Academic literature on the topic 'Maladies neuromusculaires – Génétique'

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Journal articles on the topic "Maladies neuromusculaires – Génétique"

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Barkats, Martine. "Amyotrophie spinale infantile." médecine/sciences 36, no. 2 (February 2020): 137–40. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020010.

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Abstract:
L’amyotrophie spinale ou SMA est la maladie génétique la plus fréquente menant à la mortalité infantile. Cette maladie neuromusculaire est due à l’altération du gène SMN1. Cette anomalie génétique provoque la réduction des taux de protéine Smn, induisant la dégénérescence des neurones moteurs, la faiblesse et l’atrophie musculaire. La thérapie génique, consistant à réintroduire le gène SMN1 normal dans les motoneurones constitue une thérapie de choix pour la SMA. Nous avons montré l’efficacité sans précédent de cette approche chez la souris modèle de SMA après une simple injection intraveineuse d’un AAV9 exprimant SMN1. Une jeune société de biotechnologie, dirigée par le Dr Kaspar, a testé cette approche expérimentale chez de jeunes patients atteints de SMA type 1. Le Dr Mendell, en charge de ce projet clinique, a montré une augmentation significative de la survie et des fonctions motrices des patients (jusqu’à 4 ans) après une seule injection de l’AAV9-SMN (appelé ZolgenSMA) dans la veine du bras ou de la jambe. Cette thérapie, qui a obtenu l’AMM par la FDA le 24 mai 2019, est actuellement la première thérapie génique efficace dans les maladies neuromusculaires.
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Urtizberea, J. Andoni, Hadil Alrohaif, Sayed A. Gouda, and Laila Bastaki. "Quand tous les chemins mènent à l’Afrique…" médecine/sciences 35 (November 2019): 15–17. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019237.

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Abstract:
Les myopathies congénitales constituent un ensemble hétérogène de maladies neuromusculaires aussi bien sur le plan clinique que génétique. Le séquençage à haut débit, ciblé ou non, couplé à l’analyse de la biopsie musculaire, facilite grandement leur caractérisation précise et conduisent parfois à des découvertes inattendues comme dans le cas rapporté ci-dessous d’une famille koweitienne en errance diagnostique depuis de nombreuses années.
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Urtizberea, J. A. "Nouveaux outils diagnostiques et conseil génétique dans les maladies neuromusculaires." Journal de Réadaptation Médicale : Pratique et Formation en Médecine Physique et de Réadaptation 31, no. 3-4 (September 2011): 112–14. http://dx.doi.org/10.1016/j.jrm.2011.09.002.

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Nga Brignol, Tuy. "Génétique : Apport du séquençage de nouvelle génération (NGS) dans le diagnostic des maladies neuromusculaires." médecine/sciences 32 (November 2016): 47–48. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/201632s212.

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Saoudi, Amel, and Aurélie Goyenvalle. "Les approches thérapeutiques de modulation de l’épissage." médecine/sciences 37, no. 6-7 (June 2021): 625–31. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2021091.

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Abstract:
Les avancées en recherches génétique et génomique ne cessent d’accroître nos connaissances des maladies héréditaires. Un nombre croissant de ces maladies relève d’épissages aberrants qui représentent des cibles idéales pour les approches correctives centrées sur l’ARN. De nouvelles stratégies, en particulier médicamenteuses, visant à exclure ou à ré-inclure des exons lors du processus d’épissage, ont ainsi émergé et plusieurs molécules ont récemment obtenu des autorisations de mise sur le marché, notamment pour le traitement de la dystrophie musculaire de Duchenne et de l’amyotrophie spinale, suscitant de plus en plus d’intérêt et d’espoir. Parmi ces molécules, les oligonucléotides antisens, ou ASO, ont connu un réel essor et font l’objet de progrès constants en matière de modifications chimiques et de conception. Toutefois, leur biodistribution après administration par voie générale demeure souvent limitée, et le développement de chimies alternatives plus performantes et de nouveaux systèmes d’adressage est devenu un axe de recherche très actif. En parallèle, l’utilisation de petites molécules présentant une excellente biodistribution, ou de vecteurs viraux pour véhiculer les séquences antisens, est également explorée. Dans cette Synthèse, nous présentons les dernières avancées de ces approches de modulation d’épissage à travers deux exemples de maladies neuromusculaires. Nous discutons de leurs avantages et des principales limitations actuelles.
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Gargaun, Elena. "Les oligonucléotides anti-sens dans la SMA." médecine/sciences 35 (November 2019): 11–14. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019181.

