Academic literature on the topic 'Logement – Anthropologie'

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Journal articles on the topic "Logement – Anthropologie"

1

Istasse, Manon. "Circulation et rencontre du patrimoine et du tourisme dans la médina de Fès." Tourisme et patrimoine mondial 30, no. 2 (September 7, 2012): 37–46. http://dx.doi.org/10.7202/1012240ar.

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Abstract:
Patrimoine mondial et tourisme font l’objet de nombreuses publications aussi bien de la part des acteurs du tourisme que de l’UNESCO ou des sciences sociales. Pourtant, ces études concluent le plus souvent à une difficulté d’investiguer la relation entre tourisme et patrimoine. La médina de Fès, classée au patrimoine mondial depuis 1981, fait l’objet de nombreux projets de restauration de son patrimoine et est en plein développement touristique depuis le début des années 2000. Je propose dans cet article d’investiguer différentes situations de rencontre entre tourisme et patrimoine, à savoir le logement touristique dans la vieille ville, les administrations en charge du développement touristique de la ville, et les bureaux UNESCO à Paris et Rabat : comment patrimoine mondial et tourisme s’y rencontrent-ils, sous quelles formes, et dans quelles situations ? La réponse à ces questions me permettra en conclusion d’ébaucher une approche du patrimoine mondial comme référent circulant entre diverses situations, en mobilisant les travaux menés dans le cadre d’une anthropologie pragmatique.
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2

Roisselin, Céline. "Entrée, entrer. Approche anthropologique d'un espace du logement." Espaces et sociétés 78, no. 4 (1994): 83. http://dx.doi.org/10.3917/esp.1994.78.0083.

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3

Léobal, Clémence. "Devenir « libre » grâce au logement social ? Appropriations bushinenguées à Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane)." Etnografica, no. 24 (3) (October 1, 2020): 703–24. http://dx.doi.org/10.4000/etnografica.9461.

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4

Leloup, Xavier, and Nong Zhu. "Différence dans la qualité de logement: Immigrants et non-immigrants à Montréal Toronto et Vancouver." Journal of International Migration and Integration / Revue de l'integration et de la migration internationale 7, no. 2 (June 2006): 133–66. http://dx.doi.org/10.1007/s12134-006-1007-z.

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5

Rose, Damaris, and Brian Ray. "Le logement des réfugiés à Montréal trois ans après leur arrivée: le cas des demandeurs d'asile ayant obtenu la résidence permanente." Journal of International Migration and Integration / Revue de l'integration et de la migration internationale 2, no. 4 (December 2001): 455–92. http://dx.doi.org/10.1007/s12134-001-1009-9.

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6

Blandy, Sarah. "The Properties of Self-Managed Collective Housing." Social Anthropology/Anthropologie Sociale 31, no. 3 (September 1, 2023): 68–83. http://dx.doi.org/10.3167/saas.2023.310306.

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Abstract:
Abstract This article explores the relationship between property, law and everyday life in two self-managed collective housing sites in England, a housing co-operative and a co-housing development. In each of these sites the residents are bound together by a property law framework, by their built environment and by the spaces they share and manage. The residents are developing alternative legalities, their own informal norms and non-legally enforceable rules, which are transmitted to new residents in a form of inheritance. This article offers a new perspective on sharing property and belonging to a collective, within a housing culture based on individual ownership. The argument that the concepts of kinning and inheritance can be ‘stretched’ to take account of the intangible ‘properties’ generated by intentional communities’ residents, contributes to both socio-legal studies and legal anthropology. Résumé Cet article étudie la relation entre propriété, loi et vie quotidienne dans deux habitations en propriété collective dans l'Angleterre contemporaine : une maison coopérative et un projet de co-habitation. Dans chacun de ces sites, les résidents sont liés par une structure légale de propriété commune, de par l'environnement construit et de par les espaces qu'ils partagent et administrent ensemble. Les résidents ont développé des légalités alternatives, leurs propres normes informelles et non applicables légalement qui sont transmises aux nouveau résidents en forme d'héritage. L'article offre une approche nouvelle sur la propriété partagée et l'appartenance à un collectif, dans le cadre d'une culture du logement largement constituée sur la propriété individuelle. On y développe l'argument que les concepts de parenté et d'héritage peuvent être « étirés » pour prendre en compte les « propriétés » intangibles générées par les résidents de communautés d'intention. L'article contribue ainsi à la fois aux études socio-légales et à l'anthropologie légale.
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7

Santelli, Emmanuelle. "Partir à Londres… pour favoriser l’insertion professionnelle en France." Enfances, Familles, Générations, no. 19 (March 12, 2014): 64–84. http://dx.doi.org/10.7202/1023771ar.

