Academic literature on the topic 'Médicaments – Conception – Qualité'

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Journal articles on the topic "Médicaments – Conception – Qualité":

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Hamad, Meshaal Mohammed Eisa, and Sulaiman Bah. "Impact of Implementing Electronic Health Records on Medication Safety at an HIMSS Stage 6 Hospital: The Pharmacist’s Perspective." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 75, no. 4 (October 3, 2022): 267–75. http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.3223.

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Abstract:
Background: Medication errors can cause severe injuries and may lead to death. Electronic health records (EHRs) that are well designed and implemented could help to reduce medication errors. The medication management process needs close study to understand how medication safety metrics evolve as hospitals mature in terms of their EHR implementation. Objective: To examine the effect of adopting EHRs on medication errors at the Royal Commission Hospital in Jubail, Saudi Arabia, a Health Information Management System Society (HIMSS) stage 6 hospital. Methods: This study had a quasi-experimental time-series design. Retrospective data were collected for 1.5-year periods before and after implementation of EHRs. The variables analyzed were obtained from various units in the study setting. Data on medication errors were collected from the risk management section of the quality department. The medication management process was studied qualitatively. The quantitative data were analyzed using descriptive and inferential statistics. Results: The median number of medication orders per patient showed a significant decrease, from 22.76 before EHR implementation to 18.76 after implementation (p < 0.001). The median number of incidents per patient showed a significant increase, from 0.029 before to 0.040 after implementation (p = 0.004). The qualitative analysis of processes involved in the medication management process helped to explain these changes. Conclusion: Contrary to expectations, this study showed that an HIMSS stage 6 hospital could experience an increase in medication errors following implementation of EHRs. Qualitative analysis showed that the increase in medication error reporting rate could be attributed to an increase in detection following improvement in the medication management process. This has implications for interpreting quality metrics as hospitals mature in terms of their EHR implementation. RÉSUMÉ Contexte : Les erreurs de médication peuvent causer des blessures graves et entraîner la mort. La bonne conception et la mise en place de dossiers de santé électroniques (DSE) pourraient aider à les réduire. Le processus de gestion des médicaments doit faire l’objet d’un examen attentif pour comprendre comment les paramètres de sécurité relatifs aux médicaments évoluent à mesure que les hôpitaux se modernisent grâce à la mise en place de DSE. Objectifs : Examiner l’effet de l’adoption des DSE sur les erreurs de médication au Royal Commission Hospital de Jubail, en Arabie saoudite, un hôpital de stade 6 de la Health Information Management System Society (HIMSS). Méthodes : Cette étude utilisait une méthodologie de série chronologique quasi expérimentale. Des données rétrospectives ont été recueillies pendant des périodes de 1,5 an avant et 1,5 an après la mise en place des DSE. Les variables analysées ont été obtenues à partir de diverses unités dans le cadre de l’étude. Les données sur les erreurs de médication ont été recueillies auprès de la section de gestion des risques du service qualité. Le processus de gestion des médicaments, quant à lui, a été étudié de manière qualitative. Les données quantitatives ont été analysées à l’aide de statistiques descriptives et inférentielles. Résultats : Le nombre médian d’ordonnances médicales par patient a fortement diminué, passant de 22,76 avant à 18,76 après la mise en place des DSE (p < 0,001). Le nombre médian d’incidents par patient a quant à lui augmenté de manière importante et est passé de 0,029 avant à 0,040 après la mise en place des DES (p = 0,004). Les résultats de l’analyse qualitative des étapes du processus de gestion des médicaments expliquent en partie ces changements. Conclusion : Contrairement aux attentes, cette étude a montré qu’un hôpital de stade 6 de la HIMSS pourrait connaître une augmentation des erreurs de médication à la suite de la mise en place de DSE. L’analyse qualitative a montré que l’augmentation du taux de déclaration des erreurs de médication pouvait être attribuée à une augmentation de la détection suivant l’amélioration du processus de gestion des médicaments. Ce constat a des implications pour l’interprétation des indicateurs de la qualité à mesure que les hôpitaux se modernisent en mettant en place des DSE.
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Odetola, O. M., and O. O. Adetola. "Growth response, carcass analysis and sensory evaluation of meat from broiler chicken served acidified water." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 1 (February 25, 2022): 284–92. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i1.3427.

