Academic literature on the topic 'Obligations (finances) – Environnement'

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Journal articles on the topic "Obligations (finances) – Environnement":

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Gautier, Axel. "Numéro 60 - juin 2008." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15643.

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Abstract:
En 2011, le marché postal sera entièrement libéralisé. Le service universel sera-t-il maintenu ? Comment sera-t-il financé ? Dans ce numéro de Regards économiques, nous abordons la question du financement du service universel postal dans un environnement concurrentiel. Dans le secteur postal, l’Etat impose de nombreuses obligations de service universel (SU). Celles-ci se définissent selon trois axes : 1. le périmètre du SU : les produits concernés par le service universel sont le courrier de moins de 2kg et les colis de moins de 10 kg. 2. la qualité du service : elle se mesure par différents paramètres : la fréquence des collectes, la fréquence de la distribution, l’accessibilité des points de collecte et de contact et les délais d’acheminement. 3. les contraintes en termes de prix : les prix de certains produits sont régulés; certains produits sont soumis à l’obligation de tarif uniforme. Longtemps le secteur postal s’est organisé sous forme de monopoles nationaux. Dans ce cas, le service universel est autofinancé aux moyens de subsides croisés : les produits et les services rentables financent les pertes de ceux qui ne le sont pas (la distribution journalière dans les zones rurales par exemple). Avec l’ouverture du marché à la concurrence, ce mode du financement du service universel est menacé. Les nouveaux opérateurs postaux ne sont en effet pas tenus aux mêmes obligations et peuvent se concentrer uniquement sur les segments les plus rentables du marché. Ainsi en Suède, où le marché est libéralisé depuis 1993, le principal opérateur postal alternatif ne distribue que certains types de courrier (le courrier industriel envoyé en nombre et pré-trié par l’expéditeur) sur une partie du territoire (40 % des adresses, dans les régions urbanisées principalement) et ce 2 à 3 jours par semaine. Pour le courrier égrené (la lettre) et pour la distribution de courrier dans les régions rurales, la poste suédoise reste en situation de quasi-monopole. Avec l’arrivée de concurrents sur certains segments du marché disparaît une partie des profits qui auparavant finançait le service universel. C’est le phénomène d’écrémage du marché : les concurrents ne servent que les segments les plus attractifs (la crème), laissant les segments les moins attractifs ou déficitaires à l’opérateur en charge du service universel qui ne peut pas les abandonner. Face à ce phénomène, la poste suédoise a augmenté le prix de la lettre tandis que le prix des produits pour lesquels il y a de la concurrence a diminué. Le financement du service universel dans un environnement concurrentiel doit donc être repensé. La Commission européenne a prévu plusieurs mécanismes de financement; les Etats Membres doivent maintenant choisir la solution la plus appropriée à leur marché. En Belgique, cette question revêt une importance cruciale. En effet, le marché semble particulièrement attractif pour les opérateurs concurrents en raison d’un volume élevé de courrier par habitant et de l’importance du courrier industriel. On peut donc s’attendre à une concurrence intense sur certains segments du marché et ce au bénéfice des consommateurs. Par ailleurs, les contraintes de service universel sont relativement importantes. Comme nous l’expliquons dans ce numéro de Regards économiques, la conjonction de ces deux facteurs peut s’avérer problématique. Sans doute plus que dans d’autres pays, le choix et la mise en place d’un mécanisme qui assurera le financement du service universel vont revêtir une importance capitale. Plusieurs options sont envisagées et feront l’objet de débats dans les mois et les années à venir. La re-définition des obligations de SU et notamment les contraintes en termes de prix et de tarification font partie intégrante de ce débat sur l’avenir du SU. Idéalement, le mécanisme mis en place doit assurer le financement du SU tout en ayant un impact limité sur le niveau de concurrence. Si ce n’est pas possible, il faudra faire un arbitrage entre ces deux dimensions, sous l’œil attentif de la Commission européenne qui sera particulièrement attentive à ce que les options choisies ne limitent pas (trop) la concurrence sur le marché.
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Gautier, Axel. "Numéro 60 - juin 2008." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2008.06.01.

