Academic literature on the topic 'Mobilisations écologistes'

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Journal articles on the topic "Mobilisations écologistes"

1

Hagimont, Steve. "Décoloniser les montagnes ? Genèse de la loi Montagne (9 janvier 1985)." 20 & 21. Revue d'histoire N° 159, no. 3 (April 16, 2024): 127–42. http://dx.doi.org/10.3917/vin.159.0127.

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Abstract:
Cet article revient sur le processus d’élaboration de la loi Montagne pour essayer de comprendre comment, après des années 1970 ponctuées de fortes mobilisations environnementales et les ambitions écologiques affichées par les socialistes, la loi finalement votée a pu faire primer les questions de développement sur celles de protection. Une partie de la réponse vient de la place prise par la rhétorique anticolonialiste assimilant, à partir d’un récit historique simpliste, la montagne à un territoire colonisé par la France urbaine et par ses lubies écologistes. Si la loi intègre certains des mots d’ordre des mobilisations sociales et écologistes des années 1970, les discussions avec les élus, les administrations et le monde socio-professionnel entre 1982 et 1985 vident peu à peu les mots de leur substance et entérinent une opposition arbitraire entre une écologie « citadine » et les intérêts des « montagnards ».
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Durand, Lucie. "Le travail social à l’épreuve des écologistes. Proposition d’une reconfiguration du secteur." Sociographe N° 86, no. 2 (May 7, 2024): 53–68. http://dx.doi.org/10.3917/graph1.086.0053.

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Abstract:
Aujourd’hui, parmi ses missions, le travail social détient celle de l’accompagnement au changement social. Ce dernier se manifeste, notamment, au travers des mobilisations collectives écologiques. Sur le territoire rural étudié au cours d’une recherche, un conflit écologique se révèle dépassé par la violence ce qui produit entre autres, omerta et clivage. L’objectif de l’article est de repérer la place du travail social dans ce contexte. Les compétences de l’ingénierie sociale sont mises à l’œuvre en soutien à la reconfiguration du travail social sur un territoire en conflit écologique. Militants, acteurs sociaux, acteurs politiques et institutionnels apparaissent faibles, enclavés et/ou empêchés pour diverses raisons qui sont explorées au cours de l’article.
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Le Goff, Jean. "Éco-anxiété ou écologie positive ? Penser le pouvoir mobilisateur des affects." Nouvelle revue de psychosociologie N° 37, no. 1 (May 7, 2024): 135–48. http://dx.doi.org/10.3917/nrp.037.0135.

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Abstract:
Pour mobiliser sur l’écologie, vaut-il mieux miser sur l’éco-anxiété et les sentiments moraux ou faire appel au registre positif de l’espoir et du désir ? Ce débat est actif tant dans le monde militant qu’au sein de la littérature académique. Cependant, un aspect reste trop souvent méconnu : la façon qu’ont les militants de mobiliser autrui est en rapport avec la manière dont ils se sont eux-mêmes mobilisés. En particulier, les stratégies et les pratiques de mobilisation peuvent être inconsciemment utilisées pour faire face à l’angoisse grâce à deux types de défense, les défenses de la position schizo-paranoïde et de la position dépressive, conceptualisées par Melanie Klein. Cet article propose de considérer l’action écologiste non pas comme une réponse mécanique à un affect donné, mais comme un processus mettant en jeu deux rapports distincts aux angoisses écologiques. La tâche des écologistes devient alors non pas d’actionner les bons leviers, mais de soutenir la capacité collective à naviguer entre ces deux positions psychiques.
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Babou, Igor. "Petits gestes versus grande politique ? Quand un squat pratique l’écologie sociale." Sociographe N° 86, no. 2 (May 7, 2024): I—XVI. http://dx.doi.org/10.3917/graph1.086.i.

