Academic literature on the topic 'Objets personnels – Romans'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Objets personnels – Romans.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Objets personnels – Romans"

1

Roegiest, Eugeen. "Typologie romane et position des pronoms personnels clitiques en roumain." Linguistica 31, no. 1 (December 1, 1991): 133–39. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.31.1.133-139.

Full text
Abstract:
Plusieurs auteurs ont décrit de façon détaillée les problèmes liés à la position des pronoms objets clitiques du roumain contemporain. Nous nous référons notamment aux inventaires systématiques de A. Lombard (1972), de M. Manoliu (1968) et de M. Iliescu (1975), à l'approche typologique romane de A. Niculescu (1973), aux études contrastives de R. Marinescu (1974 e.a.), et surtout à la dissertation de J. Bredemeier (1976), qui s'inspire de la thèse de D. Perlmutter, selon lequel les clitiques romans obéissent à des contraintes de surface (SurJ ace Structure Constraints).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Le Bras, Yvon. "Quand je est autre : identité et altérité dans La détresse et l’enchantement de Gabrielle Roy*." Articles, essais 18, no. 1 (October 1, 2008): 45–57. http://dx.doi.org/10.7202/018871ar.

Full text
Abstract:
Résumé La détresse et l’enchantement, autobiographie de Gabrielle Roy publiée à titre posthume en 1984, est le couronnement d’une carrière littéraire ayant essentiellement pour objet la réflexion sur soi. Contrairement à la plupart de ses nouvelles et romans antérieurs dans lesquels elle se dissimule souvent derrière un nom inventé ou un personnage fictif, dans La détresse et l’enchantement, Gabrielle Roy assume pleinement son rôle d’auteur-narrateur-personnage conformément aux exigences du récit autobiographique. Cependant, raconter les premières années de sa propre vie à un âge avancé est une tâche problématique, car le passage du temps rend difficile l’appréhension de cette autre elle-même qu’elle fut autrefois. Comme chez Gabrielle Roy, la remémorisation des souvenirs personnels est également subordonnée aux sentiments d’aliénation qu’elle ressentit dans la communauté francophone de l’Ouest canadien où elle vit le jour, une telle entreprise littéraire se confond à une quête identitaire qui suppose une rupture nécessaire avec son milieu d’origine et une découverte de son moi profond par le biais de l’écriture.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Tosco, Mauro. "When clitics collide." Diachronica 19, no. 2 (December 31, 2002): 365–97. http://dx.doi.org/10.1075/dia.19.2.05tos.