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Abstract:
Due to the emergence of drugs resistance microorganisms, side effects of antimicrobials and harmful residual toxicity effects of drugs observed in food chain, there is an increasing trend towards the use of alternatives for the general health maintenance. This study was carried out using 135 day old arbor acre chicks to evaluate the growth response, carcass and sensory evaluation of meat obtained from broiler chickens served two different organic acids. The chicks after brooded for a period of seven days were randomly distributed into five treatments group of 27 chicks per treatment replicated thrice with 9 birds per replicate in a completely randomized design (CRD). Treatment 1 served as the control without oral inclusion of organic acid, T had 2% citric acid, T had 4% citric acid, T had 2% acetic acid 2 3 4 and T had 4% acetic acid respectively while all administration was done two weeks at 5 starter phase and two weeks at finisher phase. parameter measured includes feed intake, weight gain, feed conversion ratio and mortality percentage while two birds per replicate making 6 per treatment were randomly selected, slaughtered and dissected for carcass, meat quality and sensory evaluation respectively. Result obtained showed no significant (P >0.05) difference in all growth parameters measured. Significant (P< 0.05) differences were obtained on the mean value recorded for drumstick, wing, neck, head and gizzard among all carcass parameters measured. Higher (P< 0.05) values for drumstick was obtained on T2 (11.17) followed by T and T (10.65 and 10.67) while the least values was recorded for T and 1 4 3 T (9.54 and 10.10). The same trend was observed for gizzard. Significant (P< 0.05) 5 differences were obtained in cooking loss recorded on breast muscle and on chilling loss recorded on thigh muscle and drumstick across the treatment for all parameters measured for meat quality attributes. Sensory evaluation results revealed similarities in the values obtained for colour, appearance, flavor, texture, taste and overall acceptance. Conclusively, the inclusion of citric and acetic acid orally for broilers had no detrimental effect on growth performance but enhance the quality of the carcass. En raison de l'émergence de micro-organismes résistants aux médicaments, des effets secondaires des antimicrobiens et des effets toxiques résiduels nocifs des médicaments observés dans la chaîne alimentaire, il existe une tendance croissante à l'utilisation d'alternatives pour le maintien de la santé générale. Cette étude a été réalisée en utilisant des poussins âgés de 135 jours pour évaluer la réponse de croissance, la carcasse et l'évaluation sensorielle de la viande obtenue à partir de poulets à griller servis avec deux acides organiques différents. Les poussins après avoir été couvés pendant une période de sept jours ont été répartis au hasard dans cinq groupes de traitements de 27 poussins par traitement répétés trois fois avec 9 oiseaux par répétition dans une conception complètement randomisée (CCR). Le traitement 1 a servi de contrôle sans inclusion orale d'acide organique, T avait 2 % d'acide citrique, T avait 4 % d'acide citrique, T avait 2 % d'acide 2 3 4 acétique et T avait 4 % d'acide acétique, respectivement, tandis que toute l'administration 5 était effectuée deux semaines à la phase de démarrage et deux semaines en phase finisher. Le paramètre mesuré comprend l'apport alimentaire, le gain de poids, l'indice de conversion alimentaire et le pourcentage de mortalité, tandis que deux oiseaux par répétition, soit 6 par traitement, ont été sélectionnés au hasard, abattus et disséqués pour la carcasse, la qualité de la viande et l'évaluation sensorielle, respectivement. Le résultat obtenu n'a montré aucune différence significative (P > 0,05) dans tous les paramètres de croissance mesurés. Des différences significatives (P < 0,05) ont été obtenues sur la valeur moyenne enregistrée pour le pilon, l'aile, le cou, la tête et le gésier parmi tous les paramètres de carcasse mesurés. Les valeurs les plus élevées (P < 0,05) pour le pilon ont été obtenues sur T2 (11,17) suivi de T1 et T4 (10,65 et 10,67) tandis que les valeurs les plus faibles ont été enregistrées pour T3 et T5 (9,54 et 10,10). La même tendance a été observée pour le gésier. Des différences significatives (P< 0,05) ont été obtenues dans la perte à la cuisson enregistrée sur le muscle de la poitrine et dans la perte au froid enregistrée sur le muscle de la cuisse et le pilon tout au long du traitement pour tous les paramètres mesurés pour les attributs de qualité de la viande. Les résultats de l'évaluation sensorielle ont révélé des similitudes dans les valeurs obtenues pour la couleur, l'apparence, la saveur, la texture, le goût et l'acceptation globale. En conclusion, l'inclusion d'acide citrique et acétique par voie orale pour les poulets de chair n'a eu aucun effet néfaste sur les performances de croissance mais a amélioré la qualité de la carcasse.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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KOUAKOU SIRANSY, Gisèle. "De la recherche à la production industrielle des produits de santé (Présentations d'expériences réussies) Expérience n°2 : PHYTOMED de la Côte d’Ivoire." Journal Africain de Technologie Pharmaceutique et Biopharmacie (JATPB) 2, no. 3 (December 20, 2023). http://dx.doi.org/10.57220/jatpb.v2i3.173.