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Abstract:
La question que pose cet article est celle des leviers d’action non étatiques qui permettraient de porter le projet d’une écologie sociale. On y répond sur la base de l’ethnographie d’une mobilisation écologiste réalisée entre 2018 et 2021 dans un squat en banlieue parisienne. Après une présentation de l’écologie sociale, puis des relations entre écologie, milieu urbain et squats, des réflexions relevant de l’écologie politique seront tirées de cette ethnographie.
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Erk, Jan. "Mobilizing in the Vernacular: Environmentalists and Federal Institutional Change in Belgium and Germany." Canadian Journal of Political Science 46, no. 2 (June 2013): 345–67. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423913000498.

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Abstract:
Abstract.This article proposes the nexus between social movements, interest groups and citizen initiatives, on the one hand, and federalism, on the other, as the key to unlock a theory of gradual institutional change. The empirical context is the pattern of mobilization of Belgian and German environmentalists. In time, subnational jurisdiction over environment in Germany gave way to a nationwide one, while national policy in Belgium was devolved to the subnational level. Evidence shows that, in addition to direct institutional opportunities and constraints external to interest groups, a key internal factor—language—indirectly influenced the level mobilization in the long run. United by a common language, various German environmentalist groups gravitated towards a nationwide frame of reference, in due course bringing about institutional changes towards nationwide policies. In Belgium, divisions between Flemings and Francophones brought institutional change in the opposite direction.Résumé.Cet article propose de mettre en relation d'une part mouvements sociaux, groupes d'intérêt et initiatives citoyennes, et d'autre part la réflexion sur le fédéralisme comme clé pour formuler une théorie du changement institutionnel graduel. Le contexte empirique de l'article est le modèle de mobilisation des mouvements écologistes belges et allemands. Avec le temps, en Allemagne, la compétence sous-nationale sur l'environnement a fait place à l'échelon national, alors que la politique nationale en Belgique a été transférée au niveau sous-national. L'analyse montre qu'outre les opportunités institutionnelles et les contraires extérieurs aux groupes d'intérêt, un facteur-clé interne – la langue – a indirectement influencé le niveau de mobilisation sur le long terme. Unis par une langue commune, divers groupes écologistes allemands ont évolué vers un cadre national de référence, apportant en temps voulu des changements institutionnels à l'égard des politiques à l'échelle nationale. En Belgique, les divisions entre Flamands et Francophones ont mené les changements institutionnels dans la direction opposée.
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Gaborit, Maxime, Yann Le Lann, Anaëlle Solnon, and Hugo Touzet. "Marcher contre l’inaction climatique." Politix 145, no. 1 (August 19, 2024): 135–62. http://dx.doi.org/10.3917/pox.145.0135.

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Abstract:
Entre 2018 et 2019, les manifestations et « grèves » étudiantes et lycéennes pour lutter contre le dérèglement climatique se sont multipliées et se sont imposées au cœur de l’actualité politique. Aux côtés d’autres types d’actions, ces mobilisations témoignent de la permanence des formes classiques de l’action collective. Face à ce qui s’apparente à un nouveau cycle dans l’histoire du militantisme écologiste, les enquêtes récentes se sont centrées sur les modes d’action les plus engagés (blocages, occupations…). Cet article se présente comme une contribution visant à éclairer des mobilisations plus massives, à partir de données quantitatives, afin de rendre compte des continuités et des évolutions quant aux profils sociaux et politiques des manifestant·es engagé·es sur les questions environnementales. Sur la base de questionnaires administrés au cours de quatre journées d’action, nous proposons une analyse du profil sociodémographique des personnes mobilisées mais aussi de leur rapport au politique. À distance des analyses qui en font un « mouvement de jeunes », désidéologisé ou désactivant les anciens clivages politiques, nous montrons que ces mobilisations recrutent dans les segments de la population historiquement investis sur l’écologie, tout en déplaçant les modes d’action privilégiés. Pour autant, loin d’être unifié, une étude de la composition du mouvement par les variables lourdes articulées entre elles peut permettre de comprendre la logique des oppositions internes au mouvement. Si le mouvement semble caractérisé par l’importante participation du salariat qualifié (et de leurs fils et filles) et l’ancrage à gauche, de petites distances sociales sont notables et contribuent à l’explication des clivages politiques et du renouvellement des types d’engagements, collectifs comme individuels.
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Beaudet, Pierre. "Pour un véritable « dialogue Nord-Sud »." VI. Pour un nouvel internationalisme, no. 12 (January 18, 2016): 159–66. http://dx.doi.org/10.7202/1034572ar.

