Dissertations / Theses on the topic 'Panarabismo'

Il Baʿth, o Partito della Resurrezione Araba Socialista (PRAS), è considerato dalla pubblicistica uno dei più importanti movimenti politici a matrice non religiosa del mondo arabo del XX secolo. Esso si fece promotore di un progetto rivoluzionario, quasi utopico: l’unificazione del mondo arabofono in unico stato regolato da un’economia di stampo socialista. Il presente studio intende ripercorrere l’evoluzione del partito da un punto di vista politico e ideologico, analizzando il corpus letterario prodotto da fondatori e iscritti, le sue particolarità e le criticità e, infine, le conseguenze che tali idee e teorie ebbero sul partito e sulla politica siriana. Dopo aver esaminato il milieu storico e culturale in cui si formarono i concetti pivotali del baathismo, nazionalismo e socialismo, la ricerca si concentrerà dapprima sulla nascita dei movimenti proto-baathisti e, in seguito, sull’evoluzione del corpus ideologico e della struttura partitica interna. Verrà successivamente data attenzione ai mutamenti dell’apparato teorico nel “periodo nasserista” della Repubblica Araba Unita (1958-1961) e durante gli anni Sessanta, quando al fallimento del progetto unionista si aggiunse la competizione intra-baathista. La dimensione storica verrà completata con un’analisi storiografica che proporrà e discuterà nuove suddivisioni delle stagioni del PRAS. Verrà approfondita anche la terminologia politica, sulla base e lo spoglio delle fonti primarie in lingua araba.
The Baʿth, or Arab Socialist Resurrection Party, is considered to be one of the most important non-religious political movements in the Arab world of the 20st century. It promoted a revolutionary, almost utopic, project: the unification of the Arab-speaking territories in a single state. The present study aims to explain the evolution of the Baʿth from a political and ideological point of view, analyzing the party literature written by the founders and members, highlighting its main characteristics, the critical points and, finally, the impact that these ideas and theories had on party and Syria political course. After examining the historical and ideological milieu in which the pivotal concepts of Baathism, nationalism and socialism, developed, the research will first focus on the birth of proto-Baathist movements, and then on the evolution of the ideological corpus and party structure. The thesis will also investigate the changes in the theoretical apparatus occurred both during the “Nasserist period” of the United Arab Republic (1958-1961) and in the 1960s, when intra-Baathist competition escalated after the failure of the unionist project. The historical dimension will be completed with a historiographical analysis that will propose and discuss new subdivisions of the PRAS seasons. Political terminology will also be explored on the basis and the analysis of primary sources in Arabic.

Arabisme, panarabisme et pansyrianisme dans l’engagement palestinien de Darwaza et de ses amis 1908 – 1948 est le titre d’une thèse de doctorat en histoire consacrée à l’apparition d’un sentiment national palestinien de l’Empire ottoman à la fin du mandat britannique à une époque de luttes entre le mouvement sioniste et les nationalistes arabes à la recherche de l’unité. Durant cette période ont également eu lieu des conflits entre les Arabes et les pouvoirs français et britanniques, détenteurs de mandats de la Société des Nations pour administrer la Palestine et la Syrie. Et parmi les dirigeants nationalistes, qui ont combattu en Palestine contre le mandat et le mouvement sioniste encouragé par lord Balfour en 1917, Darwaza et ses amis ont joué un rôle très important, des dernières années de l’Empire ottoman jusqu’à la naissance d’Israël, contre le régime Jeune Turc, la France, la Grande-Bretagne et bien sûr contre le Foyer National Juif. Dès lors, cette thèse consacrée au nationalisme arabe en Palestine et en Syrie constitue une tentative de description de l’apparition d’un panarabisme sui generis en Palestine qui a essayé de libérer la vie politique locale du pouvoir des notables des villes en Syrie et en Palestine parmi lesquels l’on observe le Grand Mufti al Hâj Amîn al Husayni, Râgheb an Nachâchibi, Jamîm Mardam bey et d’autres dirigeants moins importants