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Abstract:
En 2011, le marché postal sera entièrement libéralisé. Le service universel sera-t-il maintenu ? Comment sera-t-il financé ? Dans ce numéro de Regards économiques, nous abordons la question du financement du service universel postal dans un environnement concurrentiel. Dans le secteur postal, l’Etat impose de nombreuses obligations de service universel (SU). Celles-ci se définissent selon trois axes : 1. le périmètre du SU : les produits concernés par le service universel sont le courrier de moins de 2kg et les colis de moins de 10 kg. 2. la qualité du service : elle se mesure par différents paramètres : la fréquence des collectes, la fréquence de la distribution, l’accessibilité des points de collecte et de contact et les délais d’acheminement. 3. les contraintes en termes de prix : les prix de certains produits sont régulés; certains produits sont soumis à l’obligation de tarif uniforme. Longtemps le secteur postal s’est organisé sous forme de monopoles nationaux. Dans ce cas, le service universel est autofinancé aux moyens de subsides croisés : les produits et les services rentables financent les pertes de ceux qui ne le sont pas (la distribution journalière dans les zones rurales par exemple). Avec l’ouverture du marché à la concurrence, ce mode du financement du service universel est menacé. Les nouveaux opérateurs postaux ne sont en effet pas tenus aux mêmes obligations et peuvent se concentrer uniquement sur les segments les plus rentables du marché. Ainsi en Suède, où le marché est libéralisé depuis 1993, le principal opérateur postal alternatif ne distribue que certains types de courrier (le courrier industriel envoyé en nombre et pré-trié par l’expéditeur) sur une partie du territoire (40 % des adresses, dans les régions urbanisées principalement) et ce 2 à 3 jours par semaine. Pour le courrier égrené (la lettre) et pour la distribution de courrier dans les régions rurales, la poste suédoise reste en situation de quasi-monopole. Avec l’arrivée de concurrents sur certains segments du marché disparaît une partie des profits qui auparavant finançait le service universel. C’est le phénomène d’écrémage du marché : les concurrents ne servent que les segments les plus attractifs (la crème), laissant les segments les moins attractifs ou déficitaires à l’opérateur en charge du service universel qui ne peut pas les abandonner. Face à ce phénomène, la poste suédoise a augmenté le prix de la lettre tandis que le prix des produits pour lesquels il y a de la concurrence a diminué. Le financement du service universel dans un environnement concurrentiel doit donc être repensé. La Commission européenne a prévu plusieurs mécanismes de financement; les Etats Membres doivent maintenant choisir la solution la plus appropriée à leur marché. En Belgique, cette question revêt une importance cruciale. En effet, le marché semble particulièrement attractif pour les opérateurs concurrents en raison d’un volume élevé de courrier par habitant et de l’importance du courrier industriel. On peut donc s’attendre à une concurrence intense sur certains segments du marché et ce au bénéfice des consommateurs. Par ailleurs, les contraintes de service universel sont relativement importantes. Comme nous l’expliquons dans ce numéro de Regards économiques, la conjonction de ces deux facteurs peut s’avérer problématique. Sans doute plus que dans d’autres pays, le choix et la mise en place d’un mécanisme qui assurera le financement du service universel vont revêtir une importance capitale. Plusieurs options sont envisagées et feront l’objet de débats dans les mois et les années à venir. La re-définition des obligations de SU et notamment les contraintes en termes de prix et de tarification font partie intégrante de ce débat sur l’avenir du SU. Idéalement, le mécanisme mis en place doit assurer le financement du SU tout en ayant un impact limité sur le niveau de concurrence. Si ce n’est pas possible, il faudra faire un arbitrage entre ces deux dimensions, sous l’œil attentif de la Commission européenne qui sera particulièrement attentive à ce que les options choisies ne limitent pas (trop) la concurrence sur le marché.

Dissertations / Theses on the topic "Obligations (finances) – Environnement":

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Glavas, Dejan. "Why do firms issue green bonds?" Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01E041.

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Abstract:
Cette thèse porte sur le marché des obligations vertes et les motivations qui poussent les entreprises à émettre cette nouvelle forme d’instruments financiers. Trois grandes hypothèses ont été émises pour expliquer les motivations des émetteurs d’obligations vertes. Selon la première hypothèse appelée « création de valeur à long-terme », les émetteurs d’obligations vertes cherchent à créer de la valeur actionnariale en investissant dans des technologies vertes. Selon la seconde hypothèse appelée « délégation de philanthropie », une entreprise émet une obligation verte pour répondre à la pression de ses parties prenantes. Selon la dernière hypothèse appelée « problèmes d’agence », un manager d’entreprise émettrice d’obligations vertes chercherait à servir ses intérêts propres plutôt que ceux de l’entreprise. Cette thèse vise à tester ces hypothèses par le biais de trois articles empiriques et d’un article de synthèse situé en annexe
This thesis topic is the green bond market and the incentives pushing firms into issuing this new type of security. Three key hypotheses were stated to explain the motive for a firm to issue a green bond. The first hypothesis (“long-term value creation”) asserts green bond issuers invest in green technologies to generate long-term value. The second hypothesis (“delegated philanthropy”), professes stakeholder pressure engenders the fundamental reason for a firm to issue green bonds. The third hypothesis (“agency view”) contends that managers of green bond issuing firms serve their own objectives. This thesis aims at testing these hypotheses through three empirical articles and a synthesis article added in the appendix
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Klein, Paul-Olivier. "Essays on the corporate bond markets." Thesis, Strasbourg, 2017. http://www.theses.fr/2017STRAB008/document.

