Academic literature on the topic 'Mouvements sociaux – Europe – 2000-'

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Journal articles on the topic "Mouvements sociaux – Europe – 2000-":

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Gerbaux, Françoise. "Développement local et mouvements sociaux : les modèles alternatifs dans les zones de montagne et les zones défavorisées en Europe." III. Nouveaux enjeux, nouveaux acteurs ?, no. 22 (November 13, 2015): 117–26. http://dx.doi.org/10.7202/1034023ar.

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Abstract:
À partir d’un double regard, c’est-à-dire d’une part l’analyse des politiques publiques mises en oeuvre dans les zones de montagne, qui prônent un développement endogène, et d’autre part l’analyse des logiques sociales des mouvements qui se réclament d’une démarche alternative, l’objet de cet article est de s’interroger sur les raisons des dysfonctionnements et des distorsions entre politiques publiques et mouvements sociaux alternatifs. L’interrogation centrale porte sur les fondements des mouvements sociaux alternatifs qui sont nés ou ont repris vigueur depuis le milieu des années soixante-dix. L’hypothèse principale est la suivante : alors que la plupart des objectifs de développement visés par les politiques publiques s’appuient sur le paradigme du travail salarié, les propositions des mouvements sociaux alternatifs se fondent sur le paradigme du travail indépendant. Au delà du mode de développement imposé jusque-là, ces mouvements remettent en cause le mode de fonctionnement de la société salariale et défendent certaines valeurs attachées au modèle du travail indépendant. L’article s’appuie sur l’analyse de ces mouvements dans les zones de montagne en France, en Italie, en Suisse et en Autriche.
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Dupuis-Déri, Francis. "Émergence de la notion de « profilage politique » : répression policière et mouvements sociaux au Québec1." Articles 33, no. 3 (January 7, 2015): 31–56. http://dx.doi.org/10.7202/1027939ar.

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Abstract:
Le présent texte explique comment la notion de « profilage politique » a émergé dans l’espace public au Québec, dans les années 2000. Ce faisant, ce texte rappelle la relation entre les forces policières et les mouvements sociaux dans les années 2000, présente une synthèse des principales études savantes ayant discuté des rapports entre la police et les mouvements sociaux au Canada et au Québec, explique l’histoire de l’apparition des différentes notions de profilage (criminel, racial, social et politique) et évalue l’ampleur de la diffusion de la notion de « profilage politique » aujourd’hui.
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Estrada Saavedra, Marco Antonio. "L'État et les mouvements sociaux durant la transition à la démocratie (2000-2012)." Problèmes d'Amérique latine 89, no. 2 (2013): 87. http://dx.doi.org/10.3917/pal.089.0087.

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Trenta, Arnaud. "Mouvements sociaux, gouvernements progressistes et rapports à l’économie dans l’Argentine post-néolibérale (2000-2017)." Participations 20, no. 1 (2018): 201. http://dx.doi.org/10.3917/parti.020.0199.

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Fournis, Yann. "Penser la ruralité et son développement au GRIDEQ entre 1970 et 2000." Cahiers de géographie du Québec 56, no. 157 (September 12, 2012): 153–72. http://dx.doi.org/10.7202/1012216ar.

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Abstract:
Au Québec comme ailleurs, la ruralité est un objet difficile à analyser : elle suscite souvent une conclusion désenchantée, comme si la période historique récente conduisait à sa dissolution. À partir des travaux de Hugues Dionne, cet article se propose de rappeler l’actualité de certaines contributions du GRIDEQ, proches d’une sociologie critique, à ce débat. Ces travaux illustrent une évolution lourde de certaines études régionales québécoises qui, d’abord tournées vers les mouvements sociaux et les lieux de vie, connaissent un tournant dans les années 1990 : elles élargissent le regard à d’autres logiques spatiales et valorisent plus nettement une mobilisation locale qui transmue les lieux de vie en territoires, dans un rapport de coopération conflictuelle avec l’État. Cette redéfinition des rapports entre localisation et territorialisation conduit à une conception forte de la communauté qui, entendue comme « recherche de globalité », confère au local une forme de cohérence symbolique et sociale.
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Mésini, Béatrice. "Les Sans dans les forums sociaux. Luttes aux confins et lignes de confront." Note de recherche 28, no. 1 (May 21, 2009): 193–228. http://dx.doi.org/10.7202/001730ar.

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Abstract:
Résumé Au tournant du siècle, le processus de « dissémination » des forums sociaux et des contre-sommets s’est accéléré, gagnant progressivement l’ensemble des nations, des continents et des régions. Les mouvements de Sans, quasi absents du premier Forum social mondial (FSM) et sous-représentés au second, ont progressivement réalisé leur inclusion dans ces espaces, arguant de la centralité de leur lutte au coeur de la question sociale. En tant que groupes constamment mobilisés dans les luttes sociales contre l’ordre libéral, les Sans (chômeurs, RMistes, handicapés, malades, sans-papiers, sans-logement, sans-terre), dotés de statut repoussoir, hors statut et souvent sans représentation institutionnelle, syndicale et politique, viennent grossir le cortège des identités culturelles et territoriales laminées par la mondialisation libérale. Inscrite dans une sociologie de l’action, cette analyse décentrée sur les acteurs et multipolarisée sur des segments de luttes, tente de rendre lisible la diversité des revendications portées par les acteurs dans les forums sociaux, en contrechamp des représentations partielles et partiales, retraduites par les politiques et les médias traditionnels. Nous montrerons comment ce groupe social des Sans, virtuel et latent dans les années 1990, s’est agrégé dans les forums par affiliation successive de mouvements en France, en Europe et sur divers continents, jusqu’à devenir un « groupe en soi », réactualisant l’urgence de la question sociale, notamment autour des rapports de domination de classe, de caste, de race, de genre… Puis nous envisagerons comment cet acteur-sujet des Sans sert de réceptacle à la mémoire collective des luttes dans le temps et l’espace, en offrant un double cadre à la fois interprétatif des méfaits de la mondialisation libérale, mais aussi prospectif, comme espace producteur de solidarités face aux politiques sécuritaires et répressives, menées à l’encontre des pauvres, des exclus et des militants de leur cause.
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Labelle, Alexie. "Au-delà d’une fenêtre d’opportunité ? Expliquer le (re)cadrage des actions collectives de la diaspora tamoule depuis 2009." Articles 37, no. 1 (February 28, 2018): 31–51. http://dx.doi.org/10.7202/1043573ar.