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Abstract:
Ce texte veut éclairer les conditions par lesquelles un dialogue est possible entre les mouvements pour la paix dans les pays industrialisés et les mouvements de libération dans ce qu’on appelle généralement le « Tiers-Monde ». Ces mouvements expriment des dynamiques sociales, politiques et idéologiques fort diversifiées, mais ils appellent en commun à une nouvelle définition de la démocratie et des rapports internationaux. Ce fond commun est cependant masqué par divers obstacles idéologiques et politiques que certains parviennent parfois à franchir pour un renforcement mutuel. Les mouvements pour la paix ont à apporter dans ce dialogue de nouvelles réflexions sur les expériences organisationnelles basées sur la démocratie directe. Ils regardent d’une manière rafraîchissante les concepts et les expériences de progrès et de modernité à partir des recherches écologistes et antinucléaires. Ils élaborent de nouvelles formes de mobilisation sociale à partir de l’action de masse non violente. Les mouvements de libération pour leur part regénèrent l’action politique en faisant la jonction entre libération nationale et lutte pour la démocratie. Ils sont l’expression d’un nouveau dialogue entre christianisme et marxisme. Ils cherchent à élaborer un nouveau faisceau de relations internationales non-alignées. Toute recherche d’une voie alternative sur l’espace politique mondial actuel passe par une recherche commune à partir des expériences et des théorisations de ces deux grands mouvements sociaux de la fin du XXe siècle.
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Dissertations / Theses on the topic "Mobilisations écologistes"

1

Tuncel, Gökçe. "De la place publique aux Forêts du Nord : une étude sociologique des collectifs de lutte écologistes dans l’après-mouvement “Gezi Park” à Istanbul (2013-2018)." Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2024. http://www.theses.fr/2024EHES0023.

