Journal articles on the topic 'Musées – Collectionneurs et collections – France'

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Charmasson, Thérèse. "L’entourage protestant de la marquise Arconati Visconti." Revue d'histoire du protestantisme 7, no. 4 (January 26, 2023): 517–50. http://dx.doi.org/10.47421/rhp7_4_517-550.

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Abstract:
La marquise Arconati Visconti, née Marie Peyrat (1840-1923), par de multiples dons et legs à différents musées et établissements d’enseignement supérieur, a contribué à l’enrichissement des collections publiques et au développement de l’enseignement de l’histoire et de l’histoire de l’art, tant à Paris qu’en province, notamment à Lyon, Toulouse et Angers. Profondément républicaine, dreyfusarde et anticléricale, elle a entretenu avec un certain nombre de protestants des relations amicales qui ont pu orienter ses libéralités dans le domaine des lettres, comme dans celui des arts. Gabriel Monod (1844-1912), Auguste Molinier (1851-1904) et son frère Émile Molinier (1857-1906), comme Alfred Morel-Fatio (1850-1924), normalien et chartistes, directeurs d’études à l’École pratique des hautes études, professeurs à l’École des chartes et à l’École du Louvre, titulaires de chaires au Collège de France, appartiennent au monde de l’érudition. Raoul Duseigneur (1844-1916), collectionneur et antiquaire, en souvenir duquel la marquise multiplie les donations après son décès en 1916, « l’ami fidèle », a sans doute été le compagnon de la marquise, partageant en particulier ses goûts pour les collections d’objets d’art.
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Angleviel, Frédéric. "Collectes, collectionneurs et collections en France : 1774-1911." Outre-mers 88, no. 332 (2001): 113–27. http://dx.doi.org/10.3406/outre.2001.3884.

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3

Hamel, Nathalie. "Un musée amérindien à Tadoussac." Ethnologies 24, no. 2 (June 13, 2003): 79–105. http://dx.doi.org/10.7202/006640ar.

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Abstract:
Résumé Au début des années 1940, William H. Coverdale, président de Canada Steamship Lines, amène cette compagnie à investir dans la reconstruction du poste de traite de Pierre Chauvin, premier poste de traite de la Nouvelle-France, érigé à Tadoussac en 1599. Ce petit édifice sera utilisé comme lieu d’exposition d’une collection d’objets associés au début de la colonie et témoignant des contacts entre Français et Amérindiens. Pour comprendre cette collection, qui fait maintenant partie de la collection du Musée de la civilisation à Québec, il importe d’étudier les objectifs et les motivations du collectionneur qui en est à l’origine, et d’analyser les critères de ses choix en fonction du contexte socio-culturel dans lequel il évolue. Car la signification qu’on attribue à un objet ne peut être isolée des contextes qui en font évoluer le sens, ni des circonstances dans lesquelles sa sélection comme objet signifiant a été effectuée.
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Kerbiriou, Anne-Hélène. "Collections - Collectionneurs. Textiles d’Amérique et de France. Par Jocelyne Mathieu et Christine Turgeon, dirs. (Québec : Célat et Presses de l’Université Laval, 2002. Pp. 240, ISBN 2-7637-7856-9) Le fil de l’art. Les broderies des Ursulines de Québec. Par Christine Turgeon (Québec : Musée du Québec et Musée des Ursulines, 2002. Pp. 155, ISBN 2-551-21530-7)." Ethnologies 26, no. 1 (2004): 260. http://dx.doi.org/10.7202/013356ar.

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Pomian, Krzysztof. "Collections et Musées (note critique)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 48, no. 6 (December 1993): 1381–401. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1993.279221.

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Abstract:
Si l'on applique à l'histoire des collections et des musées les critères qu'utilise la sociologie des sciences pour évaluer les transformations d'un domaine de recherche, on en vient à la conclusion qu'elle est en train de devenir une discipline à part entière. Les travaux qui en relèvent se multiplient d'année en année au point qu'il est désormais impossible de les lire tous ni même d'en avoir une vue d'ensemble, ce qu'on pouvait envisager encore dans les années soixante-dix. Et le nombre de ces travaux est en train de croître, non seulement en Italie, en Grande-Bretagne, en Allemagne et aux États-Unis, tous pays où l'histoire des collections et des musées était cultivée depuis longtemps, même si elle y restait marginale, auxiliaire de l'histoire de l'art, mais aussi en France et en Espagne, dans les pays Scandinaves, en Pologne, en Russie.
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Hunt, J. D. "Le Geant, La Licorne, La Tulipe. Collections et Collectionneurs dans la France du XVIIe Siecle." Journal of the History of Collections 1, no. 2 (January 1, 1989): 225–26. http://dx.doi.org/10.1093/jhc/1.2.225-a.

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Deroo, Éric, and Antoine Champeaux. "Panorama des troupes coloniales françaises dans les deux guerres mondiales." Revue Historique des Armées 271, no. 2 (April 1, 2013): 72–88. http://dx.doi.org/10.3917/rha.271.0072.

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Abstract:
Alors que sont attendus en 2014 les célébrations du centième anniversaire de la Grande Guerre ainsi que du soixante-dixième anniversaire de la Libération de la France, cet article réunit des éléments de documentation, une bibliographie et une filmographie sommaires sur le thème des tirailleurs, travailleurs indigènes et soldats des outre-mer au travers des deux guerres mondiales. Il explore les différents procédés qui ont permis de valoriser le patrimoine de tradition des troupes indigènes : tenues et insignes spécifiques, monuments du souvenir, organisation de cérémonies militaires, valorisation des collections conservées dans les musées ou les salles d’honneur du ministère de la Défense. Depuis les années 1960, l’armée française s’efforce ainsi de préserver la mémoire des soldats et « morts pour la France » recrutés dans les colonies de l’empire. Par sa transmission aux jeunes générations de combattants, ce patrimoine matériel et immatériel est un élément de la culture d’arme qui contribue à la capacité opérationnelle des forces.
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Frère, Dominique. "Les collections étrusques de deux musées de l'Ouest de la France : Beaufort-en-Vallée et Château-Gontier." Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest 103, no. 4 (1996): 7–24. http://dx.doi.org/10.3406/abpo.1996.3884.

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Brefe, Ana Cláudia Fonseca. "Museus Históricos na França: entre a reflexão histórica e a identidade nacional." Anais do Museu Paulista: História e Cultura Material 5, no. 1 (1997): 175–203. http://dx.doi.org/10.1590/s0101-47141997000100006.

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1996, de dois colóquios nacionais problematizando os museus desse gênero, bem como a discussão sobre a reabertura das galerias históricas de Versalhes, no início de 1997, demonstram um interesse crescente pela instituição. Este artigo traça um histórico dos museus de história na França, desde sua matriz inicial, delineada no ilfllsée des monllments jrançais durante a Revolução Francesa, até a publicação do Guide des musées et collections d'histoire en France, lançado em setembro de 1996. Através deste percurso, procura-se explicitar as inflexões sofridas pela instituição, desde o século XIX até recentemente, buscando, em especial, situar o conjunto de questionamentos que giram ao redor deste tema que, de resto, ultrapassa o contexto francês e europeu.
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Poulin, Anne-Marie. "MATHIEU, JOCELYNE ET CHRISTINE TURGEON. Collections-collectionneurs. Textiles d’Amérique et de France. [Québec], Les Presses de l’Université Laval, 2002, 240 p. ISBN 2-7637-7856-9." Rabaska: Revue d'ethnologie de l'Amérique française 2 (2004): 236. http://dx.doi.org/10.7202/201675ar.

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Bergeron, Yves. "Naissance de l’ethnologie et émergence de la muséologie au Québec (1936-1945). De l’« autre » au « soi »." Articles 3 (April 6, 2010): 7–30. http://dx.doi.org/10.7202/201707ar.