Arabism, panarabism and pansyrianism in the palestinian engagement of Darwaza and his friends 1908 – 1948 is the title of a P. H. D. Dissertation dedicated to the emergence of the Palestinian nationalism from the ottoman Empire to the end of the british mandate in times of struggles between the sionist movement and the Arab nationalists in search of arab unity. During this period took place also in the Middle East, conflicts between french power and british power with the Arab, who obtained mandate of the League of Nations to administrate Palestine and Syria. And among the nationalist leaders, who faught in Palestine against the mandate and the sionist movement heartened by Lord Balfour in 1917, Darwaza and his friends played a verty important part for the defense of the Arab’s cause from the last years of ottoman Empire, the first world war 10 Israël’s birth in 1948. And finally this dissertation, dedicated to the arab nationalism in Palestine and Syria is an attempt to describe the emergence of genuine panarabism in Palestine who tried to release the political life from the urban notable’s power in Syria and Palestine and among them : the Grand Mufti al Hâj ’Amîn al Husayni Râgheb an Nachâchibi, Jamî Mardam bey and others leaders less important

En 2003, la chaîne d’information en continu Al Arabiya, qui est le fruit d’un investissement privé des capitaux saoudiens, commence la diffusion de ses programmes. Elle vient dans le cadre des stratégies du développement des activités du groupe MBC, qui est le pionnier dans la diffusion par satellite au Moyen-Orient. C’est pourquoi, Al Arabiya peut représenter une certaine vision saoudienne, d’abord sur l’Arabie Saoudite et ensuite sur « le monde arabe ». Cette vision est véhiculée par la chaîne au profit de ses acteurs financiers, les propriétaires du MBC, qui réagissent selon leurs propres intérêts, qui peuvent coïncider avec ceux du pouvoir saoudien. Ses acteurs qui viennent de la proximité de la sphère politique saoudienne comme du monde des affaires ont leurs propres motivations qui justifient leur participation dans la sphère médiatique dans l’espace arabe. Ils ont besoin d’un appui politique. L’Arabie Saoudite officielle, qui est en état de guerre contre les fondamentalistes, a également besoin d’une nouvelle tribune qui défende son point de vue, qui justifie sa politique et qui reconstruit une opinion favorable à sa politique auprès des populations arabes. Il s’agit par conséquent d’une rencontre entre des intérêts économique et des bénéfices politiques
In 2003, the news channel Al Arabiya continuously, which is the result of a private investment Saudi capital, began broadcasting its programmes. It comes in the framework of development strategies of the group's activities MBC, which is the pioneer in satellite broadcasting in the Middle East. For this reason, Al Arabiya may represent a certain vision of Saudi Arabia, first on Saudi Arabia and then on "Arab World". This vision is conveyed through the channel to its financial players, the owners of MBC, which react according to their own interests, which may coincide with those of power in Saudi Arabia. Its actors who come from the proximity of the Saudi political arena as the business world have their own reasons which justify their participation in the media sphere in space Arabic. They need political support. The official Saudi Arabia, which is in a state of war against the fundamentalists, also needs a new forum that defends his point of view, which justifies its policy and rebuilt a favorable opinion to its policy among Arab populations. It is therefore a meeting between economic interests and benefits policies

Né au Liban trois décennies avant le démantèlement de l'Empire ottoman dont il a été un des plus fidèles serviteurs, l'émir ʿAdil Arslan (1888-1954) s'est, dès 1918, engagé dans un dévouement absolu à la cause arabe. Il apparaît dans le premier Gouvernement arabe de Faysal à Damas (1918-1920), comme conseiller auprè́s de l'émir ʿAbdallah à Amman (1920-1924), comme chef d'une unité de combattants druses durant la grande Révolte syrienne (1926-1929), et sera, à l'indépendance de la Syrie, Ministre de l'Instruction Publique et Vice-président de la délégation syrienne à l'ONU, député du Golan, Ministre des Affaires étrangères et Vice-président de la République sous Husnî-z-Zʿaîm, et Ministre plénipotentiaire syrien en Turquie. Adversaire du Mandat