Academic literature on the topic 'Partage de l’espace'

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Journal articles on the topic "Partage de l’espace":

1

Bertheleu, Hélène. "Mémoires des migrations et politisation des émotions au musée." Diversité 195, no. 1 (2019): 46–53. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2019.4785.

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Abstract:
Si l’on considère la mémoire comme un enchaînement d’images et d’émotions tendues vers l’action, sa puissance sociale peut être plus importante qu’on ne l’imagine généralement. Cet article explore la manière dont les expositions au musée présentent les mémoires des migrations et partagent avec le public des récits et souvenirs à travers divers objets. Cette visibilité des constructions mémorielles dans l’espace public suppose une mobilisation politique, proposant un certain «partage du sensible». L’émotion partagée devient-elle ici politique ?
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Margier, Antonin. "L’espace public en partage. Expériences conflictuelles de l’espace et marginalisation." Cahiers de géographie du Québec 57, no. 161 (May 5, 2014): 175–92. http://dx.doi.org/10.7202/1024899ar.

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Abstract:
Résumé L’exclusion dans les espaces publics est souvent interprétée comme le résultat de politiques urbaines revanchistes visant à attirer touristes et classes supérieures aux dépens des personnes marginalisées. Autour de l’analyse d’usages conflictuels de l’espace public dans un quartier montréalais, cet article explore l’hypothèse selon laquelle l’exclusion prendrait aujourd’hui de nouvelles formes. Dans cette perspective, nous nous intéressons aux conditions de l’investissement des positions sociospatiales et aux diverses expériences de l’espace, afin de saisir les mécanismes de l’exclusion dans les espaces publics. Nous montrons alors comment les stratégies d’appropriation des espaces publics par les riverains, et leur utilisation comme une extension du « chez-soi » participent d’une transformation des valeurs spatiales et de l’émergence d’une « dispersion douce » à l’encontre des personnes marginalisées. Cet article vise ainsi à montrer comment de nouvelles formes de pouvoir, moins visibles que le revanchisme ou la tolérance-zéro, se font jour dans la production des espaces publics, notamment à travers le contrôle des références topologiques.
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Nassikas, Kostas. "Le « chez-soi » existe-t-il ?" Revue Belge de Psychanalyse N° 78, no. 1 (January 2, 2021): 85–101. http://dx.doi.org/10.3917/rbp.078.0085.

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Abstract:
Le temps du confinement anti-Covid a mis au premier plan le « chez-soi » comme le lieu principal de protection. Partant de ce constat, l’auteur interroge la nature de cette notion : il questionne ce « familier » dans la langue maternelle au-delà de l’espace familier et protecteur ; il s’appuie pour cela sur un exemple clinique où la question de la langue maternelle était un enjeu important. Il finit par constater que la langue maternelle n’est pas, elle non plus, le lieu du « chez-soi ». Celui-ci se situerait dans la perspective du devenir du soi : il fait donc partie du mouvement, et de ses risques, de la réalisation de désirs infantiles et des idéaux dans la perspective de la reconnaissance et le partage par les autres dans l’espace social commun.
4

Stoeklé, Henri-Corto, Ninon Forster, Philippe Charlier, Oudy C. Bloch, Christian Hervé, Mauro Turrini, and Guillaume Vogt. "Le partage des données génétiques : un nouveau capital." médecine/sciences 34, no. 8-9 (August 2018): 735–39. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183408022.

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Abstract:
En l’espace de trois décennies, différentesbiotechs, principalement nord-américaines, sont devenues expertes dans la production, le traitement et l’analyse de volumes considérables de données génétiques. Elles ont dépassé celles des plateformes académiques habituelles grâce à l’appropriation d’un nouveau modèle économique : celui de « marché biface ». Ainsi, en appliquant les idées duweb 2.0, cesbiotechs, interdites en France, permettent aujourd’hui à des millions d’usagers de produire et de « partager » des données, en particulier génétiques, entre eux ou avec des tiers à travers un réseau numérique riche en informations et en services « gratuits ». Mais en réalité, la donnée est devenue un moyen de paiement pour l’accès à ces réseaux et l’usage de ces services. À l’ère de l’économie numérique, le partage des données est devenu synonyme d’échange commercial et la donnée génétique synonyme de capital.
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Bertoux, Annie, and Jacques Bertoux. "À l’écoute de la Musique, tout est dans la posture." Revue d'Orthopédie Dento-Faciale 54, no. 2 (April 2020): 205–13. http://dx.doi.org/10.1051/odf/2020022.

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Abstract:
Dans cet entretien à deux voix, Annie et Jacques Bertoux, musiciens, partent du silence pour arriver au silence… Mais entre les deux, que de vibrations ! Ils ont vécu la Musique ensemble et chacun de leur côté, sans faire intrusion dans l’espace intime de l’autre, mais en partage. Cependant ils se rejoignent sur bien des points : entendre et écouter, les rythmes de l’enfant, la posture d’émission et d’audition, le respect de la composition, de l’interprétation et de l’auditoire, l’écoute de l’autre, les bienfaits de la musique, de sa perception et surtout de sa pratique. Cette émotion partagée à travers les sons, les temps, les mots et engendrée par cet échange mutuel, ils ont désiré que chacun en soit le bénéficiaire, un don, dans tous les sens du terme.
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Masson, Caroline. "Parler à et avec les enfants en crèche : conduites langagières et dialogiques des adultes et des enfants en situation de lecture partagée et de jeu libre." SHS Web of Conferences 138 (2022): 09008. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213809008.

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Abstract:
L’article vise à décrire les conduites langagières d’adultes et d’enfants (2 ans ½ environ) dans le cadre de deux activités filmées en crèche. En comparant une activité de lecture partagée et une activité de jeu libre, nous montrons que des différences apparaissent au niveau des aspects structurels (LME, types d’énoncés) et fonctionnels (partage de l’espace discursif, positions, mouvements dialogiques, types de discours) dans les interventions des locuteurs selon la situation. Ainsi, l’adulte et les enfants impliqués dans la lecture partagée adoptent des conduites centrées sur la production, la compréhension et la co-construction du discours. Dans le jeu libre, les enfants et l’adulte sont peu engagés dans les échanges au profit d’une implication dans la régulation de l’activité. Ces différences conduisent à réfléchir à la diversité des usages langagiers en crèche et à l’importance de décrire ces contextes pour l’étude des modes de transmission du langage en dehors du cadre familial.
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Estèbe, Philippe. "Le territoire est-il un bon instrument de la redistribution ? Le cas de la réforme de l’intercommunalité en France." Lien social et Politiques, no. 52 (March 1, 2005): 13–25. http://dx.doi.org/10.7202/010585ar.

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Abstract:
Résumé Le morcellement politique de l’espace est souvent considéré comme l’un des facteurs qui favorisent la ségrégation socio-spatiale et entraînent un cloisonnement entre les territoires « riches » et les territoires « pauvres ». En France, une réforme votée en 1999 incite les communes à se regrouper et à partager les taxes locales, de façon à « lutter contre l’apartheid social », c’est-à-dire à faire en sorte que la solidarité fiscale unisse les communes riches et les communes pauvres. L’étude des effets de cette réforme permet d’éclairer certains aspects contre-intuitifs de la relation entre équité sociale et équité spatiale : tout d’abord, les regroupements de communes suscités par la loi sont le plus souvent homogènes; ensuite, ils procèdent à l’institutionnalisation, au sein des grandes métropoles, des différences sociales inscrites dans l’espace; et enfin, il n’est pas certain que le partage de la fiscalité locale avantage véritablement les populations les plus précaires. Au total, il se pourrait bien que l’on aboutisse, avec cette loi, à l’effet inverse de celui qui était recherché à l’origine. Ce constat permet de s’interroger sur la pertinence de l’instrument territorial dès lors qu’il s’agit d’équité et de redistribution.
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Lacroix, Isabelle. "Pratique de gouvernance éducative multijoueur et leadership partagé : la direction, les parents et les membres de la communauté." Éducation et francophonie 46, no. 1 (June 6, 2018): 67–82. http://dx.doi.org/10.7202/1047136ar.

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Abstract:
Depuis plusieurs années, au Québec comme ailleurs, les États ont approfondi et intensifié la gouvernance multijoueur dans leur pratique de gestion publique (Côté, Lévesque et Morneau, 2007; Hamel et Jouve, 2006; Gaudin, 2002). Le secteur de l’éducation a suivi cette tendance et a notamment accru de façon importante la participation des acteurs concernés (Meyer, 2014; Lacroix, 2012; Paquet, 2010; Brassard, 2007; Lessard et Brassard, 2006; Landry et Haché, 2001). Dans le présent article, nous nous intéressons à la gouvernance multijoueur et plus particulièrement à l’espace qu’elle crée pour l’exercice d’un leadership véritablement partagé (Luc, 2010; Harris et Spillane, 2008). Ainsi, nous avons étudié les pratiques de gouvernance et de leadership partagé — notamment entre les directions, les parents et les membres de la communauté — au sein de deux commissions scolaires québécoises au moyen d’entrevues et d’observations. Les résultats de nos analyses ont fait ressortir les aspects facilitant le partage du leadership et les contraintes inhérentes à cette pratique de gouverne.
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Bethemont, Jacques. "David Blanchon, L’espace hydraulique sud-africain, le partage des eaux." Géocarrefour, no. 1 (May 1, 2010): 16. http://dx.doi.org/10.4000/geocarrefour.7371.

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10

Depau, Giovanni. "Latrinalia, violence verbale et idéologies : étude de graffitis dans les toilettes de l’Université de Grenoble." SHS Web of Conferences 138 (2022): 12005. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213812005.

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Abstract:
Cette étude porte sur l’analyse des manifestations de violence verbale à travers un corpus de graffitis des toilettes (latrinalia). Cette recherche vise à appréhender, en adoptant une approche sociopragmatique, la structuration d’une argumentation discursive, notamment dans l’espace de l’université, lieu social de partage des savoirs par antonomase. L’analyse s’appuie sur des données collectées entre 2019 et 2021 dans le campus de l’Université Grenoble Alpes (UGA). Les latrinalia, permettant aux auteurs de s’exprimer dans l’anonymat sur l’espace mural, se présentent comme un terrain particulièrement propice pour l’étude des dynamiques de la communication verbale informelle qui, parfois, donne lieu à de véritables échanges interactionnels entre plusieurs intervenants.

Dissertations / Theses on the topic "Partage de l’espace":

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Florez, Marion. "Le partage de l’espace en débat : de la confrontation des usages à la construction de modalités de cohabitation sur le littoral breton." Electronic Thesis or Diss., Rennes 2, 2022. http://www.theses.fr/2022REN20054.

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Abstract:
La densification des espaces, leur sur-fréquentation, la multiplication de zonages de protection, la mise en œuvre de règlements, l’augmentation du marché immobilier, etc. sont autant de problématiques associées au partage conflictuel de l’espace littoral. Cette recherche, issue d’une collaboration scientifique et financière entre la DREAL Bretagne et le laboratoire ESO Rennes, vise à rendre compte de la pluralité des situations conflictuelles ordinaires émergeant autour de la question du partage de l’espace. Il s’agit, non seulement, de révéler ce que disent ces configurations des rapports qu’entretiennent les acteurs à l’espace, à l ‘Autre, à la nature et aux institutions mais également de dévoiler les effets pluriels de ces situations sur un espace aussi réduit que convoité qu’est l’espace littoral. À travers l’investigation de cas d’étude abordant des problématiques diverses et faisant graviter des acteurs hétérogènes, il s’agit de rendre compte de l’intérêt nécessaire et incontestable de prendre en compte l’ensemble des acteurs concernés, de reconnaître leurs connaissances et leurs capitaux multiples et de légitimer leur occupation de l’espace. À travers l’expérimentation d’une démarche participative hybride, mêlant méthodes issues des sciences humaines et sociales (entretien semi-directif et carte mentale) et techniques d’animation expérimentées par les services de l’Etat (atelier, diagnostic cartographique, etc.), nous mettons en évidence, au-delà du caractère inexorable des conflits, la possibilité et l’importance de leur valorisation comme contribution essentielle à l’amélioration de la cohabitation et à la construction commune de l’espace-enjeu qu’est le littoral
The densification of spaces, their over-frequentation, the multiplication of protection zones, the implementation of regulations, the increase in the real estate market, etc. are all problems associated with the conflictual sharing of coastal space. This research, which is the result of a scientific and financial collaboration between the DREAL Bretagne and the ESO Rennes laboratory, aims to take into account the plurality of ordinary conflictual situations that emerge around the issue of space sharing. The aim is not only to reveal what these configurations say about the relationships that actors have with space, the Other, nature and institutions, but also to reveal the plural effects of these situations on a space as small as the coastline. Through the investigation of case studies dealing with various issues and involving heterogeneous actors, the aim is to demonstrate the necessary and indisputable interest in taking into account all the actors concerned, to recognise their knowledge and their multiple assets and to legitimise their occupation of the space. Through the experimentation of a hybrid participatory approach, mixing methods from the human and social sciences (semi-directive interview and mental map) and animation techniques experimented by the State services (workshop, cartographic diagnosis, etc.), we highlight, beyond the inexorable nature of conflicts, the possibility and the importance of their valorisation as an essential contribution to the improvement of cohabitation and to the common construction of the space-at-risk that is the coastline
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Jomon, Kalladanthiyil John. "Analysis of the religious practices of Hindus at Saint Joseph's Oratory : transmission of Christian faith after the Second Vatican Council." Thèse, 2017. http://hdl.handle.net/1866/20447.

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Books on the topic "Partage de l’espace":

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Bonny, Yves, Nicolas Bautès, and Vincent Gouëset, eds. L’espace en partage. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.140807.

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Plomb, Fabrice, and Laura Mellini. La dominaction. Figures ordinaires de l’action sous condition de domination. Éditions Alphil-Presses universitaires suisses, 2018. http://dx.doi.org/10.33055/alphil.03080.

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Abstract:
Eva, une « sans-ami » sur les réseaux sociaux, André, salarié « restructuré » après trente ans passés dans l’industrie chimique, Louis, sans emploi, cherchant à prouver sa « bonne volonté » à l’aide sociale, Nadia, jeune femme infibulée confrontée au système médical suisse… Comment ces personnes vivent-elles ces vies sous contrainte ? Que font-elles face aux dispositifs institutionnels ou aux liens sociaux qui les privent d’une partie de leur liberté d’être ou de faire ce qu’elles souhaitent ? Les situations de domination ordinaire sont peu visibles dans l’espace public suisse. Nos recherches permettent de montrer que, bien loin d’être silencieux et passifs, les « dominés » mettent en place des moyens d’agir originaux. Ainsi en est-il des personnes séropositives usant du secret pour échapper à l’opprobre, des étrangers négociant et détournant les noms dont on les affuble ou encore des femmes dépendantes économiquement gagnant par un travail empathique auprès de leur mari des plages d’autonomie personnelle. Même sous contrainte, ils agissent et s’aménagent des marges de manoeuvre. Ces figures de l’action sous domination ou de dominaction, comme nous les avons appelées, représentent ainsi une énigme aujourd’hui, dans un monde où les formes de pouvoir sont de plus en plus désincarnées et où la distribution de la considération sociale, de la réputation ou de la reconnaissance constitue un enjeu central de nos sociétés.
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Cogato Lanza, Elena, Farzaneh Bahrami, Simon Berger, and Luca Pattaroni, eds. Post-Car World. MetisPresses, 2021. http://dx.doi.org/10.37866/0563-73-9.

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Abstract:
Et si le monde urbain était un monde sans voiture? Post-Car World tente de répondre à cette interrogation dans le contexte de la transition énergétique, à l’heure où la mobilité des biens, des personnes et du vivant constitue l’enjeu autour duquel reconfigurer les espaces urbains. La question s’impose avec une urgence particulière dans la ville-territoire: cette ville dispersée et à basse densité, encore largement dépendante de l’usage de la voiture et oubliée des politiques de mobilité alternatives. En considérant le cas de la métropole lémanique, les auteurs développent une lecture cartographique, photographique et statistique de son évolution durant le siècle de la voiture, pour ensuite la faire résonner avec une analyse des changements de comportement à l’oeuvre dans les villes européennes, afin de saisir les leviers permettant de renverser le paradigme fonctionnel qui a façonné les territoires à l’échelle globale. De même que la sédimentation des siècles qui ont précédé la voiture a servi de support à un habitat motorisé – la rupture technique n’ayant bouleversé ni les maillages viaires, ni le réseau de noyaux villageois – la métropole post-car se modèlera elle aussi, telle un palimpseste, sur les structures matérielles, les pratiques sociales et les imaginaires, en plein bouleversement, du présent. Croisant les regards de l’architecture, de la sociologie et de l’urbanisme, l’expérimentation méthodologique restituée dans cet ouvrage débouche sur quatre visions prospectives, articulées en autant de mises en fiction. Face à l’accélération des multiples transitions qui affectent les villes, les disciplines de l’espace et de la société ne peuvent que partager l’obligation de redéfinir les limites du pensable, en affûtant les techniques de vision et de production du futur. Préface de Jacques Lévy. Avec les contributions de Vincent Kaufmann, Emmanuel Ravalet et Alexandre Rigal.

Book chapters on the topic "Partage de l’espace":

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Verjans, Thomas. "De la partie du discours à l’espace catégoriel." In Lingvisticæ Investigationes Supplementa, 71–88. Amsterdam: John Benjamins Publishing Company, 2017. http://dx.doi.org/10.1075/lis.34.04ver.

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Bonny, Yves, Nicolas Bautès, and Vincent Gouëset. "Introduction générale." In L’espace en partage, 7–13. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.140823.

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3

"Introduction." In L’espace en partage, 17–20. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.141667.

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4

El Mouldi, Hatem. "Partage de l’espace dans le Paris du xviie siècle." In L’espace en partage, 21–35. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.141668.

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5

Mussard, Christine. "La commune mixte de La Calle en Algérie." In L’espace en partage, 37–50. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.141678.

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6

Bosredon, Pauline. "Le processus patrimonial à Hébron, dans les territoires palestiniens occupés." In L’espace en partage, 51–73. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.141687.

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7

Nougarèdes, Brigitte, Jacqueline Candau, and Christophe Soulard. "Le rapport au lieu de vie." In L’espace en partage, 75–96. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.141688.

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8

Gasquet-Blanchard, Clélia. "L’espace partagé du soin en temps d’urgence." In L’espace en partage, 97–116. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.141703.

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9

"Introduction." In L’espace en partage, 117–21. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.141707.

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10

Morel, Camille. "La « récupération » de l’espace public." In L’espace en partage, 123–40. Presses universitaires de Rennes, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.141708.

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Conference papers on the topic "Partage de l’espace":

1

Alison, Aurosa. "Les « Unités » Modulor dans la Philosophie de l’Espace de Gaston Bachelard." In LC2015 - Le Corbusier, 50 years later. Valencia: Universitat Politècnica València, 2015. http://dx.doi.org/10.4995/lc2015.2015.1045.

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Abstract:
Résumé: Celui du Modulor est le premier exemple de la mesure humaine utilisée dans l’architecture. L’architecture de la moitié du vingtième siècle a été influencée par les projets de Le Corbusier. En même temps, la pensée de Gaston Bachelard s’évolue contextuellement au Mouvement Moderne et en 1957 le philosophe publie le célèbre ouvrage « La Poétique de l’espace ». Une bonne partie de sa pensée a été influencée par l’étude des quatre éléments naturels, par une conception de l’espace intime et par les différents développements de l’image de la maison. La description de la maison, dans les mots de Bachelard, correspond aux thèses principales de Carl Gustav Jung sur les différentes étapes de l’âme. Dans cette étude nous analysons les liaisons entre une conception intime de l’espace vécu et la pensée progressive de l’architecture moderne. A travers les exemples suggérés par l’Unité d’Habitation et par le Cabanon de Le Corbusier, nous voulons illustrer les dynamiques d’une philosophie de l’espace, émotionnelle, intime et secret. Abstract: The Modulor is the first example of the human measure. The architecture of the second part of the twenty century was influenced by Le Corbusier works. The development of the thought of Gaston Bachelard is contextualized in the second half of the twentieth century too, he writhed the Poetic of the Space on 1957. His philosophy was influenced based on the study of the four natural elements, up to the conception of intimate space, namely that of the house. The Bachelard house description corresponds to the Carl Gustav Jung’s theses about the soul life and the soul stadium. In this paper we analyse the correspondences between an intimate conception of the lived space and an architectural progressive thought. Throw the examples of Le Corbusier’s Unité d’Habitation and of Le Corbusier’s Cabanon we try to explain the emotional, intimate and secret dynamic of a current Space Philosophy. Mots clés: Unités, Modulor, Architecture, Mouvement Moderne, Gaston Bachelard, Poétique de l’espace, Espace intime. Keywords: Unités, Modulor, Architecture, Gaston Bachelard, Space Philosophy, Intimate Space. DOI: http://dx.doi.org/10.4995/LC2015.2015.1045
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Petit, Stéphane. "L’étude des paysages alluviaux par les techniques de l’écologie du paysage." In Paysages & valeurs : de la représentation à la simulation. Limoges: Université de Limoges, 2008. http://dx.doi.org/10.25965/as.3416.

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Abstract:
Parce que le paysage est depuis quelques années un sujet d’étude pour de nombreuses disciplines, sa définition peut varier en fonction de la perception de chaque spécialité. L’objectif de cette communication est, dans un premier temps, d’évoquer ce qu’est le paysage tel qu’il est défini par la discipline appelée “Ecologie du Paysage” : le paysage est considéré comme un espace hétérogène composé d’éléments qui interagissent dans l’espace ; il est caractérisé par sa dynamique et est gouverné en grande partie par les activités humaines. Son étude a comme perspective de comprendre comment, d’une part, il s’est formé et a évolué et, d’autre part, en quoi sa structure complexe influence son organisation et les processus écologiques.Dans un second temps, grâce à l’exemple des paysages alluviaux de la plaine d’inondation de la rivière Allier entre 1946 et 2000, nous aborderons la méthodologie d’étude de cet écocomplexe (Blandin et al. 1988). Fondée sur la cartographie et le calcul d’indices d’écologie du paysage et sur un large emploi des Systèmes d’Information Géographique (SIG), la démarche proposée permet notamment d’avoir une approche qualitative et quantitative du paysage, d’élaborer les étapes de sa mise en place ainsi que sa tendance évolutive.
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Florin, Anaïs. "Tomar partido: práctica artística y visibilización de conflictos, el caso del proyecto "Nos Jardins"." In IV Congreso Internacional Estética y Política: Poéticas del desacuerdo para una democracia plural. València: Editorial Universitat Politècnica de València, 2019. http://dx.doi.org/10.4995/cep4.2019.10431.

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Abstract:
El proyecto Nos jardins (Nuestro huertos) se desarrolló en 2019 dentro del marco del festival Bien Urbain, Art dans et avec l’espace public en Bensançon (Francia). El proyecto tenía como objetivo principal el de visibilizar la problemática existente en el territorios de Les Vaîtes y los relatos que le son propios en la esfera pública aprovechando el contexto del festival. Les Vaîtes es una zona limítrofe campo/ciudad en la que se encuentran unos huertos obreros históricos. Desde 2005, el ayuntamiento promueve un proyecto urbanístico para la creación de un "ecobarrio" que conllevó en su día a la expropiación de una gran cantidad de parcelas agrícolas que fueron recalificadas a posteriori como suelo urbanizable. El proyecto implicaba así la destrucción casi total de los huertos y de los espacios naturales mantenidos hasta la fecha por una comunidad de personas fuerte, espontánea y autoorganizada. En octubre de 2018 la municipalidad anunció el comienzo de las obras y una parte de las tierras en cultivo fueron arrasadas. La asociación Les jardins des Vaîtes ha conseguido por ahora frenar las obras hasta nuevo aviso Durante un mes estuve paseando, conversando, recolectando historias, anécdotas y sentires de las personas que cultivan las tierras de la zona. Hijas de campesinas, migrantes, ecologistas, activistas, vecinas, no tan vecinas, jóvenes y jubiladas cuidan de esas tierras y de sus habitantes. Nos jardins se materializó en dos intervenciones diferentes. La primera fue realizada en el centro de la ciudad y en la línea de tram que une el centro de la ciudad y el barrio de Les Vaîtes. Consistió en la realización de 24 carteles colocados en muppies y marquesinas de bus y de tram de JC Decaux, realizados a partir de fotografías tomadas durante los paseos llevados a cabo en Les Vaîtes. La segunda intervención tuvo lugar en Les Vaîtes, delante de la zona de huertos afectador por el proyecto urbanístico. Esta vez, la intervención consistía en el encolado de dos vallas publicitarias con algunos testimonios de personas que ocupaban los huertos con las que conversé durante mi estancia en Besançon. Las fotografías de la primera intervención hablaban de los espacios que podían desaparecer, esta segunda se centraba sobre los lazos existentes en el territorio.

Reports on the topic "Partage de l’espace":

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Dufour, Quentin, David Pontille, and Didier Torny. Contracter à l’heure de la publication en accès ouvert. Une analyse systématique des accords transformants. Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, April 2021. http://dx.doi.org/10.52949/2.

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Abstract:
Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.

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