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Abstract:
Contexte : Le développement de phytomédicaments ou médicaments traditionnels améliorés en Afrique sub-saharienne connait un succès grandissant. En Côte d’Ivoire, diverses unités artisanales de fabrication de phytomédicaments se développent mais restent peu évalués pour leur efficacité, innocuité et qualité. Justificatif : Parmi toutes les pathologies affectant la population subsaharienne, le paludisme occupe une place importante étant la première cause de maladie infectieuse parasitaire, et la 3ème cause de maladies infectieuses. Les produits de santé des tradithérapeutes restent peu évalués pour leur efficacité, innocuité et qualité. Les chercheurs et enseignants chercheurs au sein des universités ont emboîté le pas dans plusieurs pays. En Côte d’Ivoire aucune université n’a franchi le pas de la production à l’échelle d’unité industrielle pilote. Objectif : L’objectif de ce travail visait à sélectionner des plantes pour la mise au point de phytomédicaments antipaludiques de qualité de catégorie 2 OMS. Méthodologie : La sélection des plantes à l’essai a concerné celles ayant fait l’objet de travaux de recherche des Universités en Côte d’Ivoire. Parmi ces derniers, ceux évaluant l’effet sur des extraits aqueux de parties aériennes des plantes. De ces extraits ceux présentant les meilleures inhibitions de croissance du Plasmodium selon les critères de Wilcox, ont été retenues pour la mise au point de phytomédicaments de catégorie 2 OMS. Les essais de pré formulation er formulation galénique à l’échelle de laboratoire ont permis de mettre en œuvre le procédé de fabrication adéquat. Une transposition à l’échelle pilote a été ensuite réalisée pour démontrer la reproductibilité de la fabrication industrielle de la forme galénique mise au point. Résultats : Ces résultats issus des travaux de chercheurs des universités ivoiriennes ont permis de recenser 58 plantes médicinales étudiées pour leur activité antiplasmodiale depuis 1996. Parmi ces plantes 38 ont fait l’objet d’extraits aqueux, décoctés ou infusés. Sept extraits aqueux présentant de CI50 <5µg/ml ont été retenues entre autres. Cependant la majorité des études scientifiques portant sur les plantes médicinales potentiellement antipaludiques ont été réalisées dans des modèles in vitro, rare sont celle réalisés in vivo, dans des modèles murins. Les résultats des essais pharmacologiques, de formulation et de transposition à l’échelle pilote ont permis de disposer de gélules à base de granulés de plantes issus d’une granulation humide. Conclusion : Les travaux scientifiques des Universités de Côte d’Ivoire offre un large éventail de plantes médicinales à potentiel antimalarial pour la conception de phytomédicaments de qualité de catégorie 2 OMS. Des essais préliminaires réalisés in vivo ont permis d’obtenir un brevet d’invention.
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SANOGO, Rokia, Daouda DEMBELE, Sékou DOUMBIA, Aichata B. A. MARIKO, and Mohamed Yacine FOFANA. "De la recherche à la production industrielle des produits de santé (Présentations d'expériences réussies) Expérience n°1 : Médicaments Traditionnels Améliorés (MTA) sous forme de pommade au Mali." Journal Africain de Technologie Pharmaceutique et Biopharmacie (JATPB) 2, no. 3 (December 20, 2023). http://dx.doi.org/10.57220/jatpb.v2i3.172.

