Journal articles on the topic 'Passage d'une langue à une autre'

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Kavwahirehi, Kesereka. "Ombre sultane d’Assia DJebar et les « Forces de la littérature »." Études littéraires 33, no. 3 (April 12, 2005): 51–64. http://dx.doi.org/10.7202/501306ar.

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Abstract:
À travers Ombre sultane d'Assia Djebar, la présente étude entend montrer les enjeux et les mécanismes de domination qui sont propres à l'utilisation d'une langue et partant, selon la leçon de Barthes, aux effets subséquents de son fascisme. Car Djebar écrit en une autre langue que celle qui lui est propre et qui est propre à ce qu'elle décrit, met en scène, dont elle fait fiction. Mais ce déplacement linguistique est le premier signe d'une levée des voiles qui en retour, fait de la langue et de son usage - le français, ici - un combat. Il s'agira donc de faire voir comment par le passage de la signification au sens se lèvent, se relèvent, la femme arabe, les réminiscences du passé colonial, la langue qui est souffle de cette levée et non plus entrave. Ainsi passe-t-on du fascisme à l'être-au-monde par la langue qui devait initialement y condamner.
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LAGAE, VERONIQUE. "Evolution et diversification des emplois de la locution en fait de." Journal of French Language Studies 17, no. 3 (October 8, 2007): 277–95. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269507003006.

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Abstract:
Dans cette étude diachronique, il est démontré que les trois types d'emplois de la locution en fait de qui coexistent dans la langue actuelle, représentent différentes étapes dans l'évolution de la locution, déjà attestée en moyen français avec des emplois du premier type. Une étude de corpus permet de situer l'apparition des deux autres types respectivement au milieu du XIXe siècle et dans la deuxième moitié du XXe siècle Il apparaît en outre que la diversification des valeurs sémantiques de en fait de va de pair avec deux tendances opposées dans sa distribution: d'une part, une extension de son usage à d'autres catégories grammaticales que celle du nom et, d'autre part, une restriction progressive quant aux positions et fonctions syntaxiques qu'il peut occuper. Ces données confirment l'idée que l'innovation linguistique peut favoriser le passage d'une fonction syntaxique (complément plus ou moins lié au verbe) à une fonction discursive (constituant périphérique marqueur de thématisation, de cadrage etc.)
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Feenstra, R. "De Nieuwe Nederlandse Vertaling Van Hugo De Groot's De Iure Belli Ac Pacis Door J.F. Lindemans." Tijdschrift voor Rechtsgeschiedenis / Revue d'Histoire du Droit / The Legal History Review 63, no. 1-2 (1995): 143–60. http://dx.doi.org/10.1163/157181995x00086.

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Abstract:
AbstractEn octobre 1993 J.F. Lindemans publia une traduction néerlandaise des Prolégomènes et du Livre 1 du De iure belli ac pacis de Grotius, pourvue d'une introduction et de notes explicatives. Cette publication mérite un compte rendu assez détaillé que nous publions sous forme d'un article. Il s'agit d'une traduction intégrale: elle ne se borne pas au texte mais inclut l'annotation de Grotius. Elle suit l'editio maior de 1939, fondée sur un collationnement des cinq éditions préparées par Grotius lui-même. Malheureusement le traducteur n'a pas encore pu tenir compte de la réimpression anastatique de cette édition avec des notes additionelles, parue en septembre 1993 (cf. le compte rendu de P. Haggenmacher dans cette revue, t. 62 (1994), p. 402-406). Dans sa propre annotation Lindemans s'est fait inspirer dans une large mesure - mais pas toujours d'une façon heureuse - de celle de Jean Barbeyrac dans sa traduction française, publiée pour la première fois en 1724 (une réimpression anastatique parut en 1984). Il a ajouté cependant un certain nombre de nouvelles références, entre autres au traité De legibus (1613) de François Suarez, à qui Grotius doit peut-être plus qu'il ne l'a avoué. En utilisant les tables d'auteurs et de sources de l'édition de Lindemans on peut constater quelques graves déficiences dans l'identification des références grotiennes. Il a confondu notamment les Constitutiones Clementis (ou Constitutiones Apostolicae), qu'on a attribuées à St. Clément (le pape Clément I, décédé circa 100 après J. Chr.), avec les Clementinae du pape Clément V (1313-1314); dans l'une de ses notes L. mentionne encore comme auteur de ce texte le pape Clément III († 1191)! L'analyse de ces erreurs nous a amené à formuler quelques précisions sur un texte qui fait partie des Constitutiones Clementis, à savoir les Canones Apostolorum (version avec 84 ou 85 canones, à distinguer de celle avec 50 canones qui figure dans la collectio Dionysiana). Grotius en possédait une édition à part avant son emprisonnement mais pour le De iure belli ac pacis il s'est probablement servi d'une autre édition. La traduction même laisse à désirer dans nombre de passages, notamment quand il s'agit de rendre des nuances juridiques. Nous donnons des exemples pour les §§ 8, 53, 54 et 55 des Prolégomènes et pour I, 1, 4-6, I, 3, 4-5, I, 3, 12, 3 et I, 3, 24. Aux endroits où le traducteur se sert de termes latins on doute souvent de ses connaissances de cette langue (dans des cas comme 'societas civile' ou 'summum potestas' il ne peut pas s'agir d'erreurs typographiques). Lindemans fait également preuve d'un manque assez grave de connaissances en ce qui concerne la bibliographie grotienne. Son ignorance dans le domaine de l'histoire du droit, notamment pour la période du ius commune, est alarmante. Si la traduction sera continuée pour les livres II et III du De iure belli ac pacis on doit espérer que de pareilles déficiences seront évitées.
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Rochette, Bruno. "Le prologue du livre de Ben Sirach le Sage et la traduction des écrits sacrés." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 44, no. 2 (January 1, 1998): 139–49. http://dx.doi.org/10.1075/babel.44.2.05roc.

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Abstract:
Abstract Examining the prologue to the Greek Ben Sirach, this article tries to describe how the Greek translators of religious texts perceive the difficulties and the limits of their task. Conscious of the changes resulting from the passage of one language to another, they conceive their work as inspired by God. Therefore the work translated does not appear as a simple translation mechanically done, but as a new text reflecting the conception of the inspired translator whose faith is the warrant for the quality and accuracy of the translation. Two other comments on translation are taken into account : Corpus Hermeticum XVI and the Letter of Pseudo-Aristeas on the translation of the Septuagint. The examination of these texts leads to the conclusion that ancient translators of religious writings strove to show the vision of truth as they saw it in the original text to the new audience using another language. This conception of translating will be followed by Latin translators adopting, like Hieronymus, the principle of literality for the translation of the Bible, since in the Holy Scripture even the word order is mystery, as the Father says. A comparison with the modern theory and practice of translation of religious texts is also instructive for the modern translator. It can incite him to be careful of the likelihood of changing the sense of the original he is translating. Résumé En examinant le prologue de la version grecque du livre de Ben Sirach le Sage, cet article décrit comment les traducteurs grecs de textes religieux perçoivent les difficultés et les limites de leur tâche. Conscients des changements consécutifs au passage d'une langue à l'autre, ils conçoivent leur travail comme inspiré par Dieu. Par conséquent, l'oeuvre traduite n'apparaît pas comme une simple traduction, réalisée mécaniquement, mais comme un nouveau texte reflétant la conception du traducteur inspiré. Sa foi est le garant de la qualité et de l'exactitude de la traduction. Deux autres commentaires sur la traduction sont pris en compte : Corpus Hermeticum XVI et la Lettre du Pseudo-Aristée sur la Septante. L'examen de ces textes conduit à la conclusion que les traducteurs anciencs de textes religieux se sont efforcés de montrer à un public nouveau parlant une autre langue la vision de la vérité telle qu'ils la perçoivent dans le texte original. Cette manière de concevoir la traduction sera suivie par les traducteurs latins qui adoptent, comme Jérôme, le principe de littéralité pour la traduction de la Bible, car, dans l'Écriture Sainte, meme l'ordre des mots est mystère, comme le dit le Père. Une comparaison avec la théorie et la pratique moderne de la traduction de textes sacrés peut aussi etre instructive pour le traducteur d'aujourd'hui. Elle devrait l'inciter à etre attentif à la probabilité de changer le sens de l'original qu'il traduit.
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Fischbach, Henry. "Translation, the Great Pollinator of Science." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 38, no. 4 (January 1, 1992): 193–202. http://dx.doi.org/10.1075/babel.38.4.02fis.

