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Journal articles on the topic 'Parasites – Écologie'

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Charfi-Cheikhrouha, F., W. Zghidi, L. Ould Yarba, and J. P. Trilles. "Les Cymothoidae (Isopodes parasites de poissons) des côtes tunisiennes: écologie et indices parasitologiques." Systematic Parasitology 46, no. 2 (June 2000): 143–50. http://dx.doi.org/10.1023/a:1006336516776.

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Zenner, Lionel, Magalie René-Martellet, and Gilles Bourgoin. "Biologie et écologie des principales espèces de tiques chez les carnivores domestiques." Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline 18, no. 79 (2021): 44–52. http://dx.doi.org/10.1051/npvcafe/79044.

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Abstract:
Acariens parasites retrouvés fréquemment chez les chiens et les chats au printemps et en automne, les tiques constituent une préoccupation majeure en santé publique et vétérinaire. De ce fait, les praticiens doivent bien connaître leur biologie, leur rôle vecteur et les moyens de lutte pour pouvoir donner les meilleurs conseils aux propriétaires. Alors qu’il existe une trentaine d’espèces de tiques décrites en France, trois sont très majoritairement retrouvées chez les chiens et les chats : Ixodes ricinus, Dermacentor reticulatus et Rhipicephalus sanguineus. Cet article décrit les informations essentielles à connaître pour un vétérinaire sur la morphologie, la biologie, le pouvoir pathogène de ces trois espèces. Il aborde ensuite la prévention et la lutte contre les tiques, en particulier la lutte chimique et l’étiquage manuel. Il donne également sous forme de deux tableaux toutes les spécialités disponibles pour le traitement et/ou la prévention de l’infestation par les tiques chez le chien et le chat.
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Konstantinov, O. K., M. C. Balde, L. M. Tchounina, S. V. Mourzin, N. V. Popov, and A. N. Tchebotarev. "Les tiques de la famille Ixodidae comme réservoir d'arbovirus en République de Guinée. I. Faune et écologie des tiques." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 1 (January 1, 1990): 85–92. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8902.

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Abstract:
L'étude des tiques Ixodidae en Guinée, de 1981 à 1988, ainsi que les données de la littérature, permettent d'affirmer qu'il existe au moins 33 espèces regroupées en 7 genres. En outre, l'analyse de quelques paramètres écologiques (hôtes, dynamique saisonnière, index d'abondance...) montre une relation entre la dynamique saisonnière des tiques et les particularités climatiques du territoire exploré. En Guinée, les espèces les plus fréquentes (parasites du gros bétail) sont Amblyomma variegatum et les tiques du genre Boophilus. Le pic d'abondance des imagos d'A. variegatum est observé pendant la saison pluvieuse (mai et juin). Au début de la saison sèche (décembre-janvier ), l'index d'abondance est minimal. En revanche, pour les imagos du genre Boophilus, la relation est inverse. Quant aux nymphes d'A. variegatum, contrairement aux imagos, leur prédomina nce est enregistrée en saison sèche. Deux pics d'abondance ont été notés pour Haemaphysalis leachi (parasite des chiens le plus fréquent) : à la fin de la saison sèche (après les premières pluies) et à la fin de la période humide de l'année. L'index d'abondance maximal de certaines espèces du genre Rhipicephalus (récoltées sur les chiens et la végétation) est enregistré au cours de la saison pluvieuse, contrastant ainsi avec une abondance minimale durant la saison sèche pour les mêmes espèces.
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Rioux, J. A., J. P. Aboulker, G. Lanotte, R. Killick-Kendrick, and A. Martini-Dumas. "Écologie des leishmanioses dans le sud de la France." Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 60, no. 3 (1985): 221–29. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1985603221.

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5

Gouteux, J. P. "Écologie des Glossines en secteur pré-forestier de Côte-d’Ivoire." Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 60, no. 3 (1985): 329–47. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1985603329.

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Beaucournu, J. C., B. Degeilh, T. Mergey, S. Muñoz-Leal, and D. González-Acuña. "Le genreTungaJarocki, 1838 (Siphonaptera : Tungidae). I – Taxonomie, phylogénie, écologie, rôle pathogène." Parasite 19, no. 4 (November 2012): 297–308. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/2012194297.

