Academic literature on the topic 'Littérature engagée – Espagne – 20e siècle'

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Journal articles on the topic "Littérature engagée – Espagne – 20e siècle":

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Pujante González, Domingo. "Apertura: No hay palabras..." HYBRIDA, no. 5(12/2022) (December 27, 2022): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

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Abstract:
Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
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Wallace, David. "À propos du Chili et de l'évolution du roman. Entretien avec Roberto Gac." Sens public, June 4, 2015. http://dx.doi.org/10.7202/1052139ar.

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Abstract:
Dans le monde de la littérature, le Chili est reconnu surtout par ses poètes (Gabriela Mistral et Pablo Neruda, tous deux prix Nobel). Ses romanciers, en dehors de Roberto Bolaño, n'ont jamais atteint le même niveau de prestige. Il y a également une lignée d'écrivains d'avant-garde qui va de Vicente Huidobro dans les années 30 (son œuvre, à l'époque réputée en France et en Espagne, est en partie écrite en français), jusqu'à Jean Emar, Juan-Agustín Palazuelos et Mauricio Wacquez, pendant la deuxième moitié du 20e siècle. Dans cet entretien David Wallace, professeur de littérature à l'Université du Chili, donne, à travers ses questions, un aperçu de l'évolution de la narrative chilienne en particulier et de la narrative hispanique en générale, tout en laissant ouverte la question du roman comme genre littéraire face aux nouvelles technologies et à l'invention de l'écriture électronique.

Dissertations / Theses on the topic "Littérature engagée – Espagne – 20e siècle":

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Sainz-Pardo, Gonzalez Carlos. "Écriture et engagement dans les romans d’Andrés Sorel (1963-2013)." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018GREAL026/document.

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Abstract:
Romancier, essayiste, ancien secrétaire général de la Asociación Colegial de Escritores de España, Andrés Sorel (Ségovie, 1937) est surtout connu pour son activité de militant antifranquiste. Il a pourtant publié à ce jour quinze romans et un nombre considérable d'essais. Depuis les années soixante, toute son œuvre est écrite sous le signe de l’engagement, ce qui peut expliquer en partie une forme de mise à l'écart du marché éditorial. Cette thèse vise à analyser comment sa dissidence intellectuelle contre l’idéologie dominante se construit dans sa production romanesque. On tentera de définir les contours de l’engagement, que ce soit à travers son rôle d’intellectuel, dans ses aspects les plus controversés, ou à travers les caractéristiques de son écriture engagée, dans sa dimension textuelle et avant-textuelle. On analysera également comment les marqueurs de l’engagement se développent dans la construction du narrateur, de ses personnages et de la temporalité. En prêtant toujours une attention égale au contenu idéologique et à sa mise en forme, Sorel conçoit l’écriture comme un exercice de réhabilitation de la mémoire des vaincus, s'inscrivant ainsi – et d'une certaine façon inaugurant – le « roman de la mémoire » qui domine le panorama littéraire de l'Espagne de ces deux dernières décennies. Il s’agit donc d'analyser la tension dialectique qui se joue entre un récit fictionnel et des modalités qui empruntent au factuel, notamment à l'essai. À travers la pluralité des témoignages littéraires, les textes de Sorel cherchent ainsi à faire émerger les vérités cachées et à redonner une voix à ceux qui en ont été privés. On étudiera par quels dispositifs formels ses récits constituent un contre-pouvoir contre le discours dominant des régimes autoritaires, totalitaires ou démocratiques. En dernier lieu, on analysera la dimension pragmatique d’une écriture qui prétend transformer la réalité, pour saisir le degré de visibilité de son discours littéraire et de sa présence médiatique, ainsi que la façon dont ses romans sont perçus par la critique littéraire. On cherchera enfin à esquisser les typologies du lecteur véhiculées par le récit, que ce soit pour les légitimer ou pour les rejeter
As a novelist, essayist, and former general secretary of the Asociación Colegial de Escritores de España, Andrés Sorel (Segovia, 1937) is best known for his anti-Franco activism. To this day, he has published fifteen novels and a considerable number of essays. Since the nineteen sixties, all his work has been written under the sign of commitment, which may partly explain his side-lining from the editorial market. This thesis aims at analyzing how his intellectual disagreement with the dominant ideology is built up in his novelistic production. We will attempt to define the outlines of commitment, whether through his part as an intellectual, in its most controversial aspects, or through the characteristics of his committed writing, in its textual and pre-textual dimension. We will also analyze how the markers of commitment develop in the construction of the narrator, his characters and temporality. By always paying equal attention to the ideological content and its shaping, Sorel conceives writing as an exercise of rehabilitation of the memory of the vanquished, thus becoming a part of – and in a certain way launching – the "novel of the memory" which has dominated the literary panorama of Spain for the last two decades. It is therefore a matter of analyzing the dialectical tension that is played out between a fictional narrative and a method that uses factual elements, especially experimenting. Through the plurality of literary testimonies, Sorel’s texts seek to bring out the hidden truths and give a voice to those who have been deprived of it. We will study the formal devices through which his stories establish a counter power against the dominant discourse of authoritarian, totalitarian or democratic regimes. Lastly, we will analyze the pragmatic dimension of a writing style that claims to transform reality, in order to grasp the degree of visibility of its literary discourse and its media presence, as well as the way in which his novels are perceived by literary criticism. We will finally try to outline the reader types conveyed by the story, whether to legitimize or to reject them
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Jordana, Darder Marta. "Contra la España Sagrada : los mitos en el compromiso literario de Juan Goytisolo (1964-1970)." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUL010.