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Abstract:
SANOGO Rokia1,2, DEMBELE Daouda L1, DOUMBIA Sékou1, Aichata B. A. MARIKO1, FOFANA Mohamed Yacine3, Introduction : Au Mali, le succès de la recherche du Département Médecine Traditionnelle (DMT), de l’ex-Institut National de Recherche en Santé Publique (INRSP) a permis la mise au point de 14 Médicaments Traditionnels Améliorés (MTA) qui ont eu une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) depuis 1983 dont 7 sont sur la Liste Nationale des Médicaments Essentiels (LNME) du Mali (1 sirop, de 5 tisanes, 1 pommade). Le DMT a mis au point de nouveaux MTA sous forme de pommade. L’objectif de cette communication, est de passer en revue les études précliniques, cliniques, la formulation et la production des MTA surs- efficaces-de qualité et accessibles. Matériel et méthodes : Différents échantillons de plantes ont été récoltés, séchés, pulvérisés. Le contrôle de qualité a été effectué, les extraits ont été préparés, les études phytochimiques, pharmacologiques et de toxicité ont été réalisées. Des extraits ont été utilisés pour formuler une pommade avec différents excipients notamment le beurre de karité. Dans certains cas, les pommades ont été soumises aux essais cliniques. Résultats et Discussion : Les principales pommades sont : i) MITRADERMINE pommade à base de Mitracarpus scaber utilisée dans la prise en charge de dermatoses ; ii) SECUDOL pommade à base de Securidaca longipedunculata, indiqué contre les manifestations douloureuses et inflammatoires articulaires ; iii) OPICICA pommade de base de Opilia celtidifolia, comme cicatrisante ; iv) LAFIA Pommades, à base de Fagara zanthoxyloides, Securidaca longepedunculata et de Capsicum annuum, utilisées dans la prise en charge de la douleur. Dans l’ensemble, les pommades de bonne qualité, ont présenté une consistance semi solide, une bonne homogénéité et de différentes couleurs et odeurs. Ces pommades doivent présenter les mêmes propriétés des extraits qui ont servis de principes actifs. En perspective, il faudra améliorer les pommades avec l’incorporation de la cire d’abeille et vérifier leur tolerabilité et l’efficacité, notamment mener une investigation clinique pour compléter le dossier de demande d’autorisation mise sur le marché des pommades. Elles peuvent être proposées pour la prise en charge médicale de la douleur notamment au niveau local. Expérience n°2 : Potentiel de développement de Phytomédicaments antipaludiques pour Phytomed CI. Professeur KOUAKOU SIRANSY, UFR Sciences Pharmaceutiques et Biologiques ; Côte d’Ivoire Contexte : Le développement de phytomédicaments ou médicaments traditionnels améliorés en Afrique sub-saharienne connait un succès grandissant. En Côte d’Ivoire, diverses unités artisanales de fabrication de phytomédicaments se développent mais restent peu évalués pour leur efficacité, innocuité et qualité. Justificatif : Parmi toutes les pathologies affectant la population subsaharienne, le paludisme occupe une place importante étant la première cause de maladie infectieuse parasitaire, et la 3ème cause de maladies infectieuses. Les produits de santé des tradithérapeutes restent peu évalués pour leur efficacité, innocuité et qualité. Les chercheurs et enseignants chercheurs au sein des universités ont emboîté le pas dans plusieurs pays. En Côte d’Ivoire aucune université n’a franchi le pas de la production à l’échelle d’unité industrielle pilote. Objectif : L’objectif de ce travail visait à sélectionner des plantes pour la mise au point de phytomédicaments antipaludiques de qualité de catégorie 2 OMS. Méthodologie : La sélection des plantes à l’essai a concerné celles ayant fait l’objet de travaux de recherche des Universités en Côte d’Ivoire. Parmi ces derniers, ceux évaluant l’effet sur des extraits aqueux de parties aériennes des plantes. De ces extraits ceux présentant les meilleures inhibitions de croissance du Plasmodium selon les critères de Wilcox, ont été retenues pour la mise au point de phytomédicaments de catégorie 