Journal articles on the topic 'NAD – antagonistes et inhibiteurs'

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Reyt, Vincent, and Jacques Buxeraud. "Hormones de croissance, agonistes, antagonistes et inhibiteurs." Actualités Pharmaceutiques 57, no. 574 (March 2018): 7–12. http://dx.doi.org/10.1016/j.actpha.2017.12.008.

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Valade, Dominique. "Les avancées dans les traitements de crise et de fond de la maladie migraineuse." Biologie Aujourd'hui 213, no. 1-2 (2019): 59–64. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019021.

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Abstract:
Le traitement de la crise migraineuse repose actuellement sur les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et les triptans, qui sont les deux seules classes pharmacologiques dont l’efficacité thérapeutique a été démontrée avec un haut niveau de preuve dans cette indication. Ces deux classes pharmacologiques ne couvrent cependant pas tous les besoins thérapeutiques des migraineux. Deux programmes de développement clinique méritent une attention particulière et concernent les antagonistes des récepteurs du CGRP et les agonistes du récepteur 5-HT1F de la sérotonine. L’approche prophylactique est un élément capital du traitement de la migraine épisodique qui concerne plus d’un tiers des migraineux. Actuellement, cette approche prophylactique est possible au travers de plusieurs traitements pharmacologiques ayant un bon niveau de preuve dans cette indication et appartenant à diverses classes pharmacologiques : bêta-bloquants (propranolol, métoprolol), antiépileptiques (divalproate de sodium, topiramate, gabapentine), inhibiteurs calciques (flunarizine), antidépresseurs tricycliques et antagonistes sérotoninergiques (pizotifène). L’approche prophylactique peut également faire appel en seconde intention à des molécules mises plus récemment sur le marché mais dont le niveau de preuve dans cette indication est plus faible : vérapamil, venlafaxine, lisinopril et candesartan. Enfin, il convient de ne pas oublier l’utilisation d’anciens traitements (oxétorone) toujours en usage dans certains pays (comme la France). Devant le manque de spécificité, de nouveaux médicaments émergent, les plus importants étant les anticorps monoclonaux antagonistes du Calcitonin Gene-Related Peptide (CGRP), mais de nombreux autres sont en phase I ou II de recherche tels que les modulateurs de la fonction endothéliale, les antagonistes orexinergiques, l’ocytocine, les inhibiteurs non sélectifs des phosphodiestérases, les modulateurs des jonctions communicantes. Enfin, un futur plus lointain repose sur les neuropeptides hypothalamiques (Pituitary Adenylate Cyclase-Activating Polypeptide, PACAP ; neuropeptide Y, NPY), les inhibiteurs de synthèse de l’oxyde nitrique (NO) et les canaux ioniques activés par l’acidité extracellulaire (ASIC, Acid-Sensing Ion Channels).
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A. EKOU. "AOD et fibrillation atriale." Les pathologies vasculaires (anciennement ANGEIOLOGIE) 71, no. 03 (September 1, 2019): 8. http://dx.doi.org/10.54695/mva.71.03.2228.

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Abstract:
Les antagonistes de la vitamine K (AVK) ont été lespiliers du traitement anticoagulant depuis plus d’un demisiècle.Les AVK sont principalement utilisés pour la préventiondes Accidents Vasculaires Cérébraux et des embolies systémiques chez les patients atteints de fibrillation atriale(FA). L’avènement des Anticoagulants Oraux Directs (AOD)avec quatre nouveaux agents - les inhibiteurs directs dufacteur Xa (apixaban, edoxaban et rivaroxaban) et l’inhibiteur direct de la thrombine (dabigatran) ont été approuvéspour cette indication.Compte-tenu des nombreuses limites des AVK, tellesque les interférences alimentaires, les interactions médicamenteuses et les préoccupations concernant les complications hémorragiques, l’attractivité des AOD est fondéeet de plus en plus reconnue
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Bonnefoy, Nathalie, Daniel Olive, and Bernard Vanhove. "Les futures générations d’anticorps modulateurs des points de contrôle de la réponse immunitaire." médecine/sciences 35, no. 12 (December 2019): 966–74. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019193.