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Abstract:
Cette thèse étudie le changement abrupt dans l'engagement de Juan Goytisolo à partir de 1964 et d'une obéissance aux valeurs de l'engagement le plus dogmatique jusqu'à 1970, notamment dans la formidable entreprise de destruction et de dénonciation des mythes, valeurs, schémas, mots et automatismes littéraires dans le roman Don Julián ainsi que dans la critique solide et cohérente des mythes de l'Espagne sacrée qu'il développe dans les essais de critique historique et littéraire de cette période. À partir du contraste permanent entre les mots de Goytisolo et ses sources, nous avons cherché à situer l'écrivain dans son contexte culturel, politique et littéraire, partagé entre l'influence de son expatriation en France, ses liens avec l'Amérique latine et ses écrivains les plus avant-gardistes et pèlerins, et ses positions personnelles, politiques et dramatiques à l'égard de l'Espagne. Dans le contexte plus large des transformations et des fluctuations que subiront le "mythe" et l'"engagement" au cours du XXe siècle, Goytisolo choisit de placer le "mythe" et ses définitions multiples et ambivalentes au centre de son nouvel engagement littéraire et politique
This thesis examines the abrupt change in Juan Goytisolo's literary commitment from 1964 and his early dogmatism until 1970, when, in the novel Don Julián, he culminates the literary process of destruction and denunciation of myths, values, schemes, words and literary automatism, as well as the solid and consistent analysis of the sacred and nationalist myths of Spain that he develops in his historical and literary critical essays of that period. From the constant contrast between Goytisolo's words and his influences, we have tried to situate the writer in his cultural, political and literary context, divided between the influence of his expatriation in France, his links with Latin America and its most avant-garde and peripheral writers, and his personal, political and dramatic positions towards Spain. In the broader context of the transformations and fluctuations that both "myth" and "commitment" will undergo in the twentieth century, Goytisolo chooses to place "myth" and its multiple and ambivalent definitions at the centre of his new literary and political commitment
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Coale, Robert. "Le Prix national de littérature en Espagne, 1922-1995." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040333.

