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Dissertations / Theses on the topic 'Partis de gauche – France – 20e siècle'

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Launay, Maxime. "Une armée nouvelle ? La gauche et l’armée française (1968-1985). Antimilitarisme, libertés publiques, défense nationale." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. http://www.theses.fr/2022SORUL067.

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Abstract:
Comment se fait-il que la relation entre la gauche et l’armée, longtemps antagoniste ou du moins contrariée, ait pu évoluer entre 1968 et 1985 au point de s’institutionnaliser et de contribuer au consensus sur la défense nationale ? Trois notions centrales, l’une relative au rejet du rôle dévolu à l’institution militaire (l’antimilitarisme), l’autre à la place prévue pour les droits et libertés garantis par l’État pour l’état militaire (les libertés publiques), la dernière dédiée aux principes d’une politique militaire au nom des intérêts de la France (la défense nationale), forment le fil conducteur retenu pour cette thèse. L’armée, sortie brisée de la guerre d’Algérie, prise ensuite dans les contestations des « années 1968 », traverse une nouvelle crise au milieu des années 1970. Pourtant, ni elle ni la gauche ne sont des blocs monolithiques : de multiples acteurs, au gré des rapports de force, contribuent à des aggiornamenti croisés. Tandis que la gauche de gouvernement se rallie à la dissuasion nucléaire, accède au pouvoir et s’accommode des institutions de la Ve République, les militaires repensent leur rôle dans la société, revoient leur rapport à la discipline, et acceptent avec loyalisme, malgré la défiance initiale, l’arrivée des socialistes au pouvoir. Si l’heure est à la continuité en 1981, cette rencontre conduit à une désidéologisation et à une dépolitisation durable des questions militaires et de défense dans le débat public. Fondée sur un corpus d’archives militaires et policières, des institutions gouvernementales et parlementaires, des organisations de la gauche, et d’entretiens oraux, cette recherche entend montrer que l’histoire de la gauche française est indissociable de celle de l’armée
How was the relationship between the left-wing and the army, long antagonistic or at the least incompatible, able to evolve between 1968 and 1985 to the point of becoming institutionalised and contributing to a consensus on national defence? Three central notions form the main: the first relating to the rejection of the role assigned to the military institution (anti-militarism), the second to the place foreseen for the rights and freedoms guaranteed by the State for the members of the military (civil liberties), and the last dedicated to the principles of a military policy in the name of the interests of France (national defence). The army, broken after the Algerian war, then caught up in the protests of the "1968s", went through an new crisis in the mid-1970s. However, neither the army nor the left-wing were monolithic blocks: multiple actors, depending on the balance of power, contributed to cross-aggiornamenti. While the socialist government rallied in favour of nuclear deterrence, came to power, and came to terms with the institutions of the Fifth Republic, the military rethought its role in society, reviewed its relationship with discipline, and accepted the arrival of the left-wing in power with loyalty, despite initial mistrust. If the time was ripe for continuity in 1981, this encounter led to a de-ideologisation and a lasting de-politicisation of military and defence issues in public debate. Based on a body of military and police archives, governmental and parliamentary institutions, left-wing organisations, and oral interviews, this thesis intends to show that the history of the French left-wing is inseparable from that of the army
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Marlin, François. "Pour la République, la paix, la lai͏̈cité : le Front populaire en terre radicale : le Loiret, 1934-1939." Paris 8, 1994. http://www.theses.fr/1994PA08A010.

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Botopoulos, Costas. "Les socialistes à l'épreuve du pouvoir : France, Grèce, Espagne dans les années quatre-vingt : idées et pratiques constitutionnelles." Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010279.

