Academic literature on the topic 'Littérature d'exil arabe – 2000-'

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Journal articles on the topic "Littérature d'exil arabe – 2000-":

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Nagem, Racha. "Quelques aspects de la littérature arabe revisités." Hawliyat 14 (October 20, 2018): 175–92. http://dx.doi.org/10.31377/haw.v14i0.143.

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Abstract:
L'histoire de la littérature arabe couvre une période de près de 2000 ans, depuis les inscriptions des déserts d'Arabie jusqu'aux œuvres contemporaines. II ne saurait êÙe ici question d'en faire une étude exhaustive. Notre objet est plutôt de fournir un cadre correspondant à la recherche moderne. En effet, du fait de l'histoire particulière des Arabes, qui a connu près de cinq siècles de stagnation voire de décadence, depuis la chute de Bagdad sous les coups des Mongols, en 1258 jusqutà l'avènement de Muhammad Ali (1769-1849), vice-roi de l'Egyptel, la littérature arabe reste mal connue de son peuple qui a perdu. dans sa majorité, le contact direct avec son prestigieux héritage.
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Botéa, Bianca. "Espace-frontière." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.008.

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Abstract:
L’anthropologie des espaces frontaliers et des espaces-frontières est un champ relativement récent, développé dans la littérature anglo-saxonne dans les années 1990 en lien avec la problématique de la construction des nations et des États. La visibilité de ce champ thématique dans l’anthropologie francophone est plus tardive (années 2000), restant principalement investi par les géographes. Si le travail de Fredrik Barth est pionnier sur la question des frontières (boundaries) identitaires posant les bases d’une perspective non-essentialiste des groupes (Barth 1969), une anthropologie des espaces-frontières va au-delà des frontières symboliques et culturelles afin de considérer ensemble les deux sens de la notion de frontière : d’une part, les frontières physiques (borders, frontiers), établies généralement par des pouvoirs et, d’autre part, les frontières sociales, symboliques (boundaries) traduisant un rapport à l’espace matériel. La spécificité d’une étude anthropologique des frontières repose sur une approche ethnographique des pratiques ordinaires des individus et des « communautés locales situées aux frontières étatiques », sur une attention focalisée sur les constructions culturelles, matérielles et symboliques qui donnent sens à ces frontières (Wilson et Donnan 1998), autrement dit sur les négociations et les constructions « par le bas ». Ces travaux rappellent que les entités politiques « sont faites par les individus et non seulement par les images et les imaginaires construits sur ces individus via les représentants de l’État, les médias, les scientifiques » (Wilson et Donnan 1998 : 4). L’une des implications de cette orientation dans le champ d’études sur les frontières a été l’idée, omniprésente dans les travaux ultérieurs, que les frontières sont avant tout des espaces avant d’être des lignes et, qu’au-delà des ruptures instituées par les dispositifs de marquage et de contrôle de l’espace, ces frontières sont tout autant des espaces-ressources où se déploient des solidarités, des opportunités économiques et sociales. Parmi ces travaux nous pouvons signaler les contributions réunies par Bromberger et Morel (2001), ou par les numéros thématiques sur les frontières de la revue « Cultures et conflits » (2008, 2009). Au-delà de leur fonction d’espace-ressource, les zones-frontières sont des lieux de production et de négociation des cohabitations et des voisinages, dans des situations de vie multilinguistiques, multiconfessionnels et plus largement multiculturels. (Berdhal 1999 ; Botea 2013 a). C’est notamment dans les contextes de changement (crise politique ou économique, changement de frontières étatiques, etc.) que les espaces-frontières se montrent des haut-analyseurs des transformations vécues par les sociétés. Il convient de noter une évolution à plusieurs titres du champ d’études anthropologiques sur la frontière. Tout d’abord, le champ thématique s’agrandit, de la problématique des constructions nationales et étatiques et des pratiques de mobilité à des ritualités et des politiques identitaires (confessionnelles, linguistiques, de genre, de sexualité), à des problématiques environnementales et de développement, à des questions patrimoniales et mémorielles, etc. D’autres