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Gilot, B., A. Couatarmanac’h, C. Guiguen, and J. C. Beaucournu. "Bio-écologie d’Ixodes acuminatusNeumann, 1901. Hôtes et répartition spatio-temporelle de l’espèce en France." Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 67, no. 1 (1992): 19–25. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/199267119.

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Mavoungou, J. F., P. Jay-robert, J. Gilles, A. Atsame Edda, and G. Duvallet. "Écologie des stomoxes (Diptera : Muscidae) au Gabon. I – Premier inventaire dans différentes zones écologiques." Parasite 15, no. 1 (March 2008): 27–34. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/2008151027.

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Mavoungou, J. F., G. Simo, J. Gilles, E. De Stordeur, and G. Duvallet. "Écologie des stomoxes (Diptera : Muscidae) au Gabon. II. Origine des repas de sang et conséquences épidémiologiques." Parasite 15, no. 4 (December 2008): 611–15. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/2008154611.

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Thio, Bouma, Leonard S. Ouedraogo, Elise Sanon, Philippe Sankara, and Salam Kiemde. "Les nématodes parasites associés au riz dans les trois (3) principales écologies rizicoles au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 11, no. 3 (October 5, 2017): 1178. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v11i3.20.

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Pichot, J., B. Gilot, V. Soulier, A. Rey-Coquais, B. Degeilh, and B. Doche. "Ecoépidémiologie de la borréliose de lyme dans la région Rhône-alpes. Répartition, contexte écologique, relations avec la distribution d'Ixodes ricinus(Linné, 1758)." Parasite 1, no. 4 (December 1994): 335–42. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1994014335.

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Chevassut, Guy. "Contribution à l'étude systématique et écologique des Micromycètes parasites des plantes spontanées des Alpes françaises (Deuxième note)." Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon 58, no. 7 (1989): 219–32. http://dx.doi.org/10.3406/linly.1989.10889.

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Chevassut, Georges, and Philippe Pellicier. "Contribution à l'étude systématique et écologique des Micromycètes parasites des plantes spontanées des Alpes françaises (septième note)." Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon 67, no. 5 (1998): 141–58. http://dx.doi.org/10.3406/linly.1998.11221.

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Pellicier, Philippe. "Contribution à l'étude systématique et écologique des micromycètes parasites des plantes spontanées des Alpes françaises : l'Oisans (Isère)." Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon 75, no. 2 (2006): 93–108. http://dx.doi.org/10.3406/linly.2006.13619.

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Gilot, B., B. Doche, S. Deblock, and A. F. Pétavy. "Éléments pour la cartographie écologique de l'échinococcose alvéolaire dans le Massif central (France): essai de délimitation d'un foyer." Canadian Journal of Zoology 66, no. 3 (March 1, 1988): 696–702. http://dx.doi.org/10.1139/z88-103.

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Abstract:
A centre of alveolar disease caused by Echinococcus multilocularis has recently been discovered in the Department of Cantal, France; we have attempted to define the limits of the centre of infection and to determine the main risk zones of propagation of the disease. The red fox, Vulpes vulpes (L.), served as a marker of the parasite. Ecological factors (floristic, climatological, and lithological) and parasitological results were compared. Ecological analysis was used to characterize 11 zones distributed among three stages of vegetation. Two zones are propitious for the life cycle of the cestode : beech series on volcanic soil and locally acidophilous beech series on metamorphic soil. The vegetation types may be used as ecological indicators in the definition of the distribution of E. multilocularis in France.
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Chevassut, Georges, Philippe Pellicier, and Christiane Burlet. "Contribution à l'étude systématique et écologique des Micromycètes parasites des plantes spontanées des Alpes françaises (6e note) Session de Pralognan (Savoie)." Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon 65, no. 1 (1996): 20–24. http://dx.doi.org/10.3406/linly.1996.11106.

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Chevassut, Georges, and Philippe Pellicier. "Contribution à l'étude systématique et écologique des micromycètes parasites des plantes spontanées des Alpes françaises (huitième note). Session de St-Pierre-de-Chartreuse (Isère et Savoie, 25-28 juin 1992)." Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon 70, no. 1 (2001): 15–24. http://dx.doi.org/10.3406/linly.2001.11360.