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Abstract Medical science was the first to benefit from the transfer of knowledge through translation. Because of universal interest in the human body as well as the mostly Greco-Latin terminology, wealth of documentation, fewer lexicographic problems than other fields and a venerable history, medicine continues to thrive on information transfer through translation. A brief historical flashback illustrates the great pollinating role of translation in the dissemination and cross-fertilization of early medical knowledge. RÉSUMÉ La médicine a été la première science à tirer profit du transfert des connaissances par l'entremi-se de la traduction. La langue scientifique médicale étant principalement d'origine grecque et latine, le fait que la documentation médicale est abondante et universellement à la portée de tous, et que les êtres humains ont essentiellement la même anatomie partout où ils vivent, les textes de médecine présentent peut-être moins d'obstacle que d'autres au passage d'une langue et culture à une autre. L'auteur jette un bref coup d'oeil sur la longue et glorieuse histoire de la médecine, s'attardant aux jalons de cette science dans l'ancienne Grèce et Rome, et plus tard dans le monde arabe, où le savoir médical fut transféré uniquement par les traducteurs... d'Hip-pocrate et Galien à Asclépiade et Celse, et de Rome aux anciennes écoles médicales de Bagdad et de Damas, puis à celles de Tolède et de Salerne. Après la conquête de Tolède, où l'Archevêque Raymond avait établi une école de traduction, les savants occidentaux prirent contact avec la médecine arabe grâce aux traducteurs se servant du grec, du latin, de l'arabe et de l'hébreu, et après le 15e siècle, du français, de l'italien, de l'espagnol, de l'allemand et de l'anglais. C'est à l'école de Montpellier au début du 12e siècle que les savants juifs traduirent les textes médicaux arabes sous le haut patronage d'évèques catholiques. Les traductions du savant juif Faraj ben Salim des traités d'Ibn Sinâ Avicenne, dit le "Galien de l'Islam", ont achéminé les connaissances médicales de l'ancien monde au monde moderne. L'auteur en conclut que la traduction a joué un rôle prédominant dans la pollinisation, pour ne pas dire la fécondation active, de la science médicale à travers les âges.
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Shiyab, Said. "The Importance of Teaching Translation Theory." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 42, no. 3 (January 1, 1996): 166–73. http://dx.doi.org/10.1075/babel.42.3.05shi.

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Abstract:
Abstract Writing on translation theory and the way it should be taught in schools or universities still appears to be dominated by rules formulated a long time ago on what is mainly typified as description of a good translation; it is unfortunate that some translation theorists have taken the stance to declare that translation is a craft, ignoring the potentiality of creating a comprehensive theory of translation (Newmark 1980: 113). In this paper, translation theory is not to be regarded as an exercise focusing on language learning; it is a discipline in its own right. This paper attempts to argue that translation theory is an aid to the translator; it helps him to capture the sense and the spirit of verbal and non-verbal elements in texts. This paper demonstrates that any attempt to teach translation without resorting to translation theory would fail to produce certain elements that are essential to the effectiveness and efficiency of text. A good translator is therefore the one who can link between translation theory and teaching translation practice, as translation theory enriches the translator's knowledge of the text and that is providing insights into cross-cultural semantics and pragmatics; it also provides the translator with the adequate knowledge and understanding of the techniques and ways of approaching a text. Résumé A l'heure actuelle, les écrits sur la théorie de la traduction et sur la manière dont elle doit être enseignée dans les écoles de traduction ou dans les universités, semblent encore être dominés par des règles formulées à une époque où elle se limitait essentiellement à décrire ce qu'était une bonne traduction. Il est regrettable que certains théoriciens de la traduction aient énoncé que la traduction était une technique et aient ignoré par conséquent les possibilités de créer une théorie globale de la traduction (Newmark 1980: 113). Dans cet article, l'auteur ne considère pas la théorie de la traduction comme un exercice centré sur l'apprentissage de la langue mais bien plus comme une discipline à part entière. L'auteur s'efforce donc de faire valoir que la théorie de la traduction peut constituer un outil pour le traducteur qui l'aidera à saisir l'esprit et la lettre des éléments verbaux et non verbaux d'un texte. Il démontre que toute tentative d'enseigner la traduction sans avoir recours à la théorie de la traduction ne parviendrait pas à produire certains éléments qui sont essentiels pour qu'un texte atteigne son but et accomplisse sa fonction. Le bon traducteur est donc celui qui parvient à établir un lien entre la théorie de la traduction et l'enseignement de la pratique de la traduction. En effet, la théorie de la traduction permet au traducteur d'améliorer sa connaissance du texte, de mieux comprendre les aspects sémantiques et pragmatiques inhérents au passage d'une culture à une autre, et de maîtriser les techniques et l'approche d'un texte.
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Movahedi, Siamak. "Analyse métalinguistique du discours thérapeutique : fuite dans une autre langue quand analyste et analysant sont multilingues." Le Coq-héron N° 256, no. 1 (April 10, 2024): 77–92. http://dx.doi.org/10.3917/cohe.256.0077.

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Abstract:
Le choix de la langue pendant la cure s’impose comme une question théorique et clinique importante lorsque l’analyste et l’analysant sont multilingues et partagent les mêmes langues. Le passage d’une langue à une autre en cours d’analyse est une question d’égale portée. Cet article propose une analyse de l’échappée vers une seconde langue à la fois par l’analysant et l’analyste au sein de la matrice transféro-contre-transférentielle. La discussion porte sur la nature communicative de la langue maternelle par rapport à une autre langue. L’auteur soutient que les fantasmes et les souvenirs inconscients des expériences de la petite enfance font partie intégrante de la langue maternelle et qu’ils prennent vie dans le dialogue analytique par le biais de cette langue des origines. Le passage à une seconde langue est vu avant tout comme une défense primaire. La thèse que je défends ici est que le traitement des conflits de la petite enfance – en particulier les problèmes préœdipiens – devrait finalement s’effectuer dans la langue qui porte les inscriptions des premières relations d’objet.
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Sãnchez, Ida Sonia. "El lenguaje y sus interfaces : traducción y cultura." Meta 45, no. 4 (October 2, 2002): 683–91. http://dx.doi.org/10.7202/004026ar.

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Résumé Après avoir proposé un schéma qui inclut certaines notions recouvertes par celle de langue, telles que la traduction (en elle-même ainsi qu'en relation avec la culture et avec ses visées), de la culture (tant sur le plan individuel que collectif) et du traducteur en tant que chargé du transfert d'une culture (langue) à une autre, l'auteur questionne ce schéma en trois temps. D'abord, on se demande si la traduction a en fait la capacité de transférer complètement et sans aucune perte un énoncé d'une langue à une autre. Ensuite - et cette question découle directement de la première -, existe-t-il dans chaque langue des " es- paces culturels " pour d'autres langues, espaces permettant de rendre compte de réalités culturelles étrangères? Finalement, l'auteur illustre sa thèse à l'aide des traductions françaises et anglaises des œuvres de Borges en se demandant si la prose de ces Latino-américains a été effectivement rendue dans son intégralité.
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Muris-Prime, Camille. "‘ Trouver une langue ’: Rimbaud et l’éthique de la traduction." Nottingham French Studies 56, no. 2 (July 2017): 201–11. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2017.0181.

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Abstract:
Dans les lettres dites « du voyant », Rimbaud se donne comme tâche de « trouver une langue » engageant une réflexion sur ce qu'est la langue de création qui s'accompagne dans sa poésie d'une interrogation sur la qualité du matériau poétique qu'est le langage et sur sa forme: celle de la prose. Trouver une langue pour faire de la poésie c'est trouver la forme d'une parole polyphonique et presque polyglotte. Le « je est un autre » de Rimbaud résonne avec la formule de Derrida « Je n'ai qu'une langue mais ce n'est pas la mienne » pour la transformer en: « Je n'est qu'une langue, mais ce n'est pas moi. » La poésie rimbaldienne se définit comme un projet où le je est à la fois multiple et potentiel pour devenir ce « lieu mixte » dont parle Kristin Ross et mettre au point ce que nous appellerons une éthique de la traduction.
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Normand, Claudine. "Langue, parole, sujet chez saussure et benveniste." DELTA: Documentação de Estudos em Lingüística Teórica e Aplicada 27, no. 1 (2011): 99–119. http://dx.doi.org/10.1590/s0102-44502011000100006.

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Je tenterai ici de montrer qu'une lecture d'abord structurale et sociologique du CLG a longtemps occulté l'importance de la parole dans le «phénomène socio-historique» du fonctionnement de la langue. «Une lecture sémiologique» permet de la mettre en évidence en réintroduisant le sujet et le temps. La lecture qu'en fait Benveniste, préoccupé de mettre en place sa propre théorie de «la double signifiance» et des deux linguistiques (sémiotique/ sémantique), réintroduit le sujet d'une tout autre façon qui l'amène, à la fois à accentuer une lecture structurale de Saussure et, sous l'annonce d'une théorie du discours, à se tourner vers une conception philosophique du langage.
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Edström, Bert. "The transmitter language problem in translations from Japanese into Swedish." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 37, no. 1 (January 1, 1991): 1–14. http://dx.doi.org/10.1075/babel.37.1.02eds.

