Academic literature on the topic 'Nihonga (peinture)'

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Dissertations / Theses on the topic "Nihonga (peinture)":

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Yu, Yue. "La diffusion et la réception des arts graphiques japonais modernes en France (1919-1939)." Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2023. http://www.theses.fr/2023ULILH062.

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Abstract:
Durant les années 1920 et 1930, le Japon et la France ont eu des échanges culturels particulièrement riches. Les artistes japonais sont venus en nombre à Paris pour étudier la peinture à l'occidentale, certains allant jusqu'à concourir dans des Salons parisiens ; au moins 200 d'entre eux ont exposé dans les Salons de Paris. Du côté japonais, on observe par exemple 32 expositions collectives organisées en France pendant cette période autour d'artistes japonais, soit du fait du gouvernement impérial, soit à l'initiative des artistes eux-mêmes. Plus de 70 expositions individuelles dans les galeries parisiennes leur ont été dédiées. Du côté français, le marchand d'art Herman d'Oelsnitz et la Société d'art franco-japonaise ont ainsi organisé pas moins de 23 expositions d'art français au Japon. En 1928, des chefs-d'œuvre du musée du Luxembourg ont été envoyés à Tokyo, tandis qu'une exposition d'art japonais a eu lieu au musée du Jeu de Paume en 1929. Issus de cette exposition, en dehors des 13 peintures achetées par l'État français, 81 peintures et 31 objets d'art ont été vendus à des collectionneurs privés. En outre, 19 gravures ont été achetées par l'État français. Ces relations particulièrement intenses nous conduisent à nous demander : pourquoi les artistes japonais sont venus à Paris ? Concernant les expositions d'art japonais, quels ont été les critères de sélection adoptés par le Japon ? Comment les artistes japonais et leurs œuvres étaient-ils perçus en France ? Sur quel type d'œuvres se concentraient les acquisitions en France, la peinture de style japonais (nihonga) ou la peinture de style occidental (yōga), ou encore les deux ? Les analyses ouvriront la voie à une meilleure compréhension des échanges dynamiques entre le Japon et la France, échanges dont l'importance se retrouve également dans les enjeux spécifiques du monde de l'art d'aujourd'hui
During the 1920s and 1930s, Japan and France enjoyed particularly rich cultural exchanges. Many Japanese artists came to Paris to study Western painting, some going so far as to compete in Parisian Salons. At least 200 artists exhibited at the parisiens Salons. On the Japanese side, for example, 32 group exhibitions of Japanese artists were organised in France during this period, either by the imperial government or on the initiative of the artists themselves. More than 70 solo exhibitions in Parisian galleries were also dedicated to Japanese artists. On the French side, the art dealer Herman d'Oelsnitz and the Société d'art franco-japonaise organised no fewer than 23 exhibitions of French art in Japan. In 1928, masterpieces from the Musée du Luxembourg were sent to Tokyo, while an exhibition of Japanese art was held at the Musée du Jeu de Paume in 1929. After this exhibition, apart from the 13 paintings bought by the French state, 81 paintings and 31 decorative arts were sold to private collectors. As for prints, 19 were bought by the French State. These particularly intense relations lead us to ask questions such as: why did Japanese artists come to Paris? What selection criteria did Japan adopt for exhibitions of Japanese art? How were Japanese artists and their works perceived in France? What type of work was acquired in France, Japanese-style painting (nihonga) or Western-style painting (yōga), or both? The analyses will pave the way for a better understanding of the dynamic exchanges between Japan and France, exchanges whose importance is also reflected in today's art world
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Bernier, Yolande. "Genshoku : parfums d'origine pour les Œuvres de la terre." Master's thesis, Université Laval, 2013. http://hdl.handle.net/20.500.11794/24717.

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Kawachi, Akiko. "Les artistes japonais à Paris durant les années 1920 : à travers le Salon de la Société des Artistes Français, le Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, le Salon d’Automne, le Salon de la Société des Artistes Indépendants et le Salon des Tuileries." Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040188.