dynamiques au sein des études sur la frontière sont également à signaler. Selon Wilson et Donnan, une certaine conception « localiste, territoriale et particulariste de la frontière », tributaire d’une approche localiste de la culture et du travail de terrain (2012 : 8), persisterait dans les travaux des années 1990. On passe ainsi d’une frontière considérée comme contexte − une frontière qui définit le cadre social et géographique de l’enquête, la recherche se focalisant sur les expériences de la « communauté » vivant à la frontière − à une frontière vue comme objet d’étude, relevant des dynamiques comparables ailleurs. On s’oriente aussi vers des approches « multisites », vers des analyses des expériences des individus des différents côtés (sites) d’une frontière. En outre, une des mutations des plus importantes est l’intérêt grandissant pour considérer la frontière comme un processus, les analyses mettant l’accent sur les pratiques de faire frontière (bordering). Situées à l’opposé d’une approche qui considère le caractère « donné » ou territorialisé de la frontière (donnée politique ou naturelle), les pratiques ethnographiques tentent d’identifier les lieux (et les sites), les pratiques sociales à travers lesquelles des frontières adviennent et sont vécues dans des multiples sens : non seulement par des limites tracées par des dispositifs de marquage et de contrôle mais aussi par des objets plus incertains, performant des frontières tout aussi vives, comme l’usage d’une langue, une pratique confessionnelle, des savoir-faire, une pratique touristique, etc. Une perspective attentive à la frontière comme processus peut s’affranchir d’une approche territorialisée de la frontière qui associe celle-ci à des lieux géographiques précis, généralement à des marges et des confins. La frontière est mobile, changeante, elle peut produire des effets qui se localisent ailleurs, voire même dans des zones de centralité géographique. Alors que des territoires qui ne se trouvent pas aux confins peuvent fonctionner comme des espaces -frontières (dans le sens d’espaces négociés ou contestés, jouant des ambivalences ouverture/fermeture), les espaces-frontaliers peuvent ne pas entrer dans cette catégorie (Kotek 2001). C’est aussi vers des questions méthodologiques et épistémologiques que ce tournant pragmatiste dans les approches de la frontière nous amène (perspective qui considère cette dernière comme un effet de pratique), avec tout d’abord l’idée qu’une ethnographie (multisite) en contexte frontalier n’est pas forcément une ethnographie menée de part et d’autre de cette frontière comme nous pourrions le penser habituellement. Cela traduirait une approche toujours localiste du terrain frontalier, déplacée cette fois-ci à l’échelle transfrontalière. Nous avons par exemple des territoires frontaliers qui ne produisent pas d’espaces sociaux de voisinage dans le transfrontalier proche, mais qui agissent comme des commutateurs importants opérant des liens avec des territoires plus lointains (Botea 2013 b). Par conséquent, ce sont les réseaux de sites constitués par les différentes pratiques de connexion entre les individus, lesquels se déploient sur des espaces-temps mobiles (par forcément situés dans le voisinage proche), qui forment les contours du « terrain ». Les crises politiques actuelles dans le monde arabe et les manifestations du problème des réfugiées et de sa gestion dans les différentes sociétés européennes montrent bien les reterritorialisations permanentes des dispositifs politiques voire civils de « faire frontière », ainsi que les espaces sociaux mobiles créés afin de les contourner. Cette double qualité de la frontière, d’une part comme frontière-mur d’autre part comme frontière traversée et poreuse, caractérise le régime sous lequel fonctionne toute frontière, aussi bien au niveau des pratiques ordinaires des individus que comme mode de gouvernance. Enfin, les études sur les frontières amènent leurs auteurs à se questionner sur les frontières des disciplines qui investissent ce champ, elles-mêmes traversées (pensons ici au seul exemple de la démarche ethnographique adoptée de plus en plus par la sociologie, la géographie, etc.). Nous assistons désormais à la constitution des travaux qui montrent une volonté de réunir et faire converger les points de vue disciplinaires (Anteby-Yemini et al. 2014 ; Chavarochette et al. 2015), certains auteurs pionniers dans cette perspective (Donnan et Wilson 2012) s’interrogeant sur la constitution d’un champ pluridisciplinaire, voire postdisciplinaire, du Border Studies.