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Abstract:
Nous observons, depuis la fin officielle du conflit sri lankais en 2009, un recadrage des actions collectives de la diaspora tamoule, caractérisé par un discours de reconnaissance du génocide. Ce dernier marque une rupture importante avec le discours d’indépendance des Tigres de libération de l’Eelam tamoul (LTTE), prédominant pendant le conflit. L’objectif de cet article est d’expliquer ce recadrage en mobilisant la littérature sur les mouvements sociaux et l’action collective, particulièrement les concepts de fenêtre d’opportunité et de structures mobilisatrices. À l’aide d’une analyse de cadrage qualitative, nous avons retracé, sur la plateforme Tamilnet.com, le discours de cinq acteurs collectifs diasporiques tamouls de 2000 à 2015. Nous soutenons ainsi que la fenêtre d’opportunité demeure à elle seule insuffisante pour expliquer le recadrage. En revanche, nous démontrons que ce changement s’explique plutôt par l’émergence de nouveaux acteurs collectifs, eux-mêmes porteurs d’un nouveau discours.
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Geoffroy, Martin. "Les mouvements sociaux. Diversité, action collective et globalisation de Antimo L. Farro, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, 2000, 260 p." Politique et Sociétés 20, no. 2-3 (2001): 260. http://dx.doi.org/10.7202/040294ar.

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Schulz, James H. "Frank T. Denton, Deborah Fretz, & Byron G. Spencer (Eds.). Independence and economic security in old age. Vancouver, BC: University of British Columbia Press, 2000." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 21, no. 2 (2002): 313–14. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800001574.

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Abstract:
RÉSUMÉCe livre réunit une série d'études portant sur la population aînée du Canada et plus particulièrement sur l'autonomie et la sécurité personnelle de ses membres. Il résulte de trois ans d'efforts d'une équipe de chercheurs représentant différentes disciplines. C'est pourquoi certains chapitres ont été écrits par des économistes, d'autres par des travailleurs sociaux et des sociologues ou encore par des chercheurs en santé ou des gérontologues. Rédigé sous la forme d'une monographie, les quatorze chapitres sont plus techniques et empiriques que théoriques et abordent des thèmes assez variés. À première vue, ils peuvent même sembler disparates. Mais en réalité, ils font ressortir quatre thèmes principaux: le bien-être économique à venir des aîné(e)s; le rôle des économies chez les aîné(e)s; le rôle des facteurs non économiques (mouvements de population, santé, indépendance, la «productivité» à la retraite); et enfin, les facteurs qui influent sur le bien-être économique des femmes. Il faut signaler que la lecture de ce livre n'apportera pas au lecteur une connaissance complète de ces thèmes. La plupart des thèmes abordés se situent à la fine pointe de la recherche et appartiennent à des secteurs circonscrits et on s'adresse ici à des lecteurs qui ont déjà amplement examiné le sujet.
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Sauviat, Catherine. "L’ETAT SOCIAL ET LES POLITIQUES PUBLIQUES, À L’ÉPREUVE DES MARCHÉS FINANCIERS ET DE LA CRISE." Revista Políticas Públicas 18 (August 5, 2014): 49. http://dx.doi.org/10.18764/2178-2865.v18nep49-60.

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Abstract:
L’Etat social et les politiques publiques qui l’accompagnent sont depuis les années 1980 en voie de régression en Europe et aux Etats-Unis sous le triple effet de la contre révolution néolibérale, de la pression des marchés financiers et plus récemment, de la crise économique et financière. Après avoir servi dans une première phase d’amortisseur à la crise, les politiques publiques de soutien à la demande sont devenues dans un second temps la cible des politiques d’austérité, conduisant dans certains pays à la résurgence de la question sociale. Cette entreprise n’est pas restée sans résistance. Elle a engendré grèves générales et mouvements sociaux dans les pays concernés, qui réaffirment l’exigence d’une délibération politique des enjeux économiques et sociaux et qui augurent peut être d’une nouvelle « grande transformation».Mots clefs: Etat social, politiques publiques, politiques sociales, politiques de l’emploi, crise, marchés financiers, dette publique, réformes des retraites.O ESTADO SOCIAL E AS POLÍTICAS PÚBLICAS, NA ADVERSIDADE DOS MERCADOS FINANCEIROS E DA CRISEResumo: O Estado social e as políticas públicas que o acompanham estão, desde os anos 1980, numa trajetória de regressão na Europa e nos Estados Unidos sob o triplo efeito da contrarrevolução neoliberal, da pressão dos mercados financeiros e, mais recentemente, da crise econômica e financeira. Depois de ter servido, numa primeira fase, deamortecedor da crise, as políticas públicas de sustentação da demanda tornaram-se, num segundo momento, o alvo das políticas de austeridade, levando ao ressurgimento da questão social em certos países. Esta operação não ocorreu sem resistência. Engendrou greves gerais e movimentos sociais nos países concernidos, que reafirmam a exigênciade uma deliberação política sobre dilemas econômicos e sociais e que são, talvez, o prenúncio de uma nova "grande transformação".Palavras-chave: Estado social, políticas públicas, políticas sociais, políticas de emprego, crise, mercados financeiros, dívida pública, reforma das aposentadorias.

