Academic literature on the topic 'Patients dans les hôpitaux psychiatriques – Droits – France'

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Journal articles on the topic "Patients dans les hôpitaux psychiatriques – Droits – France"

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Pechillon, E. "Questions juridiques posées par la place du consentement en psychiatrie : premier bilan de la réforme législative." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 631–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.137.

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Abstract:
Le principe du consentement aux soins est un principe fondamental du droit de santé dont la mise en œuvre est problématique dans les services de psychiatrie.La loi du 5 juillet 2011 relative aux droits à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge, ainsi que sa modification résultant de la loi du 27 septembre 2013 obligent à s’intéresser à la place du consentement du patient. Sous la pression conjuguée de la Cour européenne des droits de l’homme et du Conseil constitutionnel, le Parlement français a été contraint de faire évoluer le droit applicable dans les hôpitaux psychiatriques. Plus qu’un simple toilettage législatif, ce nouvel ensemble normatif modifie les relations entre le malade (disposant de droits fondamentaux), la police administrative (chargée d’agir préventivement afin de protéger l’ordre public), le service public hospitalier (seul capable de dresser un diagnostic fiable et de mettre en œuvre des soins adaptés à l’état des patients) et la justice (garante des libertés fondamentales). Cette modification partielle du Code la santé publique ne résout pas l’ensemble des faiblesses du droit passé. Elle conduit même à créer de nouvelles difficultés juridiques et pratiques. L’exemple du programme de soins est sans doute le plus symptomatique. Il n’est malheureusement pas le seul.
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Casadebaig, F., and N. Quemada. "Mortalité des malades mentaux hospitalisés (lère partie)." Psychiatry and Psychobiology 2, no. 5 (1987): 344–49. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00001024.

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Abstract:
RésuméLes statistiques sur les décès dans les hôpitaux psychiatriques existant actuellement en France ne permettent pas de calculer avec précision la mortalité des malades mentaux hospitalisés car on ne dispose pas du nombre de sujets pris en charge au cours d’une année.Toutefois, à partir des durées de séjour, à l’aide de la méthode des personnes-années, on peut reconstituer une estimation satisfaisante de la population prise en charge, soit 96 750 patients. L’effectif théorique de population ainsi calculé est réparti selon la distribution observée par sexe et par âge des malades existants au 31 décembre.Le nombre des décès observés par sexe et groupe d’âge est comparé aux décès que l’on aurait eus si les taux de mortalité de la population générale française de 1982 (milieu de l’année) avaient été appliqués aux effectifs de patients hospitalisés du même sexe et du même groupe d’âge. Il ressort de cette comparaison que la mortalité des malades hospitalisés est globalement trois fois plus élevée que celle de la population générale. Cette surmortalité est plus accentuée encore pour les groupes d’âges jeunes, surtout chez les femmes.
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Si Ahmed, L. L., and M. Delcoustal. "Trace mnésique de l’intervention médico-psychologique réalisée aux urgences après une intoxication médicamenteuse volontaire (IMV) et adhésion à la prise en charge ultérieure." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 655–56. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.033.