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Abstract:
Dans un contexte d’accroissement des migrations des Français vers Londres, cet article s’attache à comprendre les motivations de jeunes adultes français d’origine maghrébine qui entreprennent cette mobilité dans l’objectif de favoriser leur insertion professionnelle. Une partie de ces jeunes bénéficient en France d’un dispositif d’encouragement à la mobilité internationale. Initié par une mission locale qui accompagne ces jeunes tout au long de leur mobilité, ils sont accueillis par une structure française basée à Londres qui leur propose des annonces d’emploi et de logement. A partir de leur base de données, la première partie de l’article traite des caractéristiques des jeunes selon qu’ils partent dans le cadre d’un dispositif d’accompagnement à la mobilité, ou non. Les premiers subissent plus encore que les seconds une situation à l’égard de l’emploi marquée par la précarité. Ils ne se situent pas non plus au même stade de leur cycle de vie. Ensemble de résultats qui sont confortés et approfondis par l’analyse des entretiens biographiques réalisés avec des jeunes partis quelques mois à Londres. La seconde partie de l’article comporte trois sections reposant sur l’analyse du matériau qualitatif et permet d’aborder leurs motivations à partir, comment à travers cette expérience ils découvrent leur francité et un nouveau mode de vie. Procurant de nouvelles références, c’est tout le processus d’entrée dans la vie adulte qui s’en trouve affecté. Toutefois, cette mobilité est le plus souvent accomplie dans l’idée de favoriser leur insertion professionnelle en France. Loin d’engager une mobilité signe d’une prise de distance, elle marque au contraire leur souhait de partir « pour mieux revenir », car ils sont profondément attachés à leur région d’origine et aux liens familiaux.
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8

Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Abstract:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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Monika, Salzbrunn. "Migration." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.059.