Dissertations / Theses on the topic "Mouvements sociaux – Europe – 2000-":

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Marty, Laurence. "Apprendre et lutter au bord du monde : récits de mouvements pour la justice climatique en France et en Europe (2014-2017)." Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2021. http://www.theses.fr/2021EHES0143.

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Abstract:
Cette thèse porte sur les mouvements français et européens contre le dérèglement climatique et sur les tensions qui les caractérisent : qu’est-ce que lutter quand l’envergure de la catastrophe, l’urgence, et le sentiment d’impuissance prévalent ? Comment continue-t-on à lutter dans un monde en ruines qu’on ne croit plus pouvoir sauver ? Et comment le fait-on lorsqu’on se sait appartenir aux pays responsables (historiquement et encore aujourd’hui) des bouleversements environnementaux sans précédent qui nous arrivent ? L’ethnographie au cœur de cette thèse suit des activistes et collectifs dans la préparation des mobilisations qui ont eu lieu autour de la COP21 (Paris, décembre 2015) ainsi que dans la décomposition-recomposition des luttes climatiques qui l’ont suivie. Ces activistes et collectifs ont pour spécificité d’appartenir à l’espace du mouvement écologiste le moins institutionnalisé : leurs engagements dessinent un continuum d’agirs allant de l’agriculture vivrière à l’action directe. Ils relèvent par ailleurs de la partie du mouvement qui a participé à importer et nourrir un certain cadrage de l’enjeu climatique en France à compter de 2015 : celui de la justice climatique. A partir d’une ethnographie qui s’est aussi vécue comme une expérience à la première personne et un partage de vie aux côtés de ces activistes et collectifs, j’ai cherché à rendre sensibles les cheminements et apprentissages qui se déploient au sein des mouvements climat, comme les essoufflements, les doutes, les joies et les puissances qui s’y éprouvent. Le manuscrit est organisé en deux « volumes » qui correspondent chacun à une grande question adressée aux mouvements contre le dérèglement climatique qui relaie celles que se posent les militant.e.s elleux-mêmes : « quel est le "bon moyen" pour lutter contre le dérèglement du climat ? », et « quel est le "bon sujet politique" du mouvement pour la justice climatique ? ». A rebours de réponses univoques et absolues, je propose de penser ces questions comme des pharmaka au sens d’Isabelle Stengers : en fonction de leur dosage, elles peuvent rendre puissant.e.s comme elles peuvent affaiblir, empoisonner. Chacun des deux volumes est lui-même composé de plusieurs « récits » qui font le travail de décaler ces questions et de montrer leurs effets en situation. Enfin, entre ces « récits » sont intercalés des « ateliers » qui sont la reprise de notes de formations auxquelles j’ai participé dans les mouvements climat depuis 2015
This dissertation focuses on the French and European movements against climate change and on the tensions that characterize them: what does it mean to fight when the scale of the disaster, the sense of urgency and the feeling of powerlessness prevail? How does one keep fighting in a world in rubble, which we do not believe we can save anymore? And how do we do so when we know that we belong to the countries responsible (historically and still today) for the unprecedented environmental disruptions that are happening to us? This ethnography explores the actions of activists and collective groups in the preparation of the mobilizations that took place around the COP21 (Paris, December 2015). It examines the decomposition and re-composition of the struggles against climate change that ensued. The specificity of these activists and collectives is that they belong to the least institutionalized space of the environmental movement: their commitments rested on a continuum of collective actions ranging from food farming to direct action. Moreover, they belong to the part of the movement that has participated in importing and developing the climate justice framing in France since 2015. From this ethnography, which was also lived as a personal experience, whereby I shared moments of life with these activists and collectives, I sought to make tangible the pathways and learnings that unfolded within the climate movements, as well as the breathlessness, doubts, joys and empowerment, which have been experienced in these movements.The manuscript is organized in two "volumes", each of which corresponds to a major question addressed to the movements against climate disruption and which relays those asked by the activists themselves: “What is the ‘right way’ to fight against climate disruption?” and “What is the ‘right political subject’ of the movement for climate justice?” In contrast to univocal and absolute answers, I propose to think about these questions as pharmaka in the sense of Isabelle Stengers: depending on their dosage, they can empower or weaken, poison. Each of the two volumes is itself composed of several “stories”, which are used to shift these questions and showing their effects in situation. Finally, between these stories I have interspersed “workshops”, which are the summary of notes I took during trainings, in which I participated in the climate movements since 2015
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Genicot, Geneviève. "L'intérêt étudiant face à l'Europe : étude comparée de la représentation étudiante en Belgique, France, Italie et Portugal dans le Processus de Bologne 1999-2005." Grenoble 2, 2008. http://www.theses.fr/2008GRE21042.