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Abstract:
Cette thèse étudie les conséquences ou les « échos » du mouvement social « Gezi Park » entre 2013 et 2018. Elle cherche à saisir les impacts sur le plan biographique, organisationnel et politique (culture politique) à travers l’étude de deux collectifs écologistes fondés au lendemain du mouvement : Défense des Forêts du Nord (Kuzey Ormanları Savunması) et Collectif de vélo Don Quichotte (Don Kişot Bisiklet Kolektifi). L’enquête est composée d’observations participantes et de 45 entretiens semi-directifs menés à Istanbul entre 2016 et 2018. Les collectifs de lutte étudiés agissent dans et pour l’espace urbain de la ville d’Istanbul à différentes échelles et se consacrent à des luttes spécifiques. Ils se situent strictement en dehors de la politique institutionnelle, ce qui signifie qu’ils refusent de participer et de coordonner toutes sortes d’actions avec des formations militantes ayant des liens avec les acteurs partisans. Cette étude interroge les dynamiques de politisation multiples, à la fois des individus et des actions des collectifs de lutte. Elle cherche à comprendre comment et par quel chemin les acteurs finissent par être engagés dans ces collectifs de lutte écologistes. Quel est le sens politique, d’après eux, de leur engagement politique dans l’après-mouvement Gezi ? Comment et par quelles modalités qualifient-ils leurs actions de politique, contestataire et écologiste ? Après une introduction qui situe le mouvement Gezi dans l’histoire des luttes écologistes et le relie à une contestation plus large sur la nature et l’idéologie développementaliste de l’Etat turc, la thèse s’organise en deux parties. Elle commence par suivre la trajectoire politique des enquêtés afin d’analyser les conséquences biographiques du mouvement Gezi et de montrer dans quelle mesure, et selon quelles modalités, ces conséquences engendrent ou non des bifurcations, des ruptures, des (re)négociations dans leurs différentes sphères de vie. Son objectif est de comprendre comment et par quels chemins les enquêtés sont amenés à s’investir, durablement, dans les collectifs écologistes post-Gezi au sein d’un contexte socio-politique intense marqué par plusieurs bouleversements et crises politiques entre 2015 et 2018. Elle s’efforce également de montrer comment les enquêtés se retrouvent impliqués dans des dynamiques d’engagement, de désengagement et de réengagement tout en prenant des chemins différents. À la lumière de ces trajectoires individuelles, la thèse donne ensuite à voir la trajectoire collective cette fois-ci à travers le travail mené par les militants dans la définition des enjeux, des revendications, des alliés/adversaires, des actions à adopter, du langage à employer. Ensuite, les registres d’actions contestataires sont analysés à travers les luttes contre les « mégaprojets » du troisième pont et du troisième aéroport tout comme leurs évolutions à l’aune du contexte social et politique. Entre 2013 et 2015, la thèse montre l’importance croissante des modes d’action liés à l’espace, à la dimension matérielle et locale des lieux défendus afin de mettre en évidence comment l’écologie et l’espace urbain se trouvent imbriqués l’un à l’autre dans les registres d’actions des collectifs qui proposent une nouvelle définition et une nouvelle compréhension de ce qui est considéré comme l’espace urbain de la ville d’Istanbul. Ce travail souhaite mettre en évidence la mise en place de différentes stratégies et interroge les registres d’actions qui font l’objet, à partir de 2015, d’adaptation et de discours de justification et de légitimation face au changement de contexte politique. Cette thèse peut contribuer à la littérature de la sociologie des mobilisations écologistes et urbaines et du processus de (dé)politisation des actions collectives ainsi qu’aux études sur les conséquences des mouvements sociaux
This thesis studies the consequences or "echoes" of the "Gezi Park" social movement between 2013 and 2018. It seeks to capture the biographical, organizational and political (political culture) impacts through the study of two environmentalist activist groups founded in the aftermath of the Gezi movement: Defense of Northern Forests (Kuzey Ormanları Savunması) and Don Quixote Cycling Collective (Don Kişot Bisiklet Kolektifi). This research is based on participant observations and 45 semi-structured interviews conducted in Istanbul between 2016 and 2018. The activist groups studied act in and for the urban space of the city of Istanbul at different scales and are dedicated to specific struggles. They situate themselves strictly outside institutional politics, which means they refuse to participate and coordinate any kind of actions with militant formations with links to partisan actors. This study examines the multiple dynamics of politicization, both of individuals and the actions of activist groups. It seeks to understand how and by what path actors end up being involved in these environmentalist activist groups. What is the political meaning of their involvement in the post-Gezi movements? How and in what ways do they describe their actions as political, dissident and environmental? After an introduction that situates the Gezi movement in the history of environmentalist struggles and links it to a broader contestation over the nature and developmentalist ideology of the Turkish state, the thesis is organized in two parts. It begins by following the political trajectory of the interviewees in order to analyze the biographical consequences of the Gezi movement and to show to what extent, and in what ways, these consequences do or do not engender bifurcations, ruptures and (re)negotiations in their various spheres of life. Its aim is to understand how and by what paths the respondents are led to invest themselves, sustainably, in post-Gezi environmentalist activist groups within an intense socio-political context marked by several political upheavals and crises between 2015 and 2018. It also endeavors to show how the respondents find themselves involved in dynamics of engagement, disengagement and reengagement while taking different paths.In the light of these individual trajectories, the thesis then looks at the collective trajectory, through the work carried out by activists in defining issues, demands, allies/adversaries, actions to be taken and language to be used. Next, the modes of protest actions are analyzed through the mobilizations against the "megaprojects" of the third bridge and the third airport, as well as their evolution in the light of the social and political context. Between 2013 and 2015, the thesis shows the growing importance of modes of action linked to “space”, to the material and local dimensions of the places defended, in order to highlight how ecology and urban space find themselves intertwined in the collective actions of activist groups proposing a new definition and understanding of what is considered urban space in the city of Istanbul. The aim of this work is to highlight the implementation of different militant strategies and to question the modes of political action that, from 2015 onwards, have been the subject of adaptation and discourses of justification and legitimization in the face of the changing political context. This thesis can contribute to the literature on the sociology of environmental and urban mobilizations and the process of politicization of collective actions, as well as to studies on the consequences of social movements
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Chibret, René-Pierre. "Les associations écologiques en France et en Allemagne : une analyse culturelle de la mobilisation collective." Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010291.

