To see the other types of publications on this topic, follow the link: Marchés de réserve.

Journal articles on the topic 'Marchés de réserve'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Marchés de réserve.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Brender, Anton, and Florence Pisani. "L'« atterrissage en douceur » de l'économie américaine : vers un nouveau mode de conduite de la politique monétaire ?" Revue de l'OFCE 55, no. 4 (November 1, 1995): 171–209. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.55n1.0171.

Full text
Abstract:
Résumé Un examen de la politique monétaire américaine depuis l'après-guerre montre que celle-ci est loin d'avoir toujours été préventive. L'action entreprise en 1994 a été plutôt originale : sans qu'aucune tension sur les prix ne soit encore perceptible en février 1994, la Réserve fédérale a relevé ses taux. Une telle action préventive se justifie par les délais d'action de la politique monétaire : l'inflation étant sensible avec retard à l'activité, qui elle-même réagit avec retard à la politique monétaire, cette dernière se doit d'être conduite en anticipation. Ce « nouveau » mode de conduite de la politique monétaire suppose donc que la Réserve fédérale ajuste en permanence et graduellement son action pour l'adapter à la marche effective de l'économie. Tel a été le cas tout au long de l'année 1994 et au début de l'année 1995 : alors que ses prévisions ont été, dans une large mesure erronées, la Réserve fédérale a fait preuve de pragmatisme et a su composer avec les évolutions inattendues tant des marchés financiers — et en particulier des anticipations de taux — que de l'économie réelle, en ajustant le rythme et l'intensité de ses mouvements de taux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Aglietta, Michel. "La crise financière russe. Un révélateur de la fragilité des marchés globaux de capitaux." Revue économique 51, no. 3 (May 1, 2000): 649–58. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n3.0649.

Full text
Abstract:
Résumé Contrairement à la crise asiatique, la crise russe a provoqué un changement des règles du jeu international. Le cœur du système financier mondial a réagi par une panique découlant de la perte des repères dans l'évaluation des risques. Il en a résulté une fuite généralisée vers la liquidité dont le naufrage de LTCM a été le catalyseur. La Réserve fédérale fut à la hauteur du péril. En organisant un consortium bancaire et en orchestrant trois baisses de taux d'intérêt, elle a évité une ruée générale pour vendre les dettes privées négociables.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Corniaux, Christian, Bassirou Bonfoh, A. Diallo, René Poccard Chapuis, and Gilles F. Vias. "Réseaux de collecte et de distribution du lait dans les villes d’Afrique soudano-sahélienne." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (January 1, 2007): 21. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9973.

Full text
Abstract:
Dans les villes secondaires d’Afrique soudano-sahélienne, la proximité du milieu rural permet encore la collecte du lait auprès des producteurs situés en zone périurbaine et sa distribution auprès des consommateurs urbains. De nombreux acteurs transportent et commercialisent de petites quantités. Des minilaiteries prennent parfois une place majeure en tant que relais. En revanche, le fossé se creuse dans les capitales tant que le réseau de collecte et de distribution ne s’adapte pas aux exigences du marché. Les minilaiteries, en dépit de leur dynamisme, ne répondent que très partiellement à cette nécessité d’adaptation. La croissance démographique, l’expansion urbaine en périphérie au détriment des pâturages ou encore l’éloignement progressif de la production par rapport aux lieux de consommation rendent caduques les systèmes traditionnels de transport. Pour que la production laitière locale garde une place significative sur un marché urbain porteur, la collecte « industrielle » dans les lieux de production devrait être promue en dépit de leur éloignement, à l’instar de la laiterie Tiviski en Mauritanie. Mais les conditions de l’industrialisation ne sont pas évidentes à réunir. En outre, les réseaux de distribution du lait en poudre importé et de ses produits dérivés suivent efficacement les transformations récentes des marchés urbains (multiplication des boutiquiers, diversification des produits, présence croissante de la chaîne du froid, prix attractifs, qualité sanitaire correcte...), rendant encore plus rude, voire illusoire la compétition. Les politiques publiques doivent tenir compte de cet état de fait. L’appui aux unités de collecte et de distribution du lait local est une priorité, sous réserve que le développement de la production locale en soit une aux yeux des dirigeants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Duteurtre, Guillaume, and Mian Oudanang Koussou. "Economie pastorale et marchés laitiers au Sahel : l’âge d’or du commerce de beurre clarifié au Tchad de 1930 à 1970." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (January 1, 2007): 29. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9974.

Full text
Abstract:
L’histoire économique du Tchad a été marquée par l’essor, au début du XXe siècle, d’un circuit d’exportation de beurre clarifié. Des recherches bibliographiques doublées d’entretiens auprès de personnes ressources ont permis de mieux comprendre cet « âge d’or » du beurre tchadien. Ce négoce reposait sur l’existence de surplus importants issus de l’économie pastorale. Produit de conserve, le beurre clarifié constitue en effet une réserve de valeur mobilisable pour les échanges locaux, les arrangements pastoraux et pour l’usage familial. Comme dans d’autres pays sahéliens, l’existence d’un commerce traditionnel au Tchad servit de base à l’émergence d’une véritable filière contrôlée par des commerçants libano-syriens expédiant le produit par camion vers les pays du Moyen-Orient via Le Caire. A la fin des années 1930, les maisons de commerce coloniales détournèrent une partie de ce commerce vers l’Europe via le Nigeria et le Congo. La Grande-Bretagne et la France, en proie à une économie de guerre, importèrent chaque année plusieurs milliers de tonnes de beurre tchadien. Ces échanges vers l’Europe perdurèrent jusqu’au milieu des années 1950, mais ils furent bientôt freinés par la concurrence d’excédents laitiers sur les marchés du Nord. Sur le marché local, le beurre clarifié fut aussi concurrencé par diverses huiles végétales. Il connut enfin l’impact des sécheresses qui touchèrent le Sahel à partir de 1973. Cet épisode de l’histoire de l’élevage tchadien n’en constitue pas moins une expérience originale, dans une région aujourd’hui structurellement importatrice de produits laitiers. Ce travail historique permet d’ébaucher des recommandations pour les politiques d’élevage visant à renforcer l’intégration marchande des systèmes pastoraux en Afrique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

KPEROU GADO, Byll O., Ismaïla TOKO IMOROU, Ousséni AROUNA, Habirou SIDI IMOROU, and Madjidou OUMOROU. "Déterminants des itinéraires de transhumance à la périphérie de la réserve de biosphère transfrontalière du W au Bénin." Journal of Applied Biosciences 152 (August 31, 2020): 15650–66. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.152.5.

Full text
Abstract:
Objectifs : la présente étude vise à identifier les facteurs concourant à la définition des itinéraires de transhumance et analyser la perception des éleveurs transhumants sur les déterminants de ces itinéraires en vue d’une amélioration de la prise de décision dans la gestion des écosystèmes pâturés. Méthodologie et résultats : la démarche méthodologique a consisté à cartographier, avec le logiciel ArcGIS 10.4, les infrastructures pastorales et à faire une enquête socioéconomique de la perception des transhumants sur la situation et la gestion des couloirs. Les résultats indiquent l’existence de couloirs locaux ou communaux, intercommunaux et régionaux autour de la réserve. Il existe des liens significatifs entre couloirs et points d’eau, postes vétérinaires frontaliers, marchés à bétail, parcs de vaccination, pharmacies et cabinets vétérinaires. Dans certaines zones, les couloirs n’existent pas, sont obstrués, non fonctionnels ou confondus aux pâturages. Les itinéraires sont dynamiques et régressent numériquement avec le temps du fait de la dégradation des parcours, de l’obstruction des couloirs, des conflits et de l’assèchement des points d’eau. L’histoire, la culture et les institutions aussi sont déterminants. Conclusions et application des résultats : les déterminants des itinéraires de transhumance à la périphérie de la réserve du W sont historiques, culturels, environnementaux, socio-économiques et institutionnels. Les différents types de couloirs sont interconnectés. Une gestion rationnelle, apaisée et durable des itinéraires de transhumance nécessite une connaissance approfondie de ces déterminants dans les écosystèmescibles. La mise en place d’une base de données permettrait aux autorités à divers niveaux d’avoir une vue d’ensemble sur la répartition de ces infrastructures et des outils d’aide à la décision pour une meilleure valorisation du pastoralisme et un meilleur suivi des ressources et infrastructures pastorales. Mots clés : couloirs de transhumance, représentation cartographique, analyse de perception, réserve de biosphère transfrontalière du W du Bénin. Kperou Gado et al., J. Appl. Biosci. 2020 Déterminants des itinéraires de transhumance à la périphérie de la réserve de biosphère transfrontalière du W au Bénin 15651 Determinants of transhumance corridors at the periphery of the transboundary biosphere reserve of W in Benin ABSTRACT Objectives: this study aims to identify the factors contributing to the definition of transhumance corridors and analyse the perception of transhumant herders on the determinants of these corridors with a view to improving decision-making in the management of grazed ecosystems. Methodology and results: the methodological approach consisted on mapping, with ArcGIS 10.4 software, pastoral infrastructures and carrying out a socio-economic survey of the perception of transhumants on the situation and management of the corridors. The results indicate the existence of local or municipal, intermunicipal and regional corridors around the reserve. There are significant links between corridors and water points, border veterinary posts, livestock markets, vaccination parks, pharmacies and veterinary surgeries. In some areas, the corridors do not exist, are obstructed, non-functional or confused with pastures. The corridors are dynamic and regress numerically over time due to the deterioration of the pastures, the obstruction of the corridors, conflicts and the drying up of water points. History, culture and institutions are also crucial. Conclusions and application of results: the determinants of the transhumance corridors on the periphery of the W reserve are historical, cultural, environmental, socio-economic and institutional. The different types of corridors are interconnected. Rational, peaceful and sustainable management of transhumance routes requires an in-depth knowledge of these determinants in the target ecosystems. The establishment of a database would allow authorities at various levels to have an overview of the distribution of these infrastructures and decision-making tools for better valorisation of pastoralism and better monitoring of pastoral resources and infrastructures. Keywords: transhumance corridors, cartographic representation, perception analysis, Benin W transboundary biosphere reserve.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Antonin, Céline. "L’euro face au dollar." Questions internationales 102, no. 1 (July 23, 2020): 69–78. http://dx.doi.org/10.3917/quin.102.0069.

Full text
Abstract:
L’évolution du rapport de force entre l’euro et le dollar sur le marché des changes au cours des vingt dernières années est liée à plusieurs facteurs déterminants, tant économiques que politiques. Même si le dollar demeure à ce jour la principale monnaie de réserve mondiale, l’euro pourrait ouvrir la voie vers un système monétaire mondial multipolaire, à condition néanmoins que la monnaie commune surmonte un certain nombre d’obstacles .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Rizzo, Bruno. "Keynes et les deux motifs de la finance bancaire." Économie appliquée 45, no. 4 (1992): 123–59. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1992.2309.

Full text
Abstract:
Dans la Théorie générale, Keynes fait jouer un rôle crucial à la politique monétaire sous l'hypothèse qu'une addition aux disponibilités monétaires abaisse le taux de l'intérêt tout en se figeant directement dans les réserves patrimoniales. Dans ses écrits postérieurs il complète son schéma par l'insertion de la nécessité du préfinancement monétaire de la production, qui, mal géré par les banques, pousse à la hausse le taux de l'intérêt et peut «étrangler» l'investissement. Ce sont alors les réserves de transaction et, implicitement, l'accumulation du capital, qui occupent le devant de la scène. L'auteur de l’article se propose de réunir et de réinterpréter les deux motifs de la finance bancaire dans le cadre d'un «modèle» de croissance, en excluant, par principe, toute référence à un marché spécifique de la monnaie. Ainsi, la monnaie nouvelle n'emprunte jamais un canal la conduisant directement dans les encaisses et, du même coup, le marché financier reste, en toutes circonstances, le seul lieu de détermination du taux de l'intérêt.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Decaluwe, B., and J. S. Bhandari. "Un cadre d’analyse pour l’étude d’un régime de double marché des changes imparfaitement cloisonné." Recherches économiques de Louvain 53, no. 1 (March 1987): 75–88. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800083032.

Full text
Abstract:
I. INTRODUCTIONLes autorités du Fonds monétaire international ont toujours dévoilé une grande préoccupation face au développement de systèmes de taux de change doubles ou multiples. Malgré ces préoccupations et l’avis généralement exprimé par les experts qu’un système de taux de change multiples est discriminatoire et moins efficace qu’un mécanisme de change unifié, de nombreux pays ont eu recours à des sytèmes de taux de change multiples ou doubles pour atténuer leurs problèmes de balance des paiements. Inventorier la nature des régimes de taux de change doubles ou multiples dépasse l’objet de notre étude. Toutefois, un examen attentif des dispositions 1égales prises par les autorités monétaires de pays utilisant de tels régimes fait apparaître qu’ils fonctionnent différemment des schémas théoriques présentés par les économistes. Selon ces derniers, un régime de double marché des changes se caractérise par un cloisonnement complet entre le marché des changes réglementé réservé aux transactions commerciales et le marché des changes libre réservé aux transactions financières. C’est en s’appuyant sur cette hypothèse que les premiers travaux de Baratieri et Ragazzi [1971], Fleming [1971], Abraham et Martin [1970], Kouri et Porter [1974] et Swoboda [1974] évaluèrent l’efficacité des instruments de la politique fiscale et monétaire en régime de double taux de change en la comparant aux régimes de taux de change fixe ou flexible.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Manceau, Delphine. "Les effets des annonces préalables de nouveaux produits sur le marché: état des connaissances et propositions théoriques." Recherche et Applications en Marketing (French Edition) 11, no. 3 (September 1996): 39–55. http://dx.doi.org/10.1177/076737019601100303.

Full text
Abstract:
Certaines entreprises annoncent à l'avance le lancement de leurs nouveaux produits. Par une analyse des recherches antérieures, cet article étudie les conséquences d'une telle pratique sur l'accueil réservé au produit préannoncé et sur les ventes des produits déjà présents sur le marché. Il identifie également les caractéristiques des annonces préalables susceptibles d'influencer leurs effets.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

des, Département, Jacky Fayolle, and Françoise Milewski. "Le crépuscule des monnaies fortes." Revue de l'OFCE 57, no. 2 (July 1, 1996): 5–94. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1996.57n1.0005.

Full text
Abstract:
Résumé En 1996, le commerce mondial évoluera, dans la foulée du ralentissement de 1995, à un rythme bien plus proche de sa tendance de longue période (5 % l'an) que de la performance moyenne des années 1994-1995 (plus de 10 % l'an). L'infléchissement est net début 1996, surtout pour le commerce intra-européen. Ensuite, le commerce mondial et la demande adressée aux pays européens reviendraient, jusqu'à la fin 1997, sur un rythme de 6 à 7% l'an. La révision des comptes nationaux américains amène à une vision renouvelée de l'expansion enregistrée par les Etats-Unis ces dernières années. C'est dès l'année 1995 désormais que l'atterrissage en douceur paraît s'être inscrit dans les chiffres de croissance (+2,1 % pour le PIB après 3,5 % en 1994). Ce ralentissement doit être compris non pas comme le terme définitif de la phase d'expansion engagée en 1991- 1992, mais comme une pause, qui diffère les tensions, avant un rebond ultérieur. Comme l'action de la Réserve fédérale devrait être assez pragmatique pour éviter aussi bien le risque inflationniste que celui d'une déstabilisation de l'activité, la croissance du PIB, encore en ralentissement en 1996 (+ 1,6 %), reprendrait de la vigueur en 1997 (+ 2 %). Depuis la fin 1995, l'embellie de l'économie japonaise est confortée par la multiplication de signes précurseurs favorables. L'économie japonaise n'en est cependant qu'au stade de la récupération du terrain perdu lors de la rechute du printemps 1995. Le redressement de la demande privée reste partiel. Au-delà d'un horizon de quelques trimestres, la croissance envisageable pour le Japon reste modérée. Le gain sera net en 1996 (+ 2,3 % pour le PIB contre + 0,7 % en 1995) mais 1997 n'enregistrerait pas d'accélération (+ 2,2 %). L'affaissement de la croissance européenne au cours de 1995 n'est pas une simple pause technique, qui manifesterait l'adaptation normale _du_çomportement de stockage aprèsja reprise rapide de 1994. Il repose sur une sérieuse défaillance de la demande finale externe eTinferne, qui interrompt à contretemps le cycle européen, avant que des tensions substantielles sur l'offre aient pu être enregistrées. L'Allemagne rencontre aujourd'hui des difficultés spécifiques sur les marchés internationaux. Elle n'a pas engagé, comme cela était attendu, la reconstitution de ses parts de marché à l'exportation, qui avaient fortement chuté en 1992- 1993. La déception causée par la rechute allemande de 1995 ne signifie pas pour autant une détérioration cumulative de l'activité Outre-Rhin. Les signes de faiblesse sont maximaux en début d'année. Mais les facteurs existent pour une récupération progressive de l'activité, à partir du second semestre 1996. La politique monétaire est supposée rester accommodante. Les exonérations fiscales entrées en vigueur vont redonner du tonus au revenu des ménages. La normalisation des taux de change aidera à la stabilisation des parts de marché à l'exportation. Lestée par les mauvaises performances de la fin 1995 et du début 1996, la progression du PIB resterait faible en 1996 (+ 0,9 %), mais serait plus honorable en 1997 (+ 2,3 %). En France, après le repli du quatrième trimestre 1995, quelques bonnes nouvelles sont apparues au début de 1996, en particulier du côté de la consommation des ménages. Mais les anticipations des entreprises restent dégradées, les carnets de commande sont encore dégarnis, et surtout, les stocks sont jugés excessifs ; l'ajustement des stocks à la demande est donc encore à venir. La demande intérieure finale resterait modérée. Les composantes publiques de la demande (consommation et investissement des administrations) sont orientées à la baisse. La consommation des ménages pâtirait cette année de la faiblesse du revenu ; elle se redresserait à la charnière de 1996 et 1997 grâce à un regain de la masse salariale. C'est la condition pour que la reprise de l'investissement s'amplifie. Les entreprises ont déjà, en 1995, reporté nombre de leurs projets ; leur réalisation suppose un retour d'anticipations favorables sur la demande finale. La reprise des exportations serait progressive, mais supérieure à celle des importations en 1996. Dans le cycle actuel, la France, qui avait dépassé la moyenne européenne dans la reprise de 1994, a décliné plus fortement dans le repli de 1995 et 1996. Les incertitudes sont de deux ordres : en premier lieu, elles concernent la nature de l'ajustement du marché du travail. Depuis l'automne 1995, les effectifs ont stagné ; si les embauches redémarrent progressivement avec le rebond d'activité, alors le regain de la masse salariale fondera celui du revenu disponible et de la consommation. Mais cela signifie que la productivité reste faible. En second lieu, les incertitudes de politique économique demeurent. En matière monétaire, on a supposé que les taux d'intérêt courts continueraient de baisser jusqu'à la fin 1996 et se stabiliseraient ensuite. La baisse des taux longs serait faible. Cette détente est favorable à la croissance, mais elle intervient tardivement dans le cycle. Sur le plan budgétaire, on a retenu qu'il n'y aurait pas de restriction supplémentaire du point de vue des prélèvements, mais une surveillance accentuée des dépenses. Ces deux incertitudes conditionnent la consolidation de la reprise en 1997, après qu'elle aura été portée, à la fin de 1996, par l'arrêt du déstockage. Il faut ainsi prévoir que la détente monétaire se poursuive, que la restriction budgétaire ne s'accentue que modérément, que la reprise de l'emploi survienne, qu'enfin le contexte mondial permette une accélération de la demande extérieure, pour envisager une croissance économique de 1 % cette année et 2,5 % l'an prochain. C'est une croissance sous conditions. Laissant l'économie très en retrait de son potentiel, elle emporterait une très faible hausse des prix, une consolidation de l'excédent extérieur et une légère baisse du chômage en 1997, après sa remontée en 1996.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Estachy, Laurent. "Relations macroéconomiques et financières entre les Etats-Unis et la Chine : symbiose ou conflits ?" Économie appliquée 68, no. 2 (2015): 121–49. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2015.3710.

Full text
Abstract:
Des relations de type centre-périphérie sont au cœur du fonctionnement du système monétaire international et des marchés globaux de capitaux, à ce titre déséquilibres de balance commerciale et accumulation de réserves de changes jouent un rôle crucial. Ce papier se propose, dans cette ligne de réflexion, de se focaliser plus particulièrement sur les relations financières et monétaires entre les Etats-Unis et la Chine depuis le début des années 1980 : analyses macroéconomiques et financières d’une part, relations internationales et bouleversements géopolitiques d’autre part, apparaissant alors indissociables. Depuis le milieu des années 2000, on assiste en particulier à ce que l’on peut assimiler à une guerre financière et monétaire, sourde et non officielle, objet de multiples manœuvres directes ou indirectes, dont les principales seront évoquées dans la présentation, mais toujours caractérisée cependant par un «équilibre de la terreur financière » évoqué par Lawrence Summers, ancien Secrétaire au Trésor américain dès 2004. Le cœur du conflit ? Les marchés globaux de capitaux...
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Aufauvre, Nathalie. "Le marché de l’or et les réserves des banques centrales." Annales des Mines - Réalités industrielles Novembre 2018, no. 4 (2018): 60. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.184.0060.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Carrier, Denis. "Le discours commercial en Floride : une psychothérapie-choc pour les professions au Canada et au Québec." Les Cahiers de droit 33, no. 4 (April 12, 2005): 1207–33. http://dx.doi.org/10.7202/043179ar.

Full text
Abstract:
Pour assurer la protection du public en matière de services professionnels, les législateurs, au Canada comme aux Etats-Unis, préfèrent souvent ne pas établir de monopole d'exercice mais plutôt simplement réserver le droit de porter le titre professionnel aux seules personnes possédant une qualification adéquate. La restriction pourrait contrevenir à la Constitution en ne respectant pas le droit à la liberté d'expression, selon l'arrêt Abramson v. Gonzalez, d'un tribunal américain ; sa conclusion pourrait se transposer au Canada. Mais l'analyse révèle des possibilités d'aménagement qui, dans un contexte de marchés de plus en plus ouverts, permettraient au public de profiter pleinement de l'information véhiculée par le titre.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Hill, Mary A. "Blossom T. Wigdor and David K. Foot. The Over-Forty Society: Issues for Canada's Aging Population. Toronto: James Lorimer and Company, Publishers, 1988, pp. 133. $16.95." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 9, no. 3 (1990): 310–12. http://dx.doi.org/10.1017/s071498080001076x.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉLes auteurs de ce livre se sont basés sur des données déjà recueillies pour réfléchir sur le sort réservé aux personnes âgées durant les trente premières années du XXIe siècle. Ils formulent diverses extrapolations en s'appuyant sur des prédictions démographiques et discutent de questions concernant le marché du travail, les pensions, le maintien des revenus, l'éducation, les soins à la santé, le logement, les politiques et les problémes touchant les services sociaux. Ce livre s'adresse à tous et ne manquera pas de stimuler les débats en cours.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Fouet, Monique, and Françoise Milewski. "L'investissement en quête de financements." Revue de l'OFCE 36, no. 2 (March 1, 1991): 5–83. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1991.36n1.0005.

Full text
Abstract:
Résumé Les chocs politiques à répercussions économiques ont été nombreux depuis le début de l'année dernière ; les plus importants pour la conjoncture des pays de l'OCDE ont été la réunification de l'Allemagne, et la crise puis la guerre du Golfe. Les conjonctures en ont été plus ou moins déviées de leur cheminement. La réunification a évité à l'Allemagne de l'Ouest un ralentissement d'activité en 1990 et amoindri celui de bon nombre de pays européens. Les événements du Golfe ont au contraire précipité et temporairement amplifié le mouvement de repli des activités économiques dans la quasi totalité des pays industrialisés. De plus les politiques monétaires des grands pays s'étaient relâchées fin 1989 en réaction au mini-krach d'octobre ; trois trimestres plus tard, comme cela avait été le cas (mais de manière alors plus massive) après le relâchement consécutif au krach boursier d'octobre 1987, il s'en est suivi un rebond de la croissance. Enfin, les marchés ont bien souvent réagi très vite aux anticipations, de sorte que les effets ont parfois précédé les causes. Il en est allé ainsi de la hausse du prix du pétrole entre le mois d'août et le mois de novembre 1990, en partie motivée par l'anticipation de destructions liées à la guerre et qui finalement n'ont pas eu lieu. Il en fut de même des hausses des taux d'intérêt allemands par anticipation du coût de l'unification. Ces perturbations ont donné depuis l'été 1990 aux évolutions de court terme un caractère heurté qui risque de conduire à des interprétations erronées du passé et, partant, à de fréquentes révisions des tendances attendues pour les semestres à venir. Ainsi, à lire la chute des productions du second semeste 1990 comme la conséquence de la seule crise du Golfe, on risquerait de conclure que, la guerre étant finie, le redémarrage est partout imminent. Cela ne nous semble pas exact. Les économies occidentales étaient engagées au début de 1990 dans des retournements cycliques : pays anglo-saxons au seuil de récessions, pays européens au bord de ralentissements marqués. Ceux-ci se sont concrétisés par à coups. L'excès de croissance dû au relâchement monétaire a pris fin à l'été 1990 ; l'insuffisance de croissance due à l'attentisme lié au Golfe a pris fin en mars 1991 ; la croissance additionnelle due à la réunification allemande touchera à sa fin au cours des prochains mois. Une reprise technique pourrait être observée au printemps dans de nombreux pays, le cheminement sous-jacent étant retrouvé au troisième trimestre 1991 (sous réserve que n'interviennent pas de nouveaux chocs). Les économies anglo-saxonnes renoueraient alors avec une croissance modérée, le Japon avec de moindres tensions sur l'offre et les économies européennes autres que l'Allemagne avec une reprise plus vive. L'Allemagne atteindrait un point bas conjoncturel fin 1991. Ces évolutions de l'économie réelle se dérouleront sur fond d'inflation partout bien maîtrisée et de rééquilibrage des balances courantes, tout particulièrement entre les trois grands pays industrialisés. En conséquence, les politiques monétaires pourront se détendre et permettre de nouvelles baisses de taux d'intérêt. En France, le PIB ne progresserait que de 1,3 % en 1991. L'investissement cesserait de progresser plus vite que la consommation, à l'inverse des années récentes, bridé par une demande peu porteuse et une situation financière dégradée. La formation des stocks serait nettement ralentie et contribuerait négativement à la croissance. En 1992, la progression du PIB pourrait atteindre 3 % ; reprise de la demande et amélioration des profits grâce à l'ajustement des effectifs opéré en 1991 permettraient un ralentissement du coût salarial unitaire et une accélération de la croissance de la productivité et de l'investissement. La progression des importations serait un peu supérieure à celle des exportations. Faible déficit extérieur et nouveau ralentissement de l'inflation complètent l'image d'une croissance équilibrée, encore trop faible cependant pour que le chômage recule sensiblement, après la forte hausse de 1991.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Côté, Marie-Hélène, and Wim Remysen. "Le « bon usage du français au Québec » selon le Multidictionnaire de la langue française : le cas de la prononciation." Arborescences, no. 7 (August 22, 2018): 33–48. http://dx.doi.org/10.7202/1050967ar.

Full text
Abstract:
Depuis son apparition sur le marché des dictionnaires au Québec, le Multidictionnaire de la langue française a suscité un intérêt particulier auprès du grand public, qui l’a rapidement adopté comme ouvrage de référence. Ce dictionnaire n’est toutefois pas à l’abri de tout reproche et, malgré ses prétentions, il ne rend que partiellement compte de l’usage tel qu’il a cours au Québec. Dans cet article, nous porterons un regard critique sur le traitement que le Multi réserve à la prononciation québécoise qui, contrairement au lexique, n’a pas été analysée par les linguistes qui se sont intéressés à l’ouvrage. Comme c’est le cas pour le lexique, la prise en compte très partielle de l’usage québécois en matière de prononciation soulève la question de la représentativité de ce dictionnaire et, partant, de son rôle comme outil de référence.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Dorion, Frederic, and Sophie Morin-Delerm. "Les tests sensoriels." Décisions Marketing N° 9, no. 3 (October 1, 1996): 81–89. http://dx.doi.org/10.3917/dm.09.0081.

Full text
Abstract:
Cet article présente les principes d’une technique réservée à l’origine aux départements de R&D des entreprises de grande consommation. Aujourd’hui, les tests sensoriels participent largement à la démarche marketing de mise au point des nouveaux produit; ils répondent à une préoccupation majeure : adapter toujours mieux les produits aux attentes du marché. Pour éclairer nos propos, nous nous appuierons sur les explications recueillies auprès de responsables des départements sensoriels d’un grand groupe cosmétique et d’une entreprise agro-alimentaire internationale. Nous présenterons un exemple réel d’exploitation de cette technique pour l’évaluation d’un plat cuisiné à base de viande.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Védie, Henri-Louis. "OCP Group : un leadership national et international." Maghreb - Machrek N° Hors-série, no. 1 (August 28, 2023): 111–27. http://dx.doi.org/10.3917/machr.hs1.0111.

Full text
Abstract:
Entreprise publique marocaine, contrôlée par l’État à 95%, l’Office Chérifien des Phosphates, devenue en 2008 OCP Group S.A. est aujourd’hui la première entreprise, publique ou privée, du Maroc. Son histoire, une longue histoire qui commence en 1920, est indissociable de celle du phosphate et de son marché. En tant qu’entreprise publique, elle est la première entreprise publique du pays, en tant qu’investisseur et employeur, au chiffre d’affaires le plus important, dégageant une valeur ajoutée record. C’est aussi celle, dont la contribution à l’économie du pays est essentielle, par sa contribution à l’amélioration de sa balance commerciale, de ses réserves de change avec une contribution significative aux comptes du trésor. Par son activité, exploitation des phosphates et de ses produits dérivés, elle est aujourd’hui le leader mondial du marché, avec des relations anciennes avec l’Inde et le Pakistan, développant des relations privilégiées depuis 2014 avec l’Afrique subsaharienne, avec en 2023 une présence très significative dans 16 pays, 12 de ses pays accueillant sur son sol 12 filiales du groupe.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

EL OUAHABI, Tarik, and Mohamed DAKKOUN. "Analyse de l’écosystème des banques participatives et diagnostic marketing." International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 4 (July 26, 2021): 423–33. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i4.110.

Full text
Abstract:
Le diagnostic markéting se fonde non seulement sur le projet, les missions et les compétences de l’entreprise mais principalement sur une analyse objective de l’environnement global de l’entreprise. Pour les banques participatives, il est primordial d’étudier les facteurs qui conditionnent le comportement des clients qui sont marqués par un degré d’implication aux actes éthiques et chariatiques de la finance islamique un peu plus élevé. La satisfaction du client est au cœur de l’économie du marché et cependant il est fréquent d’entendre dire que le marketing crée les besoins. Pour le cas de la finance islamique il existe un besoin chez le client de pouvoir octroyer des crédits en absence d’intérêt chose qui est prohibé par les principes de l’économie islamique, donc les besoins se résument comme un concept controversé puisqu’il implique un jugement de valeur basé sur la morale, l’éthique ou sur l’idéologie, sous réserve du respect des normes éthiques. Le marketing peut être moyen de différenciation et de création de la valeur pour les banques participatives. Cet article fait l’objet d’une étude théorique dont l’objectif est l’analyse de l’environnement générale des banques participatives. De ce fait, notre analyse de l’écosystème a été réalisé par une étude de l’environnement démographique, suivies par l’analyse PESTEL en vue de recenser les influences agissant sur le marché, nous présentons les cinq forces de Porter et puis nous concluons notre article par l’analyse SWOT.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Savard, Julie-Rachel. "L’apport des Hurons-Wendat au développement de l’industrie du cuir dans le secteur de Loretteville aux XIXe et XXe siècles." Globe 8, no. 1 (February 22, 2011): 69–84. http://dx.doi.org/10.7202/1000895ar.

Full text
Abstract:
Au cours de leur histoire, les Hurons ont dû adapter leur mode de vie traditionnel pour assurer leur subsistance. Ils sont ainsi passés de l’état d’horticulteurs semi-sédentaires à celui de chasseurs pour finalement développer une industrie spécialisée dans la fabrication de souliers mous en cuir. Au début du XXe siècle, on observe un déplacement de cette industrie dans les villages voisins de Loretteville et de Saint-Emile, qui étaient en mesure d’offrir l’espace, les capitaux et la main-d’oeuvre nécessaires pour des manufactures de plus grande taille. Bien que la communauté huronne se trouve ainsi marginalisée dans ce processus, plusieurs de ses membres continuent de participer activement à l’industrie du cuir. Les entreprises des environs de Wendake s’inspirent de leur savoir-faire et de leurs méthodes de mise en marché pour promouvoir leurs propres produits. La capacité d’adaptation de l’économie huronne aux changements de conjonctures lui a permis d’atteindre un niveau de prospérité peu commun pour une réserve amérindienne.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Boucher, Michel. "Le marché des joueurs de la Ligue nationale de hockey : une approche économique." Articles 59, no. 4 (January 19, 2009): 753–76. http://dx.doi.org/10.7202/601076ar.

Full text
Abstract:
Résumé Cette recherche décrit et analyse les mécanismes de répartition des joueurs entre les équipes de la LNH. Ces mécanismes sont l’existence de la clause de réserve avec ou sans compensation, le repêchage universel des joueurs amateurs, le repêchage intra-ligue et le ballottage (waiver). Après avoir démontré empiriquement que l’égalité compétitive entre les équipes ne peut être utilisée pour justifier ces pratiques non concurrentielles, cette étude essaie de prouver que les mécanismes actuels d’allocation des joueurs découlent principalement du statut monopsonique de la LNH, cette dernière étant le seul employeur des joueurs de calibre supérieur. L’argumentation employée consiste à démontrer qu’un marché libre allouerait les joueurs de hockey selon leur contribution marginale aux revenus de l’équipe, qu’il serait plus efficace et que les joueurs recevraient leur rente de talent naturel. Dans le système actuel, l’allocation des joueurs entre les équipes s’inspire de leur contribution marginale aux revenus de l’équipe puisque les droits de propriété sont clairement définis. Elle s’accompagne toutefois de nombreux coûts sociaux qui découlent de la dissociation de la rémunération du joueur de son coût d’option (opportunity cost). À ces coûts d’inefficacité s’ajoute aussi le fait que le joueur de hockey doit partager présentement sa rente avec le propriétaire de l’équipe.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Bernard, Jean-Thomas, Luc Bouthillier, and Martin K. Luckert. "L’application de la méthode des comparables à la forêt publique québécoise." Articles 69, no. 2 (March 23, 2009): 53–69. http://dx.doi.org/10.7202/602107ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ En 1986, le gouvernement du Québec a institué une nouvelle méthode d’évaluation des redevances forestières pour les terres qui relèvent de sa propriété, soit la méthode des comparables. Elle consiste à transposer la valeur des bois extraits des terres privées à celle des tiges croissant sur les terres publiques. Même si des réserves peuvent être exprimées quant au degré de concurrence sur le marché des boisés privés, ce point semble mineur en regard de l’ouverture de ce marché vers l’extérieur de la province. Des difficultés apparaissent cependant dans la transposition des valeurs du bois sur pied de la forêt privée à la forêt publique, à cause de la responsabilité partagée de la gestion de la forêt publique entre le gouvernement et l’entreprise privée qui découle du système de tenure. Cette responsabilité partagée introduit certains biais dans l’évaluation du bois debout sur les terres publiques. Ces biais réduisent les redevances forestières que le gouvernement pourrait percevoir, tout au moins à long terme. Pour résoudre certaines difficultés, le gouvernement pourrait accroître l’information disponible sur les coûts de production pour les terres publiques notamment en privatisant certaines parties du domaine public.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Fayolle, Jacky, and Françoise Milewski. "Un compromis monétaire favorable à l'Europe." Revue de l'OFCE 61, no. 2 (June 1, 1997): 5–92. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1997.61n1.0005.

Full text
Abstract:
Résumé Une fenêtre s'ouvre aujourd'hui pour que les pays européens puissent s'échapper de la « prison » de la déflation, si leurs politiques économiques s'avèrent suffisamment accommodantes. L'appréciation récente du dollar n'est pas une simple bulle destinée à se dégonfler à brève échéance. Elle traduit fondamentalement la prise en compte par les opérateurs internationaux de la continuité des performances de croissance américaines et leur confiance accrue dans le caractère soutenable de la position extérieure américaine. Si les politiques monétaires, en Europe et au Japon, maintiennent suffisamment longtemps de bas taux d'intérêt à court terme, la correction des changes pourrait être menée à terme et le dollar se stabiliser, fin 1997, au voisinage de 1,9 DM et 130 yens. Avec la normalisation des changes intra-européens, c'est un changement d'environnement significatif pour les entreprises européennes. Dans les dernières années, en effet, la contrainte de monnaie forte a constitué, pour nombre d'entre elles, un vecteur privilégié des influences déflationnistes, en poussant à la guerre des prix et à l'abaissement prioritaire des charges d'exploitation et d'investissement. Il résultera de ce changement des gains de parts de marché substantiels pour les entreprises européennes, mais aussi et surtout des signaux de prix plus favorables, qui devraient lever l'inhibition à produire et investir. Les politiques budgétaires européennes auront aussi leur rôle à jouer jians la consolidation de cet environnement, en évitant un durcissement exagéré au voisinage des prochaines échéances institutionnelles. La croissance internationale, qui bénéficiera en 1997 et 1998 d'une accélération du commerce international, pourrait être ainsi mieux partagée au sein de l'OCDE. La croissance américaine, toujours forte, bénéficie des effets du fort courant d'investissements sur le potentiel productif, si bien que les tensions inflationnistes sur les marchés de biens restent limitées. Les autorités monétaires ont les moyens de maîtriser la vitesse de l'expansion, sans avoir à verser dans un durcissement d'une sévérité telle qu'il s'avérerait déstabilisant. Les conditions de liquidité de l'économie américaine se sont en effet progressivement resserrées depuis 1994 et rendent efficace une nouvelle action marginale de la Réserve fédérale. La croissance américaine, encore vive en 1997 (2,8 %), ralentirait sans drame en 1998 (2 %). Le Japon bénéficie désormais de la décrue du yen mais s'apprête à subir un assainissement budgétaire qui amputera lourdement les ressources des ménages et fragilisera davantage une demande privée déjà versatile. C'est donc le maintien d'une politique monétaire accommodante, qui, à travers son impact sur le taux de change, aura la charge principale de placer le Japon sur un sentier d'expansion honorable. La contribution du commerce extérieur jouera un rôle essentiel pour permettre au Japon d'atteindre une croissance supérieure à 3 % en 1998. Le regain d'exportations n'a encore eu jusqu'à présent qu'un effet d'entraînement limité sur l'économie allemande. La consommation des ménages allemands pâtit de l'ajustement des emplois et des restructurations en cours. Ces restructurations améliorent progressivement la rentabilité des entreprises mais la confirmation de la détente concurrentielle est décisive pour que leur incitation à investir soit enfin libérée. En 1997, le programme d'économies sociales exercera une ponction contraignante sur les ressources des ménages. Mais si l'effort actuel parvient à ramener le déficit public au voisinage du critère de Maastricht, la politique budgétaire pourrait relâcher la pression sur les ménages en 1998 et devenir modérément expansionniste : ce serait bénéfique à l'expansion sans constituer un danger pour la maîtrise acquise du déficit. Une impulsion pourrait ainsi être donnée à la consommation des ménages et la demande interne relaierait enfin la reprise des exportations. C'est dans ces conditions que L'Allemagne pourrait renouer, après une année 1997 encore modeste (2,2 %), avec une expansion significative en 1998 (3,5 %). La croissance décrite pour la France (2,5 % cette année, 3,1 % l'an prochain) s'appuie sur l'hypothèse d'un changement de configuration monétaire et financière : la montée du dollar, passée et prévue, permettrait de conforter le regain des exportations, grâce au redressement du commerce mondial et aux gains de parts de marché. En même temps, les profits à l'exportation pourraient se redresser ; leur compression passée, pour limiter les pertes de compétitivité, pesait sur les salaires, les emplois, les investissements etc. Le rééquilibrage anticipé dans cette prévision modifierait les comportements. D'autant que la montée du dollar s'accompagne d'un rééquilibrage à l'intérieur même du SME. La détente des taux d'intérêt se maintiendrait et permettrait aussi que le contexte d'incertitudes soit en partie levé. La dynamique d'une reprise par l'extérieur pourrait ainsi se concrétiser : la fin des comportements restrictifs de dépenses des entreprises impliquerait l'arrêt du déstockage, la stabilisation des effectifs puis la reprise des embauches et enfin le redémarrage de l'investissement. Ainsi, la demande intérieure s'accélérerait : demande intérieure totale dès 1997 (du fait des stocks), demande intérieure finale en 1998 grâce à l'investissement. La politique économique reste contrainte par la satisfaction des critères de Maastricht : investissement et consommation des administrations sont limités et le seront d'autant plus si des risques de creusement du déficit apparaissent. L'investissement productif sera l'élément dynamique de la demande intérieure, tout particulièrement en 1998. Mais la consommation a peu de chance de s'intensifier car elle a été dopée en 1996 par les mesures de soutien à l'automobile : la baisse du taux d'épargne a déjà eu lieu. La croissance sera compatible avec un nouveau ralentissement de l'inflation (malgré la hausse du prix de l'énergie importée), une nouvelle extension de l'excédent commercial (grâce à l'industrie) et elle permettrait une inflexion à la baisse du chômage. Les créations d'emplois s'accentueraient progressivement et atteindraient en 1998 un rythme proche de celui de 1988-89, bien que la croissance du PIB soit plus faible : le ralentissement des gains de productivité, avec le développement du temps partiel, et le contrecoup des faibles créations d'emplois de 1994 dans l'industrie permettraient une reprise franche à court terme. Le revenu des ménages en sera peu affecté ; mais le chômage pourrait cesser de croître et même diminuer en 1998, sous l'hypothèse d'une neutralité de la politique de l'emploi. Enfin, les critères de Maastricht seraient respectés, les dépenses étant modérées (et, au besoin, gelées) et les recettes accrues si nécessaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Luneau, Marie-Pier. "Pour le meilleur et pour le pire : évolution des figures auctoriale et éditoriale au Québec." Documentation et bibliothèques 51, no. 2 (April 22, 2015): 69–77. http://dx.doi.org/10.7202/1030088ar.

Full text
Abstract:
C’est une lapalissade, l’éditeur tel qu’on le connaît aujourd’hui n’a pas toujours existé. Il fut un temps où l’auteur devait se charger lui-même des tâches réservées désormais à l’éditeur, notamment celles liées à la promotion du livre. Quel impact la consolidation de la fonction éditoriale a-t-elle eu sur la figure mythique de l’auteur ? En observant d’un point de vue diachronique l’évolution des rapports entre auteurs et éditeurs au Québec du XIXe siècle à nos jours, cet article analyse en particulier le discours des auteurs sur la mise en marché de leurs livres.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Boucher, Rémi, Sarah Knefati, and Camille-Antoine Ouimet. "Conservation du ciel nocturne : surveillance de l’éclairage extérieur et de la pollution lumineuse au parc national et à la Réserve internationale de ciel étoilé du Mont-Mégantic." Le Naturaliste canadien 142, no. 3 (August 28, 2018): 88–94. http://dx.doi.org/10.7202/1051001ar.

Full text
Abstract:
Pourtant d’apparence immuable, le ciel étoilé est aujourd’hui menacé de disparition. La cause est la croissance généralisée de la pollution lumineuse, résultat de l’utilisation de dispositifs d’éclairage inadéquats. Nous présentons ici les résultats de la mesure de cette pollution obtenue par différentes approches méthodologiques sur le territoire de la Réserve internationale de ciel étoilé du Mont-Mégantic (RICEMM). La RICEMM a été créée en 2007 afin de protéger la qualité des observations astronomiques et de recherche de l’observatoire du mont Mégantic, ainsi que pour conserver les paysages étoilés exceptionnels du site. Deux aspects incontournables de la lumière artificielle nocturne ont été pris en compte : ses sources, ainsi que sa diffusion dans l’atmosphère. Les analyses démontrent que le niveau de pollution lumineuse est resté stable depuis 10 ans dans la RICEMM, tant au zénith que pour l’ensemble du ciel, et ce, malgré une tendance mondiale à la hausse des niveaux d’éclairement, l’augmentation de la population dans la périphérie du parc national du Mont-Mégantic et l’arrivée sur le marché de types de luminaires problématiques.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Taouil, Rédouane. "La nouvelle synthèse et la théorie des cycles réels." Économie appliquée 64, no. 1 (2011): 75–102. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2011.3559.

Full text
Abstract:
Il est de plus en plus coutume de parler de «nouvelle synthèse» pour qualifier la tradition d’ analyse qui s’attache à étudier les rigidités nominales et les imperfections de marché en accordant une place insigne aux comportements des agents et à la formation rationnelle des anticipations. Or, à en examiner le modèle canonique, on s’aperçoit qu’il s’agit plutôt d’une absorption par la théorie du cycle réel qui réduit la monnaie à un rôle marginal. L’hypothèse primordiale des rigidités s’inscrit dans le cadre de la norme de l’équilibre concurrentiel qui est le référentiel de base de cette théorie. Les caractéristiques de la fonction d’utilité intertemporelle, l’accent mis sur le taux d’intérêt réel et la passivité de la monnaie sont significatifs du statut hégémonique conféré à l’approche réelle. Suite au désarroi pratique et théorique occasionné par la crise, les hypothèses de la nouvelle synthèse ont été la cible des critiques. Les limites de la nouvelle synthèse sont à rechercher dans le traitement qu ’elle réserve à la monnaie et non dans la portée descriptive de ses hypothèses.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Myftari, Entela, and Sergio Rossi. "Prix des actifs et politique monétaire : enjeux et perspectives après la crise financière de 2007-2009." Articles 86, no. 3 (May 27, 2011): 355–83. http://dx.doi.org/10.7202/1003527ar.

Full text
Abstract:
La crise financière de 2007-2009 a remis en question le comportement que doit adopter la banque centrale pour limiter les fluctuations des prix des actifs, qui exercent des effets aussi bien sur les activités de production que sur l’économie dans son ensemble. Malgré la multitude des analyses, aucun consensus n’a encore été trouvé à ce jour sur l’attitude que doit adopter l’autorité monétaire pour influencer ces phénomènes et assurer la stabilité macroéconomique. Cela s’explique entre autres par la complexité du sujet traité ainsi que par l’importance des anticipations et des interactions des acteurs sur les marchés financiers en ce qui concerne l’évolution des prix des actifs. Cet article propose une analyse des instruments et de la stratégie de politique monétaire qu’une banque centrale doit mettre en oeuvre pour atteindre ses objectifs. Dans une situation inflationniste, l’autorité monétaire doit intervenir dans la sphère financière afin de limiter les effets négatifs d’une augmentation marquée des prix des actifs réels ou financiers. Notre analyse porte plus particulièrement sur les avantages et les inconvénients de deux propositions. La première préconise la mise en oeuvre d’une politique monétaire préventive et restrictive face aux évolutions boursières. Elle se caractérise par une concrétisation facile et présente un avantage majeur en ce qu’elle contribue à limiter l’optimisme des intervenants sur les marchés financiers. Néanmoins, cette politique peut être désapprouvée au vu de ses répercussions sur l’ensemble de l’économie réelle, en particulier sur la production et l’emploi. Sur ce point, la seconde proposition, qui consiste en l’obligation faite à tout intermédiaire financier de détenir à la banque centrale des réserves suffisantes en fonction de ses propres actifs, présente un avantage, mais tout au plus théorique. Cette proposition se heurte en effet à des difficultés pratiques, notamment à la nécessité d’instaurer un important système de contrôle juridique et administratif.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Kamdem, Innocent Fetze. "La responsabilité du transporteur maritime au niveau international : un échec d'uniformisation juridique." Les Cahiers de droit 41, no. 4 (April 12, 2005): 685–743. http://dx.doi.org/10.7202/043621ar.

Full text
Abstract:
Après un siècle d'efforts en vue d'établir un régime uniforme de responsabilité du transporteur maritime de marchandises, cette matière se trouve paradoxalement régie tantôt par les Règles de La Haye, tantôt par les Règles de La Haye-Visby ou encore par les Règles de Hambourg. L'auteur démontre comment l'intention de mettre sur pied un cadre juridique international unique a finalement abouti à une multitude de régimes juridiques qui se disputent le marché de la responsabilité du transporteur maritime, au grand dam des propriétaires de marchandises. Chacun de ces régimes continue d'imposer un plafond à la responsabilité du transporteur maritime, tandis que la plupart lui réservent encore de nombreuses circonstances exonératoires.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Basset, Vincent. "Tourisme et chamanisme." Téoros 32, no. 1 (June 9, 2016): 133–42. http://dx.doi.org/10.7202/1036662ar.

Full text
Abstract:
Depuis une dizaine d’années, le tourisme chamanique a fait son apparition sur le marché touristique, notamment au Pérou, au Mexique et aux États-Unis. Bien que ce type de pratique demeure marginal, il semble intéressant à étudier d’un point de vue socio-anthropologique afin de comprendre les relations d’altérité qu’entretiennent les visiteurs auprès des sociétés visitées, et de mesurer les impacts d’une culture globalisée auprès d’une société amérindienne traditionnelle. Mes études de terrain menées au Mexique dans la réserve naturelle sacrée de Wirikuta située dans l’État de San Luis Potosi m’ont permis d’arriver à quelques conclusions. D’abord, contrairement aux approches classiques dénonçant l’inéluctable folklorisation et uniformisation culturelle de la société réceptrice, le processus d’idéalisation et de commercialisation d’une culture amérindienne par le biais du tourisme peut donner lieu à une reconnaissance culturelle auprès d’un plus large public. De plus, il peut entraîner ainsi une revitalisation culturelle d’un point de vue local et une diversification culturelle d’un point de vue global. Autrement dit, le tourisme chamanique ou mystico-spirituel déstabilise la tradition tout en la renforçant, et s’approprie un patrimoine matériel et immatériel tout en participant à la création de nouveaux mouvements religieux et sociaux, tels que le néochamanisme.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Pop, Adrian. "La Politique de Dette Subordonnée comme alternative au IIIe Pilier de Bâle II: est-elle faisable ?" Recherches économiques de Louvain 71, no. 2 (January 2005): 193–222. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800008290.

Full text
Abstract:
RésuméLes récentes propositions de réforme de la réglementation bancaire, initiées tant par la Banque des Règlements Internationaux que par le Système des Réserves Fédérates américain, incluent des éléments de discipline de marché qui complètent naturellement les instruments réglementaires traditionnels. Plus précisément, une politique par laquelle les grandes banques sont forcées d'émettre régulièrement un certain montant minimal de dette subordonnée (sous forme de titres homogènes) peut s'avérer efficace pour atténuer les effets de l'aléa moral. Cet article se focalise sur la structure d'incitations des créanciers subordonnés et ses implications en termes de Politique de Dette Subordonnée. En particulier, le but de notre analyse est de mettre en lumière le dualisme du comportement des créanciers subordonnés : d'une part, comme « allies » des régulateurs, en protégeant leurs investissements par une surveillance active et une punition immédiate des stratégies excessivement risquées, d'autre part, comme « ennemis » des régulateurs, en favorisant d'une manière similaire aux actionnaires l'adoption d'une politique aventurée en matière de risque.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Aubin, Christian, Jean-Pierre Berdot, Daniel Goyeau, and Jacques Léonard. "Le système financier chinois : le double défi de la transition et de la soutenabilité de la dette publique." Économie appliquée 61, no. 4 (2008): 47–80. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2008.1892.

Full text
Abstract:
Au-delà de l’apparence immédiate, et dans une perspective de moyen terme, la croissance soutenue de l’économie chinoise s’accompagne de déséquilibres et de dysfonctionnements bancaires et financiers conduisant à établir dès à présent un diagnostic de fragilité financière. Or, cette fragilité est non seulement susceptible de peser sur la pérennité du rythme de croissance de l’économie, mais aussi de révéler, à la limite, que les conditions préalables à la manifestation éventuelle d’un risque financier systémique pourraient être dès à présent réunies. En effet, la stratégie de «répression financière» à l’œuvre dans le cadre du modèle de développement chinois est susceptible de dégrader de manière excessive la nécessaire «robustesse» financière qui sous-tend ce modèle. La première partie de l’article cherche à mettre en évidence la spécificité et les limites de l’expérience chinoise en matière de réformes financières, tant au niveau du système d’intermédiation qu’à celui des marchés de capitaux, et ce, en rapport avec les exigences de financement des entreprises d’État. La deuxième partie met en évidence la déficience financière majeure, à savoir l’accumulation de prêts non performants. La troisième partie traite de la recherche des conditions de soutenabilité de la dette publique, en relation avec l’accumulation de réserves de change face aux nouvelles obligations budgétaires.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Laherrère, Jean. "La fin du pétrole bon marché. Pourquoi les informations sur les réserves sont si peu fiables et controversées." Futuribles, no. 315 (January 2006): 15–47. http://dx.doi.org/10.1051/futur:200631515.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Ntiranyibagira, Constantin. "La dynamique diglossique à Bujumbura: analyse de quelques représentations." Revista Odisseia 4, no. 1 (May 28, 2019): 90–106. http://dx.doi.org/10.21680/1983-2435.2019v4n1id17232.

Full text
Abstract:
L’appréhension de la dynamique diglossique à Bujumbura à travers les représentations linguistiques s’est basée sur une analyse qualitative des données, recueillies grâce à une enquête de terrain qui a concerné 400 locuteurs répartis dans les trois communes de cette ville (Ntahangwa, Mukaza, Muha). Il a été constaté que malgré l’image de «moins utiles» qu’inspirent encore le kirundi et le kiswahili, ces langues commencent timidement à bousculer le français dans certains secteurs socioprofessionnels naturellement réservés aux variétés hautes. Depuis l’adoption en 2006 par le Burundi d’une politique de promotion du kirundi, du kiswahili et de l’anglais, la prépondérance du français est relativement mise à mal au profit de ces trois langues. Cependant, l'anglais, tout en étant érigé en langue officielle, est encore plus une langue que beaucoup de Burundais aimeraient apprendre qu’effectivement perceptible sur le marché linguistique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Héran, François, and Michel Bozon. "La découverte du conjoint. II. Les scènes de rencontre dans l'espace social." Population Vol. 43, no. 1 (January 1, 1988): 121–50. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p1988.43n1.0150.

Full text
Abstract:
Résumé Bozon Michel et Héran François. — La découverte du conjoint. II. Les scènes de rencontre dans l'espace social. Effectuée en 1983-1984 auprès de 3 000 personnes de moins de 45 ans vivant en couple, marié ou non, l'enquête « Formation des couples » se propose d'étudier le fonctionnement concret du marché matrimonial en France. Dans ce second article, les modes de rencontre (bal, voisinage, études, travail, etc.) sont mis en relation avec les propriétés sociales des individus concernés. N'importe qui ne rencontre pas son conjoint n'importe où. Une opposition majeure se dessine entre les espaces fermés ou réservés, où se rencontrent préférentiellement les classes supérieures, et les lieux publics, ouverts à tous, où se forment surtout les couples d'origine populaire. Les variations sociales de la sociabilité constituent ainsi une médiation essentielle dans la production de l'homogamie, sans qu'il faille voir nécessairement dans ce processus l'effet de stratégies matrimoniales explicites.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Assassi, Sami, Ali Daoudi, and Athmane Amokrane. "Le marché foncier comme dispositif de réallocation de l’eau dans le périmètre irrigué de Guelma, Algérie." Cahiers Agricultures 31 (2022): 31. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2022028.

Full text
Abstract:
Les terres irriguées, rares, sont au cœur des enjeux de sécurité alimentaire dans de nombreux pays en développement car elles sont les plus productives. Leur extension représente un choix stratégique pour beaucoup de ces pays. En Algérie, comme dans tout le Maghreb, ce choix s’est longtemps traduit par la création de grands périmètres irrigués. Dans ces périmètres, les disponibilités en eau ne permettent généralement pas de couvrir l’ensemble des demandes et l’eau est gérée par un dispositif de rationnement par le tour d’eau, qui réduit les quantités affectées à chaque exploitation à des seuils qui limitent leurs choix productifs. Dans le périmètre irrigué de Guelma, un tiers de la superficie est pourtant annuellement réservée à des cultures irriguées à forte valeur ajoutée, notamment la tomate industrielle. Pour comprendre les mécanismes par lesquels l’eau, rare, en théorie accessible à tous, et vendue à un prix administré faible, est affectée à des cultures intensives en capital et en eau, nous avons réalisé 30 entretiens semi-directifs avec des personnes ressources, une enquête directive auprès de 30 locataires et de 52 propriétaires de parcelles dans le périmètre irrigué, et une analyse spatiale d’images satellites. Nos résultats montrent que le développement de cette culture intensive est en grande partie à mettre en rapport avec l’existence d’un marché foncier locatif dynamique liant terre et eau. Via ce marché double, l’eau disponible est réaffectée entre individus et laissée chaque année aux plus offrants, à savoir les locataires spécialisés dans la tomate industrielle, qui génèrent une valeur ajoutée élevée. Comme les locataires redistribuent une partie de la valeur qu’ils génèrent, via la rente locative et la rente de fertilité résiduelle, à tous les producteurs de blé, qu’ils soient propriétaires ou locataires, ces derniers ne réclament pas les droits d’eau en théorie associés à ces parcelles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Craig-Dupont, Olivier, and Gérald Domon. "Protection privée de la biodiversité et fiscalisation du marché de la wilderness : une histoire de la conservation volontaire au Québec (1980-2014)." Recherche 56, no. 2-3 (December 11, 2015): 381–417. http://dx.doi.org/10.7202/1034212ar.

Full text
Abstract:
Depuis la fin des années 1980, la province de Québec est le théâtre d’une véritable prolifération de statuts de protection écologique sur terres privées. Réserves naturelles en milieu privé, dons écologiques, servitudes de conservation et « fiducies foncières » se multiplient maintenant dans certaines régions du Québec méridional. Vu la nature privée des transactions foncières qui composent ce mouvement, ce dernier demeure largement méconnu. Il a pourtant eu un impact substantiel sur le façonnement de certaines politiques contemporaines concernant la conservation du patrimoine naturel au Québec. À travers une recherche détaillée de fonds d’archives ministériels et une série d’entrevues avec des acteurs clefs, cet article retrace la genèse de ce mouvement de conservation volontaire au Québec. Il souligne comment les États canadien et québécois, de même que certaines corporations à but non lucratif, ont facilité la mise en place d’un réseau d’aires protégées privées largement financées par le trésor public, par l’entremise d’avantages fiscaux. La reconstruction de cette institutionnalisation de la conservation volontaire au Québec révèle comment l’État fut un agent actif dans la décentralisation, la privatisation et la fiscalisation progressive de la conservation du patrimoine écologique au Québec.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Hertrich, Véronique. "La polygamie : persistance ou recomposition ? Le cas d’une population rurale du Mali." Articles 35, no. 2 (August 11, 2008): 39–69. http://dx.doi.org/10.7202/018592ar.

Full text
Abstract:
Résumé La polygamie se donne souvent à lire comme un privilège réservé à une minorité d’hommes âgés. Cette image déduite des données transversales gagne à être nuancée et complétée en prenant en compte la dynamique de la pratique, telle qu’elle peut être analysée à partir d’une analyse longitudinale des pratiques matrimoniales. C’est le parti pris dans cet article. Celui-ci est fondé sur une enquête biographique réalisée dans des villages bwa du sud-est du Mali. L’accès à la polygamie, la réversibilité de la pratique et l’appariement conjugal y sont successivement examinés pour discuter de la dynamique et de l’évolution de cette institution. Loin de correspondre à une pratique sélective et un instrument de pouvoir, la polygamie apparaît, dans cette population, comme une expérience partagée par une partie importante des hommes, mais souvent à titre provisoire. La flexibilité est l’un des atouts de l’institution : elle offre des mécanismes d’ajustement à l’ensemble du système matrimonial et évite sa remise en question. Cependant, si la pratique se maintient, c’est aux prix d’un déplacement de son marché matrimonial, désormais alimenté par les femmes divorcées et veuves et déserté par les jeunes femmes. Les conditions d’un recul effectif de la polygamie semblent principalement dépendre de l’évolution de l’encadrement matrimonial des femmes, en particulier des exigences de remariage.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Bélanger, Jacques, and Gilles Breton. "Restructuration économique et régulation du travail : au-delà de l’approche institutionnaliste." Cahiers de recherche sociologique, no. 18-19 (April 19, 2011): 139–53. http://dx.doi.org/10.7202/1002306ar.

Full text
Abstract:
Dans un contexte où les entreprises cherchent à puiser dans les réserves de productivité, les rigidités associées à la convention collective sont, pour nombre de spécialistes, la clé du problème. Une telle conclusion ne nous paraît pas fondée. L’article suggère plutôt un double déplacement du regard habituellement porté sur l’économie et la gestion du travail, pour ainsi dépasser l’approche institutionnaliste. D’abord, l’étude des forces économiques ne doit pas se limiter à la logique du marché mais doit aussi considérer l’ensemble des choix institutionnels et sociaux. Cela fait l’objet de la première section de l’article, qui situe la question de la régulation du travail en rapport avec le déclin du fordisme en contexte de globalisation. Ensuite, il importe que l’analyse ne se limite pas à la convention collective et aborde plus directement l’usage de la force de travail. Sous cet angle, la deuxième section analyse l’épuisement du modèle d’organisation du travail associé au fordisme, ce qui constitue selon nous l’enjeu principal en regard de l’efficacité des organisations. La troisième section s’appuie sur une observation réalisée dans une grande entreprise québécoise pour montrer qu’il est possible de mettre au point une gestion efficace du travail sans remettre en cause les acquis de la convention collective.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Quéméner, Myriam. "Entreprises et intelligence artificielle : quels apports, quels risques ?" Sécurité et stratégie 31, no. 3 (March 19, 2024): 54–58. http://dx.doi.org/10.3917/sestr.031.0054.

Full text
Abstract:
Apparue dans les années 50, l’intelligence artificielle (IA) revient en force et offre des perspectives dans tous les secteurs des activités économiques. Elle se nourrit désormais d’une masse considérable de données ou big data qui constituent la richesse des entreprises. L’intelligence artificielle n’est plus réservée aux services marketing pour définir les tendances de leur marché ou mieux cibler leurs clients, ces applications se diversifient, allant de la finance au domaine de la santé jusqu’au renforcement de la sécurité des entreprises. L’intelligence artificielle est cependant, comme le numérique, à double tranchant ; en instaurant une surveillance de masse, elle comporte des risques de dérives et crée des atouts pour les cyberdélinquants. C’est pourquoi progressivement se fait jour une règlementation destinée à préserver le rôle de l’homme face aux machines rendues intelligentes grâce à l’IA. Myriam Quéméner, avocat général à la cour d’appel de Paris et docteur en droit, est actuellement chargée des procédures économiques et financières à la chambre de l’instruction. Elle réalise la veille juridique en matière de droit du numérique et de cybersécurite pour le parquet général. Elle vient de publier “Le droit face à la disruption numérique” aux éditions lnextenso. L’auteur nous parle aujourd’hui des liens entre entreprises et intelligence artificielle et de la législation qui apparaît pour les réglementer.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Passet, Olivier. "Le Japon : les doutes d'un créancier." Revue de l'OFCE 54, no. 3 (September 1, 1995): 5–55. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.54n1.0005.

Full text
Abstract:
Résumé La dégradation de l'activité industrielle depuis le mois d'avril, souligne la fragilité de la reprise japonaise. Ce mouvement ne fait que confirmer les doutes que l'on pouvait avoir sur les moteurs de la croissance. Il accompagne le repli de la politique de soutien à l'activité menée par le gouvernement depuis la fin de l'année der- nière. Ce dernier, ayant misé trop tôt sur la dynamique autonome de la demande privée, doit donc se résoudre à de nouvelles interventions. C'est moins la perte de compétitivité des entreprises nippones qui constitue à court terme le principal obstacle à la croissance, que l'effort déployé par ces dernières pour contenir leurs coûts unitaires. Leur rapide adaptation à la parité du yen a pesé en dernier ressort sur le revenu des ménages, qui voient, au gré des aléas du marché des changes, varier la partie la plus instable de leurs revenus, que sont les primes et la rémunération des heures supplémentaires. Simultanément les hausses négociées de salaire s'érodent d'année en année. Ceci explique en partie la prudence des comportements d'épargne des ménages. La vitalité de la demande de biens durables, qui constituait un des éléments les plus prometteurs et solides de la reprise, apparaît se substituer à d'autres achats, en raison de le baisse des prix relatifs de ce type de biens. Ce que l'on appelle au Japon le « Kakaku Hakai », phénomène de « destruction des prix » (qui touche particulièrement les biens durables et l'habillement), lié à l'ouverture du système de distribution et à la hausse du yen, a pu fausser la perception de la reprise. On peut douter, de plus, de la capacité du secteur privé à prendre la relève de l'Etat, dans le contexte actuel de délabrement des bilans des organismes financiers. Compte tenu du poids des mauvaises créances, un risque de crise systémique pèse sur le système de financement nippon, dont /'epicentre se situe au niveau des intermédiaires non bancaires, spécialisés dans le financement de l'immobilier. On pouvait croire jusque là que le premier créancier du monde pouvait compter sur ses réserves pour sortir son écono- mie de l'impasse. Mais ce matelas de créances, en se dépréciant, se transforme en fardeau : le Japon réalise tardivement qu'il a prêté au dessus de ses moyens et hésite aujourd'hui à liquider un actif déprécié. Cet attentisme participe à la faiblesse de l'activité et exacerbe un peu plus le problème des créances douteuses. Mais la crise que traverse aujourd'hui le Japon dépasse les conséquences de /'après bulle et de la hausse du yen. Cette dernière est d'ailleurs probablement partiellement réversible. On trouve difficilement les fondamentaux qui justifieraient le niveau actuel de parité de la devise nippone. L'internationalisation du yen est bien trop lente pour justifier une déviation d'une telle ampleur de la monnaie par rapport à sa parité de pouvoir d'achat, au cours des dernières années. Son niveau actuel serait plutôt un handicap à la diffusion du yen comme monnaie de réserve et de facturation, tant il accroît le risque de change. Il semble davantage lié aux arbitrages qu'opèrent les banques nippones en faveur du yen, compte tenu de la dégradation de leurs bilans et de leur volonté de diminuer les risques. Si l'on admet que l'appréciation du yen n'a pas d'autre fondement structurel, il faut alors envisager les consé- quences qu'engendrerait la mise en jeu de forces de rappel. Le ralentissement du potentiel de croissance nippon s'inscrit dans le long terme. Après une phase de rattrapage de productivité, l'économie japonaise devra composer dorénavant avec un sentier de croissance de moyen et long terme proche des performances moyennes de l'OCDE. Elle peut s'en écarter un temps, grâce à la dynamique régionale, par le truchement de l'investissement direct. Mais ce jeu n'a qu'un temps, compte tenu de la perméabilité croissante de son marché intérieur (liée à la rationalisation et à la déréglementation de son système de distribution), et du processus de rattrapage et d'auto- nomie grandissante de ses voisins asiatiques. La surévaluation de la devise nippone a surtout rompu la cohérence de la politique de délocalisation. Le risque le plus sensible à long terme, est celui d'un boomerang asiatique, lié à une délocalisation désordonnée des activités intermédiaires, guidée par l'urgence, et d'une diffusion incontrôlée du progrès technique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Lehrer, Steven F., Yazhuo Pan, and Ross Finnie. "Evolution of Gender Patterns in Retirement Saving in Canada." Canadian Public Policy 49, S1 (February 1, 2023): 6–31. http://dx.doi.org/10.3138/cpp.2022-034.

Full text
Abstract:
Une préoccupation persistante au sujet des personnes âgées est leur capacité à maintenir leur bienêtre économique après leur retraite. Dans une large mesure, ce sont les décisions d’épargne prises pendant les années précédant la retraite qui financent la consommation pendant les années de retraite. Les disparités entre les sexes en ce qui concerne les gains sur le marché du travail et les régimes de retraite financés par l’employeur, de même que la longévité plus grande des femmes, donnent à penser que les ressources dont disposent les Canadiennes à la retraite sont probablement différentes de celles des Canadiens. En étudiant sur 38 ans les données administratives, représentatives à l’échelle nationale, d’une banque de données construite à partir des déclarations d’impôt sur le revenu des particuliers, nous examinons l’évolution des tendances de l’épargne-retraite par rapport à la répartition du revenu selon l’âge et la cohorte de naissance, pour les femmes et pour les hommes. Nous constatons que même si les femmes sont plus susceptibles d’épargner à tous les âges, sous réserve de leur participation, elles épargnent moins et ont tendance à être attirées par des placements qui, en moyenne, offrent un taux de rendement inférieur. Par conséquent, il est possible que les politiques centrées sur la marge d’épargne extensive (les décisions de participation) ne réduisent pas les différences de bienêtre économique entre les femmes et les hommes à la retraite, de sorte que les politiques devraient également viser la marge intensive (le montant de la contribution). Enfin, sur l’ensemble de la répartition des revenus, nous constatons une hétérogénéité substantielle des différences significatives entre les sexes quant aux effets de l’âge, de la cohorte et de la période, et ce, dans les deux marges d’épargne-retraite.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Lefebvre, Clarinda, Laurent Florès, and Christian Dussart. "Jusqu’où iront les MDD ?" Décisions Marketing N° 61, no. 1 (January 1, 2011): 85–89. http://dx.doi.org/10.3917/dm.061.0085.

Full text
Abstract:
A la naissance des marques de distributeurs, certains « gourous » du marketing clamaient haut et fort que la part de marché de ces dernières ne dépasserait jamais 20% au grand maximum et que leur qualité (réelle et perçue) ne serait jamais comparable à celle des marques de fabricants… Erreur majeure ! Trois décennies plus tard, elles représentent plus du tiers, voire près de la moitié, des ventes dans la plupart des économies développées, et elles menacent directement nombre de grandes marques au niveau mondial. Jusqu’où iront-elles ? Finiront-elles par devenir des marques soutenues par des concepts et des positionnements forts comme la nouvelle vague de MDD venue des Etats Unis ? En France, on voit maintenant des MDD sélectives de luxe, Séphora et Marionnaud envahissent avec leurs marques propres des sphères autrefois réservées aux grands de la cosmétique, par exemple celle des soins dermo-cosmétiques hautement sophistiqués destinés aux cibles seniors. Et dans son tout nouveau concept, Carrefour donne une place prépondérante à ses marques : les royaumes du bio et de l’expérientiel sont conquis par les MDD ! Loin de croire que l’essor des marques de commerce atteint ses limites, nous prétendons que « la planète MDD » n’a pas encore livré tous ses secrets. En effet, de nombreux territoires restent inexplorés ou inexploités .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

CHILLIARD, Y., J. J. COLLEAU, C. DISENHAUS, C. LERONDELLE, C. MOUCHET, and A. PARIS. "L’hormone de croissance recombinante : intérêt et risques potentiels de son utilisation pour la production laitière bovine." INRAE Productions Animales 11, no. 1 (February 2, 1998): 15–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.1.3913.

Full text
Abstract:
L’administration d’hormone de croissance bovine recombinante (rbGH) accroît la production laitière de 2 à 6 kg/j, de façon variable selon l’âge des vaches, leur stade de lactation et leur état nutritionnel, la dose de GH injectée et la forme de présentation de l’hormone. Les effets sur la composition du lait et les réserves corporelles dépendent de la durée des expériences et de la nature des rations distribuées. La GH stimule l’activité et/ou la durée de vie des cellules sécrétrices mammaires, probablement par l’intermédiaire de l’IGF-1 produit par le foie et/ou la glande mammaire. Simultanément, la GH oriente le métabolisme du tissu adipeux et du muscle vers une mobilisation et une oxydation accrues des acides gras, et une épargne du glucose. L’administration de rbGH a peu d’effets directs sur la fonction de reproduction, mais tend indirectement à la retarder, lorsqu’elle est initiée avant la fécondation, en raison de la diminution transitoire du bilan énergétique des vaches. L’aptitude du lait à la transformation ne semble pas être modifiée par l’administration de rbGH, ni l’élévation de la sécrétion d’IGF-1 dans le lait entraîner de risque pour le consommateur. La GH pourrait stimuler les réponses immunitaires des animaux, et de ce fait accroître le nombre de cellules dans le lait. La tendance à augmenter l’incidence des mammites semble par contre résulter indirectement de l’élévation de la production laitière. La GH à très forte concentration peut stimuler la production virale dans certains modèles "in vitro" chez les espèces monogastriques, mais il n’existe pour l’instant que très peu de données chez les ruminants laitiers. Par ailleurs, la vitesse d’élimination des xénobiotiques (antibiotiques...) par le foie pourrait être diminuée. Une éventuelle utilisation commerciale de la rbGH diminuerait l’efficacité (ou augmenterait le coût) de l’amélioration génétique, et serait d’un intérêt économique limité pour les éleveurs placés dans un système de quotas laitiers. Toutefois, son utilisation dans des pays tiers sans quotas pourrait diminuer le coût de production du lait et accroître la compétition sur le marché international des produits laitiers, malgré les risques de dégradation qui pèseraient alors sur l’image de ces produits pour les consommateurs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Montagnini, Florencia, Beatriz Eibl, and Sara R. Barth. "Yerba maté biologique : un système agroforestier en phase avec l'environnement et l'économie sociale et financière." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (June 1, 2011): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20475.

Full text
Abstract:
Le commerce de la yerba maté, Ilex paraguariensis Saint-Hilaire, est un négoce lucratif en Argentine, au Paraguay et au Brésil. Ses feuilles sont consommées comme du thé avec un marché en croissance aux États-Unis, en Europe et en Asie, car elles contiennent des antioxydants, sont énergisantes et constituent ainsi une alternative au café. Environ 5% de la superficie de la province de Misiones en Argentine sont consacrés à la production de la yerba maté. Beaucoup de paysans n'atteignent pas les rendements escomptés faute de techniques appropriées. La yerba maté en culture organique (sans intrants agrochimiques) peut atteindre un prix plus élevé pour les coopératives qui en font un de leurs produits. Tradition nel lement gérée en monoculture, son exploitation peut entraîner l'érosion et l'épuisement des sols. Toutefois, la yerba maté pousse en forêt subtropicale et tolère l'ombrage ce qui permet de la cultiver dans des systèmes agroforestiers (SAF). Cette étude examine les SAF avec la yerba maté en culture organique à l'aide d'interviews semi-structurées auprès des paysans de la province de Misiones, y compris les fermes familiales, les grandes fermes, les compagnies privées et les réserves. Un grand nombre d'espèces naturelles poussant en association avec la yerba maté ont été identifiées. Le travail supplémentaire requis par les pratiques de la culture organique est compensé par un meilleur prix de vente. Les SAF, associant yerba mate et arbres, améliorent la fertilité des sols sans recourir aux fertilisants tout en procurant des revenus supplémentaires. Pour cette association l'étude recommande les espèces locales suivantes: Balfourodendron riedelianum, Cordia trichotoma, Nectandra lanceolata, Bastardiopsis densiflora, Cedrela fissillis, Jacaranda micrantha, Araucaria angustifolia, et Ocotea puberula, du fait de leur développement monopodial et de leur capacité d'auto-élagage; ainsi que Tabebuia heptaphylla, Enterolobium contortisiliquum, Peltophorum dubium, Parapiptadenia rigida et Anadenanthera macrocarpa avec une couronne plus large; toutes ont une bonne croissance et un bois de qualité. Il est aussi suggéré d'introduire d'autres espèces arborées, herbacées et arbustives de valeur fruitière, médicinale ou ornementale, diversifiant les produits fermiers. Finalement, cette agroforesterie associant yerba maté et espèces locales va promouvoir la diffusion de cette plante en culture organique et diversifier les revenus en Argentine et ailleurs. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

ROUEL, J., J. BONY, G. LAIGNEL, G. LIENARD, and M. THERIEZ. "Dans une exploitation laitière, un troupeau ovin complémentaire. Mise au point d’un système de production en ferme expérimentale." INRAE Productions Animales 8, no. 5 (October 24, 1995): 341–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.5.4148.

Full text
Abstract:
L’existence des quotas laitiers dans l’Union Européenne depuis 1984 entraîne une modification des conditions de développement des exploitations laitières. Sans attribution de références supplémentaires, l’augmentation du rendement laitier par vache entraîne une réduction du nombre de vaches qui peut rendre disponible une partie des surfaces fourragères pour d’autres productions. Lorsque les céréales ne sont pas envisageables, les choix d’une production alternative sont réduits et se limitent à l’élevage d’autres herbivores, génisses, mâles engraissés, bovins allaitants, ovins. Dans les zones de montagne où l’élevage ovin est déjà présent, comme dans le Massif Central, les éleveurs laitiers peuvent plus facilement entreprendre cette production. L’article présente les résultats d’une étude en ferme expérimentale sur cinq années (de 1989-90 à 1993-94), dont l’objectif a été la mise au point d’un système de production ovin adapté aux contraintes et exigences d’un élevage laitier intensif, et qui tienne également compte des possibilités de commercialisation des agneaux. L’expérience a été menée dans un domaine INRA situé dans les Monts d’Auvergne à 1 000 mètres d’altitude. Les brebis sont de race rustique (Limousines). La complémentarité économique avec les vaches laitières permet de concevoir un système ovin moins productif qu’en élevage spécialisé, mais il doit être moins exigeant en travail, tout en facilitant l’entretien du territoire : le système finalement adopté repose sur un seul agnelage par brebis et par an ayant lieu en juillet-août, avant le début des premiers vêlages en octobre. Le travail est réparti. Une partie des repousses estivales des prairies peuvent être réservées aux brebis allaitantes. On peut produire à l’herbe des agneaux légers (2 à 2,5 mois) pour les marchés du Sud Européen, avec très peu de concentré (44 kg par brebis et par an en moyenne sur 3 ans). Les résultats techniques et économiques obtenus sont comparés à ceux d’un groupe d’éleveurs spécialisés ovins situés dans les mêmes zones du Massif Central Nord et ayant des brebis de race rustique. Plus que le système mis au point, il faut retenir la démarche et les réflexions générales qui peuvent être dégagées de cette expérimentation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Sterdyniak, Henri, Gaël Dupont, and Alexis Dantec. "Les retraites en France : que faire ?" Revue de l'OFCE 68, no. 1 (January 1, 1999): 19–81. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1999.68n1.0019.

Full text
Abstract:
Résumé Le système français de retraite publique assure actuellement aux personnes âgées un revenu équivalent à celui des actifs. Il est essentiellement financé par la répartition. L'alourdissement du ratio entre retraités et actifs, qui devrait augmenter fortement après 2015 pour passer de 51,5% en 1997 à 83,5% en 2040, pose la question de son avenir. Le maintien à son niveau actuel du ratio de remplacement entre retraites et salaires net ferait passer le taux de cotisations retraite de 20,1% en 1997à 28,6 en 2040, soit une moindre progression de 0,3 point par an du salaire net. La stabilité du taux des cotisations retraite ferait baisser de 40% le niveau de vie relatif des retraités. Le report de l'âge de départà la retraite à 65 ans limiterait le ratio retraités/actifs à 62% en 2040. Mais il nécessite le retour au plein-emploi et la fin de l'exclusion précoce des travailleurs vieillissants. Dans le système français actuel, le premier pilier (le système public de solidarité) ne joue qu'un rôle marginal (minimum-vieillesse). Le système est centré sur le deuxième pilier : le régime social contributif qui inclut le régime général et les régimes complémentaires. Ce régime présente l'avantage individuel et collectif de garantir le niveau de vie relatif des retraités et des actifs. Il doit être géré de façon à rester compétitif avec les systèmes par capitalisation. Les réformes mises en oeuvre en 1993 et 1996 devraient réduire les taux de remplacement brut de 64,7% à 53,3% pour un ouvrier- type, de 41,7 à 40,6% pour un cadre-type. Globalement, toutefois, les taux de remplacement net ne devraient guère fortement diminuer en raison de la hausse des droits acquis par les générations les plus jeunes. Mal conçue, la réforme du régime général aboutit une situation paradoxale : si la situation économique s'améliore, la charge pesant sur les actifs sera allégée et la position relative des retraités sera fortement abaissée. Si la situation macroéconomique est mauvaise, la position relative des retraités sera maintenue et la charge pesant sur les actifs continuera à s'alourdir. Les « régimes spéciaux » des fonctionnaires et des grandes entreprises publiques n'ont pas été touchés par la réforme. Les disparités avec le régime commun ne sont guère acceptables dans un système de répartition basé sur la solidarité nationale. Un alignement brutal sur le privé n'est pas souhaitable Un compromis social fructueux pourrait comporter l'uniformisation de l'âge de départ à la retraite selon des critères de pénibilité du travail, l'uniformisation des taux de remplacement selon un critère de niveau des salaires et l'indexation des pensions sur les salaires nets. La retraite par capitalisation, peu développée à l'heure actuelle, pourrait constituer un quatrième pilier. Les fonds de pension devraient être gérés à l'extérieur de l'entreprise, avec sortie obligatoire en rente, avec exonération d'impôt sur le revenu à l'entrée, mais sans exonération des cotisations sociales. Cependant les ménages répugnent ce type de placement qui les oblige à s'engager pour toute leur vie et qui leur fait perdre toute liberté d'utilisation de leur patrimoine et toute possibilité de legs à leurs héritiers. Du point de vue individuel, la mise en place du système de capitalisation ne diminue pas le taux de prélèvement nécessaire pour obtenir un taux de remplacement donné ; au contraire, elle l'augmente pendant les années de transition. Une telle opération n'est rentable que si elle permet effectivement d'augmenter l'investissement productif, ce qui n'est pas garanti. Contrairement ce qui est souvent avancé, la France ne manque pas d'épargne. L'objectif d'attirer les ménages en Bourse pourrait être obtenu par une modification de la fiscalité, rendue moins favorable à l'assurance-vie et plus propice à la détention d'actions. Dans un système par capitalisation, le niveau des retraites est soumis aux aléas des marchés financiers ou boursiers ; une fracture se crée entre les intérêts des actifs et ceux des retraités. Une solution intermédiaire serait d'accumuler des réserves dans les caisses par répartition. L'opération permettrait d'accroître le revenu des générations actives d'après 2030 en faisant payer plus les générations actives entre 1999 et 2030. Reste que les exigences de la régulation macroéconomique peuvent ne pas être compatibles avec celles de la constitution de réserves et que l'opération, de par son ampleur, est difficile à piloter.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Takenaga, Susumu. "Theory of Money of David Ricardo: Quantity Theory and Theory of Value." Lecturas de Economía, no. 59 (October 30, 2009): 73–126. http://dx.doi.org/10.17533/udea.le.n59a2700.

Full text
Abstract:
En lo que es necesario enfatizar, al caracterizar la teoría cuantitativa de David Ricardo, es en que ésta es una teoría de determinación del valor del dinero en una situación particular en la cual se impide que el dinero, sin importar cual sea su forma, entre y salga libremente de la circulación. Para Ricardo, la regulación del valor del dinero por su cantidad es un caso particular en el cual el ajuste del precio de mercado al precio natural requiere un largo periodo de tiempo. La determinación cuantitativa es completamente inadmisible, pero solo cuando el período de observación es más corto que el de ajuste. En todo caso, la determinación del valor del dinero rara vez es vinculada a su teoría del valor de las mercancías. Contrario a la interpretación aceptada comúnmente, Ricardo no aplicó a la determinación del valor del dinero una teoría del valor distinta de aquélla aplicada a las mercancías en general. Palabras clave: pensamiento económico, escuela clásica, teorías del valor, moneda. Clasificación JEL: B1, B12, B·31. Abstract: What is to be underlined in characterizing the Ricardo’s quantity theory, is that it is a theory of determination of the value of money in a particular situation where money, whatever the form may be, shall be prevented from freely entering or leaving circulation. For Ricardo, the regulation of the value of money by its quantity is a particular case in which the adjustment of the market price to the natural price requires a long period of time. The quantitativist determination is not valid unconditionally, but only when the time of observation is shorter than that of this adjustment. The determination of the value of money is, in any case, barely linked to his theory of the value of commodities. Contrary to the commonly accepted interpretation, Ricardo did not apply to the determination of the value of money any theory of value different from that applied to commodities in general. Key words: value of money, quantitativist, quantity theory, circulation, commodities. JEL: B1, B12, B-31. Résumé: Pour rémarquer la théorie quantitative de David Ricardo, il faut souligner qu’il s’agit d’une théorie de détermination de la valeur de l’argent dans une situation particulière où l’on ne permettra pas que l’argent, sous n’emporte quelle forme, puisse entrer et sortir librement de la circulation. Selón Ricardo, la régulation de la valeur de l’argent par sa quantité est un cas particulier dans lequel l’ajustement du prix du marché au prix normal exige une période de temps considérable. La détermination quantitative est inadmissible sans réserve, mais seulement quand la période de l’observation est plus courte que celle de cet ajustement. De toute façon la détermination de la valeur de l’argent est a peine liée à sa théorie de la valeur des marchandises. Contrairement à l’interprétation généralement admise, Ricardo n’a pas appliqué à la détermination de la valeur de l’argent, une théorie différente de celle appliquée aux produits en général. Mots clés: pensée économique, école classique, théories de la valeur, monnaie. JEL: B1, B12, B-31.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Nwose, R. N., D. I. Nwose, P. N. Onu, A. I. Adeolu, and J. M. I. Nwenya. "Impact of covid-19 on livestock production in Nigeria: A review." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 6 (January 18, 2022): 13–22. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i6.3272.

Full text
Abstract:
Corona virus disease 2019 (Covid-19) has been major threat for the sustainability of human existence. In understanding the gravity of the situation, every state has undertaken special steps to fight against the pandemic mostly with measures involving social distancing and self-isolation, restriction in travel and trade. This is done in all the states to avoid the spread of the virus. All these strategies to combat against the pandemic have greatly affected an important economic sector such as livestock production. Livestock production is one of the main agricultural sector in endorsing availability and accessibility of food and human development. Livestock plays an important role in the economic system, provides food and feed material, creates employment opportunities to a very large population; meet the animal protein demands of the economy. At present, livestock industry has included game reserves, recreational centers, marketing of livestock, processing of livestock, distribution of animal products, research institutes etc. are all accepted as component of modern animal production. This review intends to document the impact of Covid-19 pandemic on livestock production and food security as it primarily involves the sustainability of human life and the economy. It was observed that the Covid-19 pandemic protocols and provisions interferes with the supply chain of the market with impaired production and distribution. La maladie à virus Corona 2019 (Covid-19) a été une menace majeure pour la durabilité de l'existence humaine. Comprenant la gravité de la situation, chaque État a pris des mesures spéciales pour lutter contre la pandémie, principalement avec des mesures impliquant la distanciation sociale et l'auto-isolement, la restriction des voyages et du commerce. Cela se fait dans tous les états pour éviter la propagation du virus. Toutes ces stratégies de lutte contre la pandémie ont fortement affecté un secteur économique important comme l'élevage. La production animale est l'un des principaux secteurs agricoles en faveur de la disponibilitéet de l'accessibilité de la nourriture et du développement humain. L'élevage joue un rôle important dans le système économique, fournit des denrées alimentaires et des aliments pour animaux, crée des opportunités d'emploi pour une très grande population ; répondre aux besoins en protéines animales de l'économie. À l'heure actuelle, l'industrie de l'élevage comprend des réserves de chasse, des centres de loisirs, la commercialisation du bétail, la transformation du bétail, la distribution de produits d'origine animale, des instituts de recherche, etc. sont tous acceptés comme une composante de la production animale moderne. Cette revue vise à documenter l'impact de la pandémie de Covid-19 sur la production animale et la sécurité alimentaire car elle implique principalement la durabilité de la vie humaine et de l'économie. Il a été observé que les protocoles et dispositions relatifs à la pandémie de Covid-19 interfèrent avec la chaîne d'approvisionnement du marché avec une production et une distribution altérées.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

de Repentigny, Isabelle. "ÉTUDE DU CONCEPT DE « FABRICANT OU PRODUCTEUR » DANS LA LOI SUR LA TAXE D’ACCISE." Revue générale de droit 10, no. 2 (May 8, 2019): 429–96. http://dx.doi.org/10.7202/1059506ar.

Full text
Abstract:
La taxe d’accise et la taxe de vente ou de consommation, sont parmi les composantes de la fiscalité indirecte au niveau fédéral. Ces taxes sont imposées en vertu de la Loi sur la taxe d’accise, et ont été instaurées comme sources de revenus supplémentaires en raison des dépenses occasionnées par la Première guerre mondiale. La taxe d’accise vise certains articles fabriqués ou importés, et la taxe de vente ou de consommation s’applique à toutes les ventes et importations de marchandises, sous réserve de certaines exceptions. Lorsque les marchandises sont de provenance canadienne, les taxes d’accise et de vente sont imposées au stade de la fabrication ou production des marchandises. Comme la loi ne prévoit pas de définition générale du concept de fabricant ou producteur, et ne confère pas au Ministre le pouvoir de le définir par règlements, le contribuable doit s’en remettre aux décisions administratives des fonctionnaires du Ministère du Revenu national, douanes et accise, lesquelles s’avèrent souvent arbitraires. S’il survient un différend sur la question de savoir si un article a été fabriqué ou produit, la Commission du tarif a juridiction pour déterminer si l’article en question est exempt de la taxe ou non. La présente étude se propose donc de donner une définition statuaire, rédigée sous forme de principes généraux dégagés par la jurisprudence qui a été appelée à définir le concept de fabricant ou producteur, et énoncée d’après les règles d’interprétation statutaire, c’est-à-dire en donnant au concept de fabricant ou producteur, son sens ordinaire, commun et populaire, tel qu’entendu dans le langage courant, et tel que défini par les dictionnaires. La jurisprudence a démontré que le concept de fabricant ou producteur se définit par rapport à la notion de marchandise et au principe de la transformation de la marchandise. On a considéré comme marchandises les biens meubles qui ont été fabriqués ou produits sur une certaine échelle, par opposition à l’acte isolé. Lorsque ces marchandises sont par la suite incorporées à un immeuble, elles deviennent assujetties à la taxe si elles ont été fabriquées ou produites à l’extérieur du site de construction de l’immeuble. Pour se qualifier aux termes de la Loi sur la taxe d’accise, les marchandises doivent appartenir à celui qui a effectué les opérations de fabrication ou de production, et doivent être destinées au commerce et aux affaires, sans toutefois exclure les marchandises qui, une fois fabriquées ou produites, sont utilisées par l’entrepreneur dans l’exercice de son commerce. Il a été établi que le principe de la transformation est à la base des opérations de fabrication ou de production effectuées sur les marchandises. En effet, les opérations qui donnent à la marchandise de nouvelles formes, qualités, propriétés ou combinaisons sont considérées comme opérations de fabrication ou de production. Les opérations frontalières, comme les opérations d’assemblage, de mélange et de dilution sont qualifiées d’opérations de fabrication ou de production, lorsqu’elles opèrent une transformation suffisante selon les critères essentiels mis de l’avant par la jurisprudence. Par contre, les procédés de mise en marché y sont exclus, ceux-ci ne réunissant pas les exigences nécessaires à la transformation de la marchandise. La jurisprudence a voulu distinguer le producteur du fabricant, en classifiant comme opérations de production les opérations de transformation mineure, par opposition aux opérations de tranformation majeure. Cependant, il semble qu’une telle distinction n’existe pas en fait, puisque le terme de producteur serait plutôt susceptible d’englober les opérations des industries extractives et des exploitations agricoles, lesquelles sont exemptes de la taxe en vertu de la loi. D’où la nécessité de l’idée de transformation comme principe fondamental sur lequel repose le concept de fabricant ou producteur.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

Full text
Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography