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Journal articles on the topic 'Maladies prioritaires'

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1

SEEGERS, H., N. BAREILLE, R. GUATTEO, A. JOLY, A. CHAUVIN, C. CHARTIER, S. NUSINOVICI, et al. "Épidémiologie et leviers pour la maîtrise de la santé des troupeaux bovins laitiers : approche monographique pour sept maladies majeures." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 17, 2013): 157–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3145.

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Abstract:
Les décisions de gestion de la santé animale correspondent à un large éventail de situations et de problèmes. Illustrant ce constat, sept maladies majeures des troupeaux bovins laitiers sont examinées pour identifier les facteurs les plus courants limitant l’efficacité des plans de maîtrise ainsi que les perspectives d’amélioration de la maîtrise sur le terrain. Pour les infections intra-mammaires, la recherche vise à la mise au point de vaccins multivalents, le ciblage des vaches à traiter par les antibactériens, la méthodologie des interventions en ferme, et l’augmentation de la résistance innée par la sélection génomique. Pour les strongyloses gastro-intestinales, les recherches prioritaires s’orientent aussi vers les stratégies de traitement anthelminthique raisonné et ciblé, la voie génétique semblant moins prioritaire que chez les petits ruminants. La maîtrise de la maladie de Mortellaro, affection de l’appareil locomoteur, ne pourra plus recourir aux désinfectants classiquement utilisés dans les pédiluves et des approches alternatives sont nécessaires. La maîtrise de la fièvre Q est à rechercher par la vaccination de l’ensemble du troupeau sur plusieurs années et l’hygiène de la parturition. La paratuberculose pourrait à terme être maîtrisée par la sélection génomique, en raison de l’absence de traitement et de vaccin efficaces et de l’existence de bases génétiques de résistance/résilience prometteuses. La maîtrise de l’infection par le virus BVDV semble pouvoir être atteinte par des mesures sanitaires combinées ou non avec la vaccination. La quasi-éradication des sérotypes exotiques du virus de la fièvre catarrhale ovine pourrait être obtenue par la surveillance ciblée et la vaccination massive et rapide. Les spécificités de l’étiologie, de l’épidémiologie et des moyens de maîtrise des maladies étudiées n’autorisent guère de conclusions génériques.
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2

Greenwood, Margo, Donna Sutherland, and Julie Sutherland. "Soutenir l’équité en santé pour les Premières Nations, les Inuits et les Métis." Relevé des maladies transmissibles au Canada 48, no. 4 (April 6, 2022): 134–39. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v48i04a01f.

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Abstract:
Le Centre de collaboration nationale de la santé autochtone (CCNSA) est unique parmi les centres de collaboration nationale, car il est le seul centre axé sur la santé d’une population. Dans ce cinquième article de la série du Relevé des maladies transmissibles au Canada sur les Centres de collaboration nationale et leur contribution à la réaction de la santé publique du Canada à la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), nous décrivons le travail du CCNSA. Nous commençons par un aperçu du mandat et des domaines prioritaires du CCNSA, en décrivant son mode de fonctionnement, les personnes qu’il sert et la manière dont il est resté souple et s’est adapté à l’évolution des besoins en matière de santé publique autochtone. Les principales activités d’application et d’échange de connaissances entreprises par le CCNSA pour lutter contre la désinformation liée à la COVID-19 et pour favoriser l’utilisation opportune des données et des connaissances autochtones dans la prise de décisions en matière de santé publique pendant la pandémie sont également abordées, en mettant l’accent sur l’application des leçons apprises à l’avenir.
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3

MacDonald, Shannon, Hannah Sell, Sarah Wilson, Samantha Meyer, Arnaud Gagneur, Ali Assi, and Manish Sadarangani. "Analyse environnementale de la planification provinciale et territoriale aux fins des programmes de vaccination contre la COVID-19 au Canada." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 56 (June 9, 2021): 312–19. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i56a07f.

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Abstract:
Contexte : Les services de santé publique du Canada sont actuellement confrontés à la tâche difficile de planifier et de mettre en œuvre des programmes de vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Objectif : Recueillir et synthétiser les informations concernant la planification du programme de vaccination contre la COVID-19 dans chaque province et territoire du Canada, y compris les considérations logistiques, les groupes prioritaires et la surveillance de l’innocuité et de l’efficacité du vaccin. Méthodes : Les responsables provinciaux et territoriaux de la santé publique ont été interrogés par téléconférence au cours de la phase initiale de planification des programmes de vaccination contre la COVID-19 (août à octobre 2020) afin de recueillir des informations sur les sujets suivants : facteurs uniques pour la vaccination contre la COVID-19, intention d’adopter les recommandations du Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI), groupes prioritaires pour les premières phases de la vaccination et surveillance de l’innocuité et de l’efficacité du vaccin. Les données ont été regroupées en fonction des réponses communes et une analyse descriptive a été réalisée. Résultats : Dix-huit entretiens ont eu lieu avec 25 participants de 11 des 13 provinces et territoires. Les facteurs uniques de la vaccination contre la COVID-19 comprenaient la hiérarchisation des groupes pour les premières phases de la vaccination (n = 7), la perception des vaccins par le public (n = 6) et des critères d’éligibilité divergents (n = 5). Presque toutes les provinces et territoires (n = 10) ont déclaré s’appuyer sur les recommandations du CCNI. Les résidents des établissements de soins de longue durée (n = 10) et les travailleurs de la santé (n = 10) ont été le plus souvent prioritaires pour les premières phases de la vaccination, suivis des personnes souffrant de maladies chroniques (n = 9) et des personnes âgées (n = 8). La plupart des provinces et territoires (n = 9) prévoient une surveillance systématique des effets indésirables pour évaluer l’innocuité des vaccins. L’évaluation de l’efficacité devait se faire au sein des services de santé publique (n = 3), par des chercheurs (n = 3) ou sur la base de directives nationales (n = 4). Conclusion : La planification des programmes de vaccination contre la COVID-19 dans les provinces et territoires présente certaines similitudes et est largement conforme aux directives du CCNI, avec quelques divergences. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer les programmes de vaccination contre la COVID-19 une fois qu’ils auront été mis en œuvre.
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4

Scherdel, P., J. C. Carel, J. F. Salaun, H. Piloquet, C. Pietrement, J. Cheymol, M. Arnould, et al. "Maladies cibles prioritaires de la surveillance de la croissance staturo-pondérale Vers un consensus français ?" Archives de Pédiatrie 21, no. 5 (May 2014): 53–55. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(14)71458-7.

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5

Coulibaly, MB. "Diagnostic communautaire en santé : Etude transversale dans la ville de Konobougou, Mali." Mali Santé Publique 11, no. 1 (August 4, 2021): 75–80. http://dx.doi.org/10.53318/msp.v11i1.1897.

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Abstract:
Introduction : Afin d´améliorer efficacement la santé communautaire, il est nécessaire d'établir une stratégie de promotion de la santé basée sur les besoins communautaires. L’objectif de ce travail était d’identifier les problèmes de santé prioritaires de la population de Konobougou pouvant servir de base à une stratégie d'amélioration des conditions de santé dans cette ville. Matériel et méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive allant d’Août à Septembre 2018 dans la ville de Konobougou qui est le chef-lieu de la commune du même nom au Mali. La taille de l’échantillon était de 50 participants. L’enquête concernait les chefs de famille, les mères de familles et les propriétaires des concessions. Résultats : Les personnes enquêtées étaient constituées de 92% d’hommes et 8% de femmes ; 88% étaient propriétaires de la maison et 12% étaient chefs de ménages. Les familles utilisaient comme eau de boisson les robinets dans 90% des cas et le puits dans 10% des cas. Seulement 8% des familles avaient une poubelle mais on notait une absence de couvercle dans 75% des cas sur ces poubelles. Le paludisme était la maladie la plus rencontrée avec 76% suivi des infections respiratoires aigües avec 12% des cas dans les familles selon les enquêtés. Conclusion : Les problèmes de santé dans cette ville étaient liés aux mauvaises conditions d’hygiène et d’assainissement qui seraient à l’origine de certaines maladies telles que : le paludisme, les infections respiratoires aigües et la diarrhée. Il paraît donc nécessaire d’orienter notre action sur la promotion de l’hygiène et l’assainissement. Mots clés : Diagnostic communautaire, santé, Konobougou, Mali
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6

Russell, MW, LA Campbell, S. Kisely, and D. Persaud. "Mise au point d’indicateurs sociosanitaires : une approche à l’échelle du district." Maladies chroniques au Canada 31, no. 2 (March 2011): 75–81. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.31.2.03f.

