, Marne)." Quaternaire, no. 32/2 (June 1, 2021): 111–22. http://dx.doi.org/10.4000/quaternaire.15800.

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Ferland, Yaïves. "ORTOLLAND, Didier et PIRAT, Jean-Pierre (2008) Atlas géopolitique des espaces maritimes. Frontières, énergie, pêche et environnement. Paris, Éditions Technip, 277 p. (ISBN 978-2-7108-0897-8)." Cahiers de géographie du Québec 52, no. 147 (2008): 548. http://dx.doi.org/10.7202/029878ar.

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Bermejo García, Romualdo. "CASADO RAIGON, Rafael (dir.): L’Europe et la mer (pêche, navigation et environnement marin)/Europe and the sea (fisheries, navigation and marine environment), Éditions Bruylant, Bruselas, 2005, 521 pp." Anuario Español de Derecho Internacional 21 (August 16, 2018): 794. http://dx.doi.org/10.15581/010.21.28893.

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Andrews, Bernard W., and Marie-Josée Vignola. "Virage pédagogique : Le cas du développement professionnel en arts visuels." Journal of the Canadian Association for Curriculum Studies 11, no. 1 (August 8, 2013): 41–91. http://dx.doi.org/10.25071/1916-4467.35238.

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Abstract:
Les enseignants de l’élémentaire en Ontario, sont tenus d’offrir des cours en arts, soit en danse, en arts dramatiques, en musique et en arts visuels. L’acquisition d’une compétence élevée dans ces quatre disciplines représente un défi de taille pour eux. Une université bilingue ontarienne et un comité consultatif des arts de l’est de l’Ontario ont collaboré à la mise sur pied d’un programme de développement professionnel en arts visuels visant à répondre à ce besoin. Une étude du programme a su démontrer que les participants ont pu améliorer leur expertise, ont augmenté leur niveau de confiance, ont démontré plus d’efficacité au niveau de leur enseignement, se sont sentis plus à l’aise avec la discipline en général et ont, par conséquent, pris goût d’enseigner cette discipline. L’acquisition des connaissances des enseignantes dans le domaine des arts visuels a été favorisée en s’initiant aux différentes stratégies d’apprentissage utilisées dans l’enseignement des arts visuels, en étant encouragé de façon soutenue à explorer leur propre créativité, en s’engageant dans des activités concrètes, en ayant l’occasion d’observer le processus artistique et en se retrouvant dans un environnement dépourvu de risques et de préjugés. Les participants ont clairement énuméré leurs besoins par rapport à l’amélioration de leurs techniques d’enseignement des arts: l’acquisition d’une meilleure connaissance des habiletés à développer en arts visuels, l’accès à un programme de perfectionnement sur place, l’établissement d’un lien entre les habiletés en arts et les résultats d’apprentissage qui s’y rattachent et la possibilité d’avoir accès au développement professionnel dans toutes les disciplines des arts.
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Bouchard, Christian. "CHÉRUBINI, Bernard (dir.) (2004) Le territoire littoral. Tourisme, pêche et environnement dans l’océan Indien. Paris et Saint-Denis, L’Harmattan et Université de la Réunion, 292 p. (ISBN 2-7475-7678-7)." Cahiers de géographie du Québec 50, no. 139 (2006): 124. http://dx.doi.org/10.7202/012943ar.

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Kwiatkowska, Barbara. "Ortolland D.; Pirat J.-P., Atlas géopolitique des espaces maritimes: Frontières, énergie, transports, piraterie, pêche et environnement, 2 nd edn., Editions Technip, Paris 2010, xi + 333 pp. ISBN 978-2-7108-0947-0." Netherlands International Law Review 60, no. 03 (November 28, 2013): 499–502. http://dx.doi.org/10.1017/s0165070x12001374.

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Perrin-Joly, Constance. "Le secteur floricole éthiopien au prisme de l’emploi féminin : marche-pied, impasse ou planche de salut dans le parcours des travailleuses." Annales d'Ethiopie 33, no. 1 (2020): 79–101. http://dx.doi.org/10.3406/ethio.2020.1688.