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Abstract:
En anthropologie, la migration, du mot latin migratio, signifie en principe un déplacement physique d’un être humain (migration humaine), bien que des déplacements non-humains soient aussi qualifiés de migrations (migration animale, migration de plantes, migration de planètes etc.). Suite à la généralisation de l’État-nation comme forme d’organisation politique au 19e siècle, on distingue surtout la migration transnationale (qui implique le déplacement d’au moins une frontière nationale) et la migration interne (à l’intérieur de frontières étatiques). Par ailleurs, ces migrations peuvent prendre la forme d’une migration pendulaire (mouvement de va-et-vient), circulaire (mouvement en cercle), saisonnière (migration de travail influencé par les saisons agricoles) ou durable, menant à une installation et une naturalisation. Parmi les causes, on a longtemps souligné les migrations de travail alors que les cas de migrations climatiques et forcées augmentent de façon significative : migrations imposées par le contexte, notamment politique, par exemple pendant une guerre civile ou encore déplacements engendrés par des changements climatiques comme une sècheresse ou l’avancement du désert dans la zone du Sahel. Le tourisme est parfois considéré comme une forme volontaire de migration à courte durée. Jusqu’à présent, peu de travaux lient les réflexions sur les migrations avec celles sur la mobilité (Ortar, Salzbrunn et Stock, à paraître). Certaines recherches sur l’ethnicité (Barth 1999 [1969]) et la transnationalisation ainsi que de nouvelles catégories statistiques développées au niveau gouvernemental témoignent du fait que certaines personnes peuvent être considérées ou perçues comme migrant-e-s sans avoir jamais effectué un déplacement physique au-delà des frontières nationales de leur pays de naissance. Ainsi, aux Pays-Bas et en Belgique, dans le discours politique, on distingue parfois autochtones (grec, littéralement terre d’ici) et allochtones (grec, littéralement terre d’ailleurs). Au Pays-Bas, on entend par allochtone une personne qui y réside et dont au moins un parent est né à l’étranger. Ce terme était destiné à remplacer le terme « immigré », mais il continue à renvoyer des résidents (voire des citoyens) à (une partie de) leur origine. Le terme allemand « Migrationshintergrund » (littéralement background migratoire) pose le même problème. L’anthropologie s’intéresse de facto dès l’émergence de la discipline aux migrations, notamment dans l’étude de sociétés pastorales (en focalisant les déplacements des éleveurs et de leurs troupeaux) ou dans l’analyse des processus d’urbanisation (suite à la migration du monde rural vers les villes). En revanche, l’anthropologie des migrations et de la transnationalisation n’émergent que dans les années 1990 en tant que champ portant explicitement ce nom – d’abord dans le monde anglophone (Glick Schiller N., Basch L. et C. Blanc Szanton 1992, Hannerz U. 1996), et ensuite dans le monde francophone (Raulin A., D. Cuche et L. Kuczynski 2009 Revue Européenne des Migrations internationales, 2009, no. 25, vol. 3), germanophone (Pries L. 1996), italophone (Riccio 2014), hispanophone, lusophone etc.. La traite des esclaves et les déportations de millions de personnes d’Afrique Sub-Saharienne vers l’Europe et les Amériques, qui ont commencé au 17e siècle et duré jusqu’en 1920, ont été étudiées dans le cadre de l’anthropologie marxiste (Meillassoux 1986) puis par des historiens comme Olivier Pétré-Grenouilleau (2004) ou encore par Tidiane N’Diaye (2008), ce dernier ayant mis l’accent sur la longue et intense implication de commerçants arabes dans la traite négrière. La violente « mission civilisatrice » ou campagne de conquête coloniale a très souvent été accompagnée d’une mission de conversion au christianisme, ce qui a fait l’objet de publications en anthropologie depuis une trentaine d’années sous l’impulsion de Jean et John Comaroff (1991) aux Etats-Unis, et plus récemment en France (Prudhomme 2005). Selon les contextes régionaux, l’une ou l’autre forme de migration a été étudiée de manière prépondérante. En Chine, les migrations internes, notamment du monde rural vers les villes, concernent presque autant de personnes dans l’absolu (229,8 millions en 2009 selon l’Organisation internationale du Travail) que les migrant-e-s transnationaux dans le monde entier (243,7 millions en 2015 selon les Nations Unies/UN International Migration Report). Le pourcentage de ces derniers par rapport à la population mondiale s’élève à environ trois pour cent, ce qui semble en décalage avec la forte attention médiatique accordée aux migrant-e-s transnationaux en général et aux réfugiés en particulier. En effet, la très grande majorité des déplacé-e-s dans le monde reste à l’intérieur des frontières d’un État-nation (Withol de Wenden C., Benoît-Guyod M. 2016), faute de moyens financiers, logistiques ou juridiques (passeport, visa). La majorité des réfugiés politiques ou climatiques reste à l’intérieur des frontières nationales ou dans un des pays voisins. Ainsi, selon l’UNHCR/ l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés, sur les 65,3 millions de personnes déplacées de force, 40,8 millions étaient des déplacé-e-s internes et seulement 3,2 millions des demandeur-e-s d’asile en 2015. L’urbanisation croissante qui s’opère dans le monde suscite une augmentation de la migration de travail, notamment en Chine. Dans cet État, le système d’enregistrement et d’état-civil (hukou) limite l’accès aux services sociaux (santé, école, etc.) à la commune de naissance : un changement de résidence est soumis à des conditions restrictives, ce qui engendre une perte de droits élémentaires pour des dizaines de millions de migrants ruraux ne possédant pas de permis de résidence (Jijiao 2013). En France, jusqu’au tournant culturel (qui marque une bifurcation de la focale de la recherche vers les appartenances culturelles et religieuses des personnes étudiées) dans les années 1990, les sciences sociales des migrations, notamment la sociologie des migrations, ont surtout étudié les conditions et rapports de travail, les inégalités sociales ou encore la politique du logement et les inégalités spatiales (Salzbrunn 2015), conduisant ainsi à une très forte focalisation sur les rapports de classe et sur les conditions de vie des immigré-e-s des anciennes colonies. La migration des personnes hautement qualifiées n’a en revanche été que peu étudiée. Après la chute du mur de Berlin, les « appartenances multiples » (concept central de l’ouvrage de Yuval-Davis, Viethen et Kannabiran 2006), notamment religieuses (Capone 2010), ont été privilégiées comme objet de recherche. Cette tendance, accompagnée par un climat politique de plus en plus xénophobe dans certains pays européens, a parfois pointé vers une « ethnicisation » de la religion (Tersigni, Vincent et Willems, à paraître). Le glissement de perception d’une population de la catégorie des « travailleurs immigrés » ou « Gastarbeiter » (littéralement « travailleurs invités ») vers celle de « musulmans » s’inscrit dans un processus d’altérisation, sous-entendant dans les deux cas qu’il s’agit d’un groupe homogène marqué par les mêmes caractéristiques, et ignorant de ce fait la « diversité au sein de la diversité » (Vertovec 2010), notamment les différences en termes de niveau de formation, de genre, d’âge, de statut juridique, de préférence sexuelle, du rapport aux discours et pratiques religieux etc. Beaucoup d’études se sont ainsi focalisées sur des groupes fondés sur le critère d’une nationalité ou d’une citoyenneté commune, ce qui a été critiqué comme relevant d’un « nationalisme méthodologique » (Glick Schiller et Caglar 2011). Même le nouveau champ de recherches consacré aux espaces sociaux transnationaux (Basch, Glick Schiller et Szanton Blanc 1992 ; Salzbrunn 2016) a parfois été (auto-)critiqué pour la reproduction des frontières nationales à travers une optique transnationale. Ont alors émergé des réflexions sur une relocalisation de la migration (Glick Schiller et Caglar 2011) et sur l’enracinement spatial de la migration dans des espaces sociaux translocaux (Salzbrunn 2011). Bien que la moitié de la population migratoire soit féminine, les aspects de genre n’ont été étudiés que très tardivement (Morokvasic-Müller 1984), d’abord dans un contexte de regroupement ou de liens familiaux maintenus pendant la migration (Delcroix 2001 ; Kofman 2004 ; Kofman et Raghuram 2014), puis dans celui des approches féministes du développement (Verschuur et Reysoo 2005), de la migration du travail et des frontières genrées (Nouvelles Questions Féministes 26, 2007). En effet, les dynamiques internationales dans la division du travail engendrent une chaîne globale des soins (« global care chain ») qui repose essentiellement sur les femmes, que ce soit dans le domaine médical, de la pédiatrie ou des soins aux personnes âgées. La réflexion sur la division internationale du travail reproductif a été entreprise par Rhacel Parrenas (2000) et développée par Arlie Hochschild (2000). On peut obtenir une vue d’ensemble des projets européens consacrés au genre et à la migration, voir les résultats du projet européen GEMMA. Enhancing Evidence Based Policy-Making in Gender and Migration : http://gemmaproject.seminabit.com/whatis.aspx En anthropologie politique, l’évolution de systèmes politiques sous l’impact d’une migration de retour, a été étudiée dans un contexte postcolonial (von Weichs 2013). De manière générale, les réflexions menées dans un contexte études postcoloniales de ce type n’ont été entreprises que tardivement en France, et ce souvent dans une optique très critique, voire hostile à ces débats (L’Homme 156, 2000). Parmi les autres sujets traités actuellement en anthropologie des migrations se trouvent les inégalités sociales et spatiales, les dynamiques religieuses transnationales (Argyriadis et al. 2012), les réfugiés et leurs moyens d’expressions politiques et artistiques (Salzbrunn 2014) ou musicales (Civilisations 67, 2018 ; Salzbrunn, Souiah et Mastrangelo 2015). Enfin, le développement conceptuel du phénomène de transnationalisation ou des espaces sociaux translocaux, voire le retour à la « localisation de la migration » (titre de l’ouvrage de Glick Schiller et Caglar 2011) sont des réponses constructives à la question : Comment étudier les migrations dans des sociétés super-diverses (Vertovec 2011) sans réifier leurs appartenances ?
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Dabadie, Isabelle, and Philippe Robert-Demontrond. "Ce qu’être propriétaire peut aussi vouloir dire : une étude socio-anthropologique sur le développement d’un rapport oublié aux objets." Recherche et Applications en Marketing (French Edition), March 22, 2021, 076737012199415. http://dx.doi.org/10.1177/0767370121994151.