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Abstract:
Une révolution est actuellement en cours dans le domaine des maladies neuromusculaires avec l’arrivée de nouvelles thérapies. L’amyotrophie spinale (SMA ou spinal muscular atrophy) est parmi les maladies pionnières de ce bouleversement thérapeutique. Le premier traitement approuvé et mis sur le marché en Europe et aux États-Unis est un oligonucléotide antisens dénommé nusinersen et commercialisé par le laboratoire Biogen sous le nom de Spinraza®. Il a comme indication les SMA de types 1, 2 et 3. La première injection de Spinraza® dans le cadre d’une ATU/EAP (Autorisation Temporaire d’Utilisation/Expanded Access Program ou programmes d’accès étendu) a été réalisée en France par le centre d’essais l-Motion. Les résultats des essais cliniques et des données de la littérature sur l’utilisation du nusinersen dans la SMA infantile sont discutés dans cette revue. Ces études rapportent une amélioration de la fonction motrice chez les patients SMA tous types confondus y compris les patients de type 3 [1, 2]. Une administration précoce du traitement s’accompagne d’une meilleure réponse clinique. Une meilleure compréhension de l’hétérogénéité génétique et clinique devient indispensable dans le monitoring et le suivi à long terme de ces patients.
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Lesca, G., E. Ollagnon-Roman, J. Lachanat, A. Dusser, P. Edery, M. Jeanpierre, and H. Plauchu. "Piège diagnostique et difficultés du conseil génétique dans une famille de patients porteurs de maladies neuromusculaires." Archives de Pédiatrie 8, no. 9 (September 2001): 957–60. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(01)00561-9.

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Braun, Serge. "Thérapies géniques de l’amyotrophie spinale infantile." médecine/sciences 36, no. 2 (February 2020): 141–46. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020011.

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Abstract:
On convient de dire qu’une génération est nécessaire pour faire émerger une nouvelle famille de médicaments. L’amyotrophie spinale infantile (SMA), après l’élucidation du gène causal en 1995, dispose depuis peu de deux classes innovantes de thérapeutiques : l’administration répétée d’oligonucléotides antisens et l’administration unique d’une thérapie génique par scAAV9-SMN. En s’adressant aux mécanismes génétiques de la maladie, elles en modifient fondamentalement le cours. Ces avancées majeures dans une maladie extrêmement sévère, mortelle souvent avant l’âge de 18 mois dans les formes de type 1 (50 % des malades), ouvrent la voie pour d’autres pathologies graves du système nerveux ou neuromusculaire, et apportent une preuve déterminante de l’efficacité de ces classes nouvelles de produits appelés à s’adresser à de nombreuses maladies génétiques ou acquises. Elles génèrent aussi de nouvelles questions d’ordre scientifique et technologique (capacités limitées de production des quantités nécessaires en thérapie génique) mais également d’ordre éthique (conditions d’accès des malades à ces thérapies innovantes), qui résonnent au-delà de cette seule maladie.
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9

de Pontual, Laure, Geneviève Gourdon, and Stéphanie Tomé. "Identification de nouveaux facteurs entraînant des contractions CTG.CAG dans la dystrophie myotonique de type 1." médecine/sciences 37 (November 2021): 6–10. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2021182.