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Abstract:
Introduction En réaction aux taux élevés de maladies chroniques, la Régie régionale de la santé Capital en Nouvelle-Écosse a reconnu la nécessité de modifier le processus décisionnel axé sur les soins actifs pour privilégier une approche axée sur la santé de la population et guidée par des indicateurs sociosanitaires. Méthodologie Une enquête a été menée auprès des principaux intervenants à propos de leur connaissance des indicateurs socio-sanitaires en lien avec la santé, et à propos de leur opinion sur l’utilité de ces indicateurs dans l’aide à la prise de décision. Résultats Les répondants ont déclaré bien connaître les indicateurs sociosanitaires présentés et les ont trouvé utiles. Ils ont fait un choix plutôt consensuel sur les indicateurs prioritaires aptes selon eux à guider les interventions. Ils sont plutôt favorables à l’utilisation d’indicateurs sociosanitaires pour aider à définir une politique de la santé axée sur la population, du fait qu’ils ont participé au processus de choix, que la présentation des éléments probants a été faite en termes simples et pertinents, et que la diffusion des éléments a été large.
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Mills, Anne. "La science et la technologie en tant que biens publics mondiaux : S'attaquer aux maladies prioritaires des pays pauvres." Revue d'économie du développement 10, no. 1 (2002): 117. http://dx.doi.org/10.3917/edd.161.0117.

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8

HERPIN, P., and B. CHARLEY. "Quel avenir pour les recherches en productions et santé animales ?" INRAE Productions Animales 21, no. 1 (March 22, 2008): 137–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3384.

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Abstract:
La dimension planétaire des problématiques de recherche (développement durable, changement climatique, gestion de la biodiversité, qualité de l’eau, qualité et sécurité de l’alimentation, maladies émergentes, bioénergies), la nécessité d’accroître encore à l’avenir l’offre alimentaire mondiale pour répondre à une démographie galopante, et l’évolution du statut de l’animal replacent les pratiques d’élevage, les animaux et leurs produits au coeur de débats de société. Après un tour d’horizon des grands enjeux auxquels seront confrontés les agronomes de demain, quelques axes de recherche prioritaires sont brièvement esquissés. Ils entrent totalement dans l’objectif d’une recherche agronomique finalisée pour une alimentation adaptée, un environnement préservé et une agriculture compétitive et durable, en lien avec l’ensemble des acteurs publics et privés. Les relations entre l’élevage, ses produits et l’environnement devront être explorées, analysées, modélisées pour faire évoluer nos pratiques et tenter de réconcilier élevage et écologie. L’analyse des grands enjeux qui conditionnent l’évolution de la place des produits animaux dans l’alimentation de l’Homme permettra de revisiter notre dispositif de recherche et d’apporter une dimension intégrative indispensable aux travaux de recherche. Le formidable potentiel de progrès et d’innovation offert par la génomique et la post-génomique devra être exploré. La maîtrise des processus infectieux, émergents ou récurrents, nécessitera la mise oeuvre d’une véritable écologie des maladies, intégrant la dimension environnementale. Pour s’approprier pleinement ces différentes dimensions, les chercheurs en sciences animales devront résolument ouvrir leurs réflexions et leurs projets à d’autres disciplines (écologie, agronomie, nutrition humaine, sociologie, économie de l’élevage et des produits…), et construire leurs questions de recherche en diversifiant leurs partenariats, dans le cadre d’un dialogue renouvelé et constructif avec la société.
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Johnson, Ermel A. K., Moumini Niaoné, Aristide Romaric Bado, Youl Yeri Traore, and Issiaka Sombié. "Optimisation des soins de santé primaires au Burkina Faso : une approche éclairée par l’outil EQUIST." Santé Publique Vol. 35, no. 4 (November 23, 2023): 435–48. http://dx.doi.org/10.3917/spub.234.0435.

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Abstract:
Introduction : Le Burkina Faso a fait de l’accès aux soins de santé primaires (SSP) une priorité nationale en l’inscrivant dans le plan national de développement sanitaire 2021-2030. But de l’étude : Notre étude visait à analyser les causes des inégalités d’accès aux SSP, les interventions prioritaires et les stratégies pour leur renforcement ainsi que leurs impacts potentiels sur la réduction de la mortalité maternelle et infantile. Résultats : Les maladies diarrhéiques, le paludisme et la pneumonie constituent les principales causes d’inégalités de décès infanto-juvénile en milieu rural. Quant aux décès maternels, l’avortement et ses complications étaient les principales causes d’inégalités des décès, associées aux troubles hypertensives. Les régions du Sahel, Boucle du Mouhoun, Centre-Nord, Est et les Cascades sont les zones géographiques où les interventions sont indispensables pour réduire les inégalités de décès maternels, néonataux, infanto-juvéniles et la malnutrition. Conclusion : Les priorités nationales ont pris en compte l’ensemble des interventions à haut impact de renforcement des SSP identifiées dans notre étude. La mise en œuvre des interventions doit prioriser les populations des milieux ruraux, les régions géographiques les plus affectés et ayant un haut impact. Ceci passe par l’implication et l’autonomisation des communautés bénéficiaires et la prise en compte du contexte de fragilité sécuritaire.
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Fardet, A., and Y. Boirie. "P212 Une approche holistique identifie des cibles prioritaires pour réduire la prévalence des maladies chroniques liées à une alimentation déséquilibrée." Cahiers de Nutrition et de Diététique 48 (December 2013): S160—S161. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(13)70569-8.

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Fardet, A., and Y. Boirie. "P212 Une approche holistique identifie des cibles prioritaires pour réduire la prévalence des maladies chroniques liées à une alimentation déséquilibrée." Nutrition Clinique et Métabolisme 27 (December 2013): S160—S161. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(13)70543-0.

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Diouf, S., I. Wone, I. Diagne, A. Diallo, M. Diagne, and M. Sarr. "SFP-P153 – Pédiatrie générale et sociale – Maladies infantiles prioritaires et principaux indicateurs de survie de l’enfant dans une région du Sénégal." Archives de Pédiatrie 15, no. 5 (June 2008): 989. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(08)72283-8.

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Merle-Béral, Anne-Marie. "Maladie somatique et réalité psychique : quelques réflexions." Revue française de psychanalyse o 60, no. 1 (January 1, 1996): 81–86. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.g1996.60n1.0081.

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Abstract:
Résumé L'annonce de la maladie somatique constitue un traumatisme qui exige un réaménagement de la réalité psychique du patient. L'irruption de la temporalité et l'effondrement de l'omnipotence infantile entraînent un trouble identitaire et soumettent le Moi au risque de la mélancolie ou du déni et de la projection pathologique. L'intervention du psychothérapeute peut permettre un meilleur réaménagement défensif à partir du deuil du Soi sain, le droit à la passivité du malade restant prioritaire.
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Cardinale, Eric, Brigitte Arbelot, Y. Kaboret, Jean-François Dayon, C. Biaou, and O. Bada Algom. "La maladie de Gumboro dans les élevages semi-industriels de la région de Dakar." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 51, no. 4 (April 1, 1998): 293–96. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9612.