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Abstract:
Si les Archives de folklore apparaissent officiellement en 1944, on sait cependant que la naissance d’un programme d’ethnologie du Québec s’amorce en 1937 dans le cadre du Deuxième Congrès de la langue française. À Paris, se tient le premier Congrès national de muséographie qui se déroule au même moment que l’exposition internationale de 1937 et le premier Congrès international de folklore au cours duquel Georges Henri Rivière annonce la création du Musée des arts et traditions populaires. La décennie des années 1930 est ponctuée de changements majeurs au Québec. Le contexte politique permet l’émergence d’un mouvement nationaliste dont le thème est « L’esprit français au Canada, dans notre langue, dans nos lois, dans nos moeurs ». C’est dans ce contexte que l’Université Laval devient le théâtre où se dessinent les nouveaux enjeux de la mémoire collective. Tout est une question de point de vue. Les ethnologues et muséologues européens croient que les objets, même les plus singuliers, témoignent de la mémoire collective. Les premiers folkloristes et ethnologues québécois, avec Luc Lacourcière en tête, sont persuadés que la mémoire de la culture française en Amérique se trouve plutôt dans les contes, les légendes, les chansons traditionnelles et les traditions populaires héritées de la France d’Ancien régime. C’est pourquoi, ils emprunteront la voie du patrimoine immatériel. Pour eux, il devient urgent de collecter ce patrimoine de tradition orale qui disparaît. Alors que l’ethnologie est en voie de devenir une véritable discipline scientifique, l’Université se désintéresse de ses collections ethnologiques et abandonne ses musées pour se lancer dans la collecte des arts et traditions populaires des francophones en Amérique du Nord. On verra donc comment, entre 1937 et 1945, les nouvelles perspectives du folklore et de l’ethnologie transforment la muséologie québécoise. On verra par ailleurs comment ces transformations se répercutent comme l’écho du baby-boom cinquante ans plus tard. Cette quête identitaire qui anime les folkloristes de même que les muséologues québécois et européens prend des orientations différentes. Objets matériels et immatériels participent alors à la construction d’une nouvelle mémoire collective. L’histoire des collections permet notamment de mettre en lumière cette quête de la mémoire collective des communautés francophones en Amérique du Nord. Je tenterai de démontrer les liens étroits qui existent entre le nationalisme et le folklore.
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Fodor, Caroline, and Gaston Bernier. "Bibliothèques publiques : nouveaux édifices, nouveaux rôles." Documentation et bibliothèques 47, no. 3 (August 5, 2015): 95–99. http://dx.doi.org/10.7202/1032578ar.

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Abstract:
On a assisté au cours de la dernière décennie à une vague de constructions de bibliothèques parmi lesquelles la Bibliothèque nationale de France, la British Library et la San Francisco Public Library ont particulièrement retenu l’attention en raison de leur taille et de leurs ambitions. La bibliothèque d’Alexandrie renaît sous une forme moderne et, tout près, Vancouver a récemment inauguré un nouvel édifice. Winnipeg et Montréal feront de même bientôt. La construction et le fonctionnement de projets d’une telle ampleur nécessitent des efforts et des investissements tels qu’on peut se poser de sérieuses questions quant à la viabilité de la réalisation de ces mégaprojets. Le texte qui suit va tenter d’apporter des éléments de réponse à la question qui semble revenir le plus fréquemment : « En a-t-on réellement besoin ? ». Le problème de l’importance ou de l’utilité de grands ouvrages pour loger les bibliothèques publiques comporte trois volets. D’entrée de jeu, on peut se demander s’il est justifié, à l’ère du numérique et au moment où l’on a accès de chez soi à un volume toujours croissant d’information, de construire de nouveaux édifices. Les bibliothèques ont-elles fait leur temps et ne devraient-elles pas être considérées comme des musées pour les lecteurs intéressés aux vieilles et poussiéreuses curiosités littéraires ? Deuxièmement, quels avantages y a-t-il à construire du neuf ? Ne serait-il pas plus pratique d’utiliser les établissements déjà existants ? Enfin, en quoi l’architecture de la bibliothèque est-elle si importante ? A-t-on besoin d’autre chose que d’un bâtiment pour abriter les collections et les services idoines ? Dans le cas des projets identifiés plus haut, on a fait de grands efforts de publicité sur le concept et l’allure des nouveaux édifices grâce à des concours d’architecture et à la présentation électronique des maquettes et de l’aménagement. Ne serait-ce pas faire preuve de trop de munificence, à une époque de restrictions budgétaires, que d’allouer tant de ressources à des visées aussi secondaires que celles d’attirer les regards ?
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FAURE, Martine. "Deyrolle de père en fils, entre science et commerce, une vitrine parisienne de l’Histoire naturelle au xixe siècle." Naturae, no. 10 (December 20, 2023). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2023a10.