français au Levant, il l'est tout autant du sionisme en Palestine. De longues années d'exil en Iraq (1933-1937) et en Turquie (1941-1945) ont complété l'image de figure de proue du nationalisme de l'émir. Mais elles ont aussi contribué à le faire disparaître de l'histoire nationale syrienne. Son parcours politique illustre à lui seul le hiatus entre, d'une part, le contexte d'élaboration et d'exaltation du nationalisme arabe, et, d'autre part, l'affirmation des États et de leurs frontières. Les Mudhakkirât (sorte de journal de bord en l'occurrence) que ʿAdil Arslân a rédigées entre 1934 et 1953 en témoignent. Elles permettent aussi de comprendre la propre représentation que cet émir druse aux origines arabes nobles a eue de lui-même. A celles-ci correspondent des devoirs qu'il s'attribue, et qui, dans une large mesure, constituent le moteur de son action à l'intérieur de régimes dont il dénonce le fonctionnement et la politique. Ce statut social, que l'État ottoman a su reconnaître et valoriser, est aussi un instrument entretenu par l'émir pour s'imposer tant sur la scène politique orientale, que face à des interlocuteurs occidentaux. Son rôle s'inscrit dans les coulisses de la politique, que son témoignage révèle
Emir ʿAdil Arslân was born in Lebanon three decades before the dismantling of the Ottoman Empire, and was one of its most loyal supporters. As early as 1918 he devoted himself to the Arab cause. He appeared in the first Arab government headed by Faysal in Damascus (1918-1920), as a counsellor of Emir ʿAbdallaj in Amman (1920-1924), as the chief of a unit of Druze fighters during the Great Syrian Revolt (1926-1929) and was to be after the independence of Syria, Minister of Public Instruction, Vice President of the Syrian delegation at UNO, a representative for Golan, Minister of Foreign Affairs and Vice President of the Republic under the rule of Husnî-z-Zaʿîm, and, finally plenipotentiary Minister of Syria in Turkey. He opposed the French Mandate in the Levant and Zionism in Palestine with equal vigour. Long years of exile in Iraq (1933-1937) and in Turkey (1941-1945) completed his image of figurehead of Arab nationalism, but they also contributed to make him disappear from Syria's national history. The Mudhakkirât (a sort of logbook as it is) that Emir ʿAdil Arslân wrote up between 1934 and 1953, go to show. They also enable to understand the representation that this Druze emir of noble Arab descent had of himself. These origins entailed duties that he attributed to himself, which, to a large extent, constitute the driving force behind his action within regimes the functioning and the policies of which he denounced. This social status, that the Ottoman Empire did recognize and promote was also an instrument kept alive by the emir to make a name for himself on the Eastern political scene as well as in relation to Western interlocutors. His role was played in the corridors of power which is what his account reveals

Cette étude se situe au point de rencontre de deux domaines de recherche intéressés par l'analyse des politiques au Moyen-Orient à savoir : les études des relations internationales, et les études du Moyen-Orient. Dans ce cadre général, nous proposons une analyse de double dimension micro et macro analytique. D'une part elle effectue une macro analyse de la ligne principale de la politique étrangère syrienne comme étant un processus qui est issue d'un effort continu de conciliation entre la raison d'Etat et son appartenance régionale arabe dite : la raison de la Nation. Cet effort est mis en oeuvre pour consolider la légitimité de l'Etat et assurer la survie du régime. Et d'autre part, nous effectuons une micro analyse pour analyser les dynamiques causales de décision de la restructuration stratégique dans la politique étrangère syrienne de la guerre à la paix en 1991. Cette analyse s'intéresse aux déterminants de la décision en politique étrangère syrienne ainsi qu'au contexte extérieur et intérieur de cette décision. Par conséquent, cette étude reconnaît en ce qui concerne le façonnage du comportement de la politique étrangère, l'importance du "niveau étatique" et du niveau "sous-étatique" comme elle la reconnaît pour le "niveau du système"