2 OMS. Les essais de pré formulation er formulation galénique à l’échelle de laboratoire ont permis de mettre en œuvre le procédé de fabrication adéquat. Une transposition à l’échelle pilote a été ensuite réalisée pour démontrer la reproductibilité de la fabrication industrielle de la forme galénique mise au point. Résultats : Ces résultats issus des travaux de chercheurs des universités ivoiriennes ont permis de recenser 58 plantes médicinales étudiées pour leur activité antiplasmodiale depuis 1996. Parmi ces plantes 38 ont fait l’objet d’extraits aqueux, décoctés ou infusés. Sept extraits aqueux présentant de CI50 <5µg/ml ont été retenues entre autres. Cependant la majorité des études scientifiques portant sur les plantes médicinales potentiellement antipaludiques ont été réalisées dans des modèles in vitro, rare sont celle réalisés in vivo, dans des modèles murins. Les résultats des essais pharmacologiques, de formulation et de transposition à l’échelle pilote ont permis de disposer de gélules à base de granulés de plantes issus d’une granulation humide. Conclusion : Les travaux scientifiques des Universités de Côte d’Ivoire offre un large éventail de plantes médicinales à potentiel antimalarial pour la conception de phytomédicaments de qualité de catégorie 2 OMS. Des essais préliminaires réalisés in vivo ont permis d’obtenir un brevet d’invention. Expérience n°3 : Processus de Recherche-Développement (R&D) et production d’un phytomédicament destiné au traitement de la drépanocytose : FACA Dr Salfo OUEDRAOGO, PharmD, M.Sc. Pharma, PhD, Maître de Recherche en Pharmacie Galénique et Industrielle, Chef de service Production CNRST/IRSS/MEPHATRA/PH, Pharmacien chef de l’Unité de Production Pharmaceutique (U-PHARMA), Tel : (+226) 70 45 89 36/78 41 54 64 Résumé : Depuis l’antiquité, l’humanité a toujours recours aux plantes médicinales comme moyens de traitement adéquat, préventifs ou curatifs, plus ou moins efficaces qui sont perfectionnés sous le coup de recherches. Malgré les grands progrès observés dans la médecine moderne au cours des dernières décennies, les plantes médicinales jouent toujours un rôle clé dans la prise en charge des maladies. Certaines plantes utilisées au XVIIIe siècle sont toujours au cœur de la médecine et pharmacopée après que leur efficacité ait été scientifiquement démontrée. Dans ce contexte, plusieurs programmes sont développés par de nombreux centres pour la recherche de nouvelles molécules mais aussi pour la mise au point de médicaments à base de plantes. Ce travail repose sur un retour d’expérience d’un praticien de la médecine traditionnelle qui utilisait une combinaison de deux plantes médicinales ((Zanthoxylum Zanthoxyloïdes Lam. (Rutaceae) Calotropis procera Ait. (Asclepiadaceae)) pour traiter la drépanocytose. L’approche repose sur une démarche de la pharmacologie inverse. La première étape a consisté à réaliser une étude pharmacoclinique comparée à un traitement standard qui est la dihydroergotoxine (HYDERGINE®) chez des enfants en crise drépanocytaire. Les propriétés antifalciformantes ont été confirmés par des études in vitro. La deuxième étape a concerné les études chimiques et biologiques in vitro et in vivo qui ont permis la mise en évidence de la sécurité d’emploi ainsi que des propriétés (anti falciformantes, anti-œdémateuses, analgésiques, antipyrétiques, myorelaxantes, vaso-dilatatrices, etc.) liées à la physiopathologie de la maladie. La troisième étape a abouti à la formulation et à la standardisation suite à l’identification de molécules traceurs qui sont des dérivés d’acide vanillique (burkinabines » A, B et C). Des études de validation du procédé de fabrication suivi de stabilité ont été réalisées avant la production et la commercialisation après autorisation de mise sur le marché. Cette démarche a permis la mise au point d’un phytomédicament qui suscite un grand espoir pour le traitement de la drépanocytose au regard des résultats de l’étude de pharmacovigilance Expérience n°4 : The Role of Quality Management Systems in the Advancement of the Herbal Medicine Industry in Ghana Caleb Mawuli AGBALE Department of Biochemistry, School of Biological Sciences, University of Cape Ghana Research and Development Department, Centre of Awareness Research and Manufacturing Company Limited (COA RMCL), Cape Coast, Ghana Plant Extracts Process Engineering Unit, McHammah Engineering Company Ltd, Accra Ghana Correspondence: Cell: +233 208 232 659 Email: magbale@ucc.edu.gh The herbal medicine industry holds great potential in the quest to transform the healthcare systems and economies within sub-Saharan Africa. Although the herbal medicine sector has made significant strides in Ghana over the last 3 decades there remain significant challenges to be addressed to achieve the expected benefit outlined in health policies and sustainable development strategies. This presentation will take a critical look at these challenges and how these could be addressed through the adoption of quality management systems and investment in research and development using the examples of COA- RMCL, Kantanka Herbal and Pharmaceutical Research Centre and startups like DaySpring Phytoceuticals. These examples demonstrate that the effective implementation of QMS ensures operational consistency, ease of traceability of products batches, continuous improvement and evidence- based decision making. Finally, strategies that could be adopted to ensure that herbal medicine plays a dominant role in the healthcare system across the sub region are discussed. Expérience n°5 : Développement de MelaK@ crème pour le traitement des brûlures chez l’enfant (Expérience du CEA-CFOREM) UNIVERSITE JOSEPH KI ZERBO (UJKZ) Centre de Formation, de Recherche et d’Expertises en sciences du Médicament (CEA-CFOREM) Tél. : (+226) 75 55 20 20 ; Email : cea.cforem.ujkz@gmail.com Pr. Rasmané Semdé, CEA-CFOREM, École doctorale sciences et santé (ED2S), UFR - Sciences de la santé (UFR/SDS), Université Joseph KI-ZERBO, 03 BP 7021 Ouagadougou, Burkina Faso Les brûlures cutanées figurent parmi les problèmes de santé majeurs en Afrique, avec plus de 17 millions de victimes chaque année. Au Burkina Faso, l’incidence est en croissance avec 13,7% des enfants de moins de 5 ans. La prise en charge précoce et appropriée aide à minimiser la douleur, à prévenir les complications et à favoriser une guérison rapide. Elle peut nécessiter une urgence médico-chirurgicale, une réanimation ou juste un traitement local utilisant des produits importés sont souvent financièrement inaccessibles aux populations africaines. MelaK@ crème est une émulsion Huile dans Eau constituée du miel et du beurre de karité, fournis à des prix abordables par des producteurs sélectionnés du Burkina Faso. Elle visait à créer un effet synergique entre les propriétés anti-inflammatoire, cicatrisante et antimicrobienne du miel et celles régénératrice et photoprotectrice du beurre de karité. Le travail de développement a permis d’obtenir un produit d’application aisée, homogène et stable sous certaines conditions de conservation. Après avoir démontré son efficacité comparée aux traitements modernes conventionnels par des tests in vivo sur des rats de laboratoire, puis confirmée par une étude clinique en 2020chez des brulés de 2nd degré, l’émulsion a été brevetée à l’Organisation Africaine de la Propriété intellectuelle (OAPI) le 13/07/2020, sous le N°19447. MelaK@ crème est présentée dans des tubes en aluminium verni de 45 g et de 75 g pour application locale destinés aux traitements des brûlures. Demandée comme préparation magistrale à travers les officines pharmaceutiques privées par les chirurgiens pédiatres des CHU du Burkina Faso, plus de 1500 tubes préparés à l’échelle du laboratoire ont déjà permis de traiter plus de 250 enfants brulés. Face à la demande croissante des praticiens hospitaliers et du grand public, un business plan démontre sa rentabilité, le dossier de demande d’AMM d’un médicament traditionnel amélioré (MTA) de catégorie II a déjà été déposé à l’ANRP du Burkina Faso.