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Abstract:
Cet article se propose de traiter le problème de la langue de transmission, c'est-à-dire du cas où une traduction n'est pas effectuée directement d'une langue à une autre, mais par l'intermédiaire d'une tierce langue. Pour une langue d'importance "mineure" comme le suédois, les traductions, effectuées à partir de langues autres que celles des plus grandes de l'Europe, recourent dans la plupart des cas à de telles langues et assument la fonction de transmetteur. Le fait d'utiliser, au niveau du mot, des données ou informations tirées des traductions d'ouvrages japonais de caractère littéraire en suédois, réalisées par l'intermédiaire d'une troisième langue jouant le rôle de transmetteur, montre que le recours à une langue de transmission a pour conséquence un moindre degré de précision et un nombre croissant d'erreurs et d'écarts entre le texte original et la traduction. Il apparaît même, dans certains cas, que les erreurs et écarts du texte final se révèlent moins nombreux que ceux présents dans le texte de la langue fonctionnant comme transmetteur, faisant ressortir par là-même l'importance de la perspicacité et de la connaissance culturelle du traducteur.
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Vilkou-Pustovaïa, Irina. "Du marrisme au traitement des modes verbaux dans les grammaires du roumain." Scolia 16, no. 1 (2003): 221–32. http://dx.doi.org/10.3406/scoli.2003.1044.

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Abstract:
À l’époque de l'entre-deux-guerres, lorsque la Moldavie Soviétique était représentée par une petite enclave autonome, la RASSM, sur le territoire de l'Ukraine, le linguiste moldave I. D. Ciobanu publie une petite grammaire du moldave, parlé dans un département de Transnistrie. Traitée d'«imposture scientifique » dans les années 1990, lors d'un renouveau national, pro-roumain, en ex-RSS Moldave, cette grammaire promouvait une nouvelle langue standard, moldave, différente du standard roumain et elle était basée sur la prononciation et l’usage oral d’un sous-dialecte. Elle était également conçue et organisée en imitation fidèle des grammaires slaves, russe et ukrainienne. A partir d'une étude critique de cet ouvrage, (de la classification et du traitement des temps verbaux, en particulier), on voudrait poser au moins une question d'ordre épistémologique : que doit être la grammaire d'une langue pour qu'elle «prête » son inventaire des catégories d’analyse à une autre langue ?
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Gabay, Simon, Rachel Bawden, Philippe Gambette, Jonathan Poinhos, Eleni Kogkitsidou, and Benoît Sagot. "Le changement linguistique au XVIIe s. : nouvelles approches scriptométriques." SHS Web of Conferences 138 (2022): 02006. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213802006.

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Abstract:
La fin du XVIIe s. reste un angle mort de la recherche sur les systèmes graphiques, en dépit de l'importance de cette période pour l'histoire du français, qui s'est alors vu imposer une orthographe continuant encore aujourd'hui de régir, peu ou prou, son écriture. En privilégiant une approche pratique, sur corpus, plutôt que théorique, nous nous proposons de poser les bases d'une étude scriptométrique computationnelle de la langue classique, s'intéressant à son évolution au cours du Grand Siècle. Pour ce faire nous mesurons et évaluons la distance entre la langue classique et la langue contemporaine au moyen de deux méthodes de normalisation automatique, une avec des règles, et une autre avec un réseau de neurones.
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Lachachi, Djamel Eddine. "Äquivalenz, Vergleichbarkeit und Übersetzbarkeit." Traduction et Langues 8, no. 1 (December 31, 2009): 36–44. http://dx.doi.org/10.52919/translang.v8i1.443.

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Abstract:
Cet article traite des questions relatives à la comparabilité, l'équivalence et la traduisibilité. En fait, la comparabilité est bien comprise dans un cadre de linguistique contrastive. De plus, la notion de comparabilité ou d'équivalence doit être précisée, "c'est-à-dire établir les conditions dans lesquelles des éléments de deux langues L1 et L2 peuvent être considérés comme comparables. Pour le problème de l'équivalence de la traduction, apparemment, il est très difficile, si à Dans ce sens, le problème de la traduction a donné lieu à de vives discussions qui tentent de répondre à la question de savoir comment les catégories d'une langue L1 peuvent être comparées ou traduites avec celles d'une autre langue L2 dans une unité particulière. Cette étude a montré que la traduction d'une langue à une autre se fait par une partie de la traduction de la parole et non par la traduction d'un mot. Le processus de traduction se fait étape par étape, c'est-à-dire que l'on peut d'abord trouver la chose la plus simple. Une progression doit se dérouler en quatre étapes pour trouver l'équivalent réel dans l'autre langue : les quatre étapes pourraient avoir lieu ensemble dans l'acte de traduction. Le contexte comprend le texte, la situation, et la connaissance supposée du destinataire ; dans ce cas, on parle d'équivalence pragmatique. L'équivalence de traduction doit être considérée comme un terme relatif. Ces méthodes de traduction restent donc à approfondir, ce que nous essayons de faire dans le cadre d'un projet, dans un service de recherche à Oran, sur « Linguistique et Traduction ». Cette fois, nous n'avons fait qu'esquisser ces nouvelles méthodes de traduction scientifique.
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Rastall, Paul. "Communication strategies and translation The example of the "genitive" in Russian." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 40, no. 1 (January 1, 1994): 38–48. http://dx.doi.org/10.1075/babel.40.1.05ras.

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Abstract:
Les langues peuvent être considérées comme un ensemble de stratégies utilisées pour communiquer une expérience. D'une langue à une autre, ces stratégies diffèrent. Pour le traducteur, cela signifie qu'il doit trouver, dans la langue de travail, une stratégie permettant de communiquer l'expérience exprimée dans la langue d'origine. Le manque de concordance LO/LT peut être réduit au minimum si l'on applique une stratégie par laquelle les traductions suppositives sont soumises à "un filtre d'applicabilité linguistique". Certains aspects de cette méthode sont illustrés à l'aide de la traduction en anglais d'expressions russes contentant un "génitif". Le lecteur constatera que les stratégies de communication utilisées dans la LO et la LT sont très différentes. Dans son analyse, l'auteur avance également de nouvelles idées sur le génitif utilisé en russe.
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Stillman, Robert E. "Radical Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 37, no. 3 (January 1, 1991): 168–76. http://dx.doi.org/10.1075/babel.37.3.05sti.

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Abstract:
La recherche d'une langue universelle en Angleterre au 17e siècle s'étend des propositions préliminaires de Francis Bacon, philosophe de la "nouvelle science", jusqu'à la création d'une langue philosophique par l'évêque John Wilkins, fondateur principal de la Royal Society. Les languages universelles, je le maintiens, sont, en premier lieu, des exemples de la "traduction radicale"; elles constituent l'effort d'accomplir par des moyens nouveaux le rêve inachevé des humanistes de retrouver une harmonie entre les mots et les choses. Les langues universelles ne sont pas des traductions d'une langue à une autre; elles traduisent plutôt ce que l'on pourrait décrire comme ou bien le livre de la nature ou bien le discours de l'esprit en un système de signifiants dont la logique fonctionne comme miroir de la logique du monde. Illustrées le mieux dans l'oeuvre de Bacon et de Hobbes, les conséquences politiques de la traduction radicale sont des plus profondes. L'histoire du mouvement de la langue universelle se reflète dans l'histoire des rois Stuart, ceux qui ont travaillé le plus pour l'établissement d'un ordre politique absolu. Le nouvel état autoritaire a trouvé un appui dans cette nouvelle langue elle-même autoritaire.
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Pietraroia, Cristina Casadei. "De l’imitation à la création en langue étrangère: pouvoir être un autre." Revista Letras Raras 9, no. 5 (November 30, 2020): 12. http://dx.doi.org/10.35572/rlr.v9i5.2010.

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Abstract:
Cet article aborde le passage obligatoire, dans l’apprentissage d’une langue étrangère, par le plaisir, le jeu, l’imitation et la création. Le contexte est celui de l’enseignement du français langue étrangère au niveau de la Licence dans une université brésilienne où les étudiants, dont la plupart sont débutants, doivent non seulement apprendre cette langue mais aussi en faire un objet de travail. Il faut donc qu’ils la maîtrisent bien et, pour cela, ils doivent être préparés à mettre en question leurs propres identités et à se montrer dans ce qu’ils ont de plus subjectif : leurs souvenirs et leurs émotions.
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منصوري, خيرة. "مفردات القران الكريم بين الترجمة الحرفية والترجمة التفسيرية صيغتا "ضحك، ضاحكا"- نموذجا." Traduction et Langues 6, no. 1 (December 31, 2007): 85–93. http://dx.doi.org/10.52919/translang.v6i1.392.

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Abstract:
Le transfert de tout texte de la langue maternelle vers une langue seconde peut entraîner une distorsion. Cela signifie qu'il déforme ses significations et perd certaines de ses caractéristiques, et désormais le lecteur le reconnaît à peine. Les théoriciens s'accordent presque à l'unanimité pour dire que l'acte de traduction doit viser principalement le transfert de la langue étrangère vers la langue maternelle du traducteur. Certains considèrent même que ce type de tâche de traduction est la seule qui mérite d'être qualifiée de traduction et que le passage de la langue maternelle à la langue étrangère n'est pas seulement un processus d'imitation, comme le dit la chercheuse française E. Laveault dans son livre "Fonctions de la traduction dans l'enseignement des langues".Le sujet de cet article s'inscrit dans le domaine du transfert des significations du texte coranique, entre le transfert abstrait de son vocabulaire et le transfert de l'interprétation correcte de ses significations vers une langue seconde, autre que l'arabe.
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El Badaoui, Manal Ahmed. "Traduction de quelques faits culturels du français vers l’arabe : retour de l’original à son point d’origine." TTR 25, no. 1 (April 30, 2013): 133–58. http://dx.doi.org/10.7202/1015350ar.