This study connects two fields of research interested in the analysis of the policies in the Middle East, namely the Studies of International Relations, and the Studies of the Middle East. Within this general framework, we propose both macro and micro analysis. First, we carried out a macro analysis of the principal line of the Syrian foreign policy as a process which has resulted from an uninterrupted effort of conciliation between the raison d'Etat and its Arab regional membership known as the raison de la Nation. This effort is implemented to consolidate the legitimacy of the State and to ensure the survival of the regime. Then, we did a micro analysis to analyze the causal dynamics of the decision of the strategic reconstruction in the Syrian foreign policy from the "war to peace" in 1991. This analysis is based on the determinants of the Syrian foreign policy decision as will as to the external and internal context of this decision. Consequently, this study recognizes with regard to the shaping of the behaviour of the foreign policy, the importance of the "state level" and the "sub-state level" as it is recognized in the "level of the system"

Ce travail traite la question de l'unite arabe. Il est compose de deux parties et d'une conclusion generale. Premiere partie: nous avons suivi l'apparition et l'evolution du mouvement nationaliste arabe durant la deuxieme moitie du 19eme siecle et pendant le 20eme siecle. Nous avons etudie les principales revendications de ce mouvement et notamment la reclamation de l'unite de tous les pays arabes et la creation d'un seul etat arabe. Nous avons expose et analyse les visions des principaux mouvements nationalistes arabes concernant cet objectif. Comme nos avons aborde brievement les principaux courants opposants au nationalisme arabe. Deuxieme partie: nous l'avons consacree a l'unite arabe sur le plan pratique. Nous avons etudie les experiences unitaires les plus marquantes connues par le monde arabe contemporain. Il s'agit de la ligue des etats arabes, l'unite syro-egytienne de 1958, la confederation des republiques arabes de 1970 et le conseil de cooperation des etats arabes du golfe. Chacune de ces experiences represente une forme et une conception unitaire differente des autres. Dans la conclusion, nous avons envisage les perspectives de l'action commune arabe. Nous avons essaye de soulever les principaux facteurs de l'echec de cette action. Nous avons egalement montre la necessite de l'unite arabe pour resoudre les problemes de ces pays dans les domaines politiques et economiques. Enfin, nous avons trace les principaux fondements de l'unite arabe d'avenir, notamment en ce qui concerne la conception de cette unite, sa forme et
This study is divided into towo parts and includes a general conclusion. First part: we followed the emergence and the evolution of the arab nationalist movement during the second half of the xixth and after. We studied the main claims of the movement and particularly the one of the unity of all arab countries and the creation of a unique arab state. We introduced and analysed the theories of the main arab nationalist movements, and at the same time we studied in brief the main trends in opposition to arab nationalism. Second part: it is devoted to the different attempts of unities in the arab world. We studies the most remarquable experiences of unities known in the arab contemporary world, such as: the arab league, syro-egyptian union in 1958, the confederation of the cooperation of the gulf arab states. Each experience represents a form and a conception of unity different from the others. The conclusion includes our look for the future of the common arab action. We tried to point out the main factors of the failure of this action and to show that the arab unity is necessary to solve the political and economical problems of these countries. Finally, we underlined the main bases of the coming arab unity and put emphasis on its conception, its form and how to pave the way for its realization

Tato diplomová práce zkoumá zahraniční politiku a postavení Sýrie v regionu Blízkého východu. Její směřování bylo do značné míry ovlivňováno válečným stavem s Izraelem a panarabskou rétorikou. Tato práce určuje hlavní body zahraniční politiky Sýrie vůči sousedním státům, stejně tak vůči Íránu. Role Sýrie v oblasti Blízkého východu vyplývala z vytváření konkrétních aliancí se sousedními státy, ale do značné míry byla také ovlivněna rozpadem Sovětského svazu a přechodem k unipolaritě.