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Abstract:
Activité absente du pays au début des années 2000, la floriculture a connu en Éthiopie un essor rapide, en faisant un des premiers secteurs exportateurs du pays, employant plus de 80 000 personnes dès le début des années 2010 (Haileleul Tamiru et al., 2014). C’est aussi un des secteurs pris comme exemple par Arkebe Oqubay, dans un des premiers ouvrages sur l’économie éthiopienne (2015), pour mettre en exergue les réussites de l’État développemental éthiopien. Notre article vient en regard de la traduction en français du chapitre consacré à l’industrie floricole dans cet ouvrage. Sur la manière «d’utiliser la main d’oeuvre», l’ouvrage d’Arkebe Oqubay ne s’appesantit guère, s’inscrivant dans une littérature économique aveugle au genre (Sassen, 2003). Retracer les parcours de vie de ces salariés permet, outre de donner la parole aux travailleurs, de saisir la place de l’emploi salarié dans leur histoire individuelle et familiale comme dans la division sociale et genrée du travail. L’article se base sur une enquête ethnographique auprès d’entrepreneurs et d’associations d’entreprises dans différents secteurs dont la floriculture. Des analyses monographiques d’entreprises ont de surcroît mobilisé des entretiens auprès des salariées dont nous rendons compte ici. Les travailleurs de la floriculture appartiennent à une première génération de travailleurs du privé formel, découvrant les normes d’entreprises capitalistes interagissant sur les marchés internationaux, tout en étant dépourvue des systèmes sociaux associés au salariat en Europe. L’important turnover qui caractérise le secteur est à la fois le reflet de la nouveauté de l’engagement à durée indéterminée mais surtout de la désillusion du salaire, en particulier pour les populations rurales qui migrent en ville et doivent se loger. Le montant du salaire doit aussi être mis en regard de l’obligation de solidarité qui pèse sur les femmes : le soin aux plus âgés, le soutien aux enfants scolarisés (les leurs comme leurs frères et soeurs plus jeunes, ou d’éventuels neveux et nièces). Or la mise en oeuvre d’un système de protection sociale étatique n’a pas accompagné l’essor du travail salarié, et les femmes continuent d’assurer une aide à leur famille au sens large, d’assister les plus vulnérables de leur communauté comme de participer financièrement aux associations d’entraide locales. Les femmes sont cependant appréciées par les employeurs grâce à la «continuité du rôle et des valeurs associées aux femmes dans la sphère privée» (Bereni et al., 2008 : 131) en particulier dans un environnement paternaliste. Leur endurance comme leur souci d’autrui en fait des travailleuses «modèles». Pour autant, ces qualités ne font pas l’objet d’une reconnaissance salariale. Dès lors, le salariat dans la floriculture ne représente un marche-pied que pour les plus diplômées des travailleuses. Certaines femmes plus âgées peuvent également y trouver des postes «doux » pour une fin de carrière dans les entreprises sensibles aux demandes sociales de la communauté locale. Les plus jeunes et moins diplômées, la majorité, envisagent le salariat comme une première étape avant de migrer pour occuper des emplois domestiques et si possible ensuite monter un commerce. Les parcours des travailleuses montrent toutefois que ces projets sont rarement couronnés de succès et tendent à invisibiliser leur travail comme à les ancrer dans une place subalterne dans la division du travail.
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Bélanger, Pierre-A. "Les structures d'animation et de consultation aux Îles-de-la-Madeleine." Articles 11, no. 3 (April 12, 2005): 327–65. http://dx.doi.org/10.7202/055506ar.