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Abstract:
IntroductionLes services d’urgences des hôpitaux généraux sont devenus au fil des années un des lieux du soin médico-psychologique en France [1]. En effet, près de 180 000 tentatives de suicides y sont prises en charge chaque année [2]. Il s’agit souvent pour ces patients suicidants du premier contact avec les soins psychiatriques. Les objectifs de notre travail étaient d’étudier le souvenir de cette Prise en charge Médico-Psychologique (PMP) initiale et sa relation avec la qualité de l’adhésion à la PMP ultérieure.Patients et méthodeLes suicidants ayant réalisé une IMV étaient inclus dans une étude prospective descriptive réalisée aux urgences du CHU de Poitiers au printemps 2013. L’évaluation du souvenir était recueillie par contact téléphonique entre le 7e et le 12e jour suivant l’IMV. L’évaluation de l’adhésion à la PMP ultérieure était réalisée par contact téléphonique avec le référent des soins psychiques du patient à 2 mois de l’IMV, sur des critères d’alliance thérapeutique et d’observance médicamenteuse.RésultatsTrente-sept patients ont été inclus, en majorité des femmes (60 %). L’âge médian était de 36 ans. Plus d’un quart présentaient une altération ou une absence de souvenir de la PMP réalisée aux urgences après leur IMV. Cette altération était reliée à l’existence d’une intentionnalité suicidaire (p < 0,02) et à une surveillance par monitorage (p < 0,007), témoin du caractère de gravité de l’IMV. Près de la moitié des patients présentaient une faible adhésion à la PMP ultérieure. L’adhésion à la PMP ultérieure n’était pas reliée à la qualité du souvenir de la PMP réalisée aux urgences.ConclusionL’altération ou l’absence de souvenir de la PMP réalisée aux urgences après une IMV pose la question du délai à respecter entre le geste suicidaire et l’intervention initiale de l’équipe psychiatrique. Par ailleurs, l’absence de relation entre le souvenir de la PMP réalisée aux urgences et l’adhésion à la PMP ultérieure nous incite à rechercher les autres leviers de l’adhésion aux soins chez les patients suicidants.
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Dissertations / Theses on the topic "Patients dans les hôpitaux psychiatriques – Droits – France"

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Mariller, Elodie. "Les droits du patient en prison et en soins psychiatriques sans consentement." Electronic Thesis or Diss., Bordeaux, 2024. http://www.theses.fr/2024BORD0333.

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Abstract:
Les patients détenus et en soins psychiatriques sans consentement (DSPSC) sont des patients à part entière de notre système de santé. À ce titre, ils devraient bénéficier du droit à la protection de la dignité humaine, du droit à la protection de la santé, et plus généralement, de tous les droits reconnus par le Code de la santé publique aux articles L. 1110-1 et suivants. Toutefois, la prison et l’institution psychiatrique sont des lieux singuliers. L’influence de l’impératif sécuritaire dans ces établissements ne peut pas être ignorée. Le législateur doit constamment veiller à préserver les prérogatives des patients DSPSC, en tenant compte des attentes de la société et des impératifs d’ordre public. Si des efforts sont consentis, ils ne sont pas toujours suffisants pour maintenir cet équilibre délicat. Outre l’influence du concept de moindre éligibilité, ce dernier est fragilisé par la crise que connait le milieu sanitaire depuis plusieurs années et qui met à mal les bonnes pratiques professionnelles. Cette situation délétère se répercute sur la qualité de la prise en charge. Pour tenter de protéger les patients DSPSC de ces atteintes, des garanties effectives doivent leur être accordées. Dans ces situations, il est légitime de vouloir s’en remettre aux juges internes et européens. Cependant, leur saisine obéit à des procédures formalisées qui peuvent facilement décourager les requérants. Face à ce constat, des alternatives ont été instaurées. Elles peuvent se manifester par l’intervention d’autorités administratives indépendantes comme le Contrôleur général des lieux de privation de liberté ou encore, de manière plus originale, par des acteurs privés
Patients detained and in psychiatric care without consent are fully-fledged patients of our health system. As such, they should enjoy the right to protection of human dignity, the right to health protection and more generally all the rights recognized by the Public Health Code in articles L. 1110-1 et seq. However, the prison and psychiatric institution are unique places. The influence of the security imperative in these institutions cannot be ignored. The legislator must constantly ensure that the prerogatives of this patients are preserved, taking into account the expectations of society and the imperatives of public order. While efforts are made, they are not always sufficient to maintain this delicate balance. In addition to the influence of the concept of lower eligibility, this latter is weakened by the crisis that the health sector has been experiencing for several years and which undermines good professional practices. This deleterious situation affects the quality of care.To try to protect this patients from these attacks, effective safeguards must be provided. In these situations, it is legitimate to want to leave it to the domestic and European judges. However, their seizure is subject to formal procedures which can easily discourage applicants. In response to this, alternatives have been introduced. They may be manifested by the intervention of independent administrative authorities such as the Inspector-General of Locations of Deprivation of Liberty or, in a more original way, by private actors
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Moreau, Delphine. "Contraindre pour soigner ? : les tensions normatives et institutionnelles de I'intervention psychiatrique après l'asile." Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0152.