Le mondialisme est un mouvement qui tend à édifier une fédération mondiale, laquelle pourra atténuer le spectre de la guerre entre les hommes, tout en respectant leurs spécificités culturelles. Néanmoins, cette perspective implique préalablement le parcours d'une étude : celle de la mise en place de fédérations, dans des sphères comportant des éléments unificateurs. Ce travail est consacré à une région du globe, où l'unité revêt une importance majeure. Il s'agit d'une tentative de réflexion permettant au phénomène fédératif de connaître le jour et de subsister. Il fait appel à des outils scientifiques (droit public, sciences politiques) et culturels (tempérament arabe). Le travail constitue une manière de penser l'unité arabe d'une façon plus ou moins concrète, sous une optique non point nationaliste, mais mondialiste
The "mondialisme" is a movement which tends to build a world wide federation which will be able to erase the specter of war between people, while respecting their cultural specificities. However this prospect implies firts : the study of the setting up of the federations, in spheres comprising unifiying elements. This work is devoted to a region of the globe where unity is a major importance. It is an attempt of reflection allowing the rederative phenomenan to come into being and to survive. It requires scientific tools (public law, politics) as well as cultural tools (the arab nature). This work constitutes a way of seing the arab unity in a more or less concrete way, in a viewpoint which is not nationalist

Le monde arabe connait une opposition entre deux conceptions de l'ordre regional. La premiere, defendue notamment par les panarabistes, vise a creer un ensemble exclusivement arabe. La seconde d'ordre geopolitique, moyen-orientale, est soutenue par les etats-unis, israel et la turquie favorables a une architecture regionale elargie dans laquelle les pays arabes ne sont que des etats parmi d'autres. Bien qu'elle ait perdu de son intensite, cette opposition persiste et se retrouve propulsee au coeur de l'actualite arabe, avec une perspective nouvelle, loin de l'ideal unitaire panarabe. La guerre du golfe et le processus de paix arabo-israelien ont donne un elan a la perspective moyen-orientale. Cette evolution regionale intervient en pleine mutation mondiale. La detente internationale a engendre une detente sur le plan regional, permettant d'entreprendre ce que la logique est-ouest ne permettait pas. De ce fait, l'etude de l'ordre regional arabe ne peut etre apprehendee sans l'analyse du systeme international, d'autant plus que le monde arabe et le moyen-orient demeurent hautement polarises par les grandes puissances. Difficile donc d'analyser la politique interarabe independamment de celle du systeme international. La crise du golfe a montre l'importance de l'interference entre l'international et le regional. La region arabe s'est transformee ou a ete transformee par les grandes puissances en un vaste champ d'experimentation : passage d'un systeme bipolaire a un ordre nouveau. Pour analyser le nouvel ordre regional percu comme corollaire du nouvel ordre mondial, cette etudeest divisee en deux parties : la premiere est consacree au systeme international, notamment durant les deux dernieres decennies (fin de la guerre froide, chute du communisme et disparition de l'union sovietique) ; la seconde au monde arabe et ses evolutions avec une attention particuliere aux mutations induites par la crise du golfe, le processus de paix et le partenariat euro-mediterraneen.

This study is a critical analysis of translation-mediated Arabic news items on the “Arab Spring”. It explores the influence of social, historical, political, localic, and socio-ideological aspects of news translation via certain media agendas, by applying Critical Discourse Analysis (CDA) and qualitative descriptive methods in the analysis of the localised news items, interviews with translators, and a corpus of comments by the Arabic-speaking readership. The data analysed in this case study comprise a four-year (2010-2014) collection of news items that were localised by Al Jazeera and published on its website, as well as readers’ commentaries on said localisations, and interviews with two of Al Jazeera’s translators. Making use of this rich source of data, this study aims at finding answers for the questions: Are there discernible patterns in the translated texts? If so, how and for what purpose are they produced and re-produced through localisation in Al Jazeera’s translation-mediated Arabic news articles? Whose interests are served and whose interests are annulled by the reproduction and localisation processes? The three sets of data were thematically coded; then their most salient points and arguments were analysed. The localised news items were examined for clues to the localisation techniques, ideologies, and the agenda(s) of Al Jazeera. The readers’ comments were probed for the influence that the localised news items had on Al Jazeera’s target readership, and were examined to find out which of Al Jazeera’s ideologies resonate with which readers to form Al Jazeera’s target locale(s). The analysis of the interviews with Al Jazeera’s translators was undertaken with the aim of delineating the tasks of these translators, specifically to see to what extent journalism and translation meld, as suggested in much of the research done so far on translating news items. The tripartite analysis has provided a more comprehensive understanding of the processes involved in the production of translation-mediated news items as well as their effect on the readership. It also suggests relatively new insights into viewing the term localisation as a good alternative to acculturation in accounting for news translation. Within the umbrella of the social turn in translation studies (TS), this study suggests that current approaches to studying news translation question large-scale concepts such as culture and acculturation, and proposes they be replaced with the small-scale concepts of locale and localisation. Hence, this study suggests using localisation to extract and understand the underlying particulars of the processes involved in producing translation-mediated news items. The results of the analysis show that Al Jazeera ostensibly promulgates three major ideologies: anti-regimism, Islamistism, and pan-Arabism and embeds these ideologies in the messages it delivers to its target locales through the localised news items. The study concludes that Al Jazeera’s localisation techniques reflect the viewpoints of its benefactor the State of Qatar whose goal is to create a solipsistic identity that distinguishes it from its immediate rivalling neighbours within a dichotomy of the Same and the Other. These localisation techniques are driven by motives associated with the sociopolitical and sociohistorical circumstances of the founding of the State of Qatar and Al Jazeera.

