Academic literature on the topic 'Loase, épidémiologie'

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Dissertations / Theses on the topic "Loase, épidémiologie"

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Noireau, François. "Épidémiologie des filarioses à Loa loa et Mansonella perstans dans le massif du Chaillu congolais." Lille 1, 1990. http://www.theses.fr/1990LIL12017.

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Abstract:
Des études sur Loa loa, Mansonella perstans et leurs vecteurs ont été menées dans le massif du Chaillu. Les microfilaires de L. Loa sont détectées plus fréquemment chez les Bantous que chez les Pygmées (18. 9% contre 10. 6%), alors que les densités microfilariennes médianes sont identiques dans les deux ggroupes ethniques. Les observations cliniques confirment la pathogénicité non négligeable de la loase (prurit, lésions dermatologiques, oedème de Calabar) et affirment son impact important en santé publique. La migration sous-conjonctivale d'un ver adulte peut être utilisées comme indicateur de prévalence de la maladie. Le cumul des sujets microfilarémiques et de ceux qui, bien que sans microfilaires, sont infectés (oedème de Calaber et/ou ver oculaire) ne permet d'envisager l'absence de loase (ou son absence d'expression) que chez une très faible fraction de la population, que l'on estime à 10%. Deux espèces de Chrysops sont récoltées, au niveau du sol et dans la canopée : Chrysops silacea et C. Dimidiata. Les densités vectorielles sont considérables, pouvant excéder 20 tabanides par homme et par heure dans certains sites forestiers. C. Silacea pénètre les zones de savane alors que C. Dimidiata reste inféodé à la forêt. L'homme constitue l'hôte nourricier préférentiel (90% des repas de sang) de C. Silacea et C. Dimidiata. Les Chrysops ne se rencontrent qu'en saison pluvieuse, de septembre à juin. Dans un même site de capture, les taux d'infestation par L. Loa, ainsi que les charges filariennes, sont similaires chez les deux vecteurs. Les taux d'infestation varient de 2 à 5. 5% et sont d'autant plus élevés que l'on s'éloigne des sites d'émergence et qu'il existe un réservoir humain à proximité
En zone de forêt, un homme reçoit de3. 500 à 4. 000 piqûres par an, les deux-tiers étant dues à C. Silacea. Le taux mensuel d'agressivité infectieuse varie entre0. 5 à 5. 5 piqûres infectantes par individu selon le mois de transmission. Celle-ci ne s'opère que durant la saison des pluies. Le potentiel annuel de transmission est compris entre 200 et 300 larves infectantes par homme selon l'année. La transmission est également assurée au niveau des villages. Le pourcentage d'infection de la population ne dépend pas uniquement du contact homme-Chrysops, mais reflète également la sommation des capacités de réponse des individus au parasite. Introduite depuis peu dans la thérapeutique de la loase, l'ivermectine permet une réduction élevée de la microfilarémie (80%). Sa bonne tolérance clinique et sa facilité d'administration permettent d'envisager son utiliation à grande échelle. Dès à présent, cette molécule savère intéressante comme traitement préliminaire à l'administration de diéthylcarbamazine. L'interception des Chrysops, illusoire en forêt, pourrait être assurée par le piégeage dans les villages. Le modèle de piège performant reste cependant à créer. Le taux de prévalence des porteurs de microfilaires de M. Perstans, et la charge microfilarienne médiane, sont plus élevés chez les Pygmées (67. 5% ; 650 mf ml-1) que chez les Bantous (22. 0% ; 100 mf ml-1). Un contact plus étroit des Pygmées avec les Culicoides favorise leur infection plus précoce et plus intense. Culicoides grahamii est le vecteur principal de M. Persatns et son taux d'infestation est inférieur à 1%. C. Kumbaensis pourraient jouer un rôle secondaire dans la transmission
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Kamgno, Joseph. "Etudes sur l' impact de l' onchocercose, l' effet macrofilaricide de l' ivermectine et les difficultés liées à la co-endémie avec la loase." Paris 6, 2005. http://www.theses.fr/2005PA066420.

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Pion, Sébastien. "Contribution à la modélisation des filarioses à "Onchocerca volvulus" et à "Loa loa" en Afrique centrale." Paris 12, 2004. https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,990002140040204611&vid=upec.