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Abstract:
Les Madelinots, au cours des deux dernières décennies, se sont préoccupés du développement économique de leurs îles. Ainsi le Centre social, la Chambre de commerce des Iles et le Conseil de comté ont fait des pressions à plusieurs reprises pour que soit amélioré le service de transport reliant les Iles au continent; le Centre social présenta un mémoire pour le développement du tourisme en 1957; la Chambre de commerce se préoccupa du développement économique en 1963. l Mais jamais ces pressions et ces recommandations ne reposèrent sur une étude systématique des possibilités et des besoins du milieu. Il s'agissait le plus souvent de solutions proposées par quelques leaders aux problèmes perçus dans le milieu. La mise sur pied du Bureau d'aménagement de l'Est du Québec (B.A.E.Q.) amena l'établissement de « règles du jeu » nouvelles par rapport au développement. En effet, l'expérience-pilote d'aménagement du territoire et de développement régional supposait l'élaboration d'un plan, en collaboration avec la population, et la mise en application de celui-ci en instaurant un dialogue formalisé entre les représentants de la population et les administrateurs gouvernementaux. Ce sont les organismes d'animation et de consultation mis en place par le B.A.E.Q. et la structure de consultation qui les a remplacés que nous allons étudier ici. Il s'agit en somme de décrire les cadres que l'on a imposés aux gens afin qu'ils se préoccupent plus systématiquement du développement en même temps que l'utilisation qui en a été faite. Nous allons d'abord voir de quelle façon, par l'intermédiaire du Conseil régional d'expansion économique de la Gaspésie et des Iles-de-la-Madeleine (C.R.E.E.G.I.M.), les Madelinots ont été amenés à participer à l'expérience-pilote d'aménagement du territoire. Nous présenterons ensuite les comités locaux et le comité de zone du B.A.E.Q. et le Conseil de développement du territoire des Iles-de-la-Madeleine. Notre étude des organismes de participation et de consultation opère sur quatre variables principales: le rôle, la structure, les caractéristiques des membres et le champ fonctionnel de l'organisme. L'analyse des objectifs, du cadre opératoire, des personnes impliquées et des actions entreprises par ces organismes n'est cependant pas suffisante. Aussi devrons-nous considérer chacune de ces réalités dans ses aspects plus généraux, tant en elle-même que par rapport à son environnement. Ceci nous permettra, en conclusion, de procéder à une évaluation globale des structures d'animation et de consultation.
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Walker, John. "Using Critical Incidents to Understand ESL Student Satisfaction." TESL Canada Journal 32, no. 2 (November 30, 2015): 95. http://dx.doi.org/10.18806/tesl.v32i2.1210.

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Abstract:
In a marketized environment, ESL providers, in common with other postcompul- sory educational institutions, canvass student satisfaction with their services. While the predominant method is likely to be based on tick-box questionnaires using Likert scales that measure degrees of satisfaction, qualitative methodology is an option when rich data is desired. The well-established Critical Incident Tech- nique (CIT) is particularly useful in this regard as an exploratory methodology with potential to increase knowledge about previously unknown phenomena. A pilot study with a small sample of ESL students was set up to explore ESL student satisfaction using CIT. The data obtained were analyzed within the framework of Johnston’s (1995) quality factors, then further categorized in terms of satisfying, dissatisfying, or neutral factors. The findings provided some tentative indications of differentiation among ESL quality factors as perceived by ESL students. In- sights were obtained regarding procedural, analytical, and student response issues in the use of CIT in conjunction with satisfaction data. The outcomes supported the view that information obtained through CIT could assist ESL managers and teachers in developing and enhancing quality factors that more accurately reflect student expectations of the service. Dans un environnement commercialisé, les fournisseurs en ALS, tout comme les autres institutions postsecondaires, sondent les étudiants pour connaitre leur niveau de satisfaction avec les services qu’ils offrent. Alors que la méthode la plus couramment employée repose sur des questionnaires à choix multiples avec des échelles de Likert pour mesurer les niveaux de satisfaction, une méthodolo- gie qualitative est à envisager quand l’on désire des données approfondies. La méthode des incidents critiques (CIT) est bien établie et particulièrement utile à cet égard, étant une méthodologie d’exploration avec le potentiel d’accroitre les connaissances de phénomènes inconnus auparavant. On a mis sur pied une étude pilote avec un petit échantillon d’étudiants en ALS pour explorer, par la CIT, leur niveau de satisfaction. Les données ont été analysées dans le cadre des facteurs de qualité de Johnston (1995) et ensuite catégorisées en fonction de facteurs satisfai- sants, insatisfaisants et neutres. Les résultats fournissent des indices de différen- tiation parmi les facteurs de qualité en ALS, tels que perçus par les étudiants. De nouvelles idées sont ressorties par rapport à l’emploi de la CIT et les enjeux liés à la procédure, l’analyse et les réponses des étudiants dans le contexte de données relatives à la satisfaction. La conclusion en est que les informations découlant de la CIT pourraient appuyer les administrateurs et les enseignants dans le déve- loppement et l’amélioration des facteurs de qualité de sorte à mieux répondre aux attentes des étudiants en matière des services.
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Thomas, Pierre. "Permis d'immersion en mer de produits de dragage d'un port. Nécessité d'une étude d'impact (non). Travaux dispensés en raison de leur coût et non compris dans les travaux, énumérés à l'annexe III et soumis quel que soit le coût de leur réalisation. Rejet de la demande d'application du sursis automatique. /Sursis « normal ». Caractère difficilement réparable du préjudice : vases contenant des métaux lourds (cuivre et mercure). Rejet dans une ZNIEFF. Zone de loisirs et de pêche à pied. /Moyens sérieux : défaut d'application de l'article 10 de la loi sur l'eau et du décret n° 93-742 du 29 mars 1993. Détournement de pouvoir. Tribunal administratif de Nantes, 23 mars 1994 Association de protection du site de Luzan et Association « Vivre l'Ile 12 sur 12 » (req. n° 94-627). Avec conclusions." Revue Juridique de l'Environnement 20, no. 1 (1995): 109–20. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1995.3175.