En prenant le MF20 comme principale étude de cas , je plaide contre les affirmations du caractère nouveau, unique, fructueux, manqué ou achevé de ces mouvements arabes. Je passe en revue la première décennie du 21ème siècle et la déclaration de la Guerre contre le terrorisme (2003) comme déclencheurs de conflits socio-politiques déjà installés dans la région MENA. La deuxième décennie de ce siècle, à travers les soulèvements arabes, a seulement rendu visibles aux yeux du monde les transgressions des droits de l'homme et les atrocités prenant place au Moyen-Orient.Ces soulèvements ont rapidement été réduits à des soulèvements épisodiques. La troisième décennie semble malheureusement entre les mains des idéologues de droite qui s’opposent au multiculturalisme et à l'extrémisme religieux, et qui, de fait, réorientent le débat loin des problèmes sociaux en mettant en avant le récit « nous contre eux ». Pour ces raisons, je prétends que les soulèvements arabes sont loin d’être achevés ; ils n’ont fait que débuter. Contrairement au dessin qu’en fait Davis (2013), ils ne s’estompent pas pour disparaître complètement mais seulement pour revenir en force.L'analyse approfondie dans le projet de la saga des luttes de ces mouvements arabes avec les régimes autocratiques arabes, qui n’ont fait rien d’autre que mettre en place des réformes préventives, nécessite de notre part une attention particulière pour les décennies à venir. Même les cas dits « fructueux », notamment la Tunisie et le Maroc, indiquent que ce qui est célébré est en fait un état de stabilité temporaire qui cache des faiblesses majeures et alarmantes dans le cadre du changement social et de la justice sociale ; deux des principaux déclencheurs du soi-disant printemps arabe.Thomas Friedman fait appel à des détails historiques, dans son excellent article pour le New York Times, demandant à ce que l'expression « Printemps arabe » soit retirée et remplacée par la « Décennie arabe » d'Anthony Cordesman ou le « Quart de siècle arabe ». Je propose que nous nous situons au-delà, et que nous assistons en fait à un Siècle arabe en mutation.Si l’on se fie aux changements politiques récents dans le monde, il apparaît que les changements sociaux dans le monde arabe seront négligés pendant au moins une autre décennie. La montée au pouvoir de l’extrême-droite aux États-Unis et en Europe a déjà retiré l’accent des injustices sociales dans le monde arabe au profit de la question éternelle de l'islam et de l'extrémisme en Occident. Cela s'avère offrir une pause aux régimes autocratiques arabes qui utilisent cette ascension de l'islamophobie en Occident comme un argument unificateur qui distrait des injustices sociales au sein de leurs républiques et leurs royaumes. Ainsi, la lutte des citoyens arabes dans les états arabes pour la dignité sociale sera négligée jusqu'à ce que le récit revivifié du choc de l'islam et de l'Occident disparaisse
With the MF20 as the major Case Study , I argue against the claims of the newness, uniqueness, success and failure or finality of these Arab movements. I revisit the first decade of the 21st century and the declaration of War on Terrorism (2003) as one trigger of sociopolitical conflicts that were already entrenched in the MENA region. What we witnessed in the second decade of this century is that the Arab uprisings only exposed transgressions in human rights and atrocities in the Middle East to the world. These uprisings were hurriedly reduced to seasonal uprisings. The third decade unfortunately looks to be in the hands of right-wing ideologues standing against multiculturalism and stressing the fear of religious extremism to change the focus from social issues and force the narrative of us-against-them on the forefront. For these reasons, I claim, there is no finality to the Arab uprisings, they have just begun and they are not in a state of thaw as Davis (2013) depicts them, but they are in slumbering phase recouping for a stronger come back. The close analysis in the project of the saga of struggles of these Arab movements with the Arab autocratic regimes who engineered nothing but preemptive reforms, requires our close attention for the remaining decades in this 21st century. Even the so-called successful cases, Tunisia and Morocco, indicate that what is celebrated