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Abstract:
Le développement récent des mouvements écologiques français et allemand constitue un objet intéressant pour l'étude sociologique de processus de mobilisation collective. Une observation historique des associations écologiques décrit des trajectoires contrastées révélant le succès de la mobilisation entreprise par les acteurs allemands et son échec en France. Mais une analyse comparative pertinente devait dépasser certains concepts comparatifs peu opératoires (la "culture politique", la "révolution silencieuse" selon Inglehart) et définir son objet et sa méthode à partir d'une discussion critique de l'individualisme méthodologique. Elle s'intéresse à un travail de mobilisation opéré par des associations volontaires dans un contexte structurel donne, pour créer, entretenir et légitimer les identifications et loyautés individuelles au profit de ces groupes. Cette démarche interactionniste s'oriente vers l'analyse culturelle qui, par une redéfinition sémiotique du concept de culture, conçu comme un système de signification collectivement partagées, un code symbolique historiquement construit par référence au sacre, constitue une variable comparative abstraite, interprétative du développement des mouvements écologiques. Aux niveaux de l'interaction intra-associative, puis de l'interaction association environnement institutionnel, l'analyse culturelle orientera l'étude de l'organisation, du discours, des actions, enfin des stratégies associatives, pour l'expliquer les différences nationales dans la mobilisation écologique.
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Bertina, Ludovic-Pierre. "La « conversion » écologiste de l’Eglise catholique en France : sociologie politique de l’appropriation du référent écologiste par une institution religieuse." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017PSLEP023/document.

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Abstract:
La publication de l’encyclique Laudato Si’ a contribué à la médiatisation du processus de « conversion » de l’Église catholique à l’écologie. Par l’analyse de ce mouvement dans le contexte français, nous entendons isoler les effets structurels de l’intégration du référent écologiste sur une institution religieuse. Trois niveaux d’analyse sont ici adoptés : un niveau philosophique qui traite du discours papal sur l’écologie, un niveau individuel qui s’intéresse à l’identité des militants, et un niveau institutionnel qui évalue la portée du mouvement catholique en faveur de l’écologie. À chacun de ces échelons, l’Église catholique adopte une posture d’accommodement, en mettant l’accent sur la nécessité d’une spiritualisation des enjeux écologistes, qui valorise la relation au détriment de l’individualisme. Légitimé par le Vatican, le mouvement catholique écologiste s’organise ainsi autour d’initiatives locales sous le contrôle bienveillant et souple d’une minorité épiscopale. Cette autonomie acquise par les militants n’affaiblit cependant pas la hiérarchie, certains acteurs trouvant un avantage à perpétrer l’image d’une institution susceptible de répondre aux incertitudes engendrées par nos sociétés. La « conversion » de l’Église à l’écologie génère donc un double mouvement d’individualisation de l’engagement militant et d’implication institutionnelle dans les controverses écologistes. Ce mouvement contraire favorise, assurément, l’institutionnalisation de l’écologie. Mais cette « conversion » ne sera effective que si l’Église s’inscrit dans une quête de cohérence, où le maintien d’une ligne politique sera aussi décisif que la valorisation d’une spiritualité écologiste
The publication of Pope Francis’ encyclical Laudato Si’ contributed to the exposure of the Catholic Church’s “conversion” to ecology. By analysing this emerging movement in the French context, we want to single out the structural effects of the assimilation of environmental concern by a religious institution. Three levels of analysis will be followed: a philosophical, an individual and an institutional one. The first step will evaluate the papal line on ecology, the second will focus on the identity of Catholic ecologist activists, and the third one will assess the scope of the Church’s ecological movement. On each of these aspects, the Catholic Church reach a compromise with postmodern society, emphasizing the need for a spiritualization of ecological stakes, which values relationship at the expense of individualism. Legitimized by the Vatican, the Catholic ecological movement is organized around local initiatives under the soft control of the episcopate. However, this autonomy acquired by the activists doesn’t weaken the hierarchy of the Church, since militants find an advantage in preserving the image of an institution capable of responding to the uncertainties caused by our societies. The Church “conversion” to ecology thus generates an individualization of militant commitment along with institutional involvement in environmental controversies. These contrary motions certainly promote the institutionalization of environmental concern. Nevertheless, this “conversion” will only be effective if the Church is incorporated within the framework of a quest for greater consistency, where policy making will be as important as the value of spirituality
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Perreault, Olivier. "Pollution rituelle et pollution de l'environnement dans le processus de mobilisation des Shipibo-Conibo de Canaan (Amazonie péruvienne) : une interprétation écologiste de la thèse de Mary Douglas." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26663/26663.pdf.

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Semal, Luc. "Militer à l’ombre des catastrophes : contribution à une théorie politique environnementale au prisme des mobilisations de la décroissance et de la transition." Thesis, Lille 2, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL20009/document.

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Abstract:
Au cours des années 2000, deux mobilisations parallèles ont contribué à renouveler le paysage de l’écologie politique : la décroissance en France, et les Transition Towns au Royaume-Uni. Nous proposons une approche comparative internationale de ces deux mouvements, d’abord distincts, mais qui se sont progressivement imbriqués à mesure qu’ils s’internationalisaient. Nous nous intéresserons particulièrement à la dimension catastrophiste de ces deux mouvements, entendue comme un mode de pensée politique fondé sur l’anticipation de ruptures écologiques majeures (pic pétrolier, mais aussi réchauffement climatique ou effondrement écosystémique) qui mettraient fin à la version moderne du projet démocratique. Loin de n’être qu’une posture intellectuelle, le catastrophisme s’incarne dans ces mouvements en des pratiques délibératives expérimentales qui invitent à questionner la temporalité continuiste dans laquelle se conçoit généralement la théorie démocratique.L’étude de ces deux mobilisations vise à nourrir une réflexion d’ordre plus théorique sur les outils dont dispose la science politique pour penser l’insertion des communautés politiques dans leur environnement. En nous appuyant sur les travaux pionniers de la green political theory, nous montrerons qu’une théorie politique environnementale pourrait contribuer à interroger la théorie démocratique en invitant à la réinsérer dans un contexte de déstabilisation écologique globale
During the 2000’s decade, two social movements, the décroissance movement in France and Transition Towns in the United- Kingdom, have contributed, both in parallel, to a renewal of the green political landscape. This thesis is an international comparative analysis of these two movements, which were first distinct, then progressively overlapped as they evolved to become international. This research will focus in particular on the catastrophist dimension of these two movements, understood as a form of political thought based on the anticipation of major ecological shifts (peak oil, climatechange, ecosystems collapse, etc.) that would put an end to the modern version of the democratic project. Far from being an intellectual framework only, catastrophism also gives rise to experimental deliberative practices that put into question the hypothesis of continuity that generally pervades theories of democracy.The analysis of these two movements aims at proposing new material to provide for a theoretical reflection on the intellectual tools that political science uses to investigate the ecological embeddedness of political communities. Dwelling on the pioneer work of green political theory, we will suggest that a théorie politique environnementale could contribute to reconsider theories of democracy, with an invitation for them to fit within the framework of the global ecological disruption
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