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Abstract:
L’article examine la traduction des faits culturels et les transformations opérées lors du passage d’une langue/culture à une autre. Les stratégies préconisées par certains théoriciens pour la traduction des faits culturels seront abordées afin de déterminer la stratégie à privilégier. Pour déterminer le contexte et les circonstances du choix d’une solution traductionnelle au détriment d’une autre, nous examinerons La nuit sacrée de Tahar Ben Jelloun publié en 1987, et ses deux traductions en arabe réalisées en Égypte en 1988 et en 1993.
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Schneider, Monique. "Éprouver le passage." TTR : traduction, terminologie, rédaction 11, no. 2 (March 1, 2007): 55–72. http://dx.doi.org/10.7202/037334ar.

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Abstract:
Résumé Éprouver le passage — Lorsque se trouve accentuée la dimension de perte inhérente à l'accès au symbolique, la traduction peut apparaître comme le champ privilégié où s'étale cette perte. Direction suivie par J.-B. Pontalis parlant de « la mélancolie du langage » et dotant le traducteur de « la capacité infinie d'être triste ». Une autre orientation se dessine si la traduction est envisagée dans son exercice même et non dans son seul résultat. L'expérience analysée sera celle de la retraduction des textes de Freud, mettant au jour les opérations à l'oeuvre dans les traductions officielles : maquillage des termes se rapportant à la scène de séduction et à la possibilité, pour le maître, d'avoir accès à la jouissance. Ce qui conduit à une mise en abyme du procès de la séduction. De la traduction mystifiée à la traduction impossible : c'est la tentative même de franchissement qui fait apparaître l'inconvertible dans une langue, l'exemple choisi étant le signifiant allemand, Leib, terme désignant, par opposition à Körper, le corps vivant ou le corps en creux, donc connoté de féminité; connotation qu'aucun terme français ne pourra rendre.
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Gold, Iwala. "L’emprunt En Traduction." Tasambo Journal of Language, Literature, and Culture 3, no. 01 (February 15, 2024): 390–95. http://dx.doi.org/10.36349/tjllc.2024.v03i01.045.

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Abstract:
Dans un monde où les connaissances évoluent d'une manière de plus en plus alerte, le transfert des mots d’une langue à une autre, en forme de l’emprunt, devient essentiel pour enrichir le vocabulaire des langues de travail. L’emprunt c’est l’acte de maintenir certains mots du texte de départ dans le texte d’arrivée, soit par manque d’équivalence soit style et goût du traducteur. Puisque le but de la traduction est le transfert d’une réalité idéologique, médical, religieux ou politique, d’une langue à une autre pour le bien de l’humanité, le transfert des lexiques devint aussi une évidence. Notre object est ici de montrer que l’emprunt est l’un des procédés de la traduction plutôt qu’un handicap lexical ou de vocabulaire. Cet article se base sur la théorie de la pertinence qui insiste sur le principe dans l’économie du langage selon lequel le traducteur ne traduit que ce qui est pertinent. Donc nous préconisons la procédure de ne traduire et de n’employer que ce qui est pertinent dans la pratique de la traduction.
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Detcheverry, Thomas. "De Rancière à Deleuze : politique et littérature." Theory Now. Journal of Literature, Critique, and Thought 7, no. 1 (January 29, 2024): 213–38. http://dx.doi.org/10.30827/tn.v7i1.28990.

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Abstract:
Rancière reproche à Deleuze de ne pas parvenir à penser le rapport de l'écriture littéraire à la politique, et d'échouer à fonder une authentique politique de la littérature. Selon Rancière, c'est seulement en distinguant plusieurs régimes historiques d'identification de l'art (éthique, représentatif, esthétique) que l'on peut penser le sens et les conditions d'une politique de l'écriture. Par contraste, l'ambition d'une position deleuzo-guattarienne sur les rapports entre politique et littérature aujourd'hui consiste à tenter de réhabiliter, après Rancière, l'idée selon laquelle le sens politique de la littérature implique une distinction entre deux usages de la langue, deux expériences hétérogènes du langage : l'un ordinaire, communicatif et « majeur » ; l'autre créateur, esthétique et « mineur ». L'objectif de cette étude est de montrer que les textes de Deleuze et Guattari de 1980 sur l'épistémologie de la linguistique, et sur l'idée d'une nouvelle pragmatique de la langue inspirée de William Labov, apportent un éclairage rétrospectif sur la façon dont la notion de littérature mineure, introduite en 1975 dans le livre sur Kafka, inscrit la politique dans l'usage littéraire du langage, et fonde une authentique politique de la littérature —en un autre sens que chez Rancière.
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Beaupré, Michael. "Introduction." La traduction juridique 28, no. 4 (April 12, 2005): 735–45. http://dx.doi.org/10.7202/042840ar.

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Abstract:
Les cinq textes qui suivent ont été présentés au 12e congrès de l'Académie internationale de droit comparé, tenu en août 1986 aux universités de Sydney et Monash en Australie. Essayant de définir ce qu'est la traduction, ces textes font état de la variété de méthodes et de styles de la traduction, ainsi que de l'importance du contenu culturel de la langue juridique. Les embûches créées par la spécificité culturelle d'une langue juridique par rapport à une autre et par l'affinité relative des langues dans lesquelles un texte juridique doit s'exprimer sont analysées par rapport à un autre problème : celui de la réception de nouvelles institutions juridiques au sein du système juridique en place. Enfin, on propose un plus grand rôle pour les juristes et le droit comparé dans le processus d'élaboration des textes juridiques plurilingues, processus confié trop souvent aux seuls traducteurs.
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Castro, Maria Fausta Pereira. "The acquisition of the mother tongue in between languages." Cadernos de Estudos Linguísticos 65 (November 6, 2023): e023012. http://dx.doi.org/10.20396/cel.v65i00.8673388.

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Abstract:
Dans cet article, nous partirons de l'analyse de certains faits liés à l'acquisition du langage qui mettent en lumière l'imbrication des langues dans l'acquisition de la langue maternelle. Dans certaines conditions, des matérialités linguistiques provenant de plus d'une langue entrent dans le processus de capture de l’infans par le langage (LEMOS, 2002). Nous partirons de faits linguistiques observés dans la parole chez deux enfants de trois ans - une fillette brésilienne et un garçon franco-brésilien- en contact avec le français et le portugais brésilien. Des expériences temporaires ou continues, vécues par des enfants en contact avec plus d'une langue, fournissent des preuves empiriques et soulèvent des questions théoriques qui sont développées dans une enquête sur les effets des langues de l'enfance sur le fonctionnement linguistique des adultes. L'histoire du sujet parlant et de sa langue maternelle est marquée par des représentations de son acquisition et par des imbrications dues à l’exposition à d'autres langues. Ses effets ne sont pas prévisibles. L'inconscient ne crée pas d'obstacles au mélange des langues et peut retenir des mots, des expressions et d'autres fragments d'une langue de l'enfance qui devient par la suite étrangère (MELMAN, 1992). Ce serait le cas de l'un de ces enfants, aujourd’hui jeune adulte. Sur la base des hypothèses soulevées sur l'acquisition des langues et à partir d'un autre poste d’observation, nous nous intéresserons aux écrivains et aux poètes qui ont fait de la trajectoire linguistique vécue la substance même de leur œuvre. Affectés par la "mémoire représentée" (PAYER, 2006) d'un passé reconstruit, dans lequel la langue maternelle a été réduite au silence ou vécue comme telle, ils élisent une langue maternelle adoptée tardivement avec laquelle ils tissent leurs œuvres. Elias Canetti et Aharon Appelfeld sont deux auteurs caractéristiques de cette expérience. Tous deux éprouvent le besoin de nommer la langue de création littéraire comme langue maternelle. L'analyse de ces faits met en lumière les propos de Milner (1990[1978]) sur le terme lalangue : il s'agit d'une langue mise en valeur par la fonction poétique et dont la figuration la plus directe est la langue maternelle.
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Gefroy, Véronique, and François Le Roux. "L'enseignement bilingue pour sourds en France vu sous l'angle de la didactique des langues." MOARA – Revista Eletrônica do Programa de Pós-Graduação em Letras ISSN: 0104-0944 1, no. 45 (September 5, 2016): 173. http://dx.doi.org/10.18542/moara.v1i45.3720.