Dissertations / Theses on the topic "Littérature d'exil arabe – 2000-":

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Bianco, Annamaria. ""Adab al-malǧa'" : représenter le refuge dans le roman arabe du XXIe siècle." Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2022. http://theses.univ-amu.fr.lama.univ-amu.fr/221209_BIANCO_998yey470wdp180hg620kll_TH.pdf.

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Abstract:
Cette thèse analyse la littérature arabe de l’exil et de la migration produite au tournant de la « crise des réfugiés » de 2015, à travers un corpus de six romans dont les auteurs diffèrent par leurs sexe, âge, origine, notoriété et statut migratoire. L’étude vise à décrire l’émergence d’une nouvelle esthétique migrante construite autour de l’expérience polyvalente et multiforme du refuge, en identifiant les différents éléments de continuité et de discontinuité qui relient la fiction contemporaine au canon littéraire du passé. Focalisée sur des romans qui puisent dans la littérature de harraga (Taytānīkāt afrīqiyya d'Abū Bakr Ḥāmid Kahhāl et Anāšīd al-milḥ d'al-'Arabī Ramaḍānī), la première partie met en évidence les liens entre les textes qui relatent l'expérience de la migration clandestine et ceux qui se concentrent sur l'exode des demandeurs d'asile, en faisant ressortir le même type de discours critique à l'égard de la forteresse Europe et des hiérarchies établies par le système humanitaire. Concentrée sur les concepts de vulnérabilité, traumatisme et résilience, la deuxième partie est consacrée aux réalités du transit et de l'immobilité. Elle analyse les espaces d'exception incarnés par les camps de réfugiés palestiniens (Muḫmal de Ḥuzāma Ḥabāyib) et par la Syrie prérévolutionnaire, caractérisée par une double réalité d'accueil et répression (Ḥurrās al-hawāʼ de Rūzā Yāsīn Ḥasan). La troisième partie se concentre sur l'expérience de l'asile en Europe (Barīd al-layl de Hudā Barakāt et 'Āzif al-ġuyūm de 'Alī Badr), nous permettant d'explorer des représentations anti-hégémoniques des notions d'hospitalité, d'identité, d'appartenance et de citoyenneté
This thesis analyses the Arabic literature of exile and migration produced at the turn of the 2015 "refugee crisis", through a corpus of six novels whose authors differ in gender, age, origin, notoriety and migratory status. The study aims to describe the emergence of a new migrant aesthetic built around the polyvalent and multifaceted experience of "refuge", identifying the different elements of continuity and discontinuity that link contemporary fiction to the canon of the past. Focusing on two novels that draw on the tradition of harraga literature (Abū Bakr Ḥāmid Kahhāl's Taytānīkāt afrīqiyya and al-Arabī Ramaḍānī's Anāshīd al-milḥ), the first part of this work sheds light on the links between texts that recount the experience of clandestine migration and those that focus on the exodus of asylum seekers, bringing out from them the same kind of critical discourse towards Fortress Europe and the hierarchies established by the humanitarian system. Linking the concepts of vulnerability, trauma and resilience, the second part is devoted to the realities of transit and immobility, and analyses the spaces of exception embodied by Palestinian refugee camps (Ḥuzāma Ḥabāyib's Muḫmal) and pre-revolutionary Syria, characterised by a dual reality of regional shelter and repression (Rūzā Yāsīn Ḥasan's Ḥurrās al-hawāʼ). The third part sheds light on the experience of asylum in Europe (Hudā Barakāt's Barīd al-layl and Alī Badr's Āzif al-ġuyūm), allowing the reader to explore the anti-hegemonic representations of notions such as hospitality, identity, belonging and citizenship
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Alaili, Anas. "La thématique du retour dans la littérature arabe : le cas palestinien." Thesis, Lyon 2, 2015. http://www.theses.fr/2015LYO20135.