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Abstract:
Les points de contrôle du système immunitaire sont des systèmes moléculaires qui complètent les processus déclenchés par la reconnaissance antigénique en contrôlant l’inhibition ou l’activation des lymphocytes et des cellules myéloïdes, notamment celle des lymphocytes T régulateurs (Treg), permettant ainsi de combiner réponses immunes et maintien de la tolérance au soi. En cancérologie, l’inhibition de points de contrôle inhibiteurs vise à amplifier les réponses immunitaires existantes dirigées contre les tumeurs. Parmi ces points de contrôle inhibiteurs, dont des antagonistes sont en utilisation clinique, se trouvent CTLA-4 (cytolytic T-lymphocyte-associated antigen 4 ou CD152), PD-1 (programmed cell death 1, ou CD279), PD-L1 (programmed cell death-ligand 1, ou CD274), LAG-3 (Lymphocyte-activation gene 3, ou CD223), TIM3 (T-cell immunoglobulin and mucin-domain containing-3), TIGIT (T cell immunoreceptor with Ig and ITIM domains), VISTA (V-domain Ig suppressor of T cell activation), ou B7/H3 (ou CD276). La stimulation de points de contrôle activateurs tels que les molécules de co-activation CD28, CD137 (aussi appelé 4-1BB), OX40 [aussi appelé tumor necrosis factor receptor superfamily, member 4 (TNFRSF4)], GITR (Glucocorticoid-induced tumor necrosis factor receptor family-related protein) ou CD40, est également testée en cancérologie, le plus souvent en combinaison avec un antagoniste de point de contrôle inhibiteur. Dans les maladies auto-immunes et inflammatoires, des antagonistes de points de contrôle activateurs (CD28, CD40) et des agonistes de points de contrôle inhibiteurs (LAG-3) sont également à l’essai. Dans cette revue, nous mettons l’accent sur certains modulateurs de points de contrôle pour lesquels le mécanisme d’action a été particulièrement étudié. Cette description ne pouvant être exhaustive, nous avons regroupé dans le Tableau I l’ensemble des anticorps monoclonaux (AcM) ou protéines recombinantes en usage clinique à notre connaissance, modulant l’action d’un point de contrôle du système immunitaire.
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Boutouyrie, Pierre, and Stéphane Laurent. "Inhibiteurs de l'enzyme de conversion et antagonistes du récepteur AT1r de l'angiotensine II." EMC - Cardiologie 1, no. 1 (January 2006): 1–9. http://dx.doi.org/10.1016/s1166-4568(01)00043-2.

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Fraser, G. "Les antagonistes NK3R, nouveaux inhibiteurs de l’axe gonadotrope : mise au point et développement thérapeutique dans l’espèce humaine." Annales d'Endocrinologie 77, no. 4 (September 2016): 245. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2016.07.035.

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Boutouyrie, Pierre. "Inhibiteurs de l’enzyme de conversion et antagonistes calciques : une synergie d’action pour une meilleure prévention des événements cardiovasculaires." Therapies 64, no. 4 (July 2009): 241–48. http://dx.doi.org/10.2515/therapie/2009047.

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Hamon, M. "Bases neurobiologiques des traitements de l’alcoolo-dépendance – Quelles perspectives ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 539. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.411.