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Abstract:
L'onchocercose, parasitose provoquée par la filaire Onchocerca volvulus, est transmise par des diptères se reproduisant dans les cours d'eau rapides, les simulies. Elle constitue un problème de santé publique majeur en Afrique, où 18 millions de personnes sont infectées. La cécité, principale complication de la maladie, touche environ 300. 000 individus. Depuis les années 1990, la lutte contre l'onchocercose repose sur le traitement de masse annuel des populations par un médicament actif sur les embryons du parasite, l'ivermectine. L'impact des traitements ne peut être évalué que si l'on connaît bien la structure de population et la dynamique de transmission du parasite. Nos travaux ont permis de documenter ces points, ainsi que de préciser le poids démographique de l'onchocercose dans un foyer du centre Cameroun. Ceci devrait participer à la mise au point de modèles mathématiques prédisant l'effet à long terme des activités de lutte. Par ailleurs, les sujets parasités par une autre filaire, Loa Joa, étant à risque de développer une encéphalopathie après la prise d'ivermectine, nous avons également analysé la dynamique de transmission de ce parasite
Onchocerciasis, a parasitic disease caused by infection with the filaria Onchocerca volvulus, s transmitted by simuliid black flies that breed in fast-flowing streams. Onchocerciasis constitutes a major public health problem in Africa, where 18 million people are nfected Blindness, the most severe complication of the disease, affects 300. 000 individuals. Since the 1990's, onchocerciasis control is based upon annual large scale treatment of the populations by a drug which kills the embryonic stages of the parasite, ivermectin. A good knowledge of both the population structure and the transmission dynamics are necessary when one wants to assess the impact of the treatments. Our researches allow us to document these issues and aso the demographic burden of onchocerciasis in a focus of central Cameroon our results should contribute to adjust mathematical models developed to predict the ong term effects of control activities. In other respects. Patients infected with an other filarial species, Loa Joa, being at risk to develop adverse reactions, such encephalopathy, following ivermectin intake, we also analysed the transmission dynamics of this parasite
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Chesnais, Cédric. "Recherches épidémiologiques appliquées à la lutte contre les filarioses en Afrique centrale." Thesis, Montpellier 1, 2014. http://www.theses.fr/2014MON1T016/document.

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Abstract:
Le Programme africain de lutte contre l'onchocercose (APOC) et le Programme mondial d'élimination de la filariose lymphatique (GPELF), basés respectivement sur des traitements de masse par ivermectine et par une combinaison d'ivermectine et d'albendazole, sont des succès indéniables. Cependant, en Afrique centrale, région endémique pour la loase, les opérations de lutte sont fortement entravées du fait de la survenue possible d'effets secondaires graves induits par l'ivermectine chez les individus présentant plus de 30.000 microfilaires de Loa loa par mL de sang. Les résultats remarquables de l'APOC ont conduit récemment le programme à afficher un objectif plus ambitieux que celui défini initialement (l'élimination de la maladie comme problème de santé publique) : celui d'une élimination de la transmission. Les objectifs d'élimination d'APOC et du GPELF rendent nécessaires la réalisation d'une cartographie de la filariose lymphatique et de l'onchocercose hypoendémique en Afrique centrale, et imposent de développer des stratégies de lutte alternatives dans les zones coendémiques avec la loase. Nos travaux apportent des éléments nouveaux concernant l'épidémiologie de la filariose lymphatique en Afrique centrale. La distribution très focale de la maladie et les facteurs de risque particuliers que nous avons identifiés devraient être pris en compte pour déterminer l'échelle utilisée pour la réalisation de la cartographie. Par ailleurs, nous avons observé que le test ICT utilisé pour cartographier la filariose lymphatique pouvait se positiver en cas de forte microfilarémie à Loa loa (réaction croisée), ce qui va constituer un défi important pour les programmes de lutte. Nos travaux ont aussi permis de développer des stratégies alternatives permettant de lancer des programmes de lutte dans des zones de coendémie avec L. loa. Ainsi, nous avons participé au développement d'une technique permettant de dépister (et d'exclure des traitements de masse) les individus à risque d'effets secondaires graves post-ivermectine. D'autre part, nous avons montré que des traitements semestriels par albendazole seul pourraient constituer une alternative, applicable en zone de loase, au traitement standard de la filariose lymphatique. Concernant le diagnostic, nous avons montré l'intérêt qu'il y avait à lire les tests de diagnostic de la filariose lymphatique de manière semi-quantitative. Enfin, concernant la loase, nous avons étudié les relations existant, au niveau individuel, entre la microfilarémie à Loa et les antécédents d'œdème de Calabar et de passage sous-conjonctival du ver adulte
The African Program (APOC) and the (GPELF), relying on the mass drug administration of ivermectine or of a combination of ivermectin and albendazole, respectively, are undeniably successful. Nonetheless, in Central Africa where loiasis is endemic, control operations are hampered by the possible occurence of ivermectine-induced severe adverse events in individuals harbouring more than 30 000 microfilaria of Loa loa per mL whole blood. The outstanding results obtained by APOC have recently led the programme to adopt a more ambitious goal than originally defined (elimination of the disease as a public health concern) : eliminating transmission. The elimination objectives of APOC and of the GPELF arise the need for mapping lymphatic filariasis and hypoendemic onchocerciasis areas in Central Africa, and strenghten the need to develop control strategies for loiasis coendemic areas. Our researches bring new insight into the epidemiology of lymphatic filariasis in Central Africa. The highly focal distribution of the disease, and the risk factors that we identified should be accounted for when defining the scale used for mapping processes. Furthermore, we observed that the immunochromatographic card test (ICT) used for mapping lymphatic filariasis might display false positive result in case of high L. loa microfilarial density (cross reaction), which will constitute a challenge for control programmes. Our work also allowed to develop alternative strategies for launching control programmes in areas of coendemy with L. loa. We participated in the developement of a technique to test (and exclude from mass drug administration) the individuals at risk of post-ivermectin severe adverse events. Besides, we showed that a semiannual mass drug administration of albendazole alone was deemed to be a suitable alternative strategy to standard lymphatic filariasis treatment applicable in loiasis endemic areas. As for the diagnosis, we highlighted the interest of semi-quantitative reading of diagnostic tests for lymphatic filariasis. Eventually, we studied the relation between the microfilaremia of L. loa and the histories of Calabar oedema and of sub-conjonctival migration of the adult worm, at the individual level
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Drali, Rezak. "Poux humains : différenciation, distribution phylogéographique, host-switching et contrôle." Thesis, Aix-Marseille, 2014. http://www.theses.fr/2014AIXM5070/document.