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Abstract:
En réponse à la crise écologique, de nouveaux modèles socio-économiques se sont développés sur le principe du remplacement de la propriété par l’usage. Leur étude a donné lieu à de nombreux travaux en marketing. La propriété individuelle, supposée connue et dont il s’agit de sortir, y est cependant peu questionnée. C’est l’objectif de cette recherche, qui interroge les significations accordées par les consommateurs au concept de propriété. Grâce à un protocole d’investigation socio-anthropologique et une ethnographie sur des terrains de recherche originaux relevant de pratiques collaboratives autour d’objets variés (logements, bateaux, vêtements), nos résultats révèlent le développement d’un rapport à la propriété en rupture avec le paradigme social dominant. Dans ce paradigme alternatif, remettant en question l’individualisme possessif, le propriétaire apparaît comme un « passeur » d’objets. L’identification de ses attentes ouvre des perspectives managériales et sociétales immédiates pour la construction de nouvelles offres lui permettant de tenir ce rôle.
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Dissertations / Theses on the topic "Logement – Anthropologie"

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Bouillon, Florence. "Les mondes du squat : anthropologie d'un habitat précaire /." Paris : Presses universitaires de France : ["Le Monde"], 2009. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41444849n.

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Min, You-Ki. "La réforme de l'habitat populaire dans la région parisienne, 1870-1914 : anthropologie historique des logements sociaux." Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0130.

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Abstract:
Cette thèse analyse, sous l'angle de l'anthropologie historique, tous les éléments composant la réforme de l'habitat populaire de 1870 à 1914 : l'état de l'habitat populaire, les comportements déterminés par l'habitat, les fondements législatifs et administratifs des politiques du logement social, les origines des sociétés d'H. B. M. Et leurs constructions, les établissements publics et les associations qui soutiennent cette réforme, les discours bourgeois l'orientant, les positions socialistes sur cette politique, le rôle de l'Etat et l'initiative privée dans la réforme, les normes et les règles réclamées pour l'habitat social, l'organisation de l'espace dans les H. B. M. La réforme de l'habitat populaire, conservatrice et progressiste à la fois, est le résultat des stratégies socioculturelles de l'intégration et de la ségrégation sociale, qui, autour des espaces domestiques, ont abouti à la mise en oeuvre d'une technique douce de contrôle et de gouvernement de la société de masse
In a perspective of historical anthropology this thesis analyse the whole factors formning the popular housing reform from 1870 to 1914 : the condition of the popular housing, the conducts determined by the housing, the legislative and administrative foundations of the social housing, the origins of the HBM societies and their constructions, public establishments and the associations which supported this reform, the speech of the bourgeoisie class which is directed to this reform, the positions of the socialists regarding their politics, the question of the state's function and the private initiative in the reform, the norms and the rules reclaimed for the social housing, the organisation of the space in the H. B. M. Being at once conservative and progressive, the popular housing reform is the result of sociocultural strategies for the social integration and segregation which arrived to make practice with the harmonious technique in control of the mass society, around the domestic spaces
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Bouillon, Florence. "Les mondes des squats : Productions d'un habitat illégal et compétences des citadins disqualifiés : le terrain marseillais." Paris, EHESS, 2007. http://www.theses.fr/2007EHES0270.