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Abstract:
Les universités se conforment toujours plus à de nouveaux objectifs élaborés au niveau international par l'OCDE et repris par une UE qui projette son futur économique dans la "société de la connaissance". Les mots d'ordre de compétitivité, rentabilité, excellence, autonomie et diversification des financements posent question aux défenseurs d'une université formatrice de sujets autonomes et critiques. Face à la norme économiciste dominante s'élabore une contre-norme humaniste, "anti-marchande". La majorité des organisations de représentation étudiante européennes construisent et définissent l'intérêt étudiant dans le cadre de cette opposition normative; ainsi, elles ont souvent qualifié de néo-libérales les réformes découlant du Processus de Bologne. Mais cette contre-norme partagée ne renverse pas la tendance. Comment est-elle concrètement mise en œuvre? L'enquête approche la vie concrète des représentants étudiants. Des entretiens et des séjours d'observation participante (bureaux, manifestations, congrès) ont été menés en Belgique, France, Italie et Portugal, sur 3 niveaux (local, national, européen). A côté de deux réseaux de mobilisation européens (l'un fait du lobbying à Bruxelles, l'autre est proche de l'altermondialisme), l'étude des niveaux locaux et nationaux démontre une marginalisation voire une absence de l'Europe dans le cadre de pensée quotidien des militants étudiants, au profit de thématiques locales ou de luttes de pouvoir nationales. La géographie mentale des acteurs, définie par leur quotidien géographiquement ancré, est au moins autant responsable de ce déficit de vision européenne que les objectives difficultés matérielles de coordination
Universities follow still more new objectives elaborated at the international level by the OECD and taken back by the EU which projects its economic future through "knowledge society". Objectives like competitivity, rentability, excellence, autonomy and diversification of financing sources are questioning for those who defend a university model for education and emancipation of autonomous individuals. In front of the dominant economicist norm, a humanist counter-norm is elaborated. Main part of students' organisations in Europe defines students' interest within the frame of this normative opposition; they have for instance called Bologna Process reforms, neoliberal. But this shared counter-norm does not influence trends in higher education policies. How is that counter-norm implemented? The study approaches concrete life of students' representatives. Interviews and participant observation (in offices, demonstrations and congresses) have been carried in Belgium, France, Italy and Portugal, on three levels (local, national and European). Besides the study of two European mobilization networks (one of them lobbying in Brussels, the other one being linked with No Global movements), the study of local and national levels of student representation shows a quasi-absence of Europe in the mental daily framework of action. Instead local problems or national power struggles are much more important at these levels. The mental geography of the actors, which is defined by their daily geographically rooted experience, is at least as much responsible for this deficit of European vision, as are the objective practical problems of coordination at European level
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Moissonnier, Loïc. "Coordination et conflits dans le mouvement altermondialiste européen : l'expérience de trois réseaux thématiques dans le cadre du Forum Social Européen (2005-2010)." Thesis, Grenoble, 2011. http://www.theses.fr/2011GRENH011/document.

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Abstract:
Cette thèse porte sur le mouvement altermondialiste dans sa déclinaison européenne, en s'intéressant en particulier au processus du Forum Social Européen tel qu'il a été initié à Florence en novembre 2002. Plus spécifiquement, nous nous intéressons à des réseaux thématiques qui se sont constitués au fil des éditions du Forum Social Européen avec l'objectif de renforcer la coordination entre les différents participants au Forum, sur des thèmes économiques et sociaux liés à l'intégration européenne. Ces réseaux ont été constitués dans le sillage des grandes manifestations altermondialistes de portée européenne qui se sont développées dans les années 90-2000. Rapidement après leur création, ces réseaux ont cependant réuni de moins en moins de participants et ont finalement disparu en tant qu'espaces d'organisation collective. Cette thèse vise principalement à expliquer l'échec de ces réseaux. La mise en relation de la création de nos réseaux thématiques avec les mobilisations de l'altermondialisme européen, qui semblent s'essouffler au milieu des années 2000, nous incite à les analyser dans le cadre d'un processus de démobilisation au niveau européen. Celui-ci se traduit par des conflits entre les participants restant sur les modes de fonctionnement collectif au sein des réseaux ou sur les stratégies collectives à mettre en œuvre, et finalement à de nouveaux retraits de participants. La distinction de plusieurs phases entre 2005 et 2010 nous permet par ailleurs d'envisager cette combinaison entre démobilisation et conflits à plusieurs niveaux. Tandis que la fin de campagnes altermondialistes en Europe nous permet d'observer des conflits entre les acteurs sur le rôle de réseaux thématiques comme structures potentielles d'action collective, la baisse de la participation dans le cadre spécifique du Forum Social Européen fait naitre des conflits sur le rôle que devraient endosser ces réseaux dans ce processus. Finalement, le fort déclin de la participation dans le FSE d'Istanbul en 2010 aboutit à la disparition des réseaux thématiques étudiés. Au-delà de leur échec, ce travail se termine néanmoins par la mise en évidence des apports de ces expériences sur la constitution d'un groupe d'acteurs à l'échelle européenne entretenant des objectifs proches
This thesis is about the Global Justice Movement (GJM) in its European dimension, focusing on the European Social Forum process which was launched in Florence in November 2002. More precisely, specific thematic networks have been created in the course of this process with the aim of strengthening coordination between different participants on economic and social issues linked with the European integration. These networks were created in the wake of some campaigns of the Global Justice Movement in Europe which developed in the years 1997-2005. However, fewer and fewer participants took part in the meetings of the networks, and they finally disappeared as spaces of collective organisation. This thesis is aimed at explaining the failure of these networks. We first analyze their creation as a sign of a larger process of demobilisation after 2005, concerning the whole GJM in Europe. This process leads to conflicts between remaining participants, about the internal functioning of the networks (modes of decisions, etc.) and the external collective strategies that should be defined. We distinguish several phases between 2005 and 2010 where we can find this combination between demobisation and internal conflicts in the networks. Although we observe conflicts between actors of the networks while some global justice campaigns are coming to an end in Europe (2005-2006), the decline of participation in the European Social Forum leads to conflicts about the role these networks should have in this process (2007-2010). Finally, the huge loss of participants in the ESF in Istanbul in 2010 led to the end of the thematic networks which are studied here. Beyond their failure, we point at the end of this thesis the positive contribution of these experiences that favoured the constitution of a coherent group of actors with similar objectives at the European level
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Rivat, Emmanuel. "La transnationalisation de la cause antinucléaire en Europe : une approche comparée de la France et des Pays-Bas : (1970-2010)." Thesis, Bordeaux 4, 2013. http://www.theses.fr/2013BOR40005.