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Abstract:
Les trois partis socialistes de France, de Grèce et d’Espagne sont arrivés au pouvoir en ayant clairement affiché leur intention de changer profondément le système politique dans leurs pays respectifs. Mais l'épreuve du pouvoir montrera que ce seront les partis eux-mêmes qui se transformeront, dans la conception de leur rôle et dans leur mode de fonctionnement ; les gouvernements socialistes accepteront les institutions politiques héritées et ne feront même pas l'effort de mettre en cause leur logique ou d'introduire des changements constitutionnels
The three socialist parties of France, Greece and Spain arrived in power having declared their intention to change profoundly the political system in their countries. The experience of power proved that it was the parties themselves, their political role and the way they function, which were to be transformed ; the socialist governments accepted the political institutions they inherited and did not even try to impose w new constitutionnal logic
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Cahon, Julien. "Les Gauches dans la Somme, du Front populaire au Programme commun (années 1930-années 1970)." Amiens, 2011. http://www.theses.fr/2011AMIE0016.

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Colas, Jean-François. "Les droites nationales en Lorraine dans les années 1930 : acteurs, organisations, réseaux." Paris 10, 2002. http://www.theses.fr/2002PA100151.

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Abstract:
En Lorraine, dans les années 1930, les partis de droite ne sont pas parvenus à s'organiser durablement mais ils sont représentés par des élus qui résistent à l'offensive des partis de gauche en 1932 et 1936. La Fédération républicaine n'a pas réussi à concrétiser ses projets de mettre en place une organisation solide. Les nationaux s'organisent alors en groupements ponctuels à partir de 1934, dans plusieurs villes. Les activistes militaient à l'Action française et aux Jeunesses patriotes au début des années 1930. Au lendemain du 6 février 1934, le Francisme, la Solidarité française, en Moselle essentiellement, et les Croix de feu surtout connaissent un essor indéniable. Les agriculteurs lorrains s'organisèrent également, même si les campagnes restèrent calmes. Les militants des ligues adhérèrent aux partis qui ont succédé aux ligues dissoutes en 1936 mais seul le P. S. F. Devint un parti de masse. Ils rejoignirent aussi des rassemblements locaux afin de combattre le communisme : le Front lorrain en Moselle et le R. N. L. . Les responsables locaux des Croix de feu puis du P. S. F. Ont été proches des autres organisations nationales. Ils étaient d'ailleurs issus du même milieu : ce sont des hommes de droite, anciens combattants, officiers de réserve et catholiques. Mais ils finirent par obéir aux consignes d'indépendance de La Rocque. Le P. S. F. Fut alors en butte à l'hostilité des autres formations politiques à partir de 1937. Les Croix de feu puis le P. S. F. Disposèrent de l'appui de périodiques locaux, d'élus, d'industriels et de porte-parole du monde catholique. Le P. S. F. S'est inséré dans le jeu électoral et deux députés rejoignirent son groupe parlementaire. Toutefois, les notables acceptèrent difficilement la stratégie électorale de la Rocque. La Lorraine a connu dans les années 1930 une radicalisation et une bipolarisation de sa vie politique. Plusieurs parlementaires étaient proches des Jeunesses patriotes et des Croix de feu. Ils sont liés au monde catholique conservateur à l'instar des Ligues. L'anticommunisme fédéra les nationaux, y compris certains militants hostiles au régime républicain. Toutefois, d'autres parlementaires restèrent modérés et se tinrent à l'écart des Ligues. « L'esprit lorrain » explique en partie et l'anticommunisme des nationaux, et leur vigilance à l'égard de l'Allemagne, même s'ils acceptèrent les accords de Munich
In Lorraine, in the 1930's, right-wing political parties did not manage to organize themselves durably and thoroughly but they were represented by numerous elected members, who resisted the push of left-wing parties, notably in 1932 and 1936. The republican Federation did not succeed in giving a concrete expression to its project to set up a solid organization. The « national » then got organized in punctual groupings from 1934 onward in several cities. The activits militated in Action française or in the patriotic Youths at the beginning of the 1930's. After february 6, 1934, Francisme, the Solidarité française, chiefly in the Moselle, and above all the Croix de feu expended unquestionably. Farmers also got organized, even if countrysides remained quiet altogether. Leagues' activists adhered to the parties which succeeded in the dissolved leagues in 1936. However, the P. S. F. Was the only party which evolved into a large scale party. Militants also took part in local assemblies in order to fight communism : the Front lorrain and the R. N. L. . Local leaders from the Croix de feu and later the P. S. F. Were related to other « national » organizations. Their background was similar : they were right-wing men, war veterans, reserve officers and Catholics. But they eventually obeyed La Rocque when he enjoined them to become independant. The P. S. F was then exposed to the hostility of other political groups from 1937 onward. The Croix de feu and the P. S. F. Could rely on the support of local newspapers, elected representatives, manufacturers and Catholics'spokesmen. However, notables reluctantly accepted La Rocque's electoral strategy. Lorraine political life evolved toward radicalisation and bipolarisation. Several MPs were related to leagues. They were connected to conservative Catholics, as were the leagues. They fought the same opponents : freemassons and left-wing parties. Anticommunism federated the « national », including certain activits opposed to the republican system. Representatives and notables of the republican Federation, implacable opponents to Front populaire, mixed with these militants. Xenophobe ideas spred, partly inspired by anti-german feelings. Never the less, other MPs remained moderate and the P. S. F ; appears as a centrist party. The « spirit of Lorraine » explains both anticommunism and national' mistrust of Germany, even if many accepted the Munich agreeement
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Fondraz, Ludovic. "Les groupes parlementaires au sénat sous la cinquième République." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010288.