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Abstract:
Ce travail prend pour point de départ l'énigme que constitue l'existence d'occupations illégales de logements vides (les squats) dans les villes occidentales. L'étude de la prise en charge des squaters révèle une profonde ambivalence de l'action publique, tiraillée entre accompagnement social et répresion. Le squat émerge alors comme un analyseur fécond des processus de criminalisation de l'indigence et des limites du droit au logement. Mais l'enquête ethnographique effectuée à Marseille amène également à penser le squat comme un dispositif hospitalier, à la fois ressource pour la mobilité, pour l'intimité et pour la citadinité. Un troisième temps de l'analyse interroge la manière dont peuvent être articulés ces deux niveaux de réalité, et propose pour ce faire la notion de "compétence précaire". Cette thèse soutient "in fine" l'idée d'une nécessaire combinaison, dans l'analyse des "marginalités", des processus de domination et des dynamiques de résistance et de créativité
The thesis addresses the paradox of illegal forms of housing : squatting, in cities of the Western world. It starts with the analysis of public policies aimed at squatters, that are constantly hesistating between a welfare approach and plain repression. Squatting therefore emerges as a significant object in the study of the criminalization of poverty, as well as of the lilmits of the "right to housing". Yet, ethnographic study in Marseille shows that squatting can also be understood as a form of hospitality, offering a resource for mobility, privacy and urbanity ("citadinity"). The third part of the thesis attempts and reconcile these two leveles of reality, and proposes the notion of fragile ability. The thesis eventually calls for a necessarily combined attention to both domination processes, and resistance dynamics and creativity, when it comes to the analysis of marginalized worlds
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Watin, Michel. "Approche anthropologique de l'espace domestique à La Réunion." Phd thesis, Université de la Réunion, 1991. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00511256.

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Abstract:
La maison et son environnement immédiat sont des éléments de l'espace social élaborés en référence à des modèles culturels. A la Réunion, l'agencement des espaces domestiques traditionnels présente de nombreuses constantes. On peut conclure à une référence culturelle commune à toutes les strates sociales et à la majorité des groupes ethniques présents dans l'île. L'espace domestique traditionnel est une réinterpretation du modèle de l'emplacement élaboré par la société de plantation. Il traduit, dans sa forme actuelle, les injonctions qu'une société d'inter connaissance peut faire peser sur ses membres. L'espace domestique traditionnel s'organise en un continuum qui va de la modeste case à la riche maison. Les développements récents de l'habitat font apparaître des variations importantes : la villa traduit spatialement un affaiblissement des liens communautaires, un processus d'individuation et de repli domestique autour de la famille conjugale , elle sert de modèle à l'habitat social, destiné au relogement des populations défavorisées. Le modèle spatial traditionnel est actif : les transformations observées dans la villa et l'habitat social vont dans le sens des dispositions spatiales caractéristiques du continuum. Inversement, des apports exogènes sont intégrés dans l'espace domestique et se retrouvent sur, tout le continuum. Mais l'engouement pour le modèle de la villa peut être aussi l'indice d'une réorganisation de la société réunionnaise avec l'émergence d'une classe moyenne qui, dépositaire de nouvelles normes de sociabilité, les imposent, par le biais de l'habitat social, à des populations qui n'en possèdent par toujours le mode d'emploi.
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Arrif, Abdelmajid. "Le passage précaire : du bidonville au lotissement, anthropologie appliquée d'une mutation présidentielle : le cas de Hay Moulay Rachid à Casablanca." Aix-Marseille 1, 1991. http://www.theses.fr/1992AIX10020.

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Abstract:
Notre recherche a eu pour objet d'etude l'analyse d'une operation de relogement concernant les habitats du bidonville de ben m'sik a casablanca. L'analyse de cette mutation residentielle s'inscrit dans une problematique generale de "delocalisation" qui observe et interroge les pratiques et le sens des diverses ruptures et reamenagements socio-spatiaux et transformations a l'echelle micro sociale et en articulant trois ordres de realite: la territorialite, le lien social et l'ethos. Nous avons porte sur cette operation de relogement un regard de type ethnologique qui privilegie la vision emique du changement - a l'echelle d'une unite residentielle- afin d'en relever la logique et la dynamique propre; et les confronter aux reformations exogenes inherentes a l'intervention institutionnelle et a ses idealites socio-politiques etarchitecturales et urbanistiques.
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Filiod, Jean Paul. "L'univers domestique au singulier-pluriel : contribution à une ethnographie de l'habiter." Lyon 2, 1995. http://www.theses.fr/1995LYO20039.