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Abstract:
La plupart des travaux portant sur la politique et la contestation de l’énergie nucléaire étudient des enjeux de mobilisations locaux et nationaux. Cette thèse a pour but de montrer que si les théories de la « nouvelle gouvernance » défendent l’hypothèse d’un dépassement de l’État, elles ne permettent pas de suffisamment saisir les dilemmes et les blocages de la transnationalisation de la cause anti-nucléaire. A partir de travaux de la sociologie des mouvements sociaux, des réseaux et de la sociologie politique, cette thèse vise à mieux comprendre la genèse et les modalités de la coopération et de la concurrence des Verts européens, des ONG environnementales telles que Greenpeace et Les Amis de la Terre, et des groupes locaux et nationaux. De la première conférence internationale des Nations Unies sur l'environnement de Stockholm en 1972 à la conférence sur le changement climatique de Copenhague en 2009, cette thèse étudie pourquoi et comment les militants se saisissent d’opportunités politiques internationales ou européennes. Elle explicite deux dilemmes de la coopération transnationale, à savoir la diversité des contraintes nationales des champs politiques et le degré d’institutionnalisation des groupes de contestation. Elle analyse enfin comment les militants établissent les règles de fonctionnement d’un capital social transnational comme « bien collectif » qui facilite la production, la circulation et la réception de différents types de ressources et de compétences sociales pour les militants. Loin de céder aux sirènes de l’avènement d’une « société civile transnationale », ce travail insiste sur la grande hétérogénéité pdes militants, profondément ancrés dans des champs politiques nationaux. Cette situation explique que l’activisme transnational en Europe demeure provisoire et discontinu
Most of the work about the politics and contention of nuclear energy deal with local and national issues. This thesis aims to show that « new governance » theories, speaking about the decline of the state, cannot capture properly enough the various dilemmas and conflicts that prevent the rise and dynamic of the transnationalisation of the antinuclear cause. Based on social movement sociology, network sociology and political sociology, this work studies the incremental cooperation between green political parties, environmental NGO’s such as Greenpeace and Friends of the Earth, and last but not the least, local and national protest groups from the beginning of the 1970’s to the end of the 2000’s. From the first United Nation International Conference on the Environment of Stockholm in 1972 to the International Conference on Climate Change of Copenhagen in 2009, this thesis show why and how transnational activists perceive and size political international and European opportunities. It shows as well how activists face two kinds of dilemmas that prevent further transnational cooperation: the widediversity of constraints of political fields and the degree of institutionalization of antinuclear groups. It focuses on how antinuclear activists become able to build up rules of transnational social capital, understood as a “collective good” that may well facilitate the production, circulation and reception of different types of social resources and competences for activists. Far from turning a blind eye on the contradictions of what could be seen as a « transnational civil society », this work emphasizes the heterogeneity of activists, who remain deeply rooted into national political fields. This situation explains why transnational activism in Europe is still temporary and discontinuous
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Rammelt, Henry. "La mobilisation sociale en Europe de l'Est depuis la crise financière de 2008 : une analyse comparative de l’évolution des réseaux militants en Hongrie et en Roumanie." Thesis, Lyon, 2016. http://www.theses.fr/2016LYSE2168/document.