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LABARA, Bruno KOLAOUNA, Antoine DJAOWE, Désiré TAJO, Steven CHOUTO, François Xavier CHENDJOU, and Roméo TAGNE. "La pêche artisanale par canaux dans la plaine du Logone : une rentabilité source de conflits entre pêcheurs." Bulletin de la Société Géographique de Liège, 2020, 83–100. http://dx.doi.org/10.25518/0770-7576.6109.

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Abstract:
La pêche artisanale demeure le type de pêche le plus pratiqué dans les pays en développement d’Afrique à l’instar du Cameroun. Elle est l’activité phare pour bon nombre d’individus dans plusieurs régions du pays comme c’est le cas dans la plaine du Logone dans la région de l’Extrême-Nord. Ici les pêcheurs utilisent différentes techniques de pêche classique à l’aide de filets, nasses, hameçons ou épervier. Mais une autre catégorie de pêcheurs, en plus de ces techniques classiques, ont mis sur pied une technique de pêche à l’aide de canaux creusés le long des cours d’eau, pour maximiser leur production. Ceci a contribué à créer un rapport de force différent dans la quête des ressources halieutiques, au regard de la très forte productivité des canaux par rapport aux autres techniques de pêche. C’est donc cette rentabilité des canaux qui attise les convoitises et par là, des conflits d’intérêts entre les différentes catégories de pêcheurs qui ne disposent pas tous des mêmes moyens pour se procurer un canal. Les analyses spatiales et analyses des données d’entretien avec ces acteurs, en rapport avec la caractérisation des systèmes de pêche, ont permis de comprendre que les canaux de pêche prolifèrent dans la plaine parce qu’ils sont rentables et que c’est cette rentabilité qui est à la base des conflits. Cela aboutit à relever des concordances spatiales existantes entre les zones à forte densité de canaux, celles à forte rentabilité et celles à fréquence élevée de conflits.
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Thomassin, Annick. "Un pied dans l’eau, un pied sur terre : trajectoires et savoirs sampaniers dans un processus de transfert de la pêche vers l’aquaculture Phù Tân (Vietnam)." VertigO, Volume 6 Numéro 1 (May 1, 2005). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.2978.

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Hervé, Caroline. "Communs." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Abstract:
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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Laurent, Jérôme. "Patrimoines autochtones." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.104.