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Abstract:
Ce travail tente d’une part, d’étudier les origines de la thématique du retour d’exil et ses différentes formes dans la littérature arabe : la forme de retour chez les écrivains arabes contemporains et celle des poètes du Mahğar. Puis, la forme du retour dans la poésie classique, notamment chez les poètes qui sont rentrés chez eux après une longue absence. Enfin, la forme de retour chez les poètes préislamiques, telle qu’elle se manifeste dans « al-Muqaddimaẗ al-ṭalaliyyaẗ » (l’introduction des ruines). D’autre part, notre étude tente d’explorer la thématique de retour dans la littérature palestinienne contemporaine et de montrer la particularité de ce phénomène chez les auteurs palestiniens revenus en Palestine après les Accords d’Oslo en 1993. En effet, plusieurs d’entre eux abordent la thématique du retour dans des œuvres littéraires variées. Ils y expriment souvent l’échec et la déception face à la réalité retrouvée. En outre, cette étude s’intéresse à la complexité du retour dans la littérature palestinienne. En effet, deux problématiques principales émergent : la première est liée au phénomène du retour d’exil et la deuxième est liée au contexte socio-politique particulier de la Palestine. Ces deux problématiques font du cas du retour palestinien un phénomène à part dans la littérature arabe contemporaine
This research attempts on one hand, to study the origins of the theme of return and its various forms in Arabic literature : as perceived by contemporary arab writers versus by poets of Mahğar. Then, the shape of the return in classical poetry, especially among poets who have returned back home after a long absence. Eventually, the shape it adopted among pre-Islamic poets, as illustrated in « al-muqaddimaẗ ṭalaliyyaẗ » (the introduction of the ruins). On the other hand, our study intents to explore the theme of return in contemporary Palestinian literature and to demonstrate the peculiarity of this phenomenon among Palestinian returnee authors after Oslo agreements in 1993. Indeed, many of them oftently expressed the failure and disappointment facing the newfound reality. Furthermore, this research addresses the return’s complexity in Palestinian literature. Indeed, two main issues were raised : the first one is related to the phenomenon of return from exile and the second one, to the specific political context of Palestine. These two issues render unique the Palestinian return, a phenomenon in contemporary Arabic literature
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Ali, Nancy. "Violence et fiction dans le roman contemporain de langue française, arabe, et anglaise (1960-2000)." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040035.