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Abstract:
La crise financière a démystifié le système capitaliste aux yeux de larges segments de la population d’Europe de l'Est, exacerbant le décalage entre les attentes suscitées par le processus de démocratisation et la situation, souvent difficile, d’un nombre important de citoyens. Dans ce contexte, l'indignation que certains d’entre eux expriment s'est dirigée contre la classe politique, donnant naissance à de nouvelles formes de mobilisation. Cette thèse analyse ces mobilisations dans un cadre comparatif incluant des réseaux militants en Hongrie et en Roumanie, sur la période 2008 - 2014. Quelles sont les caractéristiques des récentes vagues de protestations ? Ces protestations s’inscrivent-elles dans la continuité de répertoires d’action plus anciens ? Si la Roumanie et la Hongrie sont « en transition », quelles sont les mutations qui affectent les conditions de mobilisation ? Comment expliquer les différences de dynamiques que l’on observe dans les deux pays ? Pour répondre à ces questions, nous avons essayé de bâtir des passerelles entre deux champs de recherche, celui de la transition démocratique et celui des mouvements sociaux. En Roumanie comme en Hongrie, la prise en compte des transformations systémiques induites par la transition semble en effet essentielle à la compréhension des phénomènes de mobilisation récents. L'analyse détaillée des processus d'accumulation de capital social relationnel et cognitif qui en résulte - à l’origine de l’émergence de nouvelles générations d’activistes – constitue l’apport principal de notre travail. La démarche diachronique que nous avons adoptée nous a par ailleurs permis d’identifier et de caractériser les influences qu’un réseau militant peut avoir sur un autre et l’impact d’une protestation sur la suivante. Soucieux de produire des informations précises et circonstanciées sur l’environnement politique, économique et culturel dans lequel naissent les mobilisations étudiées, nous avons interrogé, à partir d’un sondage en ligne, des spécialistes de la société civile, des médias et de la vie politique des deux pays. Parallèlement, nous avons réalisé 26 entretiens approfondis avec des activistes en Hongrie et en Roumanie pour parvenir à définir les processus de mobilisation des ressources, les canaux de mobilisation utilisées, les caractéristiques des réseaux et des organisations en présence, mais aussi l’identité des activistes et, subséquemment, leur perception du contexte d’action dans lequel ils s’inscrivent. En prenant en compte l’ensemble de ces éléments, nous avons pu montrer comment l'accumulation d’expériences de mobilisations nourrissait les mouvements suivants, plus nombreux et plus visibles au fil du temps. Dans cette dynamique, les réseaux sociaux en ligne jouent un rôle essentiel. La socialisation politique sur Facebook a notamment contribué au développement d’une identité commune et à la transformation de l'indignation personnelle en engagement collectif. La multiplication des interactions sociales, une certaine similitude de goûts et de visions du monde, ainsi qu’un effort de réseautage ont permis à l'activisme en ligne de se transformer en activisme de rue. La nature et l’intensité de cet engagement diffèrent selon les deux pays. En Roumanie, « un militantisme récréationnel » puisant ses racines dans la simultanéité de la consommation culturelle et de l'implication civique est observable. A l’inverse, en Hongrie l’enthousiasme civique semble s’essouffler. Confrontés à un pouvoir politique stable, soutenu par la majorité de la population et capable de s'opposer fermement aux initiatives de la société civile, les mouvements de contestation hongrois n’ont pas réussi à déstabiliser le pouvoir en place. Cet exemple montre qu’une culture de protestation relativement vivace ne débouche pas automatiquement sur un fort niveau de mobilisation citoyenne. Par contraste, le cas de la Roumanie
In Eastern Europe the financial crisis of 2008 highlighted the gap between expectations concerning the new configuration of liberal and capitalist states on the one hand, and the social realities on the other. Waves of contention followed, which were provoked especially by austerity measures implemented by the respective governments. These were in their majority directed against the post-communist elites, which were held responsible for the perceived slow progress regarding economic performance and the democratization process in the years before. With the purpose of analyzing new forms of collective action and protests that appeared following this crisis, this dissertation is dedicated to study, in a comparative manner, activist networks in Hungary and Romania between 2008 and 2014.The following questions are in the center of the study: Are those recent waves of mobilization different from forms of protests prior to the crisis or can we observe a continuation of repertoires of contention? If Romania and Hungary are considered to be countries still located in the transition process, without having reached the “goal” of consolidated democracies, are the conditions and forms of collective action also undergoing profound transformations? If so, how can we explain the different dynamics in those two countries?Given the fact, that the analysis of social movements is becoming a multicentric subfield of social sciences, the present study draws on a diversity of analytical angles, not only stemming from approaches to investigate social movements and regime change, but also including additional theoretical avenues, in order to answer these main questions. Taking into account the transformation background of Romania and Hungary seems the appropriate perspective to understand recent mobilizations. For this purpose, this study analyzes processes of the accumulation of cognitive and relational social capital, shaping a new generation of activists. By doing so, the emphasis could be put on observing the effects of protests on subsequent mobilizations and the spillover/ interaction between activist networks over time. In a first step, I gathered comparable data on the political, economic and social environment, in which these networks arose, by carrying out expert on-line surveys in both countries. For a better understanding of mechanisms of resource mobilization, mobilization channels, network characteristics and organizational features, I conducted 26 in-depth interviews with activists from both countries. As a result, I was able to highlight the significance of protest-specific experiences for future mobilizations. Online social networks appear to play a key role in this dynamic in contemporary social movements, mainly through their capacity of generating a collective identity and transforming personal indignation into collective action. The nature and the intensity of this dynamic vary in the two countries. While I observed a growth of, what I called “recreational activism” in Romania, resulting from the concomitance of patterns of cultural consumption and civic involvement, a certain protest fatigue can be attested for the first years after the crisis in Hungary. Confronted with stable political configurations and a government that is widely supported by the electorate, movements contesting the power of Fidesz were not able to destabilize existing power structures in Hungary. Hence, this study shows that a longstanding culture of protest and of civic engagement does not necessarily lead, in different circumstances, to high levels of political activism of challengers to political power. Furthermore, the Romanian case suggests that rather the absence of such a culture, combined with a lack of precedent and experiences for both, engaged citizens and authorities can open spaces for renegotiating rules and provoke (lasting) political and cultural changes
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Marmorat, Marion. "Controverse socio-technique autour des barrages danubiens Gabčikovo-Nagymaros, 1977-2004 (Hongrie/Slovaquie) : étude microsociologique des relations internationales." Paris, Institut d'études politiques, 2006. https://spire.sciencespo.fr/notice/2441/53r60a8s3kup1vc9kd4chgdj7.

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Abstract:
Cette controverse autour du projet hydroélectrique danubien hungaro-slovaque est considérée dans cette thèse à la fois comme un exemple représentatif de grandes problématiques (transnationalisme, contestation sociale, mondialisation et enjeux planétaires environnementaux), comme un angle d’approche pour appréhender la recomposition de l’ordre international contemporain et enfin comme un champ d’élucidation et d’application d’outils conceptuels empruntant aux relations internationales, aux politiques publiques, à la sociologie politique et à la géographie. L’attention est portée sur les acteurs et leurs interactions dans une réflexion combinant les interrogations théoriques, méthodologiques et l’enquête empirique dans le but de concilier les niveaux macro et microsociologiques de la recherche. Les questions d’expertise et de militantisme, les dimensions scientifiques et environnementales sont plus particulièrement examinées à travers l’étude microsociologique des pratiques, des discours et du parcours d’acteurs impliqués dans cette étude de cas, dans la lignée de la sociologie de la science et des travaux portant sur les controverses socio-techniques
This controversy about the hydropower dam project located on the Danube river basin between Slovakia and Hungary is taken up in three different ways. It first stands as an example of global issues such as transnationalism, social contention, globalization and environmental global issues. It then allows for an inquiry of the recomposition of the international order. It finally offers a field of discovery and implementation of various conceptual tools borrowed from different disciplines : international relations, public policy, political sociology et geography. We focus our attention mainly on actors and their interactions guided by a train of thought which combines theoretical, methodological perspectives and empirical research. Our goal is to reconcile micro and microsociological approaches. Expertise, activism, scientific and environmental dimensions are looked upon with more care through the studies of practices, discourses et personal careers of the main actors of the dispute, drawing inspiration from the sociology of science and the socio-technical controversies approach
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Hrabanski, Marie. "Évolution de la conflictualité sociale et des modes de représentation des groupes d'intérêt dans un espace politique multi niveaux : les agriculteurs du tabac et de la betterave à sucre en France et en Europe." Lille 1, 2007. https://pepite-depot.univ-lille.fr/LIBRE/Th_Num/2007/50377-2007-19-1.pdf.