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Abstract:
Cette thèse rétablit l'histoire du prix national de littérature espagnol, depuis sa création en 1922 (et non en 1940 comme d'aucuns l'ont prétendu) jusqu'en 1995. La première partie couvre l'histoire du concours national de littérature de 1922 à 1938, c'est-à-dire la façon dont il fonctionne alors, les thèmes qu'il propose et les auteurs qu'il récompense. La deuxième partie traite de la période allant de 1940 à 1976. Il s'agit alors de retracer le cheminement parallèle du concours national de littérature, d'une part, et des prix nationaux de littérature "Francisco Franco" et "Jose Antonio Primo de Rivera" du roman, d'autre part. La dernière partie se concentre sur le prix national de "narrativa", les changements structurels qu'il subit, les prix attribués, la manière dont ces derniers sont reçus dans la presse, les polémiques qu'il suscite. L'apport majeur de cette thèse réside dans le rétablissement de la perduration d'un prix littéraire à travers les différents régimes que connait l’Espagne contemporaine, perduration généralement méconnue des spécialistes. L'étude chronologique et approfondie que constitue ce travail permet de s'interroger sur la validité des prix littéraires institutionnels espagnols et sur leurs enjeux, c'est-à-dire de se demander s'ils constituent l'expression concrète de canons littéraires ou s'il faut les appréhender uniquement comme des moteurs de l'activité éditoriale.
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Roig-Sanz, Diana. "La réception de la littérature espagnole à presse de Barcelone pendant la Seconde République." Aix-Marseille 1, 2008. http://www.theses.fr/2008AIX10065.

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Abstract:
Le point de départ de notre travail est le constat de la valeur de la presse pour les historiens de la littérature contemporaine. Trois revues - la "Revista de Catalunya", "Mirador" et "Meridià" et un journal "La Vanguardia" nous ont permis d'observer les interactions, les interférences et les appropriations des groupes qui coexistent dans un même espace mais qui expriment des spécificités culturelles différentes. Dans cette réflexion, il faut noter la coexistence de deux modèles : celle qui est propre aux écrivains et journalistes catalans et qui le fait du "Mirador", "Meridià", et la "Revista de Catalunya", et celle qui procède des auteurs castillans au service de "La Vanguardia". En analysant la place des lettres espagnoles dans ces systèmes culturels, on peut voir le rôle que la critique et la littérature ont joué dans la constitution des nations, et d'un discours culturel et politique qui, dans notre cas, a permis de forger le catalanisme, la liberté, la république et la démocratie.
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Rivalan, Guégo Christine. "La littérature (romans et nouvelles) populaire et légère en Espagne : 1894-1936." Rennes 2, 1995. http://www.theses.fr/1995REN20013.

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Abstract:
Partir des romans et nouvelles de douze écrivains (par ordre alphabétique : J. Belda, J. M. Carretero, J. Frances, A. Hernandez Cata, A. De Hoyos y Vinent, A. Insua, R. Lopez de Haro, P. Mata, A. Retana, F. Sassone, F. Trigo et E. Zamacois), ce travail se propose d'étudier la naissance, l'essor et le déclin d'un mouvement de littérature populaire en Espagne entre 1894 et 1936 dans ses rapports avec la nouvelle donne éditoriale, les influences littéraires françaises et les sujets d'intérêt des lecteurs espagnols de cette époque. Présentation est faite, en un premier temps, des auteurs (biographies), des revues et des maisons d'édition qui les accueillirent. Ce panorama éditorial espagnol est complété par l'étude de la diffusion à l'étranger - essentiellement en France - de ces auteurs et par celle des mises à l'écran de certaines de leurs oeuvres. Suit un chapitre intitule le livre comme objet qui s'attache à l'ensemble des éléments appartenant à la périphérie immédiate du texte (titres, couvertures, rabats, quatrième de couverture, illustrations, annonces publicitaires. . . ). En un deuxième temps, c'est le contenu des textes qui est analyse par le biais d'une étude des thèmes et des personnages , où sont mis en évidence les récurrences et les invariants dans l'écriture de ces pages ainsi que leur inspiration littéraire française. Leur ancrage dans les préoccupations des lecteurs de l'époque, parmi lesquelles les interrogations sur la condition féminine et la sexualité tiennent une place prépondérante, font aussi l'objet de cette analyse. Le travail se clôt sur l'étude de l'érotisme dans ces oeuvres étiquetées comme érotico-galantes en en montrant l'évolution qui accompagne la diffusion et la vulgarisation du discours médical et psychanalytique, ainsi que la parfaite adéquation entre l'expression de l'érotisme dans ces oeuvres et les prises de position des auteurs en matière de statut de la femme et de relations entre les sexes
Based on the novels and novelettes by twelve authors (in alphabetical order, J. Belda, J. M. Carretero, J. Frances, A. Hernandez Cata, A. De Hoyos y Vinent, A. Insua, R. Lopez de Haro, P. Mata, A. Retana, F Sassone, F. Trigo et E. Zamacois), this study proposes to examine the birth, rise and decline of a movement in popular literature in Spain between 1894 and 1936 in relation to the new publishing deal, French literary influences and the centres of interest of the Spanish reading public of the time. The first part includes a presentation of the authors (through their biographies) and the magazines and publishing houses that brought out their writings. This panorama of Spain’s publishing world is supplemented with a survey of the circulation of these works abroad - essentially in France as well as the cinema adaptation of some of them. There follows a chapter entitled ' the book as an object ', which deals with the elements directly peripheral to the text - titles, covers, jacket flaps, back covers, illustrations, advertisement etc. Secondly, the analysis bears upon the contents of these works through a study of themes and characters, bringing to the fore the recurrent and permanent features in the writing of those pages together with their French literary inspiration. Their close links with the concerns of contemporary readers - among which the questioning about sexuality and the position of women in society hold a dominating place - is also examined
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Vuillemin, Alain. "La figure du dictateur ou de dieu truqué dans les romans français et anglais de 1918 à 1984." Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040041.