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Abstract:
A partir d'une approche ethnographique et phénoménologique, cette thèse s'attache à mettre en valeur l'univers domestique, envisagé du point de vue de la dimension biographique des objets et de la dimension sensorielle et sensualisée de l'intimité. Après une discussion méthodologique centrée sur les apports originaux de l'ethnologie pour l'étude de nos sociétés et l'attitude réflexive du chercheur dans une situation d'enquête fondée sur l'intersubjectivité, une deuxième partie restitue de manière exhaustive les résultats observés, en combinant la description matérielle, le témoignage, l'argumentation et l'analyse. Ces résultats d'enquête sont ensuite inscrits dans une perspective anthropologique qui compose la troisième partie, à la lumière de nombreuses enquêtes et études. Dans un premier chapitre est interrogée la notion de désordre, dont l'analyse fait apparaitre qu'il peut être compris comme un ordre singulier de la mémoire biographique. Cette dimension biographique est le point de départ d'un second chapitre dans lequel elle apparait comme temporalité fondamentale de l'univers domestique, qui constitue alors un condense de la biographie des résidents. L'analyse montre ensuite comment cette dimension biographique ne peut prendre signification que si elle est rattachée, dans la réalité vécue comme dans l'imaginaire, à d'autres temporalités (famille et générations, histoire, antiquité, éternités. . . )
Based on an ethnographical and phenomenological approach, this thesis attempts to focus on the domestic realm by looking at the biographical dimension of objects and the sensorial and sensual aspects of intimacy. The first part consists of a methodological discussion on the contribution of ethnology to the study of western societies, and the researcher's reflexive attitude during a survey based on intersubjectivity. The second part presents the results in an exhaustive manner by combining physical description, statements, argumentation and analysis. In the third and final part, the results of the study are examined from an anthropological viewpoint, by referring to several other similar studies and surveys. The first chapter deals with the concept of disorder, the analysis of which reveals that it can be understood as a singular order of biographical memory. This biographical dimension is the starting point for the second chapter where it is established as a fundamental temporality of the domestic realm, which is then providing a condensed version of the biography of the residents. The analysis then demonstrates how this biographical dimension has no significance unless it is interlinked with other temporalities (family and generations, history, antiquity, eternity, etc. ) Both in real life and imagination
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Guinard, Laurent. "Essai d'analyse anthropologique comparative de trois territoires urbains : (la cité F. Schneider à Paris, la cité des Fouilleuses à Rueil-Malmaison, le quartier de Cergy-Saint-Christophe)." Paris 5, 1991. http://www.theses.fr/1991PA05H077.

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Abstract:
A partir de 3 enquêtes de terrain effectuées dans le cadre de commandes officielles de 1986 à 1989, nous avons réalisé un travail comparatif selon les approches suivantes : urbanistique, sociologique et anthropologique de 3 "quartiers-cites" localises en région parisienne. Il s'agit de la cite F. Schneider (360 logements, 730 habitants), de la cite des fouilleuses (900 logements, 2640 habitants) et du quartier de Cergy-st-Christophe (12 000 habitants et 5000 logements vers 1986). A chaque fois, nous avons tenté d'identifier ce qui était spécifique et ce qui était commun à nos ensembles respectifs. Les éléments spécifiques (architecture, équipements, aspect conjoncturel) restent mineures au regard des traits communs observes : isolement social, désœuvrement de jeunes, racisme, vandalisme et pauvreté. Ces termes ne doivent pas occulter de la complexité sociale observée sur place. En effet, fixer une image univoque pour chaque quartier et même chaque habitant rencontre serait une simplification grossière. Ce travail de terrain nous a ainsi amené à nous interroger sur la pertinence de notions utilisées aujourd'hui : "ethnie", "identité" se révèlent fort peu opérant pour caractériser la situation sociale en France. L’anthropologie permet le décryptage de ces notions
Based on three investigations "on ground", in framework of offices orders, between 1986 and 1989, a comparative work has been done with the followings dimensions : town-planning, sociological and anthropological. It concerns the social block "f. Schneider" (360 flats, 730 residents), "les fouilleuses" (900 flats, 2640 residents) and a district of Cergy-Pontoise : "Cergy-St-Christophe" (5 000 flats and houses, 12 000 residents in 1986). Every time, we have tried to identify what was specific and what was common at each respective unity. The specifics elements (architecture, urbans equipements, locals circumstances) have a light determination on social life, opposite to the observed common patterns : poverty, racism, social loneliness, idleness of young people. . . . These terms must not mask social complexity observed in each locality. As a matter of fact to determine an univocal image would be a glaring blunder simplification. This work "on ground" obliged us to interrogate about judiciousness of some terms used today as "ethnic group", "ghetto", "identity". . . The seem a bad application to explain social situation of France. Anthropology allows a good deciphering of these notions
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Graeff, Lucas. "De la survie à la reconnaissance : ethnologie de personnes "sans logis" à Paris." Paris 5, 2010. http://www.theses.fr/2010PA05H003.