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Abstract:
Cette recherche explore la persistance de la contrainte au sein d'une psychiatrie qui a aujourd'hui profondément évolué : soins majoritairement libres et extra-hospitaliers, réduction fortes des durées de séjour. Elle l'étudie à travers deux dimensions : les pratiques coercitives elles-mêmes, resituées dans l'ensemble des interventions des professionnels, et les dispositifs institutionnels, légaux, architecturaux, spatiaux, qui cristallisent un certain arbitrage entre les tensions normatives entre soin, sécurité et liberté - dispositifs dans lesquels ces pratiques prennent place, qui les informent et qu'elles s'approprient voire transforment au sein de nouveaux équilibres. L'exercice de la contrainte n'a cessé d'être au cœur des accusations portées contre la psychiatrie, parfois par les professionnels eux-mêmes : accusation d'arbitraire, d'abus, de violence. Il est parallèlement défendu au nom de la protection des personnes elles-mêmes. L'enquête suit les variations critiques auxquelles les différentes pratiques sont inégalement exposées et les formes de régulations dont celles-ci font l'objet. Pour ce faire, cette recherche s'appuie sur (1) une analyse des dispositifs légaux et réglementaires encadrant les pratiques de contrainte et leur articulation avec l'organisation spatiale des soins de 1838 à 2013, (2) une enquête ethnographique en différents lieux de prise en charge, principalement au sein d'un secteur (service d'hospitalisation, 6 mois, centre d'accueil et de crise, 3 mois), complétée par des observations en contrepoint (hospitalisation et urgences psychiatriques, 2 mois), et (3) des entretiens avec les professionnels des services (n=61)
This research explores the use of coercion by psychiatry, which has been deeply evolving since asylum: care is today mainly free and ambulatory, durations of stay have been strongly reduced. This issue is approached through two dimensions: first coercive practices themselves, put in perspective among the interventions of trie professionals, second, the institutional, legal, architectural, spatial dispositifs [apparatus, assemblage], which crystallize a certain arbitration among normative tensions between care/cure, security and freedom. The use of coercion has always been at the core of the charges of arbitrary, abuse, violence, carried against psychiatry, sometimes by the professionals themselves. It is nevertheless advocated in the name of the protection of the people coerced themselves. The inquiry follows how different practices are unequally exposed to the critics and the variation of the forms of their regulations. In order to do so, this research is based on (1) an analysis of the legal and regulatory apparatuses framing the practices of constraint and their binds to the spatial organization of psychiatric care from 1838 to 2013, (2) an ethnographic investigation in various psychiatric care units mainly within a « psychiatric sector » (hospitalization unit, 6 months, crisis centre, 3 months), supplemented by other observations (hospitalization and emergency units, 2 months), and (3) interviews with professionals of the units (n=61)
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Mandy, Caroline. "La prison et l'hôpital psychiatrique du XVIIIe au XXIe siècle : institutions totalitaires ou services publics ? : contribution à l'étude de la privation de liberté en France et du paradigme de l'institution totalitaire." Phd thesis, Nantes, 2011. https://archive.bu.univ-nantes.fr/pollux/show/show?id=b6ed5aa1-d508-489a-bb04-916d7b6b8748.