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Abstract:
La figure du dictateur est d'une exceptionnelle plasticité dans la littérature contemporaine. L'éclatement de ses formes d'expression historiques, langagières et mythiques en manifeste la puissance de fascination singulière sur les écrivains, même lorsqu'ils dénoncent les dictateurs comme des imposteurs, de faux dieux, des "dieux truqués". Se trouve-t-on en présence d'une figure "archétype", originelle et première, de la souveraineté mais qui serait plus religieuse que politique, et dont la nature absolument équivoque expliquerait l'extraordinaire ambiguïté de ses représentations littéraires? Un immense "testament" imaginaire, très diffus certes, ne décrit pas moins le cycle toujours recommencé, dans ces oeuvres, d'une imposture qui parait inhérente, pour les écrivains étudiés, à toutes les entreprises dictatoriales et totalitaires, quelles qu'en soient les apparences. Les commencements en sont insidieux, les cheminements tortueux, les triomphes terrifiants, les dépérissements fallacieux et les recommencements incessants. Cet "archétype" serait eternel. Les romanciers ne feraient qu'en retrouver une intuition et une condamnation millénaires
The dictator's figure has an exceptional plasticity in contemporary literature. The fragmentation of its historical, linguistic and mythical expressions reveals an uncommon power of fascination upon authors, even when they denounce dictators as deceivers, false gods, "sham gods". Are we facing an "archetypal" figure, original and primordial, of sovereignty, more religious than political, and of which the absolute equivocal nature would explain the extraordinary ambiguousness of its literary manifestations? Nevertheless, a vast although very diffuse imaginary "testament" describes the continuously beginning again cycle in the writing works of an imposture which seems inherent in hall dictatorial or totalitarian enterprises, whatever their appearances are in these novels, for the writers studied. Beginnings are insidious, proceedings tortuous, triumphs terrifying, declining misleading and recommencements unceasing. That "archetype" would be eternal. Novelists would do nothing but find a millennial intuition and condemnation again
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Le, Bigot Claude. "La poésie politique dans l'Espagne républicaine (1931-1939) : essai sur les formes d'une rupture idéologique." Rennes 2, 1990. http://www.theses.fr/1990REN20004.