Full text
Abstract:
Summary The paper deals with a few aspects of the morphosyntax of clitics in Piedmontese (Western Romance) and their historical development. In Piedmontese an element =l= (orthographically l’) is obligatorily inserted between the Subject Clitics and all and only the inflected forms of “to have”; in several varieties of Piedmontese this element has a double interpretation synchronically, either as a semantically null element or as an Object Clitic of 3rd singular. Although the presence of such an element is not rare among neighboring Romance varieties, where it generally acts as a 3rd singular subject clitic, it is argued that in Piedmontese its peculiar distribution is intimately tied to other unusual morphosyntactic features, all of them having developed within the last two-to-three centuries. In particular, historical reanalysis of l’ was crucial in the positioning of the object clitics after the participle in compound verbal forms (a rare pattern among Romance languages). Partially correcting traditional analyses (such as Meyer-Lübke 1900), it is argued that the necessity to avoid ambiguity and clearly identify a pronominal object was at best a contributing factor in triggering morphological change. The postpositioning of the object clitics was rather mainly the result of the extension in use of the subject clitics, and of the ensuing reanalysis of the element l’. This was made possible by two conditions: a restricted set of occurrences in which l’ was found, and a ready-made alternative interpretation. Comparison with neighboring varieties shows that such a development was not possible in those Romance languages which did not have an element similar to l’ in the restricted range of uses of premodern Piedmontese. Résumé Cet article traite de quelques aspects de la morphologie des clitiques en piémontais (une langue romane occidentale) et de leur développement historique. On trouve en piémontais un élément =l= (l’ dans l’orthographe) obligatoirement inséré entre les clitiques du sujet et les formes fléchies du verb ‘avoir’. Dans plusieurs variétés du piémontais cet élément peut être interprété soit comme un élément sémantiquement vide, soit comme le clitique objet de la troisième personne singulier. Bien que la présence d’un élément similaire au l’ piémontais n’est pas rare parmi les variétés voisines (où il joue généralement le rôle de clitique sujet de la troisième personne singulière), l’article démontre que la distribution inhabituelle de cet élément en piémontais est étroitement liée à un certain nombre d’autres particularités morphosyntactiques qui se sont toutes développés durant les deux ou trois derniers siècles. En particulier, la réanalyse historique de l’élément l’ a été décisive pour le positionnement des clitiques objet après le participe dans les temps composés — une solution fort rare parmi les langues romanes. Avec une révision partielle des analyses traditionelles (par ex. Meyer-Lübke 1900), on démontre que la nécessité d’éviter toute ambiguïté et de distinguer clairement un objet pronominal a joué tout au plus un rôle complémentaire dans le changement morphologique. Le positionnement des clitiques object après le participe a été plutôt le résultat d’une extension de l’usage des clitiques sujet, ce qui a amené à une réanalyse de l’élément l’. Cette réanalyse a été permise par deux conditions: une distribution fort limitée de l’ et la possibilité de l’amener à une analyse alternative. La comparaison avec les variétés voisines démontre que le même développement qu’on trouve en piémontais ne s’est pas produit dans ces langues romanes qui étaient dépourvues d’un élément comparable à l’ dans les domaines d’usage bien limités qu’on trouvait en piémontais pré-moderne. Zusammenfassung Dieser Artikel befaßt sich mit einigen Aspekten der Morphosyntax von Klitika im Piedmontesischen (Westromanisch) und mit ihrer historischen Entwicklung. Im Piedmontesichen ist es obligatorisch, ein Element =l= (ortographisch l’) zwischen Subjektsklitika und allen flektierten Formen (und nur diesen) des Verbs ‘haben’ einzufügen. In manchen Mundarten des Piedmontesischen ist dieses Element in zweifacherweise interpretierbar, und zwar entweder als semantisch leeres Element oder als Objektklitikum der 3. Person Singular. Obgleich das Element selbst in benachbarten romanischen Varietäten nicht selten vorkommt und dort im allgemeinen als Klitikum der 3. Person Singular fungiert, wird hier argumentiert, daß seine eigenartige Distribution im Piedmontesischen in engem Zusammenhang mit anderen ungewöhnlichen morphosyntaktischen Phänomenen steht, die sich allesamt innerhalb der letzten zwei bis drei Jahrhunderte entwickelt haben. Insbesondere war eine historische Reanalyse des Elements l’ entscheidend für die Position von Objektsklitika nach dem Partizip in zusammengesetzten Verbformen, was in romanischen Sprachen selten vorkommt. Dieser Artikel berichtigt teilweise traditionelle Analysen (z. B. Meyer — Lübke 1900) und argumentiert, daß die Notwendigkeit, Mehrdeutigkeit zu vermeiden und ein Objektpronomen eindeutig zu identifizieren höchstens sekundär zu morphologischen Veränderungen beigetragen hat. Vielmehr war die Entwicklung nachgestellter Objektsklitika hauptsächlich das Ergebnis einer Ausweitung des Gebrauchs von Subjektsklitika und einer darauffolgenden Reanalyse des Elements l’. Dies wurde durch zwei Faktoren ermöglicht: eine begrenzte Anzahl möglicher Kontexte für l’ und eine bereits vorhandene alternative Interpretationsmöglichkeit. Der Vergleich mit benachbarten Varietäten zeigt, daß eine solche Entwicklung in denjenigen romanischen Sprachen nicht möglich war, die kein dem l’ ähnliches Element in begrenzt möglichen Kontexten nach Art des Früh-Piedmontesischen aufwiesen.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Emerich, Yaëll. "Faut-il condamner la propriété des biens incorporels ? Réflexions autour de la propriété des créances." Les Cahiers de droit 46, no. 4 (April 12, 2005): 905–39. http://dx.doi.org/10.7202/043870ar.