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Abstract:
A partir d'une enquête anatomopathologique, bactériologique et parasitologique menée sur des oiseaux provenant de 52 foyers de maladie d'octobre 1993 à mai 1994, les auteurs ont montré que la maladie de Gumboro avait une prévalence de 26 % en élevage de poulets de chair et 7 % en élevage de poulettes. La maladie était associée à la coccidiose dans 23 % des cas et à la colibacillose dans 8 %. Une étude sérologique a montré que la prévalence de la maladie atteignait 69 % en saison des pluies et 46 % en saison sèche. Les signes cliniques se sont manifestés dans 11 % des lots de poulets de chair infectés. Seuls 5 % des lots de poulettes et 11 % des lots de poulets de chair avaient été correctement vaccinés contre la maladie de Gumboro. L'observation de la cinétique des anticorps a révélé que 52,6 % des poussins produits à Dakar avaient un seuil de protection bas à partir de la 3e semaine. Cependant une vaccination entre les ge et 12e jours permet souvent une séroconversion précoce et rapide. L'explication de tels niveaux de prévalence résidait dans la non-application des règles d'hygiène élémentaires : bandes multiples, absence de protection de l'élevage, mauvais nettoyage-désinfection, vide sanitaire insuffisant. L'administration de vaccins vivants reconstitués avec de l'eau de puits souvent additionnée de désinfectants était responsable de nombreux échecs vaccinaux. La maladie de Gumboro apparaît comme la plus fréquente des maladies virales et devient un objectif prioritaire pour les acteurs de la santé vétérinaire. La formation en hygiène des aviculteurs demeure l'étape préalable essentielle pour rendre efficace toute mesure de lutte.
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ELSEN, J. M., and J. M. AYNAUD. "Introduction au numéro hors série Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales." INRAE Productions Animales 17, HS (December 19, 2004): 5–6. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3613.

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Abstract:
Les agents des encéphalopathies spongiformes transmissibles (ESST) sont responsables de maladies neurodégénératives fatales chez l’homme (maladie de Creutzfeldt-Jakob, insomnie fatale familiale, syndrome de Gerstmann-Straussler-Scheinker, Kuru) et chez les animaux (tremblante ovine et caprine, encéphalopathie spongiforme bovine, encéphalopathie spongiforme féline, encéphalopathie transmissible du vison, dépérissement chronique des cervidés. L’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est une maladie nouvelle apparue en 1985 au Royaume-Uni, puis s’est propagée ensuite dans les autres pays européens et en particulier en France (premier cas identifié en 1990). La tremblante des ovins est en revanche connue depuis plus de deux siècles en Europe. Elle se distingue de l’ESB par sa contagiosité et la distribution de la protéine prion pathologique PrPsc dans les tissus périphériques. L’agent de l’ESB est transmissible des bovins à l’homme chez lequel il provoque une forme particulière (variant) de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. En revanche, l’agent de la tremblante ovine semble sans danger pour l’homme. Jusqu’en 1992, date du premier rapport réalisé à la demande du ministre de la recherche, Hubert Curien, par une commission de 9 chercheurs présidée par Dominique Dormont, les recherches poursuivies en France sur les ESST étaient le fait d’un petit réseau informel qui a été à l’origine d’un premier programme de recherches piloté par l’INSERM. L’annonce faite le 20 mars 1996 par les autorités du Royaume-Uni que 10 britanniques venaient de succomber à une variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob liée à l’ESB, entraîne une crise de confiance sans précédent des consommateurs. Interpellée, la communauté scientifique incluant l’INRA est alors brutalement placée devant un ensemble de questions nouvelles qui l’oblige à recentrer sa stratégie en termes d’expertise collective. La mise en place à cette occasion, du comité interministériel d’experts sur les ESST animé par Dominique Dormont (et auquel 8 chercheurs INRA participaient) a été un facteur très important dans la mobilisation de la communauté scientifique française et en particulier de l’INRA (voir à ce sujet l’analyse critique du fonctionnement de ce comité interministériel faite par Jacqueline Estades et Elisabeth Rémy dans l’ouvrage « l’expertise en pratique : les risques liés à la vache folle et aux rayonnements ionisants », 249 pages, L’Harmattan éditeur, Novembre 2003). Depuis 1993, les chercheurs INRA du département de génétique animale réfléchissaient aux conditions de développement de projets de recherche nouveaux sur les maladies à prions et en particulier sur la tremblante ovine qui sévissait de façon spectaculaire dans un troupeau ovin expérimental (domaine INRA de Langlade). Les chercheurs concernés de ce département ont eu un rôle moteur dans la mobilisation ultérieure des autres départements. En effet, à partir de l’automne 1996, des chercheurs INRA appartenant à 6 départements de recherche différents (génétique animale, santé animale, physiologie animale, transformation des produits animaux, hydrobiologie et faune sauvage, économie et sociologie rurale) ont décidé de s’engager dans des projets de recherche centrés sur les maladies à prions. Cet intense effort de mobilisation s’est accompli essentiellement par mobilité thématique (et non pas à la faveur de recrutements nouveaux), ce qui a représenté pour chacun des chercheurs engagés un effort personnel de remise en cause l’obligeant à repartir de zéro dans un domaine totalement nouveau, en abandonnant des recherches où chacun avait acquis un positionnement national et international. Cette mobilisation collective importante a été favorisée par trois facteurs différents : - l’exceptionnelle demande sociétale résultant d’une crise de confiance sans précédent touchant à la fois le consommateur et le citoyen, - l’ensemble des nombreuses questions nouvelles posées par la problématique « prions » qui a profondément excité la curiosité et l’intérêt des chercheurs de disciplines différentes, - et, enfin, la mise en place rapide de nouveaux moyens financiers, à la faveur d’une série d’appels d’offres successifs (INRA en interne, interministériels, GIS Prions, Union Européenne) qui ont exercé un effet incitatif puissant. Dans ce contexte nouveau, les objectifs prioritaires de l‘INRA ont été les suivants : - tout d’abord, créer les conditions optimales pour la mise au point des différents outils indispensables au développement des recherches sur les ESST : . les souris transgéniques pour les infections expérimentales,. les lignées de cultures cellulaires pour la propagation in vitro du prion,. les anticorps monoclonaux anti protéine prion (PrP),. les techniques immunocytohistochimiques pour identifier la protéine prion pathogène PrPsc dans les tissus infectés,. les méthodes de génotypage à grande échelle du gène PrP chez les ovins,. les approches épidémiologiques adaptées,. et surtout toute la logistique appropriée pour la manipulation des prions en toute sécurité au laboratoire et dans les animaleries (souris et gros animaux). - parallèlement, organiser des instances nouvelles pour la coordination (comité d’action incitative programmée, bureau permanent des recherches ESST) et l’animation scientifique interdisciplinaire (séminaires réguliers) de façon à assurer les meilleures conditions pour favoriser les échanges entre les équipes et la cohérence des projets entre eux. - et, enfin, mettre en place des moyens nouveaux en termes de ressources humaines (redéploiements, recrutements). Plus d’une vingtaine d’équipes INRA se sont engagées depuis 1996. A partir des nouveaux outils mis à disposition des différentes équipes, les recherches se développent et les résultats obtenus ont été présentés et discutés lors des séminaires organisés en 1998, 2000 et 2003. Ces résultats ont été valorisés par un nombre important de publications et ont été concrétisés au niveau des applications par la mise au point de tests rapides de diagnostic des ESST (contribution au test Biorad pour l’ESB, convention avec l’Institut Pourquier pour la tremblante ovine) ainsi que par un plan ambitieux de contrôle génétique et d’éradication de la tremblante dans les troupeaux ovins français. Dans le domaine de la biosécurité du retraitement des farines animales, un brevet a été pris en mars 2004. A l’issue du dernier séminaire, la direction scientifique Animal et Produits Animaux a décidé de valoriser l’ensemble des résultats obtenus et des connaissances en découlant, par la réalisation de ce numéro hors-série. L’objectif était de présenter au plus grand nombre l’ensemble des avancées scientifiques et des axes de recherche actuels sur les prions, menés dans les différentes disciplines. Ce numéro hors-série de la revue « Productions Animales » comprend 7 chapitres structurés autour des questions nouvelles que les chercheurs se sont attachés à résoudre : les animaux modèles, la caractérisation des souches et la nature de l’agent, la protéine prion cellulaire, la pathogénie des ESST, la variabilité de la résistance aux ESST et enfin l’épidémiologie et la lutte contre les ESST. En outre à la fin du numéro, figurent des annexes présentant successivement : la liste des publications scientifiques réalisées à partir des résultats obtenus, la liste des séminaires scientifiques organisés en interne, et enfin la liste des 18 projets scientifiques européens dans le domaine des ESST, impliquant des équipes INRA comme coordinateur ou comme partenaire, illustrant ainsi leur positionnement international.
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Abdulaziz, M. M., A. Ibrahim, M. Ado, C. Ameh, C. Umeokonkwo, M. B. Sufyan, M. S. Balogun, and S. A. Ahmed. "Prevalence and factors associated with dengue fever among febrile patients attending secondary health facilities in Kano metropolis, Nigeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 21, no. 4 (August 25, 2020): 340–48. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v21i4.11.