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Abstract:
A partir de la Révolution française, la privation de liberté par enfermement des individus devient la réponse de principe des pouvoirs publics en matière pénale et pour la prise en charge des aliénés. Cette solution institutionnelle aux problèmes sociétaux de la délinquance et de la folie s'organise autour d'un nouveau paradigme : l'institution totale. Modèle standardisateur, il bafoue les individus dans leur dignité et leurs droits ; pourtant les institutions totales pénitentiaire et psychiatrique restent un outil plébiscité par la société qu'elles débarrassent de ses individus "gênants". Le choc des exactions nazies allié à cette instrumentalisation déshumanisante des individus enfermés déclenche une ferveur nouvelle pour les droits de l'homme et fait paraitre, avec la destruction du modèle totalitaire, le paradigme plus souple du service public et de ses "règles" vectrices, a priori, d'un cadre protecteur pour l'individu ; il ne s'agit pas de renoncer à la privation de liberté mais de donner un cadre d'action humaniste à cette prise en charge. Le privé de liberté est ainsi doté des droits apanages des citoyennetés successives que l'individu s'est vu reconnaître au fil des époques. Pourtant l'évolution n'est ni linéaire ni aboutie. La privation de liberté, dans ses rapports triangulaires entre individu, société et institution, reste la proie latente de toutes les dérives sécuritaires, au détriment des droits des individus cibles. Derrière la théorie, c'est dans l'acceptation sociale d'un nivellement par le haut de ces droits que réside le défi démocratique, leur aménagement ne devant plus servir de paravent à une éviction des détenus et des HSC de leur jouissance
Since the French Revolution in 1789, depriving persons of their freedom by locking them up has become the automatic answer of public authorities to penal and psychiatric matters. This institutional solution to the social problems of delinquency and insanity is organised around a new paradigm : the "total institution". This standardising model tramples on persons, their dignity and their rights ; nevertheless prison and psychiatric total institutions remain the tool society chooses most of the time to keep its "disturbing" persons apart. The shock of the Nazi abuses added to this dehumanising instrumentalisation of inmates triggers a new fervour for the human rights and brings to light, with the destruction of the totalitarian model, the more flexible paradigm of public service and its "rules", a priori conductor of a protecting framework for individuals ; it does not mean to renounce to deprivation of freedom but to give a humanist framework of action to manage these cases. Thus, the inmate holds rights specific to successive citizenship recognised to persons in time. But, the evolution is neither linear nor finished. Deprivation of freedom, in its triangular relations between person, society and institution, remains the latent prey of all securitarian tendencies, to the detriment of the rights of the concerned persons. Behind the theory, the democratic challenge is, for society, to accept the levelling up of these rights ; their adaptation must no longer be used as a disguise to take their fundamental rights away from inmates
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Ihout, Sophia. "Approche comparative des soins psychiatriques et des libertés individuelles des patients en droit français et anglo-américain." Thesis, Paris 8, 2019. http://www.theses.fr/2019PA080034.