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Abstract:
RésuméEn raison des bouleversements qui ont eu lieu dans la seconde moitié du XXe siècle, le monde a connu une accélération notable de l'histoire. Cette accélération s'est manifestée sur plusieurs fronts – l'historique, le scientifique, le technologique – mais aussi sur le front littéraire, changeant à jamais la façon dont nous représentons notre monde et notre passé. Cette thèse porte sur les nouveaux modes de représentation ou mimesis dans l'œuvre d'art. Comment les événements, qui se déroulent en dehors du roman, ont-ils affecté la forme même, la technique et la langue du roman contemporain ? Comment la violence qui a été infligée au monde extérieur s'est-elle reflétée dans le récit littéraire ? Du fait que la forme narrative est en soi un moyen de « rassembler » les événements dispersés et les incohérences de la réalité, la forme traditionnelle manipule violemment cette réalité dans le but de lui donner un sens, quand elle est souvent inexplicable. En mettant en question les conventions naturelles et données du récit, les romans expérimentaux du XXe siècle ont tenté de mettre en place des formes originales, en mesure de représenter des expériences différentes. Notre thèse traite principalement de ces nouvelles conceptions de la représentation dans le roman contemporain et de la manière dont, en dépit de leur fragmentation, de l'expérimentation et de la rupture violente avec les traditions du passé, ces romans innovants ont néanmoins réussi à produire des «représentations» de la réalité qui captent fidèlement notre histoire contemporaine, caractérisée par l'accélération et la fragmentation. Pour justifier cet argument, nous avons comparé les récits de fiction avec ceux des deux autres domaines à partir desquels nous tirons la connaissance de notre passé, à savoir l'histoire et la mémoire. Où est la place de la fiction aux côtés de ces deux piliers de connaissance souvent totalisants et totalitaires ? Enfin, que peut faire la littérature pour ces sujets de l'histoire, systématiquement exclus de l'écriture de l’histoire dominante ? En prenant la plume pour écrire leur version de l'histoire, ces «autres» du document historique dominant ont inscrit leur histoire particulière sur le palimpseste existant de l'histoire dominante et ont également obligé les canons littéraires, auxquels ils appartiennent, à développer leurs limites esthétiques et éthiques
SummaryAs a result of the changes that have occurred in the latter half of the twentieth century, the world has witnessed a noticeable acceleration of history. This acceleration has manifested itself on many fronts – the historic, the scientific, the technological – but also on the literary front changing forever the way we represent our world and our place in it. This paper deals with the new modes of representation or mimesis in the work of art. How have the events happening outside the novel affected the very form, technique and the language of the contemporary novel? How has the violence that has been inflicted on the outside world being replicated and perhaps resolved in the literary narrative? Because narrative form is in itself a way of ordering and “bringing together” the fragmented events and incoherencies of reality, the very traditional form often violently manipulates this reality with the aim of giving meaning to an often inexplicable reality. By bringing into question the natural and given conventions of narrative, the experimental novels of the twentieth century have tried to realize original and unique forms that are able to represent different experiences. Our paper deals with primarily with these new conventions of representing reality and how, despite their fragmentation, experimentation, and violent rupture with the traditions of the past, they have nonetheless successfully produced “representations” of reality that faithfully capture our contemporary history characterized by acceleration as well as fragmentation. In order to justify this argument, we have compared narratives of fiction with the other two domains from which we derive the knowledge of our past, namely history and memory. Where is the place of fiction alongside these two often totalizing and totalitarian pillars of knowledge? Finally, what can literature do to those subjects of history who have systematically excluded from the writing of their dominant History? By taking the pen to write their side of the story, these “others” of the dominant historical document have both inscribed their particular stories on the existing palimpsest of dominant history, but have also forced the literary canons in which they belong to expand both their aesthetic and ethical boundaries
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Behri, Souad. "La littérature d'enfance et de jeunesse au Maroc de 1930 à 2000 : les enjeux culturels et idéologiques de la traduction du français en arabe." Thesis, Toulouse 2, 2014. http://www.theses.fr/2014TOU20054.

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Abstract:
Notre thèse interroge la place de la littérature d’enfance et de jeunesse dans le paysage éditorial du Maroc et se propose d’analyser les enjeux littéraires et culturels d’une production qui passe souvent par des médiations. Dans un contexte historique et géographique comme celui du Maroc, caractérisé par sa multiplicité culturelle et linguistique, le terme de médiation(s) revêt une importance particulière. Nous mettons l’accent sur les médiateurs qu’impliquent ce champ éditorial et sur un certain nombre de « négociations » qui éclairent les tentatives de recherche d’un équilibre entre les différentes contraintes et exigences. Dans ces médiations, nous analysons les questions que soulève le transfert d’un texte jeunesse de la culture source à la culture d’arrivée, s’agissant d’une traduction du français vers l’arabe, ainsi que les enjeux idéologiques et culturels de deux univers différents. Nous relevons à travers un ensemble de stratégies de traduction certains phénomènes de résistance au niveau culturel, idéologique et discursif. La mise en regard des diverses tendances d’intervention révèlent différentes manières d’opérer cette médiation et analyse le mode de prise en compte des résistances culturelles et idéologiques
The thesis questions the place of childhood and youth literature within Morocco’s editorial landscape and aims at analysing the literary and cultural stakes entailed by a production which often calls upon mediation. In a historical and geographical context such as that of Morocco, characterized by its cultural and linguistic multiplicity, the word “mediation” takes on a very specific meaning. We put emphasis on the mediators implied by this editorial field and on a certain number of “negotiations” which sheds light on the research for a balance between various constraints and requirements. In these mediations, we analyse the questions raised by transferring a text meant for teenagers from its source culture into its target one, concerning a French into Arab translation, as well as the ideological and cultural stakes induced by two different worlds. Resistances at the cultural, ideological and discursive levels can be noted in all kinds of translation strategies. Comparing different intervention trends reveals different ways of implementing this mediation and analyses how ideological and cultural resistances are taken into account
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Fili-Tullon, Touriya. "Figures de la subversion dans les littératures francophone et d'expression arabe au Maghreb et au Proche-Orient, des années 1970 à 2000 : (R. Boudjedra, A. Cossery, E. A. El Maleh, É. Habibi et P. Smaïl)." Thesis, Paris 3, 2009. http://www.theses.fr/2009PA030012/document.