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Abstract:
Cette thèse étudie le financement obligataire des entreprises. Les résultats soulignent le rôle de l’environnement légal et de la gouvernance. Le premier chapitre démontre le rôle de la protection et l’information des créanciers sur le marché obligataire. Il identifie un impact non homogène entre les firmes. Le second chapitre analyse l’impact d’une émission obligataire sur la valeur d’une entreprise à l’aide d’une méta-analyse. Il souligne les facteurs expliquant des résultats jusqu’alors divergents dans la littérature. Le troisième chapitre se focalise sur le marché des émissions obligataires des entreprises chinoises et met en exergue le rôle de la propriété étatique et managérial sur la valeur créée par une émission obligataire. Enfin, le quatrième chapitre isole un biais religieux des investisseurs professionnels, et contribue à la littérature comportementale s’intéressant à la valeur de l’entreprise
This dissertation studies the corporate bond market. Results emphasize the role of legal environment and governance. The first chapter demonstrates the role of creditors’ protection and information on the corporate bond market. It identifies a non-homogenous impact across firms. The second chapter uses a meta-analysis to scrutinize the effect of a bond offering on the firm’s value. It stresses the reasons underlying diverging results in the literature so far. The third chapter focuses on the Chinese corporate bond market and highlights the role of state and management ownership on the value created by a bond offering. The fourth chapter isolates a religious bias from professional investors and contributes to the literature on the impact of behavioural biases on the firm’s value
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Zerbib, Olivier David. "Asset pricing and impact investing with pro-environmental preferences." Electronic Thesis or Diss., Lyon, 2020. http://www.theses.fr/2020LYSE1207.