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Abstract:
Contrairement aux autres produits addictogènes qui agissent via des cibles spécifiques (récepteurs opiacés pour l’héroïne, récepteur cannabinoïde CB1 pour le cannabis, récepteurs nicotiniques pour le tabac, transporteurs des monoamines pour la cocaïne), l’alcool ne se fixe pas sur une cible en particulier, mais intervient à de multiples niveaux, enzymatiques, réceptoriels, etc., dans le cerveau. Certes, comme celle des autres produits addictogènes, la prise d’alcool entraîne une activation du système de récompense (reward system), et donc la libération de dopamine au niveau des projections de la voie méso-cortico-limbique, mais elle provoque aussi une facilitation de la neurotransmission GABAergique inhibitrice et, au contraire, une diminution de la neurotransmisision glutamatergique excitatrice, via des modulations allostériques des récepteurs impliqués (GABA A d’une part, NMDA d’autre part). La répétition de ces actions du fait de la prise répétée d’éthanol déclenche des processus adaptatifs de telle sorte que l’efficacité de la neurotransmission GABAergique diminue progressivement au profit d’une facilitation de la neurotransmission glutamatergique, conduisant à une hyperexcitabilité neuronale, caractéristique de l’alcoolo-dépendance. Si le dysfonctionnement cérébral qui en résulte est bien en cause dans le syndrôme de manque, dès lors son inversion par des agents facilitateurs du GABA ou inhibiteurs du glutamate pourrait ouvrir la voie à des traitements réellement efficaces de l’alcoolo-dépendance. De fait, le baclofène et le gamma-hydroxy-butyrate, en activant directement les récepteurs GABA B, voire des modulateurs allostériques positifs de ces récepteurs, ont d’ores et déjà fait la preuve de leur capacité à réduire l’alcoolo-dépendance [1]. Par ailleurs, des antagonistes des récepteurs NMDA et des modulateurs inhibiteurs de la neurotransmission glutamatergique (dont l’acamprosate) sont également efficaces [2]. Enfin, d’autres composés qui conduisent aussi à une diminution de l’hyperexcitabilité neuronale, mais en bloquant des canaux calciques voltage-dépendants comme la gabapentine et la prégabaline, pourraient renouveler l’arsenal pharmacologique du traitement de l’alcoolo-dépendance [3].
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Roskiewicz, France, Irina Andriamanana, Valérie Gras-Champel, Michel Andrejak, and Ziad A. Massy. "Angio-œdèmes iatrogènes: rôle des inhibiteurs de l'enzyme de conversion et des antagonistes des récepteurs à l'angiotensine II (sartans)." Néphrologie & Thérapeutique 3, no. 3 (June 2007): 89–95. http://dx.doi.org/10.1016/j.nephro.2007.03.003.

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Tonnel, A. B., A. Tsicopoulos, and H. Hammad. "Les thérapeutiques du futur en allergologie. Cytokines recombinantes, anticytokines, antagonistes des récepteurs de cytokines et inhibiteurs des molécules costimulatrices." Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique 40, no. 3 (April 2000): 295–300. http://dx.doi.org/10.1016/s0335-7457(00)80041-6.

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Misery, L. "Le prurit : de la physiopathologie à la thérapeutique." Douleur et Analgésie 34, no. 2 (June 2021): 123–27. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2021-0160.

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Abstract:
Le prurit se définit comme une sensation désagréable conduisant au besoin de se gratter. Il s’agit donc d’une sensation bien distincte de la douleur, mais dont le retentissement est équivalent. Prurit et douleur se différencient non seulement par l’induction de réactions différentes (grattage, retrait), mais aussi par des effets plutôt opposés de la chaleur et du froid ou surtout des opiacés. Les traitements sont très différents. Dans la peau et certaines muqueuses, il existe des récepteurs spécifiques du prurit (pruricepteurs), puis il existe des voies spécifiques conduisant le signal « prurit » jusqu’à différentes régions du cerveau. Ces voies sont partagées avec celles de la douleur ou non. Les mécanismes de sensibilisation périphérique et centrale au prurit sont de mieux en mieux compris, avec comme conséquences cliniques le prurit chronique, l’allokinésie et l’hyperkinésie. La douleur peut inhiber le prurit en activant des interneurones. Elle peut parfois coexister avec le prurit, en particulier en cas de prurit neuropathique. Les causes de prurit sont le plus souvent dermatologiques, mais d’autres causes sont aussi possibles : rénales, hépatiques, endocriniennes, métaboliques, hématologiques, paranéoplasiques, neurologiques, psychiques, iatrogènes ou mixtes. Jusqu’à présent, la prise en charge du prurit était décevante. Les antihistaminiques sont assez rarement efficaces. Les gabapentinoïdes peuvent être utilisés. Les progrès récents de la recherche ouvrent de nouvelles voies : κ-agonistes, μ-antagonistes, anti-IL31, anti-IL4/13, inhibiteurs de NK1, anti-Jak, etc. Une structuration en réseau de centres antiprurit s’inspirant de l’organisation des centres antidouleur serait probablement très utile.
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Fillion, G., C. Harel, I. Cloez, P. Barone, F. Atger, MP Fillion, N. Prudhomme, et al. "Récepteurs sérotoninergiques 5-HT1D et antidépresseurs." Psychiatry and Psychobiology 5, no. 3 (1990): 187–94. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003485.