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Abstract:
Santé publique. Près d’une personne sur quatre dans le monde est exposée à l’apparition de troubles psychiatriques au cours de son existence. Les soins peuvent être dispensés en hôpital psychiatrique ou en ville. L’hospitalisation du malade peut être volontaire ou réalisée sous contrainte mais elle doit respecter un certain nombre de critères afin de préserver l’exercice de ses droits et libertés fondamentales. En effet, il ne peut y avoir aujourd’hui de soins psychiatriques sans respect des droits du patient. La psychiatrie n’a pas toujours eu cependant bonne réputation. Accusée d’être inutile voire dangereuse pour les patients, la psychiatrie hospitalière ne semblait-elle pas indissociable de la pratique de la contrainte ? Son histoire est marquée par l’insalubrité des asiles et les mauvais traitements aux XIXe et XXe siècles : malades enchaînés, battus, brimés, mal nourris, mise à l’isolement, recours à la sédation chimique et aux sangles de contention, rigidité du règlement intérieur du service hospitalier, etc. Dans le but de rompre avec les pratiques asilaires antérieures sont nés en réaction la psychothérapie institutionnelle puis l’antipsychiatrie qui ont permis d’apporter des réflexions pertinentes sur les améliorations dont l’hôpital psychiatrique pourrait bénéficier. De nos jours, il s’agit surtout de mettre en adéquation les modalités de soins en psychiatrie avec le respect des droits et de la dignité du patient. Les établissements de santé mentale ne doivent plus constituer un lieu de relégation et d’enfermement. La qualité des soins est désormais indissociable de certaines libertés qui doivent leur être accordées : liberté d’aller et venir hors des murs de l’hôpital, droit à la correspondance, au refus de soins, etc. Mais la diminution des budgets alloués aux hôpitaux n’est pas sans poser des difficultés précisément sur la qualité des soins et le respect des droits et libertés des malades : diminution du nombre de soignants, installation de la vidéosurveillance, enfermement des patients dans leur chambre, etc. Les législations française, britannique et américaine feront ainsi l’objet d’une approche comparative afin d’étudier les différents régimes de l’hospitalisation psychiatrique sous contrainte. Leurs différences et possibles points communs permettront d’apporter un éclairage sur la pratique psychiatrique au-delà de nos frontières. Nos questionnements s’étendront aussi aux détenus et aux sans-abris souffrant de troubles mentaux dont la prise en charge médicale sera exposée et analysée. L’accès aux soins de ces populations est en effet particulièrement difficile en raison de la précarité de leur situation ou des résistances opposées par l’administration pénitentiaire. L’innocuité des psychotropes et leur efficacité entreront enfin dans le champ de nos réflexions puisqu’elles constituent avec l’hôpital psychiatrique le premier vecteur de soins
Today, the quality of psychiatric care represents a public health issue. More than one person in four is exposed to mental disorders throughout his / her life. Care can be provided in mental institutions (inpatient care) or in the city through medical consultations (outpatient care). Psychiatric hospitalization can be voluntary or forced but it must respect some important criteria in order to enforce his fundamental rights and civil liberties. Indeed, psychiatric care cannot be separated from the exercise of the patient’s rights. Yet psychiatry did not always have a good reputation. Accused of being useless and dangerous to the sick, psychiatric care is deeply associated with the use of contention. Poor health conditions in mental institutions and physical abuse have undermined the standing of psychiatric care throughout the 19th and 20th centuries: enchainment, molestation, humiliation, malnourishment of the “insane”, use of seclusion, sedation and physical contention (restraint straps), etc. The institutional psychotherapy and the antipsychiatric movements have emerged in order to put an end to these forms of abuse and improve the quality of care and health conditions in mental institutions. Nowadays, the purpose of these currents of thoughts is to ensure the patient’s fundamental rights and improve the standard of care. Mental institutions must not constitute a place of confinement and segregation. Quality of care must be associated with the exercise of rights such as the freedom of movement in and out of the hospital, the right to correspondence or to refuse a treatment, etc. However, recent cuts in the financial resources of hospitals create great difficulties regarding the quality of care and the respect of patients’ rights: staff reduction, CCTV implementation, patient seclusion in their own room, etc. French, British and American laws will be compared in order to tackle their resemblances and differences regarding involuntary hospitalization. Our subject will also include inmates and homeless people suffering from mental disorders and their medical care when available. Access to care is especially difficult for these patients due to their precarious situation or the resistance of prison authorities. Then, medication safety and efficiency will be addressed: indeed, it constitutes the first source of psychiatric care along with mental institutions
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Cano, Gavaudan Nicole. "La démarche éthique dans les pratiques psychiatriques institutionnelles : de l'implicite à l'explicite." Thesis, Aix-Marseille 2, 2010. http://www.theses.fr/2010AIX20711.