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Abstract:
À partir d'une enquête ethnographique, effectuée de mai 2006 à avril 2008 à Paris, cinquantaine-et-une personnes « sans logis » sont étudiées. Sont considérés comme « sans logis » les personnes ne disposant pas des conditions sociales, économiques ou personnelles requises pour accéder à un logement et qui, de ce fait, dorment "dehors", dans une tente, sous un pont, ou dans une habitation construite avec des matériels trouvés dans la ville. En utilisant la méthode ethnographique – observation participante de longue durée, tenue minutieuse d'un carnet de terrain relatant les observations quotidiennes – l’auteur apprend par l’expérience corporelle, « par corps », les difficultés quotidiennes concernant l'hygiène et l'occupation de lieux publics, mais surtout les efforts réalisés pour se soustraire aux sentiments de honte et de « mépris social » et accéder à des formes de reconnaissance marquées par davantage de fierté et d'estime sociale. Contre le « mépris social », les personnes étudiées luttent comme elles peuvent : certaines s'installent dans des « coins » ou aux marges de la ville afin de se rendre peu visibles ; d'autres s'efforcent d'effacer toutes traces de précarité sur leurs corps ; d'autres encore rejoignent la manifestation des Enfants de Don Quichotte de l'hiver 2006 à Paris. Dans ces parcours, allant de la survie à la reconnaissance, les personnes donnent à voir et penser les logiques de domination à la fois morales, corporelles et cognitives qui caractérisent leur statut social
Through an ethnographic investigation, made in May 2006, fifty one cases of “homeless” people were studied. “Homeless” people are considered as people with no social, economic and personal conditions that allow them to have housing and as a result, they sleep “outside”, in a tent, under a bridge or in a house made with materials from the city. Using the ethnographic method - long duration of active observation, careful and discreet holding of a notebook to mention the daily observations, the author learns by physical experience, “by body”, the daily difficulties regarding the hygiene, the occupation of public places, and especially the efforts made to encounter the feelings of shame and “social contempt”, and to have access to some forms of recognition marked by the pride and the social esteem. Those people fight against the “social contempt” in different ways: some of them settle down in “corners” or in the margins of the city to be less visible, others try to erase all forms of precariousness on their bodies, and others join the manifestation of “Enfants de Don Quichotte” in fall 2006 in Paris. During these paths, going from survival to recognition, the people make us see and think about the logics of domination which are at the same time moral, physical, and cognitive and which characterize their social status
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Cerise, Emmanuel. "Fabrication de la ville de Hanoi entre planification et pratiques habitantes : conception, production et réception des formes bâties." Paris 8, 2009. http://www.theses.fr/2009PA083067.

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Abstract:
Ma recherche porte sur les formes architecturales et urbaines du logement à Hanoi et questionne le rapport entre leur production et leur réception par la population. En décrivant les modes de production et de réception des formes spatiales du logement, il s'agit de mettre à jour certaines porosités entre ces deux processus a priori distincts. Les formes bâties sont toujours questionnées dans un rapport dialectique, entre les formes planifiées et les formes issues des pratiques habitantes et entre la production et la réception du logement, dans un aller-retour entre l'échelle de l'édifice et l'échelle de la ville. Ce travail est organisé en deux parties. La première est consacrée à la compréhension des logiques de production et de planification de l'espace architectural et urbain. Il s'agit ainsi d'une analyse des projets de ville (Plan d'alignement – 1890, plan directeur – 1924, plan d'aménagement et d'extension – 1942, plan général – 1960, 1981, schéma directeur – 1992, 1998) et, dans une vision chronologique, de pointer l'apparition des différents types d'habitat. La seconde partie analyse la réception des formes d'habitat que sont les maisons villageoises, les compartiments, les villas, les villas-compartiments et les appartements. Ce travail démontre le rôle structurel des modifications apportées par les habitants dans la fabrication et la transformation de l'habitat et de la ville. Par leurs modes de vie et les appropriations de l'habitat et de l'espace urbain, les habitants participent autant à les moderniser qu'à entretenir une perméabilité entre les sphères urbaine et rurale. Finalement, cette recherche s'emploie à démontrer comment les habitants, en intervenant sur leur logement et en l'adaptant à leurs besoins à partir de cette unité de base, se sont invités dans la fabrication de la ville elle-même, à l'instar de la planification élaborée sous l'égide des autorités compétentes
My research questions the architectural and urban forms of the dwelling in Hanoi in the relationship between their production and their reception by the population. By describing the modes of production and reception of the spatial forms of the dwelling, it is a question of showing certain permeabilities between these two a priori different processes. The built forms are always questioned in a dialectical relationship between those planned and those existing because of inhabitant's practices, between the production and the reception, in a continual comparative between the scale of the building and the scale of the city. This work is organized in two parts. The first one is dedicated to the understanding of the logics of production and planning of the architectural and urban space. It is an analysis of the city projects (Plan d'alignement - on 1890, plan directeur - on 1924, plan d'aménagement et d'extension - on 1942, general plan - on 1960, 1981, master plan - on 1992, 1998); and in a chronological vision, to emphasize the appearance of the various types of housing. The second part analyzes the reception of the forms of housing that are the rustic houses, the shop-houses, the villas, the villas/shop-houses and the apartments. With this work, I show the structural role of the modifications brought by the inhabitants in the manufacturing and the transformation of the housing environment and the city. By their lifestyles and the appropriations of the housing environment and the urban space, they participate as much in modernization of those as to maintain permeability between the urban and rural spheres. Finally, this research was used to show how the inhabitants, by transforming their housing and by adapting it to their needs from this basic unit, invited themselves in the construction of the city, following the planning elaborated under the proper authorities
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Truchon, Karoline. "L'exigence de visibilité par l'image dans les sociétés contemporaines : le cas d'un complexe d'habitations sociales à Montréal." Thesis, Université Laval, 2014. http://www.theses.ulaval.ca/2014/30151/30151.pdf.