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Abstract:
RésuméDivers sous-types de récepteurs sérotoninergiques de type 5-HT1 ont été mis en évidence. Ils correspondent aux soustypes 5-HT1A (marqué sélectivement par le 8-OH-DPAT), 5-HT1B marqué par le propranolol et certains bêta-antagonistes et présent seulement chez le rat et la souris, absent chez l’homme) et 5-HT1C (marqué par la mésulergine et présent en particulier dans les plexus choroïdes). Un sous-type supplémentaire 5-HT1 non A, non B, non C a été mis en évidence; il est caractérisé par un site de liaison insensible aux concentrations de ligands inhibant sélectivement les sous-types 5-HT1A, 5-HT1B et 5-HT1C, il correspond à un système de transduction adénylcyclasique (activation ou inhibition) et apparaît enfin jouer un rôle important dans la modulation présynaptique de la libération de neurotransmetteurs - non sérotoninergiques - en particulier l’acétylcholine. Ces caractéristiques ont été mises en évidence sur des préparations membranaires de cortex de mammifères par des essais in vitro de liaison de [3H]5-HT, de mesure d’activité adénylcyclasique sur les mêmes préparations et par mesure de libération évoquée de [3H] acétylcholine à partir de préparations synaptosomales de diverses régions cérébrales de rat et de cobaye. Une analyse par autoradiographie quantitative a été réalisée chez l’homme sur des coupes fines de cortex frontal prélevées post-mortem chez des individus normaux et des individus déprimés; les résultats obtenus suggèrent une légère augmentation des sites 5-HT1 non A, non b, non c chez les individus déprimés versus les cerveaux normaux. Les antidépresseurs à faibles concentrations (10 à 100 nM) sont capables d’interagir in vitro avec le fonctionnement de ce récepteur: au niveau du site de reconnaissance en altérant les caractéristiques de liaison de la [3H]5-HT, à celui du système de transduction adénylcyclasique en inhibant l’activation induite par la 5-HT et enfin au niveau de l’effet cellulaire sérotoninergique en réversant partiellement l’effet inhibiteur du trilîuorophénylméthylpipérazine (TFMPP), un agoniste sérotoninergique, sur la libération évoquée d’acétylcholine. Cet effet est observé avec des antidépresseurs inhibiteurs d’uptake de la 5-HT mais aussi avec des inhibiteurs d’uptake de la noradrénaline et non pas avec des benzodiazépines ou des neuroleptiques. Ces résultats suggèrent I’hypothèse selon laquelle le système sérotoninergique fonctionnant à l’aide des récepteurs 5-HT1 non A, non B, non c pourrait réguler la libération de divers autres neurotransmetteurs entraînant par là une régulation du nombre des récepteurs correspondants à ceux-ci. Les antidépresseurs pourraient interagir avec cet effet modulateur sérotoninergique vraisemblablement altéré au cours de pathologies dépressives ou accompagnant celle-ci.
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Faller and Hess. "Medikamentöse Nephroprotektion bei Typ 2-Diabetikern – ist billiger auch ökonomischer?" Praxis 91, no. 19 (May 1, 2002): 836–44. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.19.836.

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Abstract:
Des dysfonctions rénales s'observent dans environ 50% de tous les cas de diabète de type 2, une affection très fréquente. La néphropathie diabétique est devenue actuellement la cause la plus fréquente d'insuffisance rénale terminale. La diminution de la pression artérielle à environ 120/80 mmHg est d'importance capitale pour ralentir la progression d'une néphropathie établie. De nouvelles méta-analyses suggèrent cependant que les inhibiteurs de l'enzyme de conversion et les antagonistes de calcium non dihydropyridiques ont une action néphroprotectrice supérieure à une simple baisse de la pression artérielle, ce qui a été confirmé dans une étude prospective de six ans récemment publiée comparant ces médicaments aux bêta-bloquants. Sur la base de ces données, des évaluations démographiques statistiques basées sur les taux de mortalité des diabétiques en insuffisance rénale préterminale tirés de la littérature ainsi sur les données des coûts supplémentaires associés aux traitements antihypertenseurs (consultations supplémentaires, contrôle de laboratoire, incapacité de travail, etc.), on a évalué chez 3536 diabétiques de type 2 d'âge moyen avec macroalbuminurie les coûts d'un traitement médicameteux de l'hypertension artérielle d'une durée de plus de 20 ans par l'inhibiteur de l'enzyme de conversion lisinopril, l'antagoniste du calcium non dihydropyridique vérapamil et le bêtabloquant aténolol. Malgré un nombre plus bas de patients sous aténolol en raison d'une mortalité supérieure comme conséquence de la pré-urémie et de la nécessité de dialyse et malgré un prix plus bas, le traitement basé sur l'aténolol était avec 316 millions de francs durant 20 ans nettement plus cher que celui avec lisinopril (121 millions de francs) ou vérapamil (38 millions de francs). De cette manière on constate que le traitement qui est à première vue le meilleur marché n'est pas toujours le meilleur du point de vue de l'économie en santé publique.
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Cerulli, Jennifer, Ben M. Lomaestro, and Margaret Malone. "Update on the Pharmacotherapy of Obesity." Annals of Pharmacotherapy 32, no. 1 (January 1998): 88–102. http://dx.doi.org/10.1345/aph.17039.