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Abstract:
En France, il existe un dispositif particulier d’enseignement dans lequel toutes les fonctions de l’école sont assurées et qui donne accès aux programmes nationaux officiels grâce à une autre langue que le français : ce sont les classes immersives en langue régionale. La même démarche peut être appliquée à la LSF. En effet, l’accès au français seul suppose une dépense cognitive considérable pour les enfants déficients auditifs, pour leur famille et même pour les enseignants.En faire une condition d’accès à l’écrit détourne le passage par l’école de ses fonctions essentielles : la transmission des connaissances, l'accompagnement métacognitif, la socialisation et la régulation des échanges, diverses activités langagières dont le travail métalinguistique indispensable à la lecture, etc. Dans cet article, nous nous proposons de regarder la scène scolaire avec l’éclairage de la didactique des langues, et de faire en sorte que la rééducation du français ne soit pas le seul projecteur allumé dans la scolarité des enfants sourds.Mot clés : enseignement bilingue, LSF, classes immersives, oralisme, langue d’enseignement, langue première, sourd, déficience auditive
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Billard, Jean Antonin. "Israël Pincus Lazarovitch alias Irving Layton." Meta 45, no. 1 (October 2, 2002): 140–54. http://dx.doi.org/10.7202/002080ar.

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Abstract:
Résumé Depuis cinq décennies, le poète Irving Layton tente de témoigner de l'indicible et donc de l'intraduisible obscénité de la Shoah. Jamais il ne renoncera à sa quête à l'exemple d'Isaïe, bien qu'il voie avec trop d'évidence qu'impureté et lâcheté font résonner la voix du poète comme une cloche fêlée. Dans le verbe créateur demeure la rédemption. Le Carillon. La traduction française de dix poèmes s'efforce de retrouver dans un autre idiome cette voix, qui était déjà traduite, dans l'original anglais, d'une langue intérieure étrangère, la langue du nom éradiqué. Cette absence du nom, cette "parole suffoquée" met, à son tour, le traducteur au défi.
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AMMARI, Marwa. "Les limites de la traduction automatique de la métaphore dans le discours politique d’Emmanuel Macron (Français / Arabe)." ALTRALANG Journal 5, no. 3 (December 31, 2023): 159–70. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v5i3.355.

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Abstract:
ABSTRACT: Metaphor is a figure of speech that involves diverting the literal meaning of a word. This meaning varies across cultures, making it crucial for translators dealing with political discourse to consider this condition for coherence and accuracy in translation. The translator must accurately convey the content and connotations of the metaphor when translating it into another language. However, this process encounters challenges in terms of equivalence, as automatic translation software struggles to capture the connotations and decipher a metaphorical phrase due to the agrammaticality and inconsistency of translated sentences in Arabic. Therefore, before seeking the exact equivalent of a metaphor from a source language to a target language, it is essential to improve the literal translation of expressions. RÉSUMÉ : La métaphore est une figure de style par laquelle on détourne le sens propre d'un mot. Ce sens se diffère d'une culture à une autre. Ainsi, le traducteur, en traduisant une métaphore dans un discours politique, doit prendre en considération cette condition pour que sa traduction soit cohérente et possible. Il doit traduire, correctement, dans une autre langue le contenu et les connotations de cette figure. Néanmoins, cette transposition pose des problèmes au niveau de l'équivalence, les logiciels de la traduction automatique rencontrent des difficultés à connoter et décoder une phrase métaphorique à cause de l’agrammaticalité et de l’incohérence des phrases traduites en arabe. De ce fait, avant de chercher l’équivalent exact d’une métaphore, d’une langue source vers une langue cible, il faut améliorer la traduction littérale des expressions.
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Magné, Bernard. "De l'écart à la trace : avatars de la contrainte." Études littéraires 23, no. 1-2 (April 12, 2005): 9–26. http://dx.doi.org/10.7202/500924ar.

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Abstract:
Chez Perec, les contraintes formelles peuvent être soumises à des transformations de complexité croissante : ­ l'oubli, qui s'accompagne souvent de sa propre désignation métaphorique; ­ la suspension momentanée, zone libre dans l'espace textuel réglé; ­ le dysfonctionnement volontaire ou « clinamen », affectant les règles du texte ou les structures de la langue; ­ la surcontrainte, qui ajoute une ou plusieurs exigences supplémentaires; ­ la métacontrainte : contrainte prévoyant à l'intérieur d'elle-même ses propres mécanismes d'autotransformation, ou modification d'une contrainte par une autre. Par ces diverses manoeuvres, Perec impose au lecteur une activité de repérage, de mise ensemble et d'interprétation : bref, au contraire de la fascination passive, un défi tonique et jubilatoire.
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Sfar, Inès. "Figement et incorporation : l’établissement d’un concordancier bilingue (français-arabe)." Meta 55, no. 1 (April 30, 2010): 158–67. http://dx.doi.org/10.7202/039610ar.

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Abstract:
Résumé Partant du constat que la polylexicalité est une marque morphologique qui permet d’intégrer dans la traduction la notion d’équivalence entre unités polylexicales et unités monolexicales, nous avons essayé de montrer l’enchevêtrement entre ces deux mécanismes essentiels de la dynamique lexicale, à savoir le figement et la dérivation. Cette complémentarité n’est pas sans poser de problème lors du passage d’une langue à une autre, plus particulièrement du français vers l’arabe ou inversement, étant donné qu’elle est loin de se traduire de la même façon. Ceci représente un obstacle incontournable devant l’élaboration de concordanciers bilingues français-arabe.
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Baalbaki, Hana. "Allah n'est pas obligé d'Ahmadou Kourouma: Une gymnastiquie langagière." Hawliyat 12 (November 19, 2018): 95–120. http://dx.doi.org/10.31377/haw.v12i0.221.

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Abstract:
Avec seulement quatre romans publiés en vingt-quatre ans, Ahmadou Kourouma s'est imposé comme l'un des écrivains les plus importants du conti- nent africain. Dans ses romans: Les soleils des Indépendances (1976), Monné, outrages et défis (1990), En attendant le vote des bêtes sauvages (1999) et Allah n'est pas obligé (2000), l'écrivain ivoirien dénonce les souffrances de l' Afrique noire. Il les dénonce avec les yeux des Africains et les décrit dans une langue calquée sur la leur. En effet, son style étonne, choque, séduit. Kourouma ne s'est pas contenté de «penser la langue»comme tout autre écrivain francophone; son oeuvre ne témoigne pas seulement d'une sorte d'hétérogénéité langagière comme c'est le cas en général chez les écrivains qui vivent le conflit des langues et des cultures; il est allé plus loin. Sa grande innovation comme dit si bien l'un des chercheurs, «réside dans le fait de proposer une oeuvre dont le protagoniste est à tout considérer le style-oui, le style malinké transposé en français»
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Zemni, Bahia, Farouk Bouhadiba, and Mimouna Zitouni. "Recherche cognitive et traduction automatique en jurilinguistique." Texto Livre: Linguagem e Tecnologia 15 (October 18, 2021): e27031. http://dx.doi.org/10.35699/1983-3652.2022.27031.

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Abstract:
De par ses caractéristiques morpho-phonologiques, morphosyntaxiques, lexicales et autres systèmes et sous-systèmes de son fonctionnement, la langue arabe représente un système de non-concaténation (ou non-enchaînement des morphèmes). Elle diffère dans ce sens des langues Indo-européennes – à systèmes de concaténation – et demeure pour ainsi dire, une langue assez complexe à gérer dans le domaine du Traitement Automatique des Langues(TAL). Ceci, surtout lorsqu’il s’agit de traduire automatiquement des faits de langue porteurs d’éléments culturels propres à cette langue. Les données examinées dans cet article sont révélatrices de hiatus quant à la traduction automatique de textes juridiques arabes vers d’autres langues telles que le français ou l’anglais. L’apparentement génétique différent des langues en question pose non seulement des problèmes d’ordre linguistique dans le passage d’une langue vers une autre, mais aussi et surtout que les textes juridiques en langue arabe sont porteurs de poids sémantiques, culturels, religieux et civilisationnels qui ne reflètent pas toujours les mêmes référents ou gestalt des langues cibles. Il en est conclu que l’intervention humaine dans ce processus de traduction est plus que nécessaire comme le révèle l’étude des cas de textes juridiques en Arabie Saoudite.
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Dialo, Issa. "Passage d’un conte d’une langue à une autre et problématique de sa charge éducative." Études littéraires africaines, no. 20 (2005): 48. http://dx.doi.org/10.7202/1041350ar.

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Smolej, Mojca. "La classification des particules en français et en slovènee des ecrits analyses n'est certes statistiquement pas pertinent;." Linguistica 47, no. 1 (December 31, 2007): 109–20. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.47.1.109-120.

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Abstract:
Nous avons done encore une fois obtenu la confirmation (attendue) de ce qu'il fait nécessairement, avant toute analyse contrastive de langues différentes, prendre conscience de ce que les locuteurs peuvent user pour un même présupposé conceptuel de moyens lexicaux et grammaticaux très distincts. Il s'ensuit logiquement qu'il est impossible, durant l'étude des catégories grammaticales d'une langue, de tirer des parallèles avec les catégories grammaticales d'une autre langue. En effet, il convient de prendre en compte diverses lois textuelles, syntaxiques et morhpologiques qui apparaissent au niveau de l'usage et de la fonction des lexèmes étudiés. En résumé, pour étudier et comparer pleinement des catégories grammaticales similaires ou identiques dans deux langues distinctes, il convient, en dehors des postulats théoriques proposés par les grammaires et dictionnaires, d'inclure dans l'analyse un corpus assez large d'emplois effectifs des moyens lexicaux étudiés permettant d'appréhender également les caractéristiques structurelles, morphologiques et textuelles gouvemant l'usage de tel ou tel instrument lexical.
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Godman, Arthur, and Robert Veltman. "Language development and the translation of scientific texts." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 36, no. 4 (January 1, 1990): 193–212. http://dx.doi.org/10.1075/babel.36.4.02god.