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Abstract:
Cette thèse étudie les effets des préférences pro-environnementales des investisseurs sur la valorisation des actifs et l’investissement d’impact. Le premier chapitre montre comment l’investissement durable, à travers la pratique conjointe de l’intégration de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et du filtre d’exclusion, affecte le rendement des actifs. L’effet de ces deux pratiques se traduit par l’émergence de deux « primes de goût » et deux « primes d’exclusion » qui induisent des effets croisés entre les actifs exclus et non exclus. En utilisant les détentions de 453 fonds verts investissant dans les actions américaines entre 2007 et 2019 pour approximer les goûts des investisseurs durables, j’estime le modèle appliqué à l’investissement vert et à l’exclusion des « actions du péché » (« sin stocks »). L’effet de goût annuel varie entre -1,12% et +0,14% pour les différents secteurs considérés et l’effet moyen d’exclusion est de 1,43%. Au second chapitre, j’utilise les obligations vertes comme un instrument pour identifier l’effet des motivations non-pécuniaires, notamment des préférences pro-environnementales, sur les prix des obligations. Je mets en œuvre une méthode d’appariement, suivie d’une procédure de régression en deux étapes, pour estimer le différentiel de rendement entre une obligation verte et une obligation conventionnelle contrefactuelle entre juillet 2013 et décembre 2017. Les résultats font apparaître une faible prime négative : le rendement d’une obligation verte est plus faible que celui d’une obligation conventionnelle. En moyenne, la prime est de -2 points de base pour l’échantillon total ainsi que pour les obligations en dollar et en euro considérées séparément. Je montre que cette prime négative est plus prononcée pour les obligations financières et celles ayant une faible notation. Les résultats soulignent le faible impact des préférences pro-environnementales des investisseurs sur le prix des obligations, ce qui ne représente pas, à ce stade, une désincitation pour les investisseurs à soutenir l’expansion du marché des obligations vertes. Enfin, le troisième chapitre montre comment l’investissement vert pousse les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effets de serre en faisant augmenter leur coût du capital. Les émissions des entreprises se réduisent lorsque la proportion d’investisseurs verts et leurs exigences environnementales croissent. Cependant, une hausse de l’incertitude concernant les impacts environnementaux futurs atténue la pression sur le coût du capital des entreprises les plus carbo-intensives, ce qui les pousse à accroître leurs émissions. Je développe une analyse empirique qui corrobore les résultats théoriques en analysant les actions américaines et en utilisant les détentions des fonds verts pour approximer les croyances des investisseurs verts. Lorsque la proportion d’actifs gérés par des investisseurs verts double, l’intensité carbone des entreprises baisse en moyenne de 5% par an
This thesis addresses the effects of investors’ pro-environmental preferences on asset pricing and impact investing. The first chapter shows how sustainable investing, through the joint practice of Environmental, Social and Governance (ESG) integration and exclusionary screening, affects asset returns. The effect of these two practices translates into two taste premia and two exclusion premia that induce cross-effects between excluded and non-excluded assets. By using the holdings of 453 green funds investing in U.S. stocks between 2007 and 2019 to proxy for sustainable investors' tastes, I estimate the model applied to green investing and sin stock exclusion. The annual taste effect ranges from -1.12% to +0.14% for the different industries and the average exclusion effect is 1.43%. In the second chapter, I use green bonds as an instrument to identify the effect of non-pecuniary motives, specifically pro-environmental preferences, on bond market prices. I perform a matching method, followed by a two-step regression procedure, to estimate the yield differential between a green bond and a counterfactual conventional bond from July 2013 to December 2017. The results suggest a small negative premium: the yield of a green bond is lower than that of a conventional bond. On average, the premium is -2 basis points for the entire sample and for euro and USD bonds separately. I show that this negative premium is more pronounced for financial and low-rated bonds. The results emphasize the low impact of investors' pro-environmental preferences on bond prices, which does not represent, at this stage, a disincentive for investors to support the expansion of the green bond market. Finally, the third chapter shows how green investing spurs companies to reduce their greenhouse gas emissions by raising their cost of capital. Companies' emissions decrease when the proportion of green investors and their environmental stringency increase. However, heightened uncertainty regarding future environmental impacts alleviates the pressure on the cost of capital for the most carbon-intensive companies and pushes them to increase their emissions. I provide empirical evidence supporting the theoretical results by focusing on U.S. stocks and using green fund holdings to proxy for green investors' beliefs. When the fraction of assets managed by green investors doubles, companies’ carbon intensity drops by 5% per year
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Bao, Li. "Three Essays on Green Finance." Electronic Thesis or Diss., Toulouse 1, 2023. http://www.theses.fr/2023TOU10003.

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Abstract:
Résumé en français non communiqué par l'auteur
Firms are facing increasing expectations to address environmental issues, yet the conflicting goals of shareholder value-maximization and the costs of pollution prevention present significant challenges. This thesis explores two potential solutions: the long-term benefits of firms' early adoption of green practices and the preference of investors for green firms.The first chapter studies the long-term benefits that early adopters of green practices can obtain. Specifically, it investigates the impact of heightened enforcement of air pollution abatement regulations by local governments on the financial performance of Chinese listed firms. Using a two-stage least squares methodology, the study analyzes the impact of increased pollution control actions resulting from the transfer of monitoring station control rights from local governments to the central government. It compares the profitability of firms that implemented green practices early with those that did not. The findings reveal that firms with early green actions experience an increase in profitability, primarily attributed to reduced financial expenses. To further examine whether firms with early green actions can effectively manage and smooth the transition costs associated with adopting green practices in the initial years, the performances of firms with and without early green actions is tracked over time. The study discovers that their performances are similar until local governments intensify their enforcement efforts, and firms with early green actions outperform afterwards. The second chapter examines how stock and bond investors perceive firms' green status. Leveraging the Climate Bonds Initiative's three-tier verification system for green bonds, the study disentangles the influence of a company's green status and its issuance of green bonds. The analysis reveals that stock investors value a company's green status. The status is released to the market when a firm's green bond framework is verified or when it issues its first green bond if the framework is not verified. However, bond investors solely value certified green bonds and do not have a preference for other green bonds or conventional bonds issued by green firms. The third chapter investigates the growing trend of passive investors and their voting behavior during annual general meetings, aiming to shed light on their potential influence on green practices. While passive funds lack internal incentives to intervene in governance, external incentives from the same fund family's active funds may play a significant role. The study explores how active funds adjust their holdings based on passive funds' positions and how this affects voting patterns. Results show that active funds’ portfolios are affected by inflows of passive funds, while their own inflows do not have an impact. Moreover, when the product of passive and active funds’ ownership from the same fund family increases due to inflows of passive funds, both passive and active funds are more likely to vote against ISS recommendations.In summary, this thesis emphasizes the outperformance of firms with early green actions and highlights stock investors' preference for firms' green status. The findings contribute to the adoption of green practices in corporate decision-making
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Fam, Papa Gueye. "Marchés des matières premières agricoles et dynamique des cours : un réexamen par la financiarisation." Electronic Thesis or Diss., Toulon, 2016. http://www.theses.fr/2016TOUL2002.