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Abstract:
Background: The Nigeria Centre for Disease Control (NCDC) has categorized dengue fever as a priority epidemic-prone disease. Kano metropolis is a hub for international trade and has seen rapid population growth with unplanned urbanisation. This provides the right environment for dengue virus transmission and spread. Most fevers in Nigeria and Kano in particular are treated as malaria or typhoid. This study aimed to determine the prevalence and factors associated with dengue fever and dengue-malaria co-infection among febrile patients in Kano metropolis. Methodology: We conducted a hospital-based cross-sectional study among febrile patients attending secondary health facilities in Kano metropolis. We used multistage sampling technique to recruit 440 participants into the study. An interviewer administered structured questionnaire was used to collect participants’ information, while blood was screened for malaria using rapid diagnostic test (RDT) kit and tested for dengue fever using an ELISA kit for dengue IgM. Data was cleaned and analysed using Microsoft Excel 2016 and Epi Info version 7.2 to calculate frequencies, proportions and odds ratios. Results: The median age of participants was 24 years (IQR= 13-36 years) while the age-group most represented was the 10-19 years’ age group with 97 (22.9%) participants. Males constituted 257 (60.6%) while most were single 238 (56.1%). Dengue IgM was positive for 332 (78.3%), while malaria RDT was positive for 81 (19.1%) and 67 (15.8%) were positive for both. Those aged above 25 years were less likely to present with dengue fever (OR=0.6; 95% CI=0.33-0.97). Dengue fever contributes a high percentage to febrile illnesses seen in Kano metropolis. Significant proportions of febrile patients have both dengue and malaria co-infection. None of the participants had dengue as a presumptive diagnosis. Conclusion: These findings imply dengue fever should feature as a prominent differential for febrile illnesses and dengue screening tests should be made available for all cases seen in Kano. Keywords: seroprevalence; dengue fever; RDT; secondary health facilities; Nigeria French Title: Prévalence et facteurs associés à la dengue chez les patients fébriles fréquentant les établissements de santé secondaires de la métropole de Kano, au Nigéria Contexte: Le Nigeria Center for Disease Control (NCDC) a classé la dengue parmi les maladies à tendance épidémique prioritaires. La métropole de Kano est une plaque tournante du commerce international et a connu une croissance démographique rapide avec une urbanisation imprévue. Cela fournit le bon environnement pour la transmission et la propagation du virus de la dengue. La plupart des fièvres au Nigeria et à Kano en particulier sont traitées comme le paludisme ou la typhoïde. Cette étude visait à déterminer la prévalence et les facteurs associés à la dengue et à la co-infection dengue-paludisme chez les patients fébriles de la métropole de Kano. Méthodologie: Nous avons mené une étude transversale en milieu hospitalier auprès de patients fébriles fréquentant des établissements de santé secondaires de la métropole de Kano. Nous avons utilisé une technique d'échantillonnage en plusieurs étapes pour recruter 440 participants dans l'étude. Un questionnaire structuré administré par un intervieweur a été utilisé pour collecter les informations des participants, tandis que le sang a été testé pour le paludisme à l'aide d'un kit de test de diagnostic rapide (TDR) et testé pour la dengue à l'aide d'un kit ELISA pour les IgM de la dengue. Les données ont été nettoyées et analysées à l'aide de Microsoft Excel 2016 et d'Epi Info version 7.2 pour calculer les fréquences, les proportions et les rapports de cotes. Résultats: L'âge médian des participants était de 24 ans (IQR=13-36 ans) tandis que le groupe d'âge le plus représenté était le groupe d'âge 10-19 ans avec 97 (22,9%) participants. Les hommes en constituaient 257 (60,6%) tandis que la plupart étaient célibataires 238 (56,1%). Les IgM de la dengue étaient positives pour 332 (78,3%), tandis que les TDR du paludisme étaient positifs pour 81 (19,1%) et 67 (15,8%) étaient positifs pour les deux. Les personnes âgées de plus de 25 ans étaient moins susceptibles de présenter une fièvre dengue (OR=0,6; IC à 95%=0,33-0,97). La dengue contribue à un pourcentage élevé des maladies fébriles observées dans la métropole de Kano. Des proportions significatives de patients fébriles présentent une co-infection à la fois par la dengue et le paludisme. Aucun des participants n'avait de dengue comme diagnostic présumé. Conclusion: Ces résultats impliquent que la dengue devrait apparaître comme un différentiel important pour les maladies fébriles et des tests de dépistage de la dengue devraient être disponibles pour tous les cas observés à Kano. Mots-clés: séroprévalence; la fièvre de la dengue; RDT; établissements de santé secondaires; Nigeria
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Rylett, R. Jane, Flamine Alary, Joanne Goldberg, Susan Rogers, and Patricia Versteegh. "La COVID-19 et les priorités de recherche sur le vieillissement." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 39, no. 4 (September 1, 2020): 506–12. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980820000343.

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RésuméCet article présente les domaines prioritaires de recherche sur les impacts de la pandémie de COVID-19 chez les personnes âgées telles qu’ils ont été identifiés par l’Institut du vieillissement des IRSC (IV-IRSC). Le processus utilisé par l’IV-IRSC a comporté plusieurs phases itératives qui ont permis d’identifier trois secteurs prioritaires parmi les besoins de la recherche relative à la COVID-19, et quatre axes thématiques transversaux. Les secteurs de recherche prioritaires sont : 1) la réponse des personnes âgées à la maladie, à la vaccination et aux traitements, 2) la santé mentale et l’isolement, et 3) les milieux de soins soutenants. Les quatre thèmes transversaux sont : a) l’Équité, la diversité et l’inclusion (EDI), b) les considérations éthiques et morales, c) les pratiques fondées sur les données probantes, et d) les technologies numériques de la santé. Les priorités décrites dans cet article guideront les réponses de l’IV-IRSC aux besoins de la recherche sur la COVID-19.
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de Lurdes Abrantes Garcia, Maria. "Projet de dictionnaire interactif multilingue de termes médicaux." Meta 42, no. 1 (September 30, 2002): 110–13. http://dx.doi.org/10.7202/003524ar.

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Résumé L'eclosión des nouvelles technologies a été un événement décisif pour le développement du génie linguistique, spécialement pour la fabrication des outils didactiques d'apprentissage des langues étrangères. L'existence d'un dictionnaire spécialisé en langues scientifique ou technique peut contribuer à un apprentissage des aspects lexicologiques et terminologiques et assurer une acquisition plus efficace d'une langue étrangère. C'est l'objectif prioritaire de notre recherche. Nous présentons notre projet de fabrication d'un dictionnaire interactif multilingue (portugais, français et anglais) de termes médicaux dans le domaine de la sénologie (maladies du sein). Nous décrivons quelques aspects de la méthodologie utilisée, assistée par des outils informatisés, tels que les bases de données textuelles et terminologiques.
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Villac, Michel, and Laurent Toulemon. "Objectifs et réalités de la politique familiale." Informations sociales 211, no. 3 (June 3, 2024): 57–63. http://dx.doi.org/10.3917/inso.211.0057.

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Pour Michel Villac, la fécondité n’est pas un objectif majeur de la politique menée en France aujourd’hui. Celle-ci combine des aides financières en fonction de la taille de la famille et de son niveau de revenu, et des prestations de service pour l’accueil des jeunes enfants, visant en effet à la fois à favoriser l’emploi féminin et l’égalité entre femmes et hommes, et le développement et la socialisation des enfants. La politique familiale est néanmoins aujourd’hui le parent pauvre des politiques sociales. Elle sert ainsi plus souvent de caisse de réserve pour abonder les autres régimes sociaux en difficulté financière (maladie, retraites) que de levier pour améliorer la réponse aux besoins sociaux des familles. De ce point de vue, la lutte contre la pauvreté des enfants devrait ainsi devenir un enjeu prioritaire.
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Pionnier, Michel, Marjorie Rapin, and Charlie Nezondet. "Promouvoir l’activité physique des seniors précaires : retour d’expérience du projet « Pas d’âge pour bouger »." Santé Publique 36, HS2 (October 18, 2024): 35–40. http://dx.doi.org/10.3917/spub.hs2.2024.0035.