Dissertations / Theses on the topic "Médicaments – Conception – Qualité":

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Herrmann, Ingela. "Les référentiels pour la conception et la qualification à réception d'une salle propre." Paris 5, 1997. http://www.theses.fr/1997PA05P237.

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Stevenin, Emmanuelle. "Contribution à la conception d'une unité de fabrication de formes galéniques médicamenteuses à la Pharmacie centrale des Hôpitaux." Paris 5, 1997. http://www.theses.fr/1997PA05P123.

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3

Smolik, Murielle. "Application des bonnes pratiques de fabrication à la production des lots pour l'étude clinique par la validation des locaux et du matériel." Paris 5, 1988. http://www.theses.fr/1988PA05P210.

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Klotz-Masson, Chantal. "De la conception médicale d'un protocole d'étude clinique à sa préparation pharmaceutique." Bordeaux 2, 1992. http://www.theses.fr/1992BOR2P013.

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Manzon, Diane. "Développement de nouveaux outils en plans d'expériences adaptés à l'approche quality by design (QbD) dans un contexte biologique." Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2021. http://www.theses.fr/2021AIXM0223.

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Abstract:
L’approche quality by design (QbD) est un concept récent initié par le contrôle qualité qui a conduit à de nouvelles exigences de la part des autorités règlementaires, en particulier dans l'industrie pharmaceutique. Parmi celles-ci, la directive ICHQ8 explique que la qualité ne doit pas être testée sur les produits finis mais doit être intégrée tout au long, de la conception au produit fini. Cette approche se caractérise par différentes étapes dont l’une consiste à évaluer les risques, ce qui revient principalement à identifier les paramètres critiques dans un procédé ou une formulation. Pour cela, des expérimentations doivent être menées et des plans d’expériences adéquats vont permettre de modéliser les phénomènes étudiés pour ensuite représenter des surfaces de réponse dans l’espace expérimental à explorer. Dans cet espace, la Food and Drug Administration recommande de délimiter un sous-espace, appelé "Design Space", caractérisé par une certaine probabilité que les paramètres de sortie respectent les spécifications du cahier des charges. Ce Design Space a généralement une forme géométrique quelconque, ce qui signifie que la plage de variation acceptable d’un paramètre va dépendre de la valeur d’un autre paramètre. Pour remédier à cette contrainte et ainsi définir des "Proven Acceptable Independent Range" pour chaque paramètre étudié, nous avons utilisé et adapté différentes méthodes. Leurs performances respectives, quant à la définition de domaines de variation acceptables pour chaque paramètre indépendamment, ont été testées sur différents cas d’étude
The quality by design (QbD) approach is a recent concept initiated by quality control which has led to new requirements from regulatory authorities, particularly in the pharmaceutical industry. Among these, the guideline ICHQ8 explains that quality should not be tested on finished products but should be integrated throughout, from design to finished product. This approach is characterised by different steps, one of which is risk assessment, which mainly involves identifying the critical parameters in a process or formulation. To do this, experiments must be carried out and suitable experimental designs will enable the phenomena studied to be modelled and then represent response surfaces in the experimental space to be explored. In this space, the Food and Drug Administration recommends delimiting a sub-space, called "Design Space", characterised by a certain probability that the output parameters comply with the specifications. This Design Space usually has any geometric shape, which means that the acceptable variation range of a parameter will depend on the value of another parameter. To overcome this constraint and thus define "Proven Acceptable Independent Range" for each parameter studied, we have used and adapted different methods. Their respective performance, in terms of defining acceptable variation range for each parameter independently, has been tested in different case studies
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Gning, Fatima. "Construction d’une usine pharmaceutique : impératifs réglementaires, sécuritaires et de rentabilité." Electronic Thesis or Diss., Université Paris-Panthéon-Assas, 2022. http://www.theses.fr/2022ASSA0078.

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Abstract:
L’industrie pharmaceutique est continuellement confrontée à d’importantes mutations qui redéfinissent sans cesse l’équilibre entre la protection de la santé publique et les stratégies de développement économique des sociétés pharmaceutiques. Le marché du médicament est le terrain de forts enjeux économiques pour la France et l’accroissement de ses parts de marché mondial reste une préoccupation majeure. L’atteinte de cet objectif semble se faire autour d’un premier axe ayant trait au développement du génie génétique. Le second axe concerne la construction de nouvelles usines de production à l’échelle nationale et internationale dans le but d’augmenter ses capacités de production. Or, la construction de nouvelles usines pharmaceutiques ayant vocation à concevoir, fabriquer puis commercialiser des médicaments à usage humain s’avère difficultueuse du fait de la conjugaison du droit pharmaceutique, matière ésotérique par nature, et du droit de la construction qui abonde de sujets éminemment techniques. A cela s’ajoute sa finalité qui est d’assurer et préserver la santé du patient tout au long du cycle de vie du médicament, d’innover, d’augmenter les capacités de production, tout en répondant aux plus hauts standards de fabrication. Une telle initiative est d’autant plus audacieuse dans un contexte géopolitique fortement fragilisé par la pandémie de 2020 puis le conflit Russo-Ukrainien qui a exacerbé la pénurie et l’allongement des délais d’approvisionnement de nombreuses matières premières, a provoqué un renchérissement historique de leur coût et de fait, du coût global de réalisation des projets de construction
The pharmaceutical industry is continually confronted with major changes that constantly redefine the balance between the protection of public health and the economic development strategies of pharmaceutical companies. The drug market is the terrain of major economic challenges for France and increasing its global market share remains a major concern. The achievement of this objective seems to be done around a first axis relating to the development of genetic engineering. The second axis concerns the construction of new production plants on a national and international scale in order to increase its production capacities. However, the construction of new pharmaceutical factories intended to design, manufacture and then market drugs for human use is proving difficult due to the combination of pharmaceutical law, an esoteric matter by nature, and construction law, which abounds in subjects that are eminently techniques. Added to this is its purpose, which is to ensure and preserve the health of the patient throughout the life cycle of the drug, to innovate, to increase production capacities, while meeting the highest manufacturing standards. Such an initiative is all the more daring in a geopolitical context strongly weakened by the 2020 pandemic and then the Russo-Ukrainian conflict which exacerbated the shortage and the extension of supply times for many raw materials, caused a historic increase their cost and, in fact, the overall cost of carrying out construction projects

Books on the topic "Médicaments – Conception – Qualité":

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Sandle, Tim. Sterility, sterilisation and sterility assurance for pharmaceuticals: Technology, validation and current regulations. Oxford: Woodhead Publishing Limited, 2013.

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2

McCormick, Kate. Pharmaceutical process design and management. Farnham, Surrey: Gower, 2011.

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3

McCormick, Kate. Pharmaceutical process design and management. Farnham, Surrey: Gower, 2011.

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Sandle, Tim. Sterility, Sterilisation and Sterility Assurance for Pharmaceuticals: Technology, Validation and Current Regulations. Elsevier Science & Technology, 2018.

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5

Sandle, Tim. Sterility, Sterilisation and Sterility Assurance for Pharmaceuticals: Technology, Validation and Current Regulations. Elsevier Science & Technology, 2013.

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6

McCormick, Kate, and D. Wylie McVay Jr. Pharmaceutical Process Design and Management. Taylor & Francis Group, 2016.

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