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Abstract:
Le Développement Linguistique et la Traduction des Textes Scientifiques Cet article en deux parties aborde le sujet quelque peu délicat de la traduction en langue malaise de textes scientifiques dont la langue de composition originale est l'Anglais. L'Anglais est une langue de communication internationale dans le domaine des sciences, tandis que le Malais n'a pas un tel statut. Pourtant, l'acte de traduire des textes scientifiques dans une langue telle que le Malais suppose l'existence d'un registre scientifique au sein de cette langue d'arrivée, ou, là où ce registre est inexistant, contribue au développement d'un tel registre associé à cette langue. La décision même de traduire un texte scientifique d'une langue comme l'Anglais dans une autre telle que le Malais doit refléter des changements politiques et des changements dans les rapports entre les deux langues, vus comme fonction de l'état de rapports existant entre les deux communautés qui parlent ces deux langues. On fait donc ainsi appel à la notion du contexte de traduction comme domaine d'étude valable afin de traiter des thèmes qui constituent le cadre de la traduction. En raison des caractéristiques et des exigences particulières à la traduction scientifique, qui s'appuie fermement sur la congruité de terminologies dans les deux langues de traduction, nous proposons et appliquons plusieurs concepts utiles, comme la restriction d'intérêt, la cline et l'agglomérat, aussi bien que la congruité, pour résoudre les problèmes spéciaux posés par le développement du langage scientifique, dans lequel la traduction joue un rôle primordial.
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Bouhadiba, Zoulikha. "Les formations idiomatiques arabes dialectales dans les productions langagières des étudiants de Licence d’Anglais." Traduction et Langues 3, no. 1 (December 31, 2004): 46–53. http://dx.doi.org/10.52919/translang.v3i1.321.

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Abstract:
Cet article traite d'une question pratique et expérimentale relative au lien entre dialectologie et enseignement des langues étrangères. Cette question n'est autre que la "présence du dialecte algérien dans la langue anglaise de l'étudiant anglais de licence Anglais".Le dialecte algérien est un dialecte particulièrement idiomatique et poétique. C'est précisément cette richesse d'expressions et d'idiomes qui fait que l'étudiant d'une langue étrangère (l'anglais dans notre cas) a recours à son dialecte lorsqu’il s'efforce à réfléchir en anglais. De plus, l’étudiant n'hésite pas à traduire entièrement des expressions, des idiomes ou des phrases sans s’interroger sur leur sens anglais ni sur leur existence.Par contre, il est légitime pour l’étudiant d’utiliser (généralement inconsciemment) son dialecte. Cependant, il est beaucoup moins légitime pour l'enseignant d'accepter un anglais (dialecte mi-anglais, mi-algérien) et qui de surcroît n'a aucun sens. Notre intérêt se portera sur cet anglais à saveur algérienne. Nous avons recueilli un échantillon de traductions littérales du dialecte algérien incorporées dans l'anglais parlé de l'étudiant.Dans cet article, nous nous sommes confiné à présenter quelques observations sur l'usage des expressions et idiomes du dialecte algérien littéralement traduites et transférées à l’anglais. Il est vrai que l'on retrouve très souvent dans le répertoire de l’étudiant angliciste un parfum de dialecte algérien. Cet étudiant utilise son dialecte pour communiquer dans une langue et une culture qui lui sont totalement étrangères). En traduisant littéralement, l'étudiant transfère presque de façon mécanique des expressions et des idiomes de son propre dialecte à la langue cible. Cette traduction mécanique semble presque nécessaire pour les étudiants des niveaux moyen et faible, respectivement.Nous avons axé cette étude sur quelques observations faites sur dix séances orales, soit pendant environ 15 heures de pratique de la langue orale (anglais). Comme conclusion, nous avons rejoint l'idée de Kacem Ben Hamza stipulant qu'une compétence communicative appropriée pour tout étudiant nécessite une compréhension suivie d'une intériorisation des structures linguistiques, mais aussi de la manière dont celles-ci sont utilisées selon les situations et selon les normes en vigueur dans la culture de la langue. L'usage réel et quotidien de la langue a toujours dépendu de considérations extralinguistiques.
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Pozzi, Regina. "Guigot et l'Europe des nations : une âme aux différents caractères." Tocqueville Review 35, no. 1 (January 2014): 73–85. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.35.1.73.

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Il peut paraître étonnant que, dans le cadre d'un débat consacré au problème des caractères nationaux au XIXe siècle, je choisisse comme objet de mon étude François Guizot, un auteur dont l'apport au thème ne passe pas pour être d'un grand poids et qui, par contre, a travaillé plus que tout autre à définir l'espace d'une civilisation européenne commune. Il se trouve cependant que, dans son cours de 1828-1830 sur l'histoire de la civilisation, il a pour une fois dédié un assez long passage qui ne manque pas d'intérêt - on verra pourquoi - aux caractères nationaux des différents pays dont l'Europe se compose.
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Fisette, Jean. "La représentation de la folie comme thérapie. À propos de Claude Gauvreau." Dossier 18, no. 3 (August 30, 2006): 468–82. http://dx.doi.org/10.7202/201044ar.

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Résumé L'oeuvre de Gauvreau, saisie comme signe, est définie dans une perspective peircéenne. D'entrée de jeu, l'auteur affirme que Claude Gauvreau a rencontré sa folie, qu'il a constamment traversé, dans les deux sens, la frontière qui sépare le monde de la dite normalité de celui de l'immersion incontrôlée dans les fantasmes. À l'image de Nelligan, il a laissé sa folie transparaître dans le texte; pourtant, il est allé beaucoup plus loin, jusqu'à déconstruire la langue pour arriver à ce point utopique où le matériau langagier serait absolument isomorphe aux contenus de l'inconscient. Cette expérience avait tous les traits d'une autcpsychanalyse, c'est-à-dire d'une exploration de soi où manquait cruellement la présence de /'Autre. Dans la seconde partie de sa vie de création, Gauvreau inversa le mécanisme: il écrivit pour le théâtre, c'est-à-dire dans la perspective d'un contact direct avec le public dont il se saisit pour en faire son Autre. Au terme de son expérience d'écriture, Gauvreau avait réussi à donner une signification à son mal, en l'inscrivant dans les débats d'institution et de société: son mal devenait une valeur ou, pour reprendre la définition peircéenne du signe, quelque chose pour quelque chose d'autre. C'est donc dire que, par le biais de la représentation, il sortait de sa folie puisqu'il arrivait à en faire l'objet d'un partage, un don, un signe authentique.
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Mejri, Salah. "L'écriture littéraire bilingue : traduction ou réécriture ? Le cas de Salah Guermadi." Meta 45, no. 3 (October 2, 2002): 450–57. http://dx.doi.org/10.7202/003613ar.

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Résumé L'expérience originale de l'écrivain tunisien Salah Guermadi, qui a publié certains de sesécrits simultanément en arabe et en français, représente une pratique permettant d'abandonner l'explication de la non-conformité des textes traduits et des textes originaux par l'attitude ou les compétences du traducteur. Puisqu'il s'agit d'un travail de réécriture, les textes de cet auteur fournissent l'occasion de chercher à identifier les éléments nécessairement différents d'un texte à un autre. C'est à travers l'étude d'une nouvelle que nous avons pu vérifier que plusieurs spécificités linguistiques échappent à toute opération traduisante (niveaux de langue, stéréotypie, croyances partagées, etc.).
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Villeneuve, Lucie. "Le Parcours Étudiant du Festival Transamériques (FTA): une expérience de médiation culturelle marquante." Revista Brasileira de Estudos da Presença 5, no. 2 (August 2015): 376–95. http://dx.doi.org/10.1590/2237-266052285.

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Résumé: Le but de cet article est de présenter les retombées éducatives du Parcours étudiant du FTA, consacré à la création contemporaine en théâtre et en danse au Québec. Une première enquête sur le terrain a été menée en 2010 auprès de 50 adolescents, suivie d'une autre, en 2014, afin de valider les résultats. La recherche nous révèle que l'évènement s'avère un rite de passage pour les jeunes ; il est source de découverte de soi tout autant qu'ouverture à l'altérité, et ce, tant au niveau de l'esthétique que sur les plans culturel et socio-politique.
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Bonin, Linda. "« Ce qui, d’une écriture, n’est pas à lire »." Dossier 26, no. 2 (August 24, 2006): 288–301. http://dx.doi.org/10.7202/201541ar.