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Abstract:
La dystrophie myotonique de type 1 (DM1 ou maladie de Steinert) est une maladie neuromusculaire multi-systémique causée par une expansion anormale de triplets CTG instables dans la région 3’UTR du gène DMPK. Le nombre de répétitions augmente au cours des générations (instabilité intergénérationnelle) mais également avec l’âge du patient (instabilité somatique). Chez les patients, la taille des répétitions CTG est généralement corrélée à l’âge d’apparition et à la sévérité des symptômes. Ainsi, les expansions les plus grandes sont souvent associées à la forme clinique la plus grave de la DM1 (forme congénitale). Notre projet de thèse vise à identifier des nouveaux facteurs génétiques et chimiques capables de diminuer la taille des répétitions, et de mieux comprendre les mécanismes d’instabilité. Pour cela, un criblage génétique et pharmacologique est réalisé dans un modèle cellulaire HEK293 permettant de détecter rapidement les expansions (augmentation de la taille des triplets CTG) et les contractions (diminution de la taille des CTG). Les effets des différents gènes et facteurs chimiques, sélectionnés au cours du criblage, sur la dynamique de l’instabilité des triplets CTG seront étudiés dans un modèle cellulaire DM1. Les résultats de nos travaux permettront de mieux comprendre les mécanismes à l’origine des contractions. Par ailleurs, l’identification de nouveaux composés pharmacologiques susceptibles de favoriser les contractions CTG et ainsi réduire, voire inverser, la progression de la maladie, offrira de nouvelles perspectives thérapeutiques pour la DM1 mais aussi pour d’autres maladies à triplets répétés.
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Urtizberea, J. Andoni, and Ferroudja Daidj. "Combien de patients atteints de SMA en France ?" médecine/sciences 34 (November 2018): 32–34. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/201834s209.

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Abstract:
L’épidémiologie des amyotrophies spinales infantiles (ASI ou SMA pour spinal muscular atrophy) reste à faire en France. Bien qu’appartenant aux maladies rares, elle n’en est pas moins fréquente parmi les maladies génétiques de l’enfant. En l’absence d’un registre ou d’une banque de données vraiment opérationnels, les différents acteurs concernés par la SMA sont condamnés à se référer aux seules données de la littérature internationale. À l’heure où le comptage des individus pouvant potentiellement bénéficier de thérapies innovantes comme le nusinersen devient un enjeu crucial, notamment pour les autorités de santé, la filière de santé neuromusculaire Filnemus a pris l’initiative de contribuer à cet inventaire, à l’aide de son réseau de centres de compétence et de référence. À cet effet, deux enquêtes, de portée et de méthodologie distinctes, ont été réalisées ces derniers mois.
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Dissertations / Theses on the topic "Maladies neuromusculaires – Génétique"

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Maurer, Marie. "Caractérisation génétique et fonctionnelle d'affections canines, modèles de maladies neuromusculaires." Paris 6, 2010. http://www.theses.fr/2010PA066483.

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Mouisel, Etienne. "Individualisation de l’entraînement physique chez la souris : influence du fonds génétique sur l’adaptation musculaire, applications aux maladies du motoneurone." Evry-Val d'Essonne, 2007. http://www.biblio.univ-evry.fr/theses/2007/2007EVRY0011.pdf.

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Abstract:
La remarquable plasticité du muscle squelettique permet d’envisager de façon thérapeutique l’exercice physique. Après avoir validé un modèle de mesure des capacités motrices (Vitesse Critique, VC) chez la souris saine, nous nous sommes basés sur cet index pour mettre en place un entraînement individualisé de courte durée. Les résultats ont montré des améliorations de la VC et de la capacité musculaire oxydative dépendantes du fonds génétique des animaux. Ces données nous ont cependant conforté dans l’application de l’exercice chez des modèles murins de pathologies du motoneurone. Après vérification de l’adéquation de la VC à l’évaluation des capacités motrices de modèles de paraplégie spastique héréditaire, d’amyotrophie spinale et de sclérose latérale amyotrophique, nous avons pu mettre respectivement en évidence chez ces modèles des déclins moteurs tardif, précoce et modulable par l’entraînement physique. Cette dernière observation ouvre d’intéressantes perspectives thérapeutiques
The remarkable plasticity of skeletal muscle in response to physiological stress or diseases leads to consider physical exercise as a therapeutically approach. After validation of motor capacity model (Critical Speed, CS) in healthy mice, we used this index to define a short individualized training protocol. Surprisingly, the results showed improvements of CS and oxidative muscular capacity, both parameters being dependent on the genetic background. These data lead us to suggest that exercise could be regarded as a therapeutically approach in mouse models of neuromuscular disorders and in particular motor neuron diseases. After validating the CS as a reliable parameter to evaluate the motor capacities of mouse models of hereditary spastic paraplegia, spinal muscular atrophy and amyotrophic lateral sclerosis (ALS), we have shown that physical training was able to delay motor defect in a mouse model of ALS. This last observation opens exciting therapeutic prospects
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Bomont, Pascale. "Localisation génétique de deux nouvelles formes d'ataxie autosomique récessive : Identification du gène de la neuropathie à axones géants et étude de la gigaxonine." Université Louis Pasteur (Strasbourg) (1971-2008), 2002. http://www.theses.fr/2002STR13117.