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Abstract:
OBJECTIVE To review recent developments in the pharmacotherapy of obesity, including the agents currently approved for use in the management of obesity and those under development. DATA SOURCES A MEDLINE search from January 1990 to July 1997 was conducted to identify English literature available on the pharmacotherapy of obesity. The search was supplemented by a review of the bibliographies of identified literature. STUDY SELECTION All controlled and uncontrolled trials were reviewed. When available, double-blind, placebo-controlled trials were used preferentially. DATA EXTRACTION Agents were reviewed with regard to mechanism of action, clinical trial data regarding efficacy, adverse effects, pharmacokinetics, drug interactions, and contraindications where information was available. Study design, selected population, results, and adverse effect information were included. DATA SYNTHESIS: The anorexiants currently available or under development for the management of obesity regulate food intake and satiety via the adrenergic and/or serotonergic pathways. Clinical trials have shown a 10–15% weight loss can typically be anticipated; however, little long-term safety and efficacy data are available. Adverse events tend to be mild and self-limiting, but serious adverse events can occur. Treatment options under development include thermogenic agents, digestive inhibitors, and analogs and antagonists of hormones that regulate food intake and satiety. CONCLUSIONS Several mechanisms to control weight are currently under investigation for the management of obesity. Since obesity is a chronic condition, further studies should be conducted to evaluate the long-term safety and efficacy of these agents and the role of combination therapy using different modalities. OBJETIVO Revisar los recientes avances farmacológicos en el tratamiento de la obesidad, incluyendo aquellos medicamentos actualmente aprobados para este uso y otros que todavía se encuentran en desarrollo. FUENTES DE INFORMACION Se realizó una búsqueda computarizada de MEDLINE para determinar artículos publicados en la literatura inglesa entre enero de 1990 a julio de 1997. Además, se utilizarón las referencias citadas en los artículos identificados en la búsqueda. SELECCION DE ESTUDIOS Estudios clínicos de tipo controlados y no-controlados fueron incluidos en el análisis. Se le dió preferencia a aquellos estudios clínicos que eran de diseño doble ciego, controlados, y que usaron un grupo control de placebo. EXTRACCIÓN DE DATOS Los medicamentos fueron evaluados de acuerdo al mecanismo de acción farmacológica, la información ciéntifica relacionada con su eficacia, efectos secundarios, farmacocinética, interacciones de medicamentos, y contraindicaciones de uso. El disefio ciéntifico utilizado en los estudios clínicos, el grupo de pacientes incluido en los estudios, los resultados obtenidos, y los efectos adversos fueron además incluidos en el análisis. SINTESIS Los medicamentos anoréxicos actualmente disponibles para el tratamiento de la obesidad regulan la cantidad de alimentos ingeridos y la sensación de saciedad através de los mecanismos adrenérgicos y de serotonina. Los estudios clínicos disponibles han demostrado que usualmente se puede esperar de un 10–15% de perdida de peso con el uso de estos medicamentos. Sin embargo, no existe mucha información relacionada al uso seguro y la eficacia de estos medicamentos a largo plazo. Los efectos adversos observados con estos medicamentos tienden a ser leves y de corta duración, pero efectos adversos severos pueden ocurrir. Otras opciones de tratamiento incluyen medicamentos termogénicos, inhibidores digestivos, y análogos y antagonistas de diferentes hormonas que regulan la ingestión de alimentos y la sensación de saciedad. CONCLUSIONES Actualmente, algunos de los mecanismos relacionados con el control de peso están siendo investigados para poder determinar futuros tratamientos de la obesidad. Debido a que la obesidad es un problema crónico, se tienen que realizar estudios clínicos adicionales disefiados para evaluar la eficacia y el uso seguro de estos medicamentos a largo plazo. Además, el uso de estos medicamentos en combinación tiene que ser evaluado. OBJECTIF Réviser les développements dans la pharmacothérapie de l'obésité ainsi que les médicaments actuellement utilisés et ceux qui sont en développement. REVUE DE LITTÉRATURE Une recherche sur MEDLINE a été entreprise pour identifier les publications en langue anglaise concernant le traitement de l'obésité et publiées entre janvier 1990 à juillet 1997. Les bibliographies des références pertinentes ont aussi été scrutées. SÉLECTION DES ÉTUDES Toutes les études, contrôlées ou non, ont été révisées. Cependant, les études à double insu ou contrôlées par placebo ont été préférées. EXTRACTION DE L'INFORMATION: Chaque médicament a été révisé pour le mécanisme d'action, les données d'efficacité clinique, les réactions indésirables, la pharmacocinétique, les interactions médicamenteuses, et les contre-indications. Le devis des études, la population à l'étude, les résultats, et les réactions indésirables sont présentes. RÉSUMÉ Les anorexigènes disponibles sur le marché contrôlent l'apport alimentaire et la satiété par une action sur les voies adrénergiques et sérotoninergiques. Les études cliniques ont démontré qu'une perte de poids de 10–15% est un objectif réaliste. Cependant, peu d'études d'efficacité et de sécurité à long terme sont disponibles. Les réactions indésirables sont généralement mineures et se résolvent spontanément. Cependant, des réactions sévères peuvent aussi survenir. De nouvelles avenues thérapeutiques sont en développement. Elles comportent des agents thermogéniques, des inhibiteurs de la digestion, des analogues et antagonistes hormonaux qui régissent l'apport alimentaire et la satiété. CONCLUSIONS Plusieurs stratégies de contrôle de l'obésité sont actuellement en investigation. Puisque l'obésité est une maladie chronique, des études devraient être réalisées pour évaluer l'efficacité et la sécurité des médicaments ainsi que le rôle des thérapies combinées.
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Neville, Heather L., Kelsey Mann, Jessica Killen, and Michael Callaghan. "Pharmacist Intervention to Improve Medication Adherence in Patients with Acute Coronary Syndrome: The PRIMA-ACS Study." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 74, no. 4 (September 28, 2021). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v74i4.3198.