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Abstract:
Introduction : Le vieillissement de la population française représente un défi majeur de santé publique, notamment avec les maladies chroniques constituant la principale cause d’incapacités chez les seniors. L’activité physique joue un rôle essentiel dans le bien-vieillir en prévenant ces maladies et en améliorant le bien-être. Toutefois, cette pratique diminue avec l’âge, notamment chez les personnes en situation de précarité. But de l’étude : Dans ce contexte, le projet “Pas d’âge pour bouger” de la Mutualité Française Nouvelle-Aquitaine, dont voici un retour d’expérience, vise à promouvoir l’activité physique des seniors de plus de 60 ans, tout en luttant contre les inégalités sociales de santé. Déployé dans le quartier du Peyrouat, quartier prioritaire de la ville, à Mont-de-Marsan, ce projet comprend des ateliers d’activité physique adaptée et des séances de sensibilisation sur la santé. Résultats : Une amélioration de la condition physique des bénéficiaires a été observée, bien que l’assiduité au programme ait diminué au fil du temps. Des entretiens motivationnels ont mis en évidence des freins comme les limitations physiques ou la peur de l’autre. À l’inverse, l’envie de prendre soin de soi ou de rompre l’isolement se révèle. L’approche communautaire et le lien social sont donc identifiés comme des leviers pour favoriser la participation. Conclusions : Ce projet met en lumière les leviers et les freins dans la réduction des inégalités de participation et d’accès à l’activité physique chez les seniors. Il propose également des pistes de réflexion pour des politiques publiques plus pertinentes et inclusives.
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Simon, A., and G. Chironi. "Prévention primaire de la maladie athéromateuse : un objectif prioritaire, dépister le haut risque cardiovasculaire." EMC - Cardiologie 2, no. 3 (January 2007): 1–8. http://dx.doi.org/10.1016/s1166-4568(07)48500-x.

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Renucci, J. F., G. Sarlon, and B. Leclercq. "Prévention primaire de la maladie athéromateuse – un objectif prioritaire : dépister le haut risque cardiovasculaire." EMC - Cardiologie 38, no. 1 (February 2024): 1–13. https://doi.org/10.1016/s1166-4568(23)79118-3.

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Champ, Nicolas. "Les « tard venues ». Naissance et (sur)vie de congrégations de vie active dans les débuts de la IIIe République en Charente-Inférieure." Source(s) – Arts, Civilisation et Histoire de l’Europe, no. 10 (October 20, 2022): 65–79. http://dx.doi.org/10.57086/sources.277.

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Les « tard venues ». Naissance et (sur)vie de congrégations de vie active dans les débuts de la IIIe République en Charente-Inférieure — La trajectoire contrastée des Dominicaines de Corme-Écluse et des Dames de l’Instruction du Sacré-Cœur de Montlieu, deux congrégations nées dans le diocèse de La Rochelle-Saintes au cours des années 1880, démontre autant la persistance de la dynamique congréganiste enregistrée au cours des décennies précédentes que la difficulté de maintenir la vie congréganiste dans un contexte législatif et politique désormais hostile. Le flux des vocations n’est pas interrompu par celui-ci mais il suffit seulement au renouvellement des congrégations. Le choix de se vouer prioritairement à l’éducation et celui d’une prompte sécularisation en 1903 condamnent rapidement les Dames de l’Instruction du Sacré-Cœur ; en revanche, en faisant du soin des malades leur tâche prioritaire, les Dominicaines parviennent à passer le cap difficile des mesures prises entre 1901 et 1904.
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Berthe, Jacquie, Bernard Fourcade, Gilbert Pastor, Anne-Yvonne Le Dain, and Odile Kremp. "Conférence de clôture de la 1re journée : combattre les maladies rares, un axe stratégique prioritaire du pôle Eurobiomed." La Presse Médicale 41 (May 2012): S20—S22. http://dx.doi.org/10.1016/j.lpm.2012.02.020.

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M’Bailara, K., S. Gard, E. Rouan, M. Chive, L. Zanouy, I. Minois, M. Bouteloux, A. Jutant, and A. Desage. "Poids de l’évolution des représentations sur les stratégies d’adaptation des patients et des familles confrontées au trouble bipolaire." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 620. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.105.

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Abstract:
Vivre au quotidien avec un trouble bipolaire ou vivre avec un patient atteint d’un trouble bipolaire génère un stress familial intense [1]. Les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) et le développement parallèle de l’éducation thérapeutique du patient proposent 3 axes prioritaires de prise en charge des aidants familiaux : l’information sur le trouble, l’aide dans la gestion du trouble au quotidien et le soutien psychologique. Dans ce contexte, les programmes de psychoéducation familiale constituent un dispositif pertinent pour répondre à la question complexe de la place des familles dans la prise en charge : comment inclure les aidants dans le soin tout en leur garantissant de ne pas devenir des soignants [2] ? Des nombreuses études ont pointé le bénéfice d’une telle prise en charge sur l’évolution de la pathologie [3,4]. Ainsi dans le cas des troubles bipolaires, la psychoéducation a un impact sur le nombre d’épisodes dépressifs et maniaques, sur leur durée et leur intensité. À l’heure actuelle peu de travaux nous renseignent sur les mécanismes qui permettent une telle amélioration et en particulier sur les processus favorisant les modifications de stratégies des personnes dans la gestion du trouble bipolaires. Un des leviers essentiel à évaluer concerne la représentation de la maladie. En effet, l’éducation thérapeutique place d’emblée la personne au cœur du dispositif en s’appuyant sur ses connaissances et sa représentation de la maladie et ne peut se réduire à l’instruction. Notre objectif est donc d’évaluer le poids de l’évolution des représentations sur les stratégies d’adaptation des patients et des familles confrontées au trouble bipolaire. Cette étude a été effectuée auprès de patients ayant reçu un diagnostic de trouble bipolaires et de leur famille pris en charge dans un programme de psychoéducation de 12 séances (sur 6 mois). Nos résultats offrent des pistes de compréhension des processus en jeu au cours d’une psychoéducation multifamiliale.
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Bungener, Martine. "Innover en santé : entre injonction scientifique et attention aux besoins prioritaires des personnes vivant avec une maladie ou un handicap." Raison présente N° 206, no. 2 (2018): 49. http://dx.doi.org/10.3917/rpre.206.0049.

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Pousson-Petit, Jacqueline. "La protection personnelle des malades mentaux dans les principaux droits européens." European Review of Private Law 3, Issue 3 (September 1, 1995): 383–425. http://dx.doi.org/10.54648/erpl1995030.

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Abstract:
Résumé.Cette étude apour objectif de retracer l’évolution juridique de la protection personnelle des malades mentaux en Europe. Deux point principaux sont envisagés: la protection du patient psychiatrique et celle du malade mental, sujet de droit, dans sa vie privée et familale. Une double comparaison est effectuée entre les différentes solutions d’une part et entre ces dernières et les normes internationales et européennes d’autre part. Même si la Cour européenne des Droits de l’Homme a jouk un rôle unificateur considérable et provoqué des réformes en matière d’hospitalisation et de traitement il n’en demeure pas moins que des progrès seraient encore réalisables tels que l’interdiction absolue des expérimentations médicales, la réglementation des stérilisations. Des mesures complémentaires relatives au rnineur atteint de troubles mentaux devraient en outre être adoptées. Quant au selon volet, les conclusions sont moins optimistes. Dans la plupart des droits l’idéologie ancienne fondée sur l’ordre public, la protection prioritaire des biens survit. Les techniques utilisées reflètent un manque de cohésion et de réflexion globale et synthétique. Des améliorations sont donc souhaitables. L’exemple de la loi allemande substituant l’assistance au régime d’incapacité antérieur pourrait servir de modèle. Abstract. The aim of this study is to trace the development of the legal rules for the protection of mental patients in Europe. Two principal issues are addressed: the protection of psychiatric patients as patients, and the protection of the mentally ill individual in his or her private and family life. A double comparison is undertaken. On the one hand the different national solutions are compared, and on the other, these solutions are measured against the rules of international and European law. Even if the European Court of Human Rights has played a considerable unifactory role, and has promoted reforms in relation to hospitalisation and treatment, it remains true that further progress is possible, such as a complete ban on medical experiments, and the regulation of sterilisation. Complementary measures concerned with less serious mental disturbances should also be adopted. As to the likelihood that these wishes will be fulfilled, the picture is less optimistic. In most legal systems traditional patterns of thought based on public policy and the high priority given to the protection of property survive. The methods adopted reflect a lack of cohesion and of consideration of the problem in the round. Improvements are therefore to be desired. German law, which has replaced the former regime of incapacity with one of assistance, could serve as a model.
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Salat, Olivier, and Florent Perrot. "La période de transition chez la vache laitière : une phase critique pour sa santé." Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 13, no. 49 (2021): 7–19. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/49009.