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Abstract:
Dans le groupe hétérogène que constitue les ataxies à transmission autosomique récessive, j'ai localisé génétiquement le gène morbide associé à 2 nouvelles formes d'ataxie, en 9q33-34 et en 6p21-23. J'ai consacré la deuxième partie de ma thèse à l'étude d'une maladie neurodégénérative, la Neuropathie à Axones Géants (NAG), pour laquelle le locus primaire avait été identifié en 16q24. 1. NAG correspond à une maladie des filaments intermédiaires (FIs), qui constituent le cytosquelette avec les microfilaments (MFs) et les microtubules (MTs). En effet, une accumulation anormale de différentes classes de FIs a été décrite, dont les neurofilaments dans les axones de patients. J'ai participé à la réduction de l'intervalle d'interêt et identifié le gène NAG, par une approche bioinformatique, en analysant les séquences primaires du génome humain. Le gène NAG code pour une protéine que nous avons appelée gigaxonine, et pour laquelle nous avons identifié 22 mutations distinctes chez les patients, réparties sur toute la protéine. La gigaxonine présente un domaine BTB en partie N-terminale, suivi d'un domaine constitué de 6 répétitions Kelch, mais ne présente que de faibles identités avec les membres de la famille des BTB/Kelch. La gigaxonine surexprimée est cytoplasmique, et ne colocalise pas avec les réseaux du cytosquelette. J'ai ensuite étudié le modèle cellulaire de NAG : les fibroblastes primaires de patients, qui présentent une accumulation anormale des filaments de vimentine. La désorganisation des filaments de vimentine affecte une minorité de cellules mais est aggravée dans les cellules quiescentes. Bien que les MTs ne soient pas altérés dans les fibroblastes NAG, l'association que nous avons révélé entre la position des agrégats de vimentine et les centres organisateurs des MTs (MTOCs), ainsi que l'aggravation du phénotype en absence de MTs suggèrent que la gigaxonine pourrait être impliquée dans les interactions entre FIs et MTs
Focused then on the study of a severe neurodegenerative disorder, called Giant Axonal Neuropathy (GAN), for which the locus has been identified on 16q24. 1. GAN corresponds to a generalized disorganization of the intermediate filaments network (IF), that, together with the microfilament (MF) and microtubule (MT) networks, constitute the cellular cytoskeleton. Indeed, abnormal accumulation of different classes of IFs has been reported in different cell types, including neurofilaments in the axons of patients. I participated to the reduction of the interval of interest and identified the GAN gene, by a bioinformatic approach, based on the analysis of the newly available sequences generated by the Human Genome Sequencing Project. The GAN gene encodes a protein we named gigaxonin, for which we identified 22 distinct mutations in patients. Gigaxonin contains BTB and Kelch repeat domains, but presents only low amino acid identity with other BTB/Kelch proteins. In a over-expression system, gigaxonin is a cytoplasmic protein that does not colocalize with any of the cytoskeletal networks. The study of primary fibroblasts derived from skin biopsies of patients, that present abnormal aggregation of the vimentin network, allowed to demonstrate that this disorganization i) affects only a weak proportion of the cells ; ii) is aggravated in non- dividing cells. Although MTs network is not altered in GAN fibroblasts, we found i) a correlation between the position of the aggregates and the MT organizing centers (MTOCs); ii) an increase of vimentin destabilization in the absence of MTs. This suggests that gigaxonin could be implicated in the cross-talk between the MTs and IFs networks
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Hammer, Caroline. "Implications de l'épissage des ARNpré-messagers dans la pathogenèse des dystrophies myotoniques." Strasbourg, 2009. http://www.theses.fr/2009STRA6136.