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Abstract:
Background: Despite ample evidence of benefit, adherence to secondary prevention medication therapy after acute coronary syndrome (ACS) is often suboptimal. Hospital pharmacists are uniquely positioned to improve adherence by providing medication education at discharge. Objective: To determine whether a standardized counselling intervention at hospital discharge significantly improved patients’ adherence to cardiovascular medications following ACS. Methods: This single-centre, prospective, nonrandomized comparative study enrolled patients with a primary diagnosis of ACS (January 2014 to July 2015). Patients who received standardized discharge counselling from a clinical pharmacist were compared with patients who did not receive counselling. At 30 days and 1 year after discharge, follow-up patient surveys were conducted and community pharmacy refill data were obtained. Adherence was assessed using pharmacy refill data and patient self-reporting for 5 targeted medications: acetylsalicylic acid, P2Y purinoceptor 12 (P2Y12) inhibitors, angiotensin-converting enzyme inhibitors or angiotensin II receptor blockers, β-blockers, and statins. Thirty-day and 1-year medication utilization, cardiovascular readmission rates, and all-cause mortality were also assessed. Results: Of the 259 patients enrolled, 88 (34.0%) received discharge counselling. Medication data were obtained for 253 patients (97.7%) at 30 days and 242 patients (93.4%) at 1 year. At 1 year after discharge, there were no statistically significant differences between patients who did and did not receive counselling in terms of rates of nonadherence (11.9% versus 18.4%, p = 0.19), cardiovascular readmission (17.6% versus 22.3%, p = 0.42), and all-cause mortality (3.4% versus 4.2%, p > 0.99). Overall medication nonadherence was 2.8% (7/253) at 30 days and 16.1% (39/242) at 1 year. Conclusions: Discharge medication counselling provided by hospital pharmacists after ACS was not associated with significantly better medication adherence at 1 year. Higher-quality evidence is needed to determine the most effective and practical interventions to ensure that patients adhere to their medication regimens and achieve positive outcomes after ACS. RÉSUMÉ Contexte : Malgré l’abondance de preuves démontrant ses avantages, l’adhésion à la pharmacothérapie de prévention secondaire après les syndromes coronariens aigus (SCA) est souvent « sous-optimale ». Les pharmaciens d’hôpitaux occupent une place unique pour améliorer l’adhésion en expliquant au patient l’usage des médicaments au moment du congé hospitalier. Objectif : Déterminer si une consultation standardisée au moment du congé hospitalier améliore significativement ou non l’adhésion à la pharmacothérapie cardiovasculaire après les SCA. Méthodes : Des patients ayant reçu un diagnostic primaire de SCA (de janvier 2014 à juillet 2015) ont été inscrits pour participer à cette étude comparative unicentrique prospective et non randomisée. Ceux ayant bénéficié d’une consultation standardisée par un pharmacien clinicien au moment du congé ont été comparés aux patients qui n’en n’avaient pas reçu. Trente jours et un an après le congé, des enquêtes de suivi du patient ont été menées et les données de renouvellement d’ordonnance des pharmacies communautaires ont été recueillies. L’adhésion a été évaluée à l’aide des données de renouvellement d’ordonnance et celles rapportées par le patient pour cinq médicaments ciblés : l’acide acétylsalicylique, les inhibiteurs P2Y purinoceptor 12 (P2Y12), les inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine ou les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, les antagonistes β et les statines. L’utilisation des médicaments à 30 jours et à un an, le taux de réadmission en