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Des progrès remarquables en termes de production laitière bovine ont été obtenus au cours de ces dernières décennies. Les vaches laitières modernes présentent des performances productives très élevées mais le corollaire en est une sensibilité beaucoup plus grande au moindre dysfonctionnement, qu’il soit alimentaire ou de conduite d’élevage. Cette sensibilité est exacerbée pendant le peripartum, période correspondant à la transition entre la fin de gestation et le démarrage de la lactation. Le métabolisme de la vache se focalise alors sur la production prioritaire de lait, comme l’illustrent la prédominance des hormones de l’homéorrhèse et l’orientation du glucose ou du calcium vers la mamelle. Le vêlage et ses suites ainsi que la constitution du colostrum et du lait s’accompagnent d’un état inflammatoire systémique, fondamental par exemple pour une bonne involution utérine, mais qui peut rapidement s’exacerber. De plus, un stress oxydant est toujours présent à ce moment-là et c’est son intensité qui va conditionner son effet délétère. Enfin, cette étape est également caractérisée par un certain degré d’immunodépression. Une lipomobilisation marquée, des états plus ou moins prolongés d’hypocalcémie, des perturbations du fonctionnement ruminal ainsi qu’un manque d’antioxydants représentent les quatre principaux facteurs qui vont aggraver les états précédemment décrits et qui peuvent aboutir à une maladie, qu’elle soit infectieuse, métrites ou mammites, ou métabolique, non délivrance, cétose, déplacement de caillette à gauche. La maîtrise du péripartum d’une vache laitière impose donc de mettre en place les outils indispensables à la prévention de ces 4 écueils.
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Husson, Heather, Claire Howarth, Sarah Neil-Sztramko, and Maureen Dobbins. "Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) : soutenir la prise de décisions fondée sur des données probantes en santé publique au Canada." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 56 (June 9, 2021): 320–25. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i56a08f.

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Abstract:
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) fait partie d’un réseau de six centres de collaboration nationale en santé publique (CCN) créé en 2005 par le gouvernement fédéral à la suite de l’épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) afin de renforcer l’infrastructure de la santé publique au Canada. Le travail du CCNMO, qui vise à soutenir la prise de décisions fondée sur des données probantes dans le domaine de la santé publique au Canada, est accompli par l’organisation des données probantes dignes de confiance, le renforcement des compétences dans l’utilisation des données probantes, et l’accélération du changement dans la prise de décisions fondée sur des données probantes est décrit. La consultation permanente auprès de ses publics cibles garantit la pertinence du CCNMO et sa capacité à répondre à l’évolution des besoins en matière de santé publique. Cela s’est avéré particulièrement crucial lors de la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Le CCNMO a alors modifié la direction de ses activités pour soutenir l’intervention de la santé publique en effectuant des revues rapides sur les questions prioritaires identifiées par les décideurs, à l’échelle fédérale ou à l’échelle locale, ainsi qu’en créant et en maintenant un répertoire national de synthèses en cours ou terminées. Ces efforts, ainsi que le partenariat avec le COVID-19 Evidence Network to support Decision-Making (COVID-END), visaient à réduire les doublons, à accroître la coordination des efforts de synthèse et à aider les décideurs à utiliser les meilleures données probantes dont on dispose dans la prise de décisions. Les données tirées des statistiques du site Web illustrent le succès de ces initiatives au Canada et à l’étranger.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Lafitte, Pascale, Benoît Pétré, Xavier de la Tribonnière, and Rémi Gagnayre. "Comment les soignants-éducateurs ont-ils adapté leurs pratiques de l’ETP durant la crise du COVID-19 ? Une enquête descriptive sur 714 programmes d’ETP." Education Thérapeutique du Patient - Therapeutic Patient Education 12, no. 2 (2020): 20207. http://dx.doi.org/10.1051/tpe/2021001.

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Abstract:
Introduction : La pandémie mondiale liée au COVID-19 a eu entre autres pour conséquence le confinement de la population générale en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer. Cette situation a modifié l’organisation des soins, mettant l’accent sur la lutte en urgence contre l’épidémie. Les patients malades chroniques, plus à risque de développer une forme grave d’infection au virus, ont vu leur prise en charge en soins et éducative bouleversée pour cela les professionnels de santé ont dû adapter leurs pratiques d’ETP. Objectifs : L’objectif de cette étude est d’une part, de décrire les modifications des programmes d’ETP survenues pendant cette période de confinement et d’autre part de préciser dans quelles mesures les professionnels ETP ont développé des interventions spécifiques sur la prévention du COVID-19. Méthodes : Il s’agit d’une enquête par questionnaire, réalisée durant la période de confinement, du 13 mars au 11 mai, auprès des coordonnateurs de programmes d’ETP autorisés en France métropolitaine et départements d’outre-mer, accessible sur le site Internet de la SETE. Le questionnaire comportait 14 questions, de type fermé avec choix de réponses, mixtes et ouvertes. Les réponses aux questions fermées ont été traitées via le logiciel Excel©, les autres ont fait l’objet d’une analyse de contenu, relevant ainsi d’une méthode mixte intégrant quantitatif et qualitatif. Résultats : 410 coordonnateurs de programmes ou d’UTEP ont répondu à l’enquête, recouvrant un total de 714 programmes représentant 16 % des 4500 programmes autorisés en France. 70% ont été complètement interrompus, 29 % ont vu leurs activités poursuivies en y apportant des modifications. Des activités ponctuelles de prévention du COVID-19 ont été réalisées pour 11 % des programmes. La grande majorité des activités d’ETP collectives ont été abandonnées au profit de séances individuelles intégrées aux soins, conduites à distance faisant appel au téléphone et à des solutions numériques diverses. Discussion : L’ETP semble non prioritaire dans les structures de soins -redéploiement des professionnels dédiés, fermeture des UTEP… La personnalisation des parcours et le maintien d’un suivi éducatif apparaissent alors comme une nécessité pour pallier aux difficultés imposées par la situation d’urgence. Des adaptations numériques ont souvent été utilisées, soulevant des questions d’illectronisme pour les patients, de moyens matériels pour les équipes, de leurs compétences à conduire une pédagogie du numérique. Conclusion : Cette enquête témoigne de la fragilité de l’ETP et du faible niveau d’importance qu’on lui a accordé pendant la crise sanitaire appelant des soins classiques. Si la notion de programme n’est pas remise en question, les possibilités d’adaptation sont envisagées en accordant plus de place aux activités d’éducation thérapeutique plus pertinentes pour assurer le suivi éducatif personnalisé. Ces résultats devraient être complétés par des études sur l’expérience vécue par les patients pendant cette crise au prisme de leur éducation ou de leur absence d’éducation.
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Thibault, Normand. "Conseil des affaires sociales et de la famille, Gouvernement du Québec, 1983. Collection « La santé des Québécois » : — Dillard, Sylvie. Durée ou qualité de vie? (70 p.); — Roy, Laurent. Des victoires sur la mort (78 p.); — Levasseur, Madeleine. Des problèmes prioritaires : la maladie selon les âges de la vie (189 p.); — Camirand, François. Les coûts de la maladie : au Québec en 1980-1981 (50 p.)." Cahiers québécois de démographie 14, no. 1 (1985): 127. http://dx.doi.org/10.7202/600562ar.

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BOICHARD, D., Aurélien CAPITAN, Coralie DANCHIN-BURGE, and Cécile GROHS. "Avant-propos : Anomalies génétiques." INRA Productions Animales 29, no. 5 (January 9, 2020): 293–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.5.2995.