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Abstract:
Les dystrophies myotoniques (DM) sont les dystrophies musculaires de l’adulte les plus fréquentes. Elles sont caractérisées par un vaste tableau clinique pour lequel il n’existe pas de thérapie globale à l’heure actuelle. Les DM sont causées par la présence aberrante d’agrégats nucléaires formés d’ARNs enrichis en répétitions CUG (formes DM1 et congénitale) ou CCUG (forme DM2, la moins sévère de toutes). Ces agrégats séquestrent le facteur d’épissage MBNL1, conduisant à des défauts de l’épissage d’exons spécifiques, alors responsables de certains symptômes (myotonie, résistance à l’insuline). J’ai identifié un nouvel événement d’épissage altéré (exon 11 de Bin1) dans les cellules musculaires de patients DM par puces exons. Notre étude fonctionnelle et physiopathologique suggère que la diminution d’expression de l’exon 11 de Bin1 est un événement primaire dans la pathogenèse des DM et contribuerait à la faiblesse musculaire des patients DM. J’ai identifié deux nouvelles protéines composant les agrégats de répétitions CCUG, les facteurs d’épissage Fox1 et Fox2. Nous proposons un modèle original d’après lequel la présence de Fox1 et Fox2 dans ces agrégats pourrait diminuer le taux de séquestration de MBNL1. Fox1 et Fox2 pourraient ainsi atténuer les défauts de l’épissage régulé par MBNL1 et de ce fait, contribuer à la moindre sévérité de la DM2. Enfin, j’ai mis au point un système cellulaire modèle de la DM1 qui reproduit l’altération de l’épissage de l’exon 5 de la troponine T cardiaque caractéristique des patients DM. Ce modèle pourrait être appliqué à un criblage pharmacologique destiné à identifier des composés au potentiel thérapeutique pour les patients DM
Myotonic dystrophies (DM) are the most common muscle dystrophies in adults. DM patients display a wide range of features, but there is currently no available cure to treat all of them. DM are caused by aberrant nuclear aggregates made of RNAs enriched in CUG repeats (DM1 and congenital forms) or CCUG repeats (DM2 form, the less severe one). These ggregates sequester the MBNL1 splicing factor, thus leading to an aberrant splicing of specific exons, ultimatly resulting in specific symptoms (myotonia, insulin resistance). I identified a novel misspliced event (aberrant splicing of Bin1 exon 11) in muscle cells of DM patients using exon arrays. Our functionnal and pathological studies suggest that the decrease in exon 11 expression is a primary event in the DM pathogenesis and may contribute to muscle weakness. I identified two novel protein components of the CCUG aggregates, the splicing factors Fox1 and Fox2. We propose an original model according to which Fox1 and Fox2 co-localizing with those aggregates may decrease MBNL1 sequestration. Thus, Fox1 and Fox2 would help to diminish the degree of splicing alterations of targets regulated by MBNL1, and would contribute to explain the lesser severity of DM2. Finally, I set up a cellular system mimicking DM1 that reproduces cardiac troponin T exon 5 missplicing observed in DM patients. This model may be useful to a high-throuput screening of chemical compounds aimed at identifying putative therapeutic molecules for DM patients
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Vaeze, Chantal. "Le pied creux de l'enfant et la maladie de Charcot-Marie-Tooth : apport au diagnostic différentiel." Bordeaux 2, 1989. http://www.theses.fr/1989BOR25207.

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Buono, Suzie. "In vivo studies and therapeutic approaches in neuromuscular disorders : targeting dynamin 2 as a novel therapeutic strategy and support for clinical development." Electronic Thesis or Diss., Strasbourg, 2023. http://www.theses.fr/2023STRAJ016.