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Abstract:
Les groupes politiques occupent aujourd'hui une place prépondérante dans nos institutions parlementaires, mais leur existence même a longtemps été contestée au nom du principe représentatif qui n'admet pas le fractionnement de la représentation. Au terme d'une lente évolution, les groupes se sont imposés dans notre système parlementaire, et outre la reconnaissance règlementaire, ils accèdent en 1958 à la consécration constitutionnelle, même si celle-ci n'est qu'implicite. Toutefois, il n'est besoin que de considérer les traves des deux assemblées pour constater qu'une comparaison des formations qui les composent s'inscrirait autant en termes de différences, voire d'oppositions, qu'en termes de ressemblances. L'apparition du fait majoritaire dans les débats du sénat, dans le début des années 1980, oblige la haute assemblée à tenter de concilier l'indépendance théorique du mandat parlementaire et les exigences pratiques de l'efficacité du groupe politique. La recherche de cette efficacité collective conduit à la conversion des groupes centristes au principe de la discipline de vote, garant de la cohésion politique de la formation. La logique majoritaire du régime est également à l'origine d'une véritable socialisation de la vie sénatoriale, et à l'inévitable confrontation des formations politique de l'assemblée. Cette conception de l'organisation des travaux parlementaires se traduit notamment par l'omniprésence des groupes dans le règlement du sénat. Les formations politiques sont tout d'abord présentes au plan législatif. Elles suivent ainsi le projet ou la proposition de loi de son dépôt jusqu'à l'éventuelle saisie du conseil constitutionnel et proposent, notamment par l'utilisation du droit d'amendement, des modifications qu'ils jugent souhaitables au texte débattu. Elles participent également au contrôle du gouvernement qui recouvre désormais une large part de la politique européenne de la France
Nowadays, political groups occupy an essential part in our parliamentary institutions, but their own existence was contested for a long time because they were considered contradictory with the representative system which does not admit any division in the representation. After a slow evolution, the groups established their places in our parliamentary system, and besides their reglementary recognition, they accede, in 1958, to the constitutional consecration, even if it's only implicit. However, one only needs to look at the disposition of the rows in the two assemblies to notice that, if there are some similarities between the groups in the two chambers of the parliament, there are also many differences. The appearance of the majority logic in the senate's debates, at the beginning of the 1980s, oblige the high assembly to reconcile its usual policy of saving the independence of the parliamentary mandate with the practical requirements of the efficiency, given by political groups. To attain this collective efficiency, the centre groups have been forced to convert themselves to the principle of voting discipline, best garantee of the political unity of the groups. The majority logic produce a real socialisation of the senatorial life and the inevitable confrontations of the different political groups in the assembly. This conception of the organisation of the parliamentary works can be seen essentially by the omnipresence of the groups within the senate's regulation. First of all, political groups are present on the legislative level. They follow the project or the law proposition from its deposit until its eventual presentation to the constitutional council, and propose some modifications that they judge useful, using mainly the right of amendment. They also participate in controlling the government, which means now a large part of France's European policy
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Batardy, Christophe. "Le programme commun de gouvernement : pour une histoire programmatique du politique (1972-1977)." Thesis, Nantes, 2016. http://www.theses.fr/2016NANT2018.

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Abstract:
Le 12 juillet 1972, le PCF le PS et les radicaux de gauche signent un accord programmatique, le Programme commun de Gouvernement, appelé très vite Programme commun. Malgré une dynamique électorale favorable, qui donne naissance à l'Union de la gauche, les discussions très médiatisées du mois de septembre 1977 portant sur l'actualisation de ce programme échouent sur des divergences idéologiques mises de côté en 1972. Ce texte est le programme politique le plus diffusé au cours du 20e siècle en France. Il a marqué la vie politique à un tel point qu'il est possible de qualifier la période 1972-1977 de moment Programme commun. L'étude de l'impact de ce texte sur la société et la relecture chronologique de la période mai-septembre 1977 - afin de réévaluer la responsabilité du PCF dans l'échec des discussions - permettent l'écriture d' une histoire programmatique du politique pour la période 1972-1977
On July 12th 1972, The PCF (French Communist Party), the PS (Socialist Party) and the “radicaux de gauche” party signed a programme agreement entitled “A Common Programme for Government”, that soon became known as the "Common Programme”. In September 1977, negotiations to renew the programme, which were widely covered by the media, failed because of a re-emergence of ideological divergences that had been put to one side in 1972. This failure occurred in spite of the very favourable electoral dynamic that had given rise to a United Front on the political left. This political programme was most widely distributed in 20th century France. It marked the French political life to the point that it is possible to call the 1972-1977 period the “Common Programme” moment. A study of the social impact of this text and a chronological rereading of the May-September 1977 period that aims to reevaluate the responsibility of the French Communist Party for the failure of the discussions has allowed the writing of a history of political programmes for the 1972-1977 period
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Boyer, Vincent. "La gauche et la seconde chambre de 1945 à nos jours." Toulouse 1, 2006. http://www.theses.fr/2006TOU10016.

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Abstract:
La position de la gauche communiste et socialiste à l'égard de la seconde chambre depuis 1945, est souvent présentée comme étant constituée de revirements successifs. La gauche aurait d'abord prôné le monocamérisme par hostilité au Sénat en 1945-1946, elle se serait ensuite montrée peu favorable au Conseil de la République sous la Quatrième République, avant de se déclarer très favorable au Sénat de 1958 tant qu'il a combattu activement le Général de Gaulle et ses gouvernements, pour finalement lui manifester son hostilité depuis 1981. Il est toutefois possible de déceler, sous ces contradictions et ces rétractations, une logique sous-jacente, expliquant cette position. Il faut pour cela partir du postulat selon lequel les notions de " seconde chambre " et de " Sénat " ne sont pas synonymes, c'est-à-dire que le rejet du Sénat n'est pas forcément le rejet de toute seconde chambre et que l'acceptation d'une seconde chambre n'est pas forcément l'acceptation du Sénat. Il apparaît alors que depuis 1945, la gauche manifeste son hostilité au Sénat, tout en se déclarant favorable à l'existence d'une seconde chambre
The position of the left wing, communist and socialist, when it comes to the second chamber since 1945, is often seen as a succession of reversals. In the beginning the left wing would have advocated unicameralism in hostility towards the Senat between 1945 and 1946. In the years to follow the left wing would have been relatively unfavourable to the Council of the Republic under the Fourth Republic. However it would have become quite favourable to the Senat after 1958 so as long as this chamber actively fought General de Gaulle and his governments. In 1981 the hostility of the left wing against the Senat would have reappeared. It is however possible, taking into consideration these contradictions and retractions, to detect an underlying logic, explaining this position. To do so, it is important to accept the postulate that the notions of " second chamber " and " Senat " are not synonyms. In other words the rejection of the Senat is not necessarily the rejection of a second chamber, and the acceptance of a second chamber is not necessarily the acceptance of the Senat. It thus becomes evident that since 1945 the left wing has demonstrated its hostility towards the Senat, while declaring itself favourable towards the existence of a second chamber
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Prigent, François. "Les réseaux socialistes en Bretagne des années 1930 aux années 1980." Thesis, Rennes 2, 2011. http://www.theses.fr/2011REN20040.