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Abstract:
La politique agricole commune est une des politiques les plus intégrées de l'Union européenne. A ce titre, la majorité des décisions sont prises à Bruxelles, et les applications sont négociées au niveau national. Les agriculteurs français ont du élargir leurs stratégies et leurs formes organisationnelles et doivent se mobiliser dorénavant dans un espace polycentrique dans lequel Paris et Bruxelles constituent leurs deux cibles privilégiées. Comment, dans ce contexte, les groupes d'intérêt agricoles français mènent-ils des actions collectives en Europe, et dans quelle mesure la constitution d'un niveau politique supplémentaire et le développement de l'interdépendance entre les groupes de différentes sociétés nationales influencent-ils les formes de la conflictualité sociale en France et en Europe? Nous avons choisi d'étudier les réformes agricoles des secteurs du sucre et du tabac pendant les phases de négociation européenne. L'enquête a révélé que la transnationalisation de la représentation des intérêts a des effets sur l'organisation des groupes, au niveau national comme au niveau communautaire. L'insertion dans un espace politique transnational particulièrement sélectif modifie les cadres cognitifs des représentants d'intérêts qui y interviennent. Ces derniers sont soumis à une forme de socialisation à l'Europe qui facilite l'adoption des modes de négociation valorisés par les institutions communautaires. L'expertise devient le mode dominant de représentation des intérêts tout en participant à la légitimation de l'UE. Les formes conflictuelles semblent ainsi majoritairement exclues du répertoire d'action des groupes d'intérêt insérés au processus décisionnel.
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Fornillo, Bruno. "Le mouvement vers le socialisme au pouvoir en Bolivie : figures de cogouvernement, antagonismes territoriaux et horizon révolutionnaire." Paris 8, 2012. http://octaviana.fr/document/185436633#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
En Bolivie, le cycle politique qui a débuté en 2000 lors de la « guerre de l’eau », et dont son point de repère central a été l’accession du Mouvement vers le Socialisme (MAS) aux plus hautes sphères du pouvoir politique a réveillé les attentes de mise en place d’un projet de « décolonisation ». La thèse que nous présentons a pour but d’appréhender les vicissitudes qui secouent ce pays enclavé. On examinera de manière approfondie l’action des organisations sociales pendant le gouvernement evista, sans doute un des gouvernements les plus prolifiques sur la scène latino-américaine actuelle si nous considérons que sa puissance « instituante » s’est forgée depuis « le bas ». Dans ce cadre, l’interrogation qui sous-tend la totalité du cheminement de la recherche est la suivante: dans la conjoncture du gouvernement du MAS, quelle a été l’action collective des organisations sociales subalternes entre les années 2005 et 2010? Bien que cela soit clairement une préoccupation propre à la sociologie politique à caractère général, pour l’aborder, la recherche est structurée autour d’une série de problématiques appréhendées comme composantes centrales du processus politique bolivien, ce qui nous permettra d’exposer les évènements de la première gestion evista: « cogouvernement », « antagonisme territorial » et « révolution ». Ainsi, sur la base d’un travail de terrain qui a duré plus d’un an, de recompilation d’informations dans les différentes régions et de la réalisation de plus de quatre-vingt entretiens, le propos de notre travail est de se focaliser sur la vie historico-politique récente de cette géographie ando-amazonienne
N Bolivia, the political cycle that began in 2000 with the “war of water” and whose landmark was the arrival of the “Movimiento al Socialismo” (Movement for Socialism) to the higher ranks of the political spectrum, arouse the expectations of giving expression to the project of “decolonization”. The dissertation seeks to provide an insight into the vicissitudes that this Mediterranean country is currently facing, examining in depth the performance of the subaltern social organizations during the “Evista” administration, which is certainly one of the most vitals experiences in the present Latin American scenery if we consider that its political potential has emerged ”from below”. In this perspective, the guiding question of the complete trajectory traced throughout this dissertation could be enunciated as follows: How did the collective action of the subaltern social organization operate between 2005 and 2010 in the context of the government of “MAS”? Due to the fact that this is a question to be addressed by a political sociology of a general character, the dissertation is structured in a series of questions: “co-government”, “territorial antagonism” and “revolution”, as fundamental components of the Bolivian political process, which allow us in turn to situate and trace how the most important events during the first “Evista” presidential mandate were experienced. Therefore, through an inter-disciplinary approach, recovering and getting information from different regions, and having made more than eighty interviews, the dissertation focuses on the recent political and historical life of this Andean and Amazonian geography
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Toscano, Emanuele. "Le mouvement alterglobal en Europe : subjectivité et élaboration d’alternatives : une comparaison entre les cas italien, français et anglais." Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0175.