raison d’un trouble cardiovasculaire et le taux de mortalité toutes causes confondues ont également fait l’objet d’une évaluation. Résultats : Sur les 259 patients inscrits, 88 (34 %) ont bénéficié d’une consultation au moment du congé. Des données concernant la médication de 253 patients ont été obtenues (97,7 %) à 30 jours et pour 242 patients (93,4 %) à un an. Un an après le congé, aucune différence statistique significative n’a été observée entre les patients ayant reçu ou non une consultation concernant la non-adhésion (11,9 % contre 18,4 %, p = 0,19), la réadmission en raison d’un trouble cardiovasculaire (17,6 % contre 22,3 %, p = 0,42), et le taux de mortalité toutes causes confondues (3,4 % contre 4,2 %, p > 0,99). La non-adhésion aux médicaments de manière générale se montait à 2,8 % (7/253) à 30 jours et à 16,1 % (39/242) à un an. Conclusions : La consultation concernant la médication donnée par les pharmaciens d’hôpitaux au moment du congé après les SCA n’était pas associée à un meilleur suivi de la médication un an plus tard. Des données probantes de meilleure qualité sont nécessaires pour déterminer les interventions les plus efficaces et pratiques pour que les patients adhèrent à leur régime médicamenteux et qu’ils obtiennent des résultats positifs après les SCA.
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Duffett, Mark, Karen Choong, Jennifer Foster, Elaine Gilfoyle, Jacques Lacroix, and Deborah J. Cook. "Need for a Randomized Controlled Trial of Stress Ulcer Prophylaxis in Critically Ill Children: A Canadian Survey." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 70, no. 4 (August 31, 2017). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v70i4.1679.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background:</strong> Stress ulcer prophylaxis is commonly used in pediatric critical care, to prevent upper gastrointestinal bleeding. The most frequently used agents are histamine-2 receptor antagonists (H2RAs) and proton pump inhibitors (PPIs). The risk–benefit ratio for stress ulcer prophylaxis is uncertain, because data from randomized clinical trials (RCTs) on the effectiveness and harms of prophylaxis in children are limited.</p><p><strong>Objective:</strong> To describe the views of Canadian pediatric intensivists about a future RCT of stress ulcer prophylaxis.</p><p><strong>Methods:</strong> We conducted an online survey of Canadian pediatric critical care physicians. We e-mailed information about the study and a link to a 10-item survey to 111 potential respondents, with 2 reminders for nonrespondents. We assessed the relationship between respondents’ characteristics and their views about the need for and potential participation in a trial using logistic regression and assessed regional differences using the 2 test.</p><p><strong>Results:</strong> The 68 physicians who replied (61% of potential respondents) had a median of 12 (interquartile range 5–20) years of experience. Fortyfour (65%) of the respondents stated that a large, rigorous RCT of stress ulcer prophylaxis in children is needed, and 94% (62 of 66) indicated that it should include a placebo group. The 3 most common designs suggested were a 3-arm trial comparing PPI, H2RA, and placebo (56% [37 of 66 respondents to this question]) and 2-arm trials comparing PPI with placebo (15% [n = 10]) and H2RA with placebo (8% [n = 5]). The 5 patient groups that respondents most commonly stated should be excluded (because they should not receive placebo) were children receiving acid suppression at home (66% [42 of 64 respondents to this question]) or corticosteroids (59% [n = 38]), those with severe coagulopathy or receiving extracorporeal membrane oxygenation (both 36% [n = 23]), and those with burns (31% [n = 20]). Most respondents indicated a willingness to participate in an RCT (64% [42 of 66 respondents to this question]), whereas some (29% [n = 19]) indicated that participation would depend on trial design or funding; only 8% (n = 5) were disinclined to participate.