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Abstract:
L’implantation socialiste en Bretagne des années 1930 aux années 1980 procède de la mise en activité des réseaux et milieux qui composent les socialismes (SFIO, PSU, PS), dévoilant des ruptures/continuités dans les générations militantes.L’ouverture politique des années 1930, amplifiée par la consolidation de réseaux d’élus en 1945, se différencie du tournant des années 1960-1970, qui voit l’émergence du nouveau PS dans un contexte de profondes mutations de la société locale. La maturation des réseaux socialistes dans les années 1980 amorce la domination du système partisan depuis 2004. Des fiches aux fichiers, la prosopographie croise les analyses des trajectoires, des réseaux et des identités et met l’accent sur un trait caractéristique du socialisme breton qui s’apparente à une social-démocratie d’élus. Des filières militantes imbriquées s’insèrent dans les milieux socialistes pluriels, composés de sous-ensembles autonomes. La centralité de l’identité laïque est concurrencée par l’irruption des filières chrétiennes. Les liens privilégiés avec les organisations syndicales se reconfigurent selon les périodes, sans démentir la constance des relais du mouvement social. Le bloc rural explique les fragilités du tissu militant dans les campagnes, avant l’émergence des réseaux ruraux et des franges syndicales progressistes qui irriguent le milieu partisan. Ce travail s’inscrit dans des visions et pratiques d’une histoire globale, selon une multiplicité d’approches : une histoire vue d’en bas, une histoire sociale et culturelle du politique, une histoire par les réseaux, une histoire politique régionale et une histoire locale du socialisme, une histoire des élus
Socialism in Brittany from 1930 to 1980 originates from the implementation of the networks and activities which are at the basis of socialism (SFIO, PSU, PS) and which revealed fractures/continuities in activist generations. The political opening in the 1930s, intensified by the strengthening of elected representatives’ networks in 1945, is different from the changes which took place in the 1960s-1970s and which lead to the emergence of the new socialist party in the context of profound changes in local society. The development of socialist networks in the 1980s is the starting point of the partisan system dominance from 2004 onwards. From sheets to files, the prosopography presents an analysis of courses, networks and identities and emphasises a characteristic of the Breton socialism, similar to an elected representatives’ social democracy.Interlinked activist networks are becoming part of plural socialist environments composed of independent subgroups. The centrality of secular identity is countered by the emergence of Christian networks. The privileged links with labour unions change according to periods, but remain consistent with the shifts in social movements. The rural block explains the frailty of the activist network in the country side, before the emergence of rural networks and progressive labour unions irrigating the activist environment. This study is in line with the views and practices of a global history, from a multiple approach: a history seen from below, a social and cultural history of politics, a history through networks, a regional political history and alocal history of socialism, a history of the elected representatives
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Vodovar, Christine. "Le PSI, la SFIO et l'évolution des systèmes politiques italien et français de 1943 à 1956." Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100002.

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Abstract:
Cette thèse repose sur une étude comparative des partis socialistes italien et français de la fin de la deuxième guerre mondiale aux premières années de la guerre froide et tente de répondre à la question suivante : pourquoi deux partis très proches par leur origine historique et leur patrimoine génétique ont totalement divergé durant cette période et dans quelle mesure la diversité historique des deux partis socialistes a marqué - de manière plus forte de ce que l'on retient habituellement l'histoire politique des deux pays dans le deuxième après guerre. La recherche confirme l'importance des facteurs culturels et politiques, sur lesquels l'historiographie traditionnelle insiste généralement, mais étend l'analyse à trois autres dimensions : la structure et à la sociologie interne ; les relations des deux partis avec leurs systèmes politiques respectifs ; enfin le poids des liens, internationaux, qui resulte non seulement d'options politico-idéologiques différentes mais également de la position géopolitique et du statut différents des deux pays.
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Thomas, Jean-Paul. "Droite et rassemblement du PSF au RPF, 1936-1953 : hommes, réseaux, cultures : rupture et continuité d'une histoire politique." Paris, Institut d'études politiques, 2002. http://www.theses.fr/2002IEPP0009.

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Goure, Jean-Paul. "Les droites dans l'agglomération stéphanoise de 1851 à 1958." Saint-Etienne, 2002. http://www.theses.fr/2002STET2091.

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Abstract:
Ville sale, malodorante et laide. Ville noire. Ville de la prostitution, de la misère et de l'alcoolisme. Ville qui vote "mal" , secouée par les grèves. Ville qui assassine un préfet. Ville dangereuse. Ville révolutionnaire. Ville rouge. Autant d'affirmations qu'il convient de démystifier, notamment sur le plan politique. Saint-Etienne est une ville qui vote rarement pour les extrêmes, pour la politique du pire, de la fuite en avant. Les déchainements passionnés contre la franc-maçonnerie et les juifs ne sont le fait que d'une minorité de jeunes en mal de vivre. L'exclusion et le racisme ne font pas partie de la culure de la ville. Les droites extrêmes n'y ont jamais joué un rôle significatif. Quand une droite dure, intransigeante, menace le fait républicain, les Stéphanois votent massivement pour les forces de gauche. Saint-Etienne n'est pas une ville de le Révolution mais de la République. Elle n'a jamais été sensible aux appels de l'homme providentiel, du Sauveur. Elle n'a accepté le retour au pouvoir du Général De Gaulle qu'en tant qu'il incarne la voie du possible entre une classe politique parisienne déconsidérée, qui ne cesse de s'agiter vainement dans l'immobilisme, et des mouvements factieux en Algérie, menaçant la République. Saint-Etienne n'est pas d'avantage une ville que le communisme a fait rêver. Sur une longue période, le vote stéphanois est conforme à celui des français, même si se produit parfois un décalage entre le vote national et le vote local, notemment en 1936. Il y a en réalité un certain refus du politique de la part des Stéphanois : l'abstention est massive, quel que soit le type d'élection. Les hommes que l'on choisit le sont souvent en raison de leur humanisme, de leur connotation "homme ordinaire" plus qu'en raison de leur appartenance à un parti, comme ce fut le cas pour A. Pinay ou A. De Fraissinette. Le paradoxe d'une ville ouvrière votant pour la droite n'est qu'apparent. Les Stéphanois sont avant tout des hommes de la mesure, qui refusent l'illusion
A town infamous for its filth, stench and ugliness. A black town. A town of prostitution, squalor and alcoholism. A town voting the "wrong" way, torn apart by strikes. A town which murders a prefect. A dangerous town. A revolutionary town. A red town. So many assertions which need to be demystified, especially in political terms. Saint-Etienne seldom votes for extremes or for the worst possible line offered by politicians wishing to achieve their own ends. Nor has it been drawn to politicians who are headstrong in following unworkable policies in spite of all the evidence. Passionate outbursts against freemasons and Jews are the acts of e few desperate youths. Social marginalisation and racism do not form part of the cultural identity of the town. The extrême right has never played a major role here. Whenever the Republic has been threatened by uncompromising right-wing hard-liners, the inhabitants of Saint-Etienne have voted massively for the Left. Saint-Etienne is not a revolutionary town but a republican town. It was never sensitive to the siren calls of the Great Man, of the Saviour. It agreed to General de Gaulle's return to power because he embodied a path between a discredited Parisian political class, vainly casting about to support the status quo, and seditious movements in Algeria threatening the Republic. Neither is Saint-Etienne a town which ever was tempted by the dreams of communism. Over time the votes cast in Saint-Etienne reflect those in the rest of France, even though there might have sometimes been some discrepancy between the regional vote and national vote, as was the case for instance in 1936. In fact, the voters of Saint-Etienne, to some degree, have rejected the political game : whatever the election abstention is high. The favoured candidates are elected because they are perceived as particularly human or as being "men in the street" rather than because they belong to a particular party, as was the case for A. Pinay or A. De Fraissinette. The paradox of a working class town voting for the Right is only superficial. The inhabitants of Saint-Etienne are above all moderates who refuse illusions
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Gratien, Jean-Pierre. "Marius Moutet, de la question coloniale à la construction européenne : 1914-1962." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010570.