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Abstract:
Existe-t-il un langage spécifique à la poésie politique ? En nous appuyant d'abord sur une analyse de type socio-historique, on remarque que l'avènement de la république s'est accompagné d'une rupture idéologique dans les lettres espagnoles qui affecte essentiellement la poésie. L'engagement des écrivains en tant qu'intellectuels organiques les a conduit à modifier leurs pratiques artistiques. Si, à ses débuts, la poésie politique verse dans le propagandisme, avec la guerre, la fonction persuasive se réfugie derrière les archétypes qui forment l'ossature du romancero épique. L'analyse linguistique s'attache à mettre en évidence l'existence d'une rhétorique de la persuasion en accord avec la transparence du message et permet aussi de montrer que la notion de poésie politique n'est pas un ensemble homogène ; elle ne constitue pas davantage un genre, puisqu'elle s'investit dans des genres préexistants. La poésie politique repose sur la mise en oeuvre de stratégies discursives et se reconnaît à la présence des fonctions didactique et polémique. Lorsque la fonction persuasive s'estompe, la fonction poétique reprend ses droits. Sans remettre en cause leurs options idéologiques, les auteurs les plus avances ont créé un "lyrisme de guerre" qui leur a permis d'allier discours politique et discours littéraire. à
Is there a language pertaining to political poetry? If one relies on a sociocritical analysis, one notices that the beginning of the Spanish republic occurred along with an ideological break in Spanish literature which is essentially prevailing in poetry. The commitment of writers as militant intellectuals led them to alter their artistic practice. If, at the beginning, political poetry tends to become propaganda, as the war goes on, its persuasive role hides behind the archetype that constitute the backbone of epic romancero. The linguistic analysis which tries to entrance a rhetoric of persuasion in accordance with the obvious of the message, equally helps to demonstrate that the notion of political poetry isn't a homogeneous whole ; nor is it a literary genre, since it fuses into already existing literary genres. Political poetry is grounded on using speech strategies and can be traced thanks to its didactic and polemical functions. When its persuasive function faces away, its poetical function takes its place again. Without giving up any of their ideological choices, the most advanced authors among them have created a "wartime lyricism" which enables them to combine their political speech with literary speech
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Jimenez, Lidia. "L'adolescente dans la littérature espagnole de la "Posguerra"." Toulouse 2, 1996. http://www.theses.fr/1996TOU20076.

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Abstract:
Le personnage de l'adolescente constitue dans la litterature espagnole de la posguerra, ou apres-guerre, l'aboutissement de la recherche de l'ecriture feminine qui part de l'etude de l'enfance et de la petite fille pour aboutir a l'avenement decisif concretise par l'adolescente. L'adolescence, moment transitoire entre l'enfance et la maturite traduit le mieux la position de la femme qui ecrit pendant cette periode en espagne. Ainsi a travers les influences etrangeres et l'initiation par la guerre, par la mort et l'amour, l'auteur feminin accede a une ecriture de l'adolescente specifique a l'espagne. Dans l'oeuvre ecrite, ou des traces autobiographiques evidentes apparaissent, il s'agit de trouver le bonheur dans le retour dans l'enfance qui seule permet par la fiction de l'adolescente, de projeter le futur qui jusque-la etait noir, vers la transposition litteraire qui culmine dans une affirmation heureuse, a la fois feminine et feministe de l'ecriture. Les femmes de l'apres-guerre, ecrivent leurs memoires, des recits inspires du conte ou des romans ou l'adolescente constitute le personnage central. Rosa chacel cultive avant et pendant la posguerra le personnage de l'adolescente dans teresa et memoires de leticia valle. Carmen laforet introduit avec nada et la isla y los demonios un nouveau courant en offrant au lecteur les qualites d'un personnage issu de la guerre tout en captant l'atmosphere qui se rattache au choc produit par cette derniere. Ana maria matute ecrit des contes portant sur la guerre civile. Luciernagas reprend ces themes avec les yeux d'une adolescente. Carmen martin gaite ecrit des contes sur la petite fille et la jeune fille, et porte sa reflexion sur l'ecriture qu'elle reprend de nos jours
In spanish fiction and particularly in the kind of written fiction by women-novelists after the civil war, teenagers are often drawn. We feel we are confronted with real, genuine portraits while, before readers had to be content with mere tentative sketches ; indeed in the fiction published, at that time, the very young girls and also the young ladies they often had grown into,take up stances which are surprisingly new. Infact their creators thus achieve a kind of perfection in that respect, insisting, as they do, on the adolescent period of their fictitions feminine characters. Spanish women-writers often insists on the particular period of time of adolescence for their heroins, often imparted their own most intimate hidden, convictions, and are naturally nourished with foreign models but it was also fraught with their own knowledge of death, and love, acquired during the various wars they had gone through. The consequence is the portraying of adolescent characters as drawn by spanish fiction writers ans the reader feels that many personal memories break through the bedrock of the tales that are told. For instance, rosa chacel during all that period does draw such a character in teresa and memorias de leticia valle. In nada and la isla y los demonios carmen laforet renews the genre making conveying to them the shock it was for most people. Ana maria matute writes short stories and in luciernagas tells the memories of a teenager of that time. Carmen martin gaite writes short stories about meregirls and young ladies while reflecting
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Daudin, Claire. "De la situation faite à l'écrivain dans le monde moderne : Charles Péguy - Georges Bernanos." Paris 10, 1995. http://www.theses.fr/1995PA100136.