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Abstract:
Ce travail essaie d’identifier les enjeux rencontrés dans la pratique de la psychiatrie et de proposer des repères susceptibles d’éclairer une réflexion dans une perspective éthique. Dans une première partie, nous questionnons la démarche de la psychothérapie institutionnelle, mouvement humaniste d’ouverture des hôpitaux et de prise en considération du sujet, à la lumière des concepts de l’éthique médicale ; en retour nous tentons d’interpréter les principes éthiques dans le domaine de la psychiatrie. Cette approche met l’accent sur l’expérience vécue de la maladie, l’intersubjectivité et le contexte institutionnel. Dans un second temps, une étude par entretiens semi-directifs réalisée auprès de 12 psychiatres hospitaliers révèle que les pratiques collectives sont peu orientées vers la responsabilisation des patients. La troisième partie se situe du côté des personnes hospitalisées à travers deux enquêtes. Une étude qualitative explore la perception de l’isolement de 30 patients : prédominent des affects négatifs et un vécu de privation d’information. Ensuite, une enquête par questionnaire saisit l’opinion de 169 patients sur le déroulement et les effets du séjour hospitalier ; leur appréciation s’avère majoritairement favorable. La confrontation des points de vue des psychiatres et des personnes hospitalisées, à l’aune des trois principes fondamentaux, révèle la primauté d’une dimension bienveillante, à l’exclusion parfois de l’autonomie et de la non-malfaisance. La dimension éthique du soin doit être sans cesse interrogée et réaffirmée. A cet effet, nous discutons de la pertinence d’un outil de questionnement des pratiques qui validerait le point de vue des patients
This work tries to identify the issues encountered in the practice of psychiatry, and to propose reference points likely to clarify thinking from an ethical perspective. We initially examined institutional psycho-therapy, an open and humanistic movement of hospitals, and deliberated the topic in light of ethical medical concepts ; in return, we hoped to interpret ethical principles in the field of psychiatry. This approach placed the accent on the experience inherent in the illness, inter-subjectivity and the institutional context. Secondly, a study conducted via semi-directed discussions among 12 hospital psychiatrists revealed that collective practices are not oriented towards the accountability of patients. The third part dealt with two surveys of hospitalized people. A qualitative study explored the perception of seclusion by 30 patients : they predominantly show negative affects and an experience of being deprived of information. Then, a questionnaire survey showed the opinion of 169 patients on the procedure and effects of a hospital stay ; their rating was over-whelmingly favourable. The confrontation of opinions by psychiatrists and hospitalized patients, compared with the three fundamental principles, revealed the primacy of a benevolent dimension, to the exclusion at times of autonomy and non-maleficence. The ethical dimension of care must continue to be queried and re-asserted unceasingly. To this end, we will continue to discuss and interrogate the pertinence of a questioning tool of practices that would validate the patient’s viewpoints
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Schlesinger, Ella. "La fonction de l'isolement : une méta-psycho-anthropologie du cadre : la chambre d'isolement des hôpitaux psychiatriques et la camarinha du candomblé." Université Lumière Lyon 2, Centre de Recherche en Psychopathologie et psychologie clinique, 2016. http://repositorio.ufba.br/ri/handle/ri/27592.

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Esta tese se debruça sobre as diferentes modalidades e funções do isolamento. O quarto de isolamento encontrado em hospitais psiquiátricos levanta questões sobre o acolhimento do sofrimento. Este sofrimento reside no fato de que o ego do sujeito não encontra eco em seu entorno. Isso produz terror e susto quando os elementos do ego se chocam com a realidade externa e / ou seu mundo interno e se difratam, fragmentando-se. Os cuidadores, frente à aflição dos pacientes, diante de sua própria capacidade interna de acolhimento e dos recursos de que dispõem, impõem, em alguns casos, o isolamento como resposta. No intuito de investigar a função de isolamento sem que ela seja reduzida a seu próprio campo de referência, o método complementarista revelou-se uma ferramenta indispensável. Para re-examinar o marco em que essa função é pensada, parece apropriado considerar uma prática de isolamento em um contexto diferente. O encontro inesperado com o candomblé no Brasil, e seu uso da camarinha, oferece um vasto campo de estudo. O confronto dos dois dispositivos, o do hospital psiquiátrico e aquele do candomblé, leva a demonstrar – e essa é a principal articulação deste trabalho – que a função do isolamento contribui para a remodelagem do processo alucinatório do sujeito. Essa comparação permite considerar novas ferramentas para acompanhar o sujeito em isolamento, quando isso é necessário. Serão desenvolvidos principalmente os seguintes conceitos: a "proposta de ser" o "atratores vibráteis" e o "objeto prótese".
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Costes, Mylène. "Atelier culturel et hôpital psychiatrique : enjeux et retombées d’un dispositif de médiation culturelle au sein du programme « Culture à l’hôpital »." Thesis, Avignon, 2010. http://www.theses.fr/2010AVIG1092/document.