</p><p><strong>Conclusions:</strong> There is considerable interest in a placebo-controlled RCT of stress ulcer prophylaxis among pediatric critical care physicians in Canada, but consensus on key elements of the trial design is needed.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte :</strong> La prophylaxie de l’ulcère de stress est fréquemment employée en soins intensifs pédiatriques afin de prévenir les saignements du tractus gastro-intestinal supérieur. Les agents les plus souvent employés sont les antagonistes des récepteurs H2 de l’histamine (anti-H2) et les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP). Le rapport bénéfice-risque pour la prophylaxie de l’ulcère de stress est incertain, car les données provenant d’essais cliniques à répartition aléatoire (ECRA) sur l’efficacité et les dangers de la prophylaxie chez l’enfant sont peu nombreuses.</p><p><strong>Objectif :</strong> Décrire les points de vue des pédiatres intensivistes canadiens à propos d’un futur ECRA sur la prophylaxie de l’ulcère de stress.</p><p><strong>Méthodes :</strong> Nous avons réalisé un sondage en ligne auprès de médecins canadiens en soins intensifs pédiatriques. Nous avons envoyé par courriel de l’information sur l’étude, dont un lien menant au sondage en dix points, à 111 répondants potentiels et deux rappels à ceux n’ayant pas répondu d’emblée. Nous avons évalué, au moyen d’un modèle de régression logistique, les points de vue des répondants à propos de la nécessité d’un essai et de leur participation potentielle à celui-ci en fonction de leurs caractéristiques individuelles et, à l’aide d’un test de 2, les différences régionales.</p><p><strong>Résultats :</strong> Les 68 médecins (61 % des répondants potentiels) qui ont répondu avaient une médiane de 12 (écart interquartile de 5 à 20) années d’expérience. Quarante-quatre (65 %) des répondants indiquaient qu’il serait nécessaire de procéder à un important et rigoureux ECRA sur la prophylaxie de l’ulcère de stress chez l’enfant et 94 % (62 des 66 répondants) indiquaient que l’étude devrait comprendre un groupe placebo. Les trois plans expérimentaux les plus souvent suggérés étaient : un essai à trois groupes comparant les IPP, les anti-H2 et le placebo (56 % [37 des 66 répondants à cette question]), un essai à deux groupes comparant les IPP au placebo (15 % [n = 10]) et un essai à deux groupes comparant les anti-H2 au placebo (8 % [n = 5]). Les cinq groupes de patients que les répondants indiquaient le plus souvent comme ceux devant être exclus (parce qu’ils ne devraient pas recevoir de placebo) étaient : les enfants recevant un traitement de suppression de la sécrétion d’acide à la maison (66% [42 des 64 répondants à cette question]), ceux traités à l’aide de corticoïdes (59 % [n = 38]), ceux atteints d’une coagulopathie grave ou ceux traités par oxygénation extracorporelle sur oxygénateur à membrane (36 % chacun [n = 23]) et ceux souffrant de brûlures (31% [n = 20]). La plupart des répondants ont indiqué être prêts à participer à un ECRA (64% [42 des 66 répondants à cette question]), alors que certains (29 % [n = 19]) ont indiqué que leur participation dépendrait du plan de l’étude ou de son financement; seulement 8% (n = 5) n’étaient pas enclins à participer.</p><p><strong>Conclusions :</strong> On constate parmi les médecins canadiens en soins intensifs pédiatriques un intérêt marqué pour la tenue d’un ECRA comparatif contre placebo sur la prophylaxie de l’ulcère de stress, mais il est d’abord nécessaire d’obtenir un consensus sur les éléments clés du plan expérimental.</p>

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