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Abstract:
Envahissant les écrits non romanesques et non poétiques de Péguy et de Bernanos, le motif du monde moderne apparait comme le symptôme d'une conception générale de la littérature. C'est en effet de la capacité de cette dernière à tenir un discours sur l'histoire que ce motif rend compte en premier lieu. La première partie de notre travail s'est efforcée de cerner la spécificité des visions du monde moderne propres à chaque auteur. Ce monde, ils ne le jugent pas de l'extérieur, mais vivent, écrivent et agissent en son sein. Tout autant que par leurs écrits, c'est par leur attitude et leur façon de concevoir le rôle de l'écrivain que Péguy et Bernanos ont combattu le monde moderne. Quelle représentation se sont-ils faite de leur fonction sociale et de la mission de la littérature? Telle est la question traitée dans la deuxième partie. Lutteur, l'écrivain l'est dans l'écriture plus encore que dans la société. Si la littérature est pour lui une arme, elle est également le lieu du combat. On passe ainsi de la critique du monde moderne par la littérature à la critique d'une certaine modernité littéraire par une écriture rebelle. Cette question est abordée dans la troisième partie à travers une réflexion sur les rapports de Péguy et Bernanos à la littérature polémique, aux genres littéraires et la notion de fiction
Pervading Peguy's and Bernanos texts, the theme of the modern world appears to be the sign of a global vision of literature. It testifies indeed of its ability to tell something about history. The first part of the thesis deals with the way each writer considered the modern world through a review of their ideas about this matter. Yet none of them judge this world from outside. They live, write and act in it. They fight against it as well by their attitudes and by the way they regard the writer's social part and the mission of literature as by their books. How did they think about this question? This is the main problem dealt with in the second part. If literature is the writer's favorite weapon against the modern world, it is also his fighting field. We can find in Peguy’s and Bernanos works the criticism of a certain literary modernity, through their relations with polemic standards, literary genres and fiction. So is the contents of the third part
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Mancini, Bruno. "Ignazio Silone, romancier militant : étude thématique et esthétique." Nancy 2, 2006. http://docnum.univ-lorraine.fr/prive/NANCY2/doc371/2006NAN21023_1.pdf.

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Abstract:
C'est vers 1930, alors qu'il est expulsé du Pcd'I (dont il a été l'un des fondateurs) et qu'il est malade de phtisie, qu'Ignazio Silone décide d'écrire son premier roman : Fontamara. Il le rédige en Suisse où il est exilé en tant qu'antifasciste, et y raconte, sous forme de témoignage direct, les mésaventures des cafoni, paysans humiliés et opprimés par le fascisme triomphant. Notre travail veut démontrer que le premier roman de l'auteur des Abruzzes n'est autre que la continuation de sa lutte, non plus par des articles politiques, trop incompréhensibles pour les gens qui savent à peine lire, mais à travers un récit qui sait très habilement mélanger les genres, tout en étant écrit dans un style simple et clair. Fontamara est pour nous un exemple très représentatif de roman engagé. Notre étude s'appuie sur une analyse thématique et stylistique et sur une comparaison avec d'autres romans engagés contemporains qui eux, ont connu une vraie fortune littéraire
Around 1930, while having been expelled from the Italian Communist Party (of which he was a co-founder) and suffering from consumption, Ignazio Silone decides to write his first novel : Fontamara. Exiled in Switzerland as an Antifascist, he tells of the cafoni's misadventures, presenting like direct testimonies the stories of these humiliated and oppressed peasants, victims of triumphant Fascism. Our work aims to show that the first novel by this author from the Abruzzi is only the continuation of his fight, no more through political articles, too incomprehensible to people who can hardly read, but through an account that skillfully mixes genres, while being written in a simple and clear style. Fontamara is, to us, an example of a truly commited novel. Our study is based on an analysis set of themes and stylistics and in comparison with other contemporary commited novels, which have known a true literary success

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