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Abstract:
Marius Moutet fut le premier socialiste à gérer l'Empire colonial français en tant que ministre des Colonies dans le gouvernement du Front populaire. Il fut le chantre de la " colonisation démocratique " pendant sa longue carrière de parlementaire de 1914 à 1968. Ce travail veut montrer pourquoi et comment il marqua son intérêt pour la question coloniale, en tant que membre de la SFIO et de la Ligue des Droits de l'Homme. L'auteur s'attache à expliquer les racines intellectuelles et politiques de " cette colonisation démocratique ". Pour la première fois, une étude est donc consacrée à l'histoire de cet homme politique. En 1946, il est ministre de la France d'outre-mer et il participe à la création de l'Union Française. Son rôle dans le déclenchement de la guerre d'Indochine est crucial, sa responsabilité dans la politique de répression menée par le gouvernement français est établie. Devenu conseiller de la République, il vit difficilement les suites du drame indochinois. Lâché par son parti, en 1947, la question algérienne, qu'il suit depuis 1914, le fait ressurgir au premier plan. Il fait partie de ceux qui vont plaider, presque jusqu'au bout, la cause d'une Algérie française au nom des principes de l'intégration républicaine. Moutet fut aussi homme de son temps. Il fut un témoin privilégié de la Révolution de Février 1917 en Russie. Après la défaite de 1940, il se réfugia en Suisse où son action dans la Résistance fut moins importante qu'il ne l'a dit. Ses choix politiques, tout au long de sa vie, s'expliquent par sa volonté que la France républicaine reste une grande nation, dans le cadre de l'Empire, de l'Union française puis de l'Europe.
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Siloret, Martin. "La structuration partisane de l'écologie politique : une comparaison Bretagne-Pays de Galles (1974-1995)." Thesis, Rennes 2, 2017. http://www.theses.fr/2017REN20038/document.

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Abstract:
Nous analysons dans cette thèse le processus de structuration d'organisations politiques écologistes, le Green Party et les Verts, de manière comparative et à l'échelle régionale, sur la période 1974-1995. Nous étudions cinq dimensions de ce processus : structuration organisationnelle, évolution des clivages avec les autres formations politiques, évolutions électorales et stratégiques, parcours militants et médiatisation des écologistes. Nous mettons en évidence plusieurs processus se jouant à l'échelle régionale et locale et leur influence décisive sur l'échelle nationale (rôle moteur des fédérations régionales dans l'unification des Verts français, évolutions stratégiques locales) mais également l'impactrécurrent à l'échelle locale de dynamiques opérant à l'échelle européenne, surtout à partir de la formation d'un groupe écologiste au Parlement européen à partir de 1984. Dans les deux régions, les caractéristiques des partis Verts sont déterminées en premier lieu par la structure des clivages qui les opposent (ou apparentent) aux autres partis politiques ainsi que les parcours militants de leurs militants, deux facteurs qui donnent également lieu à de graves conflits internes. En Bretagne, les événements de mai 1968 puis un mouvement anti-nucléaire puissant contribuent à la structuration d'une famille politique consistante mais les Verts restent très fragiles sur le plan organisationnel, malgré une implantation électorale significative surtout à partir de 1989. Au Pays de Galles, le développement d'un mouvement écologiste autonome est entravée par la puissance du mouvement régionaliste et la présence au sein du parti travailliste de nombreux opposants à l'armement nucléaire, et le fait qu'une partie significative des militants du Green Party soient des nouveaux arrivants originaires d'Angleterre. Le Wales Green Party recueille de ce fait des résultats électoraux très faibles mais parvient à pérenniser son organisation et ses activités
This thesis analyses the structuring of green political parties from a comparative perspective and at a regional (sub-national) scale, from 1974 to 1995. We study five dimensions of this process: organisational structuring, evolution of cleavages with other political parties, electoral and strategic evolutions, careers of activists, and media coverage (including a study of green media). Our research highlights several processes taking place at regional and local levels which have a decisive influence on the national scale (e. g. the crucial part played by regional federations in the unification of LesVerts in 1984 and early strategic evolutions at a local level) as well as the regional impact of dynamics developing at the European level, above all after the formation of a Green group in the European Parliament in 1984. In both regions, the Green parties are shaped first of all by the cleavages opposing (or relating) them to other parties and by the careers of their activists, two factors from which also stem serious internal conflicts. In Brittany, the impact of May 1968 followed by a successful movement against nuclear power have contributed to the transformation of the green movement into apolitical force but Les Verts have then remained very fragile as an organisation, despite significant electoral gains from 1989 onwards. In Wales, the green movement as a specific force is weakened by the strength of the regionalist movement, the opposition to nuclear weapons from many Labour Party activists and the fact that many Green Party activists in Wales are newcomers from England. The Wales Green Party thus obtains low electoral results but nevertheless succeeds in making its campaigns and activism durable
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Bourrinet, Philippe. "Aux origines du courant communiste international des conseils : la Gauche communiste hollandaise (1907-1950) : du tribunisme au conseillisme." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010553.