is a state of temporary stability with major and alarming short comings in social change and social justice; two of the main reasons of the so called Arab Spring. Thomas Friedman suggests great historical details, in his great piece for the New York Times, calling for the expression “Arab Spring” be retired and be replaced by Anthony Cordesman’s the “Arab Decade” or “Arab Quarter Century” . I claim we are beyond that, and that we are witnessing an Arab Century in movement.If the recent political changes around the world are any indication, social change in the Arab world will be overlooked for at least another decade. The rise of the extreme right to power in the US and in Europe has already shifted the focus from the social injustices in the Arab world to the everlasting issue of Islam and extremism in the West. This is proving to be a big break for Arab autocratic regimes, who are using this rise of Islamophobia in the West as a unifying argument that distracts from the social injustices within their republics and kingdoms. Thus, the struggle of Arab citizens within the Arab states for social dignity will be overlooked until the revived narrative of the clash of Islam and the West dies down

This survey deals with the geopolitical position of Syria in the first half of the 20th century and tries to find answers to the question why and how did today's Syria come to its existence. Since this state could be, to some extent, thought to be artificial, and its territory largely deformed, this works focuses on the process of territorial shaping of Syria in its current borders, which took place under rivalry of the British and French imperialism and antagonist ideologies of local separatism, Arab nationalism, pan-Syrianism and pan-Arabism. The time frame of this study is defined by the beginning of the 20th century and the end of the World War II which roughly coincides with the final stage ofthe French mandate over Syria and its admission to the United Nations. The survey consists of se ven chapters copying the time line of the S yrian history in the first half of the 20th century, with the exception of the first chapter, which deals with the definition of Syria and geographical Greater Syria and the delimitation of the contemporary borders in the area. Nex:t chapters are reflecting milestones of the contemporary history of Syria (i.e. the end of the Ottoman rule, the beginning and the end of the Syrian Kingdom of Emir Faisal, the Great Syrian Revolt, the French-Syrian Agreement of 1936 and others)....

Celem niniejszej rozprawy doktorskiej, która jest studium politologicznym i mieści się w subdyscyplinie „Stosunki Międzynarodowe”, jest przedstawienie i analiza aspiracji mocarstwowych w polityce zagranicznej Egiptu, wpływu i znaczenia przywództwa Gamala Abdela Nasera, ideologii panarabizmu i naseryzmu, jak również tożsamości międzynarodowej Egiptu dla narodzin i ewolucji tychże aspiracji. Jest nim również przyczynienie się poprzez rezultaty badawcze do wypełnienia luki w dotychczasowych badaniach i pracach politologicznych w Polsce, poszerzenia obszaru badań ze względu na brak kompleksowego opracowania, monografii nt. aspiracji mocarstwowych w polityce zagranicznej Egiptu. Oprócz rekonstrukcji kluczowych wydarzeń w polityce wewnętrznej i zagranicznej Egiptu odnoszących się do przedmiotu badań i przedstawienia ich analizy, celem autorki rozprawy jest prezentacja i analiza percepcji aspiracji mocarstwowych Egiptu zarówno w świecie arabskim, z uwzględnieniem rywalizacji o wpływy w regionie Bliskiego Wschodu, jak i w globalnym środowisku międzynarodowym z analizą znaczenia Egiptu dla względnej stabilności w regionie, bezpieczeństwa ontologicznego Izraela, walki z islamskim ekstremizmem i fundamentalizmem. Praca ma także ambicje przedstawienia predyktywnego aspektu aspiracji mocarstwowych tego państwa w odniesieniu do kwestii uzyskania przez nie statusu mocarstwa regionalnego w przyszłości. W rozprawie dokonano porównania polityki i aspiracji mocarstwowych Egiptu realizowanych przez pięciu kolejnych egipskich prezydentów: Gamala Abdela Nasera, Anwara as-Sadata, Hosniego Mubaraka, Muhammada Mursiego i Abd al-Fattaha as-Sisiego. Jednym z głównych celów dysertacji jest także pokazanie kim byli/są egipscy przywódcy, jakie były źródła ich inspiracji, na