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Chevassut, Georges, and Philippe Pellicier. "Contribution à l'étude systématique et écologique des micromycètes parasites des plantes spontanées des Alpes françaises (dixième note). Session de Saint-Nizier-du-Moucherotte, Massif du Vercors (Isère, 2 au 4 juillet 1993)." Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon 70, no. 5 (2001): 113–26. http://dx.doi.org/10.3406/linly.2001.11378.

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Pellicier, Philippe. "Contribution à l'étude systématique et écologique des micromycètes parasites des plantes sauvages des Alpes françaises (neuvième note). Récoltes du département de la Haute-Savoie et de quelques autres des Alpes Françaises, Valaisannes et Valdôtaines." Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon 70, no. 10 (2001): 261–68. http://dx.doi.org/10.3406/linly.2001.11413.

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Garba, M. G., S. Gadaffi, and W. Idowu. "Techniques of sown pasture establishment and management in Sudan Savanna zone Nigeria: Technical report." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 2 (March 8, 2022): 266–74. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3488.

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Abstract:
Increasing demands for livestock products in Nigeria have greatly offered opportunities for farmers to intensify their production systems. However, there is an erratic supply of these products, especially during the dry season due to poor quality feed resources and management Therefore the aim of this study was to highlight simple techniques involved in sown pasture establishment and management in Sudan savannah ecological zone. From the collective technical activities carried out, the series of technical activities for pasture establishment and management were site selection, soil testing and correcting soil nutrient deficiencies, seedbed preparation, pasture species selection, timing planting date, seed dressing and treatment, seeding methods, weed control, fertilizer application, pasture disease and pest control, grazing management, forage and seed harvesting techniques and forage conservation. Considering dwindling feed production for livestock while demand is on the significant increases, there is a need for pasture scientist and other livestock researchers to intensify efforts to fully explore modern-strategic approaches for pasture establishment and management through integration of cheapest and commonest ways that requires less technical labour skills, land and other input. Les demandes croissantes pour les produits de bétail au Nigéria ont grandement offert des possibilités d'intensifier leurs systèmes de production. Cependant, il existe une offre erratique de ces produits, en particulier pendant la saison sèche due à une mauvaise qualité des ressources et une mauvaise gestion, l'objectif de cette étude était de mettre en évidence des techniques simples impliquées dans l'établissement et la gestion des pâturages semés dans la zone écologique du Soudan Savannah. Des activités techniques collectives réalisées, la série d'activités techniques pour l'établissement et la gestion des pâturages était la sélection de chantiers, les tests de sol et la correction des carences de nutriment de sol, la préparation des semences, la sélection des espèces de pâturage, la date de la plantation de calendrier, la vinaigrette et le traitement, des méthodes d'ensemencement, des mauvaises herbes Contrôle, application d'engrais, pâturage et contrôle des parasites, de gestion des pâturages, des techniques de pêche des fourrages et des semences et de la conservation des fourrages. Compte tenu de la production d'aliments en diminution du bétail tandis que la demande repose sur les augmentations importantes, il est nécessaire de renforcer les chercheurs scientifiques et autres chercheurs d'élevage pour intensifier les efforts visant à explorer pleinement les approches stratégiques modernes pour l'établissement des pâturages et la gestion grâce à l'intégration des moyens les moins chers et les plus communs qui nécessitent moins cher compétences techniques du travail, des terres et autres entrées.
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Joshua B. LaPergola, C. Justin Proctor, Hodali Almonte, and Kate J. Wallace. "Mortality of an adult Antillean Palm Swift (<em>Tachornis phoenicobia</em>) associated with <em>Philornis</em> sp. parasitism in the Sierra De Bahoruco, Dominican Republic." Journal of Caribbean Ornithology 36 (April 17, 2023): 36–44. http://dx.doi.org/10.55431/jco.2023.36.36-44.