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Abstract:
Les myopathies centronucléaires (CNMs) sont un groupe de myopathies congénitales pour lesquelles il n’existe aucun traitement. Elles sont caractérisées par une faiblesse musculaire, une atrophie des fibres musculaires et la présence de noyaux centraux dans les fibres des muscles squelettiques. Plusieurs formes ont été décrites. La myopathie centronucléaire liée à l’X (XLCNM), causée par des mutations dans le gène MTM1 codant pour la myotubularine 1 (MTM1) est la forme la plus sévère. La myopathie centronucléaire autosomique dominante (ADCNM), est quant à elle, provoquée principalement par des mutations dans le gène DNM2 codant pour la dynamine 2 (DNM2). Mes objectifs étaient (1) de mieux comprendre le rôle de DNM2 dans le muscle squelettique et l’impact des mutations, (2) de développer une stratégie thérapeutique qui soit applicable chez l’Homme pour traiter les patients XLCNM et ADCNM en réduisant DNM2 et (3) de participer à des projets pour le développement clinique. Ces travaux ont mis en évidence que la réduction de DNM2 en utilisant des oligonucléotides antisens ou des virus adéno-associés a permis l’amélioration du phénotype CNM dans les deux modèles de souris (XLCNM et ADCNM). DNM2 a été validée comme cible thérapeutique et les données ont abouti à la création de Dynacure en 2016 dans le but de lancer un essai clinique. De plus, une autre étude a permis de définir la myostatine comme biomarqueur sanguin qui pourrait être utilisé pour suivre et étudier l’état de la pathologie et appliqué dans les essais cliniques
Centronuclear myopathies (CNMs) are a group of congenital myopathies for which there is no treatment currently available. They are characterized by muscle weakness, atrophy of muscle fibers, and the presence of central nuclei in skeletal muscle fibers. Several forms of CNMs have been described. X-linked centronuclear myopathy (XLCNM), caused by mutations in the MTM1 gene encoding for myotubularin 1 (MTM1), is the most severe form. On the other hand, autosomal dominant centronuclear myopathy (ADCNM), is mainly caused by mutations in the DNM2 gene encoding for dynamin 2 (DNM2). My objectives were (1) to better understand the role of DNM2 in skeletal muscle and the impact of mutations, (2) to develop a therapeutic strategy that could be applicable in humans to treat XLCNM and ADCNM patients by reducing DNM2, and (3) to participate in projects for clinical development. These studies have shown that reducing DNM2 using antisense oligonucleotides or adeno-associated viruses improved the CNM phenotype in both mouse models (XLCNM and ADCNM). DNM2 has been validated as a therapeutic target, and the data led to the creation of Dynacure in 2016 in order to launch a clinical trial. In addition, another study identified myostatin as a blood biomarker that could be used to monitor and study the disease's status and applied in clinical trials
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Fabbrizio, Eric. "Les molécules de la famille dystrophine : identifications et approches fonctionnelles." Montpellier 1, 1993. http://www.theses.fr/1993MON1T029.

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Aubourg, Pauline. "Etude par clonage positionnel de deux maladies neuromusculaires rares : la myopathie liée à l'X avec excès d'autophagie (XMEA) et une fibrose congénitale des muscles extra-oculaires (CFEOM)." Aix-Marseille 2, 2004. http://www.theses.fr/2004AIX20667.