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Abstract:
Dans l’aire arabofrancophone, la valeur littéraire de la fiction narrative tend souvent à se confondre avec sa dimension subversive. Le présent travail aborde cette notion problématique de subversion en tant que modalité discursive et posturale. Sont analysées les perturbations infligées aux codes linguistiques, énonciatifs et génériques à la lumière du postulat suivant lequel le bilinguisme et le biculturalisme des écrivains favorisent cette veine et la nourrissent. C’est, en effet, autour d’une double appartenance, feinte ou avérée, que se rejoignent les poétiques d’auteurs aussi éloignés que Rachid BOUDJEDRA, Albert COSSERY, Edmond Amran EL MALEH, Émile HABIBI et Paul SMAÏL. L’articulation de l’analyse textuelle à celle des postures auctoriales permet de discerner une dynamique littéraire dans laquelle ce qui s’offre a priori comme une littérature politique s’avère un avatar d’une politique de la littérature
In the Arabo-Francophone culture, the literary value of narrative fiction often tends to intermingle with its subversive dimension. The present study deals with this problematical notion of subversion considered as a posture and a discursive modality. The disturbances inflicted on linguistic, enunciative and generic codes are analysed under the assumption that the writers' bilingualism and biculturalism favour this type of inspiration and nurture it. Indeed, the poetics of authors as different as Rachid BOUDJEDRA, Albert COSSERY, Edmond Amran EL MALEH, Émile HABIBI and Paul SMAÏL seem to meet around this double belonging, whether it is real or simply assumed. Together, text analysis and authors' postures observation enable us to discern a literary movement in which what is a priori offered as a political literature ends up being a metamorphosis of a literary policy
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Zouini, Imane-Sara. "Les langues d’Abdelhak Serhane, un métissage arabo-français chez un romancier marocain, suivi d’une traduction intégrale, en langue arabe, du roman Les Temps noirs, écrit en français par le même auteur." Thesis, Paris, INALCO, 2019. http://www.theses.fr/2019INAL0005.

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Abstract:
Cette thèse présente une étude assez complète du roman Les Temps noirs d’Abdelhak Serhane en vue de mettre en avant son esthétique littéraire. Après un travail de contextualisation de la littérature maghrébine d’expression française, le travail de recherche se prolonge par une analyse littéraire du roman Les Temps noirs, ensuite par une étude du métissage arabo-français qui sous-tend l’écriture littéraire de cet écrivain marocain dans son roman. Enfin, c’est à l’analyse de la traduction intégrale du roman Les Temps noirs en langue arabe, que se consacre le travail de recherche, en vue d’étudier le passage des figures du métissage dans le texte traduit par l’auteure de la thèse, tout en s’appuyant sur l’apport théorique et critique d’Antoine Berman
The aim of this thesis is to present a rather complete study of Abdelhak Serhane’s novel Les Temps noirs, in order to highlight its literary aesthetic. After contextualizing the Maghrebi literature of French expression, the research is prolonged by a literary analysis of Les Temps noirs, then by a study of the Arab-French hybridity which underlies the literary writing of the Moroccan novelist. Finally, it is to the analysis of Les Temps noirs’s translation in arabic that this research work is dedicated, in order to study the passage of figures of hybridity in the text translated by the author of this thesis while relying on the theoretical and critical contribution of Antoine Berman
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Rubino, Marcella. "Religion et violence dans l'oeuvre de Yūsuf Zaydān : les chemins croisés de la fiction et de l'histoire." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCF014/document.