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Abstract:
Cette thèse porte sur l’exigence de visibilité par l’image dans les sociétés contemporaines et sur les manières dont des populations dites marginalisées de ces sociétés vivent cette exigence. Dans un premier temps, elle explique de manière théorique et avec des exemples provenant des États-Unis, de la France et du Québec ce qu’est l’exigence de visibilité par l’image. Dans un deuxième temps, elle analyse une réponse à cette exigence à partir d’un complexe d’habitations sociales à Montréal. Plus précisément, cette réponse à l’exigence de visibilité par l’image a consisté en la mise en place d’une infrastructure de visibilisation développée en partenariat avec des résidents des Habitations Boyce-Viau et des experts travaillant avec eux, incluant les intervenants du Centre des jeunes Boyce-Viau (CJBV), mon principal partenaire de recherche. L’objectif de cette infrastructure de visibilisation était de mettre en circulation d’autres images que celles de misérabilisme et d’assistancialisme fréquemment véhiculées dans les espaces médiatique, politique, social et académique, tout en mettant en valeur les participants de l’infrastructure. L’infrastructure de visibilisation comportait quatre volets. Le premier volet misait sur l’expression des participants par la réalisation de plus de 80 films autobiographiques avec le digital storytelling, une méthode de recherche inédite et originale en anthropologie. Le deuxième volet visait à favoriser la reconnaissance individuelle et collective de ces expressions de « sois » et de « nous » par la tenue de trois éditions du Festival des arts de Boyce-Viau (FABV) dans la cour intérieure des Habitations Boyce-Viau. Le troisième volet souhaitait accentuer et créer des liens entre les résidents des Habitations Boyce-Viau et divers experts influençant leur quotidien et leur perception d’eux-mêmes, dont l’anthropologue. Le quatrième et dernier volet consistait à réaliser et à diffuser des outils de communication ainsi qu’à entreprendre des campagnes de relations médias et de lobbying politique afin d’accroître le potentiel de reconnaissance des participants de cette infrastructure de visibilisation. En résumé, cette thèse développe de manière théorique et empirique une proposition d’épistémologie de l’être ensemble par la visibilisation. Elle montre les liens entre ce qui semble visible et ce qui semble invisible et explique que la visibilité est le résultat de mécanismes de visibilisation. Finalement, cette thèse s’inscrit au sein d’une approche qui se veut à la fois phénoménologique et humaniste par le biais d’une recherche-action critique, réflexive et théorisée au sein de laquelle l’anthropologue est autant partie prenante que donnante.
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Books on the topic "Logement – Anthropologie"

1

Anne, Monjaret, and Taponier Sophie, eds. Quand les Français déménagent: Circulation des objets domestiques et rituels de mobilité dans la vie quotidienne en France. Paris: Presses universitaires de France, 1998.

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2

Donna, Birdwell-Pheasant, and Lawrence-Zúñiga Denise, eds. House life: Space, place, and family in Europe. Oxford: Berg, 1999.

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3

Segregation: A global history of divided cities. Chicago, Il, United States of America: The University of Chicago Press, 2012.

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4

David, Alcock, Roderick Anna, Iles John, and Joseph Rowntree Foundation, eds. Approaches to community governance: Models for mixed tenure communities. Bristol: Policy Press, 2002.

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5

(Editor), Donna Birdwell-Pheasant, and Denise Lawrence-Zuniga (Editor), eds. House Life: Space, Place and Family in Europe. Berg Publishers, 1999.

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Beyond Segregation: Multiracial And Multiethnic Neighborhoods In The United States (Critical Perspectives on the Past). Temple University Press, 2005.

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7

Beyond Segregation: Multiracial And Multiethnic Neighborhoods In The United States. Temple University Press, 2005.

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8

Jindra, Michael, Ines W. Jindra, and Sarah DeGenero. Contrasts in Religion, Community, and Structure at Three Homeless Shelters: Changing Lives. Taylor & Francis Group, 2021.

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Jindra, Michael, Ines W. Jindra, and Sarah DeGenero. Contrasts in Religion, Community, and Structure at Three Homeless Shelters: Changing Lives. Taylor & Francis Group, 2021.

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Jindra, Michael, Ines W. Jindra, and Sarah DeGenero. Contrasts in Religion, Community, and Structure at Three Homeless Shelters: Changing Lives. Taylor & Francis Group, 2021.

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