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Abstract:
Avant-Propos : Anomalies génétiques Les anomalies génétiques sont observées depuis toujours par les éleveurs et ont été décrites depuis longtemps par les chercheurs. Toutefois, elles ont toujours eu une situation à part dans la sélection des espèces d’élevage. Si la sélection s’est structurée, organisée, raffinée, elle n’a le plus souvent concerné que des caractères économiquement importants mais dits « quantitatifs », c’est-à-dire des caractères au déterminisme génétique complexe soumis à la fois à des effets du milieu et un nombre important de gènes. Parfois, des gènes à effet majeur ont également été pris en compte (gène culard, gène « sans cornes », coloration, absence de plumes…). Mais les anomalies ont toujours été considérées comme un problème inévitable, éventuellement à cacher. Elles ont été peu prises en compte en sélection, elles ne font pas l’objet de déclarations dans le cadre du contrôle de performances usuel et, au contraire, jusqu’à récemment, faisaient plutôt l’objet d’éliminations, volontairement ou non, sans déclaration. Considérées comme rares, elles ont été intégrées dans les incompressibles pertes d’élevage. La situation se complique en général lorsqu’un reproducteur largement diffusé s’avère porteur d’une anomalie. L’anomalie change alors de statut : d’inconvénient inéluctable mais peu important, elle apparaît comme un problème majeur pour les éleveurs, source de contentieux, porteur d’une mauvaise image. Son éradication rapide devient prioritaire, et l’élimination des reproducteurs porteurs est généralement préconisée. Au cours des années 1990 et 2000, quelques cas dans l’espèce bovine, finalement peu nombreux, ont marqué les esprits par l’impact qu’ils ont eu dans les populations concernées quand les meilleurs taureaux du moment se sont révélés porteurs. De plus, aucun réseau « du déclarant au généticien » n’étant mis en place, il a fallu du temps entre la déclaration des premiers cas et la disponibilité d’un test moléculaire permettant une éradication réellement efficace. Les anomalies génétiques sont inéluctables. Elles résultent de mutations de l’ADN qui sont un phénomène normal source de la diversité génétique. Souvent neutres, parfois fonctionnelles, les mutations peuvent dans des cas rares être responsables d’anomalies. Les populations d’élevage étant des populations génétiquement petites (malgré des effectifs physiques parfois très élevés), elles présentent des conditions favorables pour la diffusion et l’expression de ces anomalies, du fait de la dérive génétique et de la consanguinité. Contrairement à ce qui est parfois supposé, la sélection ne crée pas les anomalies, mais elle peut favoriser leur diffusion (l’augmentation de leur fréquence allélique et l’apparition de cas), de façon analogue aux antibiotiques qui ne créent pas de résistance, mais sélectionnent les populations bactériennes résistantes. On pense également à tort que les populations génétiquement petites présentent plus d’anomalies. Il est plus exact de dire qu’à effectif d’animaux identique, les populations génétiquement petites présentent un nombre d’anomalies différentes plus faible, mais un nombre de cas par anomalie plus élevé. Alors que la sélection est un modèle de rationalité, les anomalies sont longtemps restées hors de ce cadre. Une des raisons était sans doute le manque d’outils pour les éliminer. Une mise en place progressive depuis quinze ans et une accélération certaine des techniques de dépistage depuis le début des années 2010 a permis de définir un nouveau cadre pour intégrer les anomalies dans le processus de sélection. Tout d’abord, il est essentiel de disposer d’un système d’observation des anomalies. Les cas étant souvent rares et dispersés, il est essentiel que ce système soit largement implanté sur le terrain et que les informations soient centralisées, de façon à détecter les émergences le plus tôt possible, à partir de cas considérés éventuellement à tort comme sporadiques. Différents observatoires dédiés, souvent distincts du contrôle de performances classique, ont été mis en place à travers le monde et dans différentes espèces d’élevage ou de compagnie. Nous présentons dans ce dossier l’Observatoire National des Anomalies Bovines – ONAB ; https://www.onab.fr/ – (Grohs et al 2016) et la situation chez le porc (Riquet et al 2016). Ces dispositifs ont réellement montré toute leur efficacité lorsque les outils moléculaires les plus récents, de génotypage et séquençage, ont été disponibles, permettant de caractériser rapidement une anomalie à partir de quelques cas (Duchesne et al 2016). Ces outils génomiques peuvent même être utilisés pour orienter la recherche des anomalies avant leur observation (Fritz et al 2016). Enfin, il convient d’insister sur le fait que l’analyse de cas mais aussi de leurs ancêtres n’est possible que si d’excellentes collections d’échantillons sont stockées, comme c’est le cas pour l’ONAB ou pour le Centre de Ressources Biologiques pour les animaux domestiques (CRB-Anim ; https://www.crb-anim.fr/). La situation est bien sûr très variable selon les espèces. L’impact d’une anomalie, et donc la prise de conscience des sélectionneurs, est plus élevé dans les espèces conduites en race pure et quand l’individu a une forte valeur. L’espèce bovine est caractérisée par un double réseau de phénotypage associé au conseil en élevage et au travers des vétérinaires, par une conduite en race pure quasi-exclusive, par une sélection puissante, devenue génomique. Elle connaît une évolution récente favorisant la détection des anomalies. La situation est également très avancée chez le chien, une espèce bénéficiant d’une bonne supervision vétérinaire et organisée en de nombreuses races pures d’effectifs génétiques très petits et souvent sujettes à des anomalies spécifiques. Aujourd’hui, la situation a beaucoup évolué, de sorte qu’un nombre croissant d’anomalies est mis en évidence, dans toutes les races, quel que soit le mode de reproduction prédominant (monte naturelle ou insémination artificielle). En revanche, leur prise en compte reste encore partielle, et rarement à la hauteur (c’est-à-dire parfois trop, parfois trop peu) de leur importance réelle. Nous proposons dans Boichard et al (2016) différentes approches pour inclure les anomalies de façon objective dans la sélection. Pour le chercheur, les anomalies sont des objets d’étude hors du commun. L’anomalie, en provoquant une perturbation sévère en dehors de la gamme physiologique normale, permet parfois de comprendre un mécanisme habituellement peu variable et donc peu étudiable autrement. On comprend ainsi mieux le rôle des gènes au travers de leurs effets lorsqu’ils sont mutés. Les mécanismes mis en jeu touchent souvent des voies fondamentales du vivant et, à ce titre, sont souvent transposables entre espèces. Les connaissances sont bien sûr bien plus avancées chez l’Homme ou les espèces modèles comme la souris et nous bénéficions de ces informations pour caractériser rapidement les mutations découvertes dans les espèces d’élevage. Mais parfois, une anomalie observée dans une espèce d’élevage peut aussi contribuer à résoudre des questions chez l’Homme, par exemple pour des maladies très rares alors que la structure des populations d’élevage avec de grandes familles permet l’étude de cas familiaux. Il arrive alors que l’espèce d’élevage, de même que le chien, prenne le rôle d’espèce modèle de pathologies humaines.
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De Romanet, Cédric. "INAPTITUDE – Question prioritaire de constitutionnalité – Interprétation jurisprudentielle constante – Principe d’égalité devant la loi – Caractère sérieux – Accident du travail et maladie professionnelle – Régime de l’inaptitude professionnelle – Article L. 1226-6 du Code du travail – Non application aux rapports entre un employeur et un salarié victime d’un accident du travail survenu au service d’un autre employeur – Application au salarié dont le contrat de travail est transféré en application de l’article L. 1224-1 – Transfert légal – Non application au salarié dont le contrat de travail est poursuivi en application d’une clause conventionnelle de garantie d’emploi au transfert conventionnel – Inégalité de traitement." Le Droit Ouvrier N° 857, no. 12 (December 10, 2019): 789–91. http://dx.doi.org/10.3917/drou.857.0789.

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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Abstract:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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POULIQUEN, H. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3450.

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Abstract:
L’INRA et l’IFREMER ont chargé les responsables de la coordination entre les deux organismes de l’organisation d’un colloque consacré à la santé des espèces aquacoles.Les objectifs de ce colloque ont été de dresser un bilan des compétences et des connaissances, d'évaluer les forces et faiblesses du dispositif français de recherche et d'identifier des thèmes prioritaires sur lesquels la mise en commun des compétences permettrait d'optimiser le dispositif. Les thèmes abordés lors de ce colloque n’ont pas fait l’objet, lors de sa tenue en juin 2006, d’une production écrite spécifique. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales constitue donc un ouvrage de référence original dans la littérature scientifique en santé des espèces aquacoles, notamment parce que les synthèses ont été complétées d’articles plus spécifiques dans le domaine de la santé des espèces piscicoles ou conchylicoles.Ce numéro spécial est divisé en trois parties :– outils de diagnostic et émergence des maladies infectieuses aquacoles, – épidémiologie et modélisation des maladies infectieuses aquacoles, – mesures de gestion du risque d’apparition de maladies infectieuses aquacoles.Je tiens à exprimer ma reconnaissance aux auteurs et aux relecteurs pour avoir accepté ce surcroît de travail nécessaire à une plus large diffusion d’informations récentes et originales en matière de santé des espèces aquacoles.
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Campéon, Arnaud, and Céline Rothé. "Modes de recours aux dispositifs de répit par les aidants familiaux de proches atteints de la maladie d’Alzheimer." Enfances, Familles, Générations, no. 28 (December 22, 2017). http://dx.doi.org/10.7202/1045028ar.

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Abstract:
Cadre de la recherche : Reconnue comme un problème de santé publique majeur, la maladie d’Alzheimer fait l’objet d’un investissement significatif de la part des pouvoirs publics depuis les années 2000 en France. Trois plans se sont ainsi succédés depuis 2001, dont le dernier a fait de l’aide aux aidants un axe d’intervention prioritaire et mis en exergue l’importance de leur accorder du répit. Objectifs : Si des travaux sur le non-recours aux dispositifs d’aide pour les personnes âgées dépendantes ont été menés sur l’utilisation de certaines prestations, peu se sont en revanche intéressés aux logiques qui sous-tendent le recours aux dispositifs de répit. Cet article se propose donc de questionner les modalités de recours à ces dispositifs pour en comprendre les logiques d’usages et les modalités d’appropriation. Méthodologie : Notre méthodologie repose sur la réalisation d’une enquête qualitative, menée auprès d’une quarantaine de proches aidants de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, rencontrés dans trois régions différentes en France. Tous les entretiens réalisés ont été enregistrés et l’ensemble des données recueillies a donné lieu à une retranscription intégrale et à une analyse transversale. Résultats : Les résultats de cette recherche mettent en évidence deux logiques de recours principales aux dispositifs de répit (logique pragmatique et logique de résistance), qui caractérisent à la fois des temporalités de recours différentes, mais également des conceptions différenciées de la maladie et du rapport aux normes professionnelles. Conclusion : Nos résultats permettent de mieux percevoir le travail des aidants pour préserver la vie quotidienne et les identités des personnes qu’ils accompagnent, de comprendre comment ce travail se traduit sous forme de logique d’utilisation des aides aux aidants. Contribution : Ce travail se veut donc une réflexion sur les enjeux de recours des aidants aux dispositifs de répit et sur la manière dont ils sont mobilisés pour soutenir et accompagner les proches aidants de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Il démontre également que comprendre les modes de recours aux dispositifs de répit implique nécessairement de dépasser la seule focalisation sur les besoins tels qu’ils peuvent être définis par le corps médical.
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Slavik, Richard S., Manish Khullar, Sean K. Gorman, Nicole Bruchet, Sarah Murray, Brett Hamilton, and Dawn Dalen. "Contribution of Pharmacy Practice Residents to Resolution of Drug Therapy Problems for Patients: RES-DTP Study." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 72, no. 5 (October 21, 2019). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v72i5.2928.

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Abstract:
ABSTRACTBackground: Canadian pharmacy practice residency programs promote development of key competencies for direct patient care resulting in resolution of drug therapy problems (DTPs), which is 1 of 8 national clinical pharmacy key performance indicators. There are no Canadian data on the contribution of residents to resolution of DTPs, including DTPs for priority diseases covered in disease-state education modules (PD-DTPs) or quality indicator DTPs (QI-DPTs), as assessed through application of evidence-based interventions proven to reduce morbidity, mortality, or health resource utilization. Objective: To describe the contribution of pharmacy practice residents to direct patient care using 3 process-of-care measures: resident-resolved DTPs, PD-DTPs, and QI-DTPs. Methods: This prospective, observational single-group study was conducted across 5 rotation sites within the authors’ health authority from September 2, 2013, to June 13, 2014. The primary outcome was number of DTPs resolved. The secondary outcomes were number of PD-DTPs resolved; number of QI-DTPs resolved; numbers of DTPs, PD-DTPs, and QI-DTPs resolved over time; and residents’ satisfaction with electronic tracking of resolved DTPs (in terms of training, usability, efficiency, and time requirements). Results: Four residents completed a total of twenty-one 4-week rotations and resolved a total of 1201 DTPs. Of these, 620 (52%) were PD-DTPs and 479 (40%) were QI-DTPs. Overall, the number of interventions increased for rotations 1–3, decreased for rotations 4 and 5, and increased again for rotation 6. The median score for all questions in all domains of the satisfaction survey was 4 out of 5 (“agree”). Conclusions: Pharmacy practice residents were resolving DTPs, PD-DTPs, and QI-DTPs for patients and were contributing significantly to direct patient care. On the basis of literature evidence, the number and type of interventions observed in this study would be expected to improve clinical and health economic outcomes for patients.RÉSUMÉContexte : Les programmes de résidence canadiens en pratique pharma-ceutique encouragent le développement de compétences clés relatives aux soins directs offerts aux patients. Ces compétences entraîneront la résolu-tion des problèmes de pharmacothérapie (DTP), l’un des huit indicateurs clés nationaux de rendement relatifs à la pharmacie clinique. Il n’existe pas de données canadiennes portant sur la contribution des résidents à la résolution des problèmes de pharmacothérapie, notamment ceux relatifs aux maladies prioritaires (PD-DTP) couverts dans les modules d’éducation sur les problèmes de santé, ou les indicateurs de qualité des DTP (QI-DPT), évalués au moyen d’interventions fondées sur des données scientifiques dont il a été prouvé qu’elles réduisaient la morbidité, la mortalité ou l’utilisation des ressources sanitaires. Dans une étude, les intervenants avaient des opinions divergentes concernant la contribution des résidents à la résolution des DTP, des PD-DTP et des QI-DTP.Objectif : Décrire la contribution des résidents dans le cadre de la pratique pharmaceutique des soins directs offerts aux patients à l’aide de trois mesures spécifiques du processus des soins : DTP, PD-DTP et QI-DTP résolus par les résidents. Méthodes : Cette étude prospective par observation portant sur un seul groupe a été menée dans cinq sites de rotation compris dans la sphère d’autorité sanitaire des auteurs, du 2 septembre 2013 au 13 juin 2014. Le résultat principal était le nombre de DTP résolus. Les résultats sec-ondaires étaient les suivants : nombre de PD-DTP résolus; nombre de QI-DTP résolus; nombre de DTP, de PD-DTP et de QI-DTP résolus avec le temps; et la satisfaction des résidents à l’égard du suivi électronique de leurs DTP résolus (en termes de formation, de facilité d’utilisation, d’efficacité et d’exigences en matière de temps). Résultats : Quatre résidents ont effectué un total de 21 rotations de quatre semaines et ont résolu 1201 DTP. De ceux-ci, 620 (52 %) étaient des PD-DTP et 479 (40 %), des QI-DTP. Les interventions générales ont augmenté de la 1re à la 3e rotation; elles ont diminué à la 4e et à la 5e rotation; elles ont à nouveau augmenté à la 6e rotation. Le score moyen de toutes les questions posées dans l’enquête de satisfaction, tous domaines confondus, était de 4 sur 5 (ou « d’accord »).Conclusions : Les résidents en pratique pharmaceutique résolvaient les DTP, les PD-DTP et les QI-DTP des patients et contribuaient de manière significative aux soins directs aux patients. Sur base de la documentation, on pourrait s’attendre à ce que le nombre et le type d’interventions observées dans cette étude améliorent les résultats cliniques et sanitaires des patients.
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