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Abstract:
L’écrivain égyptien Yūsuf Zaydān s’inscrit dans la tradition - constituée à l’âge de la Nahḍa – de l’intellectuel “éducateur des consciences”. Depuis cette époque, face à un récit national contrôlé par le pouvoir politique ou religieux, la littérature arabe a souvent revisité l’histoire et l’actualité dans le but de rétablir - grâce à la liberté offerte par le discours fictionnel - la vérité occultée par le récit officiel. Dans ce processus de réécriture, Zaydān s’intéresse particulièrement à la relation entre religion, politique et violence. L’objectif de cette étude est d’explorer l’oeuvre littéraire de cet auteur, dans le but d’en dégager l’originalité. Celle-ci apparaît, d’une part, dans la capacité de Zaydān à mettre en valeur son double profil d’universitaire et de romancier, à travers une production très variée allant du roman à l’essai; d’autre part, dans les stratégies spécifiques qu’il emploie afin de s’adresser à son destinataire privilégié: le lecteur égyptien. Auteur controversé autant pour son oeuvre que pour sa personnalité, Zaydān n’en demeure pas moins un phénomène littéraire : illustration à la fois de l’éclatement du champ littéraire et d’une démocratisation exacerbée de la culture en Egypte, son cas permet de mieux comprendre la littérature arabe ultra contemporaine et ce qu’elle exprime sur les sociétés en recomposition - politique, économique et culturelle - desquelles elle émane
The Egyptian writer Yūsuf Zaydān is part of the tradition – dating from the age of the Nahḍa – of intellectuals as "educators of consciousness". Since then, faced with a national narrative controlled by political or religious power, Arab literature has often revisited history and current affairs with the aim of restoring – through the freedom offered by fictional discourse – the truth overshadowed by official history. Through this rewriting process, Zaydān is particularly interested in discussing the relationship between religion, politics and violence. The objective of this thesis is to explore Zaydān’s literary work in order to identify its originality. This originality is manifested, first, through Zaydān's dual profile as both academic and novelist, engaged in varied production that ranges from novels to essays; second, in the specific strategies he employs in order to address his privileged audience: the Egyptian reader. A controversial author in both his work and his personality, Zaydān is above all a literary phenomenon. An example of the blossoming literary field and the exacerbated cultural democratisation in Egypt, his case allows us to better understand ultra-modern Arab literature and what it expresses about the (politically, economically, culturally) recomposed and changing society that have produced it
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Crépeau, Noémie. "Lier les présents aux absents : regards sur la condition d’exilé dans les littératures libano-québécoise et arabe contemporaine." Thèse, 2012. http://hdl.handle.net/1866/9226.