jakich wzorcach Egipt się opierał w budowaniu silnego państwa i dążeniu do przewodzenia państwom arabskim, kto był inspiracją dla Nasera. Autorka pracy podjęła próbę zaprezentowania doświadczenia egipskich polityków i wiedzy przez nich wykorzystanej w budowaniu silnego państwa. Odnośnie do cezur czasowych, badania, których rezultaty są zaprezentowane w rozprawie, obejmują swym zakresem kluczowy dla Egiptu i jego aspiracji mocarstwowych okres rozpoczynający się w 1952 roku, a kończą się na aktualnych wydarzeniach w polityce zagranicznej i ich implikacjach dla tych aspiracji. Dla całościowego ukazania tematu koniecznym było również przeprowadzenie badań uwarunkowań historycznych procesu narodzin państwowości Egiptu w latach 1805-1922, a także uwarunkowań politycznych, sytuacji społecznej i politycznej w Egipcie do roku 1952. Okres rozpoczynający się w 1952 roku jest kluczowy, gdyż po raz pierwszy od ponad dwóch tysięcy lat, od czasów faraonów, Egipt zaczął być rządzony przez Egipcjan. Wiek XIX jest także ważny dla przedmiotu badań ze względu na kształtowanie się nowoczesnej tożsamości etnicznej mieszkańców kraju. W Egipcie zaczęto zdawać sobie sprawę z 5 tys. lat cywilizacji i historii oraz z ich wkładu w cywilizację ludzką.
The aim of this doctoral dissertation, which is a political science study belonging in the sub-discipline "International Relations", is the presentation and analysis of the power aspirations in Egypt's foreign policy: the influence and meaning of Gamal Abdel Nasser's leadership, the ideology of pan-Arabism and Nasserism, as well as the international identity of Egypt for the birth and evolution of these aspirations. The purpose of the dissertation is also to contribute through the research results to filling the gap in current research and political science in Poland, expanding the research area due to the lack of a comprehensive study, a monograph on power aspirations in Egypt's foreign policy. In addition to the reconstruction of key events in Egypt's internal and foreign policy relating to the subject of research and the presentation of their analysis, the author's aim is to present and analyze the perception of Egypt's power aspirations both in the Arab world, including competition for influence in the Middle East region, and in the global environment with an analysis of the significance of Egypt for a relative stability in the region, Israel's ontological security and the struggle against Islamic extremism and fundamentalism. The thesis also has the ambition to present a predictive aspect of Egypt’s power aspirations with regard to the issue of obtaining the status of a regional power in the future. In the dissertation, the author carried out a comparative analysis of the Egyptian foreign policy and power aspirations pursued by five successive Egyptian presidents: Gamal Abdel Nasser, Anwar as Sadat, Hosni Mubarak, Muhammad Mursi and Abd al-Fattah as-Sisi. One of the main goals of the dissertation is also to show who the Egyptian leaders were/are, what were the sources of their inspiration, on what models Egypt was based in building a strong state and striving to lead the Arab states, who was the inspiration for Nasser. The author of the thesis attempted to present the experience of Egyptian politicians and knowledge used by them in building a strong state With regard to the caesura of historical events, research, the results of which are presented in the dissertation, cover the key for Egypt and its power aspirations, the period beginning in 1952, and ending with current events in foreign policy and their implications for these aspirations. For the overall presentation of the subject, it was also necessary to conduct research on the historical conditions of the birth of Egyptian statehood between 1805-1922, as well as political conditions and social and political situation in Egypt until 1952. The period beginning in 1952 is crucial because for the first time since over two thousand years, from the time of the Pharaohs, Egypt began to be ruled by the Egyptians. The 19th century is also important for the subject of research due to the shaping of modern ethnic identity of the inhabitants of the country. In Egypt, people began to be aware of 5,000 years of civilization and history and their contribution to human civilization.