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Abstract:
Abstract The ecological importance of avian myiasis caused by fly (Diptera) larvae, especially in the genus Philornis, remains poorly understood. One major gap in our knowledge is which bird species experience such parasitism. We present here the first report of Philornis parasitism on an adult Antillean Palm Swift (Tachornis phoenicobia) from the Dominican Republic, representing the first documented record of Philornis parasitism of a swift species (Apodidae). The host bird was found dead shortly after being observed alive with clear evidence of myiasis, and we suggest the bird’s death was due to the detected fly larvae. We also propose that this parasite-associated adult mortality implicates Philornis as another potential factor contributing to observed aerial insectivore declines, and highlights the pressing need for more comprehensive studies investigating the occurrence of parasitism in other Caribbean avian species. Keywords aerial insectivores, Antillean Palm Swift, Philornis, Sierra de Bahoruco, Tachornis phoenicobia Resumen Mortalidad de un Tachornis phoenicobia adulto asociado on el parasitismo por Philornis sp. en la Sierra de Bahoruco, Republica Dominicana • La importancia ecológica de la miasis en aves causada por las larvas de moscas del género Philornis ha sido poco estudiada en el pasado. Un vacío importante en nuestro conocimiento es la distribución taxonómica de las especies hospederas. Reportamos el primer registro de parasitismo por la mosca del género Philornis en un individuo de Tachornis phoenicobia de República Dominicana, lo que representa el primer registro documentado de parasitismo por Philornis en una especie de vencejo (Apodidae). El hospedero fue un espécimen adulto encontrado muerto poco después de haber sido observado vivo con claras evidencias de parasitismo por Philornis, por lo que atribuimos su muerte a las larvas de mosca detectadas. Sugerimos que la mortalidad de aves adultas inducida por parasitismo de Philornis sea considerada como otro factor potencial que contribuye a la disminución de los insectívoros aéreos y destacamos la necesidad urgente de estudios más completos que investiguen la aparición de parasitismo en otras especies de aves del Caribe. Palabras clave insectívoros aéreos, Philornis, Sierra de Bahoruco, Tachornis phoenicobia Résumé Mortalité d’un Martinet petit-rollé (Tachornis phoenicobia) adulte associée au parasitisme par Philornis sp. dans la Sierra de Bahoruco en République dominicaine • L’importance écologique de la myiase aviaire causée par des larves de mouches (diptères), notamment du genre Philornis, reste mal connue. Une lacune importante dans nos connaissances est de savoir quelles espèces d’oiseaux sont affectées par ce type de parasitisme. Nous présentons ici la première mention de parasitisme d’un Martinet petit-rollé (Tachornis phoenicobia) adulte par Philornis en République dominicaine, ce qui constitue la première mention documentée de parasitisme d’une espèce de martinet (Apodidae) par cette mouche. L’oiseau hôte a été retrouvé mort peu de temps après avoir été observé vivant avec des preuves évidentes de myiase, et nous attribuons donc la mort de l’oiseau aux larves de mouche détectées. Nous suggérons également que la mortalité à l’âge adulte induite par le parasitisme par Philornis soit considérée comme un autre facteur pouvant contribuer au déclin observé des insectivores aériens, et nous soulignons le besoin urgent d’études plus complètes sur l’occurrence du parasitisme chez d’autres espèces d’oiseaux de la Caraïbe. Mots clés insectivores aériens, Martinet petit-rollé, Philornis, Sierra de Bahoruco, Tachornis phoenicobia
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Coulibay – Lingani, Pascaline. "Vulnérabilité des Produits Forestiers non Ligneux 'Vitellaria Paradoxa' et 'Parkia Biglobosa' au Burkina Faso - Une Évaluation des Perceptions de la Population Locale Basée sur le Genre et l'Ethnicité." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 2 (January 31, 2023): 164. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n2p164.