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Abstract:
La thèse regarde l’étude et l’analyse des initiatives fait d’un ensemble d’acteurs individuels et collectifs qui, tant sur le plan mondial que local, ont joué un rôle de protagonistes entre les dernières années du XXè siècle et le début du troisième millénaire, pour la mise en place d’un mouvement baptisé « alterglobal » – définition due à la particularité des discours tenus et des significations données à l’action de ce mouvement appelé avec une certaine superficialité par les médias du monde entier « no global » ou « anti mondialiste». Cette recherche veut démontrer que le but de l’action alterglobal, tout en exerçant des pressions institutionnelles par le bais de ses composantes sur différents niveaux de la vie sociale, n’est pas seulement de vouloir trouver des nouvelles formes d’interventions institutionnelles et de participation politique. Objectif de la thèse est aussi de démontrer que le mouvement alterglobal est composé d’une multitude d’orientations et des sensibilités subjectives qui ne cherchent pas une représentation alternative à la représentation politique pour la revendication de leurs propres intérêts et droits ni le moyen par lequel les individus peuvent participer au débat public global, comme le soutiennent les auteurs proches de la Global Civil Society. Au contraire, l’action alterglobal place en tête de ses objectifs, la reconnaissance et l’affirmation des droits culturels, politique et sociaux relatifs à la spécificité subjective individuelle et de groupe. Le travail de thèse concerne l’analyse du mouvement alterglobal dans trois différents contextes nationaux : l’Italie, la France et l’Angleterre
The thesis looks at the study and analysis of initiatives set up by individual and collective actors that - both globally and locally - have played between the last years of the twentieth century and the beginning of third millennium a key role for the establishment of a movement called "alterglobal”. This definition is due to the particularity of meanings given to the action of this movement, called with certain superficiality in the worldwide media "no global" or "anti globalist". This research aims to demonstrate that the purpose of the alterglobal action - while exercising institutional pressures by its components at different levels of social life – is not reduced to find new forms of institutional interventions and political participation. Objective of the thesis is also to demonstrate that the alterglobal movement is composed by a multitude of orientations and subjective sensitivities who are just not seeking an alternative to political representation for the claim of their own interests and rights nor the way by which individuals can participate in the global public debate, as argued by the authors inspired by the Global Civil Society theory. Instead, the alterglobal action place at the head of its objectives the recognition and affirmation of cultural, political and social rights related to individual and group subjective specificity. The thesis concerns the analysis of alterglobal movement in three different national contexts : Italy, France and England
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Durand, Guevara Anahí. "Donde habita el olvido : los (h)usos de la memoria y la crisis del movimiento social en San Martín : memoria, política y movimientos sociales en la región San Martín (1985-2000) /." Lima : Fondo editorial de la Facultad de ciencias sociales UNMSM, 2005. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41215508h.

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Books on the topic "Mouvements sociaux – Europe – 2000-":

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Cattacin, Sandro. Mouvements sociaux et état: Mobilisations sociales et transformations de la société en Europe. [Arles, France]: Centre européen de la culture/Actes sud, 1997.

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United Nations. Economic Commission for Europe. Statistical Division. and United States. Bureau of the Census., eds. Women and men in Europe and North America, 2000. 2nd ed. New York: United Nations, 2000.

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3

Lende, Piet Van der. Les Droits sociaux dans l'Europe élargie: Pour une solidarité Est/Ouest des mouvements sociaux : conférence débat ... Bruxelles, 19 et 20 mars 2004. Paris: Syllepse, 2004.

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Sommier, Isabelle. Les nouveaux mouvements contestataires: À l'heure de la mondialisation. [Paris]: Flammarion, 2001.

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1956-, Della Porta Donatella, ed. Another Europe: Conceptions and practices of democracy in the European social forums. Milton Park, Abingdon, Oxon: Routledge, 2009.

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6

Colloque, Mouvement des citoyens (France). Mondialisation libérale, Europe, Etats-nations: Colloque organisé par le Mouvement des citoyens, Maison de la chimie, 21 mai 2000, suivi de, Un avenir démocratique pour l'Europe, par Sami Naïr, juin 2001. Paris: Mouvement des citoyens, 2001.

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Woodward, Alison E. Transforming gendered well-being in Europe: The impact of social movements. Farnham: Ashgate, 2011.

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8

Utting, Peter, Annekathrin Ellersiek, and Mario Pianta. Global justice activism and policy reform in Europe: Understanding when change happens. New York, NY: Routledge, 2012.

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Wandel, Lee Palmer. Voracious idols and violent hands: Iconoclasm in Reformation Zurich, Strasbourg, and Basel. Cambridge: Cambridge University Press, 1995.

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10

Ruzza, Carlo. Europe and civil society: Movement coalitions and European governance. Manchester: Manchester University Press, 2004.

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Book chapters on the topic "Mouvements sociaux – Europe – 2000-":

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Della Porta, Donatella. "13. Mouvements sociaux et violence politique." In Les violences politiques en Europe, 271–91. La Découverte, 2010. http://dx.doi.org/10.3917/dec.crett.2010.01.0271.

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2

Van der Linden, Marcel. "5. Syndicalismes et « nouveaux » mouvements sociaux autour de 1968." In L’apogée des syndicalismes en Europe occidentale, 139–66. Éditions de la Sorbonne, 2006. http://dx.doi.org/10.4000/books.psorbonne.44543.

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3

Gilcher-Holtey, Ingrid. "5. Quand les phrases interdites descendaient dans la rue : mouvements sociaux et internationalisation – l'exemple de Mai 68." In L’espace intellectuel en Europe, 183–97. La Découverte, 2009. http://dx.doi.org/10.3917/dec.sapir.2009.01.0183.

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4

Mazières-Vaysse, Adrien. "Chapitre 12. Des « paroles précaires » ? Porter la parole dans les mouvements sociaux de jeunes précaires des années 2000." In Le porte-parole, 271–92. Presses universitaires du Septentrion, 2022. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.131466.

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