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Abstract:
De nombreux groupes autochtones au Brésil, au Canada, aux États-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande et ailleurs dans le monde sont particulièrement préoccupés par la protection, la transmission et la reconnaissance de leurs patrimoines culturels. Trois dimensions sont indissociables de la compréhension des patrimoines autochtones soit 1) les liens entre matérialité et immatérialité du patrimoine 2) l’institutionnalisation des processus de patrimonialisation et 3) les médiateurs du patrimoine. Par patrimonialisation, il faut donc comprendre à la fois ce qui compose le patrimoine (chants, rituels, danses, objets, relation au territoire, arts visuels, jeux traditionnels, plantes médicinales…), les processus par lesquels ce patrimoine est documenté, préservé, transmis et mis en valeur (Kreps 2003), mais également les différents acteurs qui œuvrent au sein de ces processus. Souvent relégués à leurs dimensions matérielles, les patrimoines autochtones ne peuvent se comprendre sans considérer leur immatérialité (Leblic 2013 ; Lemonnier 2013). Par immatérialité, nous faisons référence ici aux débats anthropologiques sur les relations qu’entretiennent les humains avec leur environnement et les entités qui le composent (Descola 2005; Ingold 2000, 2011, 2012 ; Viveiros de Castro 2009). Si ces auteurs se sont surtout intéressés aux relations entre les humains et les animaux, les esprits ou les ancêtres, il est nécessaire de prendre en compte également la place des objets, du patrimoine bâti, des lieux et des sites sacrés, de la musique ou encore de la nourriture dans ces processus relationnels. Les objets, qu’ils soient d’art ou d’ethnographie, renvoient par exemple à des codes et des règles de comportement qui guident les humains, s’inscrivent dans des conceptions particulières de la personne, informent sur la création du monde ou se posent comme des révélateurs des identités autochtones du territoire. Les matériaux, les techniques de fabrication autant que le pouvoir attribué aux objets sont liés aux cosmologies et aux ontologies autochtones; ils sont porteurs de visions du monde et de modes d’être au monde spécifiques qui participent des processus actuels d’affirmations identitaires et politique. Dans ce contexte, il devient crucial de s’intéresser à la vie sociale des objets (Bonnot 2002, 2014 ; Koppytoff, 1986), des arbres (Rival 1998), de la forêt (Kohn 2013) ou encore des récits (Cruikshank 1998 ; Savard 1971, 2004 ; Vincent 2013). L’expérience corporelle (Goulet 1994, 1998 ; Laugrand 2013) et sensorielle (Classen 1993 ; Howes 2003, 2014 ; Mauzé et Rostkowski 2007) fait partie intrinsèque de ces patrimoines et de ces savoirs. Ceux-ci incluent à la fois des savoirs écologiques, des savoirs liés aux activités de chasse, de pêche et de cueillette, des savoirs rituels, des savoirs gastronomiques, des savoirs artisanaux et artistiques, des récits sous toutes leurs formes (création du monde, rêves, anecdotes, événements historiques, etc.), des savoirs liés aux réseaux d’alliance interfamiliale et d’affiliation territoriale, mais aussi des savoirs sur les objets ou sur les jeux traditionnels. Ces différents types de savoirs se transmettent et se transforment de manière créative, en étroite relation les uns aux autres. Les politiques historiques et contemporaines d’assimilation, de dépossession et d’usurpation de ces savoirs et de ces patrimoines conduisent à interroger les modalités institutionnelles de préservation et de mise en valeur de ces patrimoines autochtones. Souvent intégrés aux patrimoines nationaux et mis en valeur dans les musées d’État, les biens culturels autochtones ont longtemps échappé à leurs destinataires légitimes, les peuples autochtones eux-mêmes, les reléguant au statut de spectateurs de leurs propres cultures (Price 2007 ; Philips 2003, 2011). Depuis les années 1960-1970, les peuples autochtones ont largement contribué à la transformation, certes inachevée, des Musées de l’Autre en Musées de Soi et, dans certains cas, en Musées du Nous (De l’Étoisle, 2007). Présentés par le sociologue de l’art wendat (Québec) Guy Sioui Durand comme des musées mouroirs (Sioui Durand 2014), les institutions muséales et patrimoniales occidentales tentent aujourd’hui de (re)considérer leurs politiques et d’intégrer les savoirs autochtones dans leurs pratiques (Dubuc 2002, 2006 ; Kreps 2003). Certains cadres institutionnels ont favorisé ces changements. Pensons par exemple aux deux conventions de l’UNESCO pour la protection du patrimoine et des biens culturels immatériels (1972, 2003), au rapport sur les Musées et les peuples autochtones (Erasmus et al. 1994) au Canada, au Native American Graves Protection and Repatriation Act (NAGPRA, 1990) aux États-Unis ou à la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones (AGNU 2007, article 31). Si les institutions muséales occidentales ont progressivement opéré un changement de paradigme (Fienup-Riordan 1999 ; Simpson 2001), les peuples autochtones se dotent aujourd’hui de moyens qui leurs sont propres afin de favoriser la protection, la mise en valeur, la transmission, et souvent la restitution de ces patrimoines et de ces savoirs, et par extension de leur histoire et de leur identité politique (Ames 1992 ; Peers 2000). Le développement de musées, de centres culturels, d’écoles de transmission des savoirs ou de programmes éducatifs culturellement ancrés s’inscrit dans des projets de sociétés qui visent le renforcement des structures de gouvernance et de la souveraineté des peuples autochtones. Il est dès lors impossible de parler des patrimoines autochtones sans parler de mise en valeur et de protection des savoirs, de restitution des données ethnographiques (Zonabend 1994 ; Glowczewski 2009 ; De Largy Healy 2011), de gestion collaborative des collections muséales, et évidemment de participation des peuples autochtones dans ces processus (Tuhiwai Smith 1999). La littérature, le cinéma, la musique, la bande dessinée, les romans graphiques, l’art contemporain, le design, le tourisme ou les réseaux socionumériques s’affirment aujourd’hui comme des éléments incontournables du patrimoine autochtone, mais également comme des stratégies de reconnaissance politique (Coulthard 2014) et d’autoreprésentation identitaire. Ces processus complexes de patrimonialisation institutionnelle nous amènent à considérer enfin les acteurs du patrimoine. Guides spirituels, artistes, chefs familiaux, conservateurs, muséologues, technolinguistes, chercheurs autodidactes, enseignants, aînés-gardiens du savoir ou jeunes activistes, ces experts culturels sont régulièrement sollicités afin de transmettre, de valoriser ou de protéger des savoirs et des pratiques qui se construisent aussi en dehors de l'institution, dans le cadre d'actions citoyennes, de projets communautaires ou de dynamiques familiales. Le territoire devient alors l'espace privilégié de patrimonialisation des pratiques et des savoirs autochtones dans lequel les femmes jouent un rôle central (Basile 2017). Ces médiateurs du patrimoine doivent également faire face à divers enjeux concernant les formes et les stratégies de patrimonialisation actuelles, comme par exemple l’appropriation culturelle et la propriété intellectuelle (Bell et Napoléon 2008 ; Bell 1992, 2014) et les processus de rapatriement des biens culturels. Les processus de rapatriement sont indissociables des mouvements d’affirmations identitaire et politique autochtones qui se développent et se renforcent depuis les années 1960-70 (Clifford 1997, 2007, 2013 ; Gagné 2012 ; Matthews 2014, 2016 ; Mauzé 2008, 2010). Les biens culturels acquis de manières illicites, les restes humains ou les objets culturels sacrés nécessaires à la transmission d’une tradition sont généralement considérés par les institutions comme admissibles aux processus de rapatriement. Même si le mouvement international d’affirmation politique autochtone a conduit au rapatriement de nombreux objets dans leurs milieux d’origine, les processus restent souvent dans l’impasse, et ce pour au moins trois raisons : les experts locaux doivent réunir une documentation importante sur l’objet ; les groupes autochtones ne possèdent pas les infrastructures nécessaires pour conserver l’objet ; les Musées d’État ne sont pas prêts à se départir de ‘leurs’ collections.

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