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Abstract:
Notre travail interroge les relations entre l’action culturelle et l’hôpital psychiatrique au sein du programme « Culture à l’hôpital ». Ce dernier s’inscrit dans la politique culturelle menée en direction des « publics empêchés ». Porteur d’enjeux multiples, tant du côté des ministères, des directions hospitalières, du personnel que des artistes, ce programme interroge, bouscule l’institution hospitalière et peut parfois être source de conflits. Son étude permet de mettre en évidence l’originalité d’un dispositif particulier : l’atelier culturel. Prenant en compte la logique de projet dans laquelle l’atelier s’intègre, nous interrogeons les effets que ce dispositif peut avoir sur l’institution hospitalière et ses acteurs.Notre étude s’est déroulée sur trois terrains (hôpital du Vinatier, Fondation Bon Sauveur d’Alby et hôpital de Montfavet). Nous avons mobilisé différents corpus : des entretiens, des conventions ainsi que des documents internes aux établissements hospitaliers (projets d’établissement, projets de service, documents de travail d’artistes).Les principaux résultats de la recherche concernent deux axes, l’un relatif au champ hospitalier, l’autre à celui de la médiation culturelle. L’atelier culturel est un nouveau dispositif communicationnel au sein de l’hôpital, il est l’élément tiers dans l’acte de médiation. L’objet artistique y est moins finalité que support de la relation dans la triade patients-soignants-artistes. Le sens donné à l’intervention artistique est redéfinit, le partage d’une expérience esthétique importe plus que la réalisation de l’oeuvre.Pour les personnes hospitalisées, l’atelier culturel représente un en-dehors dans le temps d’hospitalisation, un nouvel espace d’expression bénéfique tant sur le plan social qu’identitaire. L’atelier culturel permet de contrebalancer la rigidité du cadre institutionnel. Les rapports entre participants (patients, soignants) se voient « redistribués » le temps de l’atelier. Une fois ce dernier terminé, les retombées de ce dispositif perdurent au travers d’une modification des représentations sociales sur la maladie mentale, l’institution psychiatrique et ses acteurs. On assiste également à une réappropriation de l’expérience vécue par le personnel. Pour ces professionnels du soin, ce qui s’est déroulé en atelier peut être repris au sein des services, dans la perspective d’améliorer la prise en charge globale des patients. Par la même, il s’agit d’une quête de légitimité tant sur le plan identitaire que professionnel
Our work questions the relationship between cultural action and the psychiatric hospital within the programme “Culture in Hospital”. This programme is part of the cultural policy aimed at the “prevented public”. It carries multiple challenges for the relevant ministries, the hospital administrators, the staff and the visiting artists. It questions, examines and perhaps disturbs the institution, sometimes even becoming a source of tension. This study has highlighted the originality of the specific and recurring device used : cultural workshops. Taking into account the logic of the project behind the workshops, we examine the effects that this device can have on the medical institution and its various actors.To answer these questions, our study took place in three different locations (The Vinatier Hospital, the Bon Sauveur Foundation of Alby and the Montfavet Hospital). We used different corpus : interviews, collective agreements as well as in-house documents related to medical establishments (institution projects, ward projects, work documents for the visiting artists).The main results concerned two separate axes: the one related to the medical field, the other to cultural mediation. The cultural workshop is a new device within the hospital world, it is the “third element” within the act of mediation. The artistic object is less a finality than a means to relate within the triangle of “patient-medical carer-artist”. The meaning given to the artistic action is redefined, the sharing of an aesthetic experience is more important than the finished work. For the patients, the cultural workshop represents “time-out” during their stay in hospital, a new space of expression that is beneficial on both a social level and a self-identity level. The cultural workshop allows a counterbalance to the strictness of the institutional framework. The relationships between the participants (patients and carers) changes during the time of the workshops. Once the workshop is over, the effects of this device continue through a modification in social representations of mental illness, the psychiatric hospital and its actors. We also see a re-appropriation of the experience by the staff who participated. For these professional health-carers, what took place in the workshops could perhaps be repeated within the wards so as to improve the overall care of the patients. Equally, it is a search for legitimacy on both an identity and professional level
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