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Abstract:
Deyrolle est le nom d’une grande famille de naturalistes du xixe siècle qui nous est familier, mais n’a jamais fait l’objet d’une étude sur ses activités et ses apports aux sciences de la nature. Et pourtant, sur trois générations, les membres de cette famille nous donnent une large vision du milieu des naturalistes au xixe siècle. En premier lieu nous parlerons de Jean-Baptiste Deyrolle et de trois de ses fils : Achille, Narcisse et Henri, puis des trois enfants d’Achille : Hortense, Émile et Théophile. Il est parfois difficile de distinguer les activités de chacun tant ils sont complémentaires. Tour à tour explorateurs, marchands naturalistes, collectionneurs, savants, éditeurs, illustrateurs, vulgarisateurs, ils ont été des acteurs influents du milieu naturaliste à Paris au xixe siècle. Quatre d’entre eux sont partis explorer des régions lointaines (Brésil méridional, Gabon, Caucase et Anatolie orientale) encore très mal connues des européens, dans le but d’inventorier le monde vivant et d’en rapporter des spécimens de la faune et de la flore. Ils ont été actifs dans diverses sociétés savantes naturalistes et ont contribué aux tentatives d’acclimatation en France de nouvelles espèces végétales et animales. Par leurs activités de taxidermie et de préparation d’animaux exotiques, ils ont fait découvrir la faune du monde entier au grand public des musées européens. Ils ont été des entomologistes reconnus, certains ont chassé, d’autres ont collectionné, vendu, échangé, expertisé, étudié, illustré, colorisé des milliers d’Insectes. Ils ont joué un rôle majeur dans la constitution de collections entomologiques patrimoniales et ont laissé une empreinte forte dans la taxonomie entomologique. Ils se sont aussi intéressés à l’entomologie appliquée et se sont impliqués dans de grandes causes nationales comme la lutte contre la destruction des cultures par le Doryphore et l’introduction de nouvelles espèces de vers à soie pour sauver la sériciculture. Ils ont dominé le marché parisien pour tout ce qui concernait l’Histoire naturelle, ils ont œuvré pour fournir les établissements scientifiques en spécimens divers et rares, élaborer des outils et des produits afin de répondre aux besoins des collectionneurs amateurs et professionnels. Ils se sont même investis dans la mode de leur temps en confectionnant des parures en plumes pour chapeaux et des bijoux en Insectes. Ils ont été lauréats de grandes manifestations internationales, notamment des Expositions universelles qui ont marqué leur siècle. En éditant des revues et des ouvrages de vulgarisation, en créant des tableaux pédagogiques pour les établissements scolaires, ils ont initié des générations d’écoliers à la connaissance de la nature. Au service de la science et de l’enseignement de la nature, ils ont occupé une place centrale dans l’édition naturaliste et la diffusion des connaissances.
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McNally, Peter F. "Western Canadiana at McGill University: The Lande and Arkin Collections." Fontanus 12 (January 1, 2010). http://dx.doi.org/10.26443/fo.v12i.192.