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Résumé Écrite dans les marges de « Ma joie », crie-t-elle, de Denise Desautels et Francine Simonin, cette étude interroge la place du corps dans l'écriture. Si Desautels définit sa pratique d'écrivaine par la figure de l'archéologue, signalant ainsi la traversée des différentes strates de la mémoire, d'un frayage où l'écriture est susceptible de percer l'intime, cette pratique donne à penser que ce qui est à l'oeuvre dans ce travail de fouilles est en fait une auto-bio-graphie — une écriture de son être corps au monde. Ainsi, ce recueil peut-il être perçu comme une leçon d'anatomie où la dissection n'est nulle autre que celle du corps écrit, d'un corps-de-sens issu, entre autres, d'une certaine pratique de la langue qui entraîne une vision monoculaire où les différences s'annulent dans un système d'oppositions qui les hiérarchise.
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Keil, Regina. "Im Spagat zwischen Zebra und Kuh Literaturübersetzen als Kulturtransfer am Beispiel von Azouz Begag (Nicht nur) Ein Praxisbericht." Traduction et Langues 4, no. 1 (December 31, 2005): 7–29. http://dx.doi.org/10.52919/translang.v4i1.326.

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Abstract:
Les œuvres littéraires sont presque entrecoupées d'images linguistiques, de métaphores, de comparaisons, de realia et d'idiomes d'un monde complètement différent de la langue et de la vie, qui documentent et reflètent la double ou triple identité culturelle de leurs auteurs. Le Gone du Chaâba est un parfait exemple de cette réalité. Béni ou le Paradis privé est un autre exemple qui révèle la complexité du transfert culturel lorsqu'il est traduit d'une langue à l'autre. Dans cet article, je me pencherai sur les problèmes de traduction des éléments culturels dans les romans de Azouz Beggag. Ensuite, je discuterai des différentes ambiguïtés en terminant par quelques solutions. On pourrait certes faire une analyse beaucoup plus détaillée et systématique, notamment des problèmes de traduction interculturelle et métalinguistique que soulèvent les romans de Azouz Begag mais j'espère avoir au moins fait prendre conscience qu'une traduction est beaucoup plus un processus, un travail -en cours qu'un produit fini depuis toujours, et surtout lorsqu'il s'agit d'une traduction, qui se situe à l'intersection de trois langues et de leurs cultures sous-jacentes.
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Ushaah, Mohamed. "La langue en action: discours et énonciation." مجلة جامعة صبراتة العلمية 2, no. 2 (December 31, 2018): 15–1. http://dx.doi.org/10.47891/sabujhs.v2i2.85.

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Abstract:
La langue acquiert son caractère « social » dans la mesure où elle relie, à travers ses systèmes et ses mécanismes, toute une communauté ou une autre. Cependant, si la langue est « un produit social », le discours reste un acte propre à l’individu au cours de son utilisation de la langue. Et c’est en tant qu’« un acte individuel de volonté » que le discours constitue la mise en action de la langue par le sujet parlant en vue de communiquer sa pensée personnelle. Autrement dit, le locuteur choisit les techniques et les aptitudes verbales que lui procure la langue selon la finalité qu’il entend donner à son discours.C’est par le type même d’organisation et d’enchaînement de ses éléments, par le genre de relations et de combinaisons entre ses propositions (coordination, inférence, cause, opposition, condition, etc...) que le discours – allant de la phrase simple jusqu'au texte en passant par le paragraphe - acquiert sa valeur, sa cohérence, la finalité que le locuteur entend lui donner, en un mot, son acceptabilité par l’interlocuteur : c’est ce qu’on appelle « l’acte d' énonciation » . C’est pourquoi, de nombreux linguistes appellent à l'émergence d'une « linguistique textuelle » et , donc , à définir et à établir , à l’instar des catégories et des classes grammaticales propres à la structure phrastique , des concepts, des catégories ou des classes d’unité et d’autres types de marqueurs et des connexions logico-sémantiques qui soient spécifiques à la structure textuelle.
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Rontogianni, Anthoula, and Katerina Spiropoulou. "L’enjeu de la traduction chez Vassilis Alexakis." TTR 25, no. 2 (October 8, 2013): 45–71. http://dx.doi.org/10.7202/1018803ar.

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Abstract:
Ap. J.-C., avant-dernier roman de l’écrivain grec francophone Vassilis Alexakis, est un livre exemplaire sur la problématique de l’autotraduction. À la différence des écrivains francophones issus de la colonisation auxquels le français a été imposé, rien ne prédisposait Alexakis à écrire dans cette langue. Quelles sont les raisons qui l’ont poussé à utiliser une langue autre que sa langue maternelle pour faire carrière? Pourquoi écrit-il dans deux langues? Aborder l’oeuvre d’Alexakis sous l’angle de ce que l’on appelle l’autotraduction ne constitue pas en soi une nouveauté. Mais il semble que l’on assiste en ce moment à un retour vers le grec, puisque Ap. J.-C. a lui aussi fait l’objet d’une écriture en grec et d’une autotraduction vers le français. Quels sont les choix opérationnels effectués par l’auteur pour camper un contexte aussi éloigné que le mont Athos, autrement dit la Sainte Montagne, dans Ap. J. -C., dans le but d’atteindre des imaginaires si différents? Après un survol des personnages et de la thématique de l’oeuvre, nous tenterons, dans un premier temps, de répondre à cette question par l’analyse thématique de son ouvrage et de soulever, dans un second temps, les problèmes socio-linguistiques et culturels qui résultent du passage d’une langue à l’autre, plus précisément de l’autotraduction.
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Oualdi, M'hamed. "Une succession d'empires: Les historicités d'une société maghrébine (1860-1930)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 4 (December 2017): 1055–83. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264918000586.

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Abstract:
RésuméEn étudiant un conflit juridique transméditerranéen autour de la succession d'un ancien ministre tunisien mort à Florence en 1887, cet article appelle à une écriture de l'histoire du Maghreb contemporain qui ne soit pas seulement conçue à partir de l’étude des sources coloniales européennes ou selon une temporalité coloniale mais qui puisse emprunter d'autres cadres d'analyse. Il s'agit aussi de prendre en compte le chevauchement des temporalités impériales française et ottomane en Méditerranée jusqu'aux années 1920, ainsi que la multiplication des litiges nés avant la colonisation de la Tunisie, des dissensions qui continuaient à fournir des raisons d'agir durant la période coloniale. Reconsidérer ces conflits non pas à l'aune de la colonisation mais selon leurs multiples temporalités et en diversifiant les sources nuancerait largement l'idée d'une absence de sources dites « locales » souvent avancée dans les études d'histoire coloniale du Maghreb. Tout autant que les parties prenantes européennes, les acteurs maghrébins impliqués dans des litiges juridiques furent à l'origine d'une profusion documentaire. Ils n'ont cessé de produire des preuves écrites et des justifications – y compris littéraires – en langue arabe pour appuyer leurs argumentaires. Les archives coloniales n'ont capté qu'une partie de ces écrits et donc des sources disponibles pour raconter une autre histoire contemporaine du Maghreb.
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Sow, Salamatou. "De la désignation des colonisateurs aux autoglossonymes: quel nom pour les langues orales africaines?" Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 36 (July 12, 2022): 185–95. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2013.621.

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Abstract:
En dehors des langues officielles (LO) anglais, arabe, espagnol, français, portugais, qui sont les langues de l'Administration et de l'Education dans plusieurs pays d'Afrique, les langues nationales (LN) africaines sont orales et certaines d'entre elles sont en processus d'écriture. C'est le cas du swahili en Afrique de l'Est, du bambara, du fulfulde, du hawsa, du yoruba en Afrique de l'Ouest, du berbère en Afrique du Nord, et du Zulu en Afrique du Sud. Comme le rappelle Andrée Tabouret-Keller (1997: 15), une langue peut être "référée à des noms dans chacun des trois ensembles d'usages définis, ceux des locuteurs, des linguistes et des législateurs". L'une des premières forces pour une langue en processus d'écriture est d'être unifiée par une dénomination commune aux locuteurs, aux linguistes et aux législateurs. Or en Afrique, compte tenu du caractère essentiellement oral des langues, par l'introduction d'une autre langue qui est celle du législateur dans un contexte colonial, et du fait de la diversification dans l'espace, la même langue peut avoir plusieurs noms. Les noms par lesquels les langues sont désignées par les législateurs sont en général inconnus des locuteurs qui les nom En dehors des langues officielles (LO) anglais, arabe, espagnol, français, portugais, qui sont les langues de l'Administration et de l'Education dans plusieurs pays d'Afrique, les langues nationales (LN) africaines sont orales et certaines d'entre elles sont en processus d'écriture. C'est le cas du swahili en Afrique de l'Est, du bambara, du fulfulde, du hawsa, du yoruba en Afrique de l'Ouest, du berbère en Afrique du Nord, et du Zulu en Afrique du Sud. Comme le rappelle Andrée Tabouret-Keller (1997: 15), une langue peut être "référée à des noms dans chacun des trois ensembles d'usages définis, ceux des locuteurs, des linguistes et des législateurs". L'une des premières forces pour une langue en processus d'écriture est d'être unifiée par une dénomination commune aux locuteurs, aux linguistes et aux législateurs. Or en Afrique, compte tenu du caractère essentiellement oral des langues, par l'introduction d'une autre langue qui est celle du législateur dans un contexte colonial, et du fait de la diversification dans l'espace, la même langue peut avoir plusieurs noms. Les noms par lesquels les langues sont désignées par les législateurs sont en général inconnus des locuteurs qui les nomment autrement. A travers cette contribution je voudrais présenter le cas spécifique du fulfulde qui est parlé dans un vaste espace qui va du fleuve sénégal au Nil bleu, dans des pays francophones et anglophones d'Afrique, dans au moins seize Etats de l'Afrique de l'Ouest, du Centre et de l'Est. Je présenterai les différentes dénominations, celles des législateurs représentés par l'administration et celles des travaux universitaires dont ceux des linguistes et celles des locuteurs à travers la diversité dialectale pour discuter enfin de la notion de langue liée à l'Afrique et dans le contexte de l'oralitéafricaine. Pour ce faire, nous prenons en compte quatre critères:— l'oralité;— le contact avec la langue de l'ancien colonisateur;— la diversité linguistique dynamique dans l'oralité;— l'écriture comme seul processus uniformisant de la langue. ent autrement. A travers cette contribution je voudrais présenter le cas spécifique du fulfulde qui est parlé dans un vaste espace qui va du fleuve sénégal au Nil bleu, dans des pays francophones et anglophones d'Afrique, dans au moins seize Etats de l'Afrique de l'Ouest, du Centre et de l'Est. Je présenterai les différentes dénominations, celles des législateurs représentés par l'administration et celles des travaux universitaires dont ceux des linguistes et celles des locuteurs à travers la diversité dialectale pour discuter enfin de la notion de langue liée à l'Afrique et dans le contexte de l'oralitéafricaine. Pour ce faire, nous prenons en compte quatre critères:— l'oralité;— le contact avec la langue de l'ancien colonisateur;— la diversité linguistique dynamique dans l'oralité;— l'écriture comme seul processus uniformisant de la langue.
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Kasirer, Nicholas. "Le real estate existe-t-il en droit civil ?" Revue générale de droit 29, no. 4 (March 11, 2016): 465–82. http://dx.doi.org/10.7202/1035647ar.