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Abstract:
Face à l’instabilité des cours agricoles et à ses conséquences notamment pour les pays en développement, la première partie de cette thèse est consacrée à la présentation des déterminants des cours des matières premières alimentaires, incluant les évolutions récentes en matière d’offre, en tenant compte des conséquences du réchauffement climatique, et de demande, considérant notamment les biocarburants. Il est également question de présenter la financiarisation en cours des économies, et les doutes qui planent sur le rôle que peuvent avoir la spéculation sur les marchés à terme ou encore la mise en œuvre des politiques monétaires, sur les cours au comptant observés sur les marchés physiques des produits agricoles. Suite aux réflexions et éléments de littérature avancés, la seconde partie procède de deux études empiriques. La première est axée sur l’impact de la spéculation sur les marchés financiers à terme sur le cours des sous-jacents (agricoles), alors que la seconde questionne le rôle des marchés monétaires, abordé à travers la capacité du banquier central à stabiliser les taux d’intérêt à court terme. Sur cette base, des conclusions mais également des pistes de recherche sont établies, du fait du prolongement en cours du processus de financiarisation des économies
Faced with instability of agricultural commodities’ prices and its consequences especially for developing countries, the first part of this thesis is devoted to the presentation of food commodities’ prices, including recent developments with respect to the offering, taking into account the consequences of global warming and demand, as well as the importance of biofuels. It is also question to present the financialization of economies, and the doubts that take over the role of speculation on the futures markets or the implementation of monetary policies, on the spot prices observed on physical agricultural commodities markets. Following the advanced literature reflections and elements, the second part proceeds of two empirical studies, the first one focused on the impact of speculation about the financial futures markets on the underlying asset’s price (agricultural), while the second one examines the role of money markets through the capacities of the central banker to stabilize short-term interest rates. On this basis, conclusions but also future research are established due to the continuation of the economies financialization process
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Fam, Papa Gueye. "Marchés des matières premières agricoles et dynamique des cours : un réexamen par la financiarisation." Thesis, Toulon, 2016. http://www.theses.fr/2016TOUL2002/document.

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Abstract:
Face à l’instabilité des cours agricoles et à ses conséquences notamment pour les pays en développement, la première partie de cette thèse est consacrée à la présentation des déterminants des cours des matières premières alimentaires, incluant les évolutions récentes en matière d’offre, en tenant compte des conséquences du réchauffement climatique, et de demande, considérant notamment les biocarburants. Il est également question de présenter la financiarisation en cours des économies, et les doutes qui planent sur le rôle que peuvent avoir la spéculation sur les marchés à terme ou encore la mise en œuvre des politiques monétaires, sur les cours au comptant observés sur les marchés physiques des produits agricoles. Suite aux réflexions et éléments de littérature avancés, la seconde partie procède de deux études empiriques. La première est axée sur l’impact de la spéculation sur les marchés financiers à terme sur le cours des sous-jacents (agricoles), alors que la seconde questionne le rôle des marchés monétaires, abordé à travers la capacité du banquier central à stabiliser les taux d’intérêt à court terme. Sur cette base, des conclusions mais également des pistes de recherche sont établies, du fait du prolongement en cours du processus de financiarisation des économies
Faced with instability of agricultural commodities’ prices and its consequences especially for developing countries, the first part of this thesis is devoted to the presentation of food commodities’ prices, including recent developments with respect to the offering, taking into account the consequences of global warming and demand, as well as the importance of biofuels. It is also question to present the financialization of economies, and the doubts that take over the role of speculation on the futures markets or the implementation of monetary policies, on the spot prices observed on physical agricultural commodities markets. Following the advanced literature reflections and elements, the second part proceeds of two empirical studies, the first one focused on the impact of speculation about the financial futures markets on the underlying asset’s price (agricultural), while the second one examines the role of money markets through the capacities of the central banker to stabilize short-term interest rates. On this basis, conclusions but also future research are established due to the continuation of the economies financialization process

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