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Abstract:
Canadiana emerged as a collecting focus for McGill even before the opening of Redpath Library in 1893. At first, the emphasis was local—Quebec, including New France—reflecting a lack of concern for other parts of the country, typical of collections at the time. Only in the second half of the twentieth century did this situation change when a vogue for collecting Canadiana spread across the nation to both large and smaller libraries; larger institutions, already possessing strength, extended the depth and breadth of their rare book collections. In the case of McGill, during the ’60s and ’70s, Western Canadiana became a focus for new collecting. This article recounts how McGill developed an important Western Collection and examines the individuals and circumstances responsible for its acquisition, along with a profile and evaluation of its contents. Particular attention is paid to two collectors—Lawrence Lande and Nathan Arkin—two librarians—Richard Pennington and John Archer—and one antiquarian book dealer—Bernard Amtmann. The methodology used for evaluating the Lande and Arkin Western Canadiana Collections may prove helpful to other researchers.ResuméMême avant l’ouverture de la Bibliothèque Redpath en 1893, McGill portait déjà une attention particulière à la collection de publications canadiennes. Au début, le volet local—le Québec, incluant la Nouvelle-France—était accentué, démontrant un manque d’intérêt pour le reste du pays qui était typique des collections de l’époque. Cette situation n’a commencé à changer que dans le seconde moitié du vingtième siècle, quand l’acquisition de publications canadiennes est entrée en vogue à travers le pays, à la fois dans les petites et les grandes bibliothèques. Ces dernières, ayant déjà des fonds documentaires solides dans ce domaine, ont élargi et approfondi leurs collections de livres rares. Dans le cas des collections de McGill, l’ouest canadien est devenu un nouveau pôle d’intérêt durant les années 60 et 70. Cet article décrit le développement à McGill d’une importante collection ouest-canadienne et examine les personnes et les circonstances responsables pour l’acquisition de cette collection, dont le contenu est également résumé et évalué. Une attention particulière est portée à deux collectionneurs — Lawrence Lande et Nathan Arkin—à deux bibliothécaires—Richard Pennington et John Archer—et à un libraire antiquaire—Bernard Amtmann. La méthodologie utilisée pour évaluer les collections Lande et Arkin de publications ouest-canadiennes pourrait se démontrer utile pour d’autres chercheurs.
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PRIÉ, Vincent. "Bivalves d’eau douce de Guyane française : espèces présentes et attendues d’après la bibliographie et l’examen des collections muséologiques." Naturae, no. 3 (April 15, 2020). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2020a3.

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Abstract:
Les Bivalves dulçaquicoles figurent parmi les espèces les plus menacées à l’échelle mondiale et font l’objet de programmes de recherche et de conservation de plus en plus nombreux, particulièrement en Europe et en Amérique du Nord. Cette dynamique n’a pour l’heure pas rejailli sur la Guyane française où très peu de données ont été produites. La présente note synthétise les données disponibles pour la Guyane française sur la base de l’examen de la bibliographie et de la recherche de spécimens dans les collections malacologiques des muséums nationaux (à partir des bases de données en ligne) et régionaux (par enquêtes directes auprès des muséums régionaux de France). Elle constitue une liste de référence préliminaire qui présente treize espèces appartenant à quatre familles. Huit d’entre elles ne figurent pas dans le référentiel national TAXREF v12. D’après les données collectées dans les collections des musées, quatre espèces peuvent être ajoutées au référentiel taxonomique sans ambiguïté : Prisodon syrmatophorus (Gmelin, 1791) ; Triplodon corrugatus (Lamarck, 1819), Anodontites crispata Bruguière, 1792 et Anticorbula fluviatilis (H. Adams, 1860). Quatre autres doivent encore faire l’objet d’études plus approfondies concernant leur statut taxonomique : Pisidium sterkianum Pilsbry, 1897 ; Castalia ambigua Lamarck, 1819 ; Castalia cordata Swainson, 1840 et Castalia retusa Hupé, 1857. Parmi toutes ces espèces, seules trois ont été récoltées il y a moins de vingt ans en Guyane française. Cet état de l’art soulève des questions de conservation : ces espèces ont-elles été simplement ignorées des naturalistes ? Vivent-elles dans des milieux difficiles à prospecter ? Sont-elles naturellement rares en Guyane ? Ou ont-elles décliné au point que les naturalistes contemporains ne les retrouvent pas ? Des recherches de terrain approfondies sont nécessaires pour tenter de répondre à ces questions.
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Carantino, Georges. "Le patrimoine du cheval paysan. Musées de l’agriculture et de la vie rurale en France : statuts, collections, la place du cheval." In Situ, no. 27 (September 24, 2015). http://dx.doi.org/10.4000/insitu.11930.

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