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Abstract:
A la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, les artistes japonais s’installant à Paris sont peu nombreux. Cependant, après la Première Guerre mondiale, à partir de 1920, un grand nombre d’artistes japonais arrivent en France. Au total deux cent huit artistes japonais ont figuré dans les Salons parisiens durant la décennie entre 1920 et 1929. La plupart de ces artistes choisissent comme lieu de résidence le quartier de Montparnasse. A cette époque à Paris, dans le milieu des artistes travaillant la peinture à l’huile, dite « yô-ga », nous pouvons distinguer trois courants : Le premier circule autour de Foujita Tsugouharu, artiste de renom associant la peinture occidentale et l’art traditionnel du Japon. Le second regroupe un certain nombre de jeunes artistes, dont Saeki Uzo, attirés par la peinture occidentale et la peinture moderne de Montparnasse. Le troisième courant est de nature académique : dans la lignée de Kuroda Seiki, les artistes suivent l’enseignement des Académies parisiennes. D’autres artistes choisissent la voie d’un art plus indépendant, à l’instar de Tanaka Yasushi, Hasegawa Kiyoshi ou bien Oka Shikanosuke, mais leur nombre reste limité, comme par ailleurs ceux exerçant la technique de la peinture japonaise, dite « nihon-ga », et également ceux pratiquant la sculpture, la gravure, la laque et la tenture. Le résultat suite au dépouillement mené dans les centres de documentation et les fonds photographiques au Japon et en France prouve l’importance de la présence des artistes japonais sur la scène artistique à Paris durant les années 1920 et permet de comprendre les motivations et créations de ces artistes
During the end of the 19th century and the beginning of the 20th century, not many Japanese artists settled in Paris. However, after the First World War, starting from 1920, a large number of Japanese artists arrived in France. In total two hundred and eight Japanese artists appeared in Parisian Salons during the decade between 1920 and 1929. Most of these artists choose Montparnasse district as their residence. In Paris those days, amongst artists who worked on oil painting called « yô-ga » we can distinguish three movements. The first circulated around Fujita Tsuguharu, a renowned artist who associated the Western painting and the traditional Japanese art. The second gathered a certain number of young artists, such as Saeki Yuzo, who were attracted by the Western painting and the modern painting of Montparnasse. The third movement was of an academic nature: as Kuroda Seiki did, artists were following the teaching of Paris Academies. Other artists choose the route of a more independent art, following the examples of Tanaka Yasushi, Hasegawa Kiyoshi or Oka Shikanosuke, but the number of these artists remains limited, same as those who practiced the technique of Japanese painting, i.e. « Nihon-ga », and also those who practiced sculpture, engraving, lacquer painting, and hangings. The result of going through the data of the documentation centres and photography funds in Japan and in France proves the importance of the presence of Japanese artists on the artistic scenes in Paris during the 1920’s and allows us to comprehend the motives and creations of these artists

Books on the topic "Nihonga (peinture)":

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Kuboshima, Seiichirō. Mugonkan no uta. Tōkyō: Kōdansha, 2001.

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Miura, Atsushi. Utsurisumu bijutsu: Japonisumu, Koran, Nihon kindai yōga = Art en migration : japonisme, Collin, peinture japonaise moderne. 8th ed. Nagoya-shi: Nagoya Daigaku Shuppankai, 2021.

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Aoki, Kanae, Junko Nishiyama, and Hidetsugu Yamano. Myusha to Nihon, Nihon to Oruriku: Mucha and Japan/Japan and Orlik. Tōkyō: Kokusho Kankōkai, 2019.

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4

Hironaka, Satoko, and Tomoyo Shimizu. Samayoeru efude: Tōkyō, Kyōto senjika no zen'ei gakatachi. Tōkyō-to Bunkyō-ku: Misuzu Shobō, 2021.

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5

Hanai, Hisaho, Christopher Stephens, and Pablo Picasso. "Tsuchi" no naka ni "Nihon" wa atta?: Horiokoshita ato ni, nani ga tatta ka : MOMAT korekushon 1950s-1960s. Edited by Okamoto Tarō 1911-1996 artist, Ueki Shigeru 1913-1984 artist, and Tōkyō Kokuritsu Kindai Bijutsukan. Tōkyō: Tōkyō Kokuritsu Kindai Bijutsukan, 2019.

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6

Katō, Yōsuke. Densen kaiga: Kobayashi Kiyochika kara Yamaguchi Akira made. 8th ed. Tōkyō-to Chiyoda-ku: Kyūryūdō, 2021.

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7

Isao, Shimizu. Bigō no 150-nen: Ishoku Furansujin gaka to Nihon = Hommage à Georges Bigot : à l'occasion du cent cinquantenaire de sa naissance : le peintre original français et la Japon. 8th ed. Kyōto-shi: Rinsen Shoten, 2011.

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8

Chŏng-hyŏn, Kim. Chungguk nae Han-Chung hangil yŏndae ŭi yŏksa wa hyŏnjang. 8th ed. Sŏul-si: Tongbuga Yŏksa Chaedan, 2019.

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