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Abstract:
L'objectif de cette étude est d'enquêter sur les connaissances et la perception des populations locales sur les menaces qui affectent les deux espèces que sont Vitellaria paradoxa et Parkia biglobosa. Le niveau de connaissance et la perception des individus peuvent être affectés par de nombreux facteurs. Mais la présente étude examine spécifiquement les effets du genre et de l'ethnicité sur les connaissances et la perception des populations locales. Les données ont été recueillies par le biais de discussions de groupe, avec un échantillon d'environ 100 participants. Les participants ont été divisés en cinq groupes sur la base des groupes ethniques rencontrés dans chacun des sites d'étude. Ainsi, les groupes suivants ont été formés : le groupe Mossi à Yarci (la population est composée uniquement de Mossi), les groupes Sambla et Mossi à Bana Lamogoya, et les groupes Bobo et Fulani à Bana Bobo. Cela donne un total de cinq groupes dans les trois sites. Dans chacun de ces cinq groupes ethniques, il a été constitué un groupe de femmes et un groupe d'hommes. Un total de 15 types de menaces, regroupés en trois facteurs : écologique, climatique et anthropique, ont été identifiés à Bana Bobo, Bana Lamogoya et Yarci par sexe et par les différents groupes ethniques. Les femmes ont cité deux (2) des trois (3) principaux facteurs de menace que sont : les plantes parasites et les attaques parasitaires (insectes et vers). Les Peuls sont ceux qui ont cité les 3 principaux facteurs de menace identifiés. Dans tous les sites étudiés, Vitellaria paradoxa est perçu comme l'espèce la plus vulnérable aux menaces comparativement à Parkia biglobosa. Les recherches futures devraient se concentrer sur les perceptions des participants des manifestations et les conséquences des menaces sur les arbres. Il sera également judicieux d'explorer les méthodes de lutte que les producteurs développent à leur niveau. Les connaissances locales peuvent constituer un point de départ précieux pour la recherche appliquée. The objective of this study is to investigate knowledge and perception of local populations about the threats that affect the two species that are Vitellaria paradoxa and Parkia biglobosa. Individual knowledge level and perception may be affected by many factors. But the present study specifically examines the effects of gender and ethnicity on knowledge and perception of local people. The data were collected through focus group discussions, with a sample of approximparticipants. The participants were divided into five groups based on the ethnic groups encountered in each of the study site. Thus, the following groups were formed: the Mossi group in Yarci (the population is composed solely of Mossi), the Sambla and Mossi groups in Bana Lamogoya, and the Bobo and Fulani groups in Bana Bobo. This gives a total of five groups in all three sites. In each of these five ethnic groups, a group of women and a group of men were formed. A total of 15 types of threats, grouped into three factors: ecological, climatic and anthropic, were identified in Bana Bobo, Bana Lamogoya and Yarci by gender and by the different ethnic groups. Women cited two (2) of the three (3) main threat factors that are: parasitic plants and parasitic attacks (insects and worms).The Fulani were the ones who cited the 3 main threat factors identified. In all sites studied, Vitellaria paradoxa is perceived as the most vulnerable species to threats compared to Parkia biglobosa. Future research should focus on participants’ perception of the manifestations and the consequences of these threats to trees. It will also be judicious to explore the methods that the producers are developing to combat threats at their level. Indigenous knowledge can serve as a valuable starting point for applied research.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Abstract:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Desquesnes, Marc, Philippe Solano, Geoffrey Gimonneau, Vincent Jamonneau, Jean-Mathieu Bart, Bruno Bucheton, Sophie Thevenon, and David Berthier. "Les trypanosomoses humaines et animales africaines. Une approche « One health » par excellence." Bulletin de l'Académie vétérinaire de France 175 (2022). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2022.71000.

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Abstract:
Les trypanosomoses humaines et animales africaines (THA & TAA) sont dues à des parasites du genre Trypanosoma vivant dans le sang, la lymphe ou le système nerveux de leurs hôtes. Ils sont transmis principalement par les glossines (mouches tsétsé). Le Nagana (TAA) est une maladie animale due à un complexe d’espèces : T. vivax, T. congolense et T. brucei. La maladie du sommeil (HAT) est due à T. b. gambiense (forme chronique, Afrique de l’Ouest et du centre) et T. b. rhodesiense (forme aiguë, Afrique de l’Est et Australe). Les glossines, vecteurs cycliques des trypanosomes, sont un maillon déterminant dans la transmission, la maintenance et le contrôle de ces maladies. Les particularités de leur physiologie, écologie, et du développement cyclique des trypanosomes, conditionnent une épidémiologie complexe. L’existence conjointe de plusieurs espèces de trypanosomes, dans de nombreux hôtes et réservoirs, disposant de plusieurs modes de transmission (cyclique, mécanique, par voie orale, verticale, vénérienne, iatrogénique), conditionne des systèmes épidémiologiques très divers parfois concomitants. Le contrôle conjoint de la TAA et de la THA s’impose par excellence sous une approche « One Health » (OH), mais cette dernière n’est pas toujours possible, en particulier en cas d’impact sanitaire discordant chez l’homme et l’animal. Mots-Clés : complexe d’espèces, Glossina, vecteurs cycliques, réservoir, contrôle, élimination.
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Coulibaly-Lingvani, Pascaline. "Les perceptions de L’influence du Genre et du Groupe Social de la Vulnérabilité de Vitellaria paradoxa et de Parkia biglobosa aux Menaces au Burkina." European Scientific Journal ESJ 10 (October 25, 2022). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.10.2022.p562.

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Abstract:
L'objectif de cette étude est d'examiner les connaissances et les perceptions des populations locales en fonction du sexe et de l'origine ethnique sur les facteurs qui constituent une menace sur les deux espèces que sont Vitellaria paradoxa et de Parkia biglobosa et d’en déterminer leurs causes. Les données ont été collectées à travers des entretiens de groupe (focus group discussion) et cela en tenant compte du genre et des groupes ethniques présents dans chaque localité. Au total 15 types de menaces regroupés en 3 facteurs : écologique, climatique et anthropique ont été identifiés à Bana Bobo, Bana Lamogoya et Yarci par genre et par les différents groupes ethniques. Les femmes ont le plus cité deux (2) des trois (3) principaux facteurs de menaces que sont : les plantes parasites et les attaques parasitaires (insectes et vers). Les Peulh sont ceux qui ont le plus cité les 3 principaux facteurs de menaces identifiés. Dans l’ensemble des sites, Vitellaria paradoxa se révèle être l’espèce la plus vulnérable aux menaces comparativement à Parkia biglobosa. L’action de l’homme constitue la cause des menaces anthropiques. Les conséquences qui résultent de l’ensemble des menaces sont surtout la faible productivité et dans le pire des cas, la mortalité des espèces.
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Khouaja, Leila, Slimane Ben Miled, and Hassan Hbid. "Population dynamics modelling : Impact of climate change on tick populations." Revue Africaine de la Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 22 - 2016-2018 (December 5, 2016). http://dx.doi.org/10.46298/arima.2553.

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Abstract:
Epidemiology had an important development these last years allowing the resolution of a large number of problems and had good prediction on disease evolution. However, the transmission of several vector-borne diseases is closely connected to environmental protagonists, specially in the parasite-host interaction. Moreover, understanding the disease transmission is related to studying the ecology of all protagonists. These two levels of complexity(epidemiology and ecology) cannot be separated and have to be studied as a whole in a systematic way. Our goal is to understand the interaction of climate change on the evolution of a disease when the vector has ecological niche that depends on physiological state of development. We are particularly interested in tick vector diseases which are serious health problem affecting humans as well as domestic animals in many parts of the world. These infections are transmitted through a bite of an infected tick, and it appears that most of these infections are widely present in some wildlife species. L'épidémiologie a connu un développement important ces dernières années. Cette discipline a permis une meilleure compréhension del'évolution de maladies. Cependant, plusieurs maladies à transmission vectorielle sont étroitement liées aux protagonistes environnementaux. Ce constat est particulièrement vrai dans le contexte des interactions du parasite avec son hôte. De plus, comprendre la transmission de maladie est lié à l'étude de l'écologie de tous les protagonistes. Notre objectif est de comprendre l'influence du changement climatique sur l'évolution des maladies lorsque la niche écologique du vecteur dépend de l'état de développement physiologique de son hôte. Nous sommes particulièrement intéressés par les maladies vectorielles à tiques qui constituent un grave problème de santé touchant l'être humain et les animaux domestiques dans de nombreuses régions du monde. Ces infections sont généralement transmises par la piqûre d'une tique infectée et il apparaît que la plupart de ces infections sont largement présentées dans certaines espèces fauniques
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