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Abstract:
On a beaucoup écrit sur les différences conceptuelles du droit des biens dans le droit civil et la common law. Cet article cherche à mesurer jusqu’à quel point le vocabulaire du droit dans ce domaine est intrinsèquement lié à l’une ou l’autre des traditions. L’expression anglaise real estate, telle qu’employée au Québec, fait l’objet de cette étude. Dans un premier temps, l’auteur met en lumière l’hypothèse voulant que l’emploi du terme real estate est à proscrire dans une juridiction de droit civil comme le Québec, compte tenu de l’absence d’une théorie des domaines/doctrine of estates dans le droit civil des biens. Dans un deuxième temps, il en présente l’antithèse. La constance de l’usage, au Québec, du terme anglais real estate par les professionnels et les non-professionnels du droit a peut-être eu l’effet de reconfigurer le lexique du droit civil. On peut aisément soutenir que le terme real estate ait pu émerger comme néologisme de sens en langue anglaise de droit civil, désignant, à titre de synonyme du terme immovable. Ce sens nouveau de real estate propre à la langue civiliste serait différent de celui que l’on attribue à l’expression dans la tradition juridique anglo-américaine. Les sociolinguistes ont développé la théorie générale de l’emprunt linguistique à partir du passage d’un mot d’une langue à l’autre; la théorie doit être nuancée puisque l’emprunt lexical ici (mais non notionnel) a comme source une autre tradition juridique plutôt qu’une autre langue. Cet exemple de créativité lexicale pour le droit fait voir que le processus d’émergence du vocabulaire juridique n’est pas l’apanage exclusif des législateurs ou des autres artisans de droit formel. La décision d’accepter ou de refuser real estate dépend finalement de la conception que l’on a du mode de développement du vocabulaire juridique à l’intérieur d’une théorie plus large des sources du langage, voire du droit.
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Mahmoudian, Mortéza. "Corpus, enquête, système. Et la langue? Réflexions sur l'objet de la linguistique." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 36 (November 8, 2013): 105–39. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2013.615.

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Abstract:
Où est l'objet langue dans les recherches qui mettent l'accent sur les conditions formelles? Pour illustrer mon interrogation je prendrai l'exemple du corpus, actuellement en vogue. L'idée de corpus remonte aux années 30-50 du siècle dernier. A cette époque, précurseurs et structuralistes cherchaient à définir pour la linguistique un objet concret, et à garantir ainsi son objectivité, donc sa scientificité. A la même époque, et par le même souci d'objectivité, est proposée une autre technique d'observation: enquête par questionnaire. Cet effort – méritoire – n'en soulève pas moins des questions sur les plans tant théorique que pratique. Ces concepts – corpus et enquête – s'inscrivent dans un cadre théorique où l'on conçoit les langues dotées d'une structure sui generis. Dans cette perspective, la structure de chaque langue a des spécificités que l'on ne peut circonscrire qu'à travers l'observation et l'étude de son usage. La présente étude vise à montrer la portée, mais aussi les limites du recours à ces techniques. On y soulève un paradoxe dans le rapport entre une structure censément finie et des données (recueillies par corpus et/ou enquête) extensibles ad libitum. Une issue possible de ce paradoxe serait d'opter pour une conception relative et complexe de la structure et d'abandonner la structure finie, et les implications qui en découlent.
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Vidal, Bernard. "Le vernaculaire noir américain : Ses enjeux pour la traduction envisagés à travers deux oeuvres d’écrivaines noires, Zora Neale Hurston et Alice Walker." TTR : traduction, terminologie, rédaction 7, no. 2 (March 13, 2007): 165–207. http://dx.doi.org/10.7202/037185ar.

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Résumé Le vernaculaire noir américain : Ses enjeux pour la traduction envisagés à travers deux oeuvres d'écrivaines noires, Zora Neale Hurston et Alice Walker - Zora Neale Hurston et Alice Walker font usage dans leurs oeuvres d'une langue autre, d'un sociolecte longtemps dénigré, le vernaculaire noir américain. Cette utilisation va bien au-delà de la simple caractérisation sociale de leurs personnages et constitue un geste contestataire, une revendication et une célébration. Dans ces conditions, la traduction annexionniste qui consisterait à avoir recours à des sociolectes effaçant totalement la négritude et la problématique raciale, tel le langage « paysan », apparaît comme une véritable mutilation des oeuvres. Il convient donc d'opérer le décentrement du texte-cible en y inscrivant la négritude. Les divers créoles à base française et les variétés du français parlées en Afrique noire peuvent fournir des marqueurs qui, sans relocaliser abusivement le texte-cible, serviront à cette fin.
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Garand, Dominique. "The Appeal of the Race. Quand l’antagonisme se fait vérité de l’être." Dossier 19, no. 1 (August 30, 2006): 11–38. http://dx.doi.org/10.7202/201067ar.

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Abstract:
Résumé Le plus fameux roman de Groulx est ici analysé à l'aide d'une série d'approches concentriques (figurative, actantielle, sémantique) et simultanément parcouru dans renonciation de la passion recitative qui le traverse, qui tournerait autour du désir d'un Nom propre. À ce désir, le roman de Groulx réserve une satisfaction mythique, sacrificielle et narcissique. Voilà un legs qu'il importe de soumettre à la critique. Le titre de l'article suggère par son ironie comment, dans le système polémique qu'instaure 'L'Appel de la race, le désir du sujet trouve parfois sa vérité impensée traduite improprement dans la langue de l'antagoniste. L'épigraphe, autre adaptation mimétique d'un air connu mettant en vedette un militaire anglais, suggère que pour qui part en guerre, l'épreuve ultime consiste à assurer son retour. Enfin, de manière à écarter les trop faciles critiques idéologiques de L'Appel de la race, cet article propose que soit adoptée la méthode de facques Ferron, qui consiste à reprendre les signifiants de Groulx pour les déplacer sous l'impulsion d'un autre sujet d'écriture.
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Riendeau, Pascal. "Le champ existentiel ou les avatars d’une construction identitaire. Sur La Vie aux trousses d’André Brochu." Dossier 20, no. 3 (August 29, 2006): 571–86. http://dx.doi.org/10.7202/201190ar.

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Abstract:
Résumé Plusieurs oeuvres récentes d'André Brochu mettent de l'avant la question de l'identité: La Grande Langue. Éloge de l'anglais, Fièvres blanches et La Vie aux trousses. Dans ce dernier ouvrage, l'interrogation s'articule plus précisément autour de la création d'une identité masculine spécifique. Il s'agira donc d'étudier ce roman afin de voir quelle tangence prend l'interrogation identitaire au regard de la masculinité. À partir des nouvelles théories de la masculinité, nous verrons que le texte de Brochu oscille entre une conception traditionnelle et une autre plus près de la pensée constructiviste - elle-même à l'origine des théories actuelles de la masculinité-, notamment par rapport à la représentation de l'homosexualité. En s'attardant au langage du texte et plus particulièrement aux divers procédés rhétoriques, nous pouvons voir que la construction de l'être masculin dans La Vie aux trousses s'effectue de façon ludique, ironique et parfois contradictoire.

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