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Abstract:
Le pou de tête et le pou de corps sont deux écotypes indiscernables occupant chacun une niche écologique différente. Le pou de corps représente une menace réelle pour l'Homme en raison de son rôle de vecteur dans la transmission de trois maladies graves pour l'Homme à savoir: le typhus épidémique, la fièvre des tranchées et la fièvre récurrente. Dans cette thèse, nous avons obtenu des résultats concrets dans chacune des thématiques abordées. En effet, nous avons (i) mis en place un outil moléculaire qui permet de différencier pour la première fois entre le pou de tête et le pou de corps qui a montré efficacité sur le terrain, (ii) mis en évidence l'existence d'un nouveau clade mitochondrial (Clade D) renfermant des poux de tête et des poux de corps susceptible de vectoriser Bartonella quintana et Yersinia pestis, (iii) retracé les migrations humaines à travers l'analyse de poux anciens provenant de différentes périodes et localisations, (iv) démontré pour la première fois que Pediculus mjobergi est génétiquement proche du pou humain et confirmé l'hypothèse qu'à l'origine Pediculus mjobergi était un pou humain qui a été transféré aux singes du Nouveau Monde par les premiers Hommes à avoir atteint le continent américain il y a des milliers d'années et (v) mis en place un outil de détection et de contrôle de la résistance moléculaire des poux à la perméthrine. Cet outil fut particulièrement utile dans l'étude clinique que nous avons menée pour déterminer si l'utilisation de sous-vêtements imprégnés d'insecticide offrait une protection efficace à long terme contre les poux de corps infestant les personnes sans-abri
Head louse (Pediculus humanus capitis) and body louse (Pediculus humanus humanus) are two indistinguishable ecotypes each occupying an ecological niche: hair for head louse and clothing for the body louse. Body louse represents a real threat to humans because of its role as vector for the transmission of three deleterious diseases namely epidemic typhus, trench fever and relapsing fever.In this thesis, we obtained concrete results that have led to scientific publications. Indeed, we (i) implemented a molecular tool to differentiate for the first time between head and body louse, (ii) we highlighted the existence of a fourth mitochondrial clade (Clade D) comprising head and body lice that can vectorize Bartonella quintana and Yersinia pestis, (iii) we traced human migration through the analysis of ancient lice from different periods and different area, (iv) we demonstrated for the first time that Pediculus mjobergi is genetically close to human louse and confirmed the hypothesis that initially Pediculus mjobergi was a human louse has been transferred to New World monkeys by the first humans who have reached the American continent thousands of years ago and (v) we have implemented a tool for detecting and monitoring the molecular resistance to permethrin of body lice that parasite sheltered homeless persons in Marseille. This tool was particularly useful in the clinical study we conducted to determine whether the use of long-lasting insecticide-treated underwear provides effective long-term protection against body lice in homeless persons
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