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Abstract:
Les paramètres de l’exil, comme déplacement, se transforment aujourd’hui dans un contexte de mondialisation, interrogeant le rôle des nations alors que les sociétés impliquent de plus en plus de mobilité et de diversité culturelle. Cette condition d’exilé aux repères mouvants, inscrite dans une temporalité discontinue et dont l’expérience est toujours douloureuse, a donné lieu à une littérature prolifique dans le domaine des études littéraires au cours du 20e siècle. En quoi le 21e propose-t-il un regard différent sur cette condition ? Dans ce mémoire nous analyserons quatre œuvres contemporaines qui nous proposent différentes variations des transformations identitaires profondes qui caractérisent la condition d’exilé. Deux des grands axes autour desquels s’est articulée la condition d’exilé ont été développés par Edward Said, qui propose une posture critique et politique, et Julia Kristeva, qui présente l’exil comme une condition plutôt psychique. Suivant cette perspective analytique, l’autobiographie de Mourid Barghouti fait écho à la compréhension de l’exil telle que l’entend Said, en pleine autonomie instauratrice. Puis, le roman de Rawi Hage dans une expérience plus psychique de l’exil, plus traumatique et plus violente du vécu avant l’exil, suggère que le rapport avec le milieu environnant a un impact sur l’expérience de l’exil, alors que dans ce cas il reste dysfonctionnel, et qu’un rapport pathologique à l’existence peut ensuite se manifester. Ensuite, le roman d’Abla Farhoud expose la possibilité d’un dépassement de cette expérience pathologique de l’exil par la distance, celle de l’âge et de la prise de parole. Finalement, dans la pièce Incendies de Mouawad, l’expérience psychique de l’exil est dépassée à la fois par une traduction de l’indicible de la violence, par un retour sur les traumas précédant l’exil, et par un travail collectif – comme autres formes de distances. Cette dernière œuvre est donc porteuse d’une compréhension de l’exil impliquant une dimension psychique, tout en devenant critique et politique, telle que le révèlent les écrits de Jacques Rancière. À la lumière de ces analyses, la condition d’exilé réclame d’urgence un retour sur les traumas précédents, le trauma qu’est l’exil, afin qu’une autonomie, une créativité et un engagement s’en dégagent, dans une société, dans un monde plus grand que soi. Pour les trois derniers auteurs, c’est la société québécoise qui révèle à la fois une compréhension des problématiques majeures de la condition d’exilé et une ouverture face à celles-ci, en ce début de 21e siècle.
Exile is a condition of displacement and a phenomenon that affects great masses of people today. Although this experience exists since the proverbial beginning of time, its parameters are changing in the present context of globalization, which transforms the role of nations and where societies are characterized by greater mobility and cultural diversity. The profound psychological and cultural transformations of identity – inward and outward – to which people are confronted through displacement can be understood as a condition per se, an exilic condition. This condition with moving marks, and which develops in a discontinuous temporality and as a necessarily painful experience, has been the source of prolific literature and of literary studies in the 20th century and before. How, differently then, does the 21st century gaze at this condition ? In this thesis, four works are analyzed in which the authors present different visions of the exilic condition. Two main lines of thinking have been explored around this condition: Edward Said embraced a critical and political posture while Julia Kristeva conceived of exile in its psychological dimensions. Within these analytic perspectives, Mourid Barghouti’s autobiography has affinities with Said’s approach as it inaugurates an autonomous condition. Through Rawi Hage’s novel, a more psychological experience of exile is observed, one that is more violent and traumatic. It sheds light on the undeniable impact of the environment on the experience of exile in the host country. If the relation to the host country stays dysfunctional, a pathological attitude to the exilic experience may develop. Abla Farhoud’s novel explores the possible overcoming of the pathologies of exile through distance, age, time, and words, the distance needed for Dounia. Finally, the psychological limitations of exile can be overcome by translating the “unspeakable” in violence, by a return to the pre-exilic traumas, and by a collective sharing of this restorative work. Mouawad’s play also exposes the psychological dimension of exile, but it also maintains its critical and political ones. We observe through these analyses that the exilic condition demands a redressing of the traumas that preceded exile, understood as another trauma, so that the exiled can exist in an autonomous, creative and committed way in his or her society of adoption. For the last three authors, this society is Québec, which shows openness to, and comprehension of, the major issues of the exilic condition in the 21st century.

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Saʻdī, Ālāʼ ʻAbd al-Amīr. al-ʻUdwānīyah fī al-naṣṣ al-riwāʼī al-ʻIrāqī (2000-2020): Dirāsah fī al-bawāʻith wa-al-sulūk. 8th ed. Dimashq: Dār Nīnawá lil-Dirāsāt wa-al-Nashr wa-al-Tawzīʻ, 2022.

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