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Abstract:
L'objectif de cette thèse était de déterminer les gènes en cause dans deux maladies neuromusculaires rares : la Myopathie liée à l'X avec Excès d'Autophagie (XMEA) et la Fibrose Congénitale des Muscles Extra-Oculaires de type 3 (CFEOM3). XMEA est une maladie récessive liée au locus Xq28, qui se traduit chez les garçons par une faiblesse progressive des muscles proximaux. Pour identifier le gène, nous avons choisi une approche gène candidat, basée sur les anomalies observées sur les fibres musculaires. Aucun des 38 gènes analysés n'a permis de déterminer le gène critique. De plus, aucun réarrangement au niveau du cluster de gènes MAGEA n'a pu être identifié. Néanmoins, nous avons considérablement réduit le nombre de gènes candidats. Par ailleurs, nous avons mis en évidence un biais d'inactivation chez les femmes porteuses de la maladie, ce qui suggère une expression ubiquitaire du gène impliqué. CFEOM3 est une maladie autosomique dominante, caractérisée par une limitation des mouvements verticaux du regard et un ptosis. Elle appartient au groupe des maladies de dysinnervation des nerfs crâniens (CCDDs). Deux loci de CFEOM3 sont décrits sur le chromosome 16 et le chromosome 12 (mutations dans KIF21A). Ici, nous avons choisi de cloner les points de cassure d'une translocation équilibrée t(2 ;13), qui ségrège dans une famille sur trois générations, et avons défini un nouveau locus de CFEOM3 (FEOM4), en 13q12. 11. Un transcrit, dont l'intron contient des blocs de séquences conservées non codantes, est interrompu par ce point de cassure. Le rôle des ces deux séquences reste à déterminer. Cependant, la caractérisation d'un nouveau locus de CFEOM3 va permettre d'explorer des familles non liées aux autres loci connus. De plus, la précision de deux réarrangements chromosomiques associés à un syndrome de Moebius de type 1 en 13q12, définira si MBS1 et CFEOM3 sont alléliques ou non
The aim of this work was to determine the gene involved in two rare neuromuscular diseases : the X-linked myopathy with excessive autophagy (XMEA) and the congenital fibrosis of extraocular muscles type 3 (CFEOM3). XMEA is transmitted as an X-linked recessive trait and is characterised by a slow progressive weakness of proximal muscles, affecting males. It is located on Xq28 chromosome. Towards identifie the gene, we used a candidate gene approach based on structural changes observed in myofibers. None of the 38 genes studied allowed to determine the critical gene. As well, no rearrangement in the MAGEA genes cluster could be identified. However, we have considerably reduced the number of candidate genes. Additionally, a skewed X-inactivation pattern was detected and suggested that the gene involved in this condition could be ubiquitously expressed rather than having a muscle specific expression. CFEOM3 is an autosomal dominant inherited disease, characterised by a limitation of vertically gaze and ptosis. This condition belongs to the recently designed group of congenital cranial dysinnervation disorders (CCDDs). Two loci of CFEOM3 were known, on chromosome 16 and 12 (with KIF21A mutations). Here, we cloned the breakpoints of a balanced reciprocal translocation t(2;13) in a three generations family, and defined a new CFEOM3 locus (FEOM4) on 13q12. 11. A transcript whose the intron contained several blocks of conserved non coding sequences was interrupted by this breakpoint. The functional importance of these sequences remains to be identified. Meanwhile, the characterisation of this novel CFEOM3 locus will allow to test the genetic segregation at this locus, in families previously shown to be unlinked to any of the known loci. Furthermore, the study of two chromosomal rearrangements, involved in two families of Moebius syndrome type 1 (MBS1) on 13q12 will define if MBS1 and CFEOM3 are allelic or not
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Roques, Isabelle. "Etude de vingt observations d'amyotrophies spinales infantiles : aspects cliniques et génétiques." Bordeaux 2, 1999. http://www.theses.fr/1999BOR23019.

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Cros, Nathalie. "Modifications de l'expression génique dans l'atrophie musculaire fonctionnelle." Montpellier 2, 1999. http://www.theses.fr/1999MON20109.

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Abstract:
Une diminution dans l'activite motrice et la charge mecanique imposees au muscle squelettique, induit une atrophie musculaire dite fonctionnelle. Ce phenomene est particulierement marque dans les muscles posturaux de type lent comme par exemple le soleaire. De nombreux changements musculaires sont observes, dans la structure, les proprietes contractiles, metaboliques et l'activite electrique. Ils attestent notamment d'une evolution partielle vers un phenotype de muscle rapide. Ces changements resultent vraisemblablement d'un processus hautement controle au niveau moleculaire, impliquant des effets transcriptionnels, post-transcriptionnels et traductionnels. Nous avons utilise le modele du rat suspendu par le train-arriere pour caracteriser les modifications de l'expression genique dans le muscle soleaire atrophie. Deux techniques d'analyse de l'expression du genome ont ete mises en uvre ; l'hybridation differentielle sur filtres haute densite et la suppression subtractive hybridization. Nous avons pu identifier au total, 38 transcrits differentiellement exprimes. 13 sont de sequences inconnues et les 25 autres, de sequences connues, appartiennent a 7 categories fonctionnelles differentes. L'impact fonctionnel de l'alteration du niveau d'expression de 2 d'entre eux, la creatine kinase specifique du muscle et la glyceraldehyde-3-phosphate deshydogenase, impliquees dans le metabolisme energetique musculaire, a ete analyse en fonction de l'evolution de l'atrophie ainsi qu'au niveau proteique. L'ensemble des resultats valide pleinement l'approche qui a ete envisagee dans ce travail et donne une idee plus globale des mecanismes impliques dans l'atrophie musculaire fonctionnelle.
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Book chapters on the topic "Maladies neuromusculaires – Génétique"

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Bonnichon, Delphine, and Audrey Bénézit. "Nouvelles thérapeutiques dans le champ des maladies neuromusculaires : quels enjeux ?" In Handicap et génétique, 157–73. Érès, 2020. http://dx.doi.org/10.3917/eres.gargi.2020.01.0157.

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