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Abstract:
L'école marxiste hollandaise, courant révolutionnaire symbolise par les noms de gorter et pannekoek, s'est formée au début du siècle. En opposition au 'réformisme' et a l'opportunisme de la IIe internationale, elle fut d'abord soutenue par Lénine, avant d'être attaquée par lui dans "la maladie infantile du communisme". Lors de la révolution allemande, elle s'érigea en tête théorique du mouvement des conseils (unions, kapd), antisyndical et antiparlementaire. Le courant international de la gauche communiste germano-hollandaise, hostile à la politique de l'état russe, fut expulse du Kominterm en 1921. Désormais, cette gauche devient le moteur du courant communiste des conseils, oppose au 'communisme de parti' et au 'communisme d'état' russes. Apres 1933, les 'conseillistes' hollandais se replient sur les Pays-Bas, prenant la direction théorique des groupes communistes des conseils rescapes de la catastrophe allemande. Hostile à toute organisation politique, le GIC de pannekoek et canne-meijer disparut en 1940. Malgré un bref renouveau après 1945, avec le Spartacus bond, le 'conseillisme' hollandais s'éteignit progressivement. Apres 1968, le courant 'conseilliste' a exercé une influence idéologique non négligeable par son rejet des appareils politiques et syndicaux du "vieux mouvement ouvrier", souvent conteste à la base. Le 'conseillisme' présente beaucoup de similitudes aujourd'hui avec le courant anarchiste
The 'dutch marxist school', a revolutionary current represented most by gorter and pannekoek, arrose at the turn of the century. In opposition to the 'reformism' and 'opportunism' of the 2. International, it was first supported by lenin, before he rebuffed them in 1920. During the german revolution (1918-21), they became the theoretical leaders of the "councils movement" (aau, kapd), standing up against unionism and parlamentarism. This communist 'dutch-german' left - hostile to the russian state policy - was expelled from komintern in 1921. The council communist current fought the 'party communism' and the 'state communism'. After 1933 this one 'withdrew' to the netherlands and took over the theoretical head of the concilist groups who had escaped from the german catastrophe. Hostile to any political organization, the dutch gic of pannekoek and canne-meijer disappeared in 1940. Despite a short revival in 1945 (spartacusbond), the dutch 'councilism' little by little faded away. After 1968 the councilism had a significant ideological influence by its rejection of all political and trade unionist apparatus of the 'old workers' movement', which the rank and file of the workers often criticise. 'Councilism' today has many similarities with the old anarchist current
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