Full text
Abstract:
Cet article vise à établir la possibilité d’une reconnaissance de la propriété des biens incorporels et, notamment, des créances au sein des systèmes juridiques romano-germaniques. En dépit des réticences théoriques traditionnelles à la propriété des biens immatériels, en particulier des créances, le droit positif semble de plus en plus enclin à reconnaître la créance en tant que bien, objet de propriété. Non seulement l’analyse matérialiste de la propriété n’est pas la seule possible, mais elle paraît désormais dépassée au regard des récents développements du droit. La distinction des droits réels et des droits personnels, souvent invoquée pour refuser droit de cité à la notion de propriété des créances, comporte depuis longtemps de nombreuses limites. Surtout, il s’avère qu’il est possible de mettre en évidence la propriété dans la notion de titularité des créances, classiquement utilisée. La reconnaissance d’une telle propriété ne laisse pas d’avoir des conséquences techniques, en fait de régime juridique. Ainsi y a-t-il, dans la propriété incorporelle des biens-créances, l’essentiel du régime de la propriété matérielle. Dès lors, s’il est permis de douter du fait que la propriété des créances comme type de propriété immatérielle soit une antinomie totalement dépassée, une partie de la doctrine y étant toujours réfractaire, à tout le moins paraît-elle dépassable, à travers la reconnaissance d’une propriété ayant pour objet les biens incorporels que sont les créances.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Carlier, Omar. "Les enjeux sociaux du corps. Le hammam maghrébin (XIXe-XXe siècle), lieu pérenne, menacé ou recréé." Annales. Histoire, Sciences Sociales 55, no. 6 (December 2000): 1303–33. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2000.279917.

Full text
Abstract:
RésuméHérité in situ des Romains, mais réinventé à Damas et Istanbul par les élites musulmanes, le hammam redessine au Maghreb un modèle de conduite à peine entamé par la colonisation jusque dans le premier quart du XXe siècle. Egalitaire et pourtant distinctif, ordonnant et séparant les sexes, combinant le propre et le pur, ce lieu de détente essentiel à la vie au quartier, qui accompagne le rythme des jours et les âges de la vie, assure l'échange matrimonial et le conciliabule citadin, s'ajuste de manière inventive au défi de la modernité.Des années 1930 aux années 1970, le hammam gagne le monde rural, conforte l'essor des couches moyennes, redéploie ses prestations de service, s'approprie les objets de la mode, résiste au modèle balnéaire européen puis à la réaction puritaine islamiste. S'il dépérit à Tunis, sauf dans l'imaginaire des artistes, il reste plus vivace que jamais en Algérie et au Maroc. Abandonné par les hommes au profit de la douche, il est recréé par les femmes et pour elles, comme lieu d'une pratique personnelle dissociée de la tradition, affirmant une nouvelle autonomie féminine dans le soin du corps et le souci de soi.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Laurent, Jérôme. "Patrimoines autochtones." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.104.

Full text
Abstract:
De nombreux groupes autochtones au Brésil, au Canada, aux États-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande et ailleurs dans le monde sont particulièrement préoccupés par la protection, la transmission et la reconnaissance de leurs patrimoines culturels. Trois dimensions sont indissociables de la compréhension des patrimoines autochtones soit 1) les liens entre matérialité et immatérialité du patrimoine 2) l’institutionnalisation des processus de patrimonialisation et 3) les médiateurs du patrimoine. Par patrimonialisation, il faut donc comprendre à la fois ce qui compose le patrimoine (chants, rituels, danses, objets, relation au territoire, arts visuels, jeux traditionnels, plantes médicinales…), les processus par lesquels ce patrimoine est documenté, préservé, transmis et mis en valeur (Kreps 2003), mais également les différents acteurs qui œuvrent au sein de ces processus. Souvent relégués à leurs dimensions matérielles, les patrimoines autochtones ne peuvent se comprendre sans considérer leur immatérialité (Leblic 2013 ; Lemonnier 2013). Par immatérialité, nous faisons référence ici aux débats anthropologiques sur les relations qu’entretiennent les humains avec leur environnement et les entités qui le composent (Descola 2005; Ingold 2000, 2011, 2012 ; Viveiros de Castro 2009). Si ces auteurs se sont surtout intéressés aux relations entre les humains et les animaux, les esprits ou les ancêtres, il est nécessaire de prendre en compte également la place des objets, du patrimoine bâti, des lieux et des sites sacrés, de la musique ou encore de la nourriture dans ces processus relationnels. Les objets, qu’ils soient d’art ou d’ethnographie, renvoient par exemple à des codes et des règles de comportement qui guident les humains, s’inscrivent dans des conceptions particulières de la personne, informent sur la création du monde ou se posent comme des révélateurs des identités autochtones du territoire. Les matériaux, les techniques de fabrication autant que le pouvoir attribué aux objets sont liés aux cosmologies et aux ontologies autochtones; ils sont porteurs de visions du monde et de modes d’être au monde spécifiques qui participent des processus actuels d’affirmations identitaires et politique. Dans ce contexte, il devient crucial de s’intéresser à la vie sociale des objets (Bonnot 2002, 2014 ; Koppytoff, 1986), des arbres (Rival 1998), de la forêt (Kohn 2013) ou encore des récits (Cruikshank 1998 ; Savard 1971, 2004 ; Vincent 2013). L’expérience corporelle (Goulet 1994, 1998 ; Laugrand 2013) et sensorielle (Classen 1993 ; Howes 2003, 2014 ; Mauzé et Rostkowski 2007) fait partie intrinsèque de ces patrimoines et de ces savoirs. Ceux-ci incluent à la fois des savoirs écologiques, des savoirs liés aux activités de chasse, de pêche et de cueillette, des savoirs rituels, des savoirs gastronomiques, des savoirs artisanaux et artistiques, des récits sous toutes leurs formes (création du monde, rêves, anecdotes, événements historiques, etc.), des savoirs liés aux réseaux d’alliance interfamiliale et d’affiliation territoriale, mais aussi des savoirs sur les objets ou sur les jeux traditionnels. Ces différents types de savoirs se transmettent et se transforment de manière créative, en étroite relation les uns aux autres. Les politiques historiques et contemporaines d’assimilation, de dépossession et d’usurpation de ces savoirs et de ces patrimoines conduisent à interroger les modalités institutionnelles de préservation et de mise en valeur de ces patrimoines autochtones. Souvent intégrés aux patrimoines nationaux et mis en valeur dans les musées d’État, les biens culturels autochtones ont longtemps échappé à leurs destinataires légitimes, les peuples autochtones eux-mêmes, les reléguant au statut de spectateurs de leurs propres cultures (Price 2007 ; Philips 2003, 2011). Depuis les années 1960-1970, les peuples autochtones ont largement contribué à la transformation, certes inachevée, des Musées de l’Autre en Musées de Soi et, dans certains cas, en Musées du Nous (De l’Étoisle, 2007). Présentés par le sociologue de l’art wendat (Québec) Guy Sioui Durand comme des musées mouroirs (Sioui Durand 2014), les institutions muséales et patrimoniales occidentales tentent aujourd’hui de (re)considérer leurs politiques et d’intégrer les savoirs autochtones dans leurs pratiques (Dubuc 2002, 2006 ; Kreps 2003). Certains cadres institutionnels ont favorisé ces changements. Pensons par exemple aux deux conventions de l’UNESCO pour la protection du patrimoine et des biens culturels immatériels (1972, 2003), au rapport sur les Musées et les peuples autochtones (Erasmus et al. 1994) au Canada, au Native American Graves Protection and Repatriation Act (NAGPRA, 1990) aux États-Unis ou à la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones (AGNU 2007, article 31). Si les institutions muséales occidentales ont progressivement opéré un changement de paradigme (Fienup-Riordan 1999 ; Simpson 2001), les peuples autochtones se dotent aujourd’hui de moyens qui leurs sont propres afin de favoriser la protection, la mise en valeur, la transmission, et souvent la restitution de ces patrimoines et de ces savoirs, et par extension de leur histoire et de leur identité politique (Ames 1992 ; Peers 2000). Le développement de musées, de centres culturels, d’écoles de transmission des savoirs ou de programmes éducatifs culturellement ancrés s’inscrit dans des projets de sociétés qui visent le renforcement des structures de gouvernance et de la souveraineté des peuples autochtones. Il est dès lors impossible de parler des patrimoines autochtones sans parler de mise en valeur et de protection des savoirs, de restitution des données ethnographiques (Zonabend 1994 ; Glowczewski 2009 ; De Largy Healy 2011), de gestion collaborative des collections muséales, et évidemment de participation des peuples autochtones dans ces processus (Tuhiwai Smith 1999). La littérature, le cinéma, la musique, la bande dessinée, les romans graphiques, l’art contemporain, le design, le tourisme ou les réseaux socionumériques s’affirment aujourd’hui comme des éléments incontournables du patrimoine autochtone, mais également comme des stratégies de reconnaissance politique (Coulthard 2014) et d’autoreprésentation identitaire. Ces processus complexes de patrimonialisation institutionnelle nous amènent à considérer enfin les acteurs du patrimoine. Guides spirituels, artistes, chefs familiaux, conservateurs, muséologues, technolinguistes, chercheurs autodidactes, enseignants, aînés-gardiens du savoir ou jeunes activistes, ces experts culturels sont régulièrement sollicités afin de transmettre, de valoriser ou de protéger des savoirs et des pratiques qui se construisent aussi en dehors de l'institution, dans le cadre d'actions citoyennes, de projets communautaires ou de dynamiques familiales. Le territoire devient alors l'espace privilégié de patrimonialisation des pratiques et des savoirs autochtones dans lequel les femmes jouent un rôle central (Basile 2017). Ces médiateurs du patrimoine doivent également faire face à divers enjeux concernant les formes et les stratégies de patrimonialisation actuelles, comme par exemple l’appropriation culturelle et la propriété intellectuelle (Bell et Napoléon 2008 ; Bell 1992, 2014) et les processus de rapatriement des biens culturels. Les processus de rapatriement sont indissociables des mouvements d’affirmations identitaire et politique autochtones qui se développent et se renforcent depuis les années 1960-70 (Clifford 1997, 2007, 2013 ; Gagné 2012 ; Matthews 2014, 2016 ; Mauzé 2008, 2010). Les biens culturels acquis de manières illicites, les restes humains ou les objets culturels sacrés nécessaires à la transmission d’une tradition sont généralement considérés par les institutions comme admissibles aux processus de rapatriement. Même si le mouvement international d’affirmation politique autochtone a conduit au rapatriement de nombreux objets dans leurs milieux d’origine, les processus restent souvent dans l’impasse, et ce pour au moins trois raisons : les experts locaux doivent réunir une documentation importante sur l’objet ; les groupes autochtones ne possèdent pas les infrastructures nécessaires pour conserver l’objet ; les Musées d’État ne sont pas prêts à se départir de ‘leurs’ collections.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Objets personnels – Romans"

1

Ruelens-Lepoutre, Arnaud. "NORD CAP : Suivi de "La vie littéraire" de Mathieu Arsenault : formes et enjeux d'un objet littéraire non indentifié." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29475.

Full text
Abstract:
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2017
Ce mémoire en recherche-création est articulé en deux parties distinctes, soit un roman et un essai. Nord Cap est un roman qui emprunte le genre du monologue intérieur, naviguant dans les pensées d’un vieil homme blessé qui repose dans une chambre d’hôpital. Hanté par son passé qui refait surface parfois sans prévenir, le narrateur propose un va-et-vient constant entre ses souvenirs et la réalité présente, qui se dégrade, pas à pas, jusqu’à sa mort qui devient inéluctable. L’essai sur La vie littéraire de Mathieu Arsenault, questionne cette œuvre à la narration et au genre incertains. L’objectif de cette étude est de montrer comment la narration éclatée de La vie littéraire convoque les formes du récit de la pensée et plus largement du récit intime, mais y échappe également et à quelles fins. Il est donc question de comprendre les caractéristiques de sa narration afin d’en saisir les enjeux selon qu’on l’associe au mode général du monologue intérieur ou qu’on y voit le résultat du croisement de plusieurs genres narratifs et de modes de discours issus des nouvelles formes de communication.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Books on the topic "Objets personnels – Romans"

1

Jean-François, Ménard. Mam'zelle Dédé. [Paris]: Gallimard jeunesse, 2007.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Fejtö, Raphaël. À quoi tu sers? Paris: L'École des loisirs, 2014.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Kulka, Carla. Past Pleasures: A senior moment mystery. Bloomington, IN: AuthorHouse, 2015.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Jean-Pierre, Caillet, ed. L' antiquité classique, le haut moyen âge et Byzance au musée de Cluny: Sculpture et décoration monumentales, petite sculpture, orfevrerie et métallurgie: objets d'usage personnel et profane, orfevrerie et métallurgie: objets a destination votive ou liturgique. Paris: Ministere de la culture, Editions de la Réunion des musées nationaux, 1985.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Robillard, Maryse. Les réglisses de Béatrice. Saint-Alphonse-de-Granby, Québec: Éditions de la Paix, 2006.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Martchenko, Michael, and Robert N. Munsch. Enormous Suitcase. Scholastic, Incorporated, 2018.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Verhoye-Millet, Jeanne. Caillou : Le Tee-shirt